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[RP] Taverne "La Rose de Belley"

Norah.
    Un moment, la jeune femme détacha ses yeux du spectacle qui animait la taverne pour les poser sur son interlocuteur, un sourire affable de circonstance plaqué sur ses lèvres. Elle détestait d'avoir à être le centre de l'attention. D'ordinaire, face à son regard, l'on jouait la carte du déni; comme s'il n'existait pas, comme si personne n'en avait rien à faire, ou que personne n'avait daigné le remarquer. Cette fois, c'était différent.

    A nouveau, elle porta une coupe du breuvage spécial concocté par Rose à sa bouche, plus pour occuper ses mains et son esprit qu'autre chose; les senteurs fruitées mêlées à l'alcool qui s'attardaient sur sa langue grisaient doucement mais sûrement ses pensées. Il faudrait absolument qu'elle pensât à la féliciter.

    Bâle. Nuremberg. Pologne. Les noms semblaient si éloignés qu'elle n'était même pas certaine de bien savoir les situer, encore qu'elle n'osât poser la question. Se pouvait-il qu'il fût si vieux ? Il n'avait pas dit "étudié", mais bien "exercé". Norah resta perplexe l'espace d'un instant, serrant ses doigts autour de sa coupe pour ne pas rester les bras ballants et garder un semblant de contenance.

    -Voilà qui doit être... intéressant. Vous devez enseigner depuis longtemps, pour avoir autant voyagé. Littérature et armes... Deux domaines assez éloignés. Encore que... Ne dit-on pas que certains mots sont aussi tranchants qu'une lame ?, glissa-t-elle avec une certaine malice. Elle savait sa chance, pour avoir apprit à lire dès l'enfance, ainsi que pour les bases de culture qu'on lui avait inculqué. Les sciences naturelles ? Que voulez-vous dire, exactement ?

    Elle semblait pensive, mais son intérêt n'était pas feint. Au contraire, ces deux mots avaient éveillé son attention avec une efficacité certaine; et elle attendait la réponse avec un sérieux qu'elle peinait à dissimuler sous le masque de la légèreté. Ce n'était pas tous les jours qu'elle croisait un professeur qui pût détenir une partie des réponses qu'elle cherchait.

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--Sanya
Sanya n'avait pas bougé. Coucher dans un coin, près des tonneaux, après avoir englouti les reste que lui avait offert l'amie de sa maitresse.



D'ailleurs, bien qu'elle ai été traité avec tant de bonté et gâtée par dessus le marché, elle s'ennuyait un peu. Elle n'avait pas suivit son âme soeur à Luxeuil, sans le regretter tout à fait, la louve guettait le retour de Mielikki.



Ce soir là, une fête avait été organiser dans la taverne de Rose, comme tout les soir depuis le début de l'expédition, elle était venu se coucher là, près des provision, recevant de temps à autre les restes que des clients satisfait et le visage rougit d'alcool lui lançait. Peut-être, la prenait-elle pour un chien après tout. Pourtant...elle n'en avait pas tant l’apparence.

La soirée avançait, la musique battait son plein, des danseuses faisaient rêver les hommes charmés...elle soupira...grugeant un os de bœuf laisser là a son attention. Puis soudainement, elle leva la tête, les oreilles dresser. Bien vite, elle fut sur ses pattes, la queue battante. Elle alla trouver Rose, tirant joyeusement sur son tablier.



Mielikki était rentrée.
Adkein
A peine le temps de régler une dernière affaire et il arrive enfin.
La fête bat son plein et il se mord les doigts de ne pas être arrivé plus tôt, en voyant les danseuses qui apportent à l’endroit un brin d’il ne sait quoi, qui est loin de lui déplaire.
Adkein reste en admiration devant elles, ne disant mot et en oubliant même la courtoisie la plus élémentaire qui voudrait qu’il salue d’abord les gens, avant d’apprécier le spectacle qui s’offre à lui.
Mais comment s’arracher à telle splendeur?...Rose à comme d’habitude à fort bien fait les choses.

Tout de même, il revient sur terre et s’avance en saluant les gens se trouvant là . Toutes des personnes qu’il connait depuis plus ou moins longtemps. Les dames rivalisent d’élégance et son regard toujours aussi appréciateur, va de l’une à l’autre. Le professeur lui, semble totalement subjugué par le spectacle ce qui le fait sourire.
Il se saisit d’une chope et d’un morceau de viande et se joint aux ripailles, tout en retournant au spectacle.
Alliant le plaisir des yeux au plaisir du palais, le rythme envoûtant de la musique et les danses non moins envoutantes, l’entraîne à douces rêveries.

