[RP] La plage

Dameraphaelle

Raphaelle avait recu le pigeon de Kelak et decida de se rendre à la plage pour passer un moment en sa compagnie. Elle pris sa sacoche et se mit en route.
Tout en se promenant sur le sable, ecoutant les vagues s'echouer sur la plage, Raphaelle scrutait les allentours, esperant le trouver.
Elle vit un homme allongé sur la plage au loin, mais ne voyait pas son visage, en se rapprochant elle reconnue Kelak, il dormait, une peau sur le visage pour se proteger du soleil, les bras croisés sous la tete, les orteils en eventail.

Raphaelle s'approcha sans bruit et cherchait quoi faire pour le surprendre... elle reflechit un instant, puis... elle s'accroupi à coté de lui et soufla legerement dans son oreille, il passa la main croyant balayer une mouche, Raphaelle se retenait de rire et recommenca, Kelak fut surpris et sursauta comme elle l'esperait, Raphaelle eclata de rire.

Coccycrep

Essoufflée, Coccy arrivât à la plage.

Il était très tôt et elle était heureuse de ne pas croiser tous ces couples que l'on rencontre ici. Chaque fois, ça lui mettait le bourdon et là, elle en avait pas vraiment besoin.

Trouvant un rocher, elle regardât autour d'elle et ne voyant personne, elle y déposât ses habits et courut jusqu'à l'eau.

Elle était froide et cela lui fit du bien.

Une fois dans l'eau, elle vit au loin une silhouette.
Qui cela pouvait-il être ?
Après l'avoir reconnu, elle murmura...

Oh non, pourvu qu'il ne m'ait pas vu entrée nue dans l'eau...
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Horkos

Littoral de Béziers, ses remous écumeux, son ressac qui vaporise son iode en brume humide et salée. Harlem n'avait jamais vu la mer en dehors qu'illustrée et enluminée. Dans quelques un de ces ouvrages de récits où il est question de monstres marins, d'esquifs en perdition, de tempètes tempétueuses(forcément

).

Elle a un regard soudainement méfiant pour cette étendue d'eau mouvante...Les bottes reposent un peu haut sur cette plage, Harlem hésite un instant à sonder la température d'un orteil frileux...
L'idée première face à tel spéctacle c'est l'immensité, la puissance en latence de l'élément. Harlem découvre. Emet un commentaire.Ayant beaucoup d'admiration pour la demoiselle toute nue qui prend un bain vivifiant un peu plus loin. Harlem pour sa part ressent une onde l'ébrouer. La même que le chat proche de tel spectacle acqueux doit avoir.

Brrrrr...Froiiid!

L'orteil n'a pas aimé et accuse le coup, Harlem le poil définitevement hérissé recule et fait face à la congère liquide. Chait de poule et compagnie, bras croisés dans une expectative certaine.

Je vois. Froide sur les bords quand même. Traitresse.

Et il parait que la Méditérannée est de loin plus chaude que l'Océan. Ca promet régal transi du côté de Bayonne ou encore Lisbonne.

Harlem qui ne reconce jamais, scrute l'horizon laqué bleu gris vers le sud/ouest. Précisément où elle a décidé de se rendre.
L'idée si elle n'est pas si mauvaise, en demeure fraîche...

Mouais...Comme on dit, quand il faut y aller faut y aller.

Harlem qui a attaché sa barque à un piquet donne des bras pour pousser la dame de bois Comtois à la flotte. Ayant remi ses bottes.

On va d'abord tester le sur place. Puis on avisera.

Harlem grimpe, éprouvant la sensation. Etrange. Trèq étrange et peu rassurante de quitter la terre ferme.

Oui c'est... mouvant.

Elle s'accroche aux rebords, laissant l'impression de tangage faire son effet...Laisse l'embarcation flotter un moment pour se faire à l'idée, le coeur mitigé...Puis insiprant un bout coup, Harlem n'écoute que son âme de grande exploratrice, de matelote chevronnée. Elle rame. Prête à défier les éléments. Et s'arrète juste passé la brisure des vagues, en surface paisible. A chaque jour suffit son courage. Pensant avec justesse que plus c'est profond, moins on sait ce qui pourrait bien se mouvoir en dessous...
Harlem déglutit, décide fermement de penser à autre chose. Bien assise, un peu verte, beaucoup crispée, elle jette sa ligne.
Vérifiant que la corde est bien au piquet là sur la terre ferme.

Dans la vie tout est question d'habitude. Chapeau de paille, pour la pose nonchalente, on verra plus tard.

C'est pas la Marchande qui prend la mer
C'est la mer qui prend la Marchande!
Moi la mer elle m'a prise un beau jour
Où j'avais vraiment que ça à foutre!!

Ohé ohé matelot! Matelote navigue sur les flots!
Et j'irai en Aragon avec mon petit bateau ého ého!

Le doux bercement continu quel délice...
Harlem tient bon la ligne.

Ca mord!!

La grande question est :

Comment je vais le ramener en restant bien assise ?

Harlem et la mer. Voilà qui promet. Au moins deux poissons, une corde rompue, une voilette de fortune qui se gonfle, un cheval boiteux fort étonné suivant l'esquif le long de la grève...

Autant en emporte les vagues vers l'Aragon...Au revoir Languedoc.

Edit pour cohérence IG

Danael

Dan se promenait seul, plongé dans ses pensées, et ses pas se dirigèrent tout naturellement vers la plage. Il aimait regarder l'immense étendue bleutée, et laisser partir son esprit très loin ... Il se baissa pour retirer ses bottes. Il avait envie de sentir le sable chaud sous ses pieds nus. Quand il se redressa, il vît une silhouette, assurément féminine, sortir de derrière les rochers et courir nue sur la plage, cheveux aux vents ...
Il en laissa choir ses bottes ...

La jolie sirène fendît les vagues, puis se tourna dans sa direction, et il aperçut son visage ...

Ils se regardèrent tous deux un instant sans bouger.

Divinius

Divinius se balada par la au même moment et s'amusa avec les quelques cailloux qui se trouvait la..quand soudain il aperçu quelques chose au loin...Mais non deux choses au loin...Il prit sa longue vue espérant ne pas rencontrer d'ennemis tenant une attaque sur les cotes ^^..on sait jamais.!!
Mais des qu'il aperçu, la personne en question et l'accoutrement, il devint légèrement rosé de confusion, et la déplaça vers l'autre ombres..Ne voulant pas déranger..il rangea son engin et s'assit pour profiter de l'air frais ..

Coccycrep

Citation:

La jolie sirène fendît les vagues, puis se tourna dans sa direction, et il aperçut son visage ...

Ils se regardèrent tous deux un instant sans bouger.

Coccy était pétrifiée, elle restait figée.
C'était Danael, elle l'avait bien reconnue.

Après un temps, elle se ressaisit et plongeât prestement dans l'eau jusqu'au cou.

Que devait-elle faire ?
Il fallait tout de même qu'elle sorte de l'eau, elle était frigorifiée.

D'un coup, elle lui criât.

Hé Dan, t'as pas une gazelle à chasser dans le bois?

Allez, soit galant s'il te plait, bouge de là pour que je puisse sortir de l'eau.

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Danael

Dan sourit à ses paroles. Il approcha néanmoins, à pas lent. Il avança vers elle jusqu'à ce que les vagues lui mouillent les pieds.

" Elle est bonne ? ... J'ai décidé de sortir du bois, figure-toi ... "

Il se mit à rire doucement, la regardant. Puis il se rendît compte de la couleur un peu bleutée de ses lèvres et s'en inquiéta.

" Je me tourne Coccy ... sors de l'eau, tu n'as pas l'air d'avoir très chaud en fin de compte ... "

Il se tourna et s'éloigna de quelques pas, et l'entendit marcher dans les vaguelettes puis courir jusqu'aux rochers. Il attendit un peu, puis lui cria sans se retourner:

" ça y est ? tu es visible ? "

Ayant obtenu une réponse affirmative, il se dirigea sans hésiter vers les rochers. Lorsqu'il retrouva Coccy, il la vît grelotter. Otant sa cape, il lui mît sur les épaules et la serra contre lui en lui frictionnant le dos ...

Divinius

Entendant Coccy crier au loin, Divinius repris sa longue vue affin de s'assurer que tout aller bien quand soudain Coccy sortit de l'eau et se mit à courir jusqu'aux rochers où elle avait posés ces vêtements. Bien que fort embêté d'avoir assisté cette scène, divinius fut intrigué par une trace que Coccy avait sur sa hanche. Nath avait une tâche de naissance presque au même endroit. Souriant de cette coïncidence, il rangeât sa longue vue non sans avoir vérifié que Coccy ne craignait rien.

Coccycrep

Voyant Dan se retourner et s'éloigner, Coccy se hâtât de sortir de l'eau.

Quand elle avait vu l'eau, ce matin, elle n'avait pas réfléchit une seconde et s'y était baigné mais maintenant, le vent s'étant levé et ses habits étant mouillés, elle était transi et surtout honteuse d'avoir était surprise dans telle situation.

Et surtout par Dan, le chasseur de gazelles de Béziers.
Elle se serait bien enfuie de suite mais Dan lui demandât si elle était visible et, par réflexe, elle lui répondit.

La cape de Dan était chaude et ses gestes énergiques.
Coccy se réchauffait peu à peu mais très vite elle se sentie troublée.
Il était si proche…

Très vite alors, elle fit un pas en arrière, rouge écarlate, et bredouille…

Merci Dan, c’est gentille mais je vais te mouiller.

Lui rendant sa cape…

Je vais vite aller me changer, j’ai de quoi au bureau.

Et voulant s’en aller au plus vite pour cacher son trouble, elle se prend les pieds dans la cape et se retrouve à nouveau dans ces bras…..

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Laurine

mimi arrivas a la page seule . regarda les vagues dun bleu merveilleur. penas que le chemin etait long mais qui en vallais la peine et au rencorte avec sieur le maire et domi qui etait tres gentils. bientot mon amour jarrive dans tes bras je taime over. mimi resta la er regarder cette mer qui la facinee..

Danael

Dan reçut Coccy dans ses bras, mais surpris et déséquilibré, tomba à la renverse ... et Coccy lui atterrit dessus. Il fût pris d'un fou rire et elle mêla son rire au sien. Se reprenant, il la regarda et écarta une mèche de ses cheveux qui cachait ses yeux. Il l'embrassa tendrement.

" Si c'est ça que tu voulais éviter, c'est raté ... "

[/b]

Coccycrep

Coccy fut très surprise par ce baiser mais en même temps, c’était tellement agréable. Elle se laissa faire mais d’un coup se ressaisit et s’écartât de lui.

Hey, tu me prends pour une gazelle ou quoi?

Lui faisant les gros yeux, elle se releva, se retournât et remontât vers le bureau de pêche, le sourire aux lèvres.

Après quelques pas, elle se retournât et lui fit un sourire timide mais un peu coquin tout de même. Puis repris sont chemin, du rouge plein les joues.

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Nejma

Un vago s'intalle pour la journée sur la plage un peu a l'ecart afin de ne gener personne,, ses occupants sont joyeux et commencent a preparer un feu . Nejma regarde Gel qui s'occupe des chevaux et va aider Lydina à ramasser des branches .

Fillette ne faisons pas un feu trop grand , nous ne sommes la que pour la journée , notre route sera longue encore.

Se tournant vers Gelko
Mon Amour , il y a longtemps que nous ne sommes passés j'espère revoir des amis . Il est vrai que tu as habité ici , *sourires* , mais tu as passé plus de temps maintenant avec moi sur les routes que partout ailleurs, la vie nous a reuni pour continuer nos voyages ensembles où qu enous soyons tant que nous serons tous les .. heuu trois ...Elle le regarde les yeux petillants d'étoiles et murmure bientôt quatre

Nej tend la main a son mari et prend sa fille dans l'autre : Oui tout ira bien, tous ensembles , notre Casa..a nous ..La Casa d'Hell
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Seloutte

Lou avait été voir en vain Hisp et Zol..... maudite guerre se disait elle.... j'espère qu'il ne leur soit rien arrivé....... toute dans ses pensées elle arriva à la plage.

En sourit en voyant l'eau, elle ôta ses bottes et ses bas les prenant à la main et couru dans l'eau, s'éclaboussant tout en riant.... puis elle vint s'allonger sur le sable chaud, ferma les yeux et s'endormit.

Kallhan

Kall alla se promener sur la plage. Elle s'assit et repensa à ce jour, a Narbonne avec Chrego.

Elle plongea dans ses pensées. Maintenant qu'ils étaient rentrés, il leur fallait essayer de trouver le curé, afin de se marier. Et ensuite il leur faudrait se mettre à aménager leur maison. Et préparer la chambre d'enfant.

Elle passa sa main sur son ventre. Elle avait des douleurs dans le bas ventre. Mais il était encore trop tôt. Elle n'en parlerait à Chrego pour ne pas l'inquiéter. Il avait autre chose à penser avec ses matchs de soule. Et puis cela était peut être du seulement à la fatigue et au stress de leur dernier voyage. Encore partis une fois pour une guerre qui n'en fut pas une.

Elle regarde devant elle le mouvement de l'eau.

La plage

Luludja

La vie du voyage n'était pas toujours facile, surtout quand les premiers frimas s'installaient et que les premières neiges tombaient.

Ils étaient partis de Mende dès les premiers flocons. Au début, ces petites étoiles de givre qui tombaient lentement du ciel donnaient un aspect féérique aux paysages. Tous les bruits étaient assourdis et le temps semblait se figer. Et puis très vite, les roulottes commencèrent à s'embourber, il fallut les dégager en repoussant la neige sur les côtés, les bottes commençaient à prendre l'eau et les pieds et les mains à geler... Maudit marchand qui lui avait vendu du cuir de mauvaise qualité!

Alors que quelques jours auparavant elle piaffait d'impatience de reprendre la route, Lou avait vite déchanté. La neige avait d'ailleurs retardé deux d'entre eux et c'est donc avec soulagement qu'elle entendit Swan décréter qu'ils s'arrêteraient quelques jours à Béziers.

Lou était en train de faire sécher ses bottines devant un petit poele, massant comme elle pouvait ses doigts de pieds engourdis, lorsque la Rousse l'appela.

Lou, t'viens?
Hmm?
On va chercher l'brune.

Elle gromella un peu et enfila ses bottes encore humides sur ses petons qui commençaient à peine à se réchauffer. Mais la mer n'attendait pas et Swan non plus. Lou la suivit donc vers la plage et ce qu'elle y vit lui coupa littéralement le souffle. Elle resta là à contempler les vagues, alors que Swan entraînait Chipie à sa suite vers le bord de l'eau, ne sachant si les frissons qu'elle ressentait venaient du vent hivernal ou de la beauté du spectacle devant ses yeux. La mer avait quelque chose de magnétique, une force d'évocation et de mystère qui attirait inexorablement Lou. Un jour elle partirait en mer pour un long voyage. Un jour...

F'tredieu! C'est quand même beau c'vagues! dit-elle quand elle eût rejoint les autres près du bord. L'eau semblait limpide, comme si le froid l'avait nettoyée de toutes les impuretés.

