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[RP] Taverne "La Rose de Belley"

Rosedecastille
Au petit matin, très tôt, Rose arriva au pas à la taverne... Le village n'était encore réveillé et on voyait seulement quelques bougies faire danser leur flamme dans deux ou trois chaumières... La jeune-femme descendit de cheval et l'attacha près de la grange... elle entra et jetta un regard circulaire... tout était impeccable! Patrus était un tavernier exemplaire et Rose redoutait le jour où il lui dirait que son temps était trop rempli pour tenir la taverne... elle avança jusqu'au comptoir et regarda le porte-clefs... elles étaient toutes là... personne ne dormait donc à l'étage! Rose monta voir les chambres... les lits frais étaient tirés impeccablement et une odeur de boiserie mêlée à la fraîcheur de la literie dont Kalyssia prenait soin, régnait dans les pièces... Rose sourit... elle entendit entrer quelqu'un et des rires... Rose descendit et vit un couple assis... elle sourit s'avança comme au bon vieux temps...

"Bonjour, Dame, Sieur... quelle belle journée! Que puis-je vous servir?...

le couple demanda un petit-déjeuner et une tisane que Rose s'empressa de leur servir... Rose prépara les repas et enfourna la pâte... elle s'assit derrière le comptoir le regard plein de souvenirs, attendant Patrus qui ne devait pas tarder à arriver...
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Patrus
Patrus arriva un peux en retard ce matin là .La veille avait été bien achalandée.
Marco avait vider plusieurs chopes comme toujours et tout un régiment de soldat de lòst sont venu festoyer, bref toute une soirée.Patrus avait prit soin de tout ranger et nettoyer pour que Rose soit contente .
En arrivent ,Patrus vit sa charmante patronne assise au contoire les yeux brillant qui regardait
un couple déjeuner tranquillement .Elle avait du arriver tôt pour préparée
ce somptueux repas. Les clients semblaient ce délecter de toute ses bonne chose a manger.

Bon matin charmante Rose vous êtes radieuse comme le soleil matinal sur la Savoie !
Vous êtes arrivez très tôt .J`espère que tout vas pour le mieux .Je suis parti très tard hier ca été une grosse soirée .Je suis bien content de vous voir !


Patrus fit la bise a rose et alla préparer la pâte a gâteau au miel .
Locke
L'aube pointait lorsque la carriole entra dans les rues encore endormie de ma cité. En fait, Belley lui semblait toujours endormie, cité rêveuse autant que ses habitants peut-être. Il dit avancer sa carriole pleine de ses achats jusque la taverne qu'il avait aperçut à l'aller. C'est que autant le canasson que son guide avant bien besoin d'un bon casse-croûte et de quelques heures de repos.

Il aimait à voyager la nuit. Il papotait avec la lune ou son cheval. Ou alors, laissant l'animal calme les mener sur le chemin, il griffonnait à l'envie sur quelque morceau de parchemin. Et puis, il évitait ainsi les longues files embouteillées aux portes des villes en arrivant aux aurores. Mais déjà dans les rues, les étals se remplissaient et les marchands s'affairaient. Lui ne sentit qu'une odeur de gâteaux en train de cuire émanant des fenêtres ouvertes de la taverne. Son estomac en gargouilla d'impatience. Laissant sa monture dans la cour de l'établissement, au bon soin d'un gamin à qui il glissa une piécette pour s'assurer que la bête fatiguée aurait tous les soins et la nourriture nécessaire, il se dirigea vers la taverne, tentant de se débarasser de la poussière accumulée.

Dans la grande salle, peu de monde encore. Il hocha la tête et apprécia de pouvoir manger tranquillement. S'installant à une table, il demanda en souriant :


Bonjour !! Que peut-on manger à c't'heure pour apaiser un voyageur affamé ?
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Rosedecastille
Rose sourit en voyant le visiteur s'épousseter...

Bien le bonjour, Sieur!... qu'aurais-je le plaisir de vous servir? lardons grillés, jambon fumé avec des oeufs et du pain frais... et pour attaquer cette belle journée, un jus de pommes pressées de notre verger pour accompagner tout cela!...

