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[RP] Bal de l'Avant et de la Saint Nicolas

Myrella
Myrella s'était fait invité au bal mais ne sachant pas trop ou se trouvait la fête ,elle se promena donc un peu partout ,surement une musique se ferait entendre,meme des rires ...enfin l'oreille attentive elle avançait .
Plus loin des sons parvinrent a Myrella ,elle avanca un peu timidement ne connaissant encore personne,elle hésitait a s'y rendre.

Tout près de l'entrée des gens discutaient sans porter attention a son passage,derrière un large rideau ,elle épiait les gens...certain dansaient,d,autres mangeaient.
Elle reconnut Tellusine près d'une grande table et confiante elle alla la rejoindre.




Bonsoir Tellusine,j'ai enfin trouver ,ce ne fut pas très aisé de se rendre jusqu'ici mais me voila enfin....
--Poildru
La jeune femme avait sursauté en s'entendant interpeller, ce qui ne manqua pas d'amuser Poil dru.

Citation:
Vous m'avez fait peur ! Je m'appelle Margaux. Mais je suppose que Poil dru n'est pas votre seul prénom. C'est quoi l'autre ?


-Bah, tu peux m'appeler Poil dru le beau gosse si tu veux absolument me donner un autre prénom. Dit-il le sourire expansif. Tu sais j'ai pas vraiment d'autres noms, j'suis même pas baptisé. J'ai pas de parents non plus alors, j'ai personne pour m'appeler par un autre nom que celui que tout le monde me donne.

Le jeune homme la regarda de la tête aux pieds. Ses yeux semblaient indiquer qu'il appréciait ce qu'il voyait.

-Dis moi ma jolie Margaux, pourquoi tu n'es pas là-dedans à te faire inviter par tous les seigneurs à la recherche de ravissantes danseuses?

Le sourire quelque peu malicieux accroché à sa gueule d'ange, Arnault dit Poil dru, ajouta avec toute la curiosité le caractérisant:

-C'est tu parce que ton beau chevalier n'y est pas encore?
Margaux..
Margaux ne voulait qu'admirer les jolies toilettes. Elle aurait aussi tellement aimé danser, même toute seule. Mais voila que la présence de ce jeune homme perturbait ses projets. Il était hors de question qu'elle se mette à sautiller sur place avec un spectacteur qui ne manquerait pas de se moquer d'elle. Bon, pour cela elle aviserait plus tard.
Citation:
Bah, tu peux m'appeler Poil dru le beau gosse si tu veux absolument me donner un autre prénom.

Margaux ne pouvait s'empêcher de sourire aux facéties du malicieux.

Non non Poildru me conviendra très bien si d'aventure j'avais à vous appeler.
Citation:
Dis moi ma jolie Margaux, pourquoi tu n'es pas là-dedans à te faire inviter par tous les seigneurs à la recherche de ravissantes danseuses?

Ah voici venu l'heure des questionnements. Margaux détestait qu'on cherche à savoir ce qu'elle était, ce qu'elle faisait, les pourquoi, les comment, les quand, les où ....
Parce que je suis bien dehors, parce que j'aime la neige, parce que j'en ai rien à faire des seigneurs qui du reste ont tous leur ravissante danseuse, et qu'à côté d'elle j'ai l'air d'une souillon.

Citation:
C'est tu parce que ton beau chevalier n'y est pas encore?

Mais dites moi jeune homme, vous voila bien indiscret !

Margaux choisit de ne pas répondre à cette question déguisée et essaya de se reconcentrer à nouveau sur ce qui se passait à l'intérieur. Mais elle était contrariée.

Et vous alors, pourquoi n'y êtes vous pas à ce bal ? Pourquoi n'y allez vous pas vous trouver une jolie pimprenelle ?
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--Poildru
Toujours le sourire accroché au visage, Poil dru lui répondit alors:

-bah, simplement parce que tout l'intérêt que pourrait avoir ce bal ce trouve ici, assis sur une souche d'arbre...

Avec toute la dextérité d'un singe possédant des gènes de chats, Arnault descendit de l'arbre. Tournant le dos à Margaux, il se pencha et ramassa au sol quelque chose. Durant quelques instants, il sembla jouer dans ses mains pour finalement se retourner face à elle. Son regard avait changé. Un regard d'adulte transcendait les yeux juvéniles et questionnait la jeune femme.

-Tu veux être ma cavalière pour le bal des malaimés? Ici sous le chêne?