V'croyez que la mer elle peut geler? demanda-t-elle le plus naïvement du monde, en essuyant du revers de sa manche une goutte qui perlait au bout de son nez.
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Swan

[Deux roulottes et la mer en décembre]

Un petit campement de seulement deux roulottes s'était installé près de la plage. Le reste des roulottes devaient arriver dans quelques jours, mais comme son CAP' tain Fracasse voulait voir la mer, ils s'étaient posés là. De loin elle pouvait voir le port et cela lui donnait le sourire jusqu'aux oreilles ...

Les bateaux ! Son rêve ! Un jour elle en aurait un à elle, mais pour l'instant, elle devait se contenter de les regarder de loin. Elle avait vu en passant devant qu'il y avait un Foncet, deux Mauvais Marcheur et une Nave génoise ... Mais elle, ce qu'elle voulait, c'était un navire bien plus gros. Un navire de guerre ... Oui oui, elle voyait gros la jeunette !

Lou t'viens ? On va chercher l'brune

Les roulottes installées, elle sauta de la sienne qu'elle partageait avec sa complice, elle avait nommé Lou, ou Lulu comme disait les autres. Au bord de la plage, alla chercher Chipette, excité comme une puce !

Chipiiiiiiiiiiie viens voir !!! L'mer !!!

Bon il y avait un peu de neige et il faisait froid, mais c'était quand même beau à voir. Elle partit sur la plage et se baissa pour toucher l'eau qui était trèèès froide.
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Safina

La blondinette ocuppait a evacuer sa peine, lorsqu'elle entendit une voix qu'elle connaissait.
Frottant discretement ses yeux, pour me pas qu'on voyait que les larmes les avaient envahis, Saf' se leva doucement
Elle sourit doucement quand elle aperçut Ysatis, qu'elle avait rencontrée a Orthez quand elle etait encore avec Wilfred.

Bonjour Ysatis,
je vais... et vous meme?
Vous etes de passage dans cette belle ville?

La bell'blonde avait discutée avec Ysatis durant quelques heures sur la plage, le temps s'etait ecoulé a la vitesse grand V.
Cela avait fait du bien a la blondinette de parler, mais il etait temps de reprendre le chemin des tavernes...
C'est en se levant qu'elle salua amicalement Ysatis et reprit la route vers le village.
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Hispahan

Hispahan avait vu partir Oscea. Pour l'avoir suivie plusieurs fois en cachette, elle savait que sa fille se réfugiait dans les bois quand elle avait un gros chagrin. Elle aussi avait un gros chagrin, auquel s'ajoutait une grande colère qu'elle ne pouvait contenir. Comme si ce n'était pas suffisant que sa fifi Espé soit partie vers un monde soi-disant meilleur et que ses amis Ettis et Zol partent vivre sous d'autres cieux, voilà que son autre fifi était frappé de folie et parlait de rejoindre Aristote, sans se soucier du mal qu'il pouvait faire autour de lui.

Sentant une nouvelle bouffée de rage monter en elle, Hispahan prit le chemin de la plage. Là elle pourrait crier sa colère sans être entendue, cette colère qui ne la quittait plus depuis qu'elle avait vu tous ses efforts repoussés. Si elle avait dû mourir chaque fois qu'un ragot fleurissait à Béziers, elle serait morte cinquante mille fois, et si on devait repousser ses amis à chaque coup dur, la terre serait peuplée de solitaires.

Tournée vers la mer, elle serra les poings et cria de toutes ses forces, laissant le vent emporter ses paroles. Elle savait qu'elle le regretterait toute sa vie mais avait baissé les bras, à cours d'arguments. Elle resta là un long moment, le regard perdu sur l'horizon, laissant les larmes ruisseler sur son visage, puis partit vers le port. Le départ était proche, elle n'était pas mécontente de quitter Béziers et de ne pas assister à la lente descente aux enfers de son filleul. De toute façon, il lui avait dit qu'il ne voulait plus la voir, alors à quoi bon insister ?
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Safina

Depuis plus d'une semaine dans le village et la blondinette n'avais pas le temps, enfin n'avait pas envie de sortir.
Quelques sorties en tavernes mais sans plus...puis se disant que cela pouvait lui faire que du bien, après tout, c'est la vie!
La Bell'Blonde, comme on l'avait surnommée par chez elle, passait ses nuits a réfléchir, le comment du pourquoi?! Où cela avait bien pu foirer??
Apres une nuit au chaud, Safina attrapa sa cape pour aller prendre l'air sur la plage.
C'est avec son col a moitié remonté sur sa chevelure blonde et sa cape sur ses épaules qu'elle s'y rendit.
C'etait pas la premiere fois qu'elle voyait la mer, mais cela fesait un bout de temps deja...
S'enroulant dans sa cape, enlevant ses bottes pour sentir le sable frais sous ses petons, un plaisir. La blondinette se mise a marcher le long de l'eau fraiche, vu l'epoque.
Apres quelques longues minutes de marche, Safina se posa assise dans le sable pour regarder l'horizon sans penser, sans bruit...
Un spectacle qu'elle adorait admirer.
C'est dans des moments comme celui là qu'elle pouvait laisser évacuer sa peine
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Ysatis

Voila plusieurs jours qu'ils avaient quitté le Béarn lorsque qu' Ysa eu envie de faire un tour à la plage elle avançait sans trop savoir ou aller lorsque son regard se posa sur une jeune femme assise, "Safina dicte la blonde " elle l'ait déjà croisé a Orthez c'était jadis la compagne de wilfrid, un visage connue la réconforterais, confiante d'Ysa s'approcha d'elle.......

Bonjour Safina comment allez vous ?
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Evi

Evi se balade dans le village , elle sait y rester que pour une journée , mais les événements des jours qui viennent de passer sont encore si présent en ce matin , déjà l'automne vouloir sembler pointer son nez elle a rajoutée un lainage pour errer un peu...
Elle avise un endroit ....du sable....une immensité bleue .....des vagues...de l'écume .... s'en approche , ôte ses bottes les tenant d'une main et de l'autre relevant légèrement son jupon , pensive elle joue machinalement en donnant des coups de pieds sur les vaguelettes s'échouant sur le bord ...
Ses pensées la mène a quelques jours de ca ...Elle ré entend les mots qu'Aris a prononcé , se bouche les oreilles comme si cela pouvait y faire quelques chose.

" tu aurais du mourir avant "

Les mots sont devenus des maux , ils se font douloureux ,la heurtant , la blessant avec une telle force , elle sent son dos se vouter sous la douleur ,puis les larmes glisser sur ces joues , passer sur ses levres , du revers de sa manche elle les essuies . Va se poser a même le sable , enfonçant ses mains dedans , découvrant la fraicheur de celui-ci...

" garce ...trainée...."

Elle se lève , s'approche , entre a nouveau dans la mer , regarde au loin , avance en direction du large , sent l'eau monter contre ses chevilles , ses mollets , arriver aux genoux ...remonte son jupon ...aura t"elle le courage ou sera t' elle lâche? Elle se demande s'il aura de la peine , s'il versera une larme ?s'il lui dirait Je t"aime Evi ,ne le fait pas ! S'il lui tendrait la main comme elle lui a eu tendue dans le passé !

" tu as tuée tout mes espoirs "

Autant de mots qui sont sorti de cette même bouche qu'elle aimait embrasser , cette bouche qui savait lui murmurer des mots tendres...
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Axel_de_fersen

Bel était de passage à Béziers , elle avait décidé d'aller se balader . Ses pas la dirigèrent directement vers le bord de mer. La journée était belle, . Nombre de pêcheurs étaient déjà installés tout autour ou au milieu de l'eau dans des barques. On n'entendait pas un bruit hormis les cris des mouettes. Arrivée à la moitié du chemin, elle trouva un coin tranquille , retira ses Chausses, ses bas , remonta sa jupe et s'installa sur le sable tout au bord du rivage pour laisser tremper ses pieds. Ca lui faisait le plus grand bien. Elle resta comme çà un long moment à savourer son petit bain. Elle s'allongea les bras en dessous de la tête et fixa le ciel et le ballet des petits nuages. Elle laissa le temps défiler, c'était tellement rare. Elle resta ainsi encore un long moment avant de sortir les pieds de l'eau pour les laisser sécher au soleil. Elle se redressa enfin, fit attention à ce que personne ne l'observait, remis ses bas et ses bottes, se releva, défroissa sa Jupe et repris doucement la promenade le long de la plage . Il était temps de retrouver la chaleur des tavernes
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Lunatik

Lun qui revenait à Bézier alla voir la mer, elle marchait le long de la plage pensant à celui qu' elle aimait, elle se rappelait des ses moments passés avec lui, il lui manquait tant .... elle s' assit sur le sable , regardant les vagues venir mourir à ses pieds ... elle avait hâte de le retrouver, de le serrer contre elle ....
Lun se leva et parti au marché faire quelques provisions pour la route....
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Swan

Sa blessure allait bien mieux, juste un petit tiraillement et rien de plus. Plus de douleur lancinante, non elle allait bien mieux et ça, grâce à Billy et à son ami, même si elle répugnait à admettre cet état de fait ...

Cela faisait trois jours qu'ils longeaient la côte et cela n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Elle passait des heures à regarder l'eau et à voir si elle voyait une voile au loin. Les seuls navires qu'elle avait vu se trouvaient au port et c'était en gros toujours les mêmes ...

Ce qu'elle voulait, c'était de sentir l'ivresse des vagues sous la coque, le roulis ou encore entendre le craquement du bois dans la tempête ... Oh elle n'avait pas peur, elle la fibre marine des Irlandais. Son père n'était peut-être marin, mais son grand-père et le père de celui-ci l'était. C'était de famille et elle ne dérogeait pas ...

Les roulottes attendaient plus loin et il était temps de partir. Prochaine ville, Narbonne. Ils allaient commencer à s'éloigner de la côte, mais elle savait que là où ils allaient, elle serait près d'une plage et d'un port ...

Elle barbota encore un peu sur la plage puis elle rejoignit les roulottes et ses compagnons ... Sa nouvelle famille ...
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Louise_de_valmont

Louise l'avait cherchée depuis son arrivée. Elle l'avait trouvée facilement. L'odeur de la mer, le bruit des mouettes lui avaient indiqué le chemin.
La plage et surtout .... la mer, l'eau. Louise adorait nager. Elle se précipita sur le sable chaud, presque brulant. Elle s'arreta quelques secondes suffisantes à se mettre en haillons et courru jusqu'à pouvoir plonger dans la mer. Plus rien n'avait d'importance quand elle nageait. Elle prograssa aussi loin qu'elle le pu et sentant ses forces s'amoindrir elle regagna la plage plus lentement.
Une fois sur le sable elle s'allongea près de ses vêtements, laissant l'astre solaire les sécher elle et son haillon. Elle se mit à chantonner.

En mi la rousse que nest la for,
Que la rose est bele au point du jor!
Par mi cele arbroie
Cil oisellon s’envoisent
Et mainent grant baudor.
Quant j’oi la leur joie,
Pour riens ne m’i tendroie
D’amer bien par amors.

La pastore ert bele et avenant;
Ele a les euz verz, la bouche riant.
Benoet soit li mestre
Qui tele la fist nestre,
Bien est a mon talent.
Je m’assis a destre,
Si li dis: « Damoiselle,
Vostre amor vous demant. »

Ele me respont: « Sire champenois,
Par vostre folie ne m’avrois des mois,
Car je suis amie
Au filz dame Marie,
Robinet le cortois,
Qui me chauce et lie
Et si ne me let mie
Sanz biau chapiau d’orfrois. »

Quant vi que proiere ne m’i vaut noient,
Couchai la a terre tout maintenant,
Levai li le chainse,
Si vi la char si blanche,
Tant fui je plus ardant,
Fis li la folie.
El nel contredist mie,
Ainz le vout bonement.

Quand de la pastore oi fet mon talent,
Sus mon palefroi montai maintenant,
Et ele s’escrie:
« Au filz sainte Marie,
Chevalier, vos conmant;
Ne m’oublïez mie,
Car je sui vostre amie,
Mes revenez souvent. »

Puis, fatiguée par le voyage elle finit par s'endormir.
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La vie est un livre dont on est l'auteur. On dispose de trop peu de parchemin pour écrire des horreurs.

Zolena

Le soleil plongeait dans la méditerranée quand Zolena parvint à la plage. Elle poussait devant elle une brouette et chantait à tue tête. Cette soirée elle la préparait depuis le début de l’été, cette fois rien ni personne ne l’empêcherait de manger sa dorade.
Tout d’abord trouver un endroit calme. Pas très compliqué vu qu’il n’y avait personne sur la plage. Ensuite faire du feu. Elle commença par délimiter un âtre avec des pierres et y disposa le bois sec qu’elle avait amené dans sa brouette. Elle fouilla dans sa besace et en sortit son briquet ainsi que de l’amadou. Elle frotta un silex sur sa pierre à feu jusqu’à produire des étincelles. Elle n’était pas vraiment douée et dût s’y reprendre à plusieurs fois avant de parvenir à enflammer l’amadou puis les branchettes et enfin les grosses bûches fendues. Cela fait, elle recommença car il lui fallait un feu pour cuire et l’autre pour y voir quelque chose.
Elle savoura un instant le bonheur de voir son feu grandir. Quand elle se fut lassée elle alla chercher une branche de bois flotté pour lui servir de siège. De là elle regarda le soleil se coucher derrière l’horizon, c’était un spectacle magnifique.
Petit à petit, la lumière de l’astre solaire fut remplacée par celle plus modeste de ses feux. Elle resta un moment à les écouter chanter, n’ayant rien envie de faire sinon profiter de cette instant de plénitude. Il ne lui fallait pas grand-chose pour être heureuse, une dorade, un feu, la mer…Elle avait largement le temps de prendre un bain.
Après avoir vérifié une dernière fois qu’elle était bien seule, Elle ôta ses vêtements et courut vers la mer en tenue d’Eve. L’eau était froide mais elle préféra ne pas s’attarder nue sur la plage.

Ce bain lui fit un bien fou cependant il n’y avait pas encore assez de braises pour faire cuire quoique ce soit. Elle mit à profit le temps qu’elle avait devant elle pour, d’abord démêler ses cheveux et ensuite fabriquer de quoi poser sa grille. Miam elle allait se régaler, l’eau lui montait déjà à la bouche.
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Axelius

Axel regarda sa 'tite Lun se redresser d'un coup et se mettre à prier. Elle voulait un déluge...à croire qu'elle lisait en lui comme dans un livre ouvert. En même temps cela ne le surprenait pas trop, ils se comprenaient si bien.

Elle revint se blottir dans ses bras.

Hey!!... je veux pas que nos vêtements sèchent trop vite sèchent trop vite mais un déluge quand même!!

Il se mit à rire et la regarda avec amour

On ne pourra plus rester sur la plage s'il pleut à verse... et puis... même si nos vêtements sont secs, on n'est pas obligés de les remettre hein. Enfin maintenant le sort est jeté on va voir si ton god est obéissant.

