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[RP]Eglise Notre Dame de l'Espérance de Compiègne

Yut
Il entra dans l’église et envoya un bedeau sonner les cloches, pendant qu’il accueillait les fidèles sur le parvis.





Bonjour à tous, chers fidèles et bienvenue dans la Maison du Très-Haut. Premièrement, je vous souhaite une très bonne année 1459, qu’elle soit emplie de plaisir.

Commençons par confesser nos péchés.
Citation:
Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere.
Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa.
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.




Maintenant, récitons le Credo.



Il prit son Livre des Vertus.

Citation:
Chapitre 9

Et c’est de cette manière, que, marchant de village en village, Christos répandait ainsi la bonne nouvelle aux foules qui s’assemblaient. A chaque fois, les gens étaient frappés de la justesse de ses paroles et de la puissance de ses mots. Si bien que la renommée de Christos se répandit en Galilée jusque dans les recoins les plus éloignés, et que les foules venaient de plus en plus nombreuses sur les places où Christos parlait.

Il disait souvent : "Aimez Dieu comme Il vous aime et vivez en toute amitié avec les autres, comme vous l'a enseigné Aristote." ou " Croyez en l’amour que Dieu vous porte, et aimez Dieu à votre tour. "

Et il répétait: "Que votre solidarité ne connaisse pas de frontières ! Souvenez vous, mes amis, qu'Aristote vivait dans un pays d'une culture peu tolérante pour les autres peuples. Aujourd'hui, vous devez savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la liberté et à notre amitié."

Enfin, il concluait: "De même, la solidarité et l'amitié ne sauraient être restreintes par une frontière des sexes. Car les hommes comme les femmes sont les enfants de Dieu et en cela, ils sont égaux."

Sur les chemins, il croisait des malades et des infirmes, et nous vîmes alors des choses extraordinaires : il suffisait que Christos touche un lépreux ou un aveugle pour que son handicap disparaisse. Les malades, à son approche, se sentaient revivre, et pleins d’un nouvel espoir. Les muets se remettaient à parler, les sourds à entendre, les aveugles à voir, les paralysés à marcher, et tous, ensuite, bénissaient Christos et le Très haut, les louant et les remerciant de toute leur âme.

Un jour, notre petite troupe de pèlerins recueillit même un homme très mal en point, qui venait de se faire agresser sur une route. L’homme n’avait plus grande force, et ne pouvait plus marcher. Il n’avait pas bu depuis longtemps. Alors Christos se tourna vers l’homme assoiffé, et lui dit :

" Lumière, Lumière, tu es la lumière au sein de la lumière. Ta foi te fait lumière et t’a sauvé ! "

Nous n’avions pas d’eau pour abreuver le pauvre homme, mais Christos nous dit : " Ce n’est pas grave, il n’aura qu’à boire dans mes mains. "

Et, de fait, Christos s’agenouilla, joignit ses mains pour en faire une coupe, qu’il tendit au malheureux. Alors, l’incroyable arriva, les mains de Christos se remplirent d’eau et l’homme put boire à satiété.

Lui ayant ensuite donné à manger, nous le chargeâmes enfin sur nos épaules et le conduisîmes jusqu’au village où il habitait.

Et ceci n’est qu’un exemple des nombreuses choses prodigieuses que fit Christos lorsque nous l’accompagnons sur les chemins. Ces choses, il les faisait toujours de la manière la plus naturelle et la plus simple qui puisse être, alors que nous étions subjugués par le pouvoir que Dieu mettait en lui.
Et nous continuions notre chemin, avides d’amour et de vérité, suivant notre messie tandis qu’il nous racontait de nombreuses paraboles qui me resteront gravées dans la mémoire et que je voudrais aussi vous transmettre, mes amis, lorsque l’occasion m’en sera donnée…

Nous nous approchions de Jérusalem, la grande ville grouillante d’une population cosmopolite et riche d’identités.

Christos apportait la paix et la bonne nouvelle partout où il passait, répandant la vertu de villes en villes. Nous devons nous en réjouir, car maintenant, c’est ce qui nous donne la chance du Salut. Prenons exemple sur Christos, le Messie de notre Religion, qui en apportant la foi a pu nous sauver! Pour cette nouvelle année, emplissons-nous de Vertu et répandons là comme le faisais Christos!




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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »
Yut
Le jeune Prélat envoya un bedeau sonner les cloches alors qu'il accueillait les fidèles sur le parvis.





Lorsque l'église fut remplie, il se dirigea vers l'Autel.