Sur ces mots, Poil dru présenta sa main gauche dans laquelle commençait à fondre une fleur maladroitement modelée dans la neige. Une fleur qui semblait pleurer les inégalités et les injustices trop présentes en ce monde.
Allouette
Allouette ayant entendu parler d'un bal décida de s'y rendre un peu de beauté ne lui ferais pas de mal dans ces périodes troublées.Mais que mettre ?.... elle fouilla dans ses malles et y trouva ce qu'elle cherchait des monceaux d'étoffes elle en sortit plusieurs et n'étant pas maladroite de ses mains se confectionna un habit .

puis elle l'enfila, releva ses cheveux puis t se regarda dans un miroir , ma fois ce n'était pas trop mal réussi,



ainsi parée elle partit , et pénétra dans la salle , mais arrivée là , elle se sentit toute timide, ne connaissant personne , elle ne put m^me pas chercher un visage ami.

tout doucement elle se faufila parmi les gens , prit un verre et se mit dans un coin pour observer les belles toilettes

le bal battait son plein et elle écoutait avec délice les musiciens

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Helena.
Helena sourit voyant tout se petite monde qui avait affronté la neige pour venir au bal.
Le succès du bal lui faisait un bien fous. Pendant une soirée elle allait pouvoir oublier ces tracas enfin essayer à condition qu'il ne vienne pas semer sa zizanie comme il l'avait déjà fait plusieurs fois en taverne. Il aurait bien le culot de venir avec sa nouvelle maitresse pour se pavaner devant tout le monde.
Les gens arrivaient petit à petit. St Nicolas était là. Helena écarquilla les yeux de stupeur en voyant la comtesse Oane glisser sur le sol comme sur une patinoire en direction de St Nicolas.
La brunette mis sa main devant sa bouche de stupeur. Heureusement Oane ne se retrouva pas sur son arrière train ni St Nicolas.
La domestique d'Oane à la poitrine généreuse vint à la rescousse de sa maîtresse stoppant son élan. Helena soupira de soulagement.
La brunette vit alors une jeune femme qui semblait intimidée et perdue. Elle se dirigea vers la jeune femme à la robe rouge avec un verre de vin épicé.
Elle lui tendit en souriant


Bonjour Madame
Je suis Helena Di Rivombra. Bienvenue au bal de l'Avent
J'espère que vous vous amuserez avec nous


Elle lui fit un clin d’œil sympathique.

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Allouette
Allouette vit venir vers elle une dame bien mise avec un verre à la main , elle le lui tendait en souriant .

Elle prit le verre et sourit aux paroles de la Dame

Code:

Bonjour Madame
Je suis Helena Di Rivombra. Bienvenue au bal de l'Avent
J'espère que vous vous amuserez avec nous


bonjour Dame Hélena ,

je suis Allouette et je vous remercie de votre accueil

j'espère aussi bien m'amuser parmi vous


Elle lui rendit son beau sourire

son clin d'oeil lui avait fait chaud au coeur, elle but lentement quelques gorgées du vin épicé à souhait

Après tout cette soirée ne s'annonçait pas trop mal , elle commençait même à avoir quelques espoirs que son choix sur cette ville qu'elle avait choisi était le bon

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Fransdunord
Discutant avec chacun, il observait Saint Nicolas, les nouveaux et nouvelles invités, puis un couple qu'il distinguait au loin, dehors.

Tout ceci était fort bien, mais a rester longtemps debout, il se fatiguait considérablement. Il profita d'un instant où personne ne lui prêtait attention pour s'éclipser doucement vers une chaise, un peu plus loin et s'y asseoir, avant de souffler un bon coup. La douleur s'atténuait peu à peu.

Il sourit en voyant quelques enfants courir dans tous les sens de la salle et pensa que ca faisait du bien d'avoir un peu d'animation. Ce bal était vraiment une bonne idée puisqu'il faisait se rencontrer des personnes qui finalement n'habitaient pas si loin l'une de l'autre, sans se connaître.

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Oane
Rester digne. Voilà ce qui avait occupé l'esprit d'Oane pendant cette folle traversée de la salle direction barbe blanche et son fourre tout empli de diverses gâteries aussi sucrées que collantes du moins l'imaginait-elle. La comtesse un peu bougonne, marmonna à part elle :

Ces bals sont plus dangereux que des champs de bataille ou la cour de la reyne elle mesme, plein de'embuches et de croches pattes....

