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[RP] Le Jardin d'Aspasie

Zelenka
Les deux amoureux arrivèrent main dans la main près du pêcheur qui accepta de suite la requête de Wil, il aida Zel à monter dans la barque puis s'installa à son opposé et se mit à ramer, Wil ne quittait plus des yeux sa douce, ils étaient tout deux aux anges enfin seuls dans un lieu paisible. La barque s'éloignait de la berge...
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William_wallace_ecos
Wil conduit la barque dans un coin du lac tramquille, rentra les rames et s'allongea a côté de sa belle,il déposa ses lévres sur celle de Zel pour un baiser de passion.
Zelenka
Confortablement installés sur quelques vêtements disposés ça et là au fond de la barque qui leur servait de refuge, les deux amants en profitaient pour passer ensemble un moment des plus agréables. La barque ondulait légèrement au gré des flots tandis que leurs corps serrés l'un contre l'autre dans une étreinte amoureuse et intime arrivait à leur faire oublier la raison de leur présence à Blois ainsi que tout ce qui les entourait.
La douceur des baisers que lui donnait Wil n'en finissait plus de faire frissonner Zel, un sentiment de bien-être la submergea, elle caressa doucement la joue de son tendre et l'embrassa langoureusement.

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Lyll
Beaucoup de changements avaient eu lieu récemment dans la vie de Lyll, au point de vue professionnel. Elle s'était enfin décidée à égréner le cadeau de la boulasse et sa canne à pêche !
Elle arriva de bon matin près du lac en tirant sur la corde qui était attachée à sa barque. Elle mis la corde dans la barque, poussa celle-ci dans l'eau et monta dedans. Elle rama jusqu'au milieu du lac, en faisant en sorte de laisser de l'espace entre elle et les autres pêcheurs présents puis, après avoir mis ce qu'il fallait sur son hameçon, elle lança sa ligne dans l'eau et attendit. Elle attendit encore et encore jusqu'à finalement réussir à attraper le poisson tant espéré.

Eurêka ! J'ai réussi ! J'ai réu... norf... d'solée...

Elle s'arrêta d'un seul coup en se rendant compte que crier n'était pas une très bonne idée sur un lac rempli de pêcheurs.
Elle avait tellement apprécié cette journée sur le lac qu'elle réitéra la chose plusieurs jours de suite. Quelques temps plus tard, grâce à ses prises et à la vente de son blé, elle se rendit compte qu'elle avait assez d'argent pour prétendre à l'ouverture de sa propre échope.
Elle prit quelques jours pour se décider, en discuta avec son p'tit ange, puis après longues tergiversations, elle se décida enfin à devenir bouchère !

Aujourd'hui, elle s'était dit qu'elle profiterait de la journée pour pouvoir se reposer un peu grâce à la vente de sa viande et elle prit le temps de se balader dans le jardin, chose qu'elle n'avait pas fait depuis bien longtemps.

Elle se promenait dans les allées et profitait de toutes les couleurs et des parfums qu'apportaient le début de l'automne. Elle adorait toutes ces teintes de jaune, d'orange, de rouge et toutes leurs nuances avant que les feuilles ne tombent pour mieux revenir au printemps.
Elle se mit contre un arbre, ferma les yeux et respira profondément. Elle resta ainsi un certain temps, en pensant à tout ce qui s'était passé depuis 6 mois et tous les changements récents. Puis elle ouvrit les yeux, sortit deux missives, les relues, les posa contre son coeur et murmura à elle-même :

J'espère qu'tu iras mieux frérot, où qu't'ailles... J'espère te r'voir bientôt et que les astres te guident et te protègent...

Elle retint la larme qui s'approchait dangereusement du coin de son oeil gauche et envoya tout son amour à son David qui avait prit la route sans qu'elle puisse le revoir. Elle savait qu'il devait partir, et cela depuis longtemps, alors, elle ne pleurera pas sur son départ mais ne l'oubliera pas pour autant.