Axel jeta un coup d'oeil vers le ciel et pas un nuage ne pointait à l'horizon...Il se détendit un peu et la serra contre lui. Il défit la serviette qui l'habillait et l'embrassa fougueusement.

Lunatik

Lun souriait heureuse de ce nouveau bonheur qui s ' offrait à elle

Je crois qu ' on va passer la nuit ici, la pluie ne tombera pas, je n' ai pas assez prié ... Enfin tant mieux, on va être bien, et pouvoir profiter l ' un de l' autre sans retenue...

Elle alla dans la charrette chercher sa couverture qu ' elle étala sur le sable , fît un lit douillet, s' y installa, n' oubliant pas la bouteille dérobée la veille , elle lui ouvrit ses bras pour l' accueillir, elle le regardait les yeux remplis d' amour ...

Allez , viens vite dans les bras de " tite Lun " , viens me faire un calin ...

Lun le regarda venir vers elle le sourire aux lèvres , l' embrassa avec tendresse et .....

Le reste ne regarde qu' eux !!! Faut pas rêver .
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Evi

Elle avait cru arriver ici avec lui , mais c'est seule qu'elle foule d'un pas incertain les rues de Béziers , les longeant pour finalement se trouver sur le bord de plage , celle ci encore déserte s'offre a elle .
Evi enlève ses chausses , laissant ses pieds s'enfoncer dans le sable dont la fraicheur la saisie , , regardant l'horizon a perte de vue .
Une envie de crier la prend alors que elle ne s'autorisera que a le dire tout bas a peine un murmure..

Aris pourquoi tu a fait ca....

Elle s'avance jusqu'au bord , la ou les vaguelettes commence a arriver sur ses pieds .. marchant le long, relevant son jupon d'une main pour ne pas le mouiller.
Reflechissant au jours qui viennent de s'écouler , aux semaines surprenantes ..
Essayant de faire le vide en elle tout simplement...comptant les jours qui lui reste..

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Lunatik

Lun avait soudain une idée, si il le fallait , elle prierait son dieu !!!
Pour qu ' il fasse tomber des tonnes d ' eau .... Elle restait là enlacée tout contre lui, savourant chaque seconde ... soudain elle se releva, s' agenouilla et leva ses bras au ciel ...

OOOh my god, toi qui exhausse les prières et sait rendre le sourire aux gens, fait qu ' il pleuve, que la foudre s ' abatte sur la ville, que dévalent des trombes d 'eau ...
Je t' implore, je te supplie ...

Lun alla se blottir dans ses bras et lui sourit

Plus qu' à attendre, de voir si mes prières seront réalisées ...
De toute ici ou ailleurs, c 'est pareil pour moi, tant que tu es près de moi !!!
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Axelius

Lun s'occupait d' un Axel aux anges. Il se laissait faire profitant des attentions de sa belle. Il répondait avec tendresse et douceur à ses baisers appréciant ce petit gout salé sur ses lèvres.

Alors elle lui dit

Tu vois , tu es coincés ici avec moi, le temps que tout sèche !!!

Il rit avec elle espérant même une petite pluie pour que ses vêtements ne sèchent pas trop vite...

Ma 'tite Lun, je suis jamais coincé avec toi.

Il lui sourit

Ce qui m'ennuierai le plus c'est que nos vêtements sèchent trop vite. Quand je suis avec toi j'ai l'impression que chaque seconde dure une éternité et pourtant le temps passe trop vite! Je veux profiter de chaque instant à tes côtés.

Il approcha ses lèvres des siennes et embrassa tendrement sa chérie

Lunatik

Allongés sur le sable, les habits mouillés collaient à leur peau, Lun lui retira son bandana , le posa sur le sol, délaça sa chemise et lui enleva doucement, elle le regarda amoureusement, plongeant son regard dans le sien, s' approcha et l ' embrassa avec tendresse, elle la mit à sécher et prit la serviette pour l' essuyer avec sa douceur légendaire ... Ensuite , elle scruta les alentours et comme la plage était encore déserte , elle ôta en vitesse le sien et s ' enveloppa dans la serviette.
Elle lui sourit

Tu vois , tu es coincés ici avec moi, le temps que tout sèche !!!

Elle éclata de rire, contente de l ' avoir tout à elle, ele comptait bien profiter de cette opportunité
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Lunatik

Un levé de soleil sur la mer

Axel et Lun arrivèrent de beau matin sur la plage , il la réveilla par de tendres baisers , elle lui sourit répondant avec passion , elle se leva, passa la tête hors de la carriole et regarda le soleil se lever sur la mer d' un bleu azur ...
Elle lui prit la main et alla marcher sur le sable doré, entra ses pieds dans l ' eau encore froide, le regarda les yeux remplis de malice et jeta ses pieds dans l' eau pour l' éclabousser, éclatant de rire en le voyant tout crispé par l'eau froide ...
Lun lui passa ses bras autour du cou, l ' embrassa tendrement , lui murmurant de tendres mots ...

Décidément, je ne regrette pas ce voyage , je suis si heureuse , un décor de rêve , une homme magnifique ou plutôt l' inverse ou peut être même les deux.
Mais ne commence pas à te la péter hein !!!

Lun le regarda et éclata de rire

Tu sais bien que, je raconte plein de conneries !!!

Elle lui sourit tout en croisant ses doigts dans les siens alla vers le sable, pour profiter un peu de lui, se relaxer dans ses bras si accueillants ...

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Axelius

Au petit matin sur la plage de Béziers

Axel et Lun étaient au bord de l'eau main dans la main et elle se mit à l'éclabousser avec l'eau bien fraiche du matin. Axel n'était pas en reste et se mit à l'éclabousser.

Il rit avec elle tout en l'embrassant

Tu sais bien que je me la pète jamais, c'est juste la vérité.

Explose de rire.

Entremélant ses doigts aux siens, Axel alla s'allonger dans le sable avec sa 'tite Lun. Il la prit dans ses bras et se dit que la journée commençait vraiment bien..

Bon et maintenant on fait quoi que nos vêtements sont tout mouillés.

Il la la regarda dans les yeux et lui fit un sourire taquin...

Esperances

Elle se ballade le long de la plage , le fond de l'air est frais , au loin elle vois les éclairs se déchainer ,entend l'orage gronder , cela la fait sursauter , faut dire qu'il est tard , elle n'arrivait pas a dormir alors tout doucement elle a pris ses chausses , son châle et elle est sortie dans la nuit ....
Elle croise quelques amoureux et détourne les yeux mal a l’aise et aussi surtout un peu envieuse , elle se dirige vers les digues , avec prudence les franchis lentement a lumière que la lune veut bien lui offrir , elle se dirige vers la pointe.
La face la mer , elle s'assied , écoute le bruit que font les vagues qui viennent se briser contre les rochers , elle écoute la tempête faire rage , comme celle qui est en elle actuellement.
D'un coup la pluie commence fine , pour finir par grossir ....
Les larmes se mélanges aux gouttes s’écrasant sur son visage...

Elle aimerait trouver le courage de faire ....mais elle se sent lâche...
Partir , pour ne plus revenir...

Shekina

Depuis quelques jours, heure de son retour, une ballade sur la plage à sa levée.
Tout avait changé, illusion d'un Béziers périmé, désertique et problématique....
Grimace sur son visage opale, de grands yeux d'un noir aussi profond que les ténèbres, scrutant l'horizon lointain, soleil radieux et harmonieux qui se mélange a l'étendu d'un bleu liquide tirant au vert, tout ici, n'était que beauté.

Le visage au vent les cheveux "blondissime" virevoltant, paupières doucement se refermant, un sourire radieux flamboyant se dessinant, s'enivrant des odeurs saline, bien être du sable chaud caressant ses pieds nus.

Où était passé le Béziers amusé aux tavernes dites bondée ? Rire et boulasse en fin de soirée et au matin prêt à tout recommencer ?

Une pensée ici, une autre d'ailleurs, mélange compliqué quand on n'est ornée d'une parure de longues mèches blondes dorées, avec laquelle parfois on s'amuse..ou pas...

S'approchant de la merveille bleuté, relevant lentement ses lourds jupons de dentelles blancs, ondes de fraicheur, vagues se faisant caressantes le long de ses jambes, montant et descendant, oubliant peu a peu le constat si navrant.
Regard à droite, puis à gauche ...personnes dans les environs, osera t'elle faire un plongeon ?

J'y vais ? J'y vais pas....

Longue réflexion sur la question ! Oh puis non...

La blonde s'allonge sur un magnifique tapis de sable pailleté, rêvassant à d'autres "demain".

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Dwit

Dwit arriva avec son jeune fils sur cette merveilleuse plage. Il regarde la mer ainsi que ce beau paysage.
Dwit enleva ses bottes et releva son pantalons, puis enleva les bottines et le petit pantalon de son fils pour se baigner dans cette eau calme et fraiche.

Dwit accompagna son fils jusque au bord de l'eau, sur le chemin il vit le belle Shekina, et il lui fit un sourire charmeur.

Une foi au bord de l'eau, Dwit s'amusa avec son fils, ils s'éclaboussèrent d'eau, courait ou l'eau n'était pas plus haut que les genoux de son fils de deux ans.
Après 10 petites minutes, il prit son fils dans ses bras, puis il regarde Shekina faire Bronzette et lui fit un signe de venir se baigner avec eux et lui dit :

" Vient te baigner! L'eau est bonne! se serais bête que tu vienne pas, en plus le petit m'as dit qu'il voulait que tu vienne! Alors tu viens ou pas?!"

Aude2

La jeune titrée,se rendit a la plage,elle traversa des ruelles et vit enfin le sable et la mer Méditerranée qu'elle ne connaissait pas. Elle marcha sur le sable chaud et alla trempé son orteil droit dans l'eau encore froide....
Elle s'assis et se mit a réfléchir a son avenir

Aude se demanda si elle devait réellement postuler a la Chancelerie,elle commencerait par la Mairie et verrai ensuite

Elle se leva et marcha sur la plage,puis retourna a la ville
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Aude De Sigognac
Ambassadeur du Languedoc
Conseillère Municipale
Recrue de l'Ost
et
Petite Fille de Marino1 De Sigognac
Dame De Verlus

Louise

La mer, la mère, on lui en avait tant causé, du fin fond de sa campagne chaurienne... La voilà enfin, devant ses yeux émerveillés; explosive et étincelante sous la simple lune de juin.
Sur les dunes, les pieds dans le sable, Louise zieutait l'horizon, si plat, si calme... A quelques pas d'elle, la mer, dansante, avançait et reculait dans un rythme doux.

Le vent frappe son visage, court dans la sa tignasse puis poursuit sa route vers les terres.
L'eau vient chatouiller les orteils de la chaurienne qui remonte ses jupons pour laisser tremper ses petons dans l'eau fraîche. Elle sourit, seule, les pieds dans l'eau, elle rit, seule, sautillant entre les vagues.

Louise danse avec l'eau, au rythme battu par les flots, dans sa nébuleuse, elle joue comme elle ne l'avait plus fait depuis de longs mois.
Hors du temps, elle s'allonge sur la plage, les bras en croix et le sourire aux lèvres pour contempler la lune, un instant de plus.
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Chrego

Il le sentait, il le savait, il en était presque sûr: en prenant sa barque tout à l'heure, il avait comme un pressentiment de quelque chose. L'inspection de principe avant de mettre la chose à l'eau n'avait cependant rien révélé de flagrant. Mais quelque chose le turlupinait. Un curieux sentiment de quelque chose qui allait arriver, même si à ce moment là il ne savait exactement ce que ce serait. C'était pas le jour, des impressions comme on en a parfois, sans savoir les exprimer. Mais on les ressent, c'est tout. Ca ne s'explique pas.

Puis y'avait eu ce poisson qu'était venu le narguer alors qu'il en avait jusqu'aux genoux, et ça avait suffit à passer outre cette sensation bizarre; il avait alors agrippé les rames pour rejoindre le petit groupe qui était affairé au large. Au début tout semblait normal, et les conversations engagées avec les pêcheurs allaient bon train. Enfin... comme des discussions de pêcheur quoi:

ça mord?

- Bah, pas trop mal...

un moment de silence...

Fiou, pas pressés quand même, les poissons...

- Bah nan, mais c'est la pêche...

Autre silence...

Té, ça mordrait pas ta ligne, toi? On dirait qu'ça bouge...

Froncement de sourcil.

- Chhhuuuttttttt, tu vas l'faire partir!

Ok, ok...

Bref, tout allait bien. Tellement bien que le gars Chrego en était venu à piquer un p'tit roupillon, assis dans sa barque. Un temps plus tard - le soleil avait déjà bien avancé dans le ciel -, réveil en douceur, avec étirements règlementaires, déséquilibrant un petit peu l'embarcation de façon transitoire, mais rien de bien méchant. Mais une impression de relative fraîcheur aux pieds tout de même. Bizarre, de l'humidité. Petits regards autour de lui, interrogateurs:

Heuuu... les gars, y'a eu une averse, là?

Mouvements de tête des pêcheurs répondant par la négative.

Ah... Bizarre...

Ca semblait pas méchant, y'avait finalement qu'un peu d'humidité. Pas de quoi noyer un chat. donc reprise de la pêche. Peut-être le résultat de l'apaisement procuré par la sieste, en tout cas cette fois-ci ça mord...

Whoplaaaa, viens pas là mon gros, viens voir papa Chrego!

S'activant à ramener le poisson sans qu'il se décroche, Chrego bouge un peu plus dans la barque, provoquant quelques bruits ressemblant à des grincements de planches qui bougent en frottant l'une sur l'autre. Tout à son affaire de ferrage de poisson, Chrego ne remarque pas tout de suite qu'il y a un peu plus d'eau au fond. Ce n'est qu'au moment où le poisson est hissé dans l'embarcation qu'il réalise...

Uh oh... ça sent pas bon ça, holalalala nan... Bon bin les amis, c'est pas que j' m'ennuie, mais là je crois que je vais devoir y aller...

Sans décrocher le poisson de la ligne - pas le temps -, Chrego reprend les rames pour entamer le retour vers la berge, d'une cadence certes pas affolée mais tout de même un brin soutenue. Mais un mouvement de reprise de position dans l'embarcation pour corriger un léger penchant provoque quelque chose qui ressemble plus à un craquement qu'un grincement, et l'eau commence à s'engouffrer dans la barque de façon maintenant visible. Là, ça sent pas bon, pas bon du tout...

La plage n'était guère loin, mais Chrego doutait d'y arriver à sec, même avec toute la bonne volonté et l'énergie du monde.

12-05-2011 04:07 : Votre bateau prend l'eau de toutes parts, il faut le changer !

Le fond s'était enfoncé de près de la moitié de la hauteur de la barque sous le niveau de la mer, si bien que ramer ne faisait plus rien avancer. Le poisson pêché tout à l'heure se déplaçait maintenant en nageant dans la barque, toujours accroché à la ligne... Plus le moment de réfléchir; Chrego se jette à l'eau avant que l'embarcation ne coule complètement. A cet endroit ses pieds trouvent vite le fond qui descend en pente douce depuis la plage. Tirant la barque de sa main avec le poisson dedans, celle-ci continue de se remplir et le naufrage devient inévitable. Juste le temps de saisir la ligne avant que l'embarcation ne coule, et la fin du périple nautique le ramène sur la plage où il s'assoit un instant, trempé de la tête aux pieds. Le poisson, posé sur le sable, sautille près de lui, cette fois-ci définitivement hors de son élément. Chrego lui jette un regard froid.

