[RP] La plage

[Deux roulottes et la mer en décembre]


Un petit campement de seulement deux roulottes s'était installé près de la plage. Le reste des roulottes devaient arriver dans quelques jours, mais comme son CAP' tain Fracasse voulait voir la mer, ils s'étaient posés là. De loin elle pouvait voir le port et cela lui donnait le sourire jusqu'aux oreilles ...

Les bateaux ! Son rêve ! Un jour elle en aurait un à elle, mais pour l'instant, elle devait se contenter de les regarder de loin. Elle avait vu en passant devant qu'il y avait un Foncet, deux Mauvais Marcheur et une Nave génoise ... Mais elle, ce qu'elle voulait, c'était un navire bien plus gros. Un navire de guerre ... Oui oui, elle voyait gros la jeunette !

Lou t'viens ? On va chercher l'brune

Les roulottes installées, elle sauta de la sienne qu'elle partageait avec sa complice, elle avait nommé Lou, ou Lulu comme disait les autres. Au bord de la plage, alla chercher Chipette, excité comme une puce !

Chipiiiiiiiiiiie viens voir !!! L'mer !!!

Bon il y avait un peu de neige et il faisait froid, mais c'était quand même beau à voir. Elle partit sur la plage et se baissa pour toucher l'eau qui était trèèès froide.
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Hispahan avait vu partir Oscea. Pour l'avoir suivie plusieurs fois en cachette, elle savait que sa fille se réfugiait dans les bois quand elle avait un gros chagrin. Elle aussi avait un gros chagrin, auquel s'ajoutait une grande colère qu'elle ne pouvait contenir. Comme si ce n'était pas suffisant que sa fifi Espé soit partie vers un monde soi-disant meilleur et que ses amis Ettis et Zol partent vivre sous d'autres cieux, voilà que son autre fifi était frappé de folie et parlait de rejoindre Aristote, sans se soucier du mal qu'il pouvait faire autour de lui.

Sentant une nouvelle bouffée de rage monter en elle, Hispahan prit le chemin de la plage. Là elle pourrait crier sa colère sans être entendue, cette colère qui ne la quittait plus depuis qu'elle avait vu tous ses efforts repoussés. Si elle avait dû mourir chaque fois qu'un ragot fleurissait à Béziers, elle serait morte cinquante mille fois, et si on devait repousser ses amis à chaque coup dur, la terre serait peuplée de solitaires.

Tournée vers la mer, elle serra les poings et cria de toutes ses forces, laissant le vent emporter ses paroles. Elle savait qu'elle le regretterait toute sa vie mais avait baissé les bras, à cours d'arguments. Elle resta là un long moment, le regard perdu sur l'horizon, laissant les larmes ruisseler sur son visage, puis partit vers le port. Le départ était proche, elle n'était pas mécontente de quitter Béziers et de ne pas assister à la lente descente aux enfers de son filleul. De toute façon, il lui avait dit qu'il ne voulait plus la voir, alors à quoi bon insister ?
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Voila plusieurs jours qu'ils avaient quitté le Béarn lorsque qu' Ysa eu envie de faire un tour à la plage elle avançait sans trop savoir ou aller lorsque son regard se posa sur une jeune femme assise, "Safina dicte la blonde " elle l'ait déjà croisé a Orthez c'était jadis la compagne de wilfrid, un visage connue la réconforterais, confiante d'Ysa s'approcha d'elle.......

Bonjour Safina comment allez vous ?
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Bel était de passage à Béziers , elle avait décidé d'aller se balader . Ses pas la dirigèrent directement vers le bord de mer. La journée était belle, . Nombre de pêcheurs étaient déjà installés tout autour ou au milieu de l'eau dans des barques. On n'entendait pas un bruit hormis les cris des mouettes. Arrivée à la moitié du chemin, elle trouva un coin tranquille , retira ses Chausses, ses bas , remonta sa jupe et s'installa sur le sable tout au bord du rivage pour laisser tremper ses pieds. Ca lui faisait le plus grand bien. Elle resta comme çà un long moment à savourer son petit bain. Elle s'allongea les bras en dessous de la tête et fixa le ciel et le ballet des petits nuages. Elle laissa le temps défiler, c'était tellement rare. Elle resta ainsi encore un long moment avant de sortir les pieds de l'eau pour les laisser sécher au soleil. Elle se redressa enfin, fit attention à ce que personne ne l'observait, remis ses bas et ses bottes, se releva, défroissa sa Jupe et repris doucement la promenade le long de la plage . Il était temps de retrouver la chaleur des tavernes
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Sa blessure allait bien mieux, juste un petit tiraillement et rien de plus. Plus de douleur lancinante, non elle allait bien mieux et ça, grâce à Billy et à son ami, même si elle répugnait à admettre cet état de fait ...

Cela faisait trois jours qu'ils longeaient la côte et cela n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Elle passait des heures à regarder l'eau et à voir si elle voyait une voile au loin. Les seuls navires qu'elle avait vu se trouvaient au port et c'était en gros toujours les mêmes ...

Ce qu'elle voulait, c'était de sentir l'ivresse des vagues sous la coque, le roulis ou encore entendre le craquement du bois dans la tempête ... Oh elle n'avait pas peur, elle la fibre marine des Irlandais. Son père n'était peut-être marin, mais son grand-père et le père de celui-ci l'était. C'était de famille et elle ne dérogeait pas ...

Les roulottes attendaient plus loin et il était temps de partir. Prochaine ville, Narbonne. Ils allaient commencer à s'éloigner de la côte, mais elle savait que là où ils allaient, elle serait près d'une plage et d'un port ...

Elle barbota encore un peu sur la plage puis elle rejoignit les roulottes et ses compagnons ... Sa nouvelle famille ...
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Le soleil plongeait dans la méditerranée quand Zolena parvint à la plage. Elle poussait devant elle une brouette et chantait à tue tête. Cette soirée elle la préparait depuis le début de l’été, cette fois rien ni personne ne l’empêcherait de manger sa dorade.
Tout d’abord trouver un endroit calme. Pas très compliqué vu qu’il n’y avait personne sur la plage. Ensuite faire du feu. Elle commença par délimiter un âtre avec des pierres et y disposa le bois sec qu’elle avait amené dans sa brouette. Elle fouilla dans sa besace et en sortit son briquet ainsi que de l’amadou. Elle frotta un silex sur sa pierre à feu jusqu’à produire des étincelles. Elle n’était pas vraiment douée et dût s’y reprendre à plusieurs fois avant de parvenir à enflammer l’amadou puis les branchettes et enfin les grosses bûches fendues. Cela fait, elle recommença car il lui fallait un feu pour cuire et l’autre pour y voir quelque chose.
Elle savoura un instant le bonheur de voir son feu grandir. Quand elle se fut lassée elle alla chercher une branche de bois flotté pour lui servir de siège. De là elle regarda le soleil se coucher derrière l’horizon, c’était un spectacle magnifique.
Petit à petit, la lumière de l’astre solaire fut remplacée par celle plus modeste de ses feux. Elle resta un moment à les écouter chanter, n’ayant rien envie de faire sinon profiter de cette instant de plénitude. Il ne lui fallait pas grand-chose pour être heureuse, une dorade, un feu, la mer…Elle avait largement le temps de prendre un bain.
Après avoir vérifié une dernière fois qu’elle était bien seule, Elle ôta ses vêtements et courut vers la mer en tenue d’Eve. L’eau était froide mais elle préféra ne pas s’attarder nue sur la plage.

Ce bain lui fit un bien fou cependant il n’y avait pas encore assez de braises pour faire cuire quoique ce soit. Elle mit à profit le temps qu’elle avait devant elle pour, d’abord démêler ses cheveux et ensuite fabriquer de quoi poser sa grille. Miam elle allait se régaler, l’eau lui montait déjà à la bouche.
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Lun souriait heureuse de ce nouveau bonheur qui s ' offrait à elle

Je crois qu ' on va passer la nuit ici, la pluie ne tombera pas, je n' ai pas assez prié ... Enfin tant mieux, on va être bien, et pouvoir profiter l ' un de l' autre sans retenue...

Elle alla dans la charrette chercher sa couverture qu ' elle étala sur le sable , fît un lit douillet, s' y installa, n' oubliant pas la bouteille dérobée la veille , elle lui ouvrit ses bras pour l' accueillir, elle le regardait les yeux remplis d' amour ...

Allez , viens vite dans les bras de " tite Lun " , viens me faire un calin ...

Lun le regarda venir vers elle le sourire aux lèvres , l' embrassa avec tendresse et .....

Le reste ne regarde qu' eux !!! Faut pas rêver .
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Lun avait soudain une idée, si il le fallait , elle prierait son dieu !!!
Pour qu ' il fasse tomber des tonnes d ' eau .... Elle restait là enlacée tout contre lui, savourant chaque seconde ... soudain elle se releva, s' agenouilla et leva ses bras au ciel ...

OOOh my god, toi qui exhausse les prières et sait rendre le sourire aux gens, fait qu ' il pleuve, que la foudre s ' abatte sur la ville, que dévalent des trombes d 'eau ...
Je t' implore, je te supplie ...

Lun alla se blottir dans ses bras et lui sourit

Plus qu' à attendre, de voir si mes prières seront réalisées ...
De toute ici ou ailleurs, c 'est pareil pour moi, tant que tu es près de moi !!!
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Allongés sur le sable, les habits mouillés collaient à leur peau, Lun lui retira son bandana , le posa sur le sol, délaça sa chemise et lui enleva doucement, elle le regarda amoureusement, plongeant son regard dans le sien, s' approcha et l ' embrassa avec tendresse, elle la mit à sécher et prit la serviette pour l' essuyer avec sa douceur légendaire ... Ensuite , elle scruta les alentours et comme la plage était encore déserte , elle ôta en vitesse le sien et s ' enveloppa dans la serviette.
Elle lui sourit

Tu vois , tu es coincés ici avec moi, le temps que tout sèche !!!

Elle éclata de rire, contente de l ' avoir tout à elle, ele comptait bien profiter de cette opportunité
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Au petit matin sur la plage de Béziers

Axel et Lun étaient au bord de l'eau main dans la main et elle se mit à l'éclabousser avec l'eau bien fraiche du matin. Axel n'était pas en reste et se mit à l'éclabousser.

Il rit avec elle tout en l'embrassant

Tu sais bien que je me la pète jamais, c'est juste la vérité.

Explose de rire.

Entremélant ses doigts aux siens, Axel alla s'allonger dans le sable avec sa 'tite Lun. Il la prit dans ses bras et se dit que la journée commençait vraiment bien..

Bon et maintenant on fait quoi que nos vêtements sont tout mouillés.

Il la la regarda dans les yeux et lui fit un sourire taquin...

Depuis quelques jours, heure de son retour, une ballade sur la plage à sa levée.
Tout avait changé, illusion d'un Béziers périmé, désertique et problématique....
Grimace sur son visage opale, de grands yeux d'un noir aussi profond que les ténèbres, scrutant l'horizon lointain, soleil radieux et harmonieux qui se mélange a l'étendu d'un bleu liquide tirant au vert, tout ici, n'était que beauté.

Le visage au vent les cheveux "blondissime" virevoltant, paupières doucement se refermant, un sourire radieux flamboyant se dessinant, s'enivrant des odeurs saline, bien être du sable chaud caressant ses pieds nus.

Où était passé le Béziers amusé aux tavernes dites bondée ? Rire et boulasse en fin de soirée et au matin prêt à tout recommencer ?

Une pensée ici, une autre d'ailleurs, mélange compliqué quand on n'est ornée d'une parure de longues mèches blondes dorées, avec laquelle parfois on s'amuse..ou pas...

S'approchant de la merveille bleuté, relevant lentement ses lourds jupons de dentelles blancs, ondes de fraicheur, vagues se faisant caressantes le long de ses jambes, montant et descendant, oubliant peu a peu le constat si navrant.
Regard à droite, puis à gauche ...personnes dans les environs, osera t'elle faire un plongeon ?

J'y vais ? J'y vais pas....

Longue réflexion sur la question ! Oh puis non...

La blonde s'allonge sur un magnifique tapis de sable pailleté, rêvassant à d'autres "demain".


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La jeune titrée,se rendit a la plage,elle traversa des ruelles et vit enfin le sable et la mer Méditerranée qu'elle ne connaissait pas. Elle marcha sur le sable chaud et alla trempé son orteil droit dans l'eau encore froide....
Elle s'assis et se mit a réfléchir a son avenir

Aude se demanda si elle devait réellement postuler a la Chancelerie,elle commencerait par la Mairie et verrai ensuite

Elle se leva et marcha sur la plage,puis retourna a la ville
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Aude De Sigognac
Ambassadeur du Languedoc
Conseillère Municipale
Recrue de l'Ost
et
Petite Fille de Marino1 De Sigognac
Dame De Verlus

Il le sentait, il le savait, il en était presque sûr: en prenant sa barque tout à l'heure, il avait comme un pressentiment de quelque chose. L'inspection de principe avant de mettre la chose à l'eau n'avait cependant rien révélé de flagrant. Mais quelque chose le turlupinait. Un curieux sentiment de quelque chose qui allait arriver, même si à ce moment là il ne savait exactement ce que ce serait. C'était pas le jour, des impressions comme on en a parfois, sans savoir les exprimer. Mais on les ressent, c'est tout. Ca ne s'explique pas.

Puis y'avait eu ce poisson qu'était venu le narguer alors qu'il en avait jusqu'aux genoux, et ça avait suffit à passer outre cette sensation bizarre; il avait alors agrippé les rames pour rejoindre le petit groupe qui était affairé au large. Au début tout semblait normal, et les conversations engagées avec les pêcheurs allaient bon train. Enfin... comme des discussions de pêcheur quoi:

ça mord?

- Bah, pas trop mal...

un moment de silence...

Fiou, pas pressés quand même, les poissons...

- Bah nan, mais c'est la pêche...

Autre silence...

Té, ça mordrait pas ta ligne, toi? On dirait qu'ça bouge...

Froncement de sourcil.

- Chhhuuuttttttt, tu vas l'faire partir!

Ok, ok...

Bref, tout allait bien. Tellement bien que le gars Chrego en était venu à piquer un p'tit roupillon, assis dans sa barque. Un temps plus tard - le soleil avait déjà bien avancé dans le ciel -, réveil en douceur, avec étirements règlementaires, déséquilibrant un petit peu l'embarcation de façon transitoire, mais rien de bien méchant. Mais une impression de relative fraîcheur aux pieds tout de même. Bizarre, de l'humidité. Petits regards autour de lui, interrogateurs:

Heuuu... les gars, y'a eu une averse, là?

Mouvements de tête des pêcheurs répondant par la négative.

Ah... Bizarre...

Ca semblait pas méchant, y'avait finalement qu'un peu d'humidité. Pas de quoi noyer un chat. donc reprise de la pêche. Peut-être le résultat de l'apaisement procuré par la sieste, en tout cas cette fois-ci ça mord...

Whoplaaaa, viens pas là mon gros, viens voir papa Chrego!

S'activant à ramener le poisson sans qu'il se décroche, Chrego bouge un peu plus dans la barque, provoquant quelques bruits ressemblant à des grincements de planches qui bougent en frottant l'une sur l'autre. Tout à son affaire de ferrage de poisson, Chrego ne remarque pas tout de suite qu'il y a un peu plus d'eau au fond. Ce n'est qu'au moment où le poisson est hissé dans l'embarcation qu'il réalise...

Uh oh... ça sent pas bon ça, holalalala nan... Bon bin les amis, c'est pas que j' m'ennuie, mais là je crois que je vais devoir y aller...

Sans décrocher le poisson de la ligne - pas le temps -, Chrego reprend les rames pour entamer le retour vers la berge, d'une cadence certes pas affolée mais tout de même un brin soutenue. Mais un mouvement de reprise de position dans l'embarcation pour corriger un léger penchant provoque quelque chose qui ressemble plus à un craquement qu'un grincement, et l'eau commence à s'engouffrer dans la barque de façon maintenant visible. Là, ça sent pas bon, pas bon du tout...

La plage n'était guère loin, mais Chrego doutait d'y arriver à sec, même avec toute la bonne volonté et l'énergie du monde.


Le fond s'était enfoncé de près de la moitié de la hauteur de la barque sous le niveau de la mer, si bien que ramer ne faisait plus rien avancer. Le poisson pêché tout à l'heure se déplaçait maintenant en nageant dans la barque, toujours accroché à la ligne... Plus le moment de réfléchir; Chrego se jette à l'eau avant que l'embarcation ne coule complètement. A cet endroit ses pieds trouvent vite le fond qui descend en pente douce depuis la plage. Tirant la barque de sa main avec le poisson dedans, celle-ci continue de se remplir et le naufrage devient inévitable. Juste le temps de saisir la ligne avant que l'embarcation ne coule, et la fin du périple nautique le ramène sur la plage où il s'assoit un instant, trempé de la tête aux pieds. Le poisson, posé sur le sable, sautille près de lui, cette fois-ci définitivement hors de son élément. Chrego lui jette un regard froid.

Toi mon gaillard, faut pas rêver: j'en ai assez chié comme ça pour aller te chercher et surtout te ramener, alors compte pas sur moi pour te remettre à l'eau! Tu finiras sur le marché...

Se relevant, Chrego tient le poisson par la ligne d'une main et prend le chemin qui relie la plage au village en bougonnant après cette maudite barque. Trop longtemps qu'il l'avait prise, sans doute... Pas sûr qu'il en rachète une de si tôt.

J’ai vu gamine, j’ai vu… la main quitta totalement le corps de la blondinette, lentement, progressivement… chaque geste s’effectuait en harmonie avec le cadencement des vagues et bientôt, les jeunes femmes n’eurent plus aucun contact. Le sourire illuminait le visage apaisé de Jeanne qui, peu à peu, prenait confiance et la platine de l’observer un instant ; la prochaine leçon serait simplifiée puisque la peur affrontée et vaincue.

Un profond soupire d’aise s’échappa des lèvres carmines et la slave plongea dans l’eau claire ; quelques mouvements agiles la menèrent sous sa complice avant d’émerger près du flanc opposé… Satisfaction non feinte, accrue par le rayonnement du sourire :

T’as réussit Jeannette… et j’ai une nouvelle pour toi, t’es pas au fond !