Elle se ressaisi puis sourit à la nature, se leva et rentra tranquillement dans sa demeure pour attendre le retour de son mari.
--Jeunevagabond
Le jeune homme marchait de ci de là. Ses pas le trainaient inexorablement vers les endroits qu'il aimait voir, bien qu'à ce moment là, il n'était pas sur que c'était ce qu'il désirait.

La tristesse en était venue jusqu'à le capturer lui aussi. Lui qui n'était rien qu'un va nu pied de plus. Rien qu'un autre déchet que cachaient les belles villes. Son ami était parti de nouveau depuis plus de 10 jours. Il se retrouvait à nouveau seul.

La solitude est un sentiment dur à décrire. Que ce soit le silence humain autour de soi, l'impression d'inconsistance de son corps quand les regards passent au travers, ou encore l'ininterêt total des passants. On disait que les vagabonds formaient une grande famille. Mais ce n'était pas une famille. Seulement des êtres qui vivaient des vies similaires.

Il leva les yeux, respirant pleinement les parfums de la nature environnante. Le ciel était clair et bleu, bien que le froid était mordant. Les couleurs chaudes étaient déjà tout ce qu'il restait de la chaleur de l'été passé.

Il marchait, sans but autre que de se donner un sentiment de réconfort et de compagnie parmi les arbres qui l'entouraient, et s'arrêta presque abruptement à coté du vieux chêne que peu de monde connaissait. À bien le regarder, ce devait être le premier arbre de ces bois. L'ancêtre d'une vraie grande famille. Il s'adossa contre l'arbre, se retenant de pleurer cet ami perdu. Peut être finirait-il par revenir. Mais l'amour lui avait été enlevé. Par la mort elle même. Sans amour, l'homme n'est rien. Sans amour la vie n'est plus. Et pourtant il était là, toujours vivant, quelque part. Il le sentait. Peut être que c'était à lui d'ouvrir le coeur de celle qu'il aimait.
David.le.grand
Depuis longtemps déjà, il errait perdu dans ses pensées, préférant se retirer avant de paraître plus triste qu'il ne l'était vraiment. Car triste, il ne l'était plus. Il était simplement égaré au milieu d'un tumulte de sentiments contradictoires.

Il marchait sous le ciel étoilé qui disparaissait de plus en plus sous les branchages sombres des arbres du jardin. Mes ses pensées, elles, ne s'arrêtaient pas, et n'étaient pas prêtes de le faire. Un chemin qu'il avait emprunté un nombre incalculable de fois, et qu'il reprenait avec un mélange d'appréhension, d'amertume, et d'envie.
Tonio71
Les couleurs encore vives de l'automne étaient propices à une douce promenade en famille.

La petite famille s'enfonça dans le jardins paisibles pour y trouver un peu de sérénité et de repos bien mérité.

Les feuilles pourpres volaient et tombaient autour d'eux dans une grande chorégraphie désordonnée mais incessante.

Thomas s'amusait à les attraper en vol et Aurore qui ne courrait pas encore levait les bras au ciel pour imiter son grand frère.

Tonio saisit sa Casty par la taille et s'approcha de son visage pour l'embrasser tendrement.

Ils s'aiment tellement et ils aimaient aussi ces moments simples en famille...
Casty.
Casty avait fait un grand sourire lorsque Tonio lui avait proposé cette belle promenade. Elle avait besoin de souffler un peu ces temps ci. Beaucoup de travail et quelques contrariétés aussi faisaient que cette promenade tombait très bien.

Tenant la main de Tonio qui portait Aurore, elle marchait tranquillement, admirant le merveilleux paysage. Le magnifique tapis de feuilles qui craquait sous leurs pas et les merveilleuses couleurs lui redonnaient le sourire. Elle aimait cette saison, tout était calme et elle profitait de sa famille. Elle regarda Thomas s'amusant comme un petit fou et Aurore qui désirait descendre des bras de son père en gigotant sans arrêt afin de suivre son frère....


Oh ma chérie, il va falloir attendre encore un peu avant de courir avec ton frère mais dans peu de temps je crois que tu pourras y aller !!!!!