Rose sourit aimablement et attendit la réponse, guettant la venue de son tavernier...
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Patrus
Patrus sorti ses gateaux au miel du four .En sortant de la cuisine il vit Rose près d un messire qui semblait avoir fait un long voyage.Il s approcha
et dit :
bon matin sieur je suis Patrus votre tavernier et voici Rose ma charmante amie et patronne .Vous êtes surement affamé désiré vous notre spécialité : lardons grillés, jambon fumé avec des oeufs et du pain frais.et jai préparer des gateaux au miel! il sorte tout juste du four.

Patrus fit un beau sourire .
Saffig
Mais qu'est-ce que.... Rhaaaa non.. Juste aujourd'hui!!

Saffig donna un coup de pied rageur dans un caillou qui alla percuter la porte, fermée, de la taverne.
Elle froissa entre ses doigts le message qu'elle venait d'écrire mais qu'elle n'enverrait pas, puis elle se laissa glisser le dos contre la porte jusqu'à s'asseoir à même le sol.


Ma che fatica...

Ce voyage avait été in-ter-mi-na-ble. À peine partis qu'il avait fallu s'arrêter à Vesoul, pour rien finalement, à part tout de même le plaisir de saluer Jerone de vive-voix, et de boire un coup avec lui.
Vide ce village de Vesoul d'ailleurs. À peine partie elle regrettait déjà Luxeuil et ses amis, surtout Isabelle avec qui elle avait bien lié ses derniers jours. Il faut dire que c'était la femme qui avait volé le coeur de son grand ami Jym, donc forcément quelqu'un de bien.
Ah, c'était vraiment par amour qu'elle partait, parce que sinon.. L'amour, ça fait faire d'ces trucs....

Bon, puis ça n'était pas allé en s'arrangeant.. Dôle.. Déjà qu'elle ne supportait pas cette ville, elle avait dû tout faire pour rester à l'écart de la place principale, envahie par les campagnes électorales.
Poligny n'en parlons même pas.. Un vrai désert. Et entre temps, cette missive, qui la confortait dans le bien fondé de son voyage mais qui la faisait fulminer contre la lenteur des déplacements.
Et puis Saint-Claude, frontière de la FC.. Attendre les retardataires. Heureusement qu'elle avait de la compagnie. À commencer par sa fille, Annaline, si enthousiaste pour le voyage.. Mais un peu distraite!
Si bien qu'elle loupa le départ pour Genève.
Pas de regrets cependant, la visite de la ville avait été fort agréable ainsi que la compagnie en taverne.
Mais rebelote le soir même, encore un départ loupé d'Anna et une attente infinie aux portes d'Annecy. C'est que Saffig s'inquiétait à mourir à l'idée de savoir sa fille seule et sans défense sur les routes. Anna avait beau lui répéter de ne pas s'en faire, quel savait se débrouiller, son coeur de mère n'en voulait rien savoir, et résultat, impossible de fermer l'oeil de la nuit.

La patience avait des limites, et celles de Saffig étaient vraiment atteintes. En arrivant en vue de Chambery, elle fut prise d'une irréfrénable envie de continuer sans même faire une étape. Heureusement pour sa santé et son sommeil, elle était bien entourée et fut convaincue qu'il était mieux pour tout le monde de faire une pause dans la capitale.
Bien lui en prit, puisqu'une rencontre en taverne fut des plus intéressantes. La Capitaine, rien de moins. Saffig en ressortit avec une information des plus utile.

Elle avait imaginé arriver à Belley à l'aube, et d'apercevoir sa silhouette en haut des remparts, de deviner son expression de surprise en les voyant, Anna et elle. Et puis courir à sa rencontre et se jeter dans ses bras...
Impossible donc, elle n'était pas de garde.
Le plan fut donc changé.
Premièrement, s'assurer qu'elle mettra le nez dehors aux premières lueurs.
Deuxièmement, choisir une phrase qui fasse de l'effet à lui envoyer par pigeon.
Troisièment, récupérer un pigeon pour l'avoir sous la main le moment venu.
Et enfin.. partir!