Elle barbota un moment en riant, laissant Jeanne profiter de ses nouveaux acquis ; un coup d’œil au ciel puis à la plage avant de sonner le rappel… Fin du premier cours, vous pouvez reprendre une activité normale* :

Il est temps d’retrouver la terre ferme gamine… pas en pataugeant qu’on va pouvoir bouffer !


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Jeanne se répéta les paroles de la platine. J'creverai pas ici...Tu m' lâches pas...j't'fais confiance...tu m' tiens...Elle se disait cela en boucle..

La respiration redevient régulière et lente au fur et à mesure qu'elle se convainquait des paroles répétées.

Les bras en croix...j'sais faire...Jeannette joignit le geste à la parole, lâchant la main de Nat.

J'sens bien ta main.. j'm'pose dessus...et j' flotte..C'est aussi simple que cela ...C'est aussi simple, rien d'compliqué...Et tu vas m' tenir...j'crains rien....et j'vais pas mourir ici ...

Après quelques instants de réfléxion


Alors j'suis prête.


Jeanne se pencha, levant les yeux vers le ciel, souleva un pied, s'appuyant sur l'main de Nat, sent qu'elle commence à perdre l'équilibre...se redresse aussitôt.

La gamine poussa un grand soupir....

j' vais l' refaire

La jeannette recommença les mêmes gestes lentement , essayant de laisser un pied sur le sol jusqu'au dernier moment. Regard vers Nat, vérifiant qu'elle restait bien concentrée sur c'qu'elle faisait.
Leva le pied et se retrouva en position allongée sur l'eau. Elle aurait voulu s'relever aussi vite mais se retient....Elle se dit que Nat la rattraperait si jamais elle allait au fonds.


Tu m' lâches pas là

La gamine sentait l'eau clapotait autour d'elle, son corps suivait l'ondulation des vagues, elle ne bougeait plus , respirant le plus calmement possible. Elle esquissa un sourire...

J'suis allongée sur l'eau....J'en r'viens pas...

Elle se doutait que ça ne serait pas une mince affaire, et pour cause… l’anxiété se muait en panique et la gamine était au bord des larmes ; profonde inspiration de la platine afin de garder son calme. Pas d’ironie, pas de sarcasmes au risque de voir l’adolescente foutre le camp et, curieusement, la slave savait qu’elle irait plus vite que son ombre à fuir l’immensité marine. De fait, elle écouta le flot de paroles sans broncher et supporta sagement la pression sur sa main libre ; son naturel lui hurlait de noyer l’impudente mais sa raison –si, si, ça existe- l’emporta et la sirène de répondre d’une voix posée :

Niet, j’te lâche pas… tu sens ma main là ? *appuya la dextre contre la colonne de Jeanne* ben tu t’poses dessus et tu fais c’que j’te dis… bras en croix, t’peux écarter un peu les jambes si ça t’rassures et tu t’laisses porter par la flotte.

Elle hocha la tête afin d’appuyer ses dires, jeta un rapide coup d’œil vers la plage puis reporta son attention sur l’apprentie nageuse :

J’te tiens Jeanne, tu crèveras pas ici !
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Je t'attends..ouais facile à dire ...encore faut il aller jusque là bas..Nan mais ...Elle s'rend compte de c'que c'est..Elle doit être complétement inconsciente la platine pour lui d'mander d'aller la rejoindre. La gamine fit une moue, et recula même de quelques pas, ne gardant plus aucun contact avec l'eau.

Elle observa Nat, et constata qu'elle n's'faisait pas bouffer par des monstrueuses bestioles et qu'elle avait même l'air d'apprécier la flotte. Il semblait qu'il ne lui arrivait rien, tout semblait tranquille..aucun danger apparent à l'horizon ..Puis Nat lui d'manderai pas d'la rejoindre si y avait danger...


Jeanne dirigea son regard vers les vagues, puis vers Nat. Elle s'répétait sans cesse " j'suis pas une mauviette, j'suis pas une mauviette, j'suis pas une mauviette..". Elle prit une profonde inspiration..

Quand il faut y aller, faut y aller....

Elle se décida, faisant le vide dans son esprit, oubliant toutes les questions inquiétudes..Ne penser qu'à avancer.

Un pas devant l'autre, elle se mit à marcher. L'eau lui arrivait jusqu'aux chevilles mais Jeannette continua. Si elle s'arrêtait, elle savait qu'elle ne redémarrerai pas. L'eau lui arriva rapidement à mi-mollet..... toujours pas de trace de poissons géants..Un regard vers Nat..la distance qui les séparaient diminuait un peu à la fois..

L'eau atteignit le niveau des genoux...un regard en arrière afin de mesurer la distance qui la séparait du bord, on ne sait jamais, s'assurer d'une possible fuite..

Encore quelques pas, et elle rejoint Nat. Un soupir de soulagement lorsqu'elle la rejoignit...au moins, elle n'était plus toute seule là...juste au cas où..
Elle releva le visage vers elle

J'suis là haussement des épaules...fallait juste que j'arrive..

Encore endormie, la gamine ouvrit un œil, se demandant bien pourquoi on v'nait la réveiller.Grand soupir ...Nan mais on aurait pu la laisser dormir plus longtemps...Elle se leva sans grande conviction..

Elle se prépara rapidement et suivit Nat tout en maugréant. Elle cherchait désespérément une excuse valable pour reculer l'échéance. Mais peut être était ce son cerveau qui n'était pas complétement réveillé, ou alors le stress qui la paralysait....mais rien aucune idée lumineuse n'apparaissait.Décevant, désespérant...

Elle se voyait approcher de l'eau...et l'angoisse grandissait au fur et à mesure que ses pas l'amenaient vers le bord de l'étendue d'eau.

Elle n'avait jamais été aussi prêt de l'eau et la mer lui semblait encore plus dangereuse, comme voulant la happer. Jeanne vit Nat disparaitre dans les flots, la paniquant davantage.

Elle déposa soigneusement ses affaires sur le sable et s'approcha encore un peu plus de l'eau. Ses yeux scrutaient l'eau , vérifiant qu'aucune bestiole ne s'y trouvait.
Enfin, une vague atteignit ses pieds. Jeanne eut un mouvement de recul et se força à déposer son pied sur le sable mouillé. Une seconde vague vint recouvrir ses pieds. Cette fois ci , Jeanne ne les retira pas et poussa un grand soupir. L'eau était fraiche mais agréable.

La vague ne l'emmenait pas au loin, un faible sourire s'afficha sur le visage de la gamine. Elle avait déjà réussi à y mettre les pieds. et elle était toujours là.
Elle releva la tête cherchant Nat du regard....

Les pieds dans l'eau, elle se mit à imaginer que la mer avait embarqué la platine..

NAT.......T'es où? NAT...NAT.....NAT....

Et la nuit passa… et vous ne saurez pas comment !!
A l’aube, le poison se prépara avant d’aller secouer la gamine ; les autres étaient endormis ou déjà partis et les blondes n’en seraient que plus tranquilles pour l’apprentissage. Une large étoffe couvrait la silhouette tandis qu’elle marchait doucement sur la plage ; un coup d’œil dans son dos afin de s’assurer que Jeanne suivait bien et le linge de choir sur le sable, dévoilant le corps blondin :

Traines pas gamine, on a pas toute la vie !

Et la platine de disparaitre dans les flots l’espace d’un instant.
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Jeanne haussa les épaules. Geste si familier chez elle mais qui trahissait une gêne, un sentiment de mal être, ou tout simplement pour éviter de répondre.Son regard se perdit vers le large pendant quelques minutes. Pas un mot ne sortit de sa bouche puis, la gamine poussa un grand soupir.

J'pensais pas qu'c'était si grand..J'vois même pas l' bout...Et....même là, ça continue rajouta t elle en montrant les côtés..D'l'eau y en a partout...partout....partout....partout...C'est tellement grand..C'est immense

Puis plus bas

J'comprends qu'des bêtes monstrueuses y vivent..

La gamine posa les yeux sur Nat.Les questions se bousculaient dans sa caboche d'blonde, et elle ne savait par où commencer. Nat lui avait promis de lui apprendre à nager, Jeanne savait lui en était reconnaissante mais là devant l'immensité de la Méditerranée, elle en avait les genoux qui flageolaient.


et toi tu nages là dedans? t'as pas peur d't'perdre? et y a pas d'bêtes? et les vagues, elles t'emmènent pas là bas ....loin? et tu fais comment pour revenir ? et tu flottes comment ? l'eau elle est froide ou chaude? et tu tiens debout dans l'eau ? comment tu fais pour respirer quand t'es dans l'eau? et les bêtes ? elles vivent comment ? elles mangent quoi ?Y a des gens qui ont disparues ?

Elle ouvrit la bouche pour déverser son lot de questions mais dirigea son regard à nouveau vers la mer.

J'savais pas qu'c'était si grand.....si j'avais su qu' c'était si grand...

Puis d'une petite voix

T'es sûre que c'est amusant ?

La platine donnait rarement sa parole mais quand elle le faisait, nul doute qu’elle l’honorait. Ainsi, une promesse faite à la gamine, quelques semaines… erf, mois serait plus juste…plus tôt et la petite troupe d’approcher de Béziers. Jeannette voulait voir la mer, Jeannette frisait l’obsession, Jeannette leur rabattait les oreilles d’interrogations-élucubrations-divagations en tout genre ; son appréhension fantasque décida la slave quant à la destination… la méditerranée plutôt que l’atlantique, question de bon sens et de climat bien sur !

De nature volubile, la blondinette se fit plus discrète à mesure des lieues parcourues, ce qui n’avait pas échappé à la meneuse… cette dernière ne releva pas la modification de comportement, trop heureuse de jouir d’un peu de calme ; c’est qu’elle jacasse quand elle s’y met hein ! Il était entendu de monter le bivouac sur la plage et, sitôt arrivé, le groupe s’installa en amont tandis que la teigneuse s’isolait ; Nat’ l’observa un instant avant de la rejoindre. Elle s’assit près de la benjamine et contempla les flots ondulants, le sable glissant entre ses doigts…

Alors ? t’en pense quoi ?
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Malvina, qui avait enfin trouvé le chemin de la plage, arriva en haut d'une dune et s'arrêta net. Le spectacle qui s'offrait à elle est magnifique, jamais elle n'avait vu une telle merveille.

Il faisait très beau, un ciel d'un bleu parfait, mais le vent etait encore glacial et lui fouettait le visage. Elle etait glacé mais s'etait pas grave, le spectacle en valait le coup.

La mer etait splendide. Elle se décida à descendre la bute doucement mais finis en bas en courant tellement la pente etait raide. Elle ne put s'empêcher de rire.


Elle fut étonner de ne voir personne mais cela ne la dérangea pas plus. Elle s'assit sur le sable et contempla avec les yeux grand ouvert, cette mer qu'elle avait tant voulu voir depuis qu'elle etait petite.

Suzie était arrivée la veille au matin, elle avait fait le tour du village, rencontré quelques personnes en taverne et ce matin, profitant d'un doux rayon de soleil et que la ville était encore un peu endormie elle fit vite sa toilette, prit un morceau de pain et se dirigea vers le marché où elle acheta deux beaux fruits puis se dirigea vers la plage.

Arrivée sur le sable fin, à l'abri d'une dune elle s'asseya et cala son dos contre cette dernière, croquant à pleines dents dans les pêches bien juteuses, regardant l'océan.

Puis entourant ses genoux de ses bras elle regarda les vagues et laissa son esprit vagabonder... elle était bien...

Après un petit moment elle se releva et rentra faire ses bagages, demain le départ, elle aura rencontré quelques personnes bien sympathiques qu'elle n'oubliera pas mais la ville est beaucoup trop calme pour elle.

wgaby avait suivit son amour malgrès lui...elle étai partie en direction de la plage...seule....contre le vent et le froid.
Elle étai là...sur ce rocher...regardant au loin.Le vent s'engouffrai dans son manteau et ses cheveux.
Ils s'aiment! c'est un fait...Mais il y a aussi de moments forts et de petites querelles de couples...Mais c'est pour mieux se retrouver ensuite.
Il s'avança lentement derrière elle, sans faire de bruit, et passant ses bras atour de son cou, il la fit sursauter.
Il la rassura avec ses mains lui caressant la joue, et la fit se retourner et l'embrassa.

"_Allez...viens mon amour...nous allons prendre froid.On va se réchauffer devant une bonne tysanne bien chaude.Je t'aime...ne l'oublie jamais!"

Elle esquissa un sourire, et ils se mirent en route pour rentrer chez eux ,la tête posée contre son épaule, il l'enlassa encore plus fort .

C'est le froid qui la réveilla. Elle ouvrit les yeux, cligna deux ou trois fois. Le jour se levait à peine.
Elle porta la main à son front. La mer faisait beaucoup trop de bruit à son gout...heu la mer ? Elle n'était donc pas dans sa chambre ?
Elle devina qu'elle avait eu une soirée un peu arrosée la veille. Il fallait voir le bon coté des choses, avec tout ce qu'elle avait consommé le tavernier serait content.
Le froid aidant elle reprit peu à peu ses esprits et vit qu'elle avait sur le dos une cape qui n'était pas la sienne. Elle fronça les sourcils intriguée puis sourit. Surement une bonne âme qui était passée par là.
Quand elle se leva une rose blanche tomba à ses pieds. Elle la ramassa, de plus en plus intriguée, mais un grand sourire aux lèvres.
De bonne humeur, elle rentra chez elle avec l'intention de se préparer une bonne tisanne puis de se mettre au travail.
Elle aurait bien aimé savoir à qui elle devait rendre la cape, mais tant pis.
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Vous êtes vous déjà promenés de nuit, sur la plage de Béziers ? Non ? On y voit de drôles de choses pourtant. ça passe le temps. Les soirs d'été des couples s'y enlacent tendrement ( beurk ), ou bien une troupe de brigand fait le point sur leur prochaine attaque.
Ce soir là, ni l'un ni l'autre. La plage était deserte jusqu'à ce qu'une jeune femme passablement éméchée ne survienne. Elle parlait très fort ( et toute seule ), et de plus elle tanguait. Si il y avait eu quelqun sur cette plage il aurait sentit une forte odeur de bière émanant autour de la jeune femme.
Elle faisait peine à voir, ne sachant pas où elle allait.

SANTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!

criait elle comme si elle était encore en taverne.
Soudain, une branche qu'elle n'avait pas vu lui faisant obstacle, elle s'étalla de tout son long.
Ses tentatives pour se relever étaient pathétiques. Elle s'y repris à plusieurs fois, cracha du sable.
Mais l'effort était trop dure. Elle s'affalla de tout son long comme un sac de blé et un bruyant : zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz donna la preuve qu'elle s'était endormie.

Elle va passer la nuit sur le sable. Oui, c'est surement froid. Tant pis pour elle, elle n'avait qu'à pas boire comme une ivrogne. Seule en plus.
Peut être que demain lui apportera une bonne surprise,, peut être qu'elle s'éveillera pas le pouvoir magique d'un baiser de prince charmant.
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Une nuit obscur, un homme vêtu de noir, un regard assombrit marche le long des rives sans destination précise, mais avance dans cette pénombre interminable.
Il s'oriente vers la mer et s'assoit près d'elle en regardant les étoiles les larmes aux yeux.
Se laisse sombrer par ses pensées et une musique fredonnant en se tenant le lobe de l'oreille.


http://www.youtube.com/watch?v=ugA0r7OXET0


Se relève et disparait dans les tenèbres...

Shaena marchait à genoux lentement vers le bord, elle préférait fermer les yeux, ses jambes tremblaient encore, elle ne savait pas quelle avait le vertige mais à ce moment la elle s'en moquait..

Lorsqu'elle cru quelle était enfin arrivée, elle se sentie tirée, enlevée, enfin pour elle, elle était etrain de tombée, dans un profond déséspoir, elle ouvrit les yeux et se retrouva dans les bras de Kely, comment savait elle, pourquoi était elle la. Elle la regarda les yeux gonflés tellement de larmes avaient coulées.

Shaena n'arrivait pas dans la foulée à prononçer un mot, avait elle raison de l'en empêcher, surement, le destin avait décidé quelle devait être la à ce moment la, et elle l'était malgré sa propre peur du vide, Shaena sentait ses bras crispés, son coeur battre rapidement, les deux femmes se connaissaient à peine que déjà elle partageaient un moment inoubliable, Kely venait sans doute de lui sauver la vie, dans sa tête Shaena se répétait sans cesse les tendres mots de son frère, les mots de Coccy.. les mots de Nath l'amour de sa famille, mais pourtant ni un ni l'autre était la.. comment pouvait il savoir de toute façon..

Shaena leva la tête au ciel se demandant pourquoi Aristote avait décidé de ne pas la prendre près de lui, c'était lache mais pourtant tellement plus simple.

La jeune femme acceptait volontié les bras et le réconfort de Kely, après tout si elle était la c'est quelle devait continuer à vivre encore et peu être la vie allait elle lui offrir encore plein de belle chose à vivre, dans le doute elle regarda Kely et lui dit la voix tremblante:

Pardonn.... ra...ramène moi chez mon ffffrère, j'ai besoin de lui, si s'il te plait.. j'aii froid Kely..

Son corp tremblait comme une feuille, elle repensait à l'homme qui lui avait du mal, il l'avait drogué, il avait tenté de la violé, il avait tout essayer mais n'avait pas réussi à aller jusqu'au bout de ses envies mais malgré sa Shaena n'oubliera jamais ce quelle a vécu dans cette ville...

Sukhoi arriva ce matin la tot a la plage avec Damien son fils, le soleil se levait a l'horizon, une légère brise marine courait dans les cheveux de Sukhoi.

Sukhoi posa damien les pieds nus sur le sable, l'enfant partit avec Sac a puce dans une course effrenée le long de la plage.

Sukhoi regarda ému son fils courir, se disant qu'ils avaient atteint le but de leur voyage et qu'il fallait repartir ce soir...mais Sukhoi avait le coeur heureux, il s'etait ressourcé durant ce voyage et avait fait sa demande en mariage a Miel.