Toi mon gaillard, faut pas rêver: j'en ai assez chié comme ça pour aller te chercher et surtout te ramener, alors compte pas sur moi pour te remettre à l'eau! Tu finiras sur le marché...

Se relevant, Chrego tient le poisson par la ligne d'une main et prend le chemin qui relie la plage au village en bougonnant après cette maudite barque. Trop longtemps qu'il l'avait prise, sans doute... Pas sûr qu'il en rachète une de si tôt.

Seraphie

Les yeux levés vers le ciel, la gamine restait allongée sans bouger. Peu à peu les muscles se détendaient. Par moment l'eau venait s'échouait sur son visage, mais Jeanne se contentait de fermer les yeux....et de les rouvrir lorsque la vague était passée.
Jeanne leva les yeux vers Nat et sourit....

J'ai réussi..t'as vu..J'ai réussi ..j'suis allongée et j'vis encore..J'suis même dans l'eau. dit elle d'une voix calme

Elle se concentra à nouveau à ne pas bouger, se détendit légèrement...ne réalisant pas que les mains de Nat ne la touchaient pratiquement plus.
Ses bras, jusqu'alors en croix, vinrent se poser de chaque côté de son corps.

Jeanne porta son attention sur toutes les parties de son corps, se laissant portée par les vagues. Un sourire tranquille s'afficha sur son minois

Natasha

J’ai vu gamine, j’ai vu… la main quitta totalement le corps de la blondinette, lentement, progressivement… chaque geste s’effectuait en harmonie avec le cadencement des vagues et bientôt, les jeunes femmes n’eurent plus aucun contact. Le sourire illuminait le visage apaisé de Jeanne qui, peu à peu, prenait confiance et la platine de l’observer un instant ; la prochaine leçon serait simplifiée puisque la peur affrontée et vaincue.

Un profond soupire d’aise s’échappa des lèvres carmines et la slave plongea dans l’eau claire ; quelques mouvements agiles la menèrent sous sa complice avant d’émerger près du flanc opposé… Satisfaction non feinte, accrue par le rayonnement du sourire :

T’as réussit Jeannette… et j’ai une nouvelle pour toi, t’es pas au fond !

Elle barbota un moment en riant, laissant Jeanne profiter de ses nouveaux acquis ; un coup d’œil au ciel puis à la plage avant de sonner le rappel… Fin du premier cours, vous pouvez reprendre une activité normale* :

Il est temps d’retrouver la terre ferme gamine… pas en pataugeant qu’on va pouvoir bouffer !

*merci aux guignols^^

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Natasha

Babillage de rigueur, exercices respiratoires et libération de la senestre ; la platine plongea la main engourdie dans l’eau fraiche et agita ses doigts afin d’y faire circuler le sang… et le dur apprentissage débuta. Première tentative avortée sitôt commencée ; la seconde, plus laborieuse, fut la bonne malgré quelques tensions des muscles :

Détends-toi gamine ou tu vas couler comme une pierre…*sourire taquin qui vint adoucir le visage* laisses la flotte épouser ton corps, essayes de n’faire qu’un avec l’élément… elle te porte … *lentement, la dextre se sépara du dos pour ne devenir qu’effleurement* ne luttes pas et savoures…
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Seraphie

Jeanne se répéta les paroles de la platine. J'creverai pas ici...Tu m' lâches pas...j't'fais confiance...tu m' tiens...Elle se disait cela en boucle..

La respiration redevient régulière et lente au fur et à mesure qu'elle se convainquait des paroles répétées.

Les bras en croix...j'sais faire...Jeannette joignit le geste à la parole, lâchant la main de Nat.

J'sens bien ta main.. j'm'pose dessus...et j' flotte..C'est aussi simple que cela ...C'est aussi simple, rien d'compliqué...Et tu vas m' tenir...j'crains rien....et j'vais pas mourir ici ...

Après quelques instants de réfléxion

Alors j'suis prête.

Jeanne se pencha, levant les yeux vers le ciel, souleva un pied, s'appuyant sur l'main de Nat, sent qu'elle commence à perdre l'équilibre...se redresse aussitôt.

La gamine poussa un grand soupir....

j' vais l' refaire

La jeannette recommença les mêmes gestes lentement , essayant de laisser un pied sur le sol jusqu'au dernier moment. Regard vers Nat, vérifiant qu'elle restait bien concentrée sur c'qu'elle faisait.
Leva le pied et se retrouva en position allongée sur l'eau. Elle aurait voulu s'relever aussi vite mais se retient....Elle se dit que Nat la rattraperait si jamais elle allait au fonds.

Tu m' lâches pas là

La gamine sentait l'eau clapotait autour d'elle, son corps suivait l'ondulation des vagues, elle ne bougeait plus , respirant le plus calmement possible. Elle esquissa un sourire...

J'suis allongée sur l'eau....J'en r'viens pas...

Seraphie

J'm'allonge ? là dans l'eau ? La jeannette scruta l'eau, puis releva les yeux vers Nat...mais j'vais..j'vais ...j'vais aller au fonds d'l'eau..

Jeannette sentit ses jambes flageoler, la panique la gagnait, elle baissa les yeux pour regarder la surface de l'eau...Une bouffée d'angoisse l'envahit, les larmes lui montaient aux yeux, ses joues s'empourprèrent, sa respiration s'accéléra, ses mains se mirent à trembler de façon incontrolée....S'allonger...elle devait s'allonger..

Jeanne prit la main de Nat et la serra, lui broya plutôt. Elle ferma les yeux quelques instants.Puis d'une voix incertaine dit :

Tu m' tiens hein..tu m' lâches pas...j'sais pas nager, tu l' sais..J'veux pas mourir là ...Tu vas toujours m' tenir ?Tu vas pas m' lâcher ? ...

J't'fais confiance mais j'dois l'savoir, j'dois être sûre. Tu m' lâches pas Hein !!!

Natasha

Elle se doutait que ça ne serait pas une mince affaire, et pour cause… l’anxiété se muait en panique et la gamine était au bord des larmes ; profonde inspiration de la platine afin de garder son calme. Pas d’ironie, pas de sarcasmes au risque de voir l’adolescente foutre le camp et, curieusement, la slave savait qu’elle irait plus vite que son ombre à fuir l’immensité marine. De fait, elle écouta le flot de paroles sans broncher et supporta sagement la pression sur sa main libre ; son naturel lui hurlait de noyer l’impudente mais sa raison –si, si, ça existe- l’emporta et la sirène de répondre d’une voix posée :

Niet, j’te lâche pas… tu sens ma main là ? *appuya la dextre contre la colonne de Jeanne* ben tu t’poses dessus et tu fais c’que j’te dis… bras en croix, t’peux écarter un peu les jambes si ça t’rassures et tu t’laisses porter par la flotte.

Elle hocha la tête afin d’appuyer ses dires, jeta un rapide coup d’œil vers la plage puis reporta son attention sur l’apprentie nageuse :

J’te tiens Jeanne, tu crèveras pas ici !
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Natasha

Hésitation de la gamine qui reculait… erf ! Courage Jeannette, affrontes ta peur… Le regard de la blonde restait scellé au minois juvénile ; encourageantes prunelles ambrées qui scintillaient de sérénité comme le corps oscillait au rythme des flots. Enfin, la blondinette se décida ; orgueilleuse adolescente qui s’avançait lentement dans les ondes capricieuses.
La slave se félicita d’être en méditerranée, l’océan plus agité n’aurait qu’ajouté à l’appréhension ambiante… encore un effort gamine, tu y es presque !... les lèvres demeuraient silencieuses, craignant sans doute de briser la fragile volonté ; et le duo blondin d’être de nouveau réunit…

La platine ne releva pas les paroles entendues, consciente que sa cadette se rassurait comme elle pouvait ; les coups d’œil répétés sur l’étendue bleue ne lui avaient pas échappé et Nat’ imaginait aisément les pensées de la crédule. Elle se contenta d’acquiescer d’un hochement de tête, assura ses appuis et posa la paume de la dextre dans le dos de Jeanne :

Bien… tu m’fais confiance et tu t’allonges… *son sourire contrasta avec l’anxiété qu’affichait la gamine* tu t’débats pas, tu mets les bras en croix et tu t’poses simplement sur la flotte ! j’te tiens d’façon…

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Seraphie

Je t'attends..ouais facile à dire ...encore faut il aller jusque là bas..Nan mais ...Elle s'rend compte de c'que c'est..Elle doit être complétement inconsciente la platine pour lui d'mander d'aller la rejoindre. La gamine fit une moue, et recula même de quelques pas, ne gardant plus aucun contact avec l'eau.

Elle observa Nat, et constata qu'elle n's'faisait pas bouffer par des monstrueuses bestioles et qu'elle avait même l'air d'apprécier la flotte. Il semblait qu'il ne lui arrivait rien, tout semblait tranquille..aucun danger apparent à l'horizon ..Puis Nat lui d'manderai pas d'la rejoindre si y avait danger...

Jeanne dirigea son regard vers les vagues, puis vers Nat. Elle s'répétait sans cesse " j'suis pas une mauviette, j'suis pas une mauviette, j'suis pas une mauviette..". Elle prit une profonde inspiration..

Quand il faut y aller, faut y aller....

Elle se décida, faisant le vide dans son esprit, oubliant toutes les questions inquiétudes..Ne penser qu'à avancer.

Un pas devant l'autre, elle se mit à marcher. L'eau lui arrivait jusqu'aux chevilles mais Jeannette continua. Si elle s'arrêtait, elle savait qu'elle ne redémarrerai pas. L'eau lui arriva rapidement à mi-mollet..... toujours pas de trace de poissons géants..Un regard vers Nat..la distance qui les séparaient diminuait un peu à la fois..

L'eau atteignit le niveau des genoux...un regard en arrière afin de mesurer la distance qui la séparait du bord, on ne sait jamais, s'assurer d'une possible fuite..

Encore quelques pas, et elle rejoint Nat. Un soupir de soulagement lorsqu'elle la rejoignit...au moins, elle n'était plus toute seule là...juste au cas où..
Elle releva le visage vers elle

J'suis là haussement des épaules...fallait juste que j'arrive..

Natasha

Sensation de bien être… le corps porté par l’onde sans difficulté aucune, silhouette vaporeuse bercée par les vagues légères ; le soleil apparaissait à peine et la fraicheur de la nuit persistait dans les flots qui ne manqueraient pas de s’adoucir au fil de la journée… Ainsi lovée dans le monde du silence, la platine se sentait plus vivante que jamais…

Jeanne.. a écrit:

NAT.......T'es où? NAT...NAT.....NAT....

Retour brutal à la réalité et la sirène d’apparaitre en reprenant son souffle ; immergée jusqu’à la taille, elle essora la longue chevelure alourdie par l’eau et la tressa rapidement. Un large sourire s’afficha, éclairant le minois comme elle observait la gamine tout au bord ; les vaguelettes venaient mourir à ses pieds, léchant sa peau d’une ultime arrogance et repartaient plus fragiles :

J’suis là Jeannette… t’affoles pas ! *et de l’inviter à la rejoindre d’un mouvement de tête* je t’attends ma belle.
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Seraphie

Encore endormie, la gamine ouvrit un œil, se demandant bien pourquoi on v'nait la réveiller.Grand soupir ...Nan mais on aurait pu la laisser dormir plus longtemps...Elle se leva sans grande conviction..

Elle se prépara rapidement et suivit Nat tout en maugréant. Elle cherchait désespérément une excuse valable pour reculer l'échéance. Mais peut être était ce son cerveau qui n'était pas complétement réveillé, ou alors le stress qui la paralysait....mais rien aucune idée lumineuse n'apparaissait.Décevant, désespérant...

Elle se voyait approcher de l'eau...et l'angoisse grandissait au fur et à mesure que ses pas l'amenaient vers le bord de l'étendue d'eau.

Elle n'avait jamais été aussi prêt de l'eau et la mer lui semblait encore plus dangereuse, comme voulant la happer. Jeanne vit Nat disparaitre dans les flots, la paniquant davantage.

Elle déposa soigneusement ses affaires sur le sable et s'approcha encore un peu plus de l'eau. Ses yeux scrutaient l'eau , vérifiant qu'aucune bestiole ne s'y trouvait.
Enfin, une vague atteignit ses pieds. Jeanne eut un mouvement de recul et se força à déposer son pied sur le sable mouillé. Une seconde vague vint recouvrir ses pieds. Cette fois ci , Jeanne ne les retira pas et poussa un grand soupir. L'eau était fraiche mais agréable.

La vague ne l'emmenait pas au loin, un faible sourire s'afficha sur le visage de la gamine. Elle avait déjà réussi à y mettre les pieds. et elle était toujours là.
Elle releva la tête cherchant Nat du regard....

Les pieds dans l'eau, elle se mit à imaginer que la mer avait embarqué la platine..

NAT.......T'es où? NAT...NAT.....NAT....

Seraphie

La gamine poussa un grand soupir et dirigea à nouveau son regard vers le large.

Demain ? ....d'accord..

J'vais apprendre à nager, d'main. Jeannette esquissa un sourire timide. Ses yeux se dirigèrent vers la grande étendue d'eau. La tête posée sur les genoux, les bras autour des jambes, elle observait la mer. Là, elle ne pouvait plus reculer, et si elle venait à refuser, ce serait tout son honneur et sa fierté qui seraient remis en cause. Elle ne reculerait pas...elle irait.

Elle se tourna vers Nat et l'observa un moment. Elle ouvrit la bouche...mais la referma aussi vite. A un moment, elle fut tentée de lui dire qu'elle avait la trouille, mais une trouille immense qui la tarabiscotait depuis des jours...mais non...elle ne dit rien.

Demain, j'srai prête ajouta t elle en essayant de s'en convaincre elle même.

Natasha

Et la nuit passa… et vous ne saurez pas comment !!
A l’aube, le poison se prépara avant d’aller secouer la gamine ; les autres étaient endormis ou déjà partis et les blondes n’en seraient que plus tranquilles pour l’apprentissage. Une large étoffe couvrait la silhouette tandis qu’elle marchait doucement sur la plage ; un coup d’œil dans son dos afin de s’assurer que Jeanne suivait bien et le linge de choir sur le sable, dévoilant le corps blondin :

Traines pas gamine, on a pas toute la vie !

