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[RP] Bal de l'Avant et de la Saint Nicolas

Euzen
Assis dans un fauteuil à regarder, sans le voir, le feu qui crépitait dans la cheminée, Euzen remuait de sombres pensées. C'était devenu une habitude chez lui. Après l'attaque dont il avait été victime en tentant de rentrer chez les siens, il avait été contraint de rester dans la ville quelques temps. Tout d'abord à l'hospice, dans lequel le plus gros de ces blessures avaient été soigné. Puis il avait acquis une petite maison, et quelques meubles, avec l'argent que son père lui avait fait parvenir pour ne pas être à la rue. Depuis, il s'y terrait. Il avait bien tentait de rares sortie, mais les portiers des tavernes ne semblait pas l'entendre de cette oreilles... Alors il était rentré pour ne put en sortir...

Quel ne fut pas alors ça surprise quand, dans la matinée, il reçut une invitation... Rapidement il la parcouru.

    Un bal ? Mais que vais-je pouvoir bien faire à un bal ? Rien, je n'ai rien à y faire ! Danser ? Impossible ! Discuter ? De quoi ? Sans que je comprime pourquoi, cette invitation me mit dans tous mes états. Oubliant cette cuisses qui, bien que cicatrisé, me faisait toujours souffrir, je me mis à arpenter la pièce de long en large, le vélin toujours en main. Qu'avais-je ? Tout de meme pas l'envie d'y aller, si ? Non ! Et quand bien même se serait le cas, comment pourrais-je oser me montrer tel que je suis ?

    Lentement je m’avançai vers le petit miroir qu'un médicastre m'avait donné à ma sortie de l'hospice, "pour veiller l'évolution de votre œil" m'avait-il dit ! J'en étais vite arrivé à détester cet objet... Et plus encore, l'image qu'il projetait... Moi ! Moi et cette petite cicatrice qui commençait à estomper... Moi et cet œil qui avait pris cette détestable couleur bleu ciel, faisait de moi un avérons... Tous les soirs je priais le ciel pour qu'il redevienne du vert si semblable à l'autre... Et tous les matins, la déception était la même... Non c'était certain, je ne pouvais pas aller au bal ainsi !


Alors d'un geste brusque, le blondinet reposa parchemin et miroir sur la table et retourna s'assoir comme si rien n'avait été. Il pensait sa décision irrévocable... Il se trompait lourdement car, à son insu, une petite tornade allait bientôt venir, ou plutôt revenir, bousculer ces habitudes... Abigail !

La petite môme de six printemps qu'il avait pris sous son aile, voilà bientôt trois ans, avait fait le chemin depuis Limoge en compagnie de l'Augustin. Lui s'était le plus fidèle ami du blond... Celui qui avait toute sa confiance... Celui qu'il avait envoyé prévenir les siens de sa "bonne" santé... Et celui qui n'avait rien trouver d'autre à faire que de revenir avec la gamine... Et l'Augustin l'avait joué fine en ne prévenant pas le jeune homme de leur arrivé. Il le connaissait et savait pertinemment qu'il aurait refusé leur venu. Pourquoi ? Par crainte... Car Euzen craignait véritablement la réaction de l'enfant face au changement physique qui s'était opéré chez lui. Mais celle-ci ne sembla pas s'en formaliser. Oh bien sûr, elle posa quelques questions, mais le sujet dévia vite, très vite quand elle découvrit le vélin.

Vive d'esprit et toujours gaie, la gamine ne demandait qu'à s'amuser et après mainte supplique, elle obtint gain de cause...


"D'accord ! D'accord ! D'accord ! On ira au bal à la seul condition que tu cesses d'en parler jusqu'à que l'on y soit !"

