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[RP] La plage

Banquizz
Un son plus doux encore, que celui des vagues le tira calmement de ses pensées. C'était la voix de Mevanwi. Cela le fit sourire, tout naturellement, alors qu'elle s'asseyait à ses côtés.

C'est vraiment joli n'es-ce pas ? J'était en train d'imaginer prendre la mer. Les gens se demande souvent si il y a quelques choses tout au bout. Moi je me demande ce qu'il y a tout au fond. Personnes n'a jamais touché le fond de l'océan, à l'endroit le plus profond possible, alors qu'on gravit des montagnes. Si ca se trouve il y a des gens qui vivent en dessous de l'eau et on le sais même pas. C'est vraiment mystérieux.

La marée avait rendue quelques mètres à la plage en reculant . Le ciel commençait à rougir derrière les nuages et les couleurs qui s'étalaient au dessus du village annonçait le crépuscule.


Je suis vraiment heureux que vous soyez venue . Comment trouvez vous la mer?
Maryloug
maryloug arriva près de l endroit qu elle adorait pkus que tout sentir cette brise juste que les douceur qui est simple.Elle vit des personne au loin , regarde mes juste la silhouette cela ne lui dit rien , elle ne veut déranger et reste la.Elle plonge se regard vers ce paysage si paisible avant de revenir au réel
Mevanwi
Fixant l'horizon, elle n'écoutait que d'une oreille. La question qu'il lui posa la sortit de ses rêveries.

Eum... Egale à elle-même.

Après un petit instant de silence, elle tourna la tête pour le fixer. Elle vit l'embarras du jeune homme.

Excusez-moi, je ne suis pas très loquace quand je m'y mets.

Elle esquissa un sourire, se forçant à s'ouvrir un peu plus qu'à son habitude.

Je... Suis née à Toulon. J'ai si souvent vu la mer... C'est quand je ne l'ai plus eu sous les yeux que j'ai compris à quel point elle était importante pour moi.
Banquizz
Il fit un grand sourire pour répondre a celui de la charmante demoiselle.

Ce n'est pas la peine de vous excuser vous savez, les mots que vos lèvres ne prononcent pas, ce sont vos yeux qui les disent. Ca se voit que vous aimez beaucoup la mer.
Moi aussi. Lorsque je viens sur la plage j'arrive a ne plus penser à rien. Je plains les gens qui ne l'ont jamais vue. Devant une telle immensité on se sent tout petit, on est peu de choses, lorsque l'on est dessus c'est encore plus fort, elle a des humeurs pareil à celle des hommes. Elle peut être calme comme aujourd'hui ou connaitre les pires colères frappant les navires de ses vagues. Comme nous avons le moral, elle a ses marée, parfois hautes, parfois basses.


Il regardait le joli visage de Mevanwi. Il se dit qu'elle ne pouvait jamais être vraiment très loin de la mer, puisqu'elle était dans son regard.

Il sourit de nouveau et regarda la mer.

J'ai vécu tout près de Toulon, et durant longtemps. Mais je n'y suis jamais allé. Le destin ne l'a sans doute pas voulu. Vous avez de la chance d'avoir grandit au bord de l'océan.

Il hésita à aborder le sujet de l'enfance de Dame Mevanwi, il connaissais ses silences et avait peur de gener sa compagne de voyage. Il préféra ne rien dire et il se dit que son prochain projet allait être de trouver un navire pour voguer sur l'océan de port en port avec la personne qu'il portait en son coeur. Cette idée seule lui redonnait le sourire. Les rêves, c'est ca l'essence de l'âme.

Vous avez l'air de beaucoup aimé Toulon.
Mevanwi
Sans dire un mot ou porter un regard sur l'homme, Mévanwi se leva. Elle s'immobilisa quelques instants, les yeux rivés sur l'horizon bleu, puis fit volte face.

Je rentre...

Le temps de faire deux pas et elle s'arrêta de nouveau.

Je vais à l'auberge. Keiji doit surement déjà m'y attendre.

Un bref silence suivit, puis

Si cela vous dit de m'accompagner...
Banquizz
Mevanwi a écrit:
Sans dire un mot ou porter un regard sur l'homme, Mévanwi se leva. Elle s'immobilisa quelques instants, les yeux rivés sur l'horizon bleu, puis fit volte face.

Je rentre...

Le temps de faire deux pas et elle s'arrêta de nouveau.