Arrivant donc en vue de Belley, elle avait rédigé le message.
"Et si tu m'offrais à boire?" Elle souriait en coin en écrivant, regrettant seulement de ne point pouvoir voir sa tête lorsqu'elle le lirait.

Et sitôt arrivée qu'elle avait couru, missive dans une main et cage du pigeon dans l'autre, jusqu'à la taverne où elle comptait l'attendre.

Il resto è storia, comme dirait l'autre.

Alors maintenant, que faire? Elle soupira. Peut-être qu'envoyer le message quand même... Elle le déplia, essaya de l'étirer un peu.


rrrrrouuuu

Elle tourna la tête vers le roucoulement. Maudit pigeon! Comment avait-il fait pour sortir de la cage? Elle se jeta sur lui, mais peine perdue, il s'envola.

Et zut alors...

Elle replia les genoux vers sa poitrine, y enroula ses bras, et y appuya la tête. Dans un soupir, elle ferma les yeux.
Annaline
Annaline se promenait par là, lunatique comme à son habitude, puis remarqua sa mamma assise par terre. Elle s'en approcha en souriant et lui fait un énorme Bouh! pour la faire sursauter, ce qui fut tout à fait réussit d'ailleurs.

Coucou Mamma d'amour!, dit-elle en lui plaquant un bisou sur la joue comme nul autre ne savait le faire.J'ai hâte de voir Maman! La tête qu'elle va faire quand elle va nous voir! hihihii

Puis, la petite se releva et trotina gaiement en rond devant sa mère en faisant un genre de Lalalalala de joie. Enfin, tous réunies et c'était l'important.
Mielikki
Une autre journée qui débutait, la même routine qui s'enchaînait. Debout bien avant le levé du soleil, si l'on pouvait affirmé qu'elle avait dormi, occupée à courir d'un côté à l'autre de la caserne, à vérifier ceci ou cela, à faire le suivi de telle ou telle chose et à classer des dossiers désuets. Si les journées étaient trop courtes, les nuits l'étaient davantage encore et bien que ce train de vie n'avait rien de reposant, il lui convenait bien. Si elle manquait parfois de temps pour tout faire, elle se débrouillait pour le plus de temps possible avec ses enfants, lorsqu'elle n'était pas de garde, comme la nuit qui venait tout juste de s'écouler.

Alors qu'elle passait par la cantine de l'Armée Savoyarde pour y choper un truc à manger en vitesse avant d'aller faire un tour au village, boire une chope avec Rose, chose qu'elle n'avait fait que très peu dernièrement, elle fut hélée par le Capitaine, lui demandant de vérifier les rapports de la nuit concernant un groupe aux allures étranges qui avait mentionné se dirigé sur Belley.

Inquiète, redoutant un rassemblement hydre au vu des quelques membres qui avait traversés la région dans les derniers jours, elle était vite aller faire un tour en Salle des défenses consulté le fameux rapport.

Son coeur manqua un battement, lorsqu'elle identifia, parmi les étrangers, sa douce compagne et leur fille. Les yeux brillant d'émotions, elle avait quitter la pièce au pas de course, remerciant tout ce qui était possible de remercier. Elle avait tellement besoin de les voir, tellement besoin d'elles. Elle avait vite oublier cette histoire de groupe louche, elle avait compris que cela n'avait été qu'un prétexte, une mise en scène pour qu'elle le sache.. elles étaient là.

Sellant son cheval borgne, elle le fit traverser le village à fond de train, jusqu'à la taverne de Rose, reconnue pour son hospitalité et pour sa succulente cuisine. Si Saffig s'était arrêté quelque part, ce ne pouvait être que là. En vu de "La Rose de Belley " Elle sauta de son destrier, le coeur battant la chamade à mesure qu'elle reconnaissait la jeune fille qui trottinait devant la taverne.. puis une silhouette adossée à la porte.

Elle ne pu empêcher les larmes qui se formèrent au coin de ses yeux, ni le descentes sinueuse sur ses joues alors qu'elle accélérait le pas jusqu'à elles
.