Elle sourit tendrement à sa petite princesse et lui caressa sa joue rougit par le froid. Aurore l'écoutait attentivement et lui sourit. Elle tendit les bras vers elle et Casty tout en souriant, la prit contre elle.

Tonio les regarda toutes les deux, les yeux brillants.


Aurore te ressemble de plus en plus ma chérie, c'est assez impressionnant je dirais. Elle sera aussi belle que sa maman plus tard, il va falloir faire attention !

Casty sourit à son amour, l'embrassa tendrement tout en se disant qu'ils avaient encore le temps d'y penser.....
Bourguignon
C'est avec la Gardienne du Peuple à son bras que le Prévost de Paris rentra dans les jardins d'Aspasie, lieux qui ne lui était pas réellement famillié puisqu'il avait du s'y rendre une unique fois lors de son inauguration, à cette époque Mike était encore maire de Blois, Helenedetroie chargé de la culture et Jessbzh était à l'animation, aujourd'hui ces noms ne parlaient pas aux blésois mais à cette époque qui n'est pas si lointaine toute l'animation et la vie de Blois étaient représentées par ces noms mais il ne faut pas oublier les autres conseillers et maires qui ont fait un grand travail pour ces projets cependant ce lieu ne pouvait en être dissocier...

En passant les portes le Baron regarda autour de lui, beaucoup de changements se disait il mais se souvenait vraiment des jardins à sa première visite ? ... Il continua son chemin toujours accompagné de Ju pour un endroit adéquat pour poursuivre sa leçon commencée il y a quelques jours sur les reglès de l'ermite.

Ah un coin qui a l'air accueillant, il invita la jeune femme à s'y installer puis commença


Bon tu as été d'accord pour tout apprendre sur la vie des ermites, connaitre notre mode de vie et surtout l'adopter.
Son apprentissage n'est pas une chose simple je le reconnais c'est pour cela que je te fais une nouvelle séance.

Es tu toujours d'accord ?


Le ton était grave et on aurait pu croire le Baron sérieux dans ses propos du moins c'est ce qu'il essayait de laisser paraitre...
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Jmorelle
Ils avaient emprunté les ruelles de Blois, du centre ville, en passant par le pont sur la Loire, pour rejoindre le jardin d'Aspasie. Son bras sous celui de Bourguignon, Ju profitait du paysage, jusqu'à temps de voir sa chère verdure qu'elle affectionnait tant. Ravie d'y retourner, surtout en si bonne compagnie.

A la recherche d'un coin tranquille où discuter, elle le suivit jusqu'à un petit coin de pelouse qui leur tendait les bras. Elle retira sa cape et la posa sur le sol, afin de ne pas salir ses vêtements. Elle s'installa sur un coin, laissant l'autre coin à son professeur.

A ses dires, elle acquiessa. La vie d'ermite, elle l'avait choisie, par protection plus que par envie... Mais... Cela commençait à bien lui plaire finalement, elle se surprenait elle-même jour après jour.


Je suis toujours d'accord oui, surtout qu'apparemment il y a pas mal de choses que je ne connais pas encore... Alors c'est parti! On commence par quoi?

Ju le regardait, intriguée par la face solennelle qu'il prenait... Se demandant à quel point il était vraiment sérieux... Tout à coup... Oui... Son père... quand il se mettait à blaguer... Combien de fois ne l'avait-elle pas vu se déguiser et jouer son personnage le plus sérieusement du monde, jusqu'à temps qu'elle y croit vraiment... avant d'éclater de rire. Au moins, cela lui rappelait de bons souvenirs. De là-haut, il devait bien rigoler, mais il devait être rassuré de la savoir entre de bonnes mains parmi tous ses amis et aux côtés de ce vieil ermite qui semble-t-il, l'avait prise sous son aile. Eh oui, les ermites aussi, ça se sent seul... Il partagerait avec elle son mode de vie, et elle l'amènerait découvrir le nouveau monde extérieur après une longue hibernation.
Jessica.de.florence
La florentine arrivée depuis peu à Blois en compagnie de sa moitié Sid, s'était présentée à la douane, à la mairie, et avait poussé la porte, apres avoir flanée dans la ville, d'une taverne qui semblait bien animée. Le propriétaire Tonio lui fit un accueil des plus chaleureux, et entre deux verres discutèrent de pêche, de traditions..............de nostalgie, d'Italie et de Bourgogne.......quand il lui parlat de ce lieu légendaire à Blois: le jardin d'Ap.....i. Elle n'avait pas retenue le nom, l'alcool aidant mais elle fut rapidement guidée par les villageois quand elle demanda sa route après avoir quitté Charlotte avec qui elle passa aussi un agréable moment, la Florentine lui ayant appris à "piller une cave sans maux"