Sukhoi resta un long moment les yeux fixés a l'horizon, il eut une pensée ému pour Calinéa sa defunte compagne, la mère de Damien, il savait qu'elle etait auprès d'Aristote avec qui il avait fait la paix et qu'elle les protegeait.

Après un long moment, Sukhoi appela Damien lui disant qu'il etait temps de rentrer et vit le petit homme accourir, il l'attrapa le mit sur ses epaules et prit le chemin de la taverne.
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Lou s'emmitoufla dans sa houppelande et prit sa besace. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas allée voir les vagues et ça lui manquait.
Elle avait fait un rêve étrange...Un bateau, les vagues, un vent léger....
Elle fut surprise en constatant qu'il faisait doux dehors. Le vent était présent mais tiède.

Arrivée en face de la mer, elle regarda longuement, comme en attente de quelque chose. Son rêve était présent en elle, et ses yeux cherchaient la présence d'une voile au loin.
Pourtant rien à l'horizon...Elle hocha la tête, perplexe, cherchant la raison de cette idée saugrenue qu'il allait se passer quelque chose.

Le furet mordilla sa botte, impatient de rentrer, Il n'aimait pas venir ici, le sable lui collait aux pattes, le grattait, croustillait sous ses dents et il passait un bon moment à se laver. Et puis ce sel!!!Pouah!!

Oui, oui on y va murmura t-elle, sans quitter des yeux l'horizon.

Ils s'en retournèrent au village, lui, ravi et secouant ses pattes, elle, pensive et légèrement inquiète.
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Shaena adosser contre l'arbre aperçut reellement la seul personne quelle aimait s'approcher d'elle, comme toujours à son approche son coeur se mettais à battre plus rapidement dans sa poitrine, son corp tremblait tout seul sans quelle puisse le controler, son amour pour cet homme était lui aussi incontrolable et très fort, sans lui elle se sentait seule et vider de tout, son amour était devenu vital pour elle.

Après les mots de Destron Shaena resta silencieuse et se laissa porter dans ses bras, elle n'arrivait pas à prononçer un mot, elle se contentait de respirer sa peau douce et son odeur qui la rassurait comme toujours, il l'emmena à nouveau tout au bout de la plage ou il avait installer un feu de camp, Shaena aurait voulu que se moment dans ses bras ne s'arrete jamais.

Elle se serra plus encore contre lui et laissa tout son corp exprimer l'amour quelle lui portait, et dans leur ballade trop courte à ses yeux elle en profita pour lui chuchoter la voix encore pleine de sanglots:

Je t'aime mon ange, je ne cesserais décidemment jamais de t'aimer, allons jusqu'au bout de notre rêve, je suis maintenant prête et sur de moi.

Arriver au feu elle se réchauffa le corp tout contre son homme et surprise par son baiser, elle le prolongea intensément puis doucement elle se retira de sa bouche et lui dit:

Je suis tellement désolé mon coeur, pardonne moi pour se que j'ai fais.

Shaena plongea son regard dans le sien, ses yeux brillaient et pétillaient comme jamais elle n'avait remarquer, un sourire mignone à la bouche elle prit sa main croisa ses doigts dans les siens et serra doucement.

wgaby arriva sur la plage ...il ôta ses bottes...il faisait encore beau ce matin. Il avait hâte de voir arriver son amour, et surtout de voir la tête qu'elle ferait quand elle verra qu'il aurai inscrit "JE T'AIME" sur le sable.

Il chercha un coin bien tranquille...Ah tiens...là bas ce sera parfait se dit-il....Il vit une grosse branche échouée...il commença par poser ses bottes et avec ses mains, y inscrivit ce "JE T'AIME"...


Il se recula ...souriait... "_ Làààà...parfait...si elle ne me voit pas avec ça, je veux bien me faire moine."

Il s'étai assis sur la branche..attendit...Regardant autour de lui...se demandait de quel côté elle allait arriver.
Tout à coup, il l'apperçu...le sourire aux lèvres, puis elle se mit à courrir dans sa direction, et vint se jetter dans ses bras pour l'embrasser.
Il se donnèrent un long baiser, puis marchèrent le long de la plage, les pieds dans l'eau...

Snoop était allongé sur la plage, jamais il aurait imaginé qu'elle lui aurait versé le vin sur le crane. Les gouttes lui coulais sur le et Dotyy le léchait de toute part.
Il éclata de rire, ce qui aurait sans doute été moins le cas si elle avait oublié de le léché, mais son attirance pour le vin était sans doute irrésistible.

C'est malin ça..... j'vais puer la vinasse, voila pourquoi j'passe pour un picollo après... Bien, il va falloir que j'me lave....

En même temps qu'il prononçait ses paroles il se retourna sur Dotyy et l'agrippa, se redressa avec Dotyy dans les bras qui gesticulait en tous sens distribuant au passage quelques gifles.
Snoop refusait de la laché, il ne serait pas seul à être mouillé, il se mit à courir jusqu à la mer, l'eau à peine à hauteur de genoux qu'il s'ecroula, plongeant et la faisant plonger du même temps. Quand il ressorti Dotyy était toujours accroché à son cou.
Il riait tellement qu'il avalla quelques gorgées d'eau salées.

Beurkkkk, c est pas bon
ça...va toi?
Heyyyy mais elle est bonne finalement, fait presque moins froid ici que sur la plage...

Doucement, Dotyy serré contre lui il s'éloigna de la plage et pris le large en l'embrassant passionnément

Snoop était allongé sur Dotyy, il la couvrait de baisers et lui libérait les mains pour la prendre dans ses bras.
Tout en glissant ses mains sous ses épaules, ses lèvres glissait le long de son cou, en appui sur ses avant bras, il se plongeait dans ses yeux brillants.

J'attendrais toute la vie tant que tu restes dans mes bras.

Il roula doucement sur le coté, sans enlever ses bras qui l enlaçait.
Encore un moment allongé l'un près de l autre, à regarder la mer et les étoiles

T'as pas froid belle rousse? Tu veux qu'on rentre au chaud?

Quand Snoop posât ses lèvres sur celle de Dotyy, elle eût l'impression que la terre se dérobé sous elle. Elle s'accrochât à Snoop et répondit avec plaisir et amour à se baiser si convoité.

Elle se sentit partir en arrière et Snoop l'emprisonnât dans ses bras. Elle le regardât avec amour et sourit.

Elle se mit à rire et se laissât faire. Chaque baiser de Snoop etait une vraie caresse. Il devenait de plus en plus dur de ne pas succomber.

Elle le regardât et dit : Si si tu vas devoir attendre... Mais cela nous empeche pas de rester l'un pret de l'autre sagement.

Elle sourit et se dit que ce qu'elle lui demandait etait très dur mais elle voulait attendre, faire les choses bien. Elle l'aimait tellement qu'elle voulait que tout soit parfait.
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Snoop prit le verre de vin qui lui était tendu sans quitté les yeux de Dotyy.
Il la regardait et lui souriait

Je ne crois rien moi, j'imagine....

Il leva son verre et trinqua, ses yeux brillants il se laissait transporté par son regard étoilé.
Il humait le vin qui dégageait un merveilleux parfum fruité, puis y trempa ses lèvres. Une multitude de saveur s'en dégageait, il en appréciait chaque instant chaque seconde, pensant que ce délicieux vin se marierait très bien avec la corbeille de fruit, et particulièrement cette belle grappe de raison qui lui faisait de l'œil.
Il prit un gros grain entre ses dents et marmonna

J'te concheille che chucculent raichin pour accompagner che vin....

La mâchoire tout juste serrer pour ne pas éclater le plus beau raison sans pour autant le laisser tomber, il s'approcha doucement du visage de sa douce

Snoop était toujours allongé sur la place à regarder les étoiles, il s'apprêtait à lui présenter Cassiopée mère d'Andromède et femme de Céphée quand il fût captivé par le visage illuminé de clair de lune de Dotyy.
Ses yeux irrésistiblement attiré par son regard il se laissa aller dans les yeux de la belle, quand le son de sa voix comme un doux champs vînt lui faire une mystérieuse proposition qui lui semblait bien tentante....

Comment ne pas se laisser tenter... Que va tu m'offrir?
Le gout inoubliable de tes lèvres? La chaleur de ton corps?

Il la regardait les yeux brillants lui adressant le sourire de l'âme d'enfant qu'il avait conservé, gardant toute sa douceur et sa sincérité

Dotyy sourit quand elle l'entendit prendre la parole. Elle aimait le son de sa voix, elle avait le don de la rassurer.

Elle regardât les étoiles justes au-dessus d'eux et le spectacle etait magnifique.

Elle se mit à rougir à ses dernières paroles, puis elle répondit :

Rien de plus sensuelle... cela reste à voir ! Oui j'avais remarqué pour les images que laissent apparaître les toiles mais je ne s'avais pas qu'elle pouvait signifier.

Pourquoi veux-tu m'emmener ailleurs alors que je suis la plus heureuse des femmes a cet instant ! Tu es la et c'est la plus belle chose pour moi.


Elle se tournât sur le coté et mit une de ses mains sous sa tête, puis elle le regardât tendrement.

J'ai apporté quelques petites choses intéressantes, cela te tente ?

Elle affichât un sourir coquin.
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Dotyy avait fait le tour des tavernes sans le trouver. Mais ou pouvait-il bien être. Elle repensât à tous les endroits qu'il affectionnait et se mit à sourire en pensant à un endroit.

Elle repassât chez elle et prit une couverture et un panier. Elle mit dedans qu'elle fruits et une bonne bouteille de vin et deux verres.


Elle se dirigeât ensuite vers la plage, espérant quand même qu'il y serait, sinon elle passerait pour une polchtronne à boire seul sur la plage.

Elle marchât sur le petit sentier, la nuit commencer à tomber mais heureusement la lune est bien ronde et pas un nuage venait la cacher.

Elle arrivât sur la plage et le spectacle etait magnifique. La lune se refléter s a la surface de l'eau créant ainsi un magnifique paysage de nuit.

Dotyy avançât sur la plage, elle vit une dame sur un rocher, elle continuât son chemin et commençant à distinguer une silhouette allongée sur le sable.

Elle avançât à pas de loup et se demandât si elle devait faire une approche délicate, tendre ou une approche digne d'elle.

Elle continuât d'approcher et optât pour la douceur cela le surprendrait. Elle posât très doucement la couverture et panier et s'allongeât avec douceur a coté de lui. Elle se mit à regarder le ciel avec lui et glissât délicatement sa main dans la sienne.

Elle ne dit pas un mot et restât-la tranquillement.
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Jasinte sort de taverne , et traverse le village en direction de la plage.

A la voilà!!!! toi tu es toujours a la ma belle bleu..

Elle cherchas un endroits pour êtres tranquille, vois un rocher s'approche ,s'assoie dans le sable s'appuie le dos contre le rocher.Et contemple la belle vue . Sort de sa besace un part chemin , et sa plume et écrie son poème.

Ma mer "à moi" n'a pas de marée
Mais quand elle est démontée
Des vagues énormes sont jetées
Par-dessus les nombreux rochers

Pourtant à ce moment là j'aime l'approcher
Offrant mon visage à l'écume projetée
Les milliers de gouttelettes me font rêver
Aux nombreux naufrages qu'elle a provoqués

Ma mer "à moi" est de toute beauté
Quand le soleil vient la réveiller
C'est mon corps que j'offre à satiété
Sur moi les vagues viennent s'échouer

Pourtant quand elle reprend son manteau bleuté
Et que le vent n’est plus qu’un souffle léger
C’est au bord de ses rochers là justes à ses pieds
Que je respire devant l’immensité ses parfums d’éternité

Ma mer « à moi » est très capricieuse
Un jour tendre le lendemain furieuse
Mais lorsque je suis très anxieuse
Je lui confie mon âme langoureuse

Une fois fini roule son part chemin, le met dans une bouteille et la jette a la mer.

Et repars au village

Après être sortit de chez elle Shaena prit la direction de la plage qui était juste à coter, au passage elle regardait les nouvelles habitations et bientôt elle arrivait sur le sentier en terre qui donnait sur le sable doux de la plage, seulement quelque villageois était encore dehors à travailler sur leur champ, un sourire, un signe de la main tout en marchant suffisait, pas besoin de long discours pour rester polie.


La voila arrivée, un premier pieds sur le sable et elle se sentait déjà bien mieux, l'endroit de leur première promenade en amoureux, elle oubliait pas, elle préfèrait en sourire, Shaena s'avança vers l'eau et tout en marchant doucement laissait les petites vagues lui arrivé à la cheville, c'était agréable de se sentir comme sa, libre, mais est-ce de cette liberté que son amour cherchait et qu'il avait tant besoin, elle réfléchissait à sa.


Elle finit par s'assoir sur le sable sec et plonga son regard dans les écumes des vagues, ce bruit doux quelle aimait tant, ses oreilles n'entendait rien d'autre, juste le calme, elle pensait alors au visage paisible qu'avait Destron avant quelle sorte de la maison et se demandait quand même si il dormait encore.


Tout au tour d'elle la mer avait rejeter de merveilleux coquillages tous très différent et tous aussi beau l'un que l'aute, elle s'amusait à les rejeter dans l'eau le plus loin possible et tendant sa main elle regarda ses doigts, la bague de Divi était toujours la, elle ne la quittait jamais, elle y tenait fortement.


Shae ragarda son doigt vide, la bague de fiancaille n'y était plus et elle ressentit un grand vide, et dire qu'ils n'étaient même plus fiancés, elle se choquait toute seule à pensé sa, elle avait envie de pleurer mais rien ne venait, aucune larme ne coulait, certainement en avait elle tant donner déjà et sa ne servait pas à grand chose de toute façon.


Elle regarda la mer et dit doucement, des sanglots dans la voix:


Un jour c'est toi qui me prendra dans tes bras et me bercera.


Elle s'allongea sur le sable sec et chantonnait un air mélancolique, grelotant un petit peu elle ferma les yeux et s'imaginait vivre sans Destron, à tout moment il pouvait décider de partir et l'amour quelle lui portait n'était pas à la hauteur de ses envies de libertés.

Zin entendit une douce voix lui caresser l'esprit

"Amour"... mais il n y a que sa ptite femme qui l'appelle comme cela.

Humm il rêvait de son ptit cœur...

Une main lui caressait les cheveux.

Il se réveilla doucement et entrouvrit légèrement les yeux.

Il vit Oce pres de lui, son visage illuminé par un merveilleux sourire

Il continua de ferme mine de dormir et soudain attrapa sa ptite femme dans ses bras.

Elle se retrouva allongée sur lui, il en profita pour plonger son regard dans le sien.

Ma puce, humm un réveil comme je les aimes.

Il l'embrassa amoureusement la serrant contre lui.

Que fais tu ici mon ange? tu te promènes?

Puis il la fit basculer sur le cote et se retourna pour être à son tour sur elle.

Il prit plusieurs secondes pour admirer sa future épouse^^
caressant avec douceur son joli visage
puis ses cheveux étalés sur le sable, sa jolie bouche, il admirait ses grands yeux, la finesse de son cou...

Il l embrassa encore avec tendresse, laissant ses lèvres caresser les siennes.
Sentant les battement de son cœur contre son torse....

Et lui murmura

Je t aime ma princesse

Un, deux, trois, quatre,
[Suis-je folle ?!]
onze, douze, ensuite...euh...treize,
[C'est vrai, on dit que les fous ne rêvent pas..]
vingt, vingt et un, puis...vingt-deux,
[Après tout, moi non plus je ne rêve jamais..]
vingt-quatre, vingt-cinq, ...vingt-six,
[Oui, cela doit être ça, je ne vois pas d'autre explication]
et trente grains de sable !!

Oui, la brune était définitivement folle, parce que pour compter les grains de sable au creux de sa main fallait être drôlement dérangé !

La hors la loi était plantée debout en plein milieux de la plage, ce qui est un environnement bien différent de l'habituel. L'habituel est bien évidement la forêt et ses arbres majestueux, ses fossés profond, remplie de crapauds, d'insectes et de boue.
Mais la jeune femme se plaisait tout de même sur cette plage, face à la mer, qu'elle contemplait de ses grands yeux bruns pétillant de folie

Le zéphyr soufflait fort prés des berges et certainement au large également ! Le vent s'engouffrait sous sa chemise, la faisant gonfler et onduler doucement, Oceania baissa les yeux vers son ventre qui semblait vraiment rond avec le vent à l'intérieur. La jeune femme sourit intérieurement se souvenant de sa grossesse et de son ventre énorme par la même occasion !

La brune fit quelques pas dans le sable, Lou et le messire devait certainement se trouvaient derrière.. Elle avait réellement envie de marcher et s'ils le souhaitaient, ils n'avaient cas la rejoindre !
C'est alors qu'Oceania aperçut sur la sable une chose allongée. Elle fronça ses sourcils bruns et reconnut une silhouette familière. Des cheveux bruns foncé, tirant sur le noir, une musculature évidente du à son travail dans l'armée, Zinoaloe. Son sang ne fit qu'un tour dans ses veines.

La brune le regarda intensément, s'imaginant déjà courir jusqu'à lui, sauter dans ses bras, rouler dans sable, l'embrasser passionnément et s'aimer sur..... Non fallait pas exagérer non plus, y'avait du mon déjà et puis si Cécile les voyaient s'en était fini ! Oceania voyait déjà la curée leur faire la lecture de psaume et pire encore.

Néanmoins, la jeune femme s'approcha de son amour, de sa démarche fine et silencieuse. Elle l'observa attentivement et vit qu'il dormait ! Fallait vraiment avoir du courage pour dormir prés de la mer, avec le sable, les crabes et autres p'tites bêtes du genre.
La hors la loi s'accroupit à ses cotés, passa doucement sa main dans ses cheveux en le regardant tendrement.