Puis, un bref instant, la comtesse imagina ce qui eut pût se produire sans l’intervention des seins sans aucun doute divin ; la glissade aurait pu se terminer tout droit sur le saint Nicolas, dans un mouvement réflexe, elle aurait lancé son bras pour se retenir avec quelque chose. Bien à tomber, elle aurait agrippé la barbe du Faux Saint découvrant la supercherie aux yeux de tous les enfants, gâchant ainsi la magie de la fête et pour tout comble, elle aurait fini sa chute en plein dans le sac à malice et en serait sortit tel un arbre de Noël jonchée de petits objets colorés et très ...collants. Oane éclata d'un rire qui essaima des clochettes partout autour d'elle à ce qui aurait pu être mais n'avait pas été. Elle sentit en veine ce jour.
Dans un éclair de lucidité, la jeune femme repéra sa traîne lilas bordée de lys d'or que le soulier de la petite Anna avait accroché et la tira vers elle d'un coup sec afin de ne pas être entraînée à la nouvelle lubie de l'enfante : qui sait ou ses désirs iraient la conduire ? Elle sourit en voyant le regard de la petite imperturbable toujours tourné vers les fastes de la fête et tout particulièrement le sac rebondi de Saint Nicolas que l'homme remontait d'un air protecteur sur ses épaules. Saint Nicolas, elle l'avait presque oublié celui-ci quand une voix grave et lourde de reproche se fit entendre à ses oreilles


Oh Oh Ooooh

Par la barbe de mes ancêtres! Vous êtes bien empressée et précipitée de recevoir des friandises.
Je vous préviens: Si vous agressez Saint Nicolas pour lui voler ses cadeaux, c'est le père fouettard qui viendra vous donner quelques coups de trique.


Voilà que ce faux barbu la tançait vertement d'un air goguenard, les yeux d'Oane s’étrécirent et pivotant vers Saint Nicolas, elle posa son regard océan sur les traits du visage, les inflexions de la voix grave un peu forcée ne lui était pas inconnue...

Ne vous inquiétez pas, il y en aura pour tout le monde. Mais vous savez... je ne distribue mes sucreries qu'à ceux qui ont été Sage. Mon enfant, J'espère que vous l'avez été...

Deux Gros Yeux interrogateurs se posent sur la comtesse qui elle lève u sourcil d'un noir de jais puis quand une lueur malicieuse traverse -surement à la nage- l'océan de ses prunelles

A mon grand dam, Grand Sainct Nicolas, la question ne se pose poinct, je suis et depuis bien trop longtemps trop sage vous dira-t-on par tout le pays...

Puis, il continue d'une voix plus basse et complice.

Je crois bien avoir dans le fond de mon sac quelques cerises confites, et je sais que ces petits fruits rouges sont votre péché mignon.

Si le doute n'est plus permis quant à l'identité du coquin qui joue les saints, rien n’empêche que l'opale du visage de la De Surgères se pare de pommettes aussi rouge que les cerises confites sans doute, vu le personnage, dans quelque liqueur de choix.

Si c'était là mon seul péché Grand Saint Nicolas ...

Oane voulait se la jouer grande dame mystérieuse, toutefois elle ne put s’empêcher de saliver à l'idée de cerise en plein hiver... et cette prise de conscience soudaine d'être aussi transparente ne fut ce que pour un seul être, la De Surgères se renfrogna soudain. Elle sembla bien songeuse tout à coup tandis que Saint Nicolas s’intéressait à la petite Anna faisant son boulot du jour.
Oane libéré de l'attention taquine de Barbe Blanche, balaya la salle du regard. Elle vit plusieurs personnes pénétrer dans la salle tour à tout accueillit par Lexy ou Héléna. Elle nota l'arrivée de la baronne Nahysse et de celui qui devait être le cadet des Plantagenêt à en juger par sa ressemblance avec les traits de son père. Elle remarqua un homme et son enfant et s'émerveilla à nouveau de la fécondité poitevine. Puis, un homme qui avait discuté précédemment avec Lexy chercha un siège et s'y assis l'air épuisé. La comtesse repéra sa blessure et se dirigeât droit vers les tables où trônait magistrales quelques barriques et leur petites copines chopines. Elle se fit servir deux verres - à ras bord la mousse- et se dirigea vers celui qui devait être un soldat blessé au front


Bonjour, je me nomme Oane de Surgères. Voulez-vous un rafraîchissement ? Il est encore ma foy plein de bulles et de bonne humeur

Elle lui fit un sourire cerise
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Margaux..
Citation:
bah, simplement parce que tout l'intérêt que pourrait avoir ce bal ce trouve ici, assis sur une souche d'arbre...

