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[RP] Le Jardin d'Aspasie

Floralia
Flora regarda morvan, elle n'arrivait rien à voir a travers son visage cela la frustrait et la troublait en même temps.

Un voyage ? Oui pourquoi pas!

Flora réfléchissa un instant et grimaça

En faite, j'ai ma filleul que je dois allée chercher à Sainte-Menehould, à 7 jours d'ici. Il faut que j'attende que celle ci vende son champs afin de venir s'installer à blois. Et justement...je cherche un quelqu'un pour m'accompagner...
Morvandiau
Ah mais ça ne me pose aucun souci Flora ! Au contraire! Je serais ravi de faire partie de l'aventure!! Ce serait mon tout premier voyage! D'ailleurs j'ai une trouille monstre des brigands.

Morvandiau la regardait droit dans les yeux où il sombra littéralement. Elle avait des yeux magnifiques. Il le savait, mais le rayon de soleil qui éclairait son visage la rendait... indescriptiblement belle. Il tourna la tête pour ne pas l'effrayer, et regarda la rivière. Sa pensée se tourna vers la nécessité de trouver un autre sujet de discussion, et très vite !

Alors, quand-est-ce que tu me fais visiter ta maison?

Morvan la dévisageait en souriant, heureux.
Floralia
Oh ben moi aussi, c'est pour cela qu'a plusieurs c'est mieux!


Flora vit que Morvan la fixait, elle rougissa et ne put rien contrôler. Il tourna brusquement la tête ce qui la surprit. Avait-elle fait quelque chose de mal?Elle baissa la tête et regarda ses mains.
Heureusement Morvan prit de nouveau la parole.

Oh mais tu es le bienvenu tout le temps, tu peut passer quand tu le veux!
Nohra
[ passé? future?]

Sorti précipitamment de la taverne ou elle se trouvais, Miline s'avançait sans vraiment voir ou ses pas la menaient. Tous juste si elle percevait les irrégularités du sol de façon a ne pas se retrouver à terre. Cet homme qu'elle avait trouvé étrange, peut être dérangé de prime abord avait fini par éveiller sa curiosité.
Mais le vent avait tourné et sa curiosité muée en une sorte de mal aise, crainte mêlé d'espoir. Larmes et sueur froide avais roulé sur sa peau blême. Puis elle s'était précipitée dehors, droit devant elle, perdue dans son néant. A bout de souffle la blonde se laisse tomber à terre.
Tout en psalmodiant, de ses yeux vide elle regarde le paysage qui l'entoure, à la recherche d'un signe aussi infime soit il.

Plume, roussette, merle blanc, voyageuse, rose blanche, salamandridae, espadon, parrain, lion, pêche, carte, herbe a pipe, feuille de choux, poum-poum, océan, bague, vent................

Peut à peut, la fraicheur de l'herbe tendre la sort de son état second. Miline se relève lentement et entreprend de faire le tour de cet endroit apaisant. Au fil de sa marche elle découvre divers parterre que le printemps par de pousse tendre. Avisant un banc entouré de lilas épanoui, elle s'y pose.
Zelie



sachant que dams était parti pêcher , zelie se décida pour une ballade seule dans les jardins d'aspasie

les oiseaux chantaient gaiement, le ciel malgré quelques nuages était d'un bleu azur éclatant
elle avançait doucement en réfléchissant a toutes ces semaines passées, riches en toutes sortes de sensations ,elle était d'humeur un peu morose ces derniers temps, sans doute un des aléas de la grossesse.....