« Amour... »
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Lou arrive en courant, essoufflée...Elle regarde derrière, un fou rire mal con tenu. Pourvu qu'ils arrivent vite

alors apo attend et regarde ca fille et fav courire l'une a coter de l'autres sur la plage.et se dit que se serez bien que fav dit oui pour etre la maman de celeste mais bon apo ne veut pas presipiter les choses car a peure de se que fav vas lui dire car il voie que celeste aime beaucoup fav apo dit a celeste comment trouve tu fav e, et la petite fille dit a sont pere quelle et tres gentil et quelle aime beaucoup, apo sourit et lui dit moi aussi je la trouve belle

Le père de la gamine se présenta. Il dit alors s'appeler Apophise...mais qu'on l'appelait Apo, que cela suffisait bien.

Il dit aussi qu'il élevait seul sa fille Celeste qui avait perdu sa mère.
Fav en fut émue et elle continua donc à marcher avec cet inconnu.

Cependant, Apo commença à vouloir lui prendre la main.....
Fav, mine de rien mais gênée, s'écarta alors et se mit à courrir en disant à la gamine.

La première arrivée là bas a gagné.....

se met a marcher a coter de sa fille et de fav et parle et rit en se promennent ensemble

Dotyy qui courrait toujours sentit deux bras puissant l'attraper et elle se retrouvât sur les épaules de Jehan. Elle ne pût s'empêcher de rire. Elle arrêtât de rire quand il s'avançât vers l'eau tout en lui disant :

Elle se mit alors à hurler.


AH NONNN ! Pas.....


Elle n'eût pas le temps de finir ca phrase qu'ils etaient tous les deux dans l'eau. Ils partirent tous les deux à rire.

Oui ! magnifique je trouve.

Elle lui sourit a son tour et quand il posât ses lèvres sur les siennes avec tendresse, elle frissonnât et se laissât aller contre lui et répondit avec tendresse.
Quelques secondes s'écoulèrent seulement mais elle eu l'impression que le temps venait de s'arrêter.
Elle reculât un peu et se mit à rougir.
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Dotyy avait froid, il faisait beau mais l'eau etait un peu froide. Ses habits lui collé a la peau. Elle sentit Jehan la prendre dans ses bras et la ramener sur la plage.

Dotyy se mit a rire.


Oui je crois pas qu'elle va beaucoup me réchauffer, nous devrions rentrer. Je n'avais pas prevut une baignade aussi habillé faut dire.


Elle lui sourit, se levat et rangeat les affaires. Ils prirent ensuite la route pour rentrer au village.
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Jehan se leva d'un seul coup et se mit à courir après Dotyy.
Après quelques mètres il réussit enfin à l'attraper et la pris sur ses épaules, l'emmenant vers l'eau...

Depuis le temps que tu me verse des sceaux d'eau sur la figure, je dois me venger !

Jehan arriva dans l'eau et plongea dedans avec elle en rigolant.

Nous voila beaux comme ça !

Jehan lui fit un sourire avant de lui déposer un tendre baiser sur les lèvres.

Camelle et Ric arrivèrent à la plage, tenant Gamine par la bride.

Ils l’avaient sellée en utilisant le tapis de selle tout neuf que Ric venait d’offrir à Camelle, puis avaient placé la vieille couverture qui avait jusque là fait fonction de tapis de selle, derriére pour permettre à Ric de monter en croupe.

Gamine, en bon cheval camarguais semblait apprécier la proximité de la mer, elle avait tout d’abord remué les oreilles en entendant le bruit des vagues, puis elle ne faisait que remuer les naseaux.. des souvenirs de son enfance camarguaise remontaient manifestement dans sa mémoire.

Camelle monta la première, puis Ric vint la rejoindre en croupe et Gamine se mit à avancer sans probléme apparent, au pas dans un premier temps, puis ensuite au trot.

Camelle laissa alors Gamine, qui manifestement en mourait d’envie, se diriger vers la mer.

Dotyy ne put s'empêcher de sourire quand elle le vit commencer à creuser le sable avec la petite cuillère. Elle fut encore plus surprise lors qu'il allât chercher de l'eau avec ses mains.

Elle se mit à rire et lui dit :

Je crois qu’avec des autres matériaux cela seras plus facile.


Elle sortit alors de son panier quelques jouets d'enfants et le lui donnât. Elle prit elle-même un seau qu'elle allât remplir d'eau. Elle versât l'eau sur le sable et partis en chercher un autre.

Quand elle revient, elle se mit aussi à construire le château de sable. Elle s'arrêtât quelques instants et regardât Jehan. Le château etait presque finis et ils etaient tous les deux couverts de sable. Elle se mit alors à rire, elle se levât et s'approchât de lui.

Elle avait discrètement prit avec elle le seau remplit d'eau et elle s'adressât comme si de rien n'etait à Jehan.

Le château est une grande reussit mais je crois bien qu'une bonne douche s'impose.

Il n'eut pas le temps de dire oufffff, qu'elle lui versât le seau sur la tête tout en riant. Elle lâchât le seau et détallât comme un lapin, Jehan lui courant après.
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Lou lui sourit. Elle était heureuse d'être dans ses bras plus rien ne comptait que ses lèvres sur les siennes, son corps pressé contre le sien. une douce chaleur l'envahit et le contraste avec la fraicheur de l'eau environnante, la fit frissonner. Quand Dan le remarqua, il lui proposa de rentrer et ce fut avec plaisir qu'elle accepta.

- J'accepte avec plaisir mon coeur mais je ne suis pas sur que la cheminée et le vin chaud soit de saison mais c'est justement pour ça que l'aidée est excellante et puis le plus important c'est que l'on soit ensemble.

Dan l'emporta dans ses bras, Lou surprise s'aggripa à son cou et éclata de rire.

- effectivement tu ne veux plus me lâcher mais ne t'inquiète pas mon ténébreux capitaine je suis prise dans tes files et je n'ai plus l'intention de m'enfuir.

Ils sortirent de l'eau, il la déposa et c'est main dans la main qu'il rassemblèrent leur affaires et qu'il quittèrent la plage.
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Dotyy avait toujours les yeux fermés quand elle sentit quelqu'un se laissant tombé à coté d'elle. Elle nu pas besoin d'ouvrir les yeux pour s'avoir qui cela etait.
Elle reconnut son parfum et sa voix.

Elle se tournât vers lui et lui fit un sourire.

Coucou toi, alors prêt pour la grande aventure coffre la plage et la mer ?

Elle affichât un regard remplit de plaisir et de joie.

Nous allons commencer par construire un immense château de sable.

Elle s'arrêtât quand elle vit l'expression sur son visage et reprit.


OUI, OUI tu as bien entendu un château de sable. Comment veux-tu que le prince délivre la princesse sans château ! Ne t'inquiète pas j'ai tous prévus.

Elle sortis de sa besace une petite cuillère et lui tendit.

Voila pour faire le château.

En voyant de nouveau son visage, elle ne put se retenir plus longtemps et éclatas de rire.
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Dan regardait l'adorable naïade évoluer autour de lui. Souriant, il l'observait comme un prédateur.
Soudain, il plongea et nageant avec énergie, se propulsa en un instant auprès d'elle, la capturant à nouveau de ses bras.

" Là je te tiens ... et je ne te lâche plus ... "

Collant son corps contre le sien, il pressa ses lèvres sur les siennes. L'eau fraîche clapotait doucement autour d'eux, et le temps s'était arrêté comme par magie. Ils échangèrent un long et langoureux baiser, enlacés.

La sentant frissonner dans ses bras, Dan se dît qu'il avait vraiment envie de se retrouver dans un endroit chaud et douillet avec sa douce .

" Que dirais-tu d'un verre de vin chaud, un feu de cheminée, toi et moi ... "

Il la regarda avec un sourire coquin.

Lou émergea un peu plus loin au moment où Dan se prit les pieds dans sa ceinture. Elle fit demi tour de peur qu'il se soit fait mal et pour venir l'aider. Se rapprochant de la plage, elle vu qu'il rigolait, elle en fut rassuré et se mis à rire à son tour en le voyant se débattre comme il le pouvait.

Enfin il vint la rejoindre, la prenant dans ses bras. Elle ne pu retenir un frisson au contacte de son corps musclé.
Elle lui sourit toute rougissante en l'entendant parler du peu de vêtements qui les séparaient.

- C'est vrai que là je ne peux te cacher grand chose...

Sur ses mots elle l'embrassa tendrement sentant ses mains sur son corps. C'était si doux si sensuel et si nouveau pour eux deux que s'en était déroutant. Ils s'étaient tant désiré dans le passé sans pouvoir laisser court à ce désir. Ils durent même l'en fouir au plus profond d'eux même si longtemps que leurs gestes en étaient hésitant. L'interdit d'autre fois était enfin permis, ils pouvaient s'aimer librement.

Ce fut plus fort qu'elle, elle l'arrosa et éclata de rire se qui eu l'effet escompté elle se détendit. Elle s'échappa, s'éloigna un peu et nagea au tour de lui restant hors de porté. Leur regard était rivé l'un à l'autre plus rien n'existait.
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Dan revenait sur la plage, pas seul cette fois ...
Main dans la main avec sa Lou, il marchait pieds nus sur le sable chaud et fin. Le soleil léchait de ses rayons leurs visages souriants, et un vent léger et rafraichissant leur caressait la peau.


Tous les deux venaient de s'échiner à démonter le parquet de l'Estaminet, et étaient couverts de poussière. Un petit bain de mer les rincerait et les détendrait à merveille.


Dan et Lou s'arrêtèrent dans un endroit un peu à l'abri des regards. Dan installa une couverture, et déposa le petit panier de victuailles qu'il avait emporté. Il regarda sa compagne:

" On s'arrête ici Lou ? Tu en penses quoi ? "

Dan se mît à courir sur la plage, cheveux au vent mais la brindille bien accrochée, en hurlant aux baigneurs un peu effarés :

VOTEZ XAAAAAAAAAAAAAAV !!!!!!!!

Un Retour?????

Beziers, ville de Timeo dans toute sa splendeur, ville qui avais aimé, mais qu'il avais sus quitter pour Evanes...
Oui, il ne regrettais pas de l'avoir suivit, même si depuis il était devenus père, marie itout...Avec une autre...
Bon, tout celas étant passé, étant également une expérience que le jeune homme ne regrettais pas...

Mais maintenant, il était, enfin, avec Evanes, celle qu'il aimais depuis le début, mais dons divers événements les avaient séparés...

Du passé, voila ce que s'était, du passé, et maintenant il était heureux avec elle, sur les chemins, et plus particulièrement ici à Béziers...

Il était donc assis à même le sable, sur cette plage de nombreuse fois parcourue, se laissant à rêver d'un avenir meilleur, avec elle...
Il espérais, que comme dans la capitale, elle saurais le trouver, ici, sur cette étendue de sable...
Caressant se dernier du dos de la mains, il laisse son regard couleurs émeraudes caresser la courbe des vagues, humant avec plaisir l'air salin...

Heureux; voila l'état d'esprit du Tim à se moment, heureux d'être là, heureux d'aimer une femme qui le lui rendais bien, heureux de vivre, avec elle...Pour elle...

Ric était content de sa journée, il venait de terminer une magnifique ceinture brodée pour une amie. Il avait besoin de prendre un peu l’air, et ses doigts s’engourdissaient quelques peu à force de travailler le cuir et de piquer.
Camelle lui avait glissé qu’elle irait sans doute faire un tour à la plage pour décompresser, elle aussi en avait grand besoin…
Il prépara une petite collation en passant à la maison, c’est là qu’il se rendit compte que la barque de Camelle manquait. Il pensa qu’elle avait préférer aller nager un peu au large, en excellente nageuse qu’elle était. Le cœur léger, comme c’était le cas depuis déjà plusieurs jours, il prît la direction de la plage qu’ils avaient baptisé « Mer et soleil », à l’embouchure de l’Orb et où trônait leur roulotte.

Son sourire disparût lorsqu’il entendit au loin une voix appeler à l’aide…Il reconnut immédiatement sa fiancée. Elle ne semblait pas souffrir, c’était plutôt une voix forte qui portait loin…Il c’était passé quelque chose de grave…Vite il accouru et en passant au somment d’une petite dune, sa vision se porta sur la silhouette si familière de son cœur…Elle semblait aller bien, ce qui le rassura. Par contre quelqu’un était étendu sur le sable,à côté de la barque.

Quelques instants plus tard, il les avait rejoint et reconnu Testie, leur voisine et amie qui semblait assez mal en point. Il se tourna vers Camelle : Ca fait longtemps que tu cries ainsi ? On t’entend à des kilomètres avec cette brise marine qui porte !!! Comment se fait il que personne ne soit venu ? …..Enfin bon, pas grave, il faut s’occuper de Testie. Le mieux c’est de la ramener à sa maison, tu m’expliqueras en route ce qui c’est passé….Tu vas bien mon Cœur au moins ? Ric se rendit compte qu’il parlait trop vite et souffla un peu pour se calmer et rassurer Camelle.

Elle ne pourra pas marcher et ce n’est pas très prudent de la porter sur mes épaules…attends…

Il se dirigea vers les dunes ou il récupéra quelques morceaux de bois solides et à peu près droits. Revenant près de Testie, il les disposa au sol entrecroisés puis fixa dessus sa cape, de sorte à faire une sorte de civière de fortune…Il sacrifiait là sa cape favorite mais peu importait, c’était une belle fin pour elle si elle sauvait une vie.

Laissant Camelle ouvrir la route, il traina la civière lentement jusqu’à la ville, espérant que leur amie tiendrait le coup. Arrivés près de la maison, il demanda de l’aide à Camelle pour finir le trajet…
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Destron fut tellement tourmenté par son regard aussi fascinant qu'une

sirène attrapant sa proie sur le rivage,qu'il ne faisait plus attention à ses

pieds

"Ah oui...certes...un marin avec du rhum dans le sang,c'est

maladroit!"

Il retira ses bottes et s'assit dans le sable...il ne put s'empêcher de la

blottir dans ses bras en regardant ce magnifique rivage aussi brillant que

l'argent sous un fugace levé de soleil

"tiens!une mouette!regarde c'est incroyable elle...mange un...crabe...

mouais bon...héhé ça donne faim tout ça!j'ai apporté le casse-croûte;tu as

faim?"

Il attendit sa réponse tout en l'embrassant avec hâte,cette beauté qui

lui arrive du ciel tel l'amour d'Aphrodite lui envoyant un de ses plus

merveilleux présents jamais connu en ce bas monde

Destron redécouvrit la plage en cette belle soirée d'été sans nuage et

doté d'une merveilleuse pleine lune reflétant encore mieux la beauté de

sa sirène,sa mouaite,sa moitié,sa déesse Aphrodite.Il ne pouvait rêver de

mieux dans sa vie que de profiter de cette soirée près de la mer avec sa

belle

"à moi le rhum,la liberté,le sable blanc,et ma belle femme!"
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Testie commençait à avoir les jambes qui s'engourdissaient, sans s'en rendre compte elle s'était allongée, son corps toujours porté par la mer, seul son visage sortait de l'eau, les yeux fermés, elle "écoutait" le silence...

Elle ne pensait plus à rien, elle s'y refusait...

Elle ne vit pas la planche de bois qui flottait et qui allait à sa rencontre, elle ne ressentit qu'un choc sur sa tempe...

Un fin filet de sang colora un instant la mer si claire, puis doucement, sans un bruit ,sans un cri, son corps s'enfonça un peu plus, puis son visage... elle allait disparaitre de la surface de l'eau...
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Elle était dans sa bulle, perdue dans un autre monde où aucun bruit ne lui parvenaient, elle n'attendit même pas passer le cheval au galop derrière elle, elle ne voyait plus rien, n'entendait plus rien, son cœur était meurtri et son esprit était vide.

Machinalement elle retira ses chausses, pourquoi elle ne le savait même pas, elle continuait de fixer l'horizon.

Doucement elle commença à rentrer dans l'eau, elle ne sentit que très peu la fraicheur de l'eau, elle avançait toujours droit devant elle, l'eau lui arrivait maintenant à la taille, sa robe flottait autours d'elle, elle ne pensait à rien sauf à disparaitre dans cette eau pour fuir la douleur qu'elle ne pouvait plus supporter, elle n'en pouvait plus de souffrir, elle voulait tout oublier...

Sa démarche se faisait plus difficile mais ce n'est pas ce qui l'arrêtait, elle continuait d'avancer, les yeux toujours fixés vers l'horizon, l'eau arrivait maintenant aux épaules, sa robe la gênait dans ses mouvements mais elle continua, elle était maintenant sur la pointe de pieds pour avancer, elle n'avait qu'une idée avancée, toujours plus...

Machinalement elle se mit à nager, pour aller encore plus loin, là où elle ne pourrait plus toucher le sol. Ses cheveux flottaient autours d'elle, elle finit par s'arrêter, resta un instant sur place à battre des pieds pour rester à la surface, un court instant elle revit le visage tant aimé, puis les battements de ses pieds s'arrêtèrent,

Elle était portée par l'eau, laissant le destin choisir son avenir....
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Elle marchait sans but, les yeux remplient de larmes elle avançait sans rien voir de particulier, elle était perdu, elle avait mal, si mal, son cœur saignait, sa gaité l'avait abandonné tout comme son envie de vivre... d'ailleurs comment pourrait elle vivre sans lui, lui qui était tout pour elle, son ami, son amant, son mari, le père de ses enfants...

Elle aurait voulu disparaitre, ne plus penser à rien, oublier tout les merveilleux moments de bonheur qu'elle avait partagé avec lui et qui ne reviendront jamais.

La vie pour elle était devenue triste et sans intérêt, a quoi bon continuer à vivre, pour qui ? pour quoi ?

La jeune femme c'était arrêté, les pieds dans l'eau et fixait l'horizon, son corps était secoué de sanglots et les larmes inondaient son visage.
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Comme elle l'avait prévue, Shaena voulait aller dormir à la belle étoile,elle sortie de la taverne de son frère et grimpa sur Dalila, une jument, un cadeau de Divi, inestimable, elle tenait à elle, souvent elle lui chuchotait des choses, se confiait, même si sa lui semblait bête, sa lui faisait du bien et Dalila aime que l'on prenne soin d'elle.


Elle se dirigeait vers le bord de mer, ou le bruit de l'écume des vagues l'empêcherait de pensé et l'aiderait à s'endormir.