    Peine perdue, je le savais pertinemment. Je connaissais mieux que personne cette enfant que je considérais comme la mienne... Quand une idée lui trotter dans la tête, rien, absolument rien, ne pouvait lui retirer. Ni chantage, ni menace, ni piège... Rien. Et cet entêtement me fit sourire. De par sa blondeur et son caractère, il n'était pas rare que des inconnus la croient de mon sang... Et je déments rarement. Déjà, car j'aime à me l'imaginer mais aussi, parce que les regards de travers qui suit ce silence sont souvent éloquent "Il a déjà un enfant à son âge ? Non mais quel débauché il fait ! Quelle honte !" Honte d'être d'ébauché, moi? Peut-être... Le mal que cela a pu faire, je ne peux pas en être fier... Mais honte d'être père? Jamais ! Alors je laissais penser en silence en savourant simplement la chance d'avoir la moufflette avec moi...


Après un après-midi remplis de rire d'enfant et de sourire d'adulte, le soir vint rapidement. Abi n'avait pas prévu de jolie robe pour ce bal, mais qu'importe. Quelques iris nains furent trouvés et piqué dans les cheveux tressés de l'enfant. Eh oui, même un homme devient maitre dans l'art du tressage quand il a à charge une fillette à la chevelure rebelle ! Lui se contenta de passer chemise et braies propres. Il aurait volontiers bandé son œil s'il l'avait pu, malheureusement, il n'avait pas de bandeau. Tant pis... Augustin quant à lui, déclara être épuisé par le voyage et préférer rester dormir... Mais le blond n'était pas dupe et d'un léger sourire remercia son ami de lui laissé profiter seul de la présence de l'enfant.

Ce fut donc mains dans la main, accompagner des éternelles babillages de la gosse, qu'ils partirent au bal. Une fois devant l'adresse indiquée sur l'invitation, Euzen eut une hésitation. Est-ce une bonne idée de venir finalement ? Mais Abi ne lui laissa pas le temps de réfléchir plus en avant car déjà elle l'entrainait à l'intérieur... Stoppant le mouvement juste devant la porte, il posa l'index sur sa bouche.


"Tu te souviens de ce qu'on a dit... Pas de cri et pas de courses, hein?"

[i]Léger sourire à l'enfant qu'il était heureux de retrouver, Euzen fit le premier pas dans la salle, déjà bien remplie, qui abriterait les festivités.
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(* By Heyleen Casaviecchi)
Abigail.
La voila arrivée à Poitiers, la surprise provoquée par son arrivée auprès d'Euzen n'avait pas manqué de la faire rire. Après une série de questions quand à l'état de son protecteur, elle ne se formalisait plus de rien.

Il avait cédé sans trop de mal pour aller au bal auquel il était invité. Même si elle n'avait que 6 ans, elle se doutait qu'il n'était guère sorti beaucoup depuis son attaque...

En échange, Abigail allait se tenir à carreaux... C'était ça, ou ils repartaient... et ça, jamais ils repartiraient par sa faute. Pour une fois, elle oublierait les bêtises qu'elle avait faite avec les soeurs jumelles d'Euzen.


Promis Euzen, ze serai zage. Pi on m'a appris des zhoses à Limozes. Z'ai appris les bonnes manières...

elle crut nécessaire d'ajouter tout bas...

Ca m'empêche pas de faire des bêtises des fois ! Chuttttt

Elle lui donna la main avant d'entrer dans la salle et le laissa entrer dans le tumulte du bal...
Helena.
Helena était heureuse de voir que le bal attirait du monde. Les sourires semblaient doucement se dessiner sur les visages. La brunette espérait que de nouvelle connaissance se crée et pourquoi pas des couples on ne sait jamais.
La jeune noble observait Anna qui courait et riait de partout. Son rire enfantin résonnait dans la salle .
Helena vit entrer La Comtesse Oane. Tout sourire elle s'approcha d'elle. Elle fit une révérence gracieuse.


Bonsoir Comtesse. En effet j'espère que cette nuit sera féerique et remplira les yeux d'étoiles. Je vous remercie pour votre compliment.
Comment allez vous ? J'ai appris pour votre mère et j'en suis désolée, j'espère qu'Aristote prendra soin d'elle.


