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[RP] "Les Automnales mainoises"

Regglys
Regglys qui avait entendu parler de ce concours de miss décida d'aller y faire un tour.
Il était intrigué par ces concours où les gens se plaisaient a s’exhiber devant les spectateurs. Il était quant à lui assez introverti

Il vit Eva qu'il n'avait jamais vue mais à qui il avait souvent écrit pour avoir les LP.
ne connaissant personne, il s'assit a un peu plus de 5 mètres de la scène pour avoir une vue d'ensemble. Ni trop loin, ni trop prêt.

De loin, il vit esquimote près d'un homme masquillé ^^ il lui fit un signe bonjour
Il vit passer des confections certes de haute coutures lais un peu sans intérêt a don idée, car il pensait que le but de ce genre de concours était de montrer ses talents, pas sa bourse, des robes apparemment faites par des tisserands, et d'autres confectionnées main.
Certaines robes a manger aurait-on pu penser, car, pleines de raisin. D'autres dont il aurait plutôt fallu se méfier. Telle celle de Pélipa avec son chapeau amanite.

Il passa une bonne journée dans l'ensemble. Puis, la soif se fit sentir. Il retourna donc en taverne se disant qu'il reviendrait pour la seconde épreuve.
--Kaivina
'tendez 'tendez les filles ...

Légèrement en retard ... c'est qu'il faut bien s'occuper des soldats hein ...Kévina se pressa à l'arrière de la scène.

La blonde piquante avait suivit sa coupine dans les vestiaires. Se mettant à l'écart dans un coin, elle se changea rapidement.

Hop hop, on retire tout et là voilà presque habillée ...
On se recoiffe, on réajuste sa gorge et une touche de peinture ..
Enfin de maquillage ... La touche d'automne finale et voila le travail !



Où comment faire un jolie costume avec peu de tissus. La dandineuse dandinante se dandina donc dans un roulement ... de postérieur, gauche droite gauche droite, et la voici sur l'estrade aux cotés des charmantes damoiselles.

Saluut toa ! moua moua !

Aloreuu ... dans une collection tout meutch automne-automnale j'vous présenteu ce ma-gni-fi-queu une pièce fait en feuillage véritable, tombé de l'arbre.

J'vous rassure les loulous, aucun arbre n'a été maltraité hein!

Non Non Non, j'suis très pour l'étlétishme moaa... pis j'en ai fait quand j'étais jeune pucelleu... j'en ai perdu ma fleure alors vous pensez bien couper une feuille de son tronc .. A mon Aristote, non de non !

J'y ai ajouté une touche de rose pâle fushia praline de paris car c'est une couleur ex-qui-seu! Trouvez pas? Roo fate pas les timides voyons .. v'nez me titiller la feuille !


Léger sourire en coin, petit clin d'œil de mise et glissage de main volontaire le long de ses hanches généreuses.
Mokoton
Bonjour
A partir d'aujourd'hui et pour quatre jours maximum se déroule la seconde épreuve, le discours.
N'oubliez pas qu'ensuite c'est la démonstration d'un de vos talents, préparez vous bien vous n'aurez droit qu'a un passage.
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La grandeur des actions humaines se mesure à l'inspiration qui les a fait naitre.
Eva51
Alors que la brune allait prendre la suite d'Inna pour la seconde épreuve, une rousse, qu'elle avait déjà croisée en taverne avec son acolyte blonde, fit son défilé... suivit justement de près par la blonde en question... Elle attendit donc un instant en les observant, en tentant de rester un maximum concentrée sur son discours, essayant de ne pas rire...

Vint son tour... Plusieurs jours qu'elle essayait de préparer cette fameuse épreuve, rien y avait fait, elle en était restée à la première phrase: "Bonjour" -c'est même pas une phrase en fait ça... Elle n'était pas douée pour les discours, son passage précédent en témoignait... Mais il fallait qu'elle le fasse... Tant pis, improvisation n°2....