Nuit noir, elle faisait marcher sa jument au pas lent, ses sabots claquait sur le sol, sa devait être bruyant pour les autres.


Elle se laissait dirigé par sa Dalila, un peu errant dans les rues de Bézier à la recherche du chemin de la mer, le bruit de l'eau commençait à se faire entendre, elle sourit puis au galop elle s'effaça dans la nuit noir.


Elle arriva sur l'herbe près du sable, descendit de son cheval et marchait à coté en tenant fermement sa corde pour ne pas quelle s'échappe, ou par crainte de la nuit, Shaena s'enfonça un peu dans les brouissalles, voulant se cacher des passants, être à l'abri de tout regard malhonnête et indiscrêt.


Elle finie par trouver une place potable qui irait juste pour cette nuit, attacha la corde de Dalila à une branche seche, s'allonga dans l'herbe, ses yeux restaient fixe dans le ciel puis elle dit :


Ma toute belle Dalila, toi tu n'as jamais de souci, quelle chance...Je t'aime ma belle jument.


Elle soupira, calmant sa respiration, posa sa main sur l'autre, touchait la bague que son frère lui avait offert.

elle n'entendait à présent que l'eau qui tapait dans les rochers non loin de la.

Snoop était dans les bras de Coccy, elle le calinait, elle était là comme elle l'avait toujours été quand Eowynn arriva à son tour pour lui faire un bisou et un câlin.
Voila maintenant qu'il manquait de bras quand tant de femme demandait des câlins...
Avec La force qu'il lui restait, les serra, l'une et l'autre et leur fit un Bisou.
Il entendait vaguement Eowynn qui lui parlait, mais tout n'était pas très clair dans son esprit, les mots était mangé, mélanger....
Quand Eo dit ses mots

Ces mots devenaient pour Snoop un truc complètement incompréhensible.
Snoop ne savait que répondre. Il se contenta de la regardait et de lui faire un sourire

Heu.... oui Eowyyn....

Snoop crachait toute cette eau qu'il avait avalait, et bien plus encore.
Il la vit et :

Elle ne savait que répondre.

Se reposer ? Avec toute cette agitation ? Ses amis qui se déchirent ? Impossible !

Oui mais...
Elle avait de plus en plus de mal, un petit moral et son ventre qui tirait de plus en plus. Des coliques !... Elle disait ça à tout le monde mais elle n'y croyait pas vraiment.

Elle avait décidé de prendre du recul, mais sans pour autant partir très loin.
Elle avait le port, le conseil municipal et son boulot de connétable qui durait, durait...

Il fallait qu'elle trouve une solution.

Snoop essayait de se relever mais pleurait, gémissait, vomissait, eau, larmes, rage.

Elle l'aida à se relever un peu avant de le prendre dans ses bras et de le câliner en le berçant machinalement.
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madlfy marchait dans le sable,il regardait les vagues puis il remarqua une silhouette coucher au bord de l'eau, il se rapprocha puis se rendit compte que c'etait son ami,snoop,courra vers lui, regarda si il respirait encore puis sentit sa respiration, il decida alors de le ramener vers le sable, il hota sa chemise puis la posa sur son corps tres froid puis tenta de le reveiller doucement

apres une dixaine de minutes snoop reprit concience .....


Hé bha mon ptit gars que t'arrive t'il ??

Que la mer est belle lorsque le soleil se couche, elle se promena sur le sable, seule , les yeux plongeait dans cette beauté...

Dire qu'elle allait devoir la quitter quelques jours le temps de se reposer chez les nonnes.
Soupir.
Un dernier regard vers l'horizon puis elle repart, elle s'en va dès demain ...

Lou c'était baladé dans Béziers sans but juste pour profiter de cette belle journée d'Aout. Elle avait surtout besoin de prendre l'air sortir de cette maison trop grande pour elle maintenant. Alors elle avait mis un chapeau aux jumeaux, puis elle était sortie les portant tous les deux grâce à la grande écharpe fabriqué par Divi. Elle cherchait quelqu'un en particulier espérant le voir à chaque coin de rue visitant la ville mais elle ne le trouvait pas puis elle se rappela qu'il devait déjà être partie ce départ précipité qu'elle ne comprenait toujours pas d'ailleurs. Il fallait qu'elle s'y habitue elle était maudite... Non il ne fallait pas qu'elle se laisse aller c'est de leur faute à eux pas à elle il n'y avait pas de malédiction sur elle, elle devait le chasser de sa tête....

Elle ferma les yeux respira à fond et embrassa très fort les jujus. elle leur murmura

"heureusement que vous êtes là vous deux, vous savez votre maman vous aime très très fort. allez comme il fait beau je vous emmène à la plage on va s'amuser tous les trois dans le sable et je vous ferais gouter aux joies de la baignade."

Elle pris alors la direction de la plage évitant le passage principal elle n'avait pas envie de croiser quelqu'un. Elle trouva une petite crique fermée par les dunes et ci installa...
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Le vide s était fait dans les tavernes, et Snoop se décida à aller à la plage passer un moment. En arrivant sur le bord de mer il vit au loin une silhouette de femme. A la vision du ventre arrondit, il pensa immédiatement à Coccy.
Il savait qu'elle traversait une période difficile, pleine de doutes et que la plage était sans doute pour elle comme pour beaucoup un refuge pour se retrouver seule face à soi même.
Il l'observa un moment, ne sachant s'il devait se rendre à ses cotés, ou filer sans mot dire.
C'était chose impossible, passé devant Coccy sans lui parler, c'était tout simplement impossible.
Puis il espérait être suffisamment proche d'elle pour qu'elle n'hésite pas à l'envoyer paitre le cas échéant.
Il me mît à courir jusqu"à ce qu'il fût auprès d'elle.

Heeeeyyyyy Coccy,
Restes pas là toute seule, le vent se lève tu vas prendre froid. Pis un minipouss avec un rhume, j'sais pas trop c'que ça peut donner moi.

Snoop enleva sa chemise et lui déposa sur les épaules avec le sourire. Elle pouvait accepter sa présence sans vouloir parler, et c'était déjà pas mal.
Sans en dire plus il lui fit un bisou

T viens boire un coup gente Dame?

Coccy arrivait avec son moral plongé au fond de ses bas.

Cela faisait des lustres qu'elle n'était plus passé par la plage.
Trop occupée, trop préoccupé, trop ... perdue.

Elle voulait se retrouver seule pour réfléchir à sa vie, à la décision qu'elle avait prise la veille. Elle devait penser à elle et au bébé qu'elle portait.
Elle n'était plus seule et devait trouver l'équilibre qui lui serait nécessaire pour ne pas faire retomber sur son enfant les erreurs qu'elle avait faite avant sa venu.

Elle avait peur de se retrouver seule, c'est vrai. Et un père pour cet enfant... ce serait l'idéal, elle ne pouvait pas lui refuser ça.
Mais est-ce des bonnes raisons pour se mettre en couple ? Est-ce que c'est les bases d'une relation durable ? Est-ce qu'elle pouvait dire oui et laisser espérer alors qu'elle était pleine de doute et en plein questionnement ?

Tout perdue dans ses pensées, elle marchait les pieds dans l'eau, le dos trop cambré comme à son habitude.
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Aredhel eu du mal a ce lever, tant bien qu'elle fit tomber Guiz avant de ce relever, elle rit beaucoup. Ses habits aller sécher encore un peu, elle sourit en y repensant

Hum, avec une belle tête de cheval !

Rit tout en marchant a ses cotés

Un détail, oui bien sur, c'est comme la mort du roi, c'est un détail ^^


Elle leva les la bras au dessus de sa tête, pour essayer de sécher le plus vite possible, croisa les jambes, légèrement pudique.



Non, je ne suis pas là de puis très longtemps, je suis venue, pour voir où avait vécu mon mari, avant de mourir. Et toi, que fais tu de beau ici ?

Elle sentais le soleil sur sa peau et adorer ça, elle attendit sa réponse déjà à moitié endormit

Guizmoo explosa de rire avant de voir qu'effectivement elle était habilée toute en blanc..

Haan miiince j'avais oublier ce détail ...

Elle rit, joua avec le sable dans ses doigts, sechant de plus en plus tant le soleil était fort :

Ca fait longtemps que tu es à Béziers?

Elle attendit puis répondit :

On parle de ce que tu veux hein!
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Aredhel entendit une réponse, soupira de soulagement, frémit en sentant le chat se frotter a elle et murmura : "Dieu merci"

Euh, coucou, moins peur avec toi, pourquoi pas ? Je te suis et tu me suis, comme ça on est sur de se perdre ?

Elles rirent et commencèrent a avancer

Comme Guiiz' s'ennuyait elle décida de visiter la ville.
Il fallait qu'elle se change les idées, d'ailleurs venir chercher l'escargot, et jouer avec lui à la chasse à l'homme ne l'amusait plus..
Elle avait du en faire des allers retours, elle avait du l'attendre de nombreuses fois, et là elle était lassée!
Pour une fois, elle allait le faire attendre, c'était le prix à payer de jouer avec ses pieds..
Etonnant qu'elle avait supporté de l'attendre déja 2 fois..
La folle marchait dans les rues, peu animée vu l'heure..
Les habitants mangeait surement, et comme celle-ci n'avait pas le coeur à se nourrir, elle décida de s'avancer vers la plage..
Quittant peu à peu les rues de Béziers, et sentant de plus en plus l'air frais de la Mer, elle sourit.
L'odeur du sable, et le vent frais des cotes l'emportèrent déja dans ses rêveries.
Elle huma l'air, plus que souriante, repensant à la Rochelle, et machinalement toucha ses colliers de coquillage, lui ornant le cou.
Que de souvenirs, .. Sandy, Handy, Elle, Minuit ..
Des larmes lui montèrent aux yeux, une sensation bizarre se fit ressentir dans son estomac.
D'un mouvement de tete sec, elle chassa ses images de sa tête, elle voulait oublier les mauvais moments, et penser de nouveaux aux bons.

[ Arrivée sur la plage ]

A son arrivée sur la plage, toujours dans ses rêveries la dominatrice de nature sursauta à l'entende d'un cri proche

Hou hou, Y a quel qu'un ? Vous m'entendez !! S'il vous plait, répondez.

Elle sourit reconnaissant la tavernière aux croissants de ce matin, et s'avança vers elle.

Ouép ya moi .. un leger rire se fit entendre et elle enchaina .. Qu'est ce qu'une damoiselle comme vous vient faire seule sur ce sable si chaud? Z'attendez un marin?Elle sourit et siffla afin que Minou, qui comme à son habitude la suivait, vienne se mettre près d'elle

J'vous ai amener vot' ami mon chaton..

Elle observa le chaton, et sourit quand il alla se frotter sur les chevilles de la donzelle, l'air content de la voir.

Oh bah on dirait qu'il vous aime deja.. elle sourit puis redressa le regard, et continua sur un autre sujet .. Ca vous dit une promenade sur les cotes?
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Aredhel était arrivé il y a mois de une semaine en ville, après la perte de son mari. Elle supportait mal sa perte, et pour la première fois, elle commença a faire le tour de bezier, commençant par la plage de sable doux.

Elle y alla pied nues, marcha de tout son long en pensant a Rémi, son défunt mari. Elle pleura, beaucoup, marchant dans l'eau. Puis elle pensa a elle, a son avenir ici. Elle était déjà tavernière, plus pour rendre service qu'autre chose, mais c'était déjà ça. Dimanche ou Lundi elle aurai son premier champ, le début d'un vrai travail.

Elle ne voulu pas pensé aux homme d'ici, certains lui ayant déjà fait du mal, sans vraiment le vouloir. Elle continua de marcher, encore et encore, avant de s'allonger sur la plage et de s'endormir.

Shaena n'était pas venue à la plage depuis un bout de temps, la nuit avait fait place au soleil et c'était très agréable, une brise légère lui soufflait sur le visage.

Son bonheur actuel était parfait et elle avait besoin d'évacuer tant d'émotions qui l'envahissait, elle marchait donc au bord de l'eau laissant les vagues atteindre ses chevilles, elle ne voyait pas grand chose mais entendait le bruit des vagues, elle rêvassait.

Plus loin elle reconnue une silouhette un peu replié sur elle même, elle s'approcha sans faire de bruit et sans prendre garde à se qui pourrait arriver, elle reconnu juste les cheveux de Snoop qui avait replié sa tête entre ses genoux, elle s'inquiétait et ne pouvait pas partir en le laissant comme sa, elle s'agenouilla devant lui, lui releva la tête en disant :

Snoop ? que se passe t'il ? que fais tu la ?

L'air inquiète elle s'asseya près de lui et le regarda sèrieusement.

Brunaite tapit des mins an voillant Grobeuf courrire aprais aile pour rejoignire Blondyette au baure de l'au. Ils aitaient tousse mouyaient telemant Blondyette taper faure dent l'au aveque sais mins et Brunaite éclati d'un ryre jouailleux ki nan finyssé pat.

Sé trau bihein d'aitre las aveque vou les zamys ! Yl fodrat reveunire tout les joures hain... Moa jé anvi deux meuh beignet, on i vas ?

Blondyette ria de tou sont queur en voyents harivé sa geoli ami et le grent veulu qui avé lére de plére à brunaite telman quel avé lé zioeufs qui briyait. Elle ce meta a batre l'au de ces mins, de tent de boneur.

Elle et baune, hein?

Grobeuf ile aitez dent le baure deux l'aux, ahvec Blondynette é Brunaite.
Il semblat avware cho a sont our.

Brunaite le tout chat, é il monttrat c'est bisscotaux. Aile été bohne brunaite dent le baure deux l'aux.

Soudaim aile partu du baure deux dent l'aux, haie aile courrit vers blondynette.

Grobeuf partu ossi et courrit vert blondynette.

un jeune homme sourient c'était approché sans que la belle lusse apersu. elle était si perdu dans ses songe, les pied rafréchis par les vaguelettes dans le bord de l'eau.

oh, bonjour, moi s'est blonyette, blondy pour lais ami. oui tu a réson, je suis grassile

soudin, elle vus son ami brunaite :

Brunaite!! mais quelle plésir!! viens te réfréchisser avec nous!

memefioc ne savé quoi faire ses pié l emenere sur cete bele plaje......

seé pié noir et encrasé elle decidat de se lavé......l ékume lui chatouilé elle se déssida a prendre un bèn toutte abiyée

ses cheveus reprire une kouleur normale

kele fierté de se sentir bele

Nuiétoilai vienda voir l'o ki bouje !de puits le ten que el vou laid i ferre une trent pette !
elle lanssa sa garaille menut et boudiuuu!!!! lasegonde vienda zossi den l'o
eh beeeee sa pardine sa refrouadi l'o qui bouje !!

Dotyy eut pas le temps de dire ouf qu'elle sentit Rhum la prendre dans ses bras. Elle essayât de se débâtir mais rien a faire.

Elle se retrouvât dans l'eau et lui aussi. Elle ne put s'empêcher de rire. Ils burent un peu la tasse mais cela les empêchât pas de rigoler de plus belle.

Il l'attrapât et elle ne put s'empêcher de lui mettre la tête sous l'eau.

Elle nageât jusqu’à la plage et sortis de l'eau complètement trempé mais avec le sourire.

Elle le regardât sortir et elle lui dit.



Bon on a plus que a aller se sécher en taverne avant d'être malade.

Elle lui prit la main et se mit a courir sur le sable en direction de la ville.
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Dotyy sourit quand il s'inquiétât pour son genoux.

Elle le regardât et sourit.

Tu sais j'ai connu bien pire, beaucoup même.

Elle en profitât pour le pousser en arrière et le voire tomber sur les fesses et elle se remit a courir en riant de plus belle.

Il fallait pas lui donner d'aussi belle occasion.
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Blondyette avait très chaud, et ses pas l'amenait, sans qu'elle susse pourquoi vers la langue de sable, près de l'eau. Ses cheveux ambrées volient au vent léger comme une brise, et lui caressa le cou grassile, qu'elle penchit un peu. Elle, si seule, si mélencholique, si...aaah
Elle suiva le bord de l'eau, les vaguelettes touchairent ses chevilles et elle aimit ça. Rencontrait-elle un jourson grand amuuûr?

Elle rageait contre elle quand elle entendit la vois de Rhum.

Elle se levât d'un bon.

Elle le regardât et prit les vêtements des mains. Tout en les mettant elle lui dit :



Tu trouve ca drôle en plus. Espèce de ....

Elle venait de finir de se rhabiller quand elle lui sautât dessus et le plaquât au sol. Elle le bloquât et le couvrit de sable.

Elle se mit a rire et détalât comme un lapin.
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rhum s etait assoupie sur le sable quand un cri le reveilla et entendit son nom RHUMMMMMMMMMMMMMMMMMM
comprit desuite que dotyy s etait reveiller et chercher ses vetements il se leva discretement et la vie tourner en rond chercher quelque chose quelqu un attendit un peu mais ne voulant pas la laisser ainsi attendit qu elle retourne derriere sa dune et descendit vers ces coquillages qu il avait placée pour deterrer ces vetements lui l ai secoua et s approcha d elle d un air innocent en lui demanda si ceci ne lui appartenais pas d un air moqueur

Dotyy sentait les rayons du soleil sur tout son corps et elle aimait ca quand d'un coup elle sursautât. Elle avait oublié ses vêtements sur la plage. Vraiment elle avait pas de tête quand elle venait ici.

Elle sourit et se levât, passât la tête et vit personne a l'horizon.

Ouffff j'ai de la chance sur ce coup la

Elle repérât un petit tas au loin, ses vêtements.
Elle se dirigeât vers le tas et plus elle s'approchait, plus elle trouvait le tas très petit. Elle arrivât dessus et ne trouvât que ses sous-vêtements.

OHHHH NONNNN ! Pas ca.

Elle se dépêchât de les enfiler en essayant de trouver qui lui avait fait ca. Elle passât en revue les différentes possibilités et se dit que une seule personne pouvait avoir fait ca et elle hurla.


RHUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM

Il avait réussit a se venger du charbon et du seau d'eau de se matin.


Si tu me redonne pas mes vêtements, je vais devoir rentrer comme ca.

