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[rp] dispensaire Saint-Ptôme

William_wallace_ecos
Will avait entendu l'appel de Léana, il s'arrêta , et retourna a son chevet, il lui pris la main.

Oh douce Léana , je m'en veux de tes blessures, pour la douleur que j'inflige a Dame valéria, mais sache que je ne l'ai jamais voulu.

Je ne désire qu'une belle vie pour toi et moi rien d'autre.
Te voir la a cause de moi me torture , tu sais que je dois retournez combattre , pour le bien de tous mais sache que comme tu la fait pour moi jadis , je suis la .

Que l'amour que j'ai pour toi veille sur toi afin qu'il te permette de te rétablir, je ne tomberai que lorsque j'aurai refouler l'ennemis et celui qui ta pris par surprise.
Chaque coup que je porterai sera fait pour toi !


William , lui déposa un baiser sur le front et repartis vers les remparts tous en saluant ses amis qui était hélas aussi ici.
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Leana.
Elle écouta chacun de ses mots et puis sourit amusée... oui amusée car après tout elle n'était vraiment pas faite pour rester sagement en place et si elle avait répondu à son appel sans hésiter c'était pour deux raisons : lui et parce qu'elle s'ennuyait fortement !

Ne t'en veux pas Will, je suis venue en sachant ce qui pouvait se passer et puis ce n'est pas si grave pour moi. Dans quelques jours je serais de nouveau au combat ! Donc laissez m'en un peu !

Un regard sur les autres blessés, pour certains bien plus gravement qu'elle. Un pincement au coeur lui rappela cette campagne de provence... Elle soupira et tenta de se mettre debout doucement. Elle n'allait pas laisser les infirmières avec tout ce monde à soigner. Elle pourrait surement apporter son aide. D'autant qu'elle reconnu Anna sur un lit.... La pauvre semblait couverte de sang et Léana décidé de se porter à son chevet pour l'aider et la soutenir. Ben oui, elle ne tient pas en place.... Elle dépose un tendre baiser sur la joue de Will :
Sois prudent. Je ne t'ai pas retrouvé pour te perdre hein ?... Je t'aime, souffle-t-elle dans un murmure.
Leanore


Léanore avait eu quelques difficultés pour rejoindre Orléans. Elle se doutait bien qu'il y avait de nombreux blessés et s'en voulait de ne pas avoir été à leurs côtés pour combattre et maintenant d'être à son poste pour les soigner.

Avec quelques amis, ils avaient formé une lance pour rejoindre une armée à GIen et maintenant elle était dans les murs de la capitale.

Son premier réflexe fut de se rendre au dispensaire pour évaluer le travail qui l'attendait.

Ils étaient là, nombreux, plus ou moins blessés, plus ou moins connus pour elle . Mais ils avaient tous un point commun, ils auraient donné leur vie pour délivrer Orléans.

Elle reconnut le gouverneur, Anna, VAl qui était penchée sur le chevet d'une jeune fille.

Léanore ne prit pas la peine d'enfiler un tablier et se dépêcha de s'enquérir de l'état de chacun afin de commencer par le plus grave.

"Bonjour, je suis le médicastre, j'ai fait aussi vite que j'ai pu... POuvez vous m'indiquer les blessés les plus graves s'il vous plait"

Elle avait mis sur un plateau, bandage, potions, onguents et même instruments pour les amputations si cela s'avérerait nécessaire.

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Mamolu


Georgio et Marie venaient d'arriver à Orléans dans la nuit .

Sachant que leur amie Anna était grièvement blessée, ils se précipitèrent au chevet de cette dernière!!

Léa était arrivée depuis belle lurette et s'activait parmi les victimes afin de donner les premiers soins.

Des yeux ils cherchèrent où se trouvait Anna! la voyant ils s'avancèrent vers elle sans bruit, les larmes leurs montèrent aux yeux quand ils virent la pâleur de son visage et entendirent le râle qui s'échappait de ses lèvres.

Marie se tournât vers Léa , en la suppliant du regard afin qu'elle intervienne au plus vite auprès d' Anna.

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Leanore


Tous les proches des blessés la hélaient, voulaient qu'elle s'occupe de l'être aimé ou chéri en priorité.
Marie et Georgio arrivèrent aussi pour soutenir Anna dans son épreuve. Léanore leur sourit confiante.
Elle avait eu le temps d'examiner les blessés et ils s'en sortiraient aussi rassura t elle les personnes qui tremblaient pour leur blessés

"Ne vous inquiétez pas DAme Valéria, votre fille est vaillante, jeune, elle s'en sortira... Courage"

Puis à l'adresse de Marie

Je pense qu' Anna survivra Marie.

