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[RP] 1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette

Pailettedargent
[Quelques jours plus tard]

-Mamaaaan...Papa,il 'ent'e quand?

-Très bientôt mon chaton.

Les jours avaient filés,Pailette s'était affairées a faire le tri dans les malles pour trouver les habits de bébé.Préparant tout ce qu'elle aurait besoin pour la venue au monde de leur enfant.

Profitant de la journée,Pailette et les enfants s'installèrent dans le jardin.
Joseph était un chevalier,Violette,une princesse et Anaïs était ,d'après les aînés,un dragon.


Le bébé,quand à lui,donnait des coups,c'est qu'il devait commencer a être a l'étroit .
Pailette glissa sa main sur son ventre.


-Doucement mon bébé,il n'est pas encore l'heure que tu viennes au monde.

Violette,véritable petite maman,observait sa mère.

-Le bébé te fait bobo?

-Il veut surtout venir jouer avec vous.

Pailette sourit à sa fille qui alla rejoindre Joseph et Anaïs.
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Henri_de_plumaugat
Son baluchon sur l'épaule, Henri revenait gaiement du monastère. Il était infiniment heureux de pouvoir enfin revoir sa famille. Tous lui avaient terriblement manqué pendant ces deux longues semaines. Il avait pensé à eux à chaque instants... Pailette était sur le point d'accoucher maintenant. Il espérait de toutes ses forces qu'elle allait bien. Pourquoi avait-il fallu qu'il la laisse dans cet état. Il s'en voulait, mais qu'y pouvait-il... Il se demandait si celui qui avait inventé l'adage "Loin des yeux, loin du cœur" avait déjà été vraiment amoureux. C'est impossible. Henri se disait qu'il aimait encore plus sa femme qu'il le croyait. On ne mesure la valeur des choses que l'on possède que lorsqu'elle vous manque. Et chacun de ces jours au monastère lui avait fait sentir combien elle lui manquait, combien il l'aimait vraiment. Et les enfants... Violette devait avoir encore pris quelques centimètres, Joseph et Anaïs aussi... Non, je ne suis pas parti depuis si longtemps, se dit-il, mais ça me paraît tellement une éternité.

Malgré son envie de les serrer dans ces bras, il s'attarda un peu en route pour leur acheter des cadeaux. Il pensa acheter un poney pour Joseph, mais se souvenant que la jument de Pailette était grosse, il s'abstint. Le pas leste, le sourire sur les lèvres, il cheminait. Enfin, il aperçut les remparts de Vannes. Insensiblement son pas s'accéléra. Voyant la maison, il se mit à courir. Il y entra en coup de vent.

- Bonjour tout le monde ! Papa est de retour ! Où êtes-vous ?
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Pailettedargent
Citation:
- Bonjour tout le monde ! Papa est de retour ! Où êtes-vous ?


Violette et Joseph se mirent a courir,se jetant dans les bras de leur père.
Pailette arriva avec Anaïs,la tenant par la main.La petite,voyant son papa,y alla toute seule.

-Papa!

-Enfin te voilà mon Coeur!

Pailette l'embrassa tendrement,se blottissant dans ses bras.

-Tu m'as...Tu nous as manqué!
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Henri_de_plumaugat
Henri lâcha toutes ses affaires en voyant toute la famille rentrer du jardin dans la maison. Il se baissa et ouvrit tout grands les bras pour attraper ses enfants. Il les embrassa très fort en les serrant tout contre lui.

- Bonjour mes enfants ! Oh comme je suis content de vous revoir...

Il embrassa Violette, puis Joseph, serra Anaïs dans ses bras. Il se redressa enfin pour prendre son épouse dans ses bras. Il l'embrassa avec une tendresse infinie.

Citation:
- Tu m'as... Tu nous as manqué !


- Oh vous aussi alors...

Il s'écarta d'elle un peu et mit une main sur son ventre.

- Bonjour toi.

Le bébé lui répondit par quelques coups. Henri sourit à Pailette.

- Tu vas bien ? Ne pas t'avoir à mes côtés a été insupportable.

Mais les enfants avaient repéré les cadeaux.

- Papa ! Papa ! 'est quoi ?

Il laissa son épouse quelques instants :

- Je crois qu'il faut que je m'occupe un peu d'eux. Nous aurons un peu de temps pour nous deux ce soir.

