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[RP] Cathédrale de Nîmes : Ordination de Sœur Lirok

Lirok
Lirok s'avança devant l'autel et se mit à genou. Elle ferma les yeux pour se recueillir, prit une grande respiration et récita le Credo d'une voix douce et claire.

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN


Lirok attendit un petit peu que le silence emplisse à nouveau la cathédrale de Nimes. Enfin elle reprit la parole.

Mes chers frères et soeurs,

Je vous ai aujourd'hui invités à m’entourer afin d'être les témoins de ma foy. Durant mon diaconat, j'ai eu le temps de réfléchir à tout ce que cela représentait pour moi et aujourd'hui je me sens prête à assumer la pleine responsabilité de mon choix. Je désire plus que tout vous confirmer ce choix de devenir curé et de servir ainsi pleinement notre grande famille Aristotélicienne.

Lirok se tut à nouveau et sentit ses joues rosir. Elle se redit compte qu'on avait pu entendre dans sa voix toute son émotion.
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Gragblod
Monseigneur Gragblod sourit à la réponse de Soeur Lirok en guise d'approbation paternelle puis reprit :

Ma Soeur, avant d'être ordonnée prêtre, il convient que vous déclariez devant l'assemblée votre intention de recevoir cette charge.

Voulez-vous être consacré à la prêtrise de l'Église Aristotelicienne ?

Oui

Voulez-vous accomplir votre mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider votre évêque, et faire progresser le peuple aristotélicien ?[/b]

Oui

Monseigneur Gragblod ouvrit le Livre des Vertus pour continuer la cérémonie d'ordination.
Il allait maintenant choisir un passage subtil où Lirok devait se retrouver , pour s'identifier pleinement à la lourde responsabilité qu'elle allait décider de prendre :

Dans "La Vita d'Aristote, Partie I, Dialogue XI : le songe, il y a écrit:

Citation:
La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."
Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."
Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"
Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."
Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."
Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient…



Vous l'aurez compris dans ce passage les serviteurs du Très Haut, mes enfants, les ministres du culte sont donc redevables entièrement à leurs fidèles pour les mener quotidiennement vers le droit chemin, droit chemin semé d'embûches par le Sans-Nom !
Le fait de choisir ce sacerdoce est lourd de conséquences pour votre vie quotidienne.


Seigneur, prend pitié de nous, et regarde l’abnégation de Lirok, qui, en devenant curé, veut se rapprocher de toi.
Qu’elle tende à ressembler aux justes, aux brebis, à ces bénis qui feront le bien et gagneront ainsi le royaume des Cieux.
Et toi, Lirok, rappelle toi du sacrifice que Christos fit pour nous sauver, essaie de t’en monter digne et de vivre maintenant à l’image de Christos. Sers les humbles, nourris et aime ton prochain, car c’est le Très Haut que tu aidera et que tu aimera.
Ton sacerdoce ressemblera beaucoup à celui de quelqu’un qui honore le Très Haut en honorant les Hommes.

Seigneur, bénis Lirok, et inspire la pour ses vœux.

Lirok, relève toi, pose toi sur les genoux et prononce tes vœux.
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Lirok
Après avoir écouté Monseigneur Gragblod, Lirok se plaça devant l'autel et prononça ses voeux.

Je promets de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Église Aristotélicienne.

Je veux consacrer ma vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote et je promets de vivre en communion avec mes frères et soeurs dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie.

Je promets de respecter de tout mon coeur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne.

Je promets de partager de tout coeur, de toute mon âme les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche. Je promets de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices.

Je promets de ne pas porter d’arme de combat à l’exception des armes d’apparat liée à la noblesse ou au coutumier.
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Galahadd
Au fond de l'autel, Mgr Galahadd réfléchissait. Sur son visage coulait des larmes de joie. Que ressentir dans ces moments là!!. Sa vie terrestre, il l'avait dévoué au Créateur, il avait diffusé et partagé sa foy. Maintenant il était sur que quand le Très Haut le rappellera vers lui la religion aristotélicienne continuera car des hommes et des femmes lui succéderons, ceci pour des siècles et des siècles.
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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Gragblod
Puis, Gragblod, levant ses bras, s'adressa à Soeur Lirok :

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, promets-tu de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Église Aristotélicienne ?

Oui.

Que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut ! Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, veux-tu consacrer ta vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote ? Promets-tu de vivre en communion avec tes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie ?

Oui.

