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[RP] 1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette

Henri_de_plumaugat
- Papa ! Il l'a fait !

Henri sentit Violette s'appuyer contre lui. Il la regarda et vit ses petits yeux lourds. Il se baissa et la prit doucement dans ses bras.

- On va aller vite manger et faire un gros dodo ma puce.

Violette mit ses deux bras autour du coup de son papa et ne bougea plus. Rentrant à la maison, Henri s'approcha de Pailette :

- Je crois qu'elle est fatiguée. Il va être temps de les faire manger et de les coucher. Ils sont sages là-haut ?
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Pailettedargent
Pailette sourit en voyant Henri et leur fille

Citation:
- Je crois qu'elle est fatiguée. Il va être temps de les faire manger et de les coucher. Ils sont sages là-haut ?


-Le repas est prêt...Là haut,de vrais petits anges!D'ailleurs,je vais les chercher...La soupe est chaude,je te laisse t'occuper de Violette.

Elle alla à l'étage,découvrant Batoune et Joseph entrain de jouer

-Coucou vous deux,vous venez,nous passons à table et après au lit.

Pailette attrapa Joseph dans ses bras pour descendre.

-'A g'and moi!

-Je sais mais pas pour les escaliers.

Ils arrivèrent tous dans la cuisine,la famille au complet.
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Henri_de_plumaugat
Citation:
- Le repas est prêt... Là-haut, de vrais petits anges ! D'ailleurs, je vais les chercher... La soupe est chaude, je te laisse t'occuper de Violette.


- D'accord mon amour.

Henri déposa doucement Violette sur une chaise. Ayant servit une assiette de soupe, il la déposa devant Violette.

- Tiens ma chérie, ça va te faire du bien. Mange pendant que c'est chaud, mais ne te brûle pas.

Il goûta la soupe puis souffla dessus pour la refroidir un peu. Il finit de mettre le couvert pour le reste de la famille qui arrivait. Tout le monde s'assit autour de la table et mangea de bon appétit.

- Elle est délicieuse ta soupe, ma chérie !
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Pailettedargent
Tout en mangeant,ils discutèrent de tout et de rien mais surtout de la nouvelle petit maison de Gribouille,Pailette observa Violette.

-Et bien ma chérie,tu vas aller au lit,tu tombes de fatigue.

-Naaaa,pas v'ai!

Elle se mit à bailler à s'en décrocher la mâchoire.

-Je ne dirais pas comme toi,allez viens.

Pailette prit la petite par la main,la laissant faire un bisou à tout le monde et l'emmena se coucher.
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Henri_de_plumaugat
Lorsque Violette s'approcha pour lui faire un baiser, Henri l'embrassa.

- Dors bien ma grande fille. Je viendrai te faire un baiser dans ton lit tout à l'heure. Dors bien.

Une fois Violette et Pailette montées, Henri dit à Joseph et Batoune :

- Allez, ça va être votre tour d'aller vous coucher. Finissez vite de manger.

Une fois le repas terminé, ils débarrassèrent la table. Henri attrapa Joseph dans ses bras et prit la main de Batoune.

- Hop la ! En route pour le royaume des songes.

- 'Ai pas envie.

- Oh mais si mon bonhomme. Tu vas faire un gros dodo.

Il commença par coucher Joseph.

- Dors bien mon grand garçon, fais de beaux rêves.

Il l'embrassa doucement alors que Joseph serrait très fort sa peluche contre lui. Reprenant la main de Batoune, il l'emmena jusqu'à sa chambre, préparée à son intention. Il l'aida à rentrer dans son lit, la borda et s'assit un moment à côté d'elle, lui caressant doucement le front.

- Je suis content que tu sois là, tu sais. J'espère que tu seras toujours bien ici.

Il l'embrassa doucement sur le front.

- Toi aussi, dors bien. A demain.

Il lui sourit puis sortit de sa chambre. Il entra dans celle de Violette qui dormait déjà à poings fermés. Il se pencha sur elle et l'embrassa tendrement. Il souffla doucement :

- Toi, tu vas rêver d'écureuil...

Fermant la porte derrière lui, il redescendit à la cuisine et se mit à faire la vaisselle en attendant Pailette.
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Pailettedargent
Doucement,sans bruit,elle s'approcha de lui,se mettant sur la pointe des pieds,elle déposa un tendre baiser dans son cou,glissant ses bras autour de sa taille.
Pailette posa sa tête contre lui,lui murmurant un je t'aime.


Les moments à deux se faisaient rare avec quatre enfants mais une tendre complicité les unissait.
Pour rien au monde,Pailette ne regrettait ses choix,elle adorait sa famille.