Elle passa la matinée à cautériser, recoudre, panser. L'état d'inconscience des blessés lui permit de ne pas devoir utiliser l'éponge soporifique.

Pour les soins elle devrait avoir recours aux personnes valides présentes. Elle tendit dont à Val une potion à faire boire à sa fille. Puis à Marie elle lui demanda de l'aider à oindre la plaie de miel puis à panser avec la toile de lin.

Elle remercia Aristote de ne pas devoir amputer quelqu'un car elle savait que c'était une opération délicate, souvent mortelle.

Il ne restait plus qu'à attendre à présent, changer les pansements régulièrement, donner des remèdes contre les fièvres et les douleurs, surveiller que les plaies ne suppurent pas.

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Mamolu


Marie prit le pot de miel que Léa lui tendait elle trempât le bout de ses doigts dedans et oint délicatement la plaie d' Anna en lui souriant , puis elle enveloppât le torse d'Anna avec la toile de lin.

Elle allât se rincer les mains , chuchotât à Anna qu'ils devaient repartirent le soir même mais qu'ils reviendraient la voir bientôt.

Georgio et elle même lui embrassèrent le font, ils firent un petit signe de la main à Léa et sortirent en silence.

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Mikaphile
Une semaine, une semaine entière, elle était restée entre la vie et la mort. On l'avait recousue, pendant cette semaine, et pansée.
Puis encore une semaine s'était écoulée, elle se trainait dans sa barque, elle tendait ses lignes, et bon an mal an ramenait un poisson, parfois deux.
Là, elle commençait à aller mieux, et envisageait le retour vers Saumur, histoire de quitter le domaine royal avant la fin de la trêve : quelle que soit l'issue des négociations en cours, il ne servait à rien de rester à Orléans, maintenant qu'elle se sentait capable de se déplacer.

Elle ne tenait quand même qu'à peine debout, et avait été heureuse qu'une médicastre rencontrée en taverne lui propose son aide, et encore plus heureuse qu'un jeune homme à l'accent étrange lui propose son bras pour se rendre au dispensaire, la médicastre ayant trouvé dans la blessure des traces d'infection.

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Zhiyu
Zhi Yu arriva avec la femme guerrière. Dans les contrées lointaines d'où il venait, les femmes guerrières étaient connues uniquement dans de glorieuses légendes. Il arrivait à supporter tant bien que mal le poids de la blessée avec son bras encore endolori par une rude journée de travail. Il essaya néanmoins de ne pas montrer sa gêne et continua vers une petite ruelle.

Il se tourna vers la femme qu'il soutenait et lui lança avec un terrible accent oriental :


"Je crois que ce chemin mène vers l'herboristerie non?"
Leanore


Après avoir pansé les plaies et les corps meurtris, Léanore était heureuse. Les blessés reprenaient force chaque jour.
Elle même prenait l'air cet après midi là, lasse un peu et étourdie par les odeurs de la guerre.
Elle aperçut une femme sans âge soutenue par un jeune homme plutôt frêle et bien vite sut mettre un nom sur les visages. La dame était MIkaphile blessée lors de la bataille d'Orléans et le jeune homme était Zhiyu.
Elle se précipita vers eux pour aider et soulager. La femme lui avait montré sa blessure qui était infectée et Léanore lui avait proposé de venir se faire soigner au dispensaire lui assurant qu'elle ne faisait pas de différence entre tous ceux qui avaient besoin de soins. Elle n'aurait pas cru que la femme viendrait.

Elle l'installa dans la pièce qui lui servait de salle de soins et s'empressa de préparer tout ce dont elle aurait besoin.

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Zhiyu
Zhi Yu fut heureux de retrouver dame Léanore qui l'aide à porter la guerrière blessée, ce qui soulagea temporairement son bras fatigué. Il se sentait confus de devoir toucher une femme de haut rang alors qu'il n'était qu'un simple vagabond, et suant à grosses gouttes. Le jeune homme tituba jusqu'à la porte et aida Léanore à installer la blessée et s'étira légèrement. Il observa la pièce et remarqua différentes plantes et objets, des parchemins soigneusement rangés sur des étagères et plein d'autres outils dont il ignorait encore l'utilité.

La salle baignait dans une lumière tamisée et très agréable, éclairée par quelques bougies et torches. Zhi Yu vit la médicastre s'atteler à son travail et ne se sentait pas à sa place. Il n'avait jamais reçu qu'une éducation rudimentaire et ne connaissait qu'à peine les gestes de premier soin. D'une voix hésitante, il demanda :


"Avez-vous besoin d'aide ou préféreriez-vous que je sorte pour ne point vous déconcentrer ma dam... Léanore?"