Et la platine de disparaitre dans les flots l’espace d’un instant.
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Natasha

La blondinette babillant ne parut jamais si fébrile à la platine ; cette dernière l’écoutait jacasser en l’observant… chaque crispation du visage, chaque tressaillement du corps étaient analysés par l’ainée. Quand les prunelles se croisèrent, c’est une fillette interrogative et craintive qui se dévoilait inconsciemment… la peur de l’inconnu !
Le sourire étira les lèvres de la slave comme le flot de questions se déversait :

Tsss, respires gamine ! Dans l’ordre… c’est très grand, ouais j’nage dedans, nan j’ai pas peur d’me perdre, si l’courant d’vient trop fort, ben j’me rapproche du bord *courte pause afin de scruter l’horizon* pour flotter, suffit d’se laisser porter et la température de l’eau dépend de l’extérieur… ‘fin tu verras bien, ouais on tient debout tant qu’on s’éloigne pas et j’peux pas respirer sous l’eau, j’suis pas un poiscaille !*rit franchement en y pensant et de reprendre* Mhm, les bestioles s’bouffent sur’ment entre elles hein, comment elles vivent, j’en sais rien et je m’en tape… d’façon, on en voit rarement, elles ont la trouille !

L’oxygénée éluda sciemment la question concernant les disparitions et se leva avant de finir sa longue tirade :

C’est un vrai bonheur Jeannette, mais faut d’jà que t’apprenne à nager… on attaquera d’main matin après une bonne nuit d’sommeil.
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Seraphie

Jeanne haussa les épaules. Geste si familier chez elle mais qui trahissait une gêne, un sentiment de mal être, ou tout simplement pour éviter de répondre.Son regard se perdit vers le large pendant quelques minutes. Pas un mot ne sortit de sa bouche puis, la gamine poussa un grand soupir.

J'pensais pas qu'c'était si grand..J'vois même pas l' bout...Et....même là, ça continue rajouta t elle en montrant les côtés..D'l'eau y en a partout...partout....partout....partout...C'est tellement grand..C'est immense

Puis plus bas

J'comprends qu'des bêtes monstrueuses y vivent..

La gamine posa les yeux sur Nat.Les questions se bousculaient dans sa caboche d'blonde, et elle ne savait par où commencer. Nat lui avait promis de lui apprendre à nager, Jeanne savait lui en était reconnaissante mais là devant l'immensité de la Méditerranée, elle en avait les genoux qui flageolaient.

et toi tu nages là dedans? t'as pas peur d't'perdre? et y a pas d'bêtes? et les vagues, elles t'emmènent pas là bas ....loin? et tu fais comment pour revenir ? et tu flottes comment ? l'eau elle est froide ou chaude? et tu tiens debout dans l'eau ? comment tu fais pour respirer quand t'es dans l'eau? et les bêtes ? elles vivent comment ? elles mangent quoi ?Y a des gens qui ont disparues ?

Elle ouvrit la bouche pour déverser son lot de questions mais dirigea son regard à nouveau vers la mer.

J'savais pas qu'c'était si grand.....si j'avais su qu' c'était si grand...

Puis d'une petite voix

T'es sûre que c'est amusant ?

Seraphie

Jeanne venait d'arriver avec la meute à Béziers. La mer, elle ne l'avait jamais vu..Depuis qu'elle voyageait elle réclamait, ou plutôt elle emmerdait son monde avec ça..

J'veux voir la mer ? On arrive quand ? La mer, c'est grand ? C'est vrai qu'il y a des bêtes monstrueuses dedans ? T'as d'jà été dans la mer ? C'est comment ? T'as encore tous tes orteils ? T'sais nager ? Tu m'apprendras ?

Mais plus on s'rapprochait d'la mer, et moins elle en parlait. C'est qu'elle ne voulait pas l'avouer, mais la rencontre avec la grande étendue d'eau l'angoissait. Mais les voilà arrivés, et la première chose que Jeanne pensa était que tout ce qu'on avait raconté sur la mer et ses bêtes monstrueuses ne pouvaient qu'être vrai..

Elle n'avait pas assez de ses yeux pour voir cette immensité d'eau. Et elle avait dit qu'elle irait y mettre les pieds....là elle se voyait mal le faire, une peur insidieuse la pénétrait...

Elle regarda ses compagnons de route . Pour eux, apparemment aucune crainte..Elle soupira profondément, et vint s'assoir loin de l'eau, observant les mouvements de la mer.

Ca turbinait dans sa caboche...Elle avait dit qu'elle irait, alors elle irait..Fallait juste qu'elle y aille....

Natasha

La platine donnait rarement sa parole mais quand elle le faisait, nul doute qu’elle l’honorait. Ainsi, une promesse faite à la gamine, quelques semaines… erf, mois serait plus juste…plus tôt et la petite troupe d’approcher de Béziers. Jeannette voulait voir la mer, Jeannette frisait l’obsession, Jeannette leur rabattait les oreilles d’interrogations-élucubrations-divagations en tout genre ; son appréhension fantasque décida la slave quant à la destination… la méditerranée plutôt que l’atlantique, question de bon sens et de climat bien sur !

De nature volubile, la blondinette se fit plus discrète à mesure des lieues parcourues, ce qui n’avait pas échappé à la meneuse… cette dernière ne releva pas la modification de comportement, trop heureuse de jouir d’un peu de calme ; c’est qu’elle jacasse quand elle s’y met hein ! Il était entendu de monter le bivouac sur la plage et, sitôt arrivé, le groupe s’installa en amont tandis que la teigneuse s’isolait ; Nat’ l’observa un instant avant de la rejoindre. Elle s’assit près de la benjamine et contempla les flots ondulants, le sable glissant entre ses doigts…

Alors ? t’en pense quoi ?
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Kasandra

Kasandra est d'humeur un peu taciturne, elle se promène sans but et se retrouve sur la plage par hasard ou peut-être pas. Elle longe le rivage, les pieds dans l'eau et ses bottes dans les mains. Perdue dans ses pensées, toutes ses questions qui se bousculent à nouveau dans son esprit, elle se remet en question. Que fait-elle, que ne fait-elle pas, que devrait-elle faire. Elle décide de s'arrêter et s'asseoit sur la plage, face à la mer. Elle scrute les vagues et les remouds de la mer. Elle reste là sans parler, soupirant doucement, son esprit en ébullition.
Puis elle se couche sur le sable et regarde le ciel gris.
Après deux heures de silence, elle se relève doucement, enfile ses belles bottes bleues et repart en ville pour travailler, gardant avec elles ses questions sans réponses et en se forçant à occulter ses pensées assombries pour afficher un vague sourire.

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Isabeau34

La mer... Isabeau marchait seule, le long de l'eau, les vagues qui déferlaient les unes après les autres dans un mouvement qui semblait à l'infini, l'éclaboussant jusqu'aux chevilles dans un petit clipoti... Elle sentait une légère brise sur son visage, étrangement fraîche pour la saison, mais qu'importe... Elle avance, légère, laissant s'envoler derrière elle tous ces soucis, toutes ses préoccupations quotidiennes, la mort de son amie Malvina, la politique, l'économie... Elle réfléchissait sur elle-même, sur sa vie, se posait des questions... Mais pourquoi, pourquoi était-elle aussi solitaire? Ou plutôt, pourquoi avait-elle constamment peur des autres, pourquoi était-elle paralysée à chaque fois que quelqu'un lui adressait la parole? Elle ne savait jamais quoi dire, se trouvait maladroite, jugeait ses propos aussi peu intéressants que possible... Bref, elle se sentait toujours à l'écart, comme si ce monde ne lui appartenait pas. Mais d'où lui venait ce manque cruel de confiance en elle, ce perpétuel doute? Isabeau avançait sans un mot, les yeux rivés sur l'horizon, son horizon. Mais quel était-il?

Magaly

Le soleil était déjà bien au zénith, les rayons lui firent plisser les paupières, et c'est en trainant les pieds sur le sable mouvant, après avoir ôter ses bottes et bas, que les premières vaguelettes vinrent lui chatouiller les orteils, par cette douce après midi de printemps, elle respira l'air à plein poumons, enfin elle essaya ... car son nez était encore encombré de la veille, son mal de tête ne passait pas, sa nuque était tendue, elle frissonna et remonta sa cape sur ses épaules, n'osant s'approcher plus de la mer silencieuse et transparente, sa tête était vide ... elle se posa sur l'une des dunes un peu plus haut, bien au sec pour contempler le spectacle de la nature, entendant les cris des mouettes, les premiers oiseaux marins, sans doute à la recherche de petits poissons pour le déjeuner ou de brindilles pour leur nid futur... faut dire qu' hier soir une certaine rencontre inattendue certes et fruit du hasard, avait plombé sa soirée, ce qui la plongea dans un profond mutisme depuis larmes, chagrin ... et souvenirs avaient remontés à la surface, la blondinette s'effaça pour reprendre sa route, elles promirent de s'écrire ... un vent frais la réveilla quelque peu de sa torpeur, et machinalement elle sortit une petite bouteille de verre de sa besace, puis son Vélin, et s'appliqua sur sa plume pour écrire ces quelques mots :

" Ma Chipie, je voudrais trouver les mots, pour décrire toutes mes impressions qui m'envahissent ... le vide que tu as laissé derrière moi, le silence pesant qui m'enveloppe quand je rentre dans chaque taverne dont ta présence n'est plus, le mot
" animation " ... n'a plus aucun sens pour moi ... tu en étais la définition même ... le mot " projet " a été bannit de mon vocabulaire ... le soir je m'endors sur mes larmes, je sais bien il ne faut pas ... je dois avancer ... mais tu me manques ... je te garde dans mes souvenirs les plus heureux et dans mon coeur ... à jamais Mon Aby ... parce qu'il faut que j'avance ... "

... terminant son écrit, elle enroula le parchemin et le glissa dans la bouteille, la refermant d'un bouchon de liège ...se levant les idées plus claires à présent, elle fit glisser la bouteille sur les vagues arrivantes ... la regardant s'éloigner, ballottée par les flots, avant de l'engloutir d'un dernier remous ... rebroussant chemin sur la plage, elle se sentait plus calme, détendue, plus sereine...

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Malvina

Malvina, qui avait enfin trouvé le chemin de la plage, arriva en haut d'une dune et s'arrêta net. Le spectacle qui s'offrait à elle est magnifique, jamais elle n'avait vu une telle merveille.

Il faisait très beau, un ciel d'un bleu parfait, mais le vent etait encore glacial et lui fouettait le visage. Elle etait glacé mais s'etait pas grave, le spectacle en valait le coup.

La mer etait splendide. Elle se décida à descendre la bute doucement mais finis en bas en courant tellement la pente etait raide. Elle ne put s'empêcher de rire.

Elle fut étonner de ne voir personne mais cela ne la dérangea pas plus. Elle s'assit sur le sable et contempla avec les yeux grand ouvert, cette mer qu'elle avait tant voulu voir depuis qu'elle etait petite.

Blues44

Blues décida de retourner sur la plage...Quand il arriva, il ne vit personne, sourit en se disant que ce n'était pas plus mal. Il grimpa en haut d'une dune puis redescendit pour contempler la mer parce temps splendide...Il s'allongea en regardant le ciel bercer par le bruit des vagues...

Suzie

Suzie était arrivée la veille au matin, elle avait fait le tour du village, rencontré quelques personnes en taverne et ce matin, profitant d'un doux rayon de soleil et que la ville était encore un peu endormie elle fit vite sa toilette, prit un morceau de pain et se dirigea vers le marché où elle acheta deux beaux fruits puis se dirigea vers la plage.

Arrivée sur le sable fin, à l'abri d'une dune elle s'asseya et cala son dos contre cette dernière, croquant à pleines dents dans les pêches bien juteuses, regardant l'océan.

Puis entourant ses genoux de ses bras elle regarda les vagues et laissa son esprit vagabonder... elle était bien...

Après un petit moment elle se releva et rentra faire ses bagages, demain le départ, elle aura rencontré quelques personnes bien sympathiques qu'elle n'oubliera pas mais la ville est beaucoup trop calme pour elle.

Aldebaran2

La mer ........

C'est la première fois qu'elle voit la mer...
Ses yeux n'en reviennent pas...
Elle reste figée un instant...
Que d'eau !!!!

Et la plage...
Cette étendue de sable l'impressionne.
Elle commence à sauter, à battre des mains,
Puis se met à courir en riant comme une petite fille.

Arrivée au bord de l'eau elle hésite puis se déchausse.
Elle se défait de sa hache.
Après un coup d'oeil aux alentours et ne voyant personne elle se débarrasse de ses bas .
En riant elle s'approche de l'eau qui l'invite de son clapotis.
Elle avance un peu et est surprise de la fraîcheur de l'eau mais ne peut s'empêcher de sauter.
On ne lui avait pas menti, c'est beau la mer.....
Elle rit aux éclats, s'aventure un peu plus loin jusqu'à avoir de l'eau à mi-mollets.
Elle ferme les yeux afin de mieux s'imprégner de cet instant.
Elle respire intensément, elle aime cette odeur.

Alde retourne ramasser ses affaires et marche le long de l'eau.
Ses pensées vont loin, très loin, dans son ailleurs à elle et les vagues lèchent ses pieds nus.........
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Wgaby

wgaby avait suivit son amour malgrès lui...elle étai partie en direction de la plage...seule....contre le vent et le froid.
Elle étai là...sur ce rocher...regardant au loin.Le vent s'engouffrai dans son manteau et ses cheveux.
Ils s'aiment! c'est un fait...Mais il y a aussi de moments forts et de petites querelles de couples...Mais c'est pour mieux se retrouver ensuite.
Il s'avança lentement derrière elle, sans faire de bruit, et passant ses bras atour de son cou, il la fit sursauter.
Il la rassura avec ses mains lui caressant la joue, et la fit se retourner et l'embrassa.

"_Allez...viens mon amour...nous allons prendre froid.On va se réchauffer devant une bonne tysanne bien chaude.Je t'aime...ne l'oublie jamais!"

Elle esquissa un sourire, et ils se mirent en route pour rentrer chez eux ,la tête posée contre son épaule, il l'enlassa encore plus fort .

Esperances

plongés dans ses pensées , elle regarde le plus loin qu'elle peux , quand des bras la saisisse, la tiennent par la taille tendrement , et qu'une voix qu'elle reconnais toujours , une voix qui sais être réconfortante

Citation:

_Allez...viens mon amour...nous allons prendre froid.On va se réchauffer devant une bonne tysanne bien chaude.Je t'aime...ne l'oublie jamais!"

Je l'oublie pas , mais tout s'écroule j'ai l'impression , meme Tirli qui donne plus signe de vie , qui s'enferme , , quitte sa ville pour retourner en Lorraine , et j'ai l'impression qu'il y a que moi qui mesure le danger qui se trame...

Elle se blotti dans ces bras et commence a avancer , l'esprit préoccupé

Esperances

Elle c'est levée tôt ce matin , la nuit fut longue , elle en ressent la fatigue , des cernes sont apparu sous ses yeux , son regard depuis la veille est voilé de tristesse.
Elle marche un peu au hasard , l'air frais lui mordant les joues , elle se dirige vers le bord de mer , elle grimpe sur les rochers , contemplant la mer .

Ce mal-être , elle ne l'avait plus ressentie , cette impression que son cœur viens d'être mis a mal non plus .....
Elle sais bien qu' ils leurs en faut plus que ca pour les séparer , mais les querelles , elle ne les supporte pas quand cela les concerne tout deux....
Elle reste la sur cette plage attendant que les sanglots se tarissent tout seuls , ne trouvant plus la force d'agir.