Margaux soupira, elle n'aimait pas les compliments, elle feignit de ne pas comprendre celui-ci.
Un mouvement de recul quand le garnement descendit de son perchoir. Il lui tourna le dos, fit quelque chose. Bien qu'elle s'en défende, la jeune fille etait curieuse, elle se penchat discrétement, cherchant à voir. Il se retournat, Margaux se redressat vivement, esquissat un sourire qu'elle voudrait innocent. Elle essayat de voir son visage pour savoir qui il etait vraiment, mais il restait dans l'ombre, elle distinguait à peine ses yeux. Il ouvrit la main en même temps qu'il parlait, Margaux baissat les yeux et aperçut une fleur de neige. La jeune fille sourit.

Citation:
Tu veux être ma cavalière pour le bal des malaimés? Ici sous le chêne?

Vous savez danser vous ? Moi je n'en suis pas certaine, je n'ai jamais dansé que toute seule. Et bien si la musique se décide à entamer une branle ou un quadrille, pourquoi pas. Mais je ne serai votre cavalière que le temps que vivra cette fleur. Je quitte le comté cette nuit.

L'idée du voyage qu'elle avait commencé et qu'elle allait poursuivre la remplissait d'espoir et la faisait sourire.
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Lexy
La jeune fille regardait désespérément la porte, guettant sans relâche, attendant... attendant quoi ? De toute façon, comme d'habitude, ils ne tiendraient pas leur promesse, comme d'habitude ils la laisseraient seule.

Soupirant, elle se dirigea à nouveau vers le vin épicé, en reprit un verre et alla s'installer à l'écart, regardant les personnes présentes, discuter, s'amuser.

Les enfants riaient, entouraient le St Nicolas qui sirotait son vin chaud, leur parlant de sa grosse voix grave.

Lexy se mit à penser qu'avec son fiancé jamais ils n'avaient assisté à un bal, jamais d'ailleurs n'étaient ils allés à un repas... En y réfléchissant bien, malgré le nombre d'années qu'ils ont été ensembles, rares ont été les fois où ils s'étaient montrés en public. Et la guerre avait éclaté, et la guerre les avait séparés, et la guerre l'avait blessée grièvement, l'éloignant inexorablement de l'homme qu'elle aimait depuis enfant. Un voile triste passa sur ses yeux clairs, se mordant la lèvre pour empêcher les larmes qui montaient facilement depuis leur rupture.

Pour chasser cette mélancolie qui la tenaillait, elle vida son verre d'un trait et repartit en chercher un autre. Au moins l'alcool avait le don d'éloigner ses pensées moroses.

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Euzen
Il eu de la chance le blond, avec se qui arriva, son entrée ne fut pas seulement discrète mais totalement inaperçue. La raison? Un homme encapuchonné qui, à son grand soulagement, capta l'attention général. Reconnaissant Saint-Nicolas, Euzen sourit légérement et s'agenouilla prêt d'Abi pour lui parler discrètement.

"Le vois-tu? Tu n'es pas la seule enfant ici." Il désigna la flette dont les éclat de joie était audible "Et lui c'est le père Nicolas, c'est lui qui nous amène les cadeaux le jour de noël. Vas donc le saluer, tiens ! Profites en pour lui dire se que tu veux comme cadeau."

Un genoux toujours à terre et lui lâchant la main, il la laissa rejoindre l'homme à la barbe. Et c'est de la qu'il assista à la catastrophe. Une traîne trop longue... Une dame déséquilibré... Voilà les ingrédients idéal pour cataclysme réussit ! Se relevant en hâte, malgré sa douleur à la cuisse, le blond n'eut pourtant pas le temps d'intervenir. Sorti d'il ne savait où une plantureuse servante fit son apparition, sortant net la cavalcade avant que le pire n'arrive.

    Après les quelques instant qui suffirent à m'assurer que tout aller bien du côté de la petite escapade, je cherchais la mouflette du regard. Elle qui s'était approchait de Saint-Nicolas, je craignais quelle ne se soit laissé entraînée par la course folle... Non ? Non. Je la trouvé à se rapprocher à quelques pas du barbu, elle semblait ne rien avoir. Je me retiens de la rejoidre pour m'en assurer, je pris la direction du buffet.


C'est un nouveau pas de danse ; il est seyant n'est- il poinct ?

Un nouveau pas de danse ? Voilà qui était bien trouvé et cela amusa le jeune Montbazon. Il n'y a pas a dire, la noble dame semblait avoir de la suite dans les idées. Et le trajet qui le menait aux verres de vins convoité, le fit passer à quelques pas de l'imposante servante-sauveteuse, discrètement, il lui sourit avant d'atteindre son objectif. Alors enfin, il pu se servir de cette liqueur chaude et, sans attendre, en but une longue gorgée.