Je vais à l'auberge. Keiji doit surement déjà m'y attendre.

Un bref silence suivit, puis

Si cela vous dit de m'accompagner...


Banquizz se leva doucement et rejoint vite Mevanwi qui partait vers le village.

Attendez moi

Il se placa au coté de la dame sans trop savoir comment entamer la conversation. Il se contenta de regarder la jolie dame en se demandant ce a quoi elle pouvait bien penser.
Zazounette
le soleil commencais à laisser paraitre ses premieres lueures et dejà la journée s'annoncais chaude ....

c'était des moments que zazou appreciait énormement tout y était d un calme absolu ,sachant ses amis encore endormi elle s'installa sur la plage et laissa son regard se noyer dans les vagues colorées de rose par endroit......

puis elle pensa a lui ..... il ne manquais que lui pour partager ce moment unique même si avec lui tout etait unique chaque details prenait une nouvelle saveur ......

elle qui avait oubliée tout cela, ferma les yeux en s'allongeant sur le sable .....
puis se promit de se laisser porter dans cette nouvelle histoire comme le murmure des vagues emmenait a ce moment precis son esprit

allait il venir ? allait elle l'entendre rire aujourd'hui ? et comment lui avouer qu'elle ne pouvait plus se passer de sa presence ..........
Wgaby


wgaby se leva tôt et eu l'envie d'aller faire une ballade sur la plage.
Il alla dans les rues de la ville d'un pas serein,tout pensif.
Au bout de quelques instants, il arriva sur la plage...enleva ses bottes, et se mit à marcher pieds nus au bord de l'eau.
Il se sentai bien, le coeur paisible...et toujours cette pensée qui l'envahissait ... Elle.....
Puis il apperçu au loin une sillouette allongée sur le sable.Il alla prestement voir qui ça pouvait bien être.


_ Hey!! Zazouuuuuuu!!!!! Que fait tu là?

Il se mit à ses côtés et lui fit la bise..

_Je suis content de te voir tu sais? Justement je pensai à toi! Et puis te voila...

I lui sourit, puis resta de longs instants près d'elle à discuter...
C'est un moment très agréable qu'il n'a pas envie rompre..
Zazounette
Citation:
Hey!! Zazouuuuuuu!!!!! Que fait tu là?



son coeur fis un bond, elle sursauta a cette voix si familière sourit et s'assied pour lui faire une bise
ses desirs avaient été exaucés ..... il était là ......

elle discuta avec lui de longs instants essayant de ne rien laisser paraitre de ce trouble qu'il savait provoquer
elle ne souhaitait que rien ni personne vienne troubler cet instant mais elle savait aussi que les villageois s inquietais de pas les voir arriver pour boire une bière

se levant et lui tendit la main pour l'aider a se relever


Viens allons boire une bonne bière tant que la ville est encore calme ......

faisont la course premier arrivé ........


elle lui sourit attendant son approbation
Wgaby


gaby fut heureux d'avoir discuter avec zazou...il se sentait bien en sa compagnie.Il buva ses paroles ...ne voulant pas perdre un seul mot de ce quelle pouvait lui raconter.
Le temps passait à une vitesse folle, et elle lui proposa de rejoinde nos amis en taverne et de boire un coup.
Enfin de bonnes paroles..hihi...


""_ Ah !! tu veux faire la course? ok...prête?...1....2......et....partez!!

Il coura comme le vent et la laissa sur place...puis se retournant en éclatant de rire...il la rejoignit et lui prit la main et allèrent jusqu'à la taverne...
Zazounette
zazou le regarda detaler comme un lapin ...... et explosa de rire
pauvre homme qui devait mourir de soif ....

le soleil était deja haut dans le ciel et il devenait brulant, le temps avait filé à grande vitesse , elle respira a nouveau l'air salé en le regardant faire demi tour pour revenir la chercher ......

elle ne comprenait pas, ne cherchait plus à savoir...... la tête lui tournait ..... plus rien ne comptais, plus rien sauf ........

ils prirent tranquillement le chemin de la taverne se separant aux portes de la ville
l'heure n'etait pas aux questions c'était un de ces moments fragiles qui ne pouvait se partager une complicité commencais a naitre ...... le destin serait leur maitre
Anaximandre


Le vieil homme se sentait fatigué. Sa passion pour le vagabondage s'émoussait, ces temps-ci. Si tant est qu'il ait jamais eu une passion pour quoi que ce soit. Sauf peut-être pour son chien. A cette pensée, son coeur se serra. Il avait égaré le brave Aristote au moment d'entrer dans Béziers. Un moment d'inattention, les questions de la douane auxquelles il avait répondu avec toute la mauvaise humeur dont il était capable, donc quelques heures au poste : résultat, plus de chien. Anaximandre espérait que son fidèle compagnon le retrouverait.