elle décida d'enlever ses bottes et ses bas, elle voulait sentir ses pieds fouler l'herbe , celle ci était fraiche sous ses pieds, un léger sourire se dessina sur ses lèvres , alors qu'elle continuait d'avancer ses pensées se dirigèrent vers elle, sa nouvelle vie,et ce petit être qui grandissait peu à peu en elle, parfois ça l'angoissait mais elle préférait garder ça pour elle

la vie qu'elle avait était douce et dorée , elle espérait que ce bonheur continuerais , que leurs différents projets aboutiraient, elle savait que parfois elle devrait se laisser plus aller à la douceur de cette vie que dams lui offrait , un être adorable, aimant et si attentionné
elle regarda le ciel en priant intérieurement qu'on lui envoie un signe , que cette vie était réellement pour elle, tout ce qu'elle attendait

elle s’arrêta , fronçant légèrement les sourcils, elle sentait comme des petites bulles, ou des battements d'ailes dans son ventre, elle réfléchit a ce que cela pouvait être, elle s'assit dans l'herbe, puis s'y allongea en posant délicatement ses mains sur son ventre, à nouveau elle sentit ces légers battements elle sourit , en disant que cela devait être ça le signe, celui de ce petit être qui lui montrait qu'il était là et bien là, que sa vie commençait a travers elle, sa maman, celle qui le portait, lui le fruit de cet amour sans faille , cet amour qu'elle savait indestructible, elle sourit en caressant doucement son ventre comme pour câliner ce bébé qui grandissait en elle, comme pour lui faire sentir l'amour qu'elle lui portait déjà ,

elle resta là encore un moment, les mains sur ce petit ventre déjà bien rebondi , en regardant la course des nuages dans le ciel, un sourire aux lèvres
elle aimait ce moment d’insouciance ,celui d’être en communion avec la nature et avec son bébé..........
elle se demandait souvent si ca allait être un garçon ou une fille , ou peut etre les deux qui sait ,elle trouvait que son ventre était drôlement rebondi tout de même ,enfin elle se dit que le principal était qu'il soit en bonne santé , avec dams ils avaient commencé à parler des prénoms, et puis du projet de leur maison, il serait mieux qu'il arrive dans un vrai foyer , il allait falloir organiser tout ça au mieux pour l'accueillir dans un vrai nid douillet, tout passait si vite
elle se dit aussi qu'il faudrait qu'elle aille voir mimi être sure que tout se déroule bien , elle soupira doucement

elle se leva enfin , remit ses bottes et se remit en route vers le village
Maegorn55
Maegorn visitait Blois. Elle voulait tout connaître de ce lieu.
Son homme s'y était installé. Il fallait qu'elle en connaisse tous les recoins.
Après une rapide toilette au Lavoir, la jeune femme fut intriguée par un portail.
Son maïs dans une main, elle en passe le seuil et découvre un bien curieux jardin en hauteur.
L'herbe paraissait tendre et les bancs ressortaient par l'éclat de leur blanc.
Jamais elle n'avait vu pareil jardin. La curiosité la fit entrer davantage.

Plus loin, un terrain un peu en pente au Soleil.
La jeune femme s'y assied et mange son maïs. Quel panorama...
La vue imposait le silence. Si seulement Arthus pouvait être là.
Un sourire doux lui prit les lèvres. Il était occupé ses derniers temps.
Maegorn s'allongea au Soleil, retirant besace et manteau.
Elle aimerait trouver une bâtisse à refaire pour Arthus.
Mais rien dans l'enceinte n'était attirant. Elle chercherait au delà des remparts.
Le Soleil réchauffait un peu sa peau et Maegorn songe qu'un peu de repos ne peut faire de mal...
Aryan
Levé du jour sur le jardin d'Aspasie. Allongée sur l'herbe, Aryan regardait le jardin s'éclairait petit à petit. Dans un soupir, elle se redressa et essuya son visage humide.

Elle était venue ici, le soir pour y rester toute la nuit laissant sa fille avec les doux rêves que Morphée lui apportait. La nouvelle de la veille l'avait abasourdie, il la rejetait totalement.
Etait-ce la femme ou l'amie qui était blessée ? Elle ne savait plus. Regrettait-elle d'avoir franchi cette fine limite qui séparait l'ami de l'amant ? Non ...
Regrettait-elle de ne plus vouloir l'amant et de ne vouloir que l'ami ? Elle ne savait plus ...