--............

Il aimait s'atarder les soirs de temps clair sur le bord de la plage. Discret et silencieux. Il pouvait rester là des heures, allongé à regarder le ciel étoilé, bercé par le bruit des vagues. La plage était un lieu paisible le soir. Elle était très peu fréquentée. Hormis de temps à autre, certains jours, un couple d'amoureux qui venait se retrouver seul en ces lieux de plénitude.

Ce soir là, le calme fut brisé par des cris où autre, il ne savait trop. Il resta dans son coin, paisible, atendant que le calme revienne. Ainsi fait, il se leva alors, et silencieux, il prit la direction de la ville, jetant un dernier coup d'oeil sur le ciel étoilé.

En chemin, il vit une ombre, longiligne, sur le sable. Il se raprocha dans le plus grand silence et y trouva une jeune femme étendue. Une odeur de bière se dégageait de la jeune femme. Intimidé, il ne voulut la déranger. Il détacha malgré tout sa cape et l'en recouvrit afin de la protéger un peu du froid. Il déposa alors à ses mains une rose blanche, qu'il portait parfois en bandoulière. Peut-etre celà lui donnera un peu de réconfort à son réveil. Un petit sourire, il se releva et continua son chemin, disparaissant dans la nuit noire.

Zolena

C'est le froid qui la réveilla. Elle ouvrit les yeux, cligna deux ou trois fois. Le jour se levait à peine.
Elle porta la main à son front. La mer faisait beaucoup trop de bruit à son gout...heu la mer ? Elle n'était donc pas dans sa chambre ?
Elle devina qu'elle avait eu une soirée un peu arrosée la veille. Il fallait voir le bon coté des choses, avec tout ce qu'elle avait consommé le tavernier serait content.
Le froid aidant elle reprit peu à peu ses esprits et vit qu'elle avait sur le dos une cape qui n'était pas la sienne. Elle fronça les sourcils intriguée puis sourit. Surement une bonne âme qui était passée par là.
Quand elle se leva une rose blanche tomba à ses pieds. Elle la ramassa, de plus en plus intriguée, mais un grand sourire aux lèvres.
De bonne humeur, elle rentra chez elle avec l'intention de se préparer une bonne tisanne puis de se mettre au travail.
Elle aurait bien aimé savoir à qui elle devait rendre la cape, mais tant pis.
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Blues44

Blues revint de sa longue retraite et ne vit pas son ange depuis plusieurs semaines...alors il décida de s'isoler, ici, sur la plage...

Il marcha sur le sable doux puis s'arrêta, se laissant bercer pas le bruit des vagues en regardant le soleil se coucher...se demandant: "reviendra elle...?"

Il s'assit et versa une petite larmes en pensant à ce qu'il a du lui arriver: "et dire que nous sommes mariés depuis peu..." pensa t il, il soupira puis regarda le soleil avec le bercement des vagues...

Zolena

Vous êtes vous déjà promenés de nuit, sur la plage de Béziers ? Non ? On y voit de drôles de choses pourtant. ça passe le temps. Les soirs d'été des couples s'y enlacent tendrement ( beurk ), ou bien une troupe de brigand fait le point sur leur prochaine attaque.
Ce soir là, ni l'un ni l'autre. La plage était deserte jusqu'à ce qu'une jeune femme passablement éméchée ne survienne. Elle parlait très fort ( et toute seule ), et de plus elle tanguait. Si il y avait eu quelqun sur cette plage il aurait sentit une forte odeur de bière émanant autour de la jeune femme.
Elle faisait peine à voir, ne sachant pas où elle allait.

SANTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!

criait elle comme si elle était encore en taverne.
Soudain, une branche qu'elle n'avait pas vu lui faisant obstacle, elle s'étalla de tout son long.
Ses tentatives pour se relever étaient pathétiques. Elle s'y repris à plusieurs fois, cracha du sable.
Mais l'effort était trop dure. Elle s'affalla de tout son long comme un sac de blé et un bruyant : zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz donna la preuve qu'elle s'était endormie.

Elle va passer la nuit sur le sable. Oui, c'est surement froid. Tant pis pour elle, elle n'avait qu'à pas boire comme une ivrogne. Seule en plus.
Peut être que demain lui apportera une bonne surprise,, peut être qu'elle s'éveillera pas le pouvoir magique d'un baiser de prince charmant.
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Tirlititi

Elle profite de la clémence du temps pour se balader malgré tout sur la plage.

Elle sent le froid s'engouffrer sous sa cape malgré qu'elle l'ai relevée jusqu'en haut du nez .
Ainsi l'on ne peux apercevoir que deux yeux bruns bordée de long cils , une capuche dissimulant sa chevelure dont s'échappe quelques mèches brune

Elle avance le regard baissé sur ces chausses , réfléchissant combien le Béziers d'antan a changé , le regrettant , trouvant cela dommage .
Elle a fait le tour des endroits quelle a tant aimée , elle est passée devant sa maison , s'arrêtant devant un court instant en voyant des enfant y jouer .
Tirli a regardée la bataille de boule neiges se dérouler , les éclats de rire , la voir continuer de vivre , lui a fait plaisir c'est ce qu'ils voulaient tant tout deux.
Elle les a regardés un moment puis est repartie , à continuer sa balade qui devais la mener ici .

Elle regarde les empreintes laissés dans le sable , les suit , les voyant si rapprochés imagine deux amoureux enlacés , marchant tendrement , s'arrêtant pour se donner un tendre baiser.
Elle sourit quand elle voit au loin un couple; s'éloigne pour ne pas les déranger.

elle se dirige un peu plus loin , regardant les mouettes tourner et virevolter au dessus de l'océan ,elle s'installe sur le sable , remontant les genoux et posant son menton dessus .

Son regard se perd dans l'horizon sans fin , se demandant ce qu'il peut y avoir a l'autre bout , une main s'enfonçant dans le sable pour en retirer quelque grains de sable quelle laisse échapper entre ces doigts....

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Le cavlier noir, incarné par Matteo31

Une nuit obscur, un homme vêtu de noir, un regard assombrit marche le long des rives sans destination précise, mais avance dans cette pénombre interminable.
Il s'oriente vers la mer et s'assoit près d'elle en regardant les étoiles les larmes aux yeux.
Se laisse sombrer par ses pensées et une musique fredonnant en se tenant le lobe de l'oreille.

http://www.youtube.com/watch?v=ugA0r7OXET0

Se relève et disparait dans les tenèbres...

Mizar

Mizar arriva a la plage avec Elise, Mathéo et Yohan, profitant de la douceur du matin pour se promener avec ses enfants.
Il n'y avait pas grand monde de si tot matin, le calme y reignait avec comme seul son le doux bruit des vagues venant mourir sur le sable et, au loin le chant de quelque oiseaux et puis les derniers paroles de la journée d'une chouette
[i]

Shaena

Shaena marchait à genoux lentement vers le bord, elle préférait fermer les yeux, ses jambes tremblaient encore, elle ne savait pas quelle avait le vertige mais à ce moment la elle s'en moquait..

Lorsqu'elle cru quelle était enfin arrivée, elle se sentie tirée, enlevée, enfin pour elle, elle était etrain de tombée, dans un profond déséspoir, elle ouvrit les yeux et se retrouva dans les bras de Kely, comment savait elle, pourquoi était elle la. Elle la regarda les yeux gonflés tellement de larmes avaient coulées.

Shaena n'arrivait pas dans la foulée à prononçer un mot, avait elle raison de l'en empêcher, surement, le destin avait décidé quelle devait être la à ce moment la, et elle l'était malgré sa propre peur du vide, Shaena sentait ses bras crispés, son coeur battre rapidement, les deux femmes se connaissaient à peine que déjà elle partageaient un moment inoubliable, Kely venait sans doute de lui sauver la vie, dans sa tête Shaena se répétait sans cesse les tendres mots de son frère, les mots de Coccy.. les mots de Nath l'amour de sa famille, mais pourtant ni un ni l'autre était la.. comment pouvait il savoir de toute façon..

Shaena leva la tête au ciel se demandant pourquoi Aristote avait décidé de ne pas la prendre près de lui, c'était lache mais pourtant tellement plus simple.

La jeune femme acceptait volontié les bras et le réconfort de Kely, après tout si elle était la c'est quelle devait continuer à vivre encore et peu être la vie allait elle lui offrir encore plein de belle chose à vivre, dans le doute elle regarda Kely et lui dit la voix tremblante:

Pardonn.... ra...ramène moi chez mon ffffrère, j'ai besoin de lui, si s'il te plait.. j'aii froid Kely..

Son corp tremblait comme une feuille, elle repensait à l'homme qui lui avait du mal, il l'avait drogué, il avait tenté de la violé, il avait tout essayer mais n'avait pas réussi à aller jusqu'au bout de ses envies mais malgré sa Shaena n'oubliera jamais ce quelle a vécu dans cette ville...

Kelya

Kelya était arrivée depuis peu à Montpellier, elley avait fait une rencontre, qui, elle pensait, resterait gravé dans son coeur. Cette femme qui avait le coeur en miette .. Elle savait très bien ce qu'elle ressentait, l'ayant vécu elle même. Une pein de coeur ça fait toujours mal, mais Kelya avait compris que la vie pouvait nous enlever des choses beaucoup plus précieuses.
Mais le plus important dans ce genre de situation, c'était d'être bien entouré, et Kelya savait que les vrais amis ne se comptait que sur les doigts d'une seule main. Elle se promit donc d'être la pour cette femme, de l'aider à aller mieux même si il fallait allonger son séjour à Montpellier pour cela.

Cela faisait quelques temps que Kelya était en voyage, et ça faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas vu l'Océan .. Ici, il y avait la mer, elle pensait que ça ne valait pas l'Océan, mais elle décida quand même d'aller faire un tour sur la plage.
Arrivée sur le sable, elle enleva ses bottes et ses bas pour pouvoir sentir la fraicheur du sable sur ses pieds .. Puis elle s'avança pas à as dela mer pour y tremper ses pieds ..
Elle regarda le paysage autour d'elle .. La mer, les bateaux, le port .. C'était tellement magnifique .. tellement magique. Puis elle tourna la tête et elle y vit une gigantesque falaise. Quelle était belle. Mais elle put s'appercevoir que quelqu'un était au bord de cette falaise .. Son visage lui semblait familier, ses cheveux surtout ..
Et d'un coup elle eut une illumination ... Shaena ... Elle pensa dans sa tete "Non ne fais pas ça .."

Elle remit vite ses bottes et se mit à courir jusqu'en haut de la falaise..
Arrivée en haut elle vit Shaena, à genoux .. toute crispée .. Elle s'approcha doucement et lui dit ..

"Shaena .. ne fait pas de bêtises .. la vie est trop courte .. ne mets pas fin à la tienne.."

Elle s'approcha pas à pas .. il ne faut pas brusquer les gens dans ces moments là .. Ell arria près d'elle et s'accroupit à ses cotés ..

"Allez viens ma belle, viens .. Je vais te ramener sur la plage"

Elle la saisit par le bras et la tira de son mutisme, l'éloignant ainsi du bord de la falaise.
Elle lui murmurrad'une voix douce:

"Ne me fais plus de frayeur comme ça hein .. Je vais t'aider.. Je suis là"

Elle la garda quelques instants dans ses bras la serrant très fort.

Sukhoi

Sukhoi arriva ce matin la tot a la plage avec Damien son fils, le soleil se levait a l'horizon, une légère brise marine courait dans les cheveux de Sukhoi.

Sukhoi posa damien les pieds nus sur le sable, l'enfant partit avec Sac a puce dans une course effrenée le long de la plage.

Sukhoi regarda ému son fils courir, se disant qu'ils avaient atteint le but de leur voyage et qu'il fallait repartir ce soir...mais Sukhoi avait le coeur heureux, il s'etait ressourcé durant ce voyage et avait fait sa demande en mariage a Miel.

Sukhoi resta un long moment les yeux fixés a l'horizon, il eut une pensée ému pour Calinéa sa defunte compagne, la mère de Damien, il savait qu'elle etait auprès d'Aristote avec qui il avait fait la paix et qu'elle les protegeait.

Après un long moment, Sukhoi appela Damien lui disant qu'il etait temps de rentrer et vit le petit homme accourir, il l'attrapa le mit sur ses epaules et prit le chemin de la taverne.
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Shaena

Shaena était arrivé très tôt se matin de Montpellier, l'esprit perdu, son coeur battant encore et toujours sans le vouloir, elle voyait sa vie triste défilée de ne devenir rien de bien, le seul endroit ou elle se sentait libre c'était la plage ou elle c'était rendu après avoir bu une tisane avec ses amies, le chemin elle le connaissait par coeur, sans trop réfléchir elle y arriva.

Shae s'arreta nettement devant l'écumes des vagues et tourna sur elle même regardant le chemin qui menait en haut de la falaise, la haut, personne n'y allait, sauf elle qui s'y dirigeait comme guidée sans savoir par quoi ni par qui, en finir... il le fallait ou pas... peu d'importance voir aucune..

Elle continuait son tracé en montant sur le chemin de terre et sans se retourner elle continuait comme aveuglée par son envie de ne plus avoir envie de souffrir, la solitude quelle supportait était lourde, trop lourde pour Shaena, en montant elle repensait quand même à se quelle avait fait le matin même, elle s'en souviendra et lui aussi, elle souria presque comme d'habitude d'avoir tant appréciée son geste, elle s'en irai en pensant à ce dernier moment de tendresse.

Arrivée en haut de la falaise, le vent froid soufflait fort, elle frissonnait et grelottait, ses jambes tremblaient, ses cheveux lui volaient dans le visage et elle s'avança un peu plus, elle ouvrit ses bras et les laissa planer, elle se sentait si légère et prête à s'en voler, à se moment la rien ni personne ne pourrait l'arreter, sauf.... peut-être.. non.. il s'en foutait, c'est se quelle pensait.

Elle s'avança encore un peu et sentit son pied bien au bord de la falaise, les yeux fermer elle n'osait pas les ouvrir, pourtant elle souhaitait admirée cette vue quelle ne verrait peut-être qu'une fois dans sa vie, et sans regret et sans réfléchir elle les ouvrit...

Elle soupira et respira très rapidement, son coeur battait à en faire explosé sa poitrine, elle tremblait, ses membres s'engourdissaient, Shaena ne sentait plus son poid sur ses jambes, tout était devenu léger.

Elle fît une chose quelle n'aurai jamais du faire, regarder en bas, c'est la première fois quelle montait si haut et elle fût prise de vertige puis à genoux elle tomba laissant ses yeux pleurer toutes les larmes de son corp.

Elle essaya de se relever mais ses jambes ne voulaient pas la porter, sa tête lui tournait et à genoux elle marcha vers le bord en marmonnant:

Viens me chercher... délivre moi....

Lou.

Lou s'emmitoufla dans sa houppelande et prit sa besace. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas allée voir les vagues et ça lui manquait.
Elle avait fait un rêve étrange...Un bateau, les vagues, un vent léger....
Elle fut surprise en constatant qu'il faisait doux dehors. Le vent était présent mais tiède.

