Andrea_
[Mais... où are you ** ?]
Je vous souhaite d'être Vous.
Le seul fait de rêver est déjà très important.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir.
Et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer.
Et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil.
Et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement.
A l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous.*
Je vous souhaite de vous trouver dans ce monde différent.
Je vous souhaite de creuser votre espace,
Et de faire votre nid.
Il n'est plus là.
Deux matins que son odeur n'est plus là à mon réveil,
Deux matins que je suis seule.
Deux matins, qu'il y a les blonds,
Et que je ne les vois pas.
Deux matins, et deux de trop.
Un bureau de police qui part en fumée,
Une spectatrice qui se repaît du spectacle,
Et la folle envie d'hurler.
Des souvenirs qui reviennent au galop,
Des pensées, au second plan bien vite reléguées,
Un brun avaleur de tartines en coin de cerveau,
Un blond qui trop loin s'est envolé,
Et cette ombre restée avec des pecnos...
Revenez moi...
Où par la peau du séant qu'jviens vous chercher !
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Je vous souhaite d'être Vous.
Le seul fait de rêver est déjà très important.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir.
Et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer.
Et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil.
Et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement.
A l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous.*
Je vous souhaite de vous trouver dans ce monde différent.
Je vous souhaite de creuser votre espace,
Et de faire votre nid.
Il n'est plus là.
Deux matins que son odeur n'est plus là à mon réveil,
Deux matins que je suis seule.
Deux matins, qu'il y a les blonds,
Et que je ne les vois pas.
Deux matins, et deux de trop.
Un bureau de police qui part en fumée,
Une spectatrice qui se repaît du spectacle,
Et la folle envie d'hurler.
Des souvenirs qui reviennent au galop,
Des pensées, au second plan bien vite reléguées,
Un brun avaleur de tartines en coin de cerveau,
Un blond qui trop loin s'est envolé,
Et cette ombre restée avec des pecnos...
Revenez moi...
Où par la peau du séant qu'jviens vous chercher !
* Jacques Brel
** où êtes vous, en franglich
** où êtes vous, en franglich
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