Helena acquiesça de la tête lorsqu 'Oane s'excusa pour aller saluer une connaissance. La brunette vit arriver un couple de Thouars qui attendait patiemment vers l'entrée.
Elle se dirigea vers Annabelle et Jim.


Bonsoir. Entré !
Bienvenue au Bal de l'Avent. Je suis contente de vous voir tous les deux.
Profitez de la musique, du buffet et j'espère que vous vous amuserez en cette soirée féerique.
Et surtout goûté aux succulents mets de Tellusine.


Elle leur tendit une coupe chacun puis s'éclipsa discrètement. Elle se dirigea vers la fenêtre et laissa son esprit vagabonder légèrement. Elle aurait tellement aimé qu'il soit là. Elle fut vite tirer de ses pensées par les cris de sa chipie qui venait de voir entrer un grand monsieur à la barbe blanche. Seule tellus et elle savait qui se cachait derrière ce costume. Elle regarda amusée le spectacle que donnait Anna n'ayant pas envie de la gronder même si pour le coup elle ne se tenait pas comme une jeune demoiselle noble..

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Oane
Je suis Anna Von ….. vite vite c'est quoi déjà le nom de papa...pfiou ils ont des noms compliqué
Anna Von Valendras !!!!! Et la dame avec la robe violette là bas c'est ma maman !!!


La fillette bomba légèrement le torse affichant un air sérieux qui accentuait encore les traits de l'enfance sur son gracieux visage, Oane lui sourit et répondit de sa voix haute et claire :

Enchantée chère Anna, tu es encore plus belle que ce que j'imaginais lorsque ta maman parlait de toi. Je suis Oane de Surgères, une amie de ta maman. J'espère que tu passeras me rendre visite ...

Les paroles de la comtesse se perdirent dans un murmure grandissant : la porte venait de s'ouvrir sur Saint Nicolas et la filette le dévora des yeux. Le regard océan de la jeune femme suivit par mimétisme celui de l'enfante et elle contempla le Saint Nocolas se félicitant de la qualité de ce déguisement. Elle se demanda un bref instant qui était celui qui avait aimablement accepté de jouer le Grand homme et si par hasard ce soir l'on verrait aussi le père Fouettard ...

Hoooo c'est papa Noël !

Curieuse et émerveillée de voir le père Noël Anna se mit à courir vers l'homme. C'est alors que la gamine eut fait quelques pas de courses effreinés que la comtesse sentit un choc suivit d'une traction... elle se sentit alors propulsée en avant à la suite de la fille d'Héléna. Elle sentit imperceptiblement qu'il allait lui falloir un miracle pour rester digne en cette situation: la fillette par quelque mécanismes encore incompris d'Oane semblait avoir embarqué avec elle une partie de sa longue robe lilas et or que Gandrelina avait absolument tenu à lui faire enfiler "fini le noir qu'elle disait et finit le désespoir". Joli formule qui n'aurait pas convaincu la comtesse si Jehanne ne s’était pas mis dans la partie.



Au moment où Anna s'écriait gaiement et à pleins poumons

PAPA NOEL !!!

Elle - Anna- s'arrêta juste devant Saint Nicolas les yeux pétillants un sourire inondant de joie son visage rubicond tandis que la comtesse elle continuait sur sa lancée dépassant Anna et s'approchant fort dangereusement du barbu. La jeune femme eut une seule pensée, une vois qui résonna dans sa tête un ami qui lui disait : "le ridicule ne tue pas comtesse, le ridicule ne ..." Soudain le jour se fit dans sa tête : Anna avait du s''emberlificoter les pieds dans sa traîne.. mais quelle idée aussi, une traîne !