Que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut ! Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, promets-tu de respecter de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ? Promets-tu d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie ?

Oui.

Que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut ! Face à l'eau symbole de pureté, promets-tu de partager de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche ? Promets-tu de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices ?

Oui.

Que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut ! Béni ton serviteur, Ô Très-Haut et octroi lui ta protection et ta faveur.

[Il faut maintenant réciter le crédo...à toi !!!]
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Lirok
Lirok récita le Credo. C'était quelque chose qu'elle connaissait par coeur depuis le temps qu'elle le récite.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Lirok attendit la suite de la cérémonie.
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Gragblod
Monseigneur Gragblod de Rochebelle apposa ses mains sur la tête de Soeur Lirok.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même en toi ce les autres éléments ont débutés. Frères, avec tous les saints qui intercèdent pour nous, confions à la miséricorde de Dieu celle qu'il a choisi comme prêtre.
Par l'imposition de mes mains et l'Ether aristotélicien, reçoit les pouvoirs de ton ministère et guide les fidèles aristotéliciens par l'exemple de Christos et d'Aristote afin de les aider à accéder au Paradis solaire.
Relève-toi, prêtre de la Sainte Église Aristotélicienne et présente-toi à tes nouvelles ouailles.

[Fait maintenant ton premier sermon en tant que prêtre]
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Lirok
Lirok se releva en tant que nouvelle prêtre de l'Eglise Aristotélicienne et prit la parole pour faire son premier sermon dans sa nouvelle fonction de prêtre. Lirok passa derrière l'autel, prit une feuille de papier où elle avait écrit le passage qu'ell voulait lire aux personnes présentes pour son premier sermon. Elle prit une grande respiration et elle commença à lire son passage qu'elle avait choisit:

Je vais vous lire un passage du livre des vertus. Tome 1. Création : l’amour.


Citation:
“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Après avoir lu, elle rangea sa feuille, regardea quelques instants les personnes présentes avant de reprendre la parole pour commenter ce passage.


Aujourd'hui j'ai voulu vous présenter ce passage du livre des Vertus car je que ce qu'il nous présente est une des chose les plus importante dans notre vie : l'Amour de Dieu et de son prochain.
Nous sommes arrivés ici, nous sommes nés par l’amour du Tout Puissant. Notre vie est issue de ce don du créateur. Depuis notre enfance, il veille sur nous. Il nous regarde grandir en silence. Regardez le comportement de parent envers leurs enfants. C’est le même ! De la compassion à chaque instant. Lorsque que nous décidons de dire : Dieu je t’aime car tu as veillé sur moi durant tant d’année, et je t’aimerai car tu seras continuellement auprès de moi, c’est que nous avons décidés de rejoindre et de reconnaître la communauté des enfants de dieu que nous sommes. L’église est la maison de l’amour et de la tolérance. Nous devons chaque jours pensaient à nos frères et les aimer mais comment ? Aimer c’est partagé. Partageons ceux qui est illusoire, comme l’argent. Un ou deux écus pour aider un pauvre serait une belle preuve d’amour. Aimer c’est aussi accepté. Nous sommes à l’image de Dieu. C’est lui qui nous a fait, donc ne critiquons pas son ouvrage.
Faites attention, si un jour nous perdons ces valeurs, son amour, ce jour là ce sera un retour à la bestialité, à la haine. A une vie d’athée, ignorant, seul et perdu sur un chemin sans lumière.
Pour éviter cette déchéance nous devons dire oui à notre seigneur. Nous devons rentrer dans sa lumière, en se faisant baptiser et en venant à l’église régulièrement. Et surtout en rependant les valeurs d’amour et de partage qu’il nous enseigne. Car n'oubliez pas que l'amour et la seule richesse qui ne peut nous être volée, elle est en nous et pour toujours.


Lirok sourit à l'assemblée. Elle retourna s'asseoir pour laisser la place à l'évêque afin de continuer son ordination.
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Bibiche75
Toujours très attentive à la cérémonie qui se déroulait sous ses yeux, Bibiche récita le credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Elle écouta Lirok qui faisait la lecture du livre des vertus.
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Gragblod
Seigneur, accepte Soeur Lirok comme Prêtre de Nîmes et aide la dans son ministère. Au nom d'Aristote et de Christos, Amen.

