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[RP] Bal de l'Avant et de la Saint Nicolas

Helena.
Il était temps de s'éclipser et surtout d'emmener sa chipie. POur une fois elle se coucherait tard. Se relevant elle rentra de nouveau dans la salle et chercha du regard sa choupinette.
Elle la vit e grande discussion avec une petite fille. Souriant elle s'approcha en douceur des deux enfants.


Bonjour petite. je suis Helena la maman d'Anna.


Elle se tourna ensuite vers sa fille.


Allez ma chipie il est temps de rentrer. Dis au revoir à ton amie. je t'attends vers la porte


Elle laissa les deux enfants se dirent au revoir. Quand elle, elle se dirigea vers Tellus.


Je vais y aller ma belle. Se fut une très grande réussite ce bal. Je t’enverrais Ophélie pour qu'elle t'aide à nettoyer et tout ranger. Je vais aller coucher ma petite princesse et également me coucher. Je suis fatiguée

Elle lui fit une bise et jeta un regard à Frans. Elle se dirigea vers lui pour le saluer. Les au revoir étant fait elle se dirigea vers la porte ou elle y trouva Anna. L'enfant et la jeune femme quittèrent alors la salle et rentrèrent chez eux. Ce bal avait était un pur bonheur.

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Meileen
Un cousin?! A ce mot, le coeur de Meileen se mit à palpiter plus fort.

A Limoges? Mais c'est...

Son grand sourire finit par s'éteindre en s'apercevant que le prétendu cousin ne semblait pas lui porter autant d'attention qu'elle. Même pas curieux de savoir comment se nommait sa nouvelle cousine, à peine un regard pour elle.
Les pupilles de la petite brune se tournèrent vers la jolie baronne, définitivement au centre de toutes les attentions. Elle se tut, le temps que chacun échange et tenta de garder un air impassible lorsque la jeune blonde pris congé poliment.
Meileen le pris assez mal. Comme si Nahysse, par cette phrase, cherchait à les narguer en leur enlevant leur cousin.

Elle leur laissa le temps de s'éloigner et se permit une grimace dans leur direction, avec un "gna gna gna" silencieux.

Jalouse la brune? Plus que tout à cet instant précis.
S'apercevant de son dépit, elle eut envie d'en pleurer. Maudissant sa mère d'être morte et son père de l'avoir abandonnée, et encore plus de l'avoir faite passer de fille de noble à fille de rien!
Jamais elle ne pourrait lui pardonner, si encore il avait une chance un jour de pouvoir l'être. Et cette envie de meurtre revint la hanter à cet instant précis, alors même qu'elle avait fini par abandonner l'idée...

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Euzen
Je vous suis. Allons respirer un peu d’air frais.

Elle accepte... Elle accepte ? Elle accepte ! Dissimulant, avec beaucoup de difficulté, le sourire qui lui venait, le corniaud salua brièvement leur petite assembler, insistant tout de même plus sur ces deux charmantes cousines. Il n'avait pas prit le temps de profiter d'elles, mais de cela il en était à peine conscient, trop concentré qu'il était sur son objectif : Avoir la jeune baronne rien qu'à lui !

Et il était sur le point d'y arriver !

Mais sans arrière pensées aucune et cela le changeait. Pas d'intention belliqueuse... Pas de geste volontairement déplacé... Non, juste l'envie de ne l'avoir qu'à lui... Et cette constations le déconcerta un instant. Pourquoi ? Pourquoi cette envie qui ne lui ressemblait pas vraiment ? Mystère ... Toujours est-il qu'à présent, ils s'éloignaient du petit groupe, en direction de la sortie la plus proche.