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--Gandrelina_bellissima
Gandrélina Bellisima, bocèle aux multiples talents de la maison des surgères, avait profité de la discussion engagée entre dame Héléna et la comtesse pour s'éclipser quelques pas plus loin avec Jehane. Elle était en train de reluquer un jeune freluquet qui venait de pénétrer dans la salle ou plutôt le dévorer des yeux tout en évoquant à voix haute ses pensées profondes :

- "Por la tres sante madré, quel umbre et quel régarrrd ! ma qu'il estoy bellissimo ! vos avez vu cet jeune umbre Jehanne céloui qui a oun oeil bleu et ou oeil verdé, ma qu'il estoy bellissimo , vos lé connaissez ?"

Jehanne pinça le nez.

- "Surement pas. C'est un étranger je gage. ul doute que je me serai souvenu d'un tel regard."

Et puis tant qu'à faire elle s’apprêtait à déployer ses charmes comme le paons ses plumes le tout en roucoulant. C'est alors que l'espiègle mais néanmoins fidèle servante vit filer la comtesse comme une vache enragée dont la corne serait dirigée vers un gus à la longue barbe blanche.... un gus à la longue barbe et à la robe blanche ? Santo Nicolàs ! Gandrélina jeta un dernier regard emprunt de regret sur le jeune homme accompagnée de la petite fille et se mit à courir à travers la pièce ; elle arrivba bientôt à hautuer du Saint et intreposa soudein les deux siens, volumineuses bouée qui allaient servir no cahalemnt d'air bag en la circonstance. On entendit un cri craitif



OUllllllllaaaaaaaaaaaaaaa




Oane percuta Gandrélina qui ravie de son interception s'écria a sontout

HOP !



En contemplant al comtesse rétablir sur ses deux jambes planté devant le siant et la gamine, à part elle Gandrélina songea que le pire était évité et c'était la le principal car nul doute que si tragédie avait eu lieu elle en aurait prit pour son grade.
Elle soupçonnait vaguement que le choix de la robe qui lui incombait était pour quelque chose dans cet "emportement" soudain.... Elle fit un sourire contrit.

Quant à Oane elle déclara devant le regard Médusé du Saint et de l'assistance d'un ton tres docte


C'est un nouveau pas de danse ; il est seyant n'est- il poinct ?

Et la comtesse de sourire en plantant son regard océan sur l'assemblée.
.jim.
Le rouquin avocat avait reçu une aimable invitation au bal de l'avent signée de la comtesse Helena.

Il aurait été malséant de décliner, aussi passa-t-il la matinée à chercher un costume qui lui plaise. Il opta finalement pour le blanc crème, une couleur qui faisait ressortir le rouge de ses cheveux.

L'amour de sa vie, la belle Annabelle avait passé une robe rouge au généreux décolleté qui laissait deviner ses formes généreuses. Il la dévorait littéralement des yeux alors qu'ils s'acheminaient vers la belle demeure.

Arrivé à l'entrant, il vit que les portes étaient ouvertes et entraîna son épouse avec lui dans ce qui allait être une merveilleuse soirée.



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Lexy
Lexy sourit.

N'essayez nullement de cacher votre blessure ! Il n'y a rien de déshonorant à être blessé et vous devriez vous ménager un peu et vous reposez.

Quand il parla de sa robe et dont la manière elle la portait, les joues de la jeune fille rosirent légèrement. Elle, qui pensait que son fiancé l'avait remplacée par une autre parce qu'elle était moins jolie, elle qui pensait ne jamais plus attirer un homme, fut des plus surprises et à vrai dire gênée.

Elle préféra donc changer de sujet.

Je suis enchantée de faire votre connaissance messire Frans, simple poitevin ! Hum ! suédois d'origine ? Mais pourquoi êtes vous venu vous perdre dans nos contrées ? J'avoue ne pas connaitre ces contrées lointaines mais j'espère bien un jour posséder un navire et aller visiter le monde entier.

Des "PAPA NOEL" attirèrent l'attention de la jeune fille qui tourna la tête et là ! elle le vit ! oui pour la première fois de sa vie... la jeune fille le vit. Elle se demanda s'il était bien réel.

Se tournant à nouveau vers son interlocuteur...

Venez ! le St Nicolas est arrivé et c'est la première fois que je le vois de ma vie. J'ai hâte d'aller voir de près.

