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[rp] dispensaire Saint-Ptôme

Keridil
Booonjour !

Parole guillerette d'un Duc qui ne s'occupe guère de savoir s'il dérange ou non l'hôte.
Ayant pris un retard malheureux et conséquent dans la tenue du Ducal Keri Tour, l'Amahir s'efforce de visiter ces lieux d'Orléans qu'il connait déjà, mais afin de leur faire honneur.
Voyage perturbé par quelques querelles de couronnes, le jeune homme avait du modifier son calendrier, modifier le programme, et il était désormais grand temps de tenir ses promesses.
Ainsi avait-il choisi de commencer par le dispensaire tenu par Léanore, une jeune femme qu'il appréciait beaucoup et à laquelle il trouvait maintes qualités humaines.
Cherchant du regard celle qui l'accueillerait en ces lieux, Keridil l'apostropha.

Demoiselle Léanore ! C'est un plaisir que d'être enfin arrivé jusqu'ici.
J'ose espérer que vous pardonnerez mon retard à vous rendre cette visite, ainsi que ma suite, mais vous connaissez la situation présente.
Allons, ne perdons point encore de temps.
Je crois n'être jamais venu jusqu'ici. Auriez-vous la gentillesse de nous parler de ces lieux ?

Par là, il entendait : histoire, fonction, visite, secrets.[/b]
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Leanore


Elle allait répondre et s'enquérir des connaissances en médecine de sa visiteuse lorsqu'une voix la fit se retourner.

Le Duc !

Bien sûr, Léanore savait qu'il devait passer mais les évènements avaient modifié le programme et elle ne l'attendait pas aussi rapidement
Elle se plongea donc dans une révérence aussi basse que lui permettait son état.

Vôtre Grâce, vous me faites un grand honneur en venant visiter ce qui est pour moi l'aboutissement de longues années d'étude. Et bien sûr vous êtes tout pardonner....


Petit sourire complice

Vous savez comme moi bien sûr qu'un Duc n'est jamais en retard......Mais vous avez raison, ne nous attardons pas, votre temps est précieux

Vous êtes ici dans la pièce où je reçois les malades. Les pièces attenantes sont le séchoir et l'apothicairerie où je prépare mes mixtures.


Petit raclement de gorge pour s'éclaircir la voix

Lors de mes visites à Orléans où je venais saluer mon ami Ursus, j'ai été étonnée que la capitale n'eut pas un lieu de soin. A l'époque j'habitais Patay et même j'y avais déjà installé un dispensaire aussitôt mes études finies.

Tout en racontant, elle le guida afin qu'il la suive pour voir les différentes pièces.

C'est donc en avril 1459 que j'ouvris le dispensaire Saint Ptôme. POur la petite légende, Saint Ptôme était un jeune pêcheur du XIII ème siècle. Son patron propriétaire du bateau sur lequel il effectuait son apprentissage était un homme cruel, violent, et préférant vouer ses prières non pas à Aristote mais aux tenanciers d’auberges et de tavernes mal famées. Ses quelques hommes d’équipage étaient au fond de braves hommes mais ils suivaient volontiers les agissements de leur patron tout en regrettant ensuite.
Une nuit d’hiver, lors d’une campagne de pêche, qui les avait mené assez loin, la lune s’obscurcit, les étoiles disparurent de la voûte céleste et la brume se leva. Le vent en même temps tomba brusquement. Le patron n’avait plus aucun moyen pour faire avancer son navire ni se diriger car tous les repères naturels avaient disparu. Les hommes d’équipage prirent peur devant ce phénomène surnaturel tandis que le patron les houspillait à qui mieux mieux Ptôme étant sa victime préférée. L’enfant pour échapper à son courroux grimpa courageusement le long du mât jusqu’à la hune, s’y blottit et se mit à prier aussi fort qu’il put. C’est alors qu’une lueur apparut dans le ciel et qu’une légère brise souffla, un éclair zébra le ciel touchant de plein fouet le patron qui tomba dans l’eau et coula à pic. Les hommes d’équipage purent se diriger vers la lueur qui les mena dans un port et à l’arrivée remercièrent chaleureusement le petit Ptôme qui par ses prières les sauvèrent. Ptôme posséda à partir de ce jour la faculté de faire baisser une forte fièvre à un malade en posant simplement ses mains sur le front de celui ci. On raconte aussi qu’il devint un marin émérite connu pour sa sagesse, sa bonté et sa piété. et à la fin de sa vie, il se retira du monde à proximité d’Orléans.


