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[RP] 1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette

Pailettedargent
Quelques instants plus tard,Pailette arriva dans le salon.

-Coucou,vous deux!...Les filles et Joseph jouent dans la chambre,j'en profite pour venir vous embêter.

Elle s'installa près d'Henri,admirant leur fille.

-Qu'est ce qu'elle est belle...Une vraie petite merveille.

Anaïs serra le doigt de sa mère dans sa petite main.Pailette se tourna vers son époux.

-Heureux d'être à la maison?!..Ça fait du bien de se poser,de se retrouver ici.
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Henri_de_plumaugat
Citation:
- Coucou, vous deux !... Les filles et Joseph jouent dans la chambre, j'en profite pour venir vous embêter.


- Nous embêter ? Dis ma puce, est-ce que maman nous embête ? On lui demande de partir ? Oh bah oui ! Ca te fait rire, comment maman pourrait nous embêter.

Ils se serrèrent un peu tous les trois.

Citation:
- Qu'est ce qu'elle est belle... Une vraie petite merveille.


- Oui... Elle est très belle, nous avons vraiment bien réussi. Mais elle grandit trop vite. Comme tous les enfants d'ailleurs.

Citation:
- Heureux d'être à la maison ?!... Ça fait du bien de se poser, de se retrouver ici.


Henri la regarda.

- Oui, je suis heureux d'être de retour chez nous, ça fait du bien, comme tu dis. Mais même toi, la grande voyageuse, tu es contente de te poser ?

Il lui sourit malicieusement.
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Pailettedargent
-Oui,même moi,je suis contente d'être rentré.

Pailette lui sourit,l'embrassant tendrement.

-Dis moi...Trois filles,un garçon...Hum..L'équilibre est rompu,tu ne trouves pas?

Elle lui fit un sourire,amusée.
Anaïs se mit à gazouiller,les fixant de ses grands yeux bleus.

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Henri_de_plumaugat
Henri répondit à son baiser tout aussi tendrement.

Citation:
- Dis moi... Trois filles, un garçon... Hum... L'équilibre est rompu, tu ne trouves pas ?


- Oui, il va falloir remédier à cela.

Il lui rendit son sourire.

- Mais... Et si c'est encore une fille ?

Attiré par les gazouillis d'Anaïs, il regarda leur petit bébé.

- Tu me diras, si c'est pour avoir des bébés comme celui-là, ça ne me pose aucun problème.
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Pailettedargent
-Ça ne me pose pas de problème,non plus...Et puis si c'est encore une fille et bien c'est que Dame Nature en a décidé comme celà.

Pailette caressa tendrement la joue d'Anaïs.
Violette arriva en courant.


-Papa!On va voir G'ibouille?Dis oui...Plait!

Elle regarda son père avec un petit air de malheureuse,ce qui fit sourire Pailette,elle reconnaissait bien sa fille,les mêmes mimiques qu'elle.
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Henri_de_plumaugat
- Papa ! On va voir G'ibouille ? Dis oui... Plait !

Henri s'y attendait quelque peu. Aussi, il tendit Anaïs à son épouse. Il les embrassa toutes les deux et dit à Violette :

- Ne fais pas cette tête, petite charmeuse, ça n'a aucun effet sur moi.

Oh le fieffé menteur ! Comment pouvait-il dire cela... En riant il attrapa Violette et lui fit des chatouilles.

- En plus de cela, petite mademoiselle, on ne dit pas "plait" mais "s'il te plaît".

Il finit par la lâcher non sans l'avoir mangée de baisers.

- Allez, va mettre ton manteau et tes chaussures, que nous allions voir ton petit camarade.

Il la suivit pour s'habiller également. Faisant un détour par la cuisine, il prit un fruit acheté le matin même pour attirer le petit écureuil.

- Alors, tu es prête ?
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--Violette.
-Viiii!Suis p'ête!

Violette attrapa la main de son père pour l'attirer dehors.
Ils prirent le chemin vers le lieu de l'écureuil.
Elle lâcha sa main pour gambader un peu partout,courant après un papillon,s'arrêtant près d'une fleur,observant une abeille.
Violette revint près de son papa en souriant lorsqu'ils approchèrent de l'arbre de Gribouille.


Henri_de_plumaugat
- Viiii ! Suis p'ête !

Henri se laissa entraîner dehors par sa petite Violette qu'il aimait tant. Il aimait la voir si heureuse. Arrivés à l'arbre de Gribouille, elle revint vers lui. Il lui mit le fruit dans la main puis lui murmura :

- Je suis sûr que tu lui a manqué tout autant qu'il t'a manqué.

Ils restèrent un moment en silence.

- Appelle-le doucement.

- G'ibouille ! G'ibouille ! Viens me voir !