Le Vieux Meuble sancerrois sortit un parchemin légèrement jauni sur les bords et dont l'écriture la faisait frissoner. Son écriture à lui ... Lui qui avait été son tout, lui le père de sa fille, lui qu'elle avait voulu rejoindre au plus vite, là-haut, alors qu'on lui refusait. Dans un énième soupir, elle replia ce parchemin puis s'agenouilla devant l'unes des nombreuses plantes du jardin. Il ne s'agissait de mimosa mais Aryan n'en tenait pas compte. Elle creusa un trou, y déposa le parchemin, reboucha le trou.

Aryan garda la main un moment sur le trou juste rebouchée et finit par se relever. Il lui fallait tourner la page maintenant mais elle ne savait si elle noircirait cette page ou la remplirait de couleur.

Sur ces questions, le Courant d'Air s'en alla du jardin et se dirigea vers la maison de son amie. L'heure n'était plus à la vie mais à la survie de nouveau.
David.le.grand
Le jeune homme à l'allure relativement sauvage revenait du lac, pour se poser à l'abri des regards plus ou moins indiscrets des gens qu'il ne connaissait pas. Il avait cependant fait un petit tour du marché avant de partir en direction des jardins pour acheter un chapeau. Le soleil cognait plus fort que ce qu'il avait pensé le matin en sortant, et il avait envie de nouveauté. Son nouveau chapeau lui avait coûté quelques soixante-dix écus, identique à l'ancien si ce n'est la couleur.

Il marchait sous les arbres, tout à ses pensées, imaginant la, ou les personnes qui auraient pu trouver son journal. Tout en espérant qu'il ne finisse pas en feu de cheminée, il se souriait à lui-même, devinant une jeune fillette fleur bleue tantôt souriant tantôt pleurant, ou bien un homme jaloux des amours qu'il avait pu avoir, cherchant revanche ou querelle pour toutes les larmes qu'il avait fait couler.

Trouvant soudainement son bonheur dans le décor sylvain, il allongea sa cape à même le sol, seule séparation entre lui et l'herbe, et il s'assit dessus. Il était perdu à ses pensées, comme souvent, et se prit à écouter le chant des oiseaux qui voletaient d'arbre en arbre, se demandant surement ce que pouvait faire ce violateur de terrain sous leurs branches. Il ne se rendit pas compte qu'il s'était allongé, et qu'il avait fermé les yeux, tout s'était fait trop naturellement. Il s'endormit paisiblement entouré par la nature, le chapeau sur la face, et les rêves tournés vers un livre à la vieille reliure, dans les mains d'il ne savait quel étranger, ou ami.
David.le.grand
Réveillé par sursaut par on-ne-saura jamais quel bruit, le jeune homme se rendit compte de l'heure tardive à la luminosité ambiante. Jurant contre lui-même, il fallait bien qu'il aille gagner de quoi manger, au moins pour une croute de pain. Et la mine, et bien elle ferme la nuit !

Il se ressaisit en quatrième vitesse, et partit en courant à travers bois, manquant plusieurs branches qui auraient pu aussi bien l'assommer, soit dit en passant qu'il aurait au moins économisé une miche de pain, ne se réveillant probablement que le surlendemain. Mais tout ça étant évité, pas la peine d'en parler. Déjà il arrivait dans les coins plus fleuris, et bien évidemment plus fréquentés. Quelques couples se tenaient la main, des gens qu'il n'avait jamais rencontré, mais croisé à plusieurs occasions au cours de ses promenades, d'autres, seuls, écrivaient ou composaient. Le décor avait toujours été sujet à l'inspiration artistique.

Il sortit des jardins, regrettant déjà les quelques minutes qu'il y avait passé, et partit en courant pour arriver à l'heure aux mines de Blois.
Melina_de_valverde
Cela fait très longtemps qu'elle n'a eu le temps de se promener icelieu.. Oui très longtemps... Une époque où elle ne savait pas, plus ce qu'elle devait faire.
Puis peu à peu, elle avait retrouvé le sourire.
Aujourd'hui, encore un changement dans sa vie, mais elle l'a demandé, et l'a obtenu.
Elle n'a pas eu à quémander, juste à prouver.