Elle s'assit dans le sable et attendit.
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Des pas dans le seble derrière elle mais elle n'avait pas la force de se retourner. Il passerait bien son chemin.

Des bras qui la serre et la tire doucement de l'eau qui lui arrivait à la taille. Plus besoin de se retourner, elle savait que c'était lui. Ces bras dans lesquels elle se sentait si bien, où rien ne pouvait plus l'atteindre.

-Viens mon coeur rentrons chez nous

Sa voix, si réconfortante. Elle se laissa aller. Les mots avaient dépassaient leur raison la veille, elle le savait. Pourtant pour la première fois depuis qu'ils étaient ensemble, elle avait prit peur. Mais peur de quoi ? De le perdre ? Comment pourrait elle le perdre ? Ils n'avaient toujours fait qu'un.

Elle ne lui dit rien, rien de la colère dans laquelle il l'a mise. Pour s'être emportée ainsi ? Surtout que sur la fin, ils s'étaient mis d'accord. Elle ne savait expliquer ce sentiment qui l'avait traversé. Mais elle était tellement heureuse de partir à l'aventure avec lui. Enfin à l'aventure... Leur parcours était déjà pas mal tracé mais ça serait autre chose.

Elle se blottit contre lui, transis de froid. Ses lèvres un peu bleuies par le froid retrouvèrent un peu de chaleur au contact des siennes. Peu lui importait l'endroit du moment qu'elle pouvait être à ses côtés. Elle se laissa lentement guider pour le retour. Des disputes, vus leurs caractères, ils en auraient encore mais une chose était sur, rien ne pourrait les séparer.
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Laure arriva là de bon matin presque comme une somnambule. Qu'était elle venue y chercher ? Pourquoi cette plage ? Elle se dit que là ou ailleurs...

Elle avança vers l'horizon, là où le ciel et l'eau ne font plus qu'un. Mais une sensation la stopppa, le froid de l'eau qui venait lécher ses pieds. Elle resta là un moment à regarder le soleil se lever.

La jeune femme avait l'eau qui lui montait petit à petit le long des chevilles puis des mollets. Combien de temps c'était déjà t'il passé depuis son arrivée ? Ne ne serait le dire. Une absence... des silences... des non dits... Elle se sentait vide. Sa tête était vide, son corps, son coeur...

Le soleil montait dans le ciel, quelques nuages parsemaient le ciel mais il allait faire beau. En fille de marin, elle s'y connaissait. Aurait elle encore le courage de regarder ses splendeurs alors que tout son être criait sa douleur.

Ses pieds toujours dans l'eau, se laissaient recouvrir peu à peu par le sable. L'eau toujours aussi froide montait doucement. Que faire ? La facilité ? se laisser emporter par sa peine, sa douleur ? Faire un pas, puis un autre et laisser monter l'eau de plus en plus. Mais elle avait Julia... Elle ne pourrait prendre cette option pourtant, son regard se perdait toujours dans l'horizon, vers ce vide.

Pourtant si joyeuse, on ne pouvait plus rien en lire sur son visage. Elle était habillée des premiers vêtements qu'elle avait trouvé et ne c'était même pas coiffée. Ces cheveux volaient auvent. C'était trop dur, elle se laissa tomber à genoux, s'éclaboussant elle même. Elle cacha son visage de ses mains et laissa libre court à son chagrin. Elle pleurait sans retenue, libérant ses sanglots. Puis la rage fit place tellement la douleur était grande. Toujours à genoux, elle frappa des poings dans l'eau en criant :

C'est pas possible, je ne peux y croire !

Elle était à bout de force, à bout de souffrance, à bout de son chagrin. Elle renifla et s'essyua le plus gros de ses larmes d'un revers de la manche. Mais elle resta là, sans bouger, se disant que cette eau froide qui l'avait inspirée pour la libérer à jamais la maintenait en vie par sa froideur. Elle claquait des dents tout en grelottant mais elle n'était pas capable de bouger pour le moment...
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La marée descendante emmenait lentement vers le large un Ugarth qui semblait s’être offert à la grande bleue. Bien que son regard fût porté sur l’éternelle course des nuages, il ne les voyait pas, voyant défiler en lieu et place certains épisodes de sa vie.
Avec son visage marqué par tant de cicatrices, il était difficile de lui donner un âge, il n’était pourtant pas bien vieux, malgré ce que pouvaient en dire ses ébènes. Mais si elle avait été courte, pour l’instant, sa vie était déjà bien plus remplie que celle de bon nombre de gens.
Un frisson le parcourut et il n’était pas dû à la fraîcheur de l’eau. Le terrible souvenir d’une nuit de sa jeunesse venait de ressurgir. Avec lui revenait cette angoisse qui l’étreignait dès que l’une de ces créatures l’approchait. Rien que le fait d’y penser faisait poindre cette peur insoutenable dans son esprit… la peur des loups…
Cela s’était passé dans le nord-ouest, dans un petit village sis non loin de l’océan à quelques lieues de Saint-Brieuc. Ses vieux, des cultivateurs de blé, s’occupaient merveilleusement de leurs enfants.
C’est alors que notre roux guerrier, vécut le premier drame de sa vie. Cette nuit-là, il faillit bien périr. Il avait à peine douze ans.
Ugarth s’était perdu dans la forêt, il l’avait un peu cherché, ayant oublié les recommandations paternelles. Il fut pris en chasse par une meute de loups, la course fut longue et âpre, mais totalement inégale. Il finit par chuter et il sentit les crocs s’enfoncer dans ses chairs. Il entendit hurler, et lorsqu’il prit conscience qu’il s’agissait de ses hurlements, il se perdit dans les méandres de l’inconscience. Il se réveilla plusieurs jours plus tard, le visage angélique de sa mère penché sur lui, orné de son plus beau sourire. Son frère aîné et le vieux étaient arrivés à temps pour lui sauver la mise, mais il se retrouvait couvert de cicatrices. De profondes marques sur les membres et le torse, ainsi qu’une peur panique de la race canine et des loups plus particulièrement.
Cette peur lui joua de vilains tours par la suite, par exemple lorsque les troupes ennemies lâchaient les chiens de guerre, mais là, il avait sa fidèle Auth et n’hésitait tout de même pas à trancher dans le vif. Il se rendit compte par la suite, que cela était surtout dû à la présence de ses compagnons à ses côtés.
Mais lorsqu’il fit pris et qu’il se retrouva, attaché face à ses monstres…

Ses compagnons… son ami… Gwador… ils n’étaient plus et lui marchait encore parmi les vivants. Il se retrouvait seul pour affronter le pire moment de sa vie et tel un naufragé fatigué, il songeait à lacer la planche qui lui permettait de garder la tête hors de l’eau.

Abandonner… tout lâcher… se laisser disparaître…
Il sourit, il avait déjà disparu, il avait toujours fait ce qu’il fallait pour cela. À vivre en solitaire comme un ours, on finit irrémédiablement seul.

Il se redressa et se tourna vers la plage, elle s’était bien éloignée ou plutôt lui en fait. Une profonde hésitation, était-il possible, qu'il abandonne si facilement ? Cela était un peu trop simple et il ne voulait pas partir de cette manière… il s’était toujours vu mourir sur un champ de bataille et même s’il n’était pas près d’en revoir, il pourrait tout de même faire avec une escarmouche…

Il regarda une dernière fois le large et souffla :

Navré ma grande, tu m’auras pas cette fois...

Il se retourna et nagea vers la plage…

ils se promènent sans se presser , il fait bon en ce jour .
Tout occupés a parler , écouter , chacun buvant les paroles de l'autre , ils se dirigent vers le village .
Ils passent devant les tavernes mais l'envie d'être qu'eux , les fait continuer,ils croisent quelques personnes , les saluent .
Arrivent sur la plage , elle se maintien a lui en le tenant d'une main sur le bras pour ôter ces chausses .
le plaisir de sentir ces pieds s'enfoncer dans le sable est toujours le même , elle ne se lasse toujours pas du spectacle de cette étendue d'eau bleu-vert.
Le soleil est couché depuis longtemps, mais la lune pleine ce jour , les éclairent suffisamment pour guider leurs pas sans hésitation.
Ils marchent un bon moment , il lui passe le bras autour des épaules
Tu sais mon amour , cette lettre ....
Ne te met pas martel en tête...ce quelle dit ou laisse sous entendre ...
ne tiens pas debout, cela n'est ni plus ni moins une excuse comme une autre.
Car la seule chose qui pourrais me faire fuir loin de toi serais....
Elle le regarde moqueuse, jetant un regard a droite et a gauche , vérifiant que personne n'est la .
que tu refuse la maintenant, de suite, de prendre un bain de minuit comme certains disent !!
Tout en l'épiant elle défait sa robe...l'enlève ainsi que le reste...
Elle le voit prendre un air ahuri et court se jeter dans la mer en riant.

Ah c'est ainsi....
Il s'assoit sur le sable et enlève ces chausses , se deveti , court la rejoindre .
Elle rit aux éclats et attend qu'il rejoigne a elle.
Ils se regardent ,elle lui passe les bras autour de son cou , leurs lèvres se cherchent .
Comme a chaque fois qu'ils sont ensemble , serrés l'un contre l'autre les émotions parlent a leurs place , leurs corps s'épousent ne faisant qu'un .
Leurs mains caressent leurs peaux , prenant plaisir a se toucher.
Il la porte et la sort de l'eau , la couche sur le sable fin et continue de l'embrasser
Ils s'aiment tout simplement , se moquant de se qui ce passe autour d'eux

Perdue dans ses pensées, elle n'avait pas vu arriver Gaby et Espe. Avant d'avoir tout bien réalisé, elle se retrouva dans l'eau toute habillée. Ce coup de froid lui remit les idées en place. Elle retrouva rapidement son souffle et se remit debout allourdie par le poids de l'eau. Elle chercha qui avait osé lui faire ça bien qu'elle le savait déjà.

Vous ! Vous allez me le payer ! S'écria t elle à moitié morte de rire.

Elle se baissa et leur envoya de l'eau toujours en rigolant. Elle les poursuivit en les éclaboussant.

ils se baladent ,se chamaillent , courent , s'amusant a s'attraper , s'embrasant chahutant le long de la plage.....
Ils sont insouciants heureux de vivre tout simplement.
Ils finissent les pieds dans l'eau , ils sont pas seuls , du monde se promène , d'autre batifolent ...
ils aperçoivent quelqu'un seul sur le sable , plus ils approchent plus ils reconnaissent Zolena.
Ils se regardent dans les yeux la même lueur.
S'approchent tout doucement...sans faire de bruit....
Ils la voient se lever...l'attrape...
La tire vers l'eau ....
Allez Zolenaa tu est toute sale , un bon bain et tout sera nickel....
Mon amour pas de pitié.....


La jete tout habillée dans l'eau et éclate de rire

A avoir passé toute la matinée en plein soleil, dans son champ, Ettis ruisselait de sueur, crevait de chaud, et il faut bien l'avouer, sentait un peu fort. Prenant le chemin de la ville pour combler sa faim dans une des nombreuses tavernes de la rue de la soif, elle passa devant le croisement et avisa la sente descendant vers la plage. Elle n'y venait pas bien souvent, peu désireuse de déranger les nuées d'amoureux qui s'y retrouvaient, mais aujourd'hui, le vent plus frais venant de l'eau la tentait plus que tout.
Aussi, ota-t-elle ses bottes rouges, et se confirma intérieurement qu'il était grand temps d'aérer tout ça, descendit d'un pas allègre la sente herbue, puis arriva enfin à la plage.


Rhaaa! Que c'est bon un peu d'air!! Tant qu'à faire, autant en profiter pour un ptit entraînement vite fait!

La caserne s'était vidée à nouveau, et les entraînements s'étaient espacés ; il était plus que temps, donc...elle ota ses braies et sa chemise, plia le tout soigneusement et les déposa dans un coin pour les retrouver après l'exercice. Elle était à présent en tunique, comme à ses tous débuts, lorsqu'elle était arrivée, pouilleuse et bien pauvre alors, à Béziers. Elle gagna le bord de l'eau, poussant un soupir d'aise en trempant ses pieds nus dans l'eau encore très fraîche, puis se mit à courir à petites foulées pour s'échauffer, puis de plus en plus vite, jusqu'à gagner son pas de croisière...1 lieue pour commencer....

Ça y est le moment tant attendu était enfin arrivé. Après s'être échanger un baiser des plus passionné, Axius se mit à la contempler, du regard pièce par pièce avec une lenteur délibérée qui faisait l'effet d'une torture délicieuse. Sous le lin et la soie diaphane, ce corps exquis, le feu et la glace couraient dans ses veines , il priait le ciel de pouvoir encore dissimuler le désir qui le transperçait.
Isabele savait parfaitement l'emprise qu'elle avait sur Axius. C'était même devenu comme un jeu pour eux, essayaient de déstabiliser, de faire craquer l'autre le premier et à ce petit jeu la, ils étaient au même rang. Axius la déshabillait toujours du même regard, si effrontément qu'il la voyait déjà nue. Oui il l'imaginait toute nue entendue sur le sable humide et se soleil brulant, entièrement offerte a lui.
Il eu un petit sourire en entendant la réponse D'Isabele.

Alors comme ça tu t'es pas rendu compte de mon absence?!

est ce vrai ce mensonge?

Sans même écoutait sa réponse, qu'il connaissait d'ailleurs, il pencha la tête euphorique, la journée promettait d'être divertissante.
Alors d'un geste Axius l'attira contre lui, seins contre torse, puis de son nez il repoussa ses cheveux pour dégager son oreille et en chatouiller lobe.

t'es sur que je t'ai pas manqué? redemanda Axius avec un sourire coquin

il effleura le cou d'Isabele de son souffle brulant, puis déposa ses lèvres mâles sur les siennes. Les mains effleurent avec délicatesse les bras nus, de ses coudes jusqu'à ses poignets.

tu veux pas que j'arrête!! lui souffla t'il à l'oreille

la langue d'Axius suivit le tracé de son oreille avant de dessiner une ligne le long de son cou. Un soupir d'aise se fit entendre. Si Axius s'écoutait, il aurait arracher ses vêtement et l'aurait fait l'amour sur le champs. Mais il avait envie de faire durer le plaisir et la faire languir surtout. Il s'arrêta net, lui prit la main sans doute pour l'amener dans un endroit plus discret...ou pourquoi pas dans l'eau se dit t'il.....

Camelle avait décider d'aller faire un tour à la plage, marchait sans but precis.
Elle crut reconnaître un ami et s'approcha:

"Tiens Cosmos , que fais tu là de si bon matin"
Tu m'as l'air bien triste, plongé dans tes rêves"

Camelle le secoua un peu

"Allez , allez tu veux bien raconter a Camelle tes soucis?"

Cosmo etait triste, et décida de partir marcher un peut, sa route l'emmena sur le sable, il marchai triste, sa feu Mary etait morte et il n'arrive pas a faire sont deuil !

Il resta en face la mers a la contempler pendant longtemps!

Logrind vit Jasinte arriver vers lui et lui fit un grand sourir. Puis elle lui dit :

Ah tu es la!!!! Snoop ma dit que tu était sur la plage...

Alors je suis venus me promenée en espérant te trouvée..

Il lui sourit de nouveau sans dire mot et contemplairent ensemble ce coucher de soleil. Et il regarda Jasinte qui s'addressa a lui :

Que c'est beau!!! que en pense tu log????


Il lui répondit :

Oui c'est vrai que c'est magnifique, la longue descente de cette boulle de feu vers le lointain.... C'est somptueux !
Et le fait que tu soit là à côté de moi ça le rend encore plus beau et ça me fait plus plaisir de partager ça avec toi.

Il la regarda et lui sourit

Après une belle soirée où les palles rayons du soleil atteignaient le visage de Logrind, qui le réchauffait doucement, décida d'aller faire un tour à la plage pour admirer cette lente déscente du soleil vers l'horizon pour disparaitre dans le lointin. Logrind se rapprochait de plus en plus de la mer, il sentait sur son visage le vent qui venait du large, le chant des mouettes...

Arriver devant la mer, Logrind inspira un grand coup, l'air du large lui fesait du bien. Il avanca donc dans le sable et s'installa pret d'un rocher. Puis il vit pret de lui dans un champs des cheveaux qui broutaient l'herbe. Cela lui fit penssé à Jasinte et à son cheval blanc et il sourit

Olympée sursauta en entendant le messire, surprise elle se releva d'un bond , recula de peur tout en l'écoutant elle le regarda

Elle essuya d'un revers de main ses joues mouillées, il avait l'air gentil , serieux et poli mais ... voilà ...pensa t elle

Je vous remercie Messire de votre attention envers moi mais helas je crois que personne ne peut rien pour moi et que je suis la seule qui peut regler ce problème !

Olympée se rassit sur le sable à une distance raisonnable du messire, elle soupira , aurait espéré , preferé , enfin bref !! pensa t elle !

Ne m'en veuillez pas messire mais je prefère rester seule, ne m'en tenait pas rigueur , merci encore

La petite alouette fixa de nouveau l'horizon et se reperdit dans ses pensées

Shaena vêtue de sa petite chemisette blanche, marcha d'un pas léger, elle arrivait bientôt dans les belles petites ruelle de Bézier, au loin elle vît Divinius qui marchait en sa direction, il avait belle allure son frère quand même.


Elle arrive à sa hauteur et lui dit :


ho !! Divi tu as pu retrouver mes vêtements!! merci !! mais ...

Elle renifla un petit peu tira la tête et lui dit :

hoo mais sa pue ici !!! on dirait de la bouze de vache ma parole !! Mais ou a tu donc trouver mes vêtements ??? enfin tu les as c'est le principal!! merci !!


Elle le bisouilla puis partie avec lui fêter sa..

Snoop profitait de la fermeture des taverne pour faire le tour de la ville, se balader sans but bien précis.
Se promenant il arriva sur la plage, il contemplait les bateau de pécheur revenant le la pêche accompagné de nombre de mouette affamées.
Son regard fût attiré sur la plage, une dame y était assise semblant parler à une mouette.
La scène se jouant devant lui ne manqua pas de le faire sourire. Amusé, il s'approcha lentement de la causeuse de mouette. Il Vît le volatile s'envoler et la jeune femme s'effondrer dans un torrent de larme.