Arrivée en face de la mer, elle regarda longuement, comme en attente de quelque chose. Son rêve était présent en elle, et ses yeux cherchaient la présence d'une voile au loin.
Pourtant rien à l'horizon...Elle hocha la tête, perplexe, cherchant la raison de cette idée saugrenue qu'il allait se passer quelque chose.

Le furet mordilla sa botte, impatient de rentrer, Il n'aimait pas venir ici, le sable lui collait aux pattes, le grattait, croustillait sous ses dents et il passait un bon moment à se laver. Et puis ce sel!!!Pouah!!

Oui, oui on y va murmura t-elle, sans quitter des yeux l'horizon.

Ils s'en retournèrent au village, lui, ravi et secouant ses pattes, elle, pensive et légèrement inquiète.
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Destron

Destron la regarda tout heureux de ce qu'elle lui disait

L'amour est tellement fort et puissant que je t'ai pardonné dès la première seconde ma chérie

Il l'enlaca tendrement contre lui et ils profitèrent ensemble du paysage au coin du feu qui leurs réchauffaient les membres....

Shaena

Shaena adosser contre l'arbre aperçut reellement la seul personne quelle aimait s'approcher d'elle, comme toujours à son approche son coeur se mettais à battre plus rapidement dans sa poitrine, son corp tremblait tout seul sans quelle puisse le controler, son amour pour cet homme était lui aussi incontrolable et très fort, sans lui elle se sentait seule et vider de tout, son amour était devenu vital pour elle.

Après les mots de Destron Shaena resta silencieuse et se laissa porter dans ses bras, elle n'arrivait pas à prononçer un mot, elle se contentait de respirer sa peau douce et son odeur qui la rassurait comme toujours, il l'emmena à nouveau tout au bout de la plage ou il avait installer un feu de camp, Shaena aurait voulu que se moment dans ses bras ne s'arrete jamais.

Elle se serra plus encore contre lui et laissa tout son corp exprimer l'amour quelle lui portait, et dans leur ballade trop courte à ses yeux elle en profita pour lui chuchoter la voix encore pleine de sanglots:

Je t'aime mon ange, je ne cesserais décidemment jamais de t'aimer, allons jusqu'au bout de notre rêve, je suis maintenant prête et sur de moi.

Arriver au feu elle se réchauffa le corp tout contre son homme et surprise par son baiser, elle le prolongea intensément puis doucement elle se retira de sa bouche et lui dit:

Je suis tellement désolé mon coeur, pardonne moi pour se que j'ai fais.

Shaena plongea son regard dans le sien, ses yeux brillaient et pétillaient comme jamais elle n'avait remarquer, un sourire mignone à la bouche elle prit sa main croisa ses doigts dans les siens et serra doucement.

Destron

Destron marcha le long de la plage pour prendre un peu l'air après la longue soirée à rire avec Matteo et Divinius.Le climat était assez frais mais le paysage était somptueux...il ne manquait qu'une chose celle qu'il a toujours aimé.

Sans doute serait-ce le bon Dieu tout puissant qui lui a offert sa bénédiction,il vit Shaena sur la plage seule ayant l'air triste.Il s'approcha d'elle pour voir ce qu'il se passe.

Je sais pourquoi tu pleures Shae'....parce-que tu ne savais pas quoi choisir et que tu m'aimeras toujours.Viens avec moi mon amour et refaisons ce que nous avons toujours voulu faire:une vie ensemble

Il l'emmena à l'autre bout de la plage près d'un feu où la braise leur réchauffaient leurs sens

Je t'aime mon amour

Il l'embrassa sans attendre comment allait-elle réagir à son baiser

Shaena

Il faisait froid le soir et de plus en plus, la nuit tombait bien plus tôt à présent, le vent du sud sur la plage était pas très chaud non plus mais tout cela n'empecha pas Shaena de s'y rendre, c'est en ayant prit la décision de s'absenter des tavernes quelle y alla, les yeux dans le vide et la tête embrouiller de trop de chose.

Elle marcha longtemps au bord de l'eau sans même savoir ou elle allait arriver, peu l'importait tant quelle était libre de pouvoir réfléchir et penser en toute liberté.

Les questions fusait, pourquoi n'arrivait elle pas à faire le deuil de sa vie passé, pourquoi maintenant elle avait le sentiment d'être en trop entre eux qui se prétendait des amis alors quelle savait au fond d'elle qu'il y avait plus que sa.

Shaena marchait au gré du vent en écoutant les vagues claquées contre les rochers non loin de la, elle grelottait un petit peu, une larme coulait par ci, une par la mais très rapidement elle essuya tout sa pensant que de pleurer ne servait pas à grand chose de toute façon.

Après une voir deux heures en marchant elle fini par s'assoir sous un arbre qui perdait rapidement ses feuilles comme Shaena qui perdait tout repère, elle avait le dos contre le tronc, les jambes réunies sur elle et le tout était simplement recouvert de sa houppelande, elle engouffra sa tête dans son col blanc pour se protéger du vent et posa sa tête en arrière sur l'arbre, la encore et toujours pensive.

Esperances

Quand elle avait lu la missive elle était partie en courant , sur le lieu du RDV , elle avais attrapé son châle et était sortie le rejoindre.
Elle couru dans les rue de la ville , pour arriver le plus vite a la plage , cela faisais si longtemps qu'ils n'y étaient pas retournés , il lui semblait une éternité..
Elle ôta ces chausses aussitôt sur le sable , elle marchais le nez au vent , heureuse , elle avait ralentie son allure en arrivant.
Elle se souvenait quand il l'avait emmener faire du cheval, la réaction en voyant ce cheval si immense , mais la confiance qu'elle avait en lui , lui avait permis de surmonter sa peur et d'en garder un beau souvenir au fond de don cœur. Elle aperçois une silhouette au loin , elle le reconnais , elle sais ne pas se tromper , elle accélère le pas , pour finalement courir vers lui , rien ne saurais l'arrêter sauf ces bras....
L'impression de pas l'avoir vu depuis si longtemps alors que quelques heure se sont écoulés...
Elle se hisse sur la pointe des pieds , quémandant ce baiser quelle veux , quelle exige...Leurs lèvres se rejoignent , se frôlent , ils s'embrasse avec passion , elle dépose des baiser dans son cou tendrement
puis et aperçois ce qu'il a graver dans le sable , ce message pour elle ..un message éphémère , et pourtant dont elle se souviendra dans encore très longtemps.
Tout doucement ils s'éloignent , se baladant se tenant tendrement l'un contre l'autre ...
Elle le regarde et dépose un nouveau baiser et lui murmure tout doucement pour que seul lui entende

Mon amour je t'aime tant , je serais ta femme quand tu le voudras..
Elle lui sourit sachant que il va être surpris , surtout après le nombre de fois ou elle a pas voulu en entendre parler, mais ce jour elle sais que c"est avec lui quelle veut passer le reste de sa vie.

Wgaby

wgaby arriva sur la plage ...il ôta ses bottes...il faisait encore beau ce matin. Il avait hâte de voir arriver son amour, et surtout de voir la tête qu'elle ferait quand elle verra qu'il aurai inscrit "JE T'AIME" sur le sable.

Il chercha un coin bien tranquille...Ah tiens...là bas ce sera parfait se dit-il....Il vit une grosse branche échouée...il commença par poser ses bottes et avec ses mains, y inscrivit ce "JE T'AIME"...

Il se recula ...souriait... "_ Làààà...parfait...si elle ne me voit pas avec ça, je veux bien me faire moine."

Il s'étai assis sur la branche..attendit...Regardant autour de lui...se demandait de quel côté elle allait arriver.
Tout à coup, il l'apperçu...le sourire aux lèvres, puis elle se mit à courrir dans sa direction, et vint se jetter dans ses bras pour l'embrasser.
Il se donnèrent un long baiser, puis marchèrent le long de la plage, les pieds dans l'eau...

Dotyy

Tout ce qui se passât ensuite allât très vite. Il l'embrassât, puis il s'appuyât sur elle pour attraper le panier.

Citation:

Scuse moi j'attrape le panier de fruit... t'en veux ?

Elle n'eut même pas le temps de répondre qu'elle se retrouvait avec un grain de raisin entre les lèvres et pour combler le tout le voila qu'il venait lui en piquer la moitié en l'embrassant.

Elle faillit avaler son morceau de grain de travers en plus.

Elle le regardât et lui dit :

Comment ca je n'ai pas le droit au vin, alors la c'est le comble.

Elle prit alors la bouteille et versât le fond qu'il restait de la bouteille sur la tête de Snoop.

Elle regardât le vin couler sur son visage et fut prise d'un fou rire.

Un Snoop.. au vin rouge... alors là ! Je ne résiste pas.

Elle se jetât sur lui et s'amusât à lécher doucement le vin sur son visage.
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Snoop71

Snoop était allongé sur la plage, jamais il aurait imaginé qu'elle lui aurait versé le vin sur le crane. Les gouttes lui coulais sur le et Dotyy le léchait de toute part.
Il éclata de rire, ce qui aurait sans doute été moins le cas si elle avait oublié de le léché, mais son attirance pour le vin était sans doute irrésistible.

C'est malin ça..... j'vais puer la vinasse, voila pourquoi j'passe pour un picollo après... Bien, il va falloir que j'me lave....

En même temps qu'il prononçait ses paroles il se retourna sur Dotyy et l'agrippa, se redressa avec Dotyy dans les bras qui gesticulait en tous sens distribuant au passage quelques gifles.
Snoop refusait de la laché, il ne serait pas seul à être mouillé, il se mit à courir jusqu à la mer, l'eau à peine à hauteur de genoux qu'il s'ecroula, plongeant et la faisant plonger du même temps. Quand il ressorti Dotyy était toujours accroché à son cou.
Il riait tellement qu'il avalla quelques gorgées d'eau salées.

Beurkkkk, c est pas bon
ça...va toi?
Heyyyy mais elle est bonne finalement, fait presque moins froid ici que sur la plage...

Doucement, Dotyy serré contre lui il s'éloigna de la plage et pris le large en l'embrassant passionnément

Snoop71

Snoop regardait Dotyy stupéfait.

Mais t'as tout prévu toi....

Allongé sur la plage, il l'invita dans ses bras. Ses bras était frais, il tira sur elle la couverture, ouvrit sa chemise et l'invita à passer ses bras au chaud tout contre son corps.
Il se resserra un peu et monta l'échancrure de sa chemise sur les douces épaule de sa belle, ses mains lui glaçait le dos, mais lui réchauffait le corps.
Il l'embrassa avec Amour, se délecta longuement de ses lèvres.

S'appuyant longuement contre elle

Scuse moi j'attrape le panier de fruit.... t'en veux?

Il arracha un grain de raisin de la grappe et lui apporta jusqu à la bouche.

Tiens mon coeur, heu... pour le vin ça risque d'être plus compliqué sans t en mettre partout hein...

Il la regardait, elle avait gardé le raisin entre les lèvres, alors en riant il s'approcha d'elle

Snoop71

Snoop était allongé sur Dotyy, il la couvrait de baisers et lui libérait les mains pour la prendre dans ses bras.
Tout en glissant ses mains sous ses épaules, ses lèvres glissait le long de son cou, en appui sur ses avant bras, il se plongeait dans ses yeux brillants.

J'attendrais toute la vie tant que tu restes dans mes bras.

Il roula doucement sur le coté, sans enlever ses bras qui l enlaçait.
Encore un moment allongé l'un près de l autre, à regarder la mer et les étoiles

T'as pas froid belle rousse? Tu veux qu'on rentre au chaud?

Dotyy

Dotyy ne le quittât du regard ses mots qu'il disait la rassurer et lui donner envie de se laisser aller un peu.

Citation:

T'as pas froid belle rousse ? Tu veux qu'on rentre au chaud ?

Elle lui sourit et dit :

Si j'ai un peu froid mais très bras me réchauffe très bien et non je ne veux pas rentrer. Je suis très bien ici et j'ai envie de profiter un peu de toi en tête a tête.

J'ai amené une couverture.

Joignant le geste a la parole et se levât et allât la chercher. Elle se rallongeât ensuite et se mit dans les bras de Snoop. Elle mit comme elle pût la couverture. Elle levât les yeux vers lui et déposas un tendre baiser sur ses lèvres.

Elle aurait pu rester comme cela une éternité tellement elle etait bien. Loin de tout, loin de tous. Elle profitait du bonheur qu'elle avait tant cherché.

Elle plongeât dans son regard et d'un murmure elle lui dit :

Je t'aime.
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Dotyy

Quand Snoop posât ses lèvres sur celle de Dotyy, elle eût l'impression que la terre se dérobé sous elle. Elle s'accrochât à Snoop et répondit avec plaisir et amour à se baiser si convoité.

Elle se sentit partir en arrière et Snoop l'emprisonnât dans ses bras. Elle le regardât avec amour et sourit.

Citation:

J vais pouvoir abuser de toi maintenant... Quand même pas attendre que tu me violes.

Elle se mit à rire et se laissât faire. Chaque baiser de Snoop etait une vraie caresse. Il devenait de plus en plus dur de ne pas succomber.

Elle le regardât et dit : Si si tu vas devoir attendre... Mais cela nous empeche pas de rester l'un pret de l'autre sagement.

Elle sourit et se dit que ce qu'elle lui demandait etait très dur mais elle voulait attendre, faire les choses bien. Elle l'aimait tellement qu'elle voulait que tout soit parfait.
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Snoop71

Snoop se tournait son visage vers Dotyy, il se noyait dans ses yeux juste avant de les fermer pour profiter du baiser qui lui était offert.
Quand ses lèvres se sont approchées, leur souffle se sont délicatement mélangés, Snoop se perdit dans un plaisir surpasser par l'attente de ce moment tant désirer.
Il dégustât sans retenu le parfum sucré de ses lèvres, voulant que ce moment de douceur fût éternel.
Snoop l'a pris dans es bras amoureusement, profitant de ce moment de tendresse et d'abandon pour la faire basculer et l'emprisonner entre ses jambes.
En un instant il attrapa ses mains et lui maintenant au sol, il s approcha doucement de son visage.
Du bout de ses lèvres, il vient effleurer sa bouche, laisse son souffle la carresser et le désir monter.

J vais pouvoir abuser de toi maintenant... Quand même pas attendre que tu me violes.

Snoop se mit à rireprenant Dotyy dans ses bras et la couvrant de mille baisers

Snoop71

Snoop sentit le raisin lui échapper, les dents se refermer dans le vide.
Il regardait Dotyy d'un air frustré, fit une petite mou avant de prendre quelques grains et les déguster tranquillement avec son verre de vin.
Il s'asseyait fixant l'horizon, la nuit était belle la lune et les étoiles se reflétaient dans les vagues. Les yeux rivé vers le large il pensait au bateau qui peut-être un jour arriverait et l'emmènerait sur la mer.

Il reprit la main de Dotyy sans rien dire et admirait le spectacle qui lui était offert.

Dotyy

Dotyy regardât Snoop et vit son le regard frustré et sa petite mou. Elle ne put s'empêcher de sourire et de se dire que même comme ca elle l'aimait comme une folle.