Celle-ci fut atteins en quelque minutes durant lesquelles le jeune homme resta silencieux. Pour ne pas la faire fuir ? Pour s'épargner le besoin d'hausser le ton à cause du bruit de la fête et éviter de s’abîmer aussi bien la gorge que l'oreille de sa compagne ? Ou pour ne pas perdre de temps dans la salle et arriver au plus vite dehors ? Ou peut-être les trois ... Car à observer du coin de l'oeil la jolie blonde, le Montbazon était obligé de constater que le rose de ces joues ne diminuait pas et qu'en effet, la chaleur devait l'importuner... Mais à son goût, il lui allait très bien.

Mais sur le point de passer la porte, le blond fut prit d'un remord... Pouvait-il vraiment sortir en laissant la mouflette seule à l'intérieur ? Certes, elle n'était pas véritablement seule puisque la salle de bal était bondé mais... Elle ne connaissait personne et lui même que très peu de monde... Marquant un temps d'arrêt, il pivota légèrement pour la chercher parmi la foule de danseur.

Ou était-elle ?

C'est alors qu'il fit passer devant eux, une dame accompagné de la petite qu'il avait vu en compagnie de sa protégée. D'un geste distrait, il les salua avant de reprendre sa recherche. Zut, si la seconde enfant partait, cela voulait dire que la blondinette était seule ... Devait-il s'inquiéter ? L'adrénaline commençait l'envahir quand enfin, il la repéra, esseulé, parmi sur le bord de la piste de danse. Que faire ? Il ne pouvait décidément pas la laisser ainsi, mais l'idée de laisser Nahysse alors qu'il venait toujours juste d'obtenir se qu'il désirait... Dilemme !

Et puis l'idée qu'il n'avait peut-être pas besoin de choisir fit enfin une apparition dans l'esprit Navaillien. Détachant avec douceur le bras de la jeune baronne du sien, il se pencha faire elle pour murmurer :


" Pardonnez moi, je reviens dans un instant..."

Et il fendit la foule en espérant vraiment qu'elle ne se vexerait pas ou ne prenne pas la poudre d'escampette... En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il fut prêt de sa protégé. S'agenouillant à côté d'elle, il lui prit la main.

" Je sors prendre l'air avec..." Une amie ? C'était encore trop tôt. Nahysse ? Trop famillier car même si la conserné ne pouvait l'entendre, le risque que la mouflette face une gaffe était bien là. "La baronne. ça te dirait de venir ? Le parc est éclairé et tu pourrais jouer avec la neige si tu ne t'éloigne pas trop et que tu mettes ta cape. "

Papa poule Euzen ? Naaaannnn ! Et avec soulagement et un sourire amusé, sa proposition fut accepté avec plus d'enthousiasme que prévue. Sans perdre une seconde, la gamine décampait déjà... Heureusement qu'elle avait écouter les consignes. Alors quand à son tour, il se leva et rejoignit la petite nobliote en suivant la mouflette qui passait à coté d'elle sans la voir, il ne réussit pas réprimer le sourire qui lui venait. Mais la jeune baronne était-elle fâchée ? Courroucée ? Un regard sur elle ne réussit pas à lui donner la réponse...

Dissimulant son doute et ne se dépatissant pas de son sourire, le jeune Montbazon fit un grand geste en direction de la porte. Galanterie oblige, elle devait passer la première.


"Après vous..."
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(* By Heyleen Casaviecchi)
Nahysse
Oui enfin ils touchaient au but !

Ils avaient traversé la salle et la porte était là, devant eux. Mais son cavalier marqua une pause et se retourna, balayant la salle de son regard hypnotique. Il cherchait quelqu’un. Nahysse ne comprenait pas.

Qui cherchait-il ?

Puis il se pencha vers elle et le temps de quelques secondes, le monde cessa d’exister. La tête lui tourna. Son cœur s’affola. Il ne restait plus qu’eux deux. Son souffle à son oreille la fit frissonner. A peine eut-elle le temps de saisir le sens de ses mots qu’il la laissa là, devant la porte, seule. Sa gorge se serra. Elle eut l’étrange sensation d’être aussi idiote qu’une mariée abandonnée devant l’autel le jour de son mariage. De ses azurs, elle le regarda s’éloigner à grands pas comme s’il fuyait le diable. Il courrait presque.
Son cœur se serra.