D'autres nouvelles personnes avaient fait leur entrée et d'autres enfants aussi. Cette soirée promettait d'être joyeuse. Lexy adorait les enfants.

Les yeux brillants elle hâta le pas, pressée de rejoindre la petite Anna qui semblait accompagnée d'une autre dame et apparemment, une dame de grande noblesse. Du coup la jeune fille pensa à ses parents... Ils devaient venir aussi mais... regardant la porte d'entrée... elle soupira... Elle était certaine qu'ils avaient encore oublié. Elle en oublia Frans...

Les cris de joie des enfants la sortirent de sa morosité et courant presque elle se retrouva à côté d'Anna et de la fameuse Dame.

Re coucou Anna ! Tu as vu ? Le St Nicolas est làààààà ! Entre nous c'est la première fois que je le vois tu sais. Mais chuuuuut ! tu ne le dis à personne hein !

Petit clin d'oeil à la petite avant de se tourner vers la Dame en effectuant une ravissante révérence.

Je me présente Lexy de Mauléon-Penthièvre. Une bien belle fête n'est ce pas pour les petits et les grands ! Votre robe est magnifique !

Le bruit de la porte qui s'ouvrait à nouveau. L'espoir dans le coeur de la jeune fille mais l'image d'un homme avec une autre petite fille se dessina. Soupirant à nouveau, elle regarda l'homme et la petite qui était vraiment trop craquante. Encore une enfant qui serait émerveillée par la soirée. Là ! l'image de Frans lui revint en mémoire.

oups !...

Elle tourna la tête vers l'endroit où ils étaient et lui fit un signe de la main. Ben oui ! le Saint Nicolas c'est tout de même plus important qu'un homme !
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Eldric
[Salabrt]

Nahysse ! Nahysse !!!!!!!!!!!!!

Framboise ! Le regard sombre d’Eldric se planta dans celui de la pauvre suivante de sa sœur dont il oubliait sans cesse le nom donc il l’avait rebaptisé ainsi car toujours en rose, lubie de Nahysse et car il aimait les framboises ! Que fait Nahysse nous allons encore être en retard ! Rageur contre sa trop coquette de sœur Eldric partie vers les cuisines là au moins il savait que tout serait prêt. Qu’allait penser Dame Telusine s’il venait sans les plats qu’il avait promis? Une douce odeur lui chatouilla le nez, les tartes et tourtes de Gertrude venaient à peine de sortir du four. Aider de quelques valet, petit prince mena sa suite improvisé direction le carrosse de Mère prêté pour l’occasion du bal au deux Plantagenet. Tout était dans les malles, petit prince vêtu magnifiquement comme toujours en blanc et noir pour changer. Ne restait plus qu’a attendre Nahysse.

Et l’attente commença. Eldric décida de jouer au carte avec Gilbert pour passer le temps allez savoir pourquoi. Et finalement au bout d’une heure Nahysse arriva. Bon elle était belle à se damner comme toujours s’était déjà ça et ça excusait le retard….


[Poitiers, une place, un bal et plus ?]

« Tadam ! On est là. » Hum non pas très convainquant. Au mieux ils allaient faire fuir tout le monde. Que dire, que faire ? C’était son premier bal après tout. Il était d’avantage habituer aux duels, aux joutes et autres joyeusetés enseigné par son maitre d’arme qu’a danser. Finalement ils entrèrent et Eldric aperçut Tellusine non loin de là et quelques personnes rencontrées en taverne comme Cedriq, Euzen, la cheffe de la soule… pas de Lanie ou Crisolde. Dommage voir sa cheffe dans un bal aurait changé de l’ordinaire du jeune homme.

Bonsoir Tellusine. Un peu de retard je suis venu avec ma sœur. Ou plutôt elle a insister pour venir en apprenant que son frère allait à un bal. Mais ça il n’ne dit rien. Les cuisiniers de Salbart ont répondu à l’appel ou peut-on faire installer tout ça.