-Anna !

À peine elle avait prononcer son nom, qu'elle attrapait la gamine pour la serrer dans ses bras. Elle murmura à voix-basse, comme pour elle-même :

" J'y crois pas... "

Elle embrassa sa fille avec tout l'amour qu'une mère pouvait avoir, puis sans attendre, se jeta dans les bras de Saffig. Il y avait si longtemps... comment avaient-elles pu ne rien lui dire? Dans un mélange de bonheur et de confusion, de larme et de rire elle se serra contre Saffig de toute ses force.

-Mais... comment ? Pourquoi n'avoir rien dit? Je...! Je suis tellement.... mais qu'est-ce que vous faites là? Je t'aime ! Je vous aime tellement !
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Saffig
BOUH

Saffig sursauta et ouvrit les yeux sur sa fille qui riait de sa réaction. Elle ne retint pas un sourire.

Tu m'as fait peur!

C'était si bon de la voir heureuse et insouciante comme doit l'être une jeune fille de son âge!

Elle l'embrassa aussi sur la joue en lui répondant

Moi aussi j'ai hâte cucciola!

Elle la regardait trottiner joyeusement et elle se sentit envahir par un grand sens de bien-être. Lorsque Mieli arriverait, tout serait vraiment parfait. Elle ne doutait aucunement qu'elle allait arriver. Et ce malgré le pigeon fugitif. Saffig s'était assurée la veille auprès du Capitaine que Mieli prenne connaissance dès que possible des rapports de la garde de l'entrée du village. Et en arrivant à Belley elle avait bien été attentive à se faire reconnaître. Au moins ça, c'était sûr, et le fait que la taverne soit fermée et que le pigeon se soit fait la malle.. Ce n'étaient là que de simples détails.

Elle entendit alors le galop d'un cheval et tendit l'oreille. Son coeur se serra et elle sut. C'était elle. Elle se retint de se lever pour courir à sa rencontre. Non non, elle devait se retenir, comme elle s'était retenu depuis le début du voyage de lui écrire pour lui annoncer leur arrivée.. La nonchalance et la sérénité, voilà ce qu'elle devait montrer. Nonchalance et sérénité, nonchalance et sérénité....
Elle resta donc appuyée à la porte close, afficha un sourire serein, une attitude qui voulait faire sembler que leur présence ici était tout sauf surprenante..
Son regard néanmoins, brillait certainement un peu trop.. Mais le regard étant le miroir de l'âme comme on dit, impossible de le changer!

Elle observa alors sa compagne sauter de son destrier et courir vers Anna pour la serrer dans ses bras et l'embrasser. Son coeur battait la chamade et elle se leva, et ouvrit les bras à Mieli pour la serrer contre elle le plus fort possible.

Elle l'écouta en souriant, très fière de l'effet réussi, puis lui murmura l'oreille d'un ton joyeux


Surprise!
Je t'aime aussi!


Elle caressa sa joue, en essuyant les larmes de joie qui y coulaient, et déposa un baiser, tendre et léger, sur ses lèvres.

Elle ouvrit alors un bras pour appeler Anna, leur fille, à s'approcher aussi, et elle lui passa le bras sur les épaules avant de poursuivre :


Ce qu'on fait ici... Oh et bien, on s'ennuyait, là-bas, alors on s'est dit qu'on pouvait passer te faire un petit coucou...

Elle haussa les épaules d'un air faussement désinvolte, mais ne put jouer la comédie bien longtemps, et sourit à sa belle alors que l'émotion d'enfin la revoir devenait trop forte et que des larmes de joies perlaient dans ses yeux

La vérité c'est que tu nous manquais trop, alors nous voilà, et on compte bien rester un moment..

Elle n'en dit pas plus sur leurs plans, et d'un clin d'oeil à Anna, lui fit comprendre de ne rien révéler de plus elle non plus.
Mielikki
Pour une surprise, s'en était une ! Jamais il ne lui était venu à l'esprit que cela arriverait, qu'elles seraient là toutes les deux à l'attendre devant la porte close de la taverne la plus accueillante de la ville. Oh bien sûr, le fait qu'elles viennent la voir n'avait rien de particulièrement incroyable, mais qu'elles soient venu sans le lui dire et qu'elles ai magouillé avec le Capitaine pour parvenir à leur fin, c'était plus improbable. Toujours est-il que fut bien le cas.