C'est donc le coeur allégé, le sourire aux lèvres qu'elle entre dans ce fameux jardin d'Aspasie;
Ses pas se font légers, liés à son état d'esprit. Un sourire aux lèvres, elle suit l'allée principale jusqu'à arriver à un banc.

Elle s'assoit quelques instants, pense à tout et rien, à ceux qu'elle a vu passer dans sa vie, ceux qu'elle a perdu de vue, ceux qu'elle ne reverra sans doute jamais, ceux qui elle le sait sont déjà loin.

Un éclair de tristesse filtre dans son regard à cet instant, mais elle le sait, quoiqu'elle fasse, quoiqu'elle dise, les choses sont ainsi... immuables.

Seul l'avenir peut apporter un quelconque changement, un espoir, un bonheur.
Ainsi est la vie, sans cesse elle se renouvelle, avec ses déceptions, avec ses espoirs et nous sommes son jouet.

Ses pensées s'arrêtent là, face à elle un arbre, face à elle un écureuil absorbé par le gland qu'il tient entre ses pattes.

Oui ainsi va la vie... Elle se couvre de son gilet, la fraicheur est tombée, il est temps de rentrer
Marineblanche
Le coeur lourd.
Marine Blanche arriva dans un jardin au hasard et ses jambes décidèrent de se poser là car elles ne la tenaient plus parce qu'il y'a des moments où il faut savoir arrêter de marcher car on prend le mauvais chemin. Ses yeux rougis se posèrent sur le jardin et si elle avait pris le mauvais chemin jusqu'à présent? Dans sa manière d'être, d'agir?
Des fourmis. Elle n'aimait pas trop ses bêtes là mais pour une fois, elle avait envie de les observer. Ils travaillaient, suivaient le même chemin que les humains. Les fourmis qui s'égaraient du chemin, semblaient perdus désorientées. Survivraient-elles? Sans doute mais pour combien de temps? La gamine en avait aucune idée et soupira.
Arrêter de fuir.

Parfois certaines personnes ont des illusions mais quand elles se rendent compte qu'elles sont fausses, la chute n'est plus que brutale. L'humilité s'apprend comme ça.

Un renard passa devant elle sans s'arrêter. Il ne sert à rien d'attacher quelqu'un qu'on aime, il suffit de le laisser libre. L'amitié restera toujours ainsi intact. La corde ne sert qu'a suffoquer...Remise en question. Etre un enfant, c'est facile sauf quand on grandit. Sans doute.