Bien le bon jour, mes enfants.Bienvenue dans la Maison du Très-Haut, en cette froide matinée de janvier.

Commençons par confesser nos péchés.



Maintenant, récitons le Credo.



Il prit son Livre des Vertus et le tourna à la page désirée.

Citation:
Livre II - Vita de Christos
Chapitre VIII


Ah, mes enfants, ce que nous dit alors Christos nous illumina ! Ses mots sont restés gravés dans ma mémoire.

" Mes amis, nous dit-il, ne vous méprenez pas ! Ceux qui ne vivent pas dans l’amitié que nous a enseignée Aristote, ceux-là brûleront dans les mille flammes de la géhenne.

Ceux qui cèdent trop vite aux tentations des péchés, ceux qui ne connaissent pas la vertu, ceux-là finiront dans la souffrance et la solitude de l’enfer.
Ceux qui cèdent à la voix mielleuse du pêché, qui sont séduits par son discours, ceux-là iront l’accompagner dans les ténèbres.
Ceux qui, enfin, se passent de l’amour de Dieu et des Hommes, qui se réfugient dans leur seul égoïsme, ceux là termineront dans l’abîme infernal.

Aussi, prenez garde, mes frères, soyez attentifs et vigilents ! Car nul ne le connaît, le jour où les prophéties se réaliseront. Nul ne le connaît, le jour de la fin des temps. "

Nous écoutions attentivement ce qu’il disait, ayant l’intuition que ce jour était décisif pour notre vie future. Et les neuf qui s’étaient interposés restaient bouche-bées devant tant de justesse, devant un tel homme.

Christos reprit :

" Vous voulez me rejoindre ? Dans ce cas ayez beaucoup d’amour dans votre cœur et suivez-moi, partagez un peu de votre temps et de vos biens le temps que vous pourrez. Par contre si vous choisissez de vous dédier à guider les autres sur la voie de l'Eglise, il faut alors que vous soyez prêts à lui donner priorité. Alors prenez de la distance par rapport à vos biens, à votre travail, à vos outils, dites au revoir à votre famille… Préférez la simplicité et l'instruction aux riches ornements et aux beaux atours. Car notre tâche nécessitera de sacrifier le bien personnel au bien collectif, mais en échange vous serrez sacrés parmi les enfants de Dieu. "

Et il dit encore :

" Si votre famille ne vous comprend pas, priez pour elle, car elle n’est pas sensible au message de Dieu.
Si celui qui vous embauche vous en veut, ne lui en voulez pas, et priez pour lui, car il n’est pas sensible au message de Dieu.
Si vos amis vous retiennent, alors entraînez-les avec vous, afin qu’ils découvrent aussi le message de Dieu.

La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas. Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous uniront et Dieu nous portera.

Si vous voulez vivre seuls, raisonner seuls, manger seuls, marcher seuls, alors rien ne vous en empêche, passez votre chemin et réfugiez-vous dans l’amour de vous-mêmes.

Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors personne ne vous relèvera.

Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude, si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher avec vos frères, alors venez à moi et suivez-moi.

Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère s’arrêtera, et vous relèvera. "

Et nous, ses amis, écoutions et approuvions Christos. Nous étions désormais douze pour le suivre. Les six femmes se nommaient Calandra, Adonia, Hélène, Kyrène, Ophelia et Uriana. Les six hommes se nommaient Daju, Thanos, Paulos, Nikolos, Titus et Samoht, votre serviteur.


Dans ce texte, Christos nous fait comprendre l'importance du partage. Si vous vivez dans l'égoïsme, alors seul vous resterez, durant les moments difficiles de la vie. Mais si vous tendez la main envers votre prochain, et qu'à votre tour il vous arrive de douter ou d'être dans le besoin alors il vous suffira d'ouvrir les yeux pour voir devant vous un sourire et une main tendue. Les biens sont éphémères et ne servent qu'ici bas. Au moment du jugement dernier, Dieu ne vous jugera pas sur votre fortune mais sur vos actes. Alors partagez ce que vous avez de plus précieux avec votre prochain: un sourire, un peu de nourriture, une épaule pour consoler, et vous verrez que tout ceci est bien plus précieux et bien plus agréable quand il est fait sans attente de retour.

Venez communier, maintenant, mes enfants.




Puis, il clôtura la cérémonie, et salua les fidèles qui sortaient.


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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »
Armaury_de_thenac
Armaury en bon aristotélicien arriva devant le porche de l'Eglise ou il gravit les marches au son des cloches.