Voilà donc notre Florentine aux portes du jardin ............... Elle pensa à son tendre amour qui devait ronfler en cuvant son vin qu'il avait ingurgité le long du vyoage, avec qui elle aurait aimé parcourir ce jardin............mais comme leur séjour ici était de courte durée, elle se dit qu'il ne fallait pas rater la visite d'un tel lieu.......et c'est dès son entrée qu'elle lança des:


-Hoooooooooo que c'est beau.............Haaaaa que cet endroit est magnifique.............Hoooooo mon amour, tu ne sais pas ce que tu rates..........

Elle croisa des couples, à qui elle fit un signe amical, ne voulant pas les déranger dans leurs amours, leurs discussions sérieuses, leurs jeux.......cet endroit était comme magique lui faisant oublier la guerre, l'incendie, la mort de son amie.............elle flottait soudain comme dans un rêve, oubliant pour un instant les malheurs du passé.........Profitant de cet instant de plénitude, elle s'installa sous un chêne et laissa son regard vagabonder sur cet havre de paix.
Jmorelle
Cela faisait depuis sa dernière promenade en compagnie de son maître que Ju n'étais pas venue au jardin. Elle avait pris l'habitude de venir s'y promener seule... Mais... Quelque chose avait changé dans sa vie, elle ne serait plus jamais seule...

Dans ses bras, lové bien au chaud contre elle, un chiot terre neuve qu'elle avait eu en cadeau. Cadeau d'un ami proche, qui ne voulait pas qu'elle se retrouve seule en cet hiver qui s'annonçait glacial. Cet ami avait fini par trouver l'amour, elle en était très heureuse pour lui. Elle le voyait remotivé, souriant, jovial même. Et surtout, serein. Il avait déjà un enfant d'un précédent mariage, elle était enceinte. Il était duc, elle était noble. Mais peut importe les "on dit" qu'ils entendaient constamment, leur bonheur leur suffisait.

Ju sourit. Malgré ce qu'elle avait traversé, elle retrouvait le bonheur à s'occuper de lui tous les jours. Comme à un enfant, elle lui préparait à manger, le câlinait, le lavait, lui chantait des chansons. Elle soupira. Oui, un enfant. Ce dont elle rêvait tant, ce qui viendrait égayer sa vie. Mais que jamais elle ne connaitrait à présent. Heureusement, Ebène lui apportait un peu de soleil dans sa vie. Bientôt, elle serait encore plus sereine de quitter un bureau qu'elle n'affectionnait pas. Et bientôt, elle partirait pour son grand projet. Elle n'avait pas encore prévenu ses amis, mais ils le sauraient bien assez tôt.

Hop, elle déposa Ebène dans l'herbe, pour qu'il se dégourdisse les pattes. Il n'était pas encore très débrouillard, mais il était curieux comme pas deux...



Elisel
Promenons nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas...

Elisel fredonnait dans l'air frais de l'après-midi, tout en parcourant les allées d'Aspasie. Elle observait la nature qui se préparait à son long sommeil. Les feuilles chatoyantes étaient maintenant tombées, tapissant les pelouses d'un manteau détrempé. Certaines, résistant encore et toujours au vent, tenaient vaillament à leur branche, virevoltant en tous sens. Les animaux faisaient leur réserves, prenant cachette de tout accident du terrain qu'ils pouvaient trouver, terriers abandonnés, racines d'une souche, pierres en équilibre, et accumulaient ainsi noix, noisettes, faines et autres fruits à coques.