Il désigna les deux malles pleine de victuaille
Citation:
Margaux..
Margaux s'était trouvé un endroit de choix, une souche d'arbre sur laquelle elle s'était assise. Endroit reculé qui la rendait presque invisible aux yeux de tous et c'est tapie dans l'ombre qu'elle regardait les Damoiselles et Sieurs arriver dans leurs beaux habits. Elle souriait, s'imaginer dans telle ou telle autre toilette. Elle admirait aussi les coiffures, essayait de ses mains de placer ses mèches de la même façon que cette jolie brune là bas, ou encore de cette magnifique blonde plus loin, et laissait à chaque fois ses mèches retomber dans l'ordre qu'elles choisissaient. Elle réajusta son châle sur ses épaules, la soirée était fraîche. Quand la musique commencera elle essayera de les imiter à la danse. Elle sera ainsi fin prête pour l'annèe prochaine. Elle remarqua un jeune homme entrer avec une petite fille à la main. Il n'avait guère l'air plus riche qu'elle. Elle fronça les sourcils, il lui rappelait quelqu'un... Les couples arrivaient de plus en plus nombreux, les Damoiselles et les Damoiseaux étaient fiers dans leurs costumes diaprés. Margaux était émerveillée.
Lily l'avait suppliée de venir avec elle dans la salle. Margaux était ravie de la revoir, mais ce n'était vraiment pas comme ça qu'elle avait rêvé de faire son entrée dans son premier bal. Alors Margaux lui avait adressé son plus joli sourire et avait décliné son invitation.


dernier paragraphe rajouté. Pardon ljd Lily je n'avais pas vu ton intervention

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--Poildru
Comme toujours à l'écart, loin de ceux qui s'amusent, Arnault surveillait la scène. Du haut de ses 15 ans, et surtout du gros chêne, il scrutait tout ce qui entrait, et parfois même sortait, de la salle des célébrations. Bien sûr ils avaient de beaux habits les noblieux, des belles manières et pleins de choses tous plus intéressantes les unes que les autres à se dire: Oh comme vous avez une belle robe madame la baronne! Merci messire le Duc, vos chausses vous siéent si bien vous même! et bla bla bla...

La neige était belle pour ceux qui ne subissaient son courroux. Lui, sans chausses, à peine vêtu, la trouvait sournoisement sarcastique dans son manteau blanc. La neige ne devrait-elle pas être noire? Si c'était le cas, à ce moment précis, une étoile rayonnerait parmi toute cette noirceur. Une étoile aux beaux longs cheveux assise sur une souche. Un astre lumineux, d'où la brillance semblait provenir paradoxalement d'une tristesse habillant de si sublimes yeux. La timidité ne l'ayant jamais habitée à l'instar d'une éducation digne de ce nom, Arnault héla la damoiselle:


-Eh toi la belle! C'est quoi ton nom?
-Moi c'est Poil dru, par rapport à mes ch'veux...


Le jeune homme s'ébouriffa la tête et laissa un temps à ses cheveux qui se replacèrent d'eux-même tels les poils d'un hérisson. Il lui fit son plus beau sourire.
Nahysse
[Salbart]
Son petit monstre l’avait prévenue à la dernière minute. Elle n’avait eut qu’un jour pour se trouver une tenue digne de ce nom. Un véritable scandale !
D’ailleurs, elle trouverait bien un moyen de le lui faire payer, pensa-t-elle tandis qu’elle sortait enfin de son bain parfumé aux huiles essentielles de rose.
Elle avait longtemps hésité entre une robe de velours rouge mais avait finalement opté pour une robe de soie blanche rehaussé de taffetas or.
Elle fit le choix de laisser lâchement tomber ses boucles blondes en cascade dans son dos. Elles étaient maintenues en arrière par de petits peignes, certains en nacre blanche, d’autres dorés à l’or fin.
Après un dernier regard dans le miroir, elle jugea qu’il était temps de rejoindre son petit monstre qui patientait déjà depuis une bonne heure.