Se tournant de nouveau vers la salle, il la parcours du regard. Les convives étaient nombreux et dans des style disparate. Certains en couples, d'autres seuls. Avec toujours la gamine dans le coin de l'oeil, Euzen prit le temps d'étudier les invités. Son regard vairon se posa alors sur une jeune demoiselle à l'entrée de la salle. Jolie, elle l'était. Noble, certainement aussi.

    Cela, je n'eu pas de mal à le deviner... Le simple carnet qu'elle tenait à la main la trahissait. Mais pas que... Son vêtement, ces manières aussi, le laisse comprendre. Buvant tranquillement mon verre, ma propre réaction me surprit. Ou plutôt... Mon inaction... Depuis la rousse, notre liaison, et ces lourdes conséquences, je... N'ose plus. Pourtant, qui avait-il de dangereux à pratiquer quelques danses ? Rien. Et pourtant... Pourtant... Mon verre toujours en main, l'indécision toujours à l'esprit, je laisse couler un peu la soirée... Et le vin dans mes veines. Peut-être que lui, réussira à me faire oublier, tout se qui se devait de l'être...


Mais il n'y avait pas que les blessures de l'esprit que le Navailles espérait que ce doux alcool réussissent à atténuer... La douleur physique n'était, certes pas intenable, mais lassante... Le premier verre fut rapidement terminé, alors un second ne tarda pas à trouver sa place dans la main du jeune blond. Il n'avait pas d'inquiétude... L'alcool, il connaissait, au grand dame de son père, et il se savait encore consommer bien plus qu'il ne soit plus capable de rien... Mais se n'était pas son but, non. Il était simplement là pour se détendre...

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(* By Heyleen Casaviecchi)
--Poildru
Poil dru sourit.

-Si je sais danser? Bien sûr! Regarde ma belle!

Arnault dit Poil dur commença une frénétique pagailles de pas incohérents, tournant sur lui même et sautant par moment. Quelques peu essoufflé, il arrêta ses clowneries et regarda Margaux amusé.

-En fait non, je ne sais pas vraiment danser. Mais rien ne nous empêche d'essayer. Tu entends cette musique?

Le silence n'était incommodé que par le bruit s'échappant de la salle de bal. Voyant la damoiselle perplexe, le jeune homme ajouta:

-Écoute bien, elle est dans ta tête! C'est l'harmonie de nos desseins se rencontrant enfin.

Poil dru lui tendit la main, l'invitant à commencer la danse.
Margaux..
Margaux le regardait gigoter en écarquillant les yeux. Cette façon de faire lui rappelait étrangement le buit et les mouvement que faisaient les aiguilles à tricoter de sa mère. Margaux s'attendait à chaque instant à le voir glisser et s'éffronder sur la neige. Et elle riait.
Citation:
En fait non, je ne sais pas vraiment danser. Mais rien ne nous empêche d'essayer. Tu entends cette musique?
-Écoute bien, elle est dans ta tête! C'est l'harmonie de nos desseins se rencontrant enfin.

Juste une danse alors, avant mon départ.

Margaux décida de jouer le jeu. Elle s'avança lentement, la tête portée haut, fiérement, à la façon des damoiselles nobles. Elle feignit de repousser ses cheveux vers l'arrière, du dos de la main, dans une geste exagérément gracieux, ou ridicule. Arrivée à la hauteur du jeune homme, elle lui fit une révérence, un salut de la tête, se retenant de sourire.

Et bien Messire, je vous fait l'exxxxtrème honneur de vous accorder cette danse.

Elle avança son bras haut, laissaint sa main retomber négligement vers Poildru. Elle ne pu réprimer un petit rire.
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Fransdunord
Depuis le peu de temps qu'il était assis, il se sentait mieux déjà. A peine le temps de souffler qu'une femme avança. Il la reconnut, il l'avait déjà vu en taverne

Bonsoir Oane, je me rappelle de vous. Je vous ai déjà croisé. Par contre, je ne sais plus si c'est comtesse, duchesse ou autre titre que vous portez.

Il prit le verre qu'elle lui tendait et en but une gorgée... Il n'avait pas vraiment l'habitude de boire ce genre de "nectar"

Belle soirée, n'est-ce pas? De jolies dames, un bon repas, saint Nicolas... et de magnifiques robes toutes plus belles les unes que les autres, même si j'ai ma petite préférence.

Il sourit de nouveau et vit Lexy, au loin, qui s'isolait, le visage triste, attendant quelqu'un aparemment. Il se demandait ce qui pouvait bien manquer à cette jeune femme, et pourquoi elle avait le visage si triste
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