Se lever et prendre le chemin qui lui parait le plus juste.
Tara_blanche



Tara-blanche,dans cette cité de Blois,après son labeur accomplit,passaient de longues heures à flâner au détour des ruelles.Ce mois de juillet,apportait une belle chaleur,elle ne la craignait pas,elle qui venait du sud,de son joli village de Chiavari,au bord de l'océan ,en Italie.Ce matin,elle s'était levée très tôt.Elle se promenait depuis quelques heures,lorsque qu'elle aperçut au fond d'une allée un grand portail,en fer.Elle s'avança et poussa la porte.La devant elle ce qu'elle vit l'émerveilla,un magnifique jardin.Cet endroit lui remémora,tous pleins de beaux souvenirs,lorsqu'elle était une toute petite fille et que sa mère l'emmenait au jardin de Florini a Chiavari.Elle aimait cette nature.Dans la lumière qui commence,regarder les fleurs s'ouvrir,au matin.Les branches des grands chênes qui se balancent,le chant mélodieux des oiseaux,surtout celui du rossignol et du gai pinson.Elle marchait la très lentement,humant l'air frais ,le soleil se levait,le ciel prenait des couleurs, des camaieu de bleus,mêlés de roses.On apercevait encore la rosée du matin qui perlait sur les roses,ouvertes à l'aube levée,toutes plus belles les unes que les autres,la rose rouge,celles que l'on offrait ,en signe d'amour passion,la rose blanche, celle qui traduit ,un amour pur et raffiné,la dignité,l'innocence,le secret caché,les roses roses,sont l'expression de la joie,du bonheur,de la tendresse et de la grâce,elles sont aussi le symbole de l'épanouissement de la beauté de la femme,et d'une sincère amitié.Les roses jaunes,quant à elles,sont aussi le symbole de l'amitié,mais parfois,elles symbolisent l'orgueil,la froideur,la perte d'amour et l'infidélité et de la jalousie.
Dans ce merveilleux jardin d'Aspasie,toutes sortes de jolies fleurs, se côtoyaient,là en une ronde d'amitié,le jasmin ,couvert de jolies petites minuscules fleurettes blanches ,qui exhalent un parfum enchanteur.Les Héliotropes,les violettes,les oeillets,toutes les joyeuses et belles fleurs d'été qui en ce mois de juillet donnaient au jardin un air de fête perpétuel.
Tara longeait les allées,son regard posé ça et là,sur l'étang ,elle admirait,les nénuphars,se balancer doucement,une grenouille vint se poser délicatement sur l'un d'eux.Certaines personnes n'aiment pas ces batraciens,elle ,elle aimait les écouter le soir dans le silence, de la nuit sous le ciel constellé d'étoiles,donner leur concert,des amours naissants.L'eau était aussi son élément,elle adorait passé des heures à regarder la mer,mais là elle avait les bords de Loire,ou elle irait se promener dans les jours prochains. Un léger bruit effleura son oreille,un écureuil malicieux,la regardait,comme elle aurait voulut l'attraper le coquin,mais là,il avait déjà disparut ,caché au sommet du grand chêne ancestral et majestueux,le roi des jardin,sous lequel on aimait s'asseoir,et rêvasser des heures ,sortir son velin pour y coucher quelque prose,rêver au prince charmant.La brunette avait bien eut quelques émois,pour un jeune damoiseau,mais rien de sérieux,juste une petite amourette d'adolescente,et là elle l'attendait son prince charmant ,a elle, celui avec qui elle fondrait une vie à deux,le parfait bonheur,une jolie maison ou gambaderaient des enfants.,ou résonneraient leurs cris de bonheur.Toute dans ces douces rêveries,elle n'avait pas vu l'heure tourner,et là vite il fallait partir travailler.Elle s'en alla l ,en pensant déjà a demain,ou elle reviendrait dans ce joyeux et beau jardin..........Et si c'était cela le paradis terrestre ,pensa-t-elle,celui ou elle croiserait peut-être un jour les anges,son ange gardien, Mehaliel,qui la protégeait depuis sa plus tendre enfance,oui ,elle y croyait a ses anges de la lumière,tout comme sa maman,c'est surement pour cette raison qu'elle lui avait donner ce joli prénom de Tara-blanche,qu'elle trouvait très joli .......merci maman dit-elle tout bas.Elle referma la grille du jardin,et partit en sifflotant,le coeur léger en direction de la mine ......

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Natasha
Le séjour en Touraine n’était qu’un souvenir… mauvais pour le moins, mais un souvenir. Le trajet s’était fait dans le silence, comme souvent ; la slave, plongée dans son mutisme habituel durant les voyages, chevauchait en tête… Les remparts blésois passés, un soupire de soulagement lui échappa ; oui, le séjour tourangeaux n’était plus qu’un mauvais souvenir. Les montures laissées aux soins d’un palefrenier, ils vadrouillèrent dans les rues dans un calme affecté… le verdict pesait comme une épée de Damoclès mais pas seulement ; aux abords du lac, ils dénichèrent une échancrure et montèrent le bivouac avant de se séparer.

La platine arpenta le dédale blésois jusqu’à la mairie ; contrat signé, elle prit le temps de se balader… flânant ainsi, elle avait tout loisir de penser ; songer à quelques discutions passées, des gestes, des regards… un frisson lui glaça l’échine tandis que l’évidence se faisait et le poison de se distiller de nouveau dans son sang ; la journée s’égraina douloureusement comme le corps se nourrissait d’agressivité. Le soir venu, elle se risqua à rencontrer les citoyens dont l’accueil fut agréable ; charmantes personnes qui lui racontèrent leur cité et d’autant, le jardin qu’elle rejoignait à la lueur blafarde de la lune.