Dans les bras de Saffig, elle ne trouva rien à dire, ni à penser. Elle était là, elles étaient là toute les deux. contre ses lèvres, elle se senti plus légère qu'une plume de pigeon prise dans le vent et tellement plus vivante que jamais. C'était donc ça l'amour? Se sentir reprendre vie au contact de l'être aimé et avoir l'impression de marcher dans les nuages...elle soupira, heureuse, une nouvelle larme de joie creusant son sillon sur sa joue alors qu'Anna venait se joindre à elles.


Mes amours... vous m'avez tant manqués toute les deux
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Zantares
[Le samedi après-midi]


Pour le soir de ce samedi, Dame Rose avait eu l'idée d'organiser un bal. Zantares, nouvelle tavernière, préparait la taverne. Elle avait été le matin même dans la clairière chercher quelques fleurs pour les décorations



Zantares déplaça les tables pour laisser de la place pour le bal.
Elle prépara quelques couronnes pour les installer sur les tables avec des bougies.



Elle prépara tous les verres, les chopines, les tasses pour les tisanes, quelques victuailles.

Voilà, la taverne était prête, il ne restait plus qu'à elle de se préparer. Elle ferma la taverne pour une heure et rentra se changé.





[Chez elle]


Elle rentra rapidement et se prépara. Elle enfila sa seule et unique robe et retourna à la taverne.




[Retour à la taverne plus tard]

Tout était prêt pour accueillir les gens de Belley pour ce bal.

Les musiciens étaient arrivés aussi.

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Patrus
Patrus avait su pour le bal a la taverne de Rose. Il mi ses plus beau habit et ce rendit a sa taverne préféré.En poussant la porte il vit Zantares la nouvelle tavernière, et oui !!Patrus manquait de temps ,avec les études a la prévoté,son temps était devenu si précieux.Après une longue retraite pour ce ressourcer, il débutait enfin ces cours.

Bonjours Zan! Je suis heureux de vous voir ! ho!!c est très jolie ici !
Le bal vas être joyeux.


Patrus fit la bise a Zantares

Vous êtes en beauté dans votre magnifique robe !

l homme s installa a une table en attendant les autres pour commencer le bal
Il observait la tavernière faire les dernier préparatif et la regardais avec le sourire au lèvres .Que de bon souvenir il avait eu comme tavernier mais le temps était venu de passer a autre chose .
Zantares
Zantares était ravie de voir arriver quelqu'un. Elle reconnut Patrus et elle en était ravie, il avait l'air de bien se porter,

Bonjour Patrus,
Je suis ravie de te revoir Patrus, comment vas-tu ?

Merci pour ses compliments et j'espère que nous aurons du monde ce soir

Une fois installé à une table, Zantares lui apporta une chopine

De ma part, je suis contente de vous voir parmi nous de nouveau

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Patrus
Patrus sourit et pris la chope avec joie.

merci Zan! ca fait du bien d être a nouveaux chez soie.

Je me suis bien ressourcer pendant ma retraite .
J étudie présentement a l école de la prévoté avec dame Elise .
C est très enrichissant .J ai bien hâte de faire ce travaille .

Et vous dame Zantares, la vie vous est favorable ?


Il humait une bonne odeur de fleure fraichement cueilli .
Ariabelle
Un bal... un vrai... elle n'avait jamais vu ça... On lui avait dit que même gueuse, on était admise, il fallait vérifier. Il paraissait aussi qu'il serait là, c'était préférable pour lui! Elle n'avait pas l'intention d'écraser les orteils de quelqu'un d'autre!

Replaçant ses bouclettes rouquinettes, elle entra en silence... facile quand on est pieds nus. Scrutant la place, elle sourit à la décoration et avança sans regarder s'il y avait des gens, impressionnée par l'ambiance déjà...

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