La Blésoise cherchait des chataignes, uniquement des chataignes. Et des pommes de pins également, si possible. Il allait falloir une quantité importante des deux pour les fêtes de fin d'année, aussi passa-t-elle par la chaumine d'Aurae pour lui emprunter sa brouette et des sacs de toiles.
Elle laissa un mot pour le prévenir et lui préciser ce qu'elle faisait, au cas où il aurait eu envie de se balader, et partit s'enfoncer dans les sous-bois, poussant devant elle son chargement.

Promenons nous dans les bois...

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D.E.C.O. ? C'est par ici hrp ou par là rp. Une question héraldique ? C'est par ici.
Tonio71


"Viens ma chérie, allons nous promener un instant dans les jardins pendant la sieste des enfants !" dit soudain Tonio à sa Casty adorée.

Ils partirent donc main dans la main à travers les méandres des petits chemins boisés et légèrement enneigés des jardins en discutant tous les deux tranquillement.

La mort brutale de Val les avait affecté au plus profond d'eux même, et ils se sentaient bien en se remémorant les souvenirs en sa compagnie.

Elle leur en avait fait voir de toutes les couleurs depuis des mois mais c'était elle et ce qui faisait son charme. Un coeur d' artichaut sous une carapace forgée par des expériences difficiles mais un charisme et un attachement à sa personne dont on ne pouvait se défaire.

Ils évoquaient Val, parfois en souriant, parfois les larmes aux yeux. Il manquerait désormais quelqu'un dans leur vie, un grand vide autour d'eux...
Ninouchka
En cette froide après-midi d’hiver, Ninou avait besoin de réfléchir. Elle décida d’aller se promener à Aspasie. Marcher lui ferait du bien et permettrait à ses idées de se remettre en place.

Elle entra dans le jardin … il était beau en toute saison. Immédiatement, elle fut prise par son ambiance calme et feutrée. Elle ralentit son pas, regardant à gauche et à droite … maintenant que les arbres avaient perdu leurs feuilles, on voyait des choses inhabituelles, des petits sentiers qui serpentaient et qu’on aurait été bien en peine de découvrir à la belle saison, de minuscules clairières dans des endroits improbables et qui devaient faire le bonheur des amoureux en été.

Elle se surprit à sourire … Aspasie … le lieu de rendez-vous des Blésois … à deux, entre amis ou en famille.

Ninou se demanda qui, à Blois, connaissait Aspasie. Une femme hors du commun ...

La conseillère s’assit sur un banc qui lui tendait les bras sous le faible soleil d’hiver et elle se demanda ce qui avait poussé un Blésois à donner ce nom au jardin … peut-être parce que son nom signifiait « la bienvenue » ?

Aspasie était née dans la cité ionienne de Milet en Asie mineure au temps de Périclès dont elle fut la compagne. C’était une femme brillante qui s’était attiré le respect de la plupart des grands hommes de son temps comme Phidias ou Sophocle.

Elle était une courtisane de haut rang, tenant une maison close et attirant chez elle les hommes politiques et les philosophes qui appréciaient ses talents intellectuels malgré sa réputation un peu sulfureuse.

Elle enseignait l’art oratoire, la réthorique et la politique à certaines femmes et parfois des hommes faisaient partie de l’auditoire, notamment Socrate et ses disciples.

Ce qui lui permit de mener sa vie à sa guise fut d’être une étrangère à Athènes et ce jusqu’à sa mort.

Ce statut d’étrangère, qui lui interdisait d’épouser légitimement son compagnon, lui donna par ailleurs la liberté d’être une intellectuelle et de fréquenter la société. La femme athénienne ne connaissait pas cette possibilité ... elle vivait retirée dans sa maison.

Ninou, arrivée à ce point de ses pensées, se remit en marche … le pâle soleil ne suffisait plus à la réchauffer.

Aspasie … qu’aurait-elle fait ici à Blois ? Qu’aurait-elle pensé de notre époque ?
Qu’aurait-elle dit en sachant qu’on donnait son nom au plus beau des jardins ?

Questions à jamais sans réponses …
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