Feuilllle
Le jour se levait, une pâle journée luisante de feuilles rousses et mouillées posées sur le sol : novembre chassait définitivement lété, et la terre entamait le lent processus de régénération de ses forces végétales en transformant en humus fertile tout ce qui devait lêtre.
Repos et ressourcement
Feuilllle se tenait dans la première salle (elle que lon nommerait sans doute ultérieurement « accueil »,) fraichement nettoyée du nouvel Hostel-Dieu, souriante : elle attendait son évêque Monseigneur Yut, heureuse davoir mené à bien la surveillance de ce grand chantier quest la création dun Hospital de la Charité. Monseigneur était passé régulièrement sur les lieux, lui ayant confié cette lourde responsabilité ; elle avait à lépoque accepté difficilement, mais à présent que le travail était terminé, une saine tranquillité reposait son esprit.
Sans doute bénirait-il lédifice
Les grands bâtiments sélevaient au cur du Diocèse du Mans, frôlant l'Huisne, (ce qui faciliterait la tâche des lavandières, des jardiniers et des gens décuries) cernés par la chapelle et son petit espace dédié au cimetière, le moulin, et les jardins déjà bien développés. Elle avait eu raison de faire préserver quelques magnifiques arbres qui ombrageraient agréablement lété les pèlerins, orphelins, miséreux et convalescents
Les Maitres duvre étaient repartis depuis plus dun mois, ainsi que tous les compagnons bâtisseurs divers architectes, charpentiers, maçons, serruriers, tailleurs de pierre, ébénistes, sculpteurs, peintres, vitriers, forgerons, fondeurs et forgerons, jardiniers, etc
Tout devenait calme.
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Déjà le Clergé investissait les lieux ; lAristotélisme, dont le patrimoine ecclésiastique sétendait régulièrement, rappelait à tous sa présence et la puissance de la Foy dans toutes les villes du Royaume.
Fondé par l'Église, le Dispensaire Sainte Hildegarde serait évidemment administré par lévêque du Mans. Il était à présent solidement bâti et sintégrait au paysage harmonieusement : Manceaux et Mancelles détaillaient avec bienveillance et fierté, au hasard de leur pas, le grand édifice religieux.
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Vieillards et enfants abandonnés, malades et infirmes trouveraient ici compassion et soins qualifiés. Le voyageurs pourraient sy reposer, les érudits y étudier et apprendre.
A tous, lasile temporaire ou à long terme démontrait sil en était encore besoin que la Charité Aristotélicienne offrait ici la concrétisation spirituelle et cléricale de la notion de charité et daltruisme.
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Repos et ressourcement
Feuilllle se tenait dans la première salle (elle que lon nommerait sans doute ultérieurement « accueil »,) fraichement nettoyée du nouvel Hostel-Dieu, souriante : elle attendait son évêque Monseigneur Yut, heureuse davoir mené à bien la surveillance de ce grand chantier quest la création dun Hospital de la Charité. Monseigneur était passé régulièrement sur les lieux, lui ayant confié cette lourde responsabilité ; elle avait à lépoque accepté difficilement, mais à présent que le travail était terminé, une saine tranquillité reposait son esprit.
Sans doute bénirait-il lédifice
Les grands bâtiments sélevaient au cur du Diocèse du Mans, frôlant l'Huisne, (ce qui faciliterait la tâche des lavandières, des jardiniers et des gens décuries) cernés par la chapelle et son petit espace dédié au cimetière, le moulin, et les jardins déjà bien développés. Elle avait eu raison de faire préserver quelques magnifiques arbres qui ombrageraient agréablement lété les pèlerins, orphelins, miséreux et convalescents
Les Maitres duvre étaient repartis depuis plus dun mois, ainsi que tous les compagnons bâtisseurs divers architectes, charpentiers, maçons, serruriers, tailleurs de pierre, ébénistes, sculpteurs, peintres, vitriers, forgerons, fondeurs et forgerons, jardiniers, etc
Tout devenait calme.
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Déjà le Clergé investissait les lieux ; lAristotélisme, dont le patrimoine ecclésiastique sétendait régulièrement, rappelait à tous sa présence et la puissance de la Foy dans toutes les villes du Royaume.
Fondé par l'Église, le Dispensaire Sainte Hildegarde serait évidemment administré par lévêque du Mans. Il était à présent solidement bâti et sintégrait au paysage harmonieusement : Manceaux et Mancelles détaillaient avec bienveillance et fierté, au hasard de leur pas, le grand édifice religieux.
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Vieillards et enfants abandonnés, malades et infirmes trouveraient ici compassion et soins qualifiés. Le voyageurs pourraient sy reposer, les érudits y étudier et apprendre.
A tous, lasile temporaire ou à long terme démontrait sil en était encore besoin que la Charité Aristotélicienne offrait ici la concrétisation spirituelle et cléricale de la notion de charité et daltruisme.
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