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Henri_de_plumaugat
Henri frémit en sentant le baiser de Pailette dans son cou et ses bras se nouer autour de sa taille.

- Je t'aime aussi mon amour.

C'était toujours un tel bonheur d'être avec elle. C'est vrai que quatre enfants, ce n'est pas simple. Et ces moments étaient précieux. L'un ou l'autre pouvait tout à fait et sans abuser prétexter de la fatigue, réelle, mais non, ils préféraient passer quelques instants ensembles, rien que tous les deux, quitte à être un peu plus fatigués.

La vaisselle terminée, Henri se lava les mains, les essuya puis se retourna pour pouvoir prendre son épouse dans ses bras. Il l'embrassa tendrement et l'entraina jusqu'au salon. Ils s'assirent tous les deux dans le canapé, l'un contre l'autre, plus amoureux que jamais.

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Pailettedargent
Pailette s'allongea sur le canapé,posant sa tête sur les genoux d'Henri.

-Hum...Que du bonheur!..Écoute ce silence,çà fait du bien...Un moment rien qu'a nous deux.

Elle prit sa main dans la sienne,fermant les yeux,sourire aux coins des lèvres.
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Henri_de_plumaugat
Citation:
- Hum... Que du bonheur !... Écoute ce silence, ça fait du bien... Un moment rien qu'a nous deux.


- Oui, ça fait beaucoup de bien. Même si on les aime beaucoup, c'est bien quand ils sont couchés. Ca permet de les apprécier encore plus le lendemain.

Lui laissant une main, il lui caressait doucement le front avec l'autre.

- J'aime te voir heureuse... J'aime voir ton sourire.
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Pailettedargent
Pailette le regarda ,souriante

-Comment ne pas être heureuse?..J'ai le plus merveilleux des hommes,des enfants magnifiques...Le bonheur parfait!

Elle l'attira vers elle, l'embrassant tendrement,se blottissant contre lui.
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Henri_de_plumaugat
Citation:
- Comment ne pas être heureuse ?... J'ai le plus merveilleux des hommes, des enfants magnifiques... Le bonheur parfait !


Henri se laissa faire et répondit à son baiser. Il la serra contre lui, il aimait sentir son corps contre le sien. Il la regarda en souriant malicieusement :

- Merci ma chérie. Et si nous montions...?
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Pailettedargent
Pailette s'étira,se levant d'un bond.

-Très bonne idée!

Elle le tira par la main pour qu'il se lève,l'entraînant à l'étage,vérifiant au passage le sommeil des enfants.
Un fois dans la chambre,elle se laissa tomber sur lit ,se mettant à rire telle une enfant.

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Henri_de_plumaugat
Henri se laissa entraîner une fois de plus. Il regarda par dessus l'épaule de Pailette pour voir les enfants dormir. Ils sont tellement mignons lorsqu'ils dorment. Arrivés dans leur chambre, Pailette se laissa tomber sur leur lit. Henri la regarda quelques instants.

- Tu es si belle ma chérie...

Il la rejoignit et l'embrassa de toute sa tendresse. Les vêtements ne furent bientôt que de l'histoire ancienne et les deux époux s'étreignirent dans une union pleine de douceur, d'amour, de passion... Un amour prêt à renverser toute chose sur son passage, tout ce qui pourrait mettre un obstacle à leur bonheur, à tout ce qui fait leur raison de vivre.
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Pailettedargent
Deux corps qui se retrouvent,deux âmes qui se mélangent pour n'en faire plus qu'une.
Leur amour avait traversé des épreuves mais il avait survécu,rien ne pouvait les séparer,l'un sans l'autre était tout simplement impossible.
Pailette se mit au creux de ses bras.


-Je t'aime tellement mon coeur,j'ai tant besoin de toi.
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Henri_de_plumaugat
Lorsque son épouse se mit tout contre lui, Henri la serra très fort, l'embrassant doucement sur ses cheveux, lui caressant doucement le bras. Ces moments après l'amour sont si merveilleux qu'ils en profitaient au maximum. Ces moments où le cœur peut se livrer tout entier, exprimer tout l'amour dont il déborde. Car il ne s'agit pas d'une passade, d'une histoire d'une passion, d'une flamme fugitive, non, mais bien d'un amour consumant, d'un don que chacun fait à l'autre.

Citation:
- Je t'aime tellement mon cœur, j'ai tant besoin de toi.

Il sourit.

- Je t'aime aussi mon amour. Moi aussi j'ai besoin de toi. Ne sommes-nous pas deux moitiés...? Rien ne nous séparera jamais, nous ne le supporterions pas.

Serrés l'un contre l'autre, ils finirent par s'endormir.
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