Se tournant vers les enfants, il sortit une robe de princesse :

- Anaïs, ma puce, voilà ton cadeau, une robe de fée. Elle sera peut-être un peu grande, mais tu vas grandir.



Pour Joseph, notre vaillant chevalier, une épée et une cape.





- M'eci papa !

- Pour Violette, un beau diadème de princesse.



- Oh, me'ci papa chéri !

- Pour bébé, j'ai trouvé des petits chaussons. Ne sachant pas si ce sera un garçon et une fille, j'ai pris quelque chose qui pourra aller à l'un et à l'autre.



Puis, se redressant il regarda Pailette.

- Et pour la plus merveilleuse des épouses, la plus belle de toutes les femmes, un collier et un bracelet en perles véritables.



Et bien sûr, quelques fleurs dont la beauté n'est que bien pâle par rapport à la tienne, mon amour.


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Pailettedargent
Les enfants étaient ravis de leur cadeau.

-Papa..'Naïs est pas une fée...Est un d'agon!

Pailette remercia son époux d'un tendre baiser.

-Merci mon Amour,tu n'aurais pas dû.

Se dirigeant vers la cuisine,elle se retint de rire à la phrase de Joseph.

-Papa,papa!...Maman a pas eu de bobo,le bébé a était sage.
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Henri_de_plumaugat
- Papa... 'Naïs est pas une fée... Est un d'agon !

- Anaïs, un dragon ? Ma petite puce un dragon ? Mais c'est impossible voyons.

Il prit Anaïs dans ses bras.

- Tu n'est pas un dragon ma puce, n'est-ce pas ? Tu es ma petite fée, non ?

Anaïs passa ses deux petits bras autour du cou de son papa et lui fit un gros câlin.

- Vi ! Fée papa !

- Ah, c'est bien ce que je me disais.

Et il l'embrassa très fort. Il répondit ensuite au baiser de son Amour.

Citation:
- Merci mon Amour, tu n'aurais pas dû.


- Si ça te dérange tellement, je peux les rapporter.

Il la serra tendrement contre lui et l'embrassa avec une tendresse infinie.

- Tu sais bien que tu mérites beaucoup plus que ça.

Il est dur pour des époux de se dire tout ce qu'ils voudraient se dire quand leurs enfants sont autour d'eux. Ce fut Violette qui ce coup-ci coupa la parole à Henri :

- Papa, papa !... Maman a pas eu de bobo, le bébé a été sage.

Il lui sourit et caressa le ventre de Pailette.

- C'est une bonne nouvelle. Bon, et maintenant les enfants, si vous me racontiez ce que vous avez fait pendant ces deux semaines ?
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--Gwillou
Le petit écuyer, assez essoufflé et trois deniers à la main, toqua à la porte du numéro 1 de la place Nathan... Il avait un message à faire passer et se le récitait sans cesse tout au long du trajet et encore maintenant afin de ne point l'oublier...

Toc ! Toc ! Toc !
Lili23
Violette sera joué par Lili23


Violette courut vers la porte.

-Maman y'a que'qu'un

Elle ouvrit la porte,observant le garçon en fronçant les sourcils.

-T'es qui toi?

Se retournant vers son père.

-Papa...est qui le monsieur?
Henri_de_plumaugat
Bienvenue et merci du fond du coeur !


Henri suivit Violette jusqu'à la porte

- Papa... est qui le monsieur ?

- Dis-donc, jeune fille, c'est comme ça que nous t'avons appris à dire bonjour ? Et je ne sais pas qui il est, mais nous allons le lui demander. Bonjour jeune homme, que pouvons-nous pour vous ?
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--Gwillou


Gwillou ouvrit de grands yeux en voyant qui lui ouvrait la porte...

— Heu... Demat... je.. je ...

Fort heureusement, un messire vint à sa rescousse, car le pauvre garçon n'aurait su que faire.

Bonjour jeune homme, que pouvons-nous pour vous ?

— Messire de Plumaugat ! Demat ! Nous nous sommes vus dans les anciens quartiers de la Légion... Je suis Gwillou, l'écuyer de messire Lavatar...
Il m'envoie vous demander de bien avoir la grâce pleine de gentillesse de bien vouloir aimablement accepter de venir l'honorer de votre gracieuse présence à son mariage avec damoiselle Alwenna qui est très belle !!!!!!