Il était là, attendant cette petite fille si gentille qui lui apportait toujours de bonnes choses. Elle lui avait beaucoup manqué. Il fut tellement content de la revoir qu'en quelques bonds il fut sur sa main, la regardant de ses petits yeux coquins.
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--Violette.
Violette,ravie de voir son écureuil,un large sourire vint illuminer son visage.
Gribouille grignota son fruit,s'éloignant,non sans avoir jeté un petit regard vers la petite fille.


-Papa!Il est venu!

Elle alla dans les bras de son père,toute heureuse,lui faisant un gros câlin.
Elle le regarda de son air sérieux avant de lui refaire un grand sourire.

-Ze t'aime papa.


Henri_de_plumaugat
- Papa ! Il est venu !

Henri la prit dans ses bras et la serra très fort contre son cœur.

- Oui, il est venu. Tu vois, il ne t'a pas oublié, et il t'aime lui aussi, il n'a pas peur de toi. Bientôt il voudra rester un moment avec toi, tu verras.

- Ze t'aime papa.

Comment résister à une déclaration pareille...

- Moi aussi je t'aime ma grande fille.

Il l'embrassa très fort. Ils firent quelques pas ensembles, l'un contre l'autre. Henri était complètement fou de sa famille. Chacun de ces instants le remplissait de bonheur. Il s'arrêta d'un seul coup et dit à Violette :

- Et si on lui faisait une petite maison dans la quelle il serait bien, et qu'on lui fabriquait des jeux pour qu'il puisse s'amuser. Tu pourrai le voir plus souvent, et il serait très content, qu'est-ce que tu en penses ?
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--Violette.
Violette s'arrêta en ouvrant de grands yeux

-Viiiiii!

La petite sautait de joie

-On commence tout de suite,hein,papa!Dis oui!!!!!

Violette s'imaginait dejà pleins de choses pour Gribouille.

Henri_de_plumaugat
- Viiiiii !

Henri connaissait le caractère enthousiaste de sa fille, mais là, il voyait que sa joie ne connaissait pas de bornes.

- On commence tout de suite, hein, papa ! Dis oui !!!!!

- Attends ma grande, on va d'abord demander à maman si elle est d'accord, elle a peut-être prévu quelque chose. On commence par rentrer, et ensuite on verra.

Cette réponse ne plut pas trop à Violette. Henri la prit dans ses bras.

- Ne fais pas cette tête-là, il faut que tu comprennes qu'on ne fait pas toujours ce qu'on a envie dans la vie. Si maman est d'accord, on commence tout de suite, sinon, on attendra un peu.

Il la déposa par terre, l'embrassa très fort et lui dit :

- Allez, cours le lui demander !
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Pailettedargent
Pailette vit arriver sa fille en courant,elle soupira.

-Violette...Combien de fois,je dois te dire que l'on ne court pas dans la maison?!

-Maman...Avec papa,on va fai'e une maison pou' G'ibouille!
-Oooh très bien çà,vous allez la commencer quand?

-Tout de suite!!!...On peut ,hein?!

-Biensûr mon coeur..Et si tu prenais Joseph et Batoune pour vous aider?

Violette fit sa fameuse mimique...Retroussement de son nez.

-Na...Que papa et moi!

Elle croisa ses bras sur sa poitrine et fit la moue.
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Henri_de_plumaugat
Henri arriva un peu après sa fille et ne suivit que la fin de la conversation entre Pailette et Violette.

- Na... Que papa et moi !

- Batoune et Joseph jouent en haut, laissons-les. Ils viendront nous aider plus tard. Bon, puisque maman est d'accord, arrête de faire ta mauvaise tête et viens travailler avec moi.

Il tendit la main à sa fille qui la prit sans vraiment retrouver le sourire.

- Tu sais que ce n'est pas bien ce que tu fais. il ne faut pas faire la tête dès qu'on te dit quelque chose qui ne te convient pas.

Ils allèrent tous les deux dans l'atelier d'Henri et se mirent au travail. Enfin, Henri se mit au travail. Violette l'aidait comme elle pouvait, avec plus de bonne volonté que d'efficacité, mais c'est normal à son âge. Ils construisirent donc une petite maison pour l'écureuil, dans laquelle il serait libre de venir ou non.



Ils la portèrent fièrement tous les deux jusqu'à l'arbre où ils la fixèrent. Pour lui permettre de s'amuser, Henri et Violette imaginèrent tout un parcours, partant de la petite maison jusqu'à la mangeoire. Ils y passèrent beaucoup de temps, mais finalement ils finirent par aboutir. La question était : viendrait-il... Après quelques temps d'attente, Gribouille pointa son petit museau. Violette était complètement immobile, sa main serrait très fort celle de son papa. Et d'un seul coup, Gribouille se lança
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--Violette.
Violette se mit à sauter de joie en voyant Gribouille

-Papa!Il l'a fait!

Un sourire s'afficha sur sa frimousse,elle ne lâcha pas la main de son père.
La petite étouffa un baillement,la journée fut longue et riche en émotion,elle s'appuya contre son papa.

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