De pièces en pièces ils étaient parvenus dans le dortoir hommes.

Comme vous pouvez le constater, il y a deux salles : une pour les femmes et une pour les hommes. C'est Sire Dawson qui a fourni les chassis des lits, Dame Isadam elle a fourni le linge de lit. Ladyemeraude est venue ensuite bénir le dispensaire afin qu'Aristote nous protège et me guide dans les diagnostics et les soins à donner.

Je n'ai jamais eu fort heureusement d'épidémies à soigner. L'année dernière, avec la guerre contre les ponantais, il y a eu plusieurs blessés qu'il a fallu panser, amputer. J'ai malheureusement du fermer les yeux de certains.


Son visage s'assombrit à cette pensée puis le sourire lui revint.

J'ai eu aussi des heureux évènements, comme des naissances.

Elle le guida vers l'extérieur où un petit jardin médicinal était en fleurs.

J'essaie de cultiver quelques simples mais la plupart d'entre elles je les trouve dans la nature.


Elle marchait doucement afin que le Duc puisse tout à loisir observer les différents endroits qu'elle lui montrait. Elle était assez fière de ce qu'elle avait accompli mais n'en voulait rien paraître.

Le bâtiment suivant abrite une petite cuisine où une servante prépare de la nourriture consistante pour les malades. Il y a également mon bureau où j'y consigne les visites, les soins.

En général je ne fais pas payer les pauvres qui viennent ici pour se faire soigner. Nous vivons essentiellement de dons.


Elle le regarda dans les yeux tout en souriant, puis rougit de son insolence. Si le Duc désirait aider le dispensaire nul besoin de le fixer ainsi pour toute demande.


Pour terminer Vôtre Grâce, permettez moi de vous offrir ce petit panier contenant des sachets d'herbes pour les refroidissements et les états fiévreux, ainsi qu'un pot de miel pour adoucir ces tisanes. C'est un cadeau bien humble je le conçois mais venant du coeur. Et sans vouloir abuser, un petit mot de votre main sur ce registre.....


Elle lui présenta son registre, et maugréa en elle même de voir sa main aussi tremblante. Elle espérait avoir répondu à l'attente de Keridil.

J'espère ne pas vous avoir assommer avec toutes ces explications mais..... comprenez..... j'aime ce que je fais et je le fais passionnément.


la légende de Saint Ptôme est bien sûr totalement inventée.

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Liloute
Mais où diable le Duc était il passé? Et surtout, comment allait-elle pouvoir l’annoncer au capitaine? C’est certain, le borgne allait la tuer sur place, si elle ne retrouvait pas le "numéro un" du Duché… La question qui se pose maintenant c’est comment Liloute en était elle arrivée là?

Il faut dire que le Ducal Keri Tour avait rencontré quelques embûches… A Patay pour commencer, où leur venue n'avait pas été annoncé à l’avance et où la consort et, de fait, le capitaine de la garde ducale, avaient manqués le départ du cortége pour Blois, puis à Blois où c’était la maladie qui avait frappé le même couple… Pour "couronner" le tout, Orléans, fut carrément le théâtre de "royales" querelles!

A l’insu de son plein grès, elle s’était retrouvée, ces dernières quarante-huit heures, à suivre les ordres de l’armée… Puis ceux du CAM! Autant dire que les plans et le calendrier du DKT avaient été maintes fois modifié…. C’est d’ailleurs comme ça que Liloute avait perdu son Suzerain dans la capitale…

Elle regarda le parchemin :


Citation:
** Orléans **

Au programme :

Visite du dispensaire et du cloître.


En même temps, ça lui laissait une chance sur deux de le trouver… Entre les deux mon cœur balance et piouf piouf... Dispensaire!

Ca tombe bien il est juste à côté!

En poussant la porte…


Leanore a écrit:


Lors de mes visites à Orléans où je venais saluer mon ami Ursus...


Bingo!

Elle salua comme il se doit le Duc et Dame Leanore et se laissa entraîner dans la visite du lieu, se faisant très très discrète…

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Chambellan d'Orléans...
Mumbly
Mumbly avait appris le matin qu'une personne, crainte par sa dulcinée,était arrivée à Orléans depuis quelques jours.Certains l'auraient même aperçue au dispensaire.
Il se dirigea donc vers la maison tenue par son amie Léa.Il entra.