Elle monta donc sur l'estrade, regarda le public... Profonde inspiration, elle se lança...


"Comme vous avez pu le constater lors de mon passage précédent, les discours, ce n'est pas du tout mon truc. Je vais donc déroger à la rêgle, et vous raconter une histoire...

Il était une fois...

Une jeune bretonne... qui se sentait mal là où elle vivait... Certains tentèrent de l'aider grâce l'enseignement militaire, enseignement qui lui est toujours utile à l'heure actuelle, mais bien d'autres passaient leur temps à lui cracher dessus... Elle rencontra alors une lavaloise, et elle décida de partir avec elle... Elle se retrouva donc un beau matin à Laval... Cette amie lui répétait sans cesse: "Lavaloise un jour, lavaloise toujours."... La jeune bretonne fut prise d'un coup de cœur pour cette ville, ses habitants, un certain soldat... Elle mit en vente son champ, qui fut vendu très rapidement. Biens récupérés, elle tourna définitivement le dos à la Bretagne où elle était née, mais qui l'avait rejetée...

Devenue mainoise depuis ce jour, la jeune femme se fit rapidement une place, un nom, un caractère... Depuis ce jour, elle donna tout pour ce Comté qui l'avait adoptée, pour lequel elle était prête à mourir... Un an plus tard, elle devint mayennaise... Une fois tentée de quittée le Maine, elle se ravisa bien vite, tant elle aimait ce Comté qui lui avait donné sa chance, comme-ci elle y était née... Elle était fière d'être mainoise, être mainoise représentait tout pour elle, et elle y resterait jusqu'à sa mort... D'autant plus que l'homme qu'elle aimait y vivait également, et que rien ni personne ne pouvait les séparer..."


Un sourire à l'assistance, cherchant du regard l'homme en question... puis ajouta avant de retourner auprès des autres compétitrices:

"Il n'y a pas de fin à cette histoire... car cette histoire, c'est la mienne... Je suis et resterais mainoise, et fière de l'être..."
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Esquimote
Les damoiselles et jouvencelles défilaient. Son regard de tisserande appréciait les efforts de création et d’imagination. Retenant un four rire en voyant déboulé son p’tit moussaillon poussée par sa gouvernante énergique. Elle ne l’aurait pas imaginée en rose, mais il fallait avouer qu’elle était craquante.

Alors que Mokoton annonçait la fin des défilés des costumes, c’est une Maélia tout en citrouille qui défila prestement. Héhéhé la voici déjà prête à aller danser !!!

Après les défilés de costumes, était venu le moment pour chacune des participantes de discourir.

La première damoiselle fit un petit discours quand une des deux grandes folles arriva pour défiler à son tour. Retenant un fou rire elle trouva qu’elle ressemblait plutôt à un papillon qu’une fée… mais bon !!

Un petit signe de la main à regglyss venu faire un tour.


Le doublon de la fofolle n’était guère loin et fit son entrée juste derrière.
--Kaivina a écrit:
'tendez 'tendez les filles ...
Non Non Non, j'suis très pour l'étlétishme moaa... pis j'en ai fait quand j'étais jeune pucelleu...
Mokoton
Mokoton souria a la vue des deux dernières candidates car comme d'habitude elles se firent assez remarquées.

En retard...comme on dit vaut mieux tard que jamais mesdames, cousu main?Bravo a vous!

Répondant a dame Esquimote
Pas de robert à mon actif, j'ai eu droit a Mok, Moko, Mokoko, ou ma préféré "de qui se Mok ton?

Puis il écouta les prétendantes à la couronne discourirs, Innalya fut la première, sa ponctualité était remarquable.
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La grandeur des actions humaines se mesure à l'inspiration qui les a fait naitre.
Pelipa
Pélipa s'avanca à son tour. Discourir ^^ Hmm pas son fort.

Etre mainoise, je le suis d'adoption.
Née en Gascogne, j'ai voyagé et je suis arrivée sur cette terre, le Maine.
Je m'y suis tout de suite sentie bien. J'en suis tombé amoureuse.