Avait-elle mal compris ? Peut-être se proposait-il simplement de l’accompagner jusqu’à la sortie et maintenant il la laissait se rafraichir seule ?

Mais non ! Ne raconte pas de bêtise, il a dit qu’il revenait.

Peut-être avait-il tout simplement oublié de prendre quelque chose avec lui, comme une pipe et du tabac, par exemple, s’il fumait.
Et tandis qu’elle se rassurait ainsi, la petite blonde remarqua qu’il s’était agenouillé devant une enfant. Ils échangèrent quelques mots et la gamine enfila sa cape avant de courir vers la sortie, la dépassant sans même la voir.

Du regard, elle suivit l’enfant jusqu’à ce qu’elle disparaisse, engloutie par l’obscurité de la nuit.
Ses azurs se reportèrent sur le Montbazon et découvrit dans son expression toute la tendresse et l’affection qu’il avait pour l’enfant.

Le regard qu’un père porte sur son enfant. C’était sa fille. Il avait une fille. Donc il était marié. Non. Où serait l’épouse sinon ? Elle ne l’aurait pas laissé partir guerroyer en emportant leur fille. Si la fille était là c’était parce qu’il n’y avait personne d’autre pour la garder. Il l’élevait seul. Un veuf. Ou ce n’était pas sa fille. Mais qui était-ce alors ? Une proche à n’en pas douter.

Une bouffée de jalousie manqua l’étouffer. Elle aurait voulu qu’un homme porte sur elle un tel regard, ampli d’amour…
Mais elle chassa rapidement cette idée de sa tête. La petite baronne ne croyait pas en l’amour en dehors de celui que des parents portent à leurs enfants ou celui d’un frère pour sa sœur et vice versa. Mieux valait qu’aucun homme ne se croit un jour amoureux d’elle sinon il irait à sa propre perte car elle ne pourrait jamais lui donner ce qu’il attendrait d’elle en retour.

L’attention d’Euzen se porta à nouveau sur elle et elle s’empressa alors de masquer ses pensées ou plutôt sa confusion. Son regard pesa sur elle et la petite baronne ne put retenir un timide sourire d’étirer ses lèvres framboises avant de passer devant lui et de sortir.


[Extérieur - Devant la salle de bal]

La fillette jouait en bas des escaliers qui menaient à la cours. La lumière des flambeaux qui longeaient l’allée principale, formait comme un halo autour d’elle tandis que son rire cascadait au rythme de ses jeux. Un ange tombé du ciel.
Nahysse l’observa quelques instants avant de prendre place sur un banc qui faisait un excellent site d’observation pour les frasques de la gamine dans la neige.
Ce ne fut qu’à cet instant qu’elle réalisa qu’elle n’avait même pas pensé à récupérer son manteau mais l’air frais ne la dérangeait pas pour l’instant, bien au contraire.
Le froid de l’hiver lui mordait les joues. Une bourrasque de vent joua dans ses boucles blondes, atténuant un peu plus la chaleur que l’alcool avait éveillée.
La petite baronne ne put retenir un soupir de soulagement tant l’air vivifiant la requinqua. Déjà, la tête lui tournait moins mais sa vision semblait vouloir rester étrécie. La bouche pâteuse, elle regretta de ne pas avoir pris un verre avec elle.
Au moins se sentait-elle comme sur un petit nuage. L’impossible était à portée de main. Tout pouvait arriver ce soir, demain n’existait plus. C’était une étrange sensation qu’elle savourait avec délectation.
Et comme le bel Euzen prenait place à côté d’elle, elle ne put retenir la question qui allait de soit. Il devait même déjà l’attendre.


Quelle belle enfant. Est-ce votre fille ?
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