Hum... Humm... Excusez moi Dame, je ne veux pas m'imposer à vous, et je comprendrais parfaitement que vous préfériez être seul, mais si vous préférez mon oreille à celle d'une mouette je suis votre.

Il était accroupi près d'elle, regardant la mer, près à sa demande à s'assoir un moment ou sur l'instant reprendre le court de sa promenade.

Shaena encore les yeux fermés se sentait bien, paisible, elle s'assaya sur le sable l'eau venait lui toucher les pieds.

Elle regarda autour d'elle et aurait juré avoir entendu un petit rire de chameau comme elle disait, elle se tourna encore et encore, et n'y trouva pas ses vêtements, elle regardait au loin, peut-être était ce un crabe qui était venu lui prendre sa braie et sa chemise noir, ou encore.. plein d'idée venait, et elle en riait.

Elle soupira et dit:

Et bien quelle manque de maturité de m'avoir pris mes vêtements!!! pas possible sa !!! heureusement que j'avais garder ma chemise blanche en dessous!! j'aurais été bien la toute nue dit donc...


Elle sourit à tout ses enfantillage et prit la direction des tavernes histoire d'aller boire un coup et trinquée à l'autruche qui lui à voler ses vêtements, pensait elle au crabe ...

wgaby et son ange Esperances arriverent sur la plage encore dans la pénombre...
Il marchèrent enlassés, les pieds nus sur le sable...Ils regardèrent l'horizon, le soleil commençait à faire son apparition...
Les nuages se dissipaient pour lui faire place....Ils marchèrent encore et s'arrêtèrent au milieu des petits rochers, et il la regardait...Elle souriait , et ne quitta pas des yeux ce spectacle si merveilleux.
Elle se retourna vers lui et se mit sur la pointe des pieds et l'embrassa tendrement...Elle en avait les larmes au yeux...

Elle le vois arrivée au bord de l'eau, elle tenais ses habilles a la main , le vois ramper et tout gêner.

oh ... pardon messire !!! je vous dépose vous habilles.

elle lui dépose par terre , et se retourne.

Elle se présente , jasinte de castre lui serre la main .

Bon .. je doit vous laisser car je vois mon amie angel qui arrive..
Sa serras avec plaisir de trinquer avec vous.

Elle rejoins son amis..

Snoop se laissait bercé par les vagues, la tête plus souvent sous l'eau qu'au dessus. Il ressortit un moment prendre souffle, en cet instant il entendait crier au loin...
La nuit était déjà tombé sur la plage, il n'arrivait pas à en distinguer la silhouette. Au son de sa voix, il imagina bien que c est une femme qui le criait au loin. Il se rapprocha doucement du bord, puis lui répondu, gêné de faire connaissance d'une dame totalement dévêtu...

Heu.... oui.... Bonsoir, vous cherchez quelqu'un peut-être?

Snoop affichait un sourire presque naturel, qu avait pour but de cacher sa gêne. Il se laissait glissé sur l eau, afin de se rapproché le plus possible sans avoir à se lever.

C est avec plaisirs que je ferais votre connaissance, mais une taverne, une chope serait sans doute plus appropriée.

Les vagues allaient et venaient, laissant entrevoir sa nudité qui ne manquait pas de le mettre dans un drôle d'embarras.

Jasinte arrive a Béziers avec ses amis ,a leur arriver vont en taverne . Elle décidas de les laisser , et pris le chemin et va vers la mer .





oh !!! que c'est beau...


Marche dans l'eau et admire la mer.Et attend ses amis ainsi que Elli qui lui a promis de venir a la plage

au moment ou elle s'appretait a quitter la plage,sef ne put s'empecher de se retourner...elle le vit s'eloigner ,il partait vers la sortie de la ville,elle su qu'elle ne le reverrai pas....

cette idée curieusement lui fit mal

elle s'en retourna,finalement elle ne retournerai pas en taverne.....

après avoir trempé ses pieds dans cette eau si agréable , il vit sefora lui tourner le dos alors il ne la rappela pas pour lui dire combien il avait apprecié sa compagnie en taverne . il prit de l eau dans sa main et l'a regarda couler entre ses doigts ...
il retourna sur la plage où le soleil commençait à se coucher il remit ses bottes
regarda encore sefora partir au loin , il sourit puis il partit lui aussi dans l autre sens

sef decida d'aller se promener un peu ,apres ses corvées su soir elle ira un peu en taverne ,mais avant elle avait besoin de respirer le grand air ,de sentir l'iode ,de sentir le vent sur son visage.

elle savait qu'a cette heure elle trouverai la plage deserte et pourrait en profiter pleinement

elle s'avança vers le rivage,le soleil declivait a l'horizon donnant a la mer une couleur rougeoyante, elle se sentait bien,elle pouvait dire qu'elle etait heureuse a cet instant

les vagues venaient doucement lui caresser les pieds,l'eau etait tiede ...

au loin elle vit une silouhaite,un mssir trempait ses pieds,elle n'y preta pas attention,savourant le moment present.
ce n'est qu'en s'approchant d'un peu plus pres qu'elle reconnu le voyageur de la taverne

elle sourit

finalement il avait trouve....
elle le comptempla de loin quelques instants mais ne voulu pas troubler sa quietude

elle repris sa promenade,et fini par s'en retouner,vaquer a ses occupations

Camelle, ce matin là, décida d'aller marcher un peu......
Sa promenade matinale l'amena vers cet infini horizon, ce merveilleux plan d'eau d'un bleu resplendissant....
Elle respirait cet air iodé et regardait le spectacle que lui offrait ces vagues qui venaient et repartaient aussi vite en faisant un léger claquement a chaque passage.
Camelle s'etait assise au bord de l'eau, les pieds ds le sable mouillé , accoudé a ses genoux et pensait..............
Elle laissa échapper une larme.

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sefora decida d'aller decouvir la ville,d'etroites ruelles la menerent juqu'au marché,passant devant l'eglise et la mairie,le soleil billait deja haut dans le ciel,ses pas la porterent naturellement vers la plage




il n'y avait pas grand monde,elle s'approcha des vagues et les laissa caresser ses jambes,elle resta là un moment,puis alla s'assoir un peu plus loin sur le sable chaud a l'ombre d'un pin

Dbruno été heureux sur Herpès, regardant Fred avec tendresse.

Tu la tiens bien.

Il donna un petit coup de talon et Herpès si mit au pas.

Hola tout doux Herpès.

Il pensa à toutes les choses merveilleuses que son Amodio lui avait fait voir et découvert.
Sourit en voyant sa belle marcher a coté de lui.

Je t' adore ma sirène et une très belle vue ici, je me suis jamais senti aussi grand depuis que je suis avec toi mon Ange.

Il prit la main de sa douce et l' aida à monter derrière lui sur la jument.

Voilà mon Amodio, je suis un messire comblé, là serré contre toi, vas pas trop vite surtout je voudrais pas tomber et bien là contre toi, tiens moi bien!

Ravi le cœur léger l' air iodé contre son visage dans les bras de sa belle.

Elle regarda dans la direction du cri qu'elle venait d'entendre et vit ses amis partir, elle en était attristée.

Ell reporta son attention su son ange qui avait réussi à grimper enfin sur Herpès, mais la situation une fois de plus était cocasse.
Elle riait à gorge déployée, en deux temps trois mouvements Bruno se mit dans le bon sens.

Oui je vois ça, tu prends en assurance ! tiens toi tu vas tomber !
Maintenant fais la marcher au pas je reste près de vous.

Elle saisit le licol de la jument et commença à marcher en dirigeant Herpes vers la mer.
Ils marchèrent ain un moment en bordure de l'eau.

aides moi mon coeur à monter derriere toi on va se faire une petite chevauchée.

Elle lui tendit la main alors qu'elle mettaot le pied à l'étrier.
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En taverne Mouk avait entendu fred et bruno parlait de cours d'équitation,
comme elle avait l'habitude de taquiner bruno, elle ne voulait surtout pas louper un tel spectacle.

Donc elle etait là, avec son loup, allongés l'un contre l'autre sur la dune a l'abri des regards et n'en pouvait plus de rire,
avoir vu bruno la tête la première dans le sable et les jambes battant l'air valait toutes les boulasses du monde.

Elle se tenait les côtes, n'en pouvait plus, elle en pleurtait de rire, ayant du mal a reprendre sa respiration, a presque faire pipi dans ses braies,

Comme ils vont me manquer c'est deux là !!

Elle se tourna vers lupus, le regarda les yeux brillants de larmes, posa ses lèvres humides sur les siennes et l'embrassa passionnément ,
mélant les larmes de joie, pour le spectacle et les larmes de tristesse de quitter ses amis.

Regardant de nouveaux ses amis elle dit tout bas :

je vous aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh fred et bruno !!!
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Ella avait promis à son nain de lui apprendre à chevaucher sa Jument Herpès, et le jour était venu d'accomplir sa promesse.
Ils s'etaient donné rendez vous sur la plage, l'espace y etait dégagé en cas de chute et les obstacles rares.

Elle montait sa jument en amazone et s'approchait au trot de Dbruno, allongé les yeux dans le vague.

Arrivée à sa hauteur, elle sauta sur le sable fin.

Bonsoir mon coeur, es tu prêt?
Herpès est d'un caleme olympien, tu ne crains absolument rien!

Elle ajusta les sangles à la morphologie de Dbruno.
Allez en selle Messire!
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Fred etait amusée par les réactions et les réflexions de Dbruno. Elle tentait de le rassurer tant bien que mal mais rien ne semblait l'apaiser.

Et lorsqu'il tomba la tete la première dans le sable elle ne put réprimer un fou rire. La situation était plus que cocasse. Elle aida son ange à se ramasser en lui enlevant un maximum de sable.

Je crois qu'effectivement tu as besoin d'aide.

Herpès ne bronchait pas impassible à ce qu'il venait de se passer.
Elle se plaça tout contre la jument, mis ses mains entrelacées en coupe et fit la courte échelle à son nain.

A toi de jouer mon coeur! Prends de l'élan mais pas trop sinon tu vas encore piquer une tete dans le sable.
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Le jour s'étire au rythme des vagues... Elle relève ses jupons et s'aventure dans l'eau... Au loin le soleil se cache derrière les nuages... Nimbant d'un voile cette journée de grand beau...

Il arrive à ses côtés malicieux... Elle le regarde souriante l'air taquin... Il l'asperge et s'approche radieux... Il la pousse impudent et l'envoi au bain...

Elle crache et se relève vengeresse... Les vêtements trempés et ruisselante... Il rit et l'enlace en liesse... Elle l'entraine à son tour dans l'eau étincelante...

Ils se frôlent, se cherchent et nagent ... Il l'attire et la désire, insolent... Quand sortiront et regagneront la plage...Le vent emportera leur étreinte....insouciant...
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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]

L'aurore...

Un disque rouge embrase la mer... Reflets de feu sur leurs corps endormis... La brise douce venant de la terre... Soulève les cheveux de cette elle alanguie...

Elle s'étire dans les bras qui la serre... Comme un étau d'amour qui ne veut l'échapper... Il la regarde cette drôle d'étrangère... Qu'un soir d'hiver il avait fait danser...

Un grain de sable s'accroche à sa peau... Doucement il lui caresse la joue... Au loin une sirène de bateau... Annonce son approche dans cette aurore un peu floue...

Leurs lèvres qui s'effleurent dans un baiser salé... Leurs âmes qui fusionnent et embrasent l'horizon... Le réveil est doux, sur cette plage isolée... Nous... Juste un mot qu'ils se murmurent à l'unisson...
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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]

Arrivée sur la plage, Stell, trainant son barda, pour laisser un peu d’intimité a Vanu et Kris, s’éloigne et cherche un coin tranquille pour dormir le reste de la matinée. Elle s’installe derrière une petite bute et rassemble des bouts de bois pour faire un petit feu le temps de se réchauffer un peu. Elle s’installe le dos contre sa barque et les genoux relevés devant elle, enroulée dans sa couverture et regarde la mer a quelques mètres plus loin qui vient lécher le sable. Ses pensées tournées vers Bikko… elle soupire doucement puis sourit tendrement et se laisse a rêvasser les yeux fixés sur la mer. La fatigue fait qu’elle s’endort sans s’en rendre compte, glissant sur le coté et en chien de fusil.

C’est quand le soleil est bien haut et que la plage commence a s’animer que Stell ouvre les yeux un peu perdue. Il lui faut quelques minutes pour réaliser où elle se trouve et se rappeler…. Vanu et Kris… Béziers… Bikko… Et un sourire nait sur ses lèvres tout en s’étirant les muscles ankylosés, Stell se redresse et s’assoit puis regarde le feu éteint avec une petite moue… Dure jamais longtemps mes feux pfffff … Se rappelle avec un petit rire le temps que Bikko a mit pour lui apprendre a en faire un…

Bien réveillée maintenant elle regarde la mer et se dit pourquoi pas… Elle ôte ses bottes, ses bas et ses braies, et simplement en haillon se lève et s’approche, enfonçant ses pieds dans le sable mouillé et froid avec plaisir. Quand les premières vagues lui lèchent les pieds, un petit cri de surprise lui échappe. Arfff elle est quand même froide … brrrrrr ! Elle avance courageusement dans l’eau jusqu'à mi-cuisses puis s’arrête ne pouvant s’empêcher de trembler de froid… Sourit un peu dépitée et regarde au loin un moment avec envie avant de faire demi tour pour rejoindre ses affaires, pas assez courageuse pour se lancer completement à l'eau, ni assez folle !!

Assise de nouveau les genoux relevés devant elle, elle laisse le soleil la réchauffer et la sécher doucement. Puis elle prend sa plume et un vélin et se décide a écrire a son amour avant d’aller visiter la ville et les tavernes.
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Cath adorait la plage. Elle décida de partir faire un pic-nic là bas. Elle trouverait du monde surement là bas. Elle se balada dans les ruelles de la ville avant de débouché sur la plage. Il y avait beaucoup de monde.

Bonjour tout le monde, je ne m'attendais pas à se qu'il y est autant de monde. Tant mieux j'ai rapporté beaucoup à manger, tout droit des saveurs du languedoc. Vous pouvez vous servir.

Malo s'était levé de bonne heure ce matin la, et c'est l'esprit embrumé qu'il se dirigea vers la plage... Il marchait le pas léger malgré un mal de dos persistant tout en se disant qu'un bon lit serai bienvenue pour les nuits prochaines... Arrivé hier dans la matinée, il n'avait pas eu le temps de trouver une auberge pour passer la nuit, et c'est donc à même le sol qu'il avait dormi, une fois de plus... Il se promis donc de trouver un établissement à la suite de sa promenade sur la plage...
Il avait promis à la demoiselle de venir ce matin, c'est donc armé d'une tulipe rose dans la main, sa vieille cape de voyage sur le dos qu'il posa les yeux sur l'étendue d'eau... Le soleil commençait à refléter ses premières lueurs sur une mer calme et, tandis qu'il observait le spectacle, il apperçu celle qu'il était venu retrouver...
Malo s'étonna de la voir s'agiter dans tout les sens, les pieds dans l'eau... D'une nature relativement réservée, il n'avait guère l'habitude de rencontrer des femmes et encore moins d'accpeter un rendez vous avec elle... De ce fait, il n'avait aucune idée de l'attitude à adopter et c'est donc le pas mal assuré qu'il s'approcha d'elle...

Ahem... Bonjour..

Puis lui tendant la tulipe, il ajouta:
Je ne savais pas si je devais ammené quelque chose alors... je l'ai ceuilli devant la mairie... j'espère que ça ne se verra pas trop... Il serai regretable que je sois accusé de vol de tulipe dès mon arrivée ici...
Ahem.. enfin bon... voila...

L'air gêné, il passa une main dans ses cheveux mi long et réajusta sa cape... Il ne savait pas vraiment quoi dire et restait planté devant la jeune femme, attendant une réaction de sa part...

Ils continuent ainsi a marcher , le long de la plage .
Ils s'amusent comme deux jeunes ecervelés courants , s'éclaboussants , il la fait fait tomber , ils se retrouvent allongés sur le sable , s'embrassent ,chahutent mais ils sont bien ensemble
Il l'aide a se relever , sont trempés , mais heureux

Elle le regarde , les joues rouges , elle est heureuse car depuis bien des jours cela est la premiere fois qu'elle le vois sourire , comme si il lui semblait nouveau qu'il a envie de se battre ,

Oui rentrons chez nous ,je t'aime tant brac

Moi aussi j'ai aimé cette journée tout les deux , on ne devra plus jamais attendre aussi longtemps pour revenir.

Il se penche pour rammaser un coquillage et elle profite pour grimper sur son dos en s'amusant ,et ils repartent ainsi comme des gosses en direction de la maison , leurs chez eux comme elle aime a le dire
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Tirli c'était promit quelle irai au bord de la plage , depuis Toul elle en rêvait de voir la mer , c'était tout ce dont elle rêvait, sans jamais y croire n'y espérer un jour y aller.

Elle regarde Brac lui sourit , le besoin de se ressourcer est présent elle lui donne la main et l'embrasse tendrement.

Puis subitement , enlève ces chausses , relève ces jupons , et se met a courir dans l'eau .

Pour la première fois découvre la sensation de marcher le long de la plage les pieds dans l'eau .

elle regarde Brac et se met a l'éclabousser , part a nouveau en courant et riant aux éclats , cette sensation , d'être heureuse , et de paix l'étonne et la dérange en même temps .

Mais elle décide que là , elle n'en tiendra pas compte et décide d'oublier pour un instant leurs tristesses, leurs malheurs.

Ils se chamaillent comme ils en avaient l'habitude il y a pas si longtemps encore.

Puis reviens vers lui l'embrasse , tout d'abord tendrement et avec plus de passion , elle le regarde avec dans les yeux des promesses non avouable ,
ils reprennent leurs ballade se tenant par la taille toujours en longeant le bord de l'eau .
Ils sont bien detenduent et amoureux surtout

Il se penche vers elle et a l'oreille lui murmure

Sérieusement ,elle le regarde ,les larmes aux yeux lui met doucement le bout des doitgs sur la bouche

Dit rien mon amour , profitons de cette instant .

ils s'arrêtent font face a la mer

Tu vois cette etendue .....