Et attendant, las des bavardages futiles de taverne et presque rassasié de contempler le doux minois de la demoiselle Aurore, il avait erré dans le village à la recherche de l'église, sans succès. Encore une cité où la religion n'était pas bien vivace. Ce qui n'était pas forcément pour lui déplaire, bien qu'il commençât toujours par adresser une prière à Aristote et un salut du bout des lèvres à l'usurpateur Christos.

Finalement, après avoir marché en long et en large sur la plage, le vieil homme s'assit face aux vagues et songea à sa jeunesse, aux fiers voiliers et aux femmes qui, alors, lui tombaient dans les bras...
Anaximandre


Plongé dans ses pensées, le vieil homme contemplait toujours le mouvement des vagues, le vol erratique des mouettes et les derniers feux du soleil couchant, lorsque des aboiements joyeux retentirent derrière lui. Par Aristote ! Le vieux cabot avait donc réussi à échapper aux douaniers et à retrouver la plage ! Pour la première fois depuis longtemps, un vrai sourire éclaira le visage d'Anaximandre lorsque le chien, jappant allègrement, se jeta sur lui, faisant voler son chapeau.

Hé, vieille canaille, mon galurin !


Mais c'était trop tard. Le couvre-chef, emporté par le vent marin, tourbillonnait déjà au-dessus des flots, jouant avec les nuages, avec l'air de s'amuser follement. Le vieil homme, la surprise passée, haussa les épaules. Celui-là au moins était libre à présent. Et puis, il avait fait son temps. D'un pas décidé, il se releva et s'en retourna vers la ville, en quête d'un nouveau chapeau.
Ettis
La fin d'après-midi était chaude, cuisante même, pour qui a trotté tout le jour par les ruelles et les remparts. La sueur lui collait les cheveux au front et les braies, ben...aux jambes. Septembre ne semblait pas vouloir laisser finir l'été, quoique les feuilles aient partiellement commencé à virer du vert aux ocres. Ettis parvint à la plage, d'un pas un peu lourd, un peu las. Elle y passait rarement, trop occupée pour baugenauder le plus souvent, mais ce soir, elle s'était dit que la relative fraîcheur de l'eau serait bien agréable. Et, de fait, elle savourait en s'approchant l'air plus léger, la fine brise sur son visage. Elle regarda passer un vieil homme, l'air revêche un peu, et son chien : tiens donc, une nouvelle tête par là. Mais elle n'y prit pas garde davantage, et se laissa facilement convaincre d'aller jusqu'à l'eau, tenant ses bottes rouges à la main de crainte de les mouiller, et trempa se pieds échauffés au fil de l'onde. On en ronronnerait presque de plaisir ! Les reflets sur l'eau reposaient l'oeil : elle décida de passer quelques minutes de sa pause là, avant, tout à l'heure de remonter le sentier vers la ville.
Kelak
Après sa ballade impromptue au milieu du lac de bézier durant la soirée du 8 sept 1457, kelak n’aurait jamais pensé guérir si vite de son état faiblard et pourtant aujourd’hui il était en forme et pour tout dire il ne s’était jamais senti aussi bien.

Il n’y avait pourtant aucune trace de sorcellerie là dedans, du moins l’espérait il, mais il savait qu’il devait cela aux gentilles attentions d’une personne chère… ce soir il reprendrait la route avec elle pour montpelier et décida donc de passer une partie de son après midi à se reposer sur la plage de Bézier, seul endroit de la ville ou le calme règne en maitre…

Il chercha un coin d’ombre pour s’allonger mais la lumière restait trop vive que pour espérer s’endormir, il chercha une solution et soudain il se souvint que divinus lui avait remis une peau gagné lors de la semaine du mineur. Il avait garder cet objet sans trops savoir qu'en faire et maintenant il lui trouva enfin une utilité.

Il s'allongea, couvra son visage avec la peau et tenta de s’endormir en repensant aux événements d'hier au soir...
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