[Bal]
Les deux Plantagenet firent leur entrée dans une salle où grouillaient déjà pas mal de monde.
Un sourire satisfait étira ses lèvres gourmandes.


Nous y voilà, petit frère !

Mais il ne l’écouta pas et s’éclipsa vers l’organisatrice. Il lui en voulait. Tant mieux ! Il n’avait pas à lui cacher l’existence de cette soirée. Et sa vengeance ne faisait que commencer…
Elle sortit son carnet de bal et patienta, espérant qu’elle s’amuserait ce soir et qu’un gentil homme accepterait bien de la faire danser.

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Fransdunord
Frans était en conversation avec Lexy, quand celle-ci s’éclipsa d'un coup d'un seul. Il ne se retourna que doucement cette fois pour la suivre du regard.

Apres quelques instants, elle lui fit signe de s'approcher.
Il alla doucement vers elle, près de la porte et saluait chaque personne qui passait

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--Saint_nicoco
--Anna_ a écrit:

PAPA NOEL !!!


Il tourna son visage, guidé par l’entrain enthousiaste de la voix guillerette et un rayon de sourire perça à travers les poils de sa barbe. Mais le petit rictus qui avait éclos sur la commissure de ses lèvres se transforma vite en une appréhension de surprise complètement inattendue. La fillette en poussant son cri de joie et en courant vers lui avait non seulement attiré tout les regards, mais aussi la comtesse qui le chargeait dangereusement.
L’impact était imminent et il se voyait déjà le cul par terre, quand un miracle se produisit : Aristote le bienveillant protégeait ses saints et en avait envoyé deux pour sauver le petit nicolas! ( Saint Hans Sili Kohn n'étant malheureusement pas disponible cette journée là.)

Reconnaissant alors la comtesse Oane qui lui semblait d'humeur fort joyeuse et un brin… chancelante... titubante?, il hésita un instant sur la conduite à tenir. Devait-il lui demander si elle avait déjà commencé la soirée par le comptoir des liqueurs ? Mais connaissant - D'ailleurs, au cas ou, certains ne le sauraient pas, j'en profite pour rappeler ici ce que tout les enfants vous diront: Saint Nicolas sait tout! Donc connaissant la propension de la comtesse à réagir assez vivement à tout commentaire concernant l'alcool, il se ravisa sur une stratégie moins dangereuse pour sa barbe:


Oh Oh Ooooh

D'un air protecteur, il remonta le sac fermement sur ses épaules.


Par la barbe de mes ancêtres! Vous êtes bien empressé et précipitée de recevoir des friandises.
Je vous préviens: Si vous agressez Saint Nicolas pour lui voler ses cadeaux, c'est le père fouettard qui viendra vous donner quelques coups de trique.

Le barbu s'était retenu de rire. Il avait parlé fort de sa grosse voix, en prenant un ton de remontrance. Puis il posa sa main sur le bras de la comtesse et il poursuivit d'un ton compréhensif
Ne vous inquiétez pas, il y en aura pour tout le monde. Mais vous savez... je ne distribue mes sucreries qu'à ceux qui ont été Sage. Mon enfant, J'espère que vous l'avez été...

Ponctuant sa phrase par deux Gros Yeux interrogateurs qui se posent sur la comtesse. Puis il continue d'une voix plus basse et complice.

Je crois bien avoir dans le fond de mon sac, quelques cerises confites, et je sais que ces petits fruits rouges sont votre péché mignon.


Je vous l'ai dit... Saint Nicoco sait tout.


Avant de se retourner vers la petite fille, il salua la servante d'un geste de la tête et d'un 'Merci' sincère. Il se sentait un peu redevable qu'elle l'ait sauvée d'un choc qui semblait pourtant inévitable. Mais quand même pas au point de s'aventurer à proposer à l’exubérante servante une petite gâterie sucrée.


Oh Oh Ooooh Voila une ravissante jeune fille.