Lorsqu'il entra il prit un peu d'eau fraîche du bénitier et fit son signe de croix.

Il fut surpris de voir que l’église été presque déserte, toutefois par respect il alla s'asseoir sur l'un des bancs et attendit le serment du père Yut.

Il récita son credo en attendant d'un voix murmurante....


Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'a son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant.


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Ereon
Ereon alla à l'église. Il y a fort longtemps qu'il n'avait pas place un pied dans une église.

Il resta en fond sur un banc à écouter durant la messe.
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En attente du nouveau blason
Nicolas__eymerich
Nicolas venait d'arriver le matin même à compiègne. Après être passé à l'auberge pour y déposer bagages et montures, il passa tout naturellement à l'église. La porte était ouverte, comme pour toutes les églises, et il y entra donc sans problème, non sans ressentir un léger frisson en se rappelant quelques évènements encore récents.

Tandis que son écuyer faisait le guet dehors, le seigneur vérifia qu'il n'y avait personne à l'intérieur, puis, une fois sur d'être tranquille, déboutonna ses braies et se vida la vessie dans un récipient en pierre placé à l'entrée, probablement là où les fidèles puisaient de l'eau censément bénite pour se signer. Et bien désormais, ils auraient de l'eau bénite odorante et colorée, ça les changerait un peu.

Une fois son méfait accompli, il ressortit l'air de rien et alla se promener dans le quartier des dones de mal viure de la ville.


ah oui le bénitier, j'avais oublié le terme, merci ljd yut.
Yut
Le Prélat l'attraperait bien un jour, ce spinoziste. Il demanda à un jeune homme de laver le bénitier, et repartit dans la sacristie, grommelant.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »
Robin
Robin avançait sa cape ou armoirie de la maréchaussée , couvrant et découvrant la garde de son épée , au rythme de son pas soutenu . Le jeune sergent avait aperçu son Excellence Yut , plus tôt dans l'après midi et l'avait trouvé fort inquiet.
Ayant eu vent de ce qui c'était passé la veille dans l'église , il décidât d'effectuer une ronde improvisé autour de l'édifice .
Bien-sur il n'avait aucun pouvoir au sein même du monument religieux mais rien ne l'empêchait de venir si recueillir un moment , vérifiant par la même occasion , que tout soit calme.
Il rentra donc après avoir fait le tour de l'église de Compiègne et passa vers le Bénitier , constatant que le contenant étit remplit d'une eau pur et clair , lavée du sacrilège de la veille .
Il se signa donc et longea calmement l'allée centrale regardant à droite et à gauche les ranger de bancs.
Arrivant devant l'autel il s'arrêta un instant et égrena quelques paroles inaudible .
Pensées pour ses amis en Savoie , priant pour leur salut !
Pensées pour sa soeur et son amie Mei , espérant que ses prières leur apportent le bonheur .
Et enfin il termina par une pensée et une prière personnel , confiant dans celle-ci , le bonheur et la joie qu’il éprouvait dans son couple et l‘espoir qu'un jour il pourrait se présenter devant le très haut dans sa maison pour s‘unir avec celle qui avait conquit son coeur et qu'il aimait plus que tout.

Puis l'Archer de Compiègne se signa de nouveau , mettant humblement genoux à terre , avant de faire demi tour pour ressortir et attendre un peu sur le perron de l'édifice.

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Alienor_vastel
Une jeune fille, plus encore une enfant, pas encore une femme, poussa la porte du lieu de culte, et laissa ses yeux s’habituer à la semi pénombre du bâtiment. Elle se glissa dans l’église et referma la porte derrière elle, pour ne pas laisser s’engouffrer le vent frais. Mais sans que cela ne la réchauffe pour autant.
Elle avait hésité à venir, la blondinette, repoussé sa « visite », se trouvant toujours une bonne excuse. Pourquoi, elle ne le savait pas vraiment, dernière étape du pèlerinage qui la conduisait en les lieux fréquentés autrefois par ses parents, la famille et les amis de ceux-ci. Peut-être aussi parce que la pastorale qu’elle venait de commencer, et qui débouchera sur la confirmation de son baptême, n’était pas sans lui rappeler que c’était en ces mêmes lieux qu’elle avait déjà été baptisée, bébé. Et que, de ceux qui avaient assisté à la cérémonie, il ne restait plus beaucoup de vivants. Ses parents, morts, leurs suzerains respectifs aussi, de même que son parrain. Seule sa marraine vivait toujours, mais accepterait-elle de renouveler cette confiance que les parents de la blondinette lui avaient autrefois confiée ?