Bonjour Léa.Comment vas tu ?

Il lui fit la bise et vint directement à la question qui le taraudait.

Il parait qu'une dame est venue chez toi ?Elle se nomme Alice .Sais tu où elle se trouve?J'aimerais lui parler.
Leanore


Le Duc et sa suite avaient visité le dispensaire guidés par Léanore. Les uns et les autres échangeaient à voix basse leurs impressions et elle était prête à répondre aux éventuelles questions.

Soudain, parmi les visiteurs, elle vit arriver Mumbly, Mum comme elle se plaisait à l'appeler. Il semblait inquiet et après les salutations d'usage, il alla tout droit au but de sa présence ici pendant la visite officielle du Duc.

Elle s'écarta donc un peu du groupe afin de parler en aparté.

"Dame Alice tu dis.... HUm je l'avais un peu oubliée. J'allais m'enquérir de ses connaissances car elle est venue me proposer son aide lorque le Duc est arrivé. Elle est ici oui...."


Léanore la chercha du regard....

"En tout cas elle était là juste avant que le Duc n'arrive. Peut être est elle dans la suite, ou qu'elle soit restée un peu en retrait"


Elle eut la délicatesse de ne point poser de question. Si Mum voulait lui en dire plus il le ferait sans aucun doute. Mais elle se demanda bien pourquoi son ami cherchait cette dame qui était matrone de son état d'après les dires de cette dernière.

"Excuse moi Mum mais je dois retourner auprès de SA Grâce. Essaie d'aller voir du côté du jardin. ON se revoit plus tard...."

Elle lui serra le bras pour lui dire toute son affection.

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Mumbly
Mumbly remercia vivement Léa de son aide.Il n'avait pas prêté attention à la présence du Duc et de sa suite.Suivant les conseils de son amie,il se dirigea vers le jardin pour espérer voir cette matronne,tout en évitant l'attroupement ducal.
Keridil
Le Duc fut un peu interloqué de se voir enlever la maîtresse des lieux. Les usages et les bonnes manières se perdaient indéniablement, et il se contenta après un regard dédaigneux à l'encontre de l'opportun d'observer les étagères et autres lits.
Lorsque Léanore revint, il lui tint à peu près ce langage :

Ma chère, c'est d'une main de maître que vous tenez ce dispensaire, et quelle belle initiative que la vôtre en le créant ! Je suis tout bonnement enthousiaste à l'idée que nos sujets puissent avoir un accès si simple et sûr à l'hygiène et à la santé.
Si d'aventure vous vouliez quelques subventions pour vous équiper, ce serait avec plaisir que nous contribuerions à votre oeuvre.

Sourire franc, sincère, et regard ébahi.

J'avais déjà longuement ouï parler de votre succursale de Patay, et maintenant, notre capitale n'a plus rien à envier à personne.
Je vous félicite ardemment.

Un regard vers sa suite. Et un mot.

N'êtes-vous point tous d'accord ?

L'Amahir, et son esprit de cours, en toute sa splendeur.

Allons ! Il va pour nous être temps de visiter d'autres lieux. Je crois que le Duc de Châteaurenard trépigne à l'idée de nous conter quelques histoires aussi palpitantes que celle de ce Saint Ptôme ! Je me coucherai moins idiot ce soit, à n'en point douter.
Demoiselle, mes hommages.

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--Alice_la_matronne.
L'animation que l'arrivée du Duc avait déclenchée, n'émeuvait pas Alice. En réalité, peu de choses affectaient la matrone, spectatrice des gesticulations des hommes qu'elle faisait naître et qu'elle accompagnait parfois lorsqu'ils rendaient leur dernier souffle.
Elle s'installa dans un recoin du dispensaire, à l'écart des visiteurs et entreprit d'égrener le rosaire qui ne la quittait jamais.
L'arrivée, en trombe, d'un homme visiblement fort agité, la fit revenir subitement à la réalité du lieu où elle se trouvait.


Du travail, enfin ! Je commençais à me lasser Cette inactivité me pèse et si je ne devais pas rester ici encore un peu

Elle eu une rapide pensée pour son aide qui l'avait abandonnée quelques temps auparavant et à son babil incessant qui l'exaspérait alors Un sourire aigre se posa sur ses lèvres.
Soudain, il lui sembla reconnaître le timbre de voix de l'homme. Il disait la chercher qui plus est
Alice se leva et se dirigea vers la médicastre et celui qui l'interpelait.