Encore une fois, Zhi Yu tiqua en entendant son effroyable accent alors qu'il s'efforçait de pratiquer et de parler cette langue qui n'était pas la sienne.
Leanore


Léanore vit bien que zhiyu était impressionné par tout ce qu'il voyait et il ne savait pas s'il devait rester ou s'en aller.

"Hum j'aurai peut etre besoin de vous si j'ai besoin d'utiliser l'éponge soporifique. Ne restez pas trop loin....."


Elle commença à retirer le bandage qui recouvrait la plaie. Celle ci n'était pas très profonde ni trop étendue mais elle était boursoufflée et sans doute un peu infectée.

Léanore se lava les mains, prépara les ustensiles, les lotions, les crèmes...

Elle regarda sa patiente qui semblait bien faible. Elle chauffa à la flamme la petite lame acérée, la laissa refroidir et demanda

" Prête ?"

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Mikaphile
Elle avait cru ne jamais y arriver, s'était d'abord trompé de chemin, avait confondu l'herboristerie avec le dispensaire, mais enfin, enfin était entrée dans cette pièce à la lumière tamisée, fleurant bon les herbes et lotions.
Avec l'aide du jeune oriental, elle avait été allongée sur une table d'examen.

L'épée qui lui avait traversé le corps avait laissé une plaie qui semble-t-il s'était infectée, vu les boursouflures qu'elle aperçut quand dame Léanore retira les bandages.
C'était déjà un miracle qu'aucun organe vital n'ait été touché. La perte importante de sang, ajoutée à la fatigue et à la malnutrition des derniers jours, devait expliquer son long séjour entre deux mondes.

Elle entendit parler d'éponge soporifique, et en fut soulagée : dans l'état de faiblesse qui était le sien, elle n'était pas sûre de supporter la douleur, s'il fallait rouvrir sa plaie et la cautériser pour en éliminer toute trace d'infection.



" Prête ?"


Elle crispa la machoire, et laissa passer entre ses dents, d'une voix blanche et tremblante :

Prête !

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Leanore


Léanore versa le mélange soporifique dans une coupelle puis y plongea l'éponge. Elle la posa sur les narines de la jeune femme qui partit doucement dans un sommeil suffisamment léger pour ne pas ressentir la douleur. Léanore la retira et dit à son aide

"Si elle se réveille, vous remettrez l'éponge d'accord. Mais pas trop longtemps.."


Puis doucement elle posa la lame sur la plaie et incisa doucement. Aussitôt qu'elle eut ouvert la plaie, du pus s'en échappa. Léanore dut curer la plaie pour en retirer le maximum de l'infection qui s'était installée.
Elle nettoya la plaie avec un linge imbibée d'huile de thym. PUis elle approcha une lampe pour examiner la plaie.

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Zhiyu
Zhi Yu regarda la médicastre faire et saisit l'éponge qu'elle lui tendait. Il acquiesça d'un simplement hochement de tête. Il ne savait vraiment pas trop où se mettre et ne se sentait vraiment pas à sa place. L'odeur des plantes et des onguents qui l'enivraient finit par laisser place à celle, plus désagréable, du pus s'échappant de la plaie suintante. Le jeune homme dut se retenir pour ne pas vomir et déglutit difficilement.

Cependant, il ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil à la plaie et lorsqu'il vit ce que la médicastre était en train de faire, il vacilla un instant, menaçant de lâcher l'éponge et de renverser la coupelle. Il se ressaisit au dernier moment et préféra poser la coupelle non loin pour éviter ce genre de désagrément. Zhi Yu hésita à aller humer l'odeur du médicament. Alors qu'il approchait ses narines, il recula brusquement la tête alors que ses paupières devinrent tombantes. Il se gifla et jura dans sa langue natale pour sa bêtise. La médicastre devait avoir du mal à ce concentrer avec cet énergumène qui gesticulait dans tous les sens derrière elle..
Leanore


Léanore était absorbée par sa tache mais elle ne pouvait pas ignorer les gestes de son assistant..Elle sourit un peu en le voyant..... pâlir. POurtant ce n'était qu'une petite blessure de rien du tout

"Allons Tchi, comment réagiriez vous s'il fallait amputer ?"


A la lueur de la bougie, elle vit qu'il restait encore un peu de mauvaise humeur et elle dut insister un peu.

De son côté, Zhi ne trouva rien de mieux que d'approcher l'éponge de ses propres narines et elle dut hausser d'un ton pour éviter la catastrophe

"Tchi !!!!!! Attention, c'est un produit qui peut etre dangereux"


Léanore en réagissant de la sorte fit ripper un peu la cuillère à curer, faisant couler un peu de sang.

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