Mes frères, mes sœurs, nous avons dans notre communauté un nouveau guide. Accueillons la et aimons la.
Maintenant, prions ensemble :

    Pater noster, qui es in caelis:
    sanctificétur nomen tuum;
    advéniat regnum tuum;
    fiat volúntas tua, sicut in caelo, et in terra
    Panem nostrum cotidiánum da nobis hodie;
    et dimítte nobis débita nostra, sicut et nos dimíttimus debitóribus nostris;
    et ne nos indúcas in tentatiónem; sed líbera nos a malo.
    Amen.


Il est grand, le mystère de la foi.
Allez dans l'amitié aristotélicienne


Les fidèles commencèrent à sortir de la Cathédrale, heureux qu’ils étaient après avoir félicité leur nouveau curé.

Bientôt l'église se vida et Gragblod restait sur le parvis pour rester à l'écoute de chacun.
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Lirok
Lirok remercia Monseigneur Gragblod et ses amis venu l'entourer pour ce jour spécial. Elle resta un moment sur le parvis à discuter.
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Bibiche75
Pater noster, qui es in caelis:
sanctificétur nomen tuum;
advéniat regnum tuum;
fiat volúntas tua, sicut in caelo, et in terra
Panem nostrum cotidiánum da nobis hodie;
et dimítte nobis débita nostra, sicut et nos dimíttimus debitóribus nostris;
et ne nos indúcas in tentatiónem; sed líbera nos a malo.
Amen

La cérémonie d'intronisation de Lirok se terminait. Chaque fidèle se levait et sortait de la cathédrale.
Bibiche suivait le mouvement en faisant la queue pour féliciter son amie et remercier l'officiant, une fois arrivée sur le parvis.
Elle le salua chaleureusement en lui serrant la main.

Merci pour ce service, Monseigneur Gragblod. J'en ai profité pour prier pour le repos de l'âme de mon ami Korrigans qui est parti rejoindre le Très-Haut..

La jeune major se tourna ensuite vers le nouveau curé de Nîmes et la bisouilla avec un grand sourire.

Félicitations Lirok! Nîmes a gagné une personne de valeur en t'ayant comme Curée.Dommage que Korri ne soit pas là, il aurait été très heureux pour toi aussi...

Bibiche prit congés d'eux et repartit en direction de la caserne, laissant la place aux autres personnes.
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Arthurcano
La cérémonie finissant, Arthur alla saluer Monseigneur Gragblod qu'il félicita pour cette organisation et se tournant vers soeur Lirok devenu ce jour mère...

Mère Lirok,
par ces quelques mots, je tiens à te féliciter pour cette foy que tu possèdes et cette envie que tu as de servir le très haut.
En ce jour je tenais à te faire donner en cadeau un exemplaire assez ancien du livre des vertus.

Il lui tendit alors le dit livre...


Puis, après avoir saluer soeur Bibiche vint à passer le bonjour à Monseigneur Galahadd son mentor de toujours...
Monseigneur et frère, voilà bien nouveau jour de joie pour notre sainte église que d'accueillir en son sein nouveau curé.
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Lirok
Lirok discutait avec Bibiche et Arthur.

Merci beaucoup à tous les deux. En effet dommage que Korrigans nous ait quitté si vite et si tôt. Mais il reste dans nos coeurs malgré tout.

Se tourna vers Arthur, Lirok accepta le livre qu'il lui tendait.

Merci, merci beaucoup dit elle avec une certaine émotion.

Lirok alla remercier également Monseigneur Galahadd et et bien sur Monseigneur Gragblod.
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--Celeste1




Céleste arriva quelques jours plus tard et placarda une affiche officialisant la cérémonie.

Citation:


NOMINATION DU CURE DE NÎMES


Nous, Monseigneur Gragblod de Rochebelle, Vicaire Général de la province de Narbonne, Évêque du diocèse de Nîmes, par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Innocentius Octavius,

Nommons Mère Lirok au poste de Curé de la ville de Nîmes suite à son ordination faite en la cathédrale de Nîmes et présidée par nos soins.
Cette nomination ne change en rien la réalité de ses fonctions puisque Mère Lirok occupait précédemment la charge de sacristine de la ville de Nîmes.

Souhaitons à Mère Lirok, toute la ténacité et le courage qu'il sied à cette charge aussi honorable qu'éprouvante.

Salutations aristotéliciennes,

Gloria et pace,

Fait en l'archevêché de Narbonne,
ce troisième jour du mois de décembre mil quatre cent cinquante neuf.

Monseigneur Gragblod de Rochebelle





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