Les gens rient et discutent...Adkein va l’air de rien s’installer à une table,sans lâcher du regard l’une des danseuses aux formes généreuses et aux ondulations gracieuses, qui ne le laisse insensible.
Rosedecastille
Rose souriait et passait de tous côtés... d'un côté elle servait, et de l'autre elle rangeait... la nuit était tombée et les flambeaux faisaient danser leurs flammes... infatigables, les danseuses ondulaient sur les airs calmes des mandolines et tambourins, sous le regard perdu et plus que satisfait de son ami Adkein... le bal touchait à sa fin et Rose ramassait les verres, cruches et plats qu'elle vidait à l'attention de Sanya... elle sentit son tablier bouger... baissa la tête, et vit la bonne louve qui tirait délicatement... Rose releva la tête et plissa les yeux dans la lueur des flambeaux mêlée à celle de la nuit... elle aperçut une silhouette qui s'approchait lentement... la louve jappa aux pieds de Rose, puis courut vers elle...

"Sanya!... mais... qu'essaies-tu de me dire?........ Mielikki!!... ta maîtresse est revenue!...

Rose courut vers son amie..."Mielikki!... comment vas-tu?... viens manger! tu dois avoir faim, après tout ce chemin!"

Rose prit son amie par le bras et essaya de l'emmener à la table d'Adkein... elle eût difficile, vu la fête que Sanya faisait à sa maîtresse tant attendue!
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Mielikki
La route avait été longue, entre Luxeuil et Belley. Longue mais agréable compte tenue de la douce compagnie d'une jolie luxovienne aux accents italiens fort agréable à l'oreille. Quelques-uns de ses compagnons resté à Bourg après la chasse à l'Hydre en territoire comtois, la jeune femme, sa compagne en croupe, avait tranquillement chevauché en direction de Belley.

Certes, elle avait hâte de rentrer chez elle, de retrouver ses enfants surtout, qui devaient déjà être au lit chez une voisine. Elle profita du moment pour faire découvrir la campagne Savoyarde à la demoiselle qui l'avait accompagner depuis Luxeuil. Une fois passé les portes de la ville, elle mis son cheval au pré, laissant également sa belle amie explorer la ville alors qu'elle s'en allait retrouver sa chère Rose dans son établissement d'où les rires et la musique s'échappait gaiement.

à peine eut-elle passé la porte, que déjà, une flèche de fourrure blanche lui avait bondit dessus. C'est en riant que la jeune femme avait doucement repousser l'animal en lui murmurant qu'elle lui avait manqué aussi. Peu après, Rose l’attrapait pour la conduire à une table où siégeait Adkein, pris dans la contemplation des danseuses.


-Oh.. Rose ! Je vais bien oui...biensûr oui, volontier. Bonsoir Adkein

Elle tenta tant bien que mal de répondre a chaque question de la tenancière qui filait déjà à la cuisine lui chercher quelque chose à manger.
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Rosedecastille
Rose sortit et accrocha le parchemin suivant où on pouvait y lire....

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Woland_von_selenios


Le professeur est parfois tête en l'air donc parfois il plonge dans ses pensées durant ce qui lui semblent des jours et des jours !!! Bien heureusement cela ne dure en fait que quelques secondes ! Ouf...

Il se tourne donc vers la jeune fille aux yeux rouges :


_Vous avez raison, jeune damoiselle, mots et épées sont deux armes qui peuvent être terribles... On ne doit que les utiliser avec prudence. Une mauvaise utilisation d'une lame, un mot de travers, peut blesser profondément le corps tout autant que l'âme...

Les sciences naturelles... Ah quel beau sujet !

_Voyez-vous à mon âge quand on a longtemps étudié, on reste curieux de tout.

Il sourit malicieusement :

_J'ai une passion pour la botanique et la zoologie, je suis novice quoique fasciné par l’entomologie. J'ai appris auprès de quelques maîtres en la manière la médecine d’Hippocrate, la démonologie, ainsi que la maleficarologie auprès d'Heinrich Institoris.

Il boit une longue gorgée de vin, puis continue ainsi en riant :

_Mais voilà que je parle encore trop, je dois vous ennuyer avec toutes ces fadaises ! Voulez-vous un peu de vin ?

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Norah.
    Beaucoup de temps... Certes. Suffisamment pour que le manteau de la nuit ne perdît de sa noirceur pour se teinter d'un violet clair. La jeune femme voyait Rose, occupée à ranger; les danseuses fatiguées d'avoir exécuté leur tâche de longues heures durant, et elle même sentait dans son esprit une langueur apaisante qui se faisait lourde, sur ses paupières. Il était temps que le bal ne fût plus qu'un souvenir.