Le Maine est fait d'hommes et de femmes qui ont du coeur et de la ténacité.

J'y ai recontré des gens chaleureux, adorables, qui aiment s'amuser, rire.
Je m'y suis fait des amis fidèles, sincères et réels, des confidents.
Des gens qui savent se serrer les coudes pour avancer.
Nous nous soutenons ensemble en un bloc solide et dur.

Je m'y sens chez moi et je pense que c'est réellement le meilleur duché.

Etre mainoise c'est respecter et aimer autrui.
C'est avoir le coeur sur la main.

C'est avec beaucoup d'amour que je parle du Maine, car je ne me vois pas vivre ailleurs. Mon idéal y est.


Pélipa sourit et reprit sa place
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Nicolette.
[Juste après le tour précède]

Hiiiiiiiiiiii !
C’est la gamine qui se précipite vers le deux copines infernales si tôt rentré en coulisse.
« Mes Dames, z’êtes trop trop belle ! » Elle n’a pas les yeux en face des trous quoi.
« Surtout vous. » précise-t-elle bien aimablement en tendant le doigt vers Kaivina. Faut dire qu’un détail de sa présentation lui a directement tapé dans l’œil : le rose pâle fuchsia praline de paris.
De la gamine mirant l’ex-qui-seu. C’est vrai que c’est à la mode à Paris ? Ça se trouve ou ? Ça coute combien elle en veut !!!! On l’aura deviné à sn chiffon griffé Karl Lagafette, la gamine est déjà fâche-Heune-Victime, lourde pathologie qui frappe la jeunesse noble d’aujourd’hui. Pauvre gosse…


[Plus tard, après avoir collé les deux dernières candidates pendant un long moment pour avoir l’adresse de leur tisserand]

Le temps des discourt arrivait et la gamine eut besoin de fourre le sien dans sa poche pur e rassurer avant de grimper sur la scène. Se planta en son milieu elle inspira deux fois bien profondément avant de prendre la parole.

Bonjour, je m’appelle Nicolette Marie et je suis Mainoise. Je suis née sur ces terres où ma maman a été la comtesse.

Alors le Maine, c’est moi.

Le Maine c’est vous !
Cette terre qui nous a tous portée, qui nous a vues naitre et à qui notre corps retournera un jour.

Le Maine c’est moi, c’est vous là-bas, c’est nous !
Nous qui sommes Mainois dans nos chairs. Son essence coule dans nos veines comme la Sarthe ou la Mayenne coulent sur nos terres.

Le Maine c’est notre mère a tous qui nous protège et nous enlace de ses grande prairies familières ou il fait bon respirer quand ça mal.
Le Maine c’est notre père, de par ses forets qui nous nourrissent et nous font travailler dure.

Mais le Maine c’est aussi cette terre de cœur qui a fait sienne des gens biens comme Eva ou Pilipa. Des gens de tous horizons séduits et adoptés par cet terre. Des gens qui sont ici chez eux.
Le Maine c’est sa cathédrale, ses paysages plats comme ses valons, ses villes typiques bien à nous, ses merveilles architecturales ; tout ce patrimoine qui rayonne et séduit à travers les frontières.

Etre Mainoise c’est une fierté, des devoirs, un privilège

Oh et en plus dans le Maine, on fait de très bonne pâtes de fruits !

Merci


Petite révérence de la gamine et pousse un soupire de soulagement, pas de bafouillage avant d'aller se placer un peu plus loin pour écouter les discourts à suivre
Karyaan
Elle était présente malgré le travail, malgré tout ce qu'il y avait à faire.
Elle était présente et avait assisté à chacun des défilés.
Ébahie par certaines robes, attendrie par d'autres, essayant de ne pas rire à certaines où elle commençait à savoir qui pouvait se cacher dessous. Ce n'est pas qu'elle commence à connaitre le corps de son homme par cœur, mais pas loin. Et la fée papillon qui se dandine, a des courbes qui lui rappellent étrangement celles qu'elle arpente chaque nuit.