Tieeeeens, mais qui vois-je là ? dit-elle tout bas. Je suis ici, Messire. Voyez, je vous attendais

Elle inclina légèrement la tête à l'attention de la médicastre pour la remercier de son hospitalité.

Dame Léanore, il semble que les évènements que nous craignions tantôt ne se soient soldés que par quelques éclats de voix. C'est heureux. Je vais donc vous laisser à vos hôtes, ils vous attendent. Je sais désormais vers où me diriger.

Elle lui adressa un sourire de reconnaissance.

Quant à vous messire, il semble que vous ayez quelque chose qui ne vous appartient pas Je crains qu'il ne vous faille songer à restituer le bien d'autrui à sa légitime propriétaire. Je ne voudrais pas avoir à courir le royaume pour le récupérer altéré.
Mumbly
Mumbly la regarda la matronne.Une personne imposante ,mais qui ne l'effrayait pas.Il avait campagne en Provence et contre le Ponant.

Quant à vous messire, il semble que vous ayez quelque chose qui ne vous appartient pas Je crains qu'il ne vous faille songer à restituer le bien d'autrui à sa légitime propriétaire. Je ne voudrais pas avoir à courir le royaume pour le récupérer altéré.



Quelque chose qui vous appartient?Qu'est ce donc Dame Alice?Je ne vois pas de quoi vous parlez.Tous les biens que je possède sont à moi,payés écus sur l'ongle.

Il ouvrit sa besace,montrant toutes les choses qu'il possédait.


Mumbly feignait de ne point comprendre.Il voulait voir comment réagirait la matronne.

Je pars tantôt à Blois,je vais rejoindre quelques amis.Vous pourrez vous renseigner à souhait sur les biens que je possède.
--Alice_la_matronne.
Non pas qu'il m'appartienne, personnellement, mais j'en suis la garante depuis bien longtemps. Je n'ai point apprécié la façon dont vous avez fait main basse sur ce qui m'est je dirais important.
Il faudra rendre des comptes un jour et ne voudrais être celle sur qui s'abat l'opprobre.
Mais laissons là, puisque vous faites mine de n'y rien entendre. Ce lieu n'est pas le plus propice à ce genre de conversation. Je m'attendais plutôt à y rencontrer d'autres personnes
J'en conclus qu'il me faut repartir, continuer ma quête. Sans doute quelque femme grosse sera sur mon chemin. J'occuperai mes mains à mettre au jour des destinées plus méritantes sans doute. Mon courroux est immense, sachez le toutefois.


Alice se tourna, ramassa sa sacoche et se dirigea vers la médicastre qui devisait plus loin.

Dame Leanore, je suis heureuse d'avoir fait votre connaissance. Il est heureux qu'aucun estropié ne nous ait été amené finalement ! Mon aide ne vous sera plus d'une grande utilité ; vous menez ce dispensaire en maîtresse femme et je vanterai vos aptitudes en haut lieu.
Je dois maintenant vous quitter. Le devoir m'appelle ailleurs et le temps me presse désormais.


Elle s'inclina devant la médicastre et l'assemblée présente puis pris le chemin qui menait aux remparts vers l'entrée de la ville
Menthe
Elle avais voulu d'faire sa grande en grimpant dans un arbre pour regarder la ville de la haut c'étais vraiment beau on pouvais tout voir .

Mais en redescendant de l'arbre une branche sous son pieds se brisa et elle n'a pas eu l'temps de se ratrappée et elle tomba se retrouvant au sol le coude en sang Les larmes au yeux

AIEEEEEEEE

Elle pris sa besace vite fais pris un bout de tissu qu'elle mit sur son coude se relevant doucement se disant "Pas pleurer , pas pleurer ça va passer , ça va passer ..."

Menthe pris sa besace et direction taverne tout en grimaçant,
Elle regarda son coude il étais tout bleu et il y avais une plaie qui n'arrêtais pas de saigner et son coude lui fessais trop mal

Melina lui avais dit d'aller voir Leanore pour se faire soignée car son coude pouvais pourrir qu'elle horreur pour cette petite .

C'est alors qu'elle pris l'chemin que Meilina lui avais indiquer son coude lui fessais mal .
Rentra dans le salle cherchant Leanore des yeux .

Léanore !!! Z'ete ou ??