    Les mots, les lames. Elle maniait les uns si bien que les autres, de telle sorte que la sorcière ne pouvait ignorer leur utilisation respectives. Qu'elle veuille du bien, ou du mal.

    Elle savait déjà la botanique; et tant qu'il ne s'agissait pas d'herboristerie, cette science n'avait pour elle aucun attrait. La zoologie, l''entomologie ne l'intéressaient pas davantage. En revanche, Norah ne put s'empêcher un soudain mouvement de tête en direction du professeur, lorsqu'il évoqua médecine. Démonologie. Maleficarologie, encore que la dernière lui fût inconnue. Mais il suffisait d'être un brin perspicace pour comprendre. Était-il possible qu'en dépit de telles études, il puisse rester à converser avec elle ? Frôlant les limites de l'impudence, elle se mit à détailler son visage, son regard, à la recherche d'un indice, d'un signe; une marque de tromperie ou d'indifférence. Mais peut être était-elle trop fatiguée pour se prêter à un exercice du genre; elle ne trouvait rien.


    -Non, je..., reprit-elle à voix basse après un long temps de réflexion, décontenancée. Je ne sais pas s'il en reste. Et la soirée m'a tout l'air d'être finie, peut être... peut être vaudrait-il mieux partir, désormais. Mais merci pour cette discussion. Excusez moi.

    Entre toutes les questions qui lui brûlaient les lèvres, la jeune femme abattit la carte de la prudence, à la limite de la paranoïa; elle inclina la tête en signe de respect, fugace, avant de se détourner dans un tourbillon de velours rouge. Avec la vigueur qu'il restait dans ses jambes, elle grimpa à l'étage pour récupérer les vêtements qu'elle y avait laissé; et de retour dans la salle, remercia Rose du fond du cœur. Elle n'avait pas encore, le soir du bal, de chambre qui lui fut réservée; de telle sorte que la minute suivante, la sorcière avait franchi la porte qui donnait sur l'extérieur, afin de regagner l'écurie dans laquelle elle pourrait passer ce qu'il restait de nuit.

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Rosedecastille
Rose la regarda partir furtivement, sans avoir le temps de lui souhaiter bonne nuit... Le bal était fini... Rose remercia les danseuses et les troubadours en les félicitant et fixant avec la troupe, leur venue pour le prochain bal... elle éteignit les bougies ainsi que les flambeaux et referma les portes dans la nuit... pour quelques heures seulement...
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Rosedecastille
Rose, descendant de la montagne, conduisait son chariot aisément... en ce matin de juin, le soleil n'avait pas encore percé le ciel clair et le vent était doux... Arrivée dans les ruelles qui menaient à la place, Rose croisait les marchands qu'elle connaissait bien et qui se rendaient au marché... elle leur faisait des signes de la main, ainsi qu'aux badauds qui se tenaient le ventre un large sourire de satisfaction...

"Hey, Rose!... allez les gars!... les tonneaux sont là!... et les victuailles!"...

Rose, le sourire aux lèvres, faisait avançer les chevaux qui tiraient le chariot cahutant rempli de tonneaux, de sacs de farine, jambons fumés et saucissons, ainsi que sucre et autres vivres... arrivée à "la Rose de Belley", elle descendit du chariot... Sanya était là... l'accueillant chaleureusement de jappements autour du chariot qui voulaient en dire beaucoup!...

"Et bien, Sanya!... oui, oui... mais maintenant ce n'est pas encore pour toi! maintenant, ce que tu dois faire, c'est les surveiller, pas les manger!"...

Rose carressa la louve et regarda dans les environs si elle ne voyait pas sa maïtresse... elle prit un morceau de saucisson et le donna à Sanya qui alla le déguster à son poste, devant les portes grandes-ouvertes de la grange où se trouvait la marchandise... Rose ouvrit la taverne et passa un coup de torchon... elle se rafraîchit le visage et les mains après cette route montagneuse, mit son tablier et regarda le chariot rempli...

"Allez Rose!... au travail!"... un rayon de soleil perça le ciel comme pour l'encourager... une belle journée commençait... Rose commença à sortir sac après sac...

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--Sanya
C'était devenu une habitude, tout les matins, la louve attendre Rose sur la place et faisait le chemin avec elle jusqu'à la taverne, tournant gaiement autour du chariot. Oh bien sûr, elle veillait toujours sur sa maitresse et sa famille, avec une aussi grande attention qu'auparavant, cependant elle aimait bien monter la garde pour la tenancière de la «Rose de Belley» Elle en était, après tout, grandement récompensée.