Et puis viennent les discours, et plus ils s'enchainaient et plus son cœur d'étrangère qui était devenue mainoise se resserra.
Ses yeux de brume rivés sur Pelipa, elle ne la connaissait pas, ou peu, croisée sans doute, lors des semaines citadines.


Nous nous soutenons ensemble en un bloc solide et dur.

Le choix de ses mots la fit sourire. Voulu ? Coïncidence ? Peu importe.
Ils avaient l'impact des choses vraies et puissantes.
Tout comme Esquimote, elle se gardera bien de faire le moindre commentaire pour ne rien influencer.


Mon idéal y est.

A ces mots, la Comtesse ne put que sourire de nouveau, boostée à bloc par tous ces discours si fervents de ce Comté qu'elle aime tout autant qu'eux. Elle se répéta cette phrase dans sa tête.
Mon idéal y est... Mon idéal... Mon... essentiel...
Et un visage s'imposa à elle, un regard et un sourire.

Elle fut sortie de sa rêverie par la petite chose tout de rose vêtue qui se planta sur l'estrade.
Penchant la tête de coté, sourire attendrie aux coins des lèvres. Elle s'attendait à ce que l'enfant prenne un bout de parchemin et le lise. Elle s'attendait à du cafouillage. A ce qu'elle cherche ses mots.
Mais...
Mais c'est un petit brin de femme, bien campé dans ses idées et ses certitudes qui clama un discours qui lui vrilla les tripes. Non pour les mots, sensiblement les même que ceux des autres, mais parce qu'ils étaient dit par la jeunesse et la fougue de cette génération qui un jour, reprendra les rênes.
Et par tous les Dieux qu'elle vénère... c'est dans les yeux de cette petite qu'elle voit l'espoir et la raison pour laquelle, elle et tous ceux qui travaillent pour le Maine, peu importe son bord politique, se donnent à font, corps et âme.

Et les mots d'Innalya prirent tout leur sens aux yeux de la Comtesse.


si l'on me l'enlève c'est comme ci l'on me retirait mon coeur, mon souffle pour vivre.

Et comme le dit si bien Eva...

Il n'y a pas de fin à cette histoire... car cette histoire, c'est la mienne... Je suis et resterais mainoise, et fière de l'être...

Non, il n'y a pas de fin. Cette historie c'est la notre. Fiers et Mainois.
Dieu qu'elle les aime ces fous là.

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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
--Peauceliere.de.grison
Il est des gens de qui l'esprit guindé, sous un front jamais déridé, ne souffre, n'approuve et n'estime que le pompeux et le sublime.

Elle avait quitté sa peau de bête pour revêtir sa robe de vendange et se sentait bien différente et bien gaie.

Les discours de ces dames et damoiselles l’as laissèrent pantoise.

Qu’allait-elle bien dire, elle ne connaissait pas les belles tournures de phrases et d’entendre cette jouvencelle, voici que maintenant elle hésitait à remonter sur l’estrade.

Poussée par une main invisible, elle se retrouva bien malgré elle face à la foule. Là plus le choix, fallait parler..

Hmm, je..

Qu'il était impressionnant de voir autant de regard fixé sur sa personne.

Allez allez un p'tit effort lui souffla une petite voix

Moi, je ne suis qu’une malheureuse souillon.
Je ne sais pas mon nom mais tout le monde me nomme Peaucelière de grison à cause de la peau de bête dont je me vêt habituellement.

Depuis que je suis dans le Comté du Maine, je vis dans une petite cabane dans la forêt et j’ai toujours eu de quoi pourvoir à ma subsistance.

Je me lève dès le matin et me m’en vais m’embaucher dans les fermes où

je lave des torchons et nettoie l'auge aux Cochons. En retour l'un me donne un bout de pain, l'autre un morceau de fromage et quelques fois par hasard, un petit morceau de lard

Je me moque bien du mercier et de toutes ses cassettes.
Je n'use point de papier et J'ai pour peigne mes dix doigts.
La mayenne et le lac pour mes abblutions. Le verger et la forêt pourvoient à ma faim.