Aliénor s’avança doucement, silencieusement vers l’autel, avisa un prie-dieu et s’y agenouilla. Une prière, oh, pas une de celles apprises et récitées par cœur au point que l’on n’en sait plus vraiment le sens, mais une qui vient du cœur. Elle s’adressa au Très-Haut, bien sûr, mais aussi à ceux qui l’accompagnaient, où qu’ils soient maintenant.

Puis elle se releva, porta la main à son cou et serra légèrement la chaîne qui y pendait, sans se rendre compte que, par ce geste, elle heurtait du coude un grand bougeoir en métal qui se trouvait à ses côtés. Lequel tomba et heurta le sol en un grand fracas qui résonna dans l’église vide.

L’adolescente se précipita, redressa l’objet en s’assurant qu’il n’y avait aucun dommage ; heureusement qu’il ne portait pas de bougies, avec sa maladresse ça aurait pu mettre le feu à l’église, bien sa veine, tient !
Hésita entre un éclat de rire peu adapté à la solennité du lieu, ou faire comme si de rien n’était. Opta finalement pour la seconde solution et se dirigea vers la sortie tout en resserrant sa cape autour d’elle pour se préparer au froid extérieur.

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Jerome1976
j'entrais d'un pas songeur dans l'église de compiègne. c'était le dernier village avant d'arriver dans l'artois, malgré tout mes voyages, jamais mes pas ne m'avait mener juste a ce duché.

néanmoins, je fut apaiser par le silence qui régnait dans l'église, je m'installais sur le banc afin de prier quelques instants
.
Mickia
Mickia arriva sur le parvis de l’église…
Et pénétra en ce lieu sans bruit…

Après une génuflexion, elle se dirigea vers l’autel …
Mais, apercevant Jérôme elle alla s’asseoir tout prés de lui !

Elle ne connaissait pas tout et ne comprenait pas toujours tout…
Dans ce monde qui l’entourait…et qui des fois la dépassait…

Mais au moins elle savait ce qu’elle voulait…
Mickia, glissa sa main doucement dans celle de Jérôme…


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Jerome1976
tandis que j'étais plongé dans mes pensées, je sentis un main se glisser dans la mienne, un simple regard me suffit pour voir que c'était mickia.

le fait de sentir la main contre la mienne me réchauffa le coeur.
je n'imaginais pas la vie sans elle, et avec elle je voulais de partager.

tandis que je regardais l'église je lui sourit et lui dit


belle église, ça doit être un belle endroit pour se faire baptiser ou se marier, n'est pas mon coeur ?
Mickia
Mickia tourna ses yeux vers Jérôme en souriant…

Elle trouvait que l’église était belle,
et comme dans toutes les églises ,elle y puisait une certaine sérénité…
Elle pressa davantage sa main dans celle de Jérôme…


Oui en effet mon cœur c’est un bel endroit…

Puis son regard se dirigea vers l’autel, laissant des images envahir ses pensées…

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Yut
Le Prélat arriva, sortant de la petite sacristite. Il fit un signe de tête, puis dit avec un sourire:

Est-ce là vos intentions, mes enfants? Vous baptiser pour ensuite vous marier?
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »
Jerome1976
a peine mickia avait répondu a ma question que j'entendis une voix qui nous dit

Est-ce là vos intentions, mes enfants? Vous baptiser pour ensuite vous marier?

je me retournais pour voir un arriver arrive a nos cotés, bien que je le connaissais pas, je me doutait que ça devait le curé de cette paroisse
je m'inclinai pour le saluer et lui répondis


bonjour, pardon je nous avait pas vu, permettez moi de me présentez jerome1976, et voici ma compagne mickia nous venons de troyes et pour répondre a votre question.

je parlais juste en général, mickia et moi avons prier dans pas mal d'église, et j'étais simplement admiratif de cet église.

et pour ma part je suis déjà baptisée, et pour le mariage ce n'est dans l'immédiat, et pour ma compagne mickia, ma foi je lui laisse le soin de répondre.


puis je laissai la parole a mickia
Mickia
Mickia, d’un sourire poli rendit son salut au prélat …

Oui, mon père, en effet, c’est certainement ce que nous ferons un jour…
Quand nous serons fatigués de voyager et serons installés dans un village.

Mais pour l’heure nous devons reprendre la route.


Mickia, après un signe d’adieu, se dirigea vers la sortie de l’église, en compagnie de Jérôme.

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