Elle fut rapidement à son poste, un bout de saucisson dans la gueule et la queue battante. Lorsqu'elle eut dévoré son petit festin, elle fit le tour de la grange, puis alla s'asseoir devant les portes ouverte pour monter la garde bien comme il faut.
Rosedecastille
A cet heure de la journée, Rose servait et préparait plat après plat... les tables étaient remplies et plus une place n'était disponible, y compris sur la terrasse... Rose, dans la cuisine préparait les broches, nettoyait les plats pour chaque recette différente, et des gâteaux couverts d'un linge propre, refroidissaient pour le banquet de la soirée...
On lui demandait beaucoup de chambres ces temps-ci... vu le nombre de voyageurs, Rose ne s'étonnait pas... la grange était pleine de provisions! ça et là, pendaient jambons fumés et saucissons ainsi que vins au goût noble ou fruité pour le plus grand plaisir du palais, tout cela bien gardé par la brave Sanya... elle laissa à un ami le soin de servir et monta à l'étage préparer les chambres...


Rose, prépara sa toilette pour le bal de ce soir, et la plia soigneusement en attendant qu'elle ait fini dans la cuisine... le bal des célibataires allait bientôt commencer...
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Norah.
    Lorsque Norah descendit les escaliers de la taverne ce soir là, presque en catimini tant elle souhaitait être discrète, elle avait revêtu sa tenue de tous les jours -à ceci près qu'elle avait été débarrassée de la poussière qui l'encombrait habituellement. Poussière qu'elle aurait, du reste, récupéré d'ici quelques jours; pour une tenue de gueuse qui ne cachait rien de sa condition.

    Sa besace de toile était jetée sur son épaule, dans laquelle elle avait emprisonnée un peu de nourriture, les écus qu'il lui restait, la belle robe de Lowyn, et quelques autres possessions un peu moins avouables. Le reste de ses biens avait déjà été empaqueté avec précaution, et l'attendait docilement dans les écuries, attachés à la selle de Calypso. La jeune femme laissa tomber le sac à ses pieds alors qu'elle s'affaissait sur une chaise avec nonchalance, faisant sauter une petite bourse dans sa paume avec le flegme et la régularité d'un métronome, le regard perdu dans une rêverie connue d'elle seule.


    -Rose ?, souffla-t-elle finalement, avant de laisser tomber le petit paquet sur la table qui passait justement par là. C'est pour payer ma chambre. J'avais dit que je ferais une apparition ce soir, bonne chance pour ton bal... Il est temps que je m'en aille. Mais merci pour tout. Tu m'en sers une pour la route, avant que les gens n'arrivent ?

    Ses lèvres s'étirèrent en un mince sourire alors qu'elle cherchait la jeune femme du regard. Bon sang. Elle n'aimait pas les adieux.

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Rosedecastille
Rose, redescendait et se dirigeait vers la cuisine pour continuer les derniers préparatifs, lorsque soudain Norah la surprit au coin d'une table... Rose regarda la bourse qu'elle lui tendait, l'ouvrit, compta quelques sous qu'elle laissa tomber dans son tablier, et la lui remit...

"Merci, Norah... ça sera bien assez... vous êtes la bienvenue au bal ce soir"...

Rose lui sourit et aperçu les troubadours qui jouaient déjà des airs entraînants... les tables se remplissaient à nouveau et mêlés à la musique, les gens riaient et jouaient... dehors, se trouvaient l'attirail des soldats de la caserne qui se trouvait non-loin de "la Rose de Belley" ceux-ci partageant une chope bien méritée...
Rose remonta discrètement se rafraîchir et enfiler une robe d'un rouge chatoyant pour le bal... se dépêchant, Rose leva une lourde trappe munie d'une double serrure dont elle était la seule à avoir la clef, la referma au dessus d'elle et descendit les escaliers pour se retrouver dans une petite grange où était stockée de la paille et où la seule porte donnait sur l'arrière de la taverne... Rose ferma à clef et fit le tour d'un pas aisé pour allumer les flambeaux et donner de nouvelles lueurs à la soirée qui commençait...

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Adkein
Assis à sa place favorite, Adkein écoute la musique qui s’élève à nouveau dans la taverne, le regard rivé sur la porte.
Pas grand ne monde encore pour l’instant, mais il est encore tôt et peut être les villageois daigneront-ils sortir festoyer un peu.


Rose mon amie... comme à chaque fois, tout est parfait.

Tranquillement il sirote sa chope, et attend l’arrivée des danseuses pour qu’enfin, la fête commence vraiment.
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