Dis moi comment tu t'appelles et je me rappellerai ce que m'ont dit les petits lutins à ton sujet. Tu sais que les plus belles friandises sont réservées aux enfants qui ont été Très Très sages. Est ce que tu l'as été ??? Et ne me mens pas... tu sais que je saurai si tu dis la vérité ou pas.

Il tira le fauteuil le plus proche sous son fessier, puis en s'asseyant, il s'adressa à la jeune enfant:

Si tu le permets, je m'assois. La route fut longue pour arriver jusqu'ici et je ne suis plus tout jeune. Et, je n'ai rien mangé, ni but depuis le levé du soleil.

Il posa le sac à ses pieds, le laissant s'ouvrir et dévoiler plusieurs gourmandises... petits pains d'épices, pralines, bonbons aux miels, dragées et même des nougats.

Tellusine
La jeune demoiselle timide se présenta, hmm Margaux quel joli nom. Elle comprit rapidement qu'elle n'arriverait pas à la convaincre et lui sourit chaleureusement, prête à lui souhaiter une bonne soirée lorsque Lily arriva près d'elles.

Elle semblait la connaître, peut être après tout la jeune pictave arriverait à la convaincre mieux qu'elle même. Elle s'écarta légèrement pour les laisser parler et remercia Lily du compliment. Un petit sourire triste à l'évocation de son blondinet qui ne viendrait certainement pas, elle en était convaincue.

Merci Lily c'est très gentil, je vous laisse discuter je rentre il fait froid et Saint Nicolas a du arriver à cette heure ci.


Elle salue les deux demoiselles et franchit les portes à nouveau, tremblante à cause du froid.

La salle se remplissait et il y avait déjà pas mal de convives présents qu'elle n'avait pas vu entrer. Elle se rapprocha du feu après un coup d'oeil à Saint Nicolas mais le voyant occupé elle préféra le laisser pour plus tard.

Eldric fit son entrée, chargé comme une mule et lui demanda où poser son fardeau. Un sourire pour l'accueillir,

Bienvenue Eldric, contente de vous voir, le buffet est au fond de la salle je vais vous y accompagner.

A peine fut elle arrivée au buffet qu'elle assista impuissante à la chute de la Comtesse croisée il y a quelques jours. Elle pouffe et amusée, sert un gobelet de vin épicé et se rapproche.

Regardant Saint Nicolas elle ne peut s'empêcher de le taquiner un peu, le costume lui va bien. Elle se rapproche encore puis l'interpelle.

Ohhh Cuiss.. Sa main sur sa bouche d'un air désolé d'avoir dévoilé un secret qu'elle sait très bien caché puisque personne ne sait. La rouquine se met à rire

Bonsoir Saint Nicolas, merci d'être venu au bal en votre honneur

Un clin d'oeil taquin, elle lui tend le gobelet en souriant et sent la main d'Anna qui revient s'installer dans la sienne.
Margaux..
Margaux toujours assise sur sa souche inconfortable, abritée si peu que ce soit de la neige par un gros chêne, s'émerveillait toujours des parures de bijoux scintillant de tous leurs feux, des soieries moirées et du bruissement que faisait le tissu au rythme des déhanchements harmonieux de toutes ces belles Damoiselles. C'est perdue dans son extase qu'elle entendit le craquement d'une branche juste au dessus d'elle. Le moineau qu'elle était faillit prendre son envol à tire d'ailes aussi rapidement que s'il avait vu un chat.
Citation:
Eh toi la belle! C'est quoi ton nom? -Moi c'est Poil dru, par rapport à mes ch'veux...

Margaux se retourna rapidement et vit un très jeune homme, somme toute pas trop effrayant, à la chevelure hirsute, ce qui la fit sourire.

Vous m'avez fait peur ! Je m'appelle Margaux. Mais je suppose que Poil dru n'est pas votre seul prénom. C'est quoi l'autre ?

Margaux lui parlait sans jamais lacher vraiment des yeux, le défilé des nouvelles personnes qui arrivaient, ne voulant rien perdre du spectacle.
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