Le pauvre garçon, stressé comme un panier sans esses, avait reformulé à sa façon l'invitation de Lavatar... Mais finalement, il se demandait si son discours n'était pas mieux que l'original... Les grandes personnes aimaient bien les phrases à rallonge... Il se tint droit comme un piquet et attendit la réponse...

Il regarda derrière le sieur et vit que la fillette le regardait toujours... Il bomba le torse et ajouta..

— Je dois de ce pas prévenir mon maistre de votre incommensurable réponse .. car je dois ensuite m'occuper de ses armes... je suis son maistre d'armes, vous savez !
Henri_de_plumaugat
Henri écouta en souriant le petit écuyer lui annoncer que son épouse et lui étaient invités au mariage d'Alwenna et Lavatar.

- Je dois de ce pas prévenir mon maistre de votre incommensurable réponse, car je dois ensuite m'occuper de ses armes... Je suis son maistre d'armes, vous savez !

- Oh ! Il a bien de la chance. Je suis certain que ses armes sont très bien entretenues. Voulez-vous un fruit ou de l'eau pour vous désaltérer, jeune écuyer ? Cela vous permettra de ne pas arriver la gorge sèche pour apporter ma réponse positive à ceux qui veulent devenir nos hôtes. Cependant, dites-leur que moi-même revenant tout juste de retraite, nous profitons en famille de nos retrouvailles. Et surtout, remerciez-les bien de la part de mon épouse et de la mienne.
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--Gwillou
- Oh ! Il a bien de la chance.

Le jeune garçon bomba le torse, regardant d'un air important la jeune fille...

Je suis certain que ses armes sont très bien entretenues. Voulez-vous un fruit ou de l'eau pour vous désaltérer, jeune écuyer ? Cela vous permettra de ne pas arriver la gorge sèche pour apporter ma réponse positive à ceux qui veulent devenir nos hôtes. Cependant, dites-leur que moi-même revenant tout juste de retraite, nous profitons en famille de nos retrouvailles. Et surtout, remerciez-les bien de la part de mon épouse et de la mienne.

Gwillou suivit d'une oreille attentive les paroles de messire de Plumaugat... il ne comprit pas toutes les paroles mais il se douta de sa teneur en gros...

— Une réponse positive... cela veut dire que vous viendrez ! Mon maistre sera content de l'apprendre... Boire ? Oh non, je n'ai pas le temps ! je dois vite donner la réponse et même avant passer voir dame Margot de .. de... dame Margot ! et puis, j'ai encore moult choses importantes à faire dans la salle du banquet... Je vous salue, messire... et damoiselle !

Sans plus attendre, le jeune écuyer s'en retourna continuer sa tournée...
Henri_de_plumaugat
Le jeune écuyer parti, Henri referma la porte. Il se tourna vers sa famille.

- Allez, racontez-moi tout ! Maintenant que nous sommes tranquilles.

Et il s'assit sur le canapé, Anaïs sur ses genoux.
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Lili23
Violette s'assit sur le canapé en regardant son père.

-Suis aller voir les chevaux,ai ca'esser G'ibouille et pis et su'veiller maman elle a était sage puis ai jouer avec Joseph et 'Naïs.

Elle se serra contre son papa pour avoir un calin.

-Pis tu m'as manquer
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Henri_de_plumaugat
Henri écouta attentivement sa grande fille. Il se doutait bien de ce que toute la famille avait pu faire pendant son absence, mais il voulait les entendre parler, il voulait entendre la voix de ses enfants qu'il aimait tant. Certains n'aiment pas le babillage des enfants mais ce n'est pas son cas.

- Alors, comment vont les chevaux ? Tu leur a bien donné à manger comme je t'ai appris ? La main bien à plat ? J'en suis sûr. Comment va ton cheval ? Et Gribouille ? Il doit presque être apprivoisé maintenant. Il vient toujours se percher sur ton épaule ? On ira le voir ensemble demain si tu veux.

Il sourit quand elle lui dit qu'elle avait surveillé Pailette :

- Maman a été sage, bon c'est bien, et bébé ? Tu l'as senti ?

Quand elle se sera contre lui, il craqua complètement. Il la serra contre lui tendrement.

- Toi aussi, tu m'as beaucoup manqué ma grande fille, viens là que je te fasse un gros baiser.

Il l'embrassa très fort et très tendrement.
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