Ma vie de pauvresse me satisfait dans le Maine. Je sais qu’en cas de besoin je trouverai toujours une bonne âme à Laval.

J’ai bien essayé d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte… mais.. j’en suis revenue.

Je suis née dans le Maine, et.. j’y décéderais.

Pour finir je ne pourrais que vous crier


Mainoise un jour, Maisoise toujoursssssssssssssssssss !!!

Sentant les rougeurs lui monter aux joues, elle rejoignit prestement les autres damoiselles.
Mokoton
Mokoton écoutant les prétendantes faire leur discours ne put retenir sa joie et son enthousiasme...

C'est très bien mesdames, c'est meme génial voir émouvant!Quand on entend ce genre de choses on peut etre fier d'etre Mainois, un vrai!

Se penchant vers Esquimote en chuchotant:
Vous avez déjà une préférence?Ca va etre dur pour les habitants de choisir non?
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La grandeur des actions humaines se mesure à l'inspiration qui les a fait naitre.
Cebenna


Vint son tour.Pour prendre la parole Cebenna n'était pas la plus forte, aussi la deuxième épreuve restait un moment difficile pour elle.Sur l'estrade elle resta quelques minutes silencieuse puis en désespoir de cause haussa les épaules.

Etre Mainoise .. vous demandez ce que cela signifie pour chacune d'entre nous. Pour ma part je dirais que c'est la diversité qui fait notre beauté. Nous avons des Mainoises de coeur, de sang mais portant toujours avec le sourire nos couleurs.
Etre Mainoise c'est être comme toutes ces belles jeunes femmes que vous venez de voir. Ce n'est pas quelque chose de simple et que l'on peut identifier , peser, quantifier c'est bien au delà de tous ces mots.
Je suis née ici et la seule chose qui fit mon éducation c'est l'observation que je peux avoir des gens une fois que je sors de la mine.

Etre Mainoise c'est que souillon, bourgeoises ou nobles on n'en reste pas moins des femmes exceptionnelles.


Et voila Cebenna qui s'incline le rouge au joue et qui laisse la place aux autres.

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Esquimote
Tendant l'oreille vers Mokoton alors que la dernière participante discourait, elle s'approcha à son tour de son oreille.

Effectivement j'ai apprécié leur imagination à créer leur costumes tout aussi diverses que variés, elles sont toutes aussi charmantes les unes que les autres !!

Un sourire à Cebenna qui le rouge aux joues s'inclinait, et oui chaque personnes de part sa condition était un don d'Aristote.

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By esquimote at 2009-11-26
Maelia...


Elle courrait encore partout avec son déguisement, estrade, conseil, château, retour sur la place, estrade à nouveau le champ était libre.

Elle replaça sa perruque puis s'avança de nouveau

Pour moi être Mainoise c'est courir tous les jours pour faire avancer le Comté, faire en sorte qu'on manque de rien


Reprend son souffle en riant puis sérieusement continue

Pour moi être Mainoise c'est être au service de gens qui mérite mon aide
Pour moi être Mainoise c'est travaillé en harmonie pour que tout le monde en tire son compte.
J'suis arrivée à Mayenne, je ne devais pas rester.
On m'a demandé de rester et depuis je suis au service du Maine.
Pour moi être Mainoise c'est la fierté, la justice et l'honneur


Elle s'incline puis commence à repartir dans les loges mais juste avant de s'éclipser se retourne et crie en levant le poing gauche vers le ciel

Mainoise un jour, mainoise toujours !!!



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Innalya
Innalya écoute et attendit les dernières candidates avec impatience, elle avait trouvé les textes des candidates formidable pour elle le mans lui tiens vraiment à coeur et d'entendre toutes ses belles phrases lui mis les larmes aux yeux... Innalya attend avec impatience la dernière épreuve.
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