De sa main lui montre le large

Regarde tu ne vois pas la fin , on a l'impression que cela est interminable , que jamais on ne verra de l'autre coté de la terre et bien vois tu notre amour est pareil il n' a pas de fin !
Ce que je ressent pour toi , l' amour que je te porte est identique sans fin , continuelle.
Même ceux, qui mal intentionnés , veulent et attendent qu'ont se sépare n'y arriveront pas .
Car nos sentiment sont sincères ,et plus ils s'acharneront sur nous plus notre amour se renforcera , et cela ils ne l'ont pas compris Brac

Elle sais qu'ils pensent tout les deux aux meme personnes ,Ils restent un moment a regarder cette étendue

Puis reprennent leurs ballade tendrement enlacés ne faisant plus qu'un


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Zole était morte de fatigue après ce long et périlleux voyage dans des contrées lointaines et inconnues. Mais avant d'aller se coucher, elle ne put résister à voir la mer qui lui avait tant manquée.
Elle marcha un moment, écoutant le flux et le reflux. La douce caresse du vent dans ces cheveux.
Elle finit par s'assoire et posa sa tête sur ses genoux.
Un groupe d'homme ivre qui chantaient tous plus faux les uns que les autres passa à proximité sans la voir.
Bienvenue à la maison se chuchota t elle pour elle même.

Camelle les regardait tous les 2 , amusée.
Elle ne connaissait pas bien rasta mais s'aperçut que c'etait vraiment un joyeux luron.
Elle était contente que ses amis Testie et Rapho l'ait fait venir, cela mettrait un peu plus d'ambiance a beziers.
Elle regardait Testie courir apres lui .........
Ces temps çi, Camelle avait le moral bas et la mer lui permettait de se ressourcer.
Son reve , partir sur un voilier et faire une belle croisiere,
mais elle pensa que ce n'est pas demain la veille tant que le port n'était pas fini et puis avant qu'elle ait un voilier.............

La jeune femme perdue dans la contemplation de la mer n'avait pas vu arriver son amie Camelle et lorsque celle-ci lui parla, elle sursauta...

Oh!!! Camelle !!!
Je ne t'avais pas vu arrivée...
Bonjour !

Testie lui fit la bise, elle aussi

Ca va très bien ? je profite du calme et de la beauté de cette plage, et toi ? pas trop stressée par tout ce brouhaha autours des élections ?
Tu sais moi je me suis toujours tenu à l'écart de la politique, mais j'ai toujours aidé la mairie du mieux que je pouvais et je continuerai.
Mais c'est vrai qu'il faut des personnes comme vous tous pour s'occuper des affaires du village.
A part ça, comment vas Ric, toujours le parfait amour ?

Testie sourit, elle n'avait pas envie de prendre la tête à son amie encore plus, alors elle changea de discussion.
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La matinée s'annonçait agréable, le printemps était maintenant arrivé et le soleil commençait à réchauffer la terre, la nature sortait enfin de sa léthargie hivernale.

Elle aimait se promener le matin lorsque tout est encore calme, et c'est toujours au bord de l'eau que ses pas finissaient par l'emmener.

Elle adorait la plage, tout y était tellement apaisant, elle s'assit tout prêt de l'eau, les genoux remontés vers sa poitrine, ses bras tenant ceux ci et le menton posé dessus.

Elle regardait le mouvement répétitif des vaguelettes, toujours régulier... l'eau était claire et les rayons du soleil matinal lui donnait des reflets d'argent qui scintillaient à sa surface.
Les oiseaux survolaient l'eau à la recherche d'éventuels poissons, tout ça l'émerveillait, lorsqu'elle était là elle ne pensait à rien d'autre, tout ces problèmes s'envolaient dans le roulis des vagues...
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Gel avait comme a son habitude installe son campement a l'ecart du village...La plage etait belle,il la connaissait...
Son Vago etait pres d'une clairiere pas loin de la mer...
Lui et Celestine etaient partis au village,pour manger et rencontrer du monde.

Celestine etait un peu fatiguee...elle etait venue se reposer dans l'apres midi dans leur Vago. Gel se faisait du soucis...
Ils avaient passes leur soiree en Taverne,et Celestine etait encore fatiguee.
Gel l'avit prise dans ses bras et l'avait porte jusqu'au Vago...
Il l'avait doucement couche dans leur lit,il avait couvert son amour,elle dormait deja,son doigt caressait ses levres.

il se penche sur son amour et lui murmure doucement.
Dors mon Ange,je suis la a cote de toi...je t'aime

il se couche doucement a cote de son bebe

En plus d'être un bébé, cette gamine était une cafteuse! Décidement, il allait falloir lui montrer qui était la chef ici!
Virgule fronça les sourcils, lançant un regard assassin à la fillette lorsque celle ci la traita de sorcière. Et alors qu'elle apprêtait à retourner le sceau remplit de sable, celle ci se jeta sur elle pour lui arracher des mains!

Virgule ne lacha pas le sceau et, tira bien fort dessus afin de déstabiliser la gamine. Puis elle lacha d'un coup sec et se jeta sur elle, lui tirant les cheveux avec vigueur. Alors que les deux gamines roulèrent dans le sable, Virgule vociférait:

Sal'bébé! Tu vas mourrir, j'vai t'faire pleurer! T'pourras aller chialer dans les jupons d'la sorcière!

Virgule avait l'avantage certain d'avoir les cheveux courts, ce qui laissait peu de prise pour ses agresseurs. Par contre elle, se délectait de tirer sur les long cheveux soyeux de la petite, tout en lui collant des coups de pieds à l'aveugle. Après tout, cette gamine l'avait cherché, et Virgule était la plus grande, elle méritait donc le respect!
Nan mais...

Nath sourit en le sentant arriver et poser sa tête sur son épaule. Sa berceuse terminée elle se retourna et l'embrassa tendrement. Ils restèrent un long moment tous les trois comme ça sans parler, juste profiter de cet instant en famille. Le soleil commençait à baisser sur l'horizon, les journées étaient encore courtes.

Regarde la chéri, elle se réveille....

Ericia ouvrit de grands yeux et les regarda tous les deux. Puis fit une moue que Nath reconnut aussitôt.

Ohhh chéri, la belle ne va pas tarder à avoir faim... il va falloir rentrer. Tu as vu ce beau temps ? je pense revenir demain.. ça fait tellement de bien ce soleil et Ericia semble apprécier l'air marin... mais là elle commence à grimacer elle ne va pas tarder à hurler de faim.... on y va ?

Nath se leva et enlaça son mari pour l'embrasser encore.

Allez bientôt tu reviendras faire des chateaux de sable avec ta fille ne sois pas triste chéri et elle se mit à rire.

Reprenant son sérieux elle ajouta..

Tu rentres avec nous ou tu dois repasser au bureau... hummm je vois que tu as encore des dossiers dans ta besace... tout en disant ça elle remit Ericia, qui commençait vraiment à s'impatienter dans son couffin.

Oscea se gavait de caramels pendant que Konrad et Isabele discutaient, elle n'aurait plus très faim pour goûter à toutes les bonnes choses qu'elle avait vues dans le panier.

Comme elle ne tenait pas longtemps en place, elle commença à s'impatienter et prit le petit seau et la pelle que lui avait faits son papa. Elle essaya de faire des patés mais le sable était sec et ils s'effondraient les uns après les autres.



Elle regarda autour d'elle, des gens se promenaient sur la plage, elle reconnut au loin la dame des boules de Noël avec un bébé. Elle se demanda si elle pouvait aller le voir, elle aimait bien les bébés quand ils ne pleuraient pas, c'était comme de grandes poupées. Elle réfléchit aux personnes que sa maman avait dit qu'elle pouvait embêter sans problèmes, et elle n'avait pas parlé de cette dame, alors finalement, elle préféra rester avec ses amis. Elle aimait bien être avec eux mais là elle avait envie de jouer et eux ils parlaient. Elle les regarda, une moue boudeuse sur les lèvres.

Allezeeuuuhh ! On le fait le château ?

Elle agita son seau sous leur nez, envoyant plein de sable sur la couverture... Heureusement que Konrad avait refermé le panier, sinon ils auraient eu de la nourriture au sable et c'était pas bon. Elle le savait parce qu'un jour, pendant la chasse aux coquillages, sa maman avait assis Orion sur le sable pour faire des patés avec Ondine. Son papa était occupé à faire un château avec elle et personne ne surveillait Orion. Il avait voulu marcher à quatre pattes et était tombé en avant et après il avait hurlé jusqu'à ce qu'il n'ait plus de sable dans la bouche. Si c'était bon, le sable, il n'aurait pas pleuré comme ça...

Oscea attendait avec une impatience grandissante que Konrad ou Isabele ou les deux se lèvent pour venir faire le château promis, quand une autre fillette arriva, plus grande qu'elle.

Moi c'est Oscea et chuis pas un bébé d'abord, j'a quatre ans ! Ma soeur non plus c'est pas un bébé, elle a deux ans. J'a aussi un piti frère, c'est lui le bébé, il sait pas encore marcher.

Elle redressa fièrement la tête en la regardant.

Je te connais pas toi, je t'a jamais vue et ma maman m'a jamais parlé de toi.

Quand elle vit Virgule sauter sur ses patés de sable, elle faillit se mettre à pleurer, mais ses patés ils étaient tout moches, alors finalement ça valait pas le coup de pleurer.

T'es bête toi, mes patés ils étaient même pas beaux alors... Et je va faire un beau château avec Isa et Konrad, naaa....

Elle lui tira la langue à son tour en plissant le nez, comme lui avait appris son papa quand ils faisaient des concours de grimaces..

Le printemps était là... le soleil brillait haut dans le ciel bleu. Quelques fleurs et bourgeons commençaient à apparaitre. Nath décida de sortir. Elle avait terminé l'aménagement de la chambre de sa fille.. Un peu de repos et de bon air ne leur feraient pas de mal. Depuis son retour de voyage, elle se sentait toujours un peu en vacances. Moins de travail, moins de tension. Elle était heureuse comme jamais, auprès de sa famille. Son homme, sa fille, sa soeur.... Quoi de meilleur et de plus rassurant que ce cocon qu'ils formaient tous. Bon il était temps de se bouger un peu. Elle termina de se préparer, s'occupa de Ericia et elles sortirent toutes deux.

Une fois dehors, Nath machinalement tendit son visage vers le soleil. Ces premiers rayons étaient les meilleurs et elle savoura cet instant. Ericia dormait, bercée par le balencement du couffin. L'air était doux. Une belle journée en perpective.

Direction la plage. Elle se faufila dans les rues de la ville et arrivée au port prit le chemin qui menait à la mer. L'air marin de suite lui fit du bien. Elle respira à fond se demandant pourquoi elle n'était pas revenue depuis si longtemps....

Une fois dans le sable elle ota ses chausses et ses bas, les rengeant dans sa besace. Elle apperçut du monde au loin... des enfants jouaient. Elle marcha droit devant elle, jetant un coup d'oeuil de temps en temps sur sa fille qui dormait à poings fermés.

Arrivée assez proche de l'eau elle posa le couffin et installa une couverture. Elle adorait regarder au loin les pécheurs et s'amusait à tenter de les reconnaitre, bien que ce fut pratiquement chose impossible. Elle sourit les yeux sur l'horizon et s'assit bien décidé à profiter de ce moment de pur bonheur.

Ericia dormait toujours... son ange... sa princesse... elle la prit doucement dans ses bras et la regarda.



Hier soir en taverne, elle avait fait son premier sourire et Divi et elle en étaient restés tout idiots, tous deux en admiration devant leur bébé.

Ericia dans ses bras, elle la berça tendrement lui chantant de sa voix douce une berceuse...

Konrad entendit Isabele l'appeler depuis la rue. Il passa la tête par le fenêtre et vit les deux filles, la petite et la plus grande. Il leur sourit, leur fit un signe de la main.

Ben alors, je commençais à m'inquiéter moi, je croyais qu'on vus avez enelvées. J'arrive. Je prends les affaires et j'arrive, laissez-moi quelques instants.

Il remarqua qu'Oscea semblait excitée à l'idée de partir pique-niquer sur la plage avec eux deux. Pour Konrad cet instant était un pur moment de bonheur. Profiter de cet enfant, si douce et pleine de vie et.....profiter aussi d'Isabele. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Il n'oublierait pas de remercier Hispa de leur avoir confié la petite pour la journée. C'était une marque de confiance qui lui allait droit au coeur.

Il se saisit de son panier garni, de la grande couverture et courut dans la rue. Il posa ses affaires au sol, prit Oscea dans ses bras, l'embrassa sur les deux joues et la souleva en l'air.

Alors ma petite princesse, tu es prêtes à faire la course jusqu'à la plage avec moi??

Il la reposa au sol, puis alla biser Isabele.

Et toi ma grande princesse, tu es prête à courir aussi sur la plage, tous les trois?

Tiens en parlant d'affamé, j'espère que vous l'êtes, parce que là, j'ai prévu de quoi nourrir la caserne de Béziers. Tu me connais Isa, j'ai toujours peur de manquer. Je me demande si j'ai quand même pas triplé la capacité alimentaire de la petite. Vous êtes prêtes les filles, le dernier à la plage finira à l'eau.

Isabele et Konrad regardait en souriant la petite filer en direction de la mer, à la vitesse de l'éclair. Il prit sa main, et il l'entraina à courir derrière Oscea.

En avant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Au bout de dix mètres à peine.

Ahhhhhhhhh, attends Isa !!!!!!!!!!!!!!!!!! Je vais pas y arriver. Je balance mes sabots, je peux pas courir avec ça.

Sans s'arrêter de courir, il balança un après l'autre ses deux sabots, manquant de perdre l'équilibre, sautant à cloche pied pour ne pas s'arrêter, il n'eut pas le temps de bien voir où ses groles finissaient leur course. Il compris où ils pourraient les récupérer le soir au retour en entendant hurler le boulanger pour son premier jet de sabot et au son du "plouffff" dans la fontaine pour récupérer le second.

C'est bon, je me sens plus léger, je retournerai chercher ça se soir. Tu devrais faire pareil, on se sens mieux pieds nus, en plus ça fait été et vacances...Allez !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Zouuuuu, balance moi ça!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ils laissèrent Oscea arrivé en premier à la plage, et puis même sans vouloir le faire, Konrad était asphyxié, c'est donc tout naturellement qu'il arriva en dernier et qu'il finirait à la mer en fin de journée. Isabele et la petite ne manqueraient pas de lui faire gouter le bain.

Il déplia la couverture sur le sable, posa son panier à côté.



Il sortit une à une les diverses victuailles.

Alors, j'ai à vous proposer, du bon pain frais, terrine de campagne, une poule rôtie, des asperges, des navets au miel, des oeufs durs, quelques bouquets de mâche, du fromage, des fruits, des gaufres avec sa confiture de coing spécialement confectionnées par Isabele, et....et....et...Oscea, ça c'est rien que pour toi....Des caramels qui collent aux dents pour toutes la journée.

Il rit aux éclats en voyant les yeux de l'enfant s'ouvrir en grand à la vue des friandises.

ahhh, j'allais oublier, ça c'est pour mes deux princesses.



Il tendit à chacune d'elle un petit bouquet de fleurs des champs qu'il avait été cueillir dans la matinée. Ils installèrent Oscea sur la couverture et Konrad aida sa merdeuse à s'assoir. Il profita de cet instant de grâce, pour les regarder toutes les deux et admirer le bonheur en face. Il eu un léger pincement au coeur, non une énorme douleur, une pensée brève et incontrôlable qui n'avait certainement pas échappée à Isabele. Elle saurait à quoi et surtout à qui il pensait à cet instant précis. A leur petit ange. Il se ressaisit aussitôt, il regarda Isabele et Oscea puis il arbora le plus beau des sourires.

La matinée était déjà bien avancée. les cloches de l'église sonnaient les onze heures, Isabele et la petite Oscea n'étaient toujours pas arrivées. Ils avaient encore le temps de se rendre à la plage, d'autant plus que le temps était vraiment radieux aujourd'hui. Soleil et une douce chaleur flottaient dans la ville Languedocienne.

Konrad vérifia encore une fois que son panier pique-nique était complet. Il était maître en matière d'intendance, surtout au niveau alimentaire. Il était inégalable. Sa douce lui rappelait souvent le concours de tir à l'arc à Narbonne, ou il s'occupait de la rôtisserie pour les participants, un magnifique cochon qui ne s'était pas laissé compter.

Il ouvrit donc son panier, jeta un dernier coup d'œil, tout semblait y être, rien ne manquait il espérait que cela fasse plaisir aux deux princesses. Il partit en courant, s'étant aperçu d'un oubli.

Voilààààà, la couverture et le petit plus aussi, pour la petite.

Se dit-il en souriant au visage de l'enfant lorsqu'ils lui donneraient
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Camelle , ce matin, s'etait levée trés tôt , préoccupée par son sort électoral.
Elle avait très mal dormi, rien que de penser a sa famille qui disparaissait petit à petit, qu'elle ne voyait plus.........
Et puis son coeur, elle ne faisait que le croiser.................
Heureusement qu'elle rencontait quelques amis en taverne quelques têtes sympathiques qui lui changeait un peu les idées.

Elle vit justement une de ses nouvelles amies, Testie, se diriger vers la plage, il lui sembla qu'elle n'allait pas trés bien, car elle marchait en baissant la tête, ce qui est un signe qui trompe rarement.

Elle la suivit de loin et la vit s'installer prés de l'eau, elle s'approcha d'elle, assez prés pour voir une larme couler sur sa joue, larme qu'elle camoufla prestement quand camelle lui parla..

"bonjour testie, que se passe t il? pourquoi pleures tu? tu n'es pas bien à beziers?
puis elle rajouta "regarde ce beau soleil d'hiver, il devrait pourtant te rendre le moral...et pis dis toi bien que si le soleil ne suffit pas, tu as les amis pour cela

Camelle vit alors avec plaisir un beau sourire éclairer le visage de son amie