La nature avait cette faculté de l’apaiser… soit de supporter sa violence quand elle s’acharnait à frapper un arbre, soit d’insuffler sa quiétude quand elle s’autorisait à la l’écouter, la sentir. Oui, en ce soir de juillet, elle tempéra sa rage et profita de la nuit pour communier avec la terre.
Tara_blanche


Ce jardin,une vraie merveille de la nature,prêtait au vagabondage de l'esprit, c'est là qu'elle se plaisait ,a passer quelques heures,dans cet endroit,enclin aux plus douces rêveries.Que de plus merveilleux que la poésie,celle qui vient du plus profond de notre âme.Coucher sur la toile,ces vers qui évoquent,les merveilles de la nature,le printemps et ses fleurs.Tara,dans ce silence,sortait son velin et écrivait là ,des pages entières,Ces vers qui évoquent les merveilles de la nature, le printemps et ses fleurs sont l’occasion pour elle poète ,de se laisser aller à tout ce tableau estivale,les fleurs d'été,éblouissaient.Assise sur ce banc de bois vermoulu par le temps, humant l'air frais du matin,se laissant emporter par l'odeur succulente des fleurs de jasmin.Toutes ces belles au jardin d'Aspasie exhalaient leur senteur,à l'approche du jour,ce jardin est un vrai parfumeur,les oiseaux lancent leurs chants mélodieux,par dessus les branches des grands arbres ancestraux.Le rossignol, plein d’éloquence,mêle son chant haut et clair,au son des cordes et aux refrains des chansons ! Douce est la lumière du matin,je regarde les branches danser,chaque fois que la brise passe,tout ici n'est que charme et beauté,l'eau comme un serpent s'échappe des bassins,et lui parmi les plantes,tel un sabre étincelant.Tout comme elle,des passants,venaient là admirer cette majestueuse beauté,écoutaient le silence,des matins qui langoureusement s'ouvraient pour le plaisir des poètes,avant que ne viennent ,les visiteurs,ces couples,avec leur joyeuse ribambelle d'enfants,qui courent comme de joyeux lutins,parmi les allées ombragées du jardin,s'amusant de tout et de rien,du chant de l'oiseau du papillon mutin aux multiples couleurs,qui d'un bruissement d'aile leur frôle le bout du nez ,les faisant rire aux éclats.Quand le moment du goûter est venu,les jolis mamans,leurs servent une belle tranche de pain toute dorée,recouverte de confiture,qu'elles ont confectionnées avec amour pour leur progéniture.A quel joli spectacle que de les voir là si heureux et réjouis, quand l'heure sonne les six heures à l'église du clocher,tout ce petite monde retourne à la maison,et le jardin reprend ces allures solitaires ou les poètes à nouveau peuvent s'installer,et retourner a nouveau, leur âmes à la poésie..........


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Clealan
Arrivé la veille il avait retrouvé des amies, une pour laquelle il avait spécialement fait le voyage et l'autre qu'il s'était promis de visiter dès que son poste le libérerait de toute obligations, il avait donc pris la route et était arrivé dans la ville la veille au matin, après avoir pris un peu de repos il se rendit au bord du lac, y déchargea sa barque et laissant grimper les enfants ils se lancèrent à la conquête des flots. Puis ils avaient rejoint Aryan dans une taverne après avoir fait une belle partie de pèche, il avait pu voir Wen, et bien sur ils avaient échangé souvenirs et nouvelles.

Après avoir suivi Ary jusqu'à sa demeure, ils avaient organisé les couchages, se promettant d'aller se promener le lendemain dans les jardins D'Aspasie. La petite famille se lancait maintenant à la découverte du jardin.



Bien Aryan toi qui connais, par où commence t on? Tu m'as dis qu'il y avait toutes sortes de plantes, d'arbustes d'essences différentes.

Lui prenant la main doucement il murmura


Je te suis, je me laisse guider.
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