Les larmes au yeux attendant Leanore elle se répéta a tue tête "Ne pleure pas , ne pleure pas , on va te soignée ...Léanore va venir et ça va passer ...''

Léanore arriva en sauveuse Menthe lui expliqua directement s'qu'elle avais .

J'suis tomber d'un arbre en le descendant et j'me suis fais mal ..
a mon coude z'avez faire quelque chose ? Melina ma dit de venir me faire soignée et que si je venais pas ben mon bras allais empirer et elle a dit aussi que mon bras pouvais pourrir ...mon bras va pourrir tu crois ???


Menthe la regarda et puis elle regarde son coude pour enfin retirer doucement le bout de tissu de son coude en sang et lui montre et remet le bout de tissu sur sa blessure .
La regarde pour voir se qu'elle va faire ...
Leanore
La suite ducale était partie. Léanore avait pu voir de loin sans l'entendre la discussion entre son ami Mumbly et la matrone. PUis celle ci vint la saluer et signifier son départ. Léanore la remercia de son aide, même s'il n'y avait eu rien à faire mais l'intention avait été là.

[quelques jours plus tard....]

Des cris et des larmes d'enfant, plus que ne pouvait supporter Léanore.
La petite Menthe était devant elle le coude ensanglanté.
RAssurer d'abort il fallait rassurer.

Allons ne pleure pas. Je vais regarder cela. Laisse moi voir.....


Une belle écorchure ornait le membre et Léanore espérait que ce n'était pas cassé.

Mais non ton bras ne va pas pourrir. Avant de te soigner, tu vas me dire si tu peux bouger ton bras déjà et si je te fais mal lorsque je le touche.

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Menthe
Léanore la rassura en lui disant que son bras n'allais pas pourrir , elle la regardais et retrouva son beau sourire

D'accord ...j'vais le bouger mais sa fais trop mal .
J'suis obliger ??


Leanore lui expliqua alors que si elle bougeais pas son bras elle aurais pas su si il est casser ou pas ...

Alors Menthe bougea un peu le bras en grimaçant .
Elle avais les larmes au yeux tellement qu'elle avais mal .

J'ai mal ...j'peu pas l'bouger plus ...Me l'fais pas bouger plus sil-te-plait

Elle arrête alors de bouger son bras regardant Leanore pour voir s'qu'elle allais dire ...
Elle espérais qu'il ne soie pas casser ...
Leanore


En voyant les grimaces de la fillette, Léanore tenta de cacher ses sentiments. Inutile de faire peur à Menthe. Elle examina plus attentivement le bras : pas de fracture ouverte en apparence mais elle se trouvait devant une luxution ce qui expliquait la légère déformation et le fait qu'elle ne puisse bouger le coude.

Très bien Menthe. Je pense que ça n'est pas très grave mais on va devoir immobiliser ton bras pendant une bonne dizaine de jours. Ne bouge surtout pas et laisse toi faire. "


Délicatement, elle saisit l'avant-bras et d'un mouvement sûr, précis et surtout rapide, elle tira, remettant ainsi les os dans leur cavité naturelle. La petite sursauta, cria même. Léanore n'aimait pas faire souffrir mais elle savait qu'ensuite la douleur serait très atténuée.

Voilà....... Allez on va nettoyer cette vilaine blessure maintenant.

Elle prit tout ce dont elle avait besoin : compresses, lotion et onguent à base de souci et doucement, nettoya la plaie, l'enduisit d'onguent guérisseur et recouvrit le tout d'une compresse.

Il ne faudra pas bouger le bras pendant quelques jours. Tu dois le laisser pendre ainsi. De toute façon, de toi même tu sentiras la douleur dès que tu voudras le bouger.


Pour termner, Léanore lui prépara une infusion pour la douleut qu'elle adoucit avec beaucoup de miel.

Tiens pour ton courage !!!!


Elle lui tendit une bâtonnet de réglisse qu'un marchand ambulant lui apportait du sud du Royamme de France.

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Leanore


L'été était des plus calme. La chaleur estivale n'était pas vraiment au rendez-vous et n'écrasait pas le pauvre paysan dans son champ, Meme les maladies semblaient en retraite.

Léanore passa l'après midi à ranger le laboratoire, jetant les remèdes périmés, nettoyant des flacons.

Puis elle reprit le chemin de sa demeure afin d'y faire une petite sieste avant la prochaine tétée de Tristan

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