Elle sentit sa main prendre la sienne. Il regardait l'océan. La lune éclairer son visage. Il avait pensif. Elle se mit a frissonner quand une petite brise se levât. Elle se blottit contre lui.

Elle se mit alors a regarder aussi l'océan et lui dit :

Un baiser pour tes pensées.

Elle continuât de regarder cet océan ou la lune se refléter dedans offrant un spectacle magnifique et une très belle ambiance romantique.
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Snoop71

Snoop prit le verre de vin qui lui était tendu sans quitté les yeux de Dotyy.
Il la regardait et lui souriait

Je ne crois rien moi, j'imagine....

Il leva son verre et trinqua, ses yeux brillants il se laissait transporté par son regard étoilé.
Il humait le vin qui dégageait un merveilleux parfum fruité, puis y trempa ses lèvres. Une multitude de saveur s'en dégageait, il en appréciait chaque instant chaque seconde, pensant que ce délicieux vin se marierait très bien avec la corbeille de fruit, et particulièrement cette belle grappe de raison qui lui faisait de l'œil.
Il prit un gros grain entre ses dents et marmonna

J'te concheille che chucculent raichin pour accompagner che vin....

La mâchoire tout juste serrer pour ne pas éclater le plus beau raison sans pour autant le laisser tomber, il s'approcha doucement du visage de sa douce

Dotyy

Son regard plongé dans le sien, elle avait l'impression que le temps s'etait arrêté.

Citation:

Je ne crois rien moi, j'imagine...

De l'imagination... intéressant pensât t'elle.
Elle le vit humer le vin, y trempé ses lèvres. Chacun de ses gestes etait un appel vers la tentation. Il etait devenus très dur pour elle de résister mais...

Elle prit-elle aussi une gorgée, le vin etait excellent. Elle le dégustas aussi tout en regardant snoop.

Elle éclata de rire quand elle le vit prend un gros grain de raisin et le mettre à moitié dans sa bouche et parler.

Citation:

J'te concheille che chucculent raichin pour accompagner che vin....

Elle reprit son sérieux quand il s'approchât de son visage. Elle ne put s'empêcher d'imaginer prendre le grain avec sa bouche, la rencontre de leurs lèvres, leurs souffles chaud s'entremêlant, le goût du vin sur ses lèvres.

Elle le regardât droit dans les yeux et quand il arrivât à quelques centimètres de ses lèvres, elle glissât deux doigts et récupérât le grain ave et le mit dans sa bouche.

Elle le dégustas avec beaucoup de provocation. Quand elle eût fini, elle passât sa langue sur ses lèvres et lui dit :

Tu avais raison, le vin est excellent et le raisin se marie très bien avec, tu devrais en prendre.

Elle lui affichât un grand sourire victorieux. Et oui ! Elle avait résisté a la plus belle est magnifique des tentations.
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Snoop71

Snoop était toujours allongé sur la place à regarder les étoiles, il s'apprêtait à lui présenter Cassiopée mère d'Andromède et femme de Céphée quand il fût captivé par le visage illuminé de clair de lune de Dotyy.
Ses yeux irrésistiblement attiré par son regard il se laissa aller dans les yeux de la belle, quand le son de sa voix comme un doux champs vînt lui faire une mystérieuse proposition qui lui semblait bien tentante....

Citation:

J'ai apporté quelques petites choses intéressantes, cela te tente ?

Comment ne pas se laisser tenter... Que va tu m'offrir?
Le gout inoubliable de tes lèvres? La chaleur de ton corps?

Il la regardait les yeux brillants lui adressant le sourire de l'âme d'enfant qu'il avait conservé, gardant toute sa douceur et sa sincérité

Dotyy

Dotyy ne put s'empêcher de sourire quand elle entendit les paroles de Snoop.

Citation:

Comment ne pas se laisser tenter... Que va tu m'offrir ?
Le goût inoubliable de tes lèvres ? La chaleur de ton corps ?

Quand il la regardât, elle faillit succomber. NON NON. Il ne fallait pas.

Elle le regardât avec tendresse et lui dit :

Mais dite moi messire Snoop, n'allait donc pas penser que je vais m'offrir comme cela. Tout cela se mérite.

Elle essayât de garder son sérieux mais avec beaucoup de mal.

J'ai apporté dans mon panier quelques fruits et un bon vin. Rien à voir avec mon corps ou mes lèvres.

Elle se mit à rire et attrapât le panier. Elle sortis les fruits, les deux verres et le vin. Elle servit un verre et le tendit à Snoop. Quand il eut prit elle se servit le sien ! Elle le regardât dans les yeux et levât son verre en disant :

A cette soirée étoilée et a nous.
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Dotyy

Dotyy sourit quand elle l'entendit prendre la parole. Elle aimait le son de sa voix, elle avait le don de la rassurer.

Citation:

Je me demandais sur quelle étoile j'allais bien pouvoir t'emmener.
Sais tu qu'il n'y a rien de plus sensuelle qu'un ciel étoilé? Qu'avec un peu d'imagination une nuit étoilée laisse apparaître nombre d'image douce et sensuelle ?
Regarde ses étoiles justes au-dessus de nous

Elle regardât les étoiles justes au-dessus d'eux et le spectacle etait magnifique.

Citation:

C'est la princesse Andromède, fille de Cassiopée, peut-être par là que je vais te mener. Il parait que ça beauté n'a nul égal... c est que celle qui a dit ça ne s'est jamais posé dans tes yeux....

Elle se mit à rougir à ses dernières paroles, puis elle répondit :

Rien de plus sensuelle... cela reste à voir ! Oui j'avais remarqué pour les images que laissent apparaître les toiles mais je ne s'avais pas qu'elle pouvait signifier.

Pourquoi veux-tu m'emmener ailleurs alors que je suis la plus heureuse des femmes a cet instant ! Tu es la et c'est la plus belle chose pour moi.

Elle se tournât sur le coté et mit une de ses mains sous sa tête, puis elle le regardât tendrement.

J'ai apporté quelques petites choses intéressantes, cela te tente ?

Elle affichât un sourir coquin.
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Zolena

La plage sentait bon le sel et le ciel était totalement dégagée. Zole enleva ses chaussures et plongea avec délice ses pieds dans le sable frais. Avançant gauchement jusqu'à la mer, elle y entra jusqu'au genoux. Elle resta un moment dans l'eau à regarder les étoiles puis la fatigue la prit et elle alla s'allonger sur la sable.
Elle s'assoupie.
_________________

Dotyy

Dotyy avait fait le tour des tavernes sans le trouver. Mais ou pouvait-il bien être. Elle repensât à tous les endroits qu'il affectionnait et se mit à sourire en pensant à un endroit.

Elle repassât chez elle et prit une couverture et un panier. Elle mit dedans qu'elle fruits et une bonne bouteille de vin et deux verres.

Elle se dirigeât ensuite vers la plage, espérant quand même qu'il y serait, sinon elle passerait pour une polchtronne à boire seul sur la plage.

Elle marchât sur le petit sentier, la nuit commencer à tomber mais heureusement la lune est bien ronde et pas un nuage venait la cacher.

Elle arrivât sur la plage et le spectacle etait magnifique. La lune se refléter s a la surface de l'eau créant ainsi un magnifique paysage de nuit.

Dotyy avançât sur la plage, elle vit une dame sur un rocher, elle continuât son chemin et commençant à distinguer une silhouette allongée sur le sable.

Elle avançât à pas de loup et se demandât si elle devait faire une approche délicate, tendre ou une approche digne d'elle.

Elle continuât d'approcher et optât pour la douceur cela le surprendrait. Elle posât très doucement la couverture et panier et s'allongeât avec douceur a coté de lui. Elle se mit à regarder le ciel avec lui et glissât délicatement sa main dans la sienne.

Elle ne dit pas un mot et restât-la tranquillement.
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Snoop71

Snoop était allongé sur la plage à regarder les étoiles quand une présence ce fait sentir. Se parfum fruité il l'aurait reconnu entre mille, il ne dit rien, se mît à sourire, et la laissa s'installer au près de lui.
En un instant il sentit sa main glisser dans la sienne, son coeur se mît à battre plus fort et plus vite, il fermait les yeux, ça y est... cette fois il rêvait.
Instinctivement leurs doigts s'entremêlèrent, Snoop resserrait sa main sur la main de sa douce. Il n'avait qu'une envie, se retourner vers elle la prendre dans ses bras et l'embrasser d'un baiser les transportant tout d'eux vers un plaisirs extrême.
Mais il n'en fît rien continuant à chercher son étoile très haut dans le ciel pour ne pas se perdre dans ses yeux qui le rendait incontrôlable.

Je me demandais sur quelle étoile j'allais bien pouvoir t'emmener.
Sais tu qu'il n'y a rien de plus sensuelle qu'un ciel étoilé? Qu'avec un peu d'imagination une nuit étoilée laisse apparaitre nombre d'image douce et sensuelle?
Regarde ses étoiles juste au dessus de nous

Jasinte

Jasinte sort de taverne , et traverse le village en direction de la plage.

A la voilà!!!! toi tu es toujours a la ma belle bleu..

Elle cherchas un endroits pour êtres tranquille, vois un rocher s'approche ,s'assoie dans le sable s'appuie le dos contre le rocher.Et contemple la belle vue . Sort de sa besace un part chemin , et sa plume et écrie son poème.

Ma mer "à moi" n'a pas de marée
Mais quand elle est démontée
Des vagues énormes sont jetées
Par-dessus les nombreux rochers

Pourtant à ce moment là j'aime l'approcher
Offrant mon visage à l'écume projetée
Les milliers de gouttelettes me font rêver
Aux nombreux naufrages qu'elle a provoqués

Ma mer "à moi" est de toute beauté
Quand le soleil vient la réveiller
C'est mon corps que j'offre à satiété
Sur moi les vagues viennent s'échouer

Pourtant quand elle reprend son manteau bleuté
Et que le vent n’est plus qu’un souffle léger
C’est au bord de ses rochers là justes à ses pieds
Que je respire devant l’immensité ses parfums d’éternité

Ma mer « à moi » est très capricieuse
Un jour tendre le lendemain furieuse
Mais lorsque je suis très anxieuse
Je lui confie mon âme langoureuse

Une fois fini roule son part chemin, le met dans une bouteille et la jette a la mer.

Et repars au village

Snoop71

Snoop avait fait un rapide passage en ville ce soir. Passé devant les tavernes, hésitant un peu

J y vais, j'y vais pas... Trop de monde ou pas assez...
Pffff, pas l'envie surtout.

Il continua son chemin dans les ruelle sombres de Béziers. Quelques lanterne faisaient reluire les pavé humidifié par la douce rosé qui tombait déjà.

Plus il avançait dans la rue, plus le vent se faisait sentir. Sortit de la ruelle il déboucha sur la plage. Le vent été frais mais le ciel parfaitement dégagé laissait place à des milliers d'étoiles.
Allongé sur la plage, les yeux rivé vers le ciel il contemplait les étoiles espérant que la plus belle, plus rousse, et plus brillante de toutes les étoiles lui ferait un clin d'oeil.

Shaena

Après être sortit de chez elle Shaena prit la direction de la plage qui était juste à coter, au passage elle regardait les nouvelles habitations et bientôt elle arrivait sur le sentier en terre qui donnait sur le sable doux de la plage, seulement quelque villageois était encore dehors à travailler sur leur champ, un sourire, un signe de la main tout en marchant suffisait, pas besoin de long discours pour rester polie.

La voila arrivée, un premier pieds sur le sable et elle se sentait déjà bien mieux, l'endroit de leur première promenade en amoureux, elle oubliait pas, elle préfèrait en sourire, Shaena s'avança vers l'eau et tout en marchant doucement laissait les petites vagues lui arrivé à la cheville, c'était agréable de se sentir comme sa, libre, mais est-ce de cette liberté que son amour cherchait et qu'il avait tant besoin, elle réfléchissait à sa.

Elle finit par s'assoir sur le sable sec et plonga son regard dans les écumes des vagues, ce bruit doux quelle aimait tant, ses oreilles n'entendait rien d'autre, juste le calme, elle pensait alors au visage paisible qu'avait Destron avant quelle sorte de la maison et se demandait quand même si il dormait encore.

Tout au tour d'elle la mer avait rejeter de merveilleux coquillages tous très différent et tous aussi beau l'un que l'aute, elle s'amusait à les rejeter dans l'eau le plus loin possible et tendant sa main elle regarda ses doigts, la bague de Divi était toujours la, elle ne la quittait jamais, elle y tenait fortement.

Shae ragarda son doigt vide, la bague de fiancaille n'y était plus et elle ressentit un grand vide, et dire qu'ils n'étaient même plus fiancés, elle se choquait toute seule à pensé sa, elle avait envie de pleurer mais rien ne venait, aucune larme ne coulait, certainement en avait elle tant donner déjà et sa ne servait pas à grand chose de toute façon.

Elle regarda la mer et dit doucement, des sanglots dans la voix:

Un jour c'est toi qui me prendra dans tes bras et me bercera.

Elle s'allongea sur le sable sec et chantonnait un air mélancolique, grelotant un petit peu elle ferma les yeux et s'imaginait vivre sans Destron, à tout moment il pouvait décider de partir et l'amour quelle lui portait n'était pas à la hauteur de ses envies de libertés.

Jehan.

Après avoir marché de longues heures dans la forêt, Jehan décida d'aller faire un tour sur la plage...

Le couché de soleil traversant le vent offrait un air doux et chaud, caressant son visage...

Jehan, pieds nus, vêtu de ses braies et d'une chemise au col relié de lacets légèrement ouvert, s'approcha à quelques mètres de l'eau avant de s'assoir sur le sable, ses bras encerclant ses jambes...

Le regard rêveur, il regardait l'horizon, ses cheveux dansants sur sa tête, bercés par les mouvements du vent...

Puis, apaisé par la mélodie que lui offraient les vagues, il ferma les yeux pour profiter un peu plus de cet instant...

Divinius

Disposant d'un instant a lui, il rêvassait..seul, le regarde dans le vague...sur les vagues ( Ah ah que c'est ..drôle.. ) Le grand et puissant Fleuve, Languedocien, baignant les pieds de la Puissante ville de Béziers. Sa pièce était toujours dans sa poche en col..Il l'ouvrit précipitamment, comme si il avait jusque la sentit le poids même infime de ce morceau métallique sur lui et que soudainement il avait disparu..comme volatilisé...Mais ce ne fut le résultat qu'un moment d'oubli, de perte dans l'horizon.. Un sourire s'afficha alors sur son visage, et joyeusement il regarda le soleil se levée

Elaura

Ses grands yeux bruns étaient rivés sur l'homme allongé dans le sable.. Ne voyant aucune réaction de la part de celui-ci, après qu'Oceania l'ait tendrement appelé, la brune imagina plusieurs scénarios possibles pour l'éveiller.

Premier scénario :

La jeune femme continue de tenter de le réveiller à l'aide de mots doux et de caresses douces afin de lui procurer le plus beau des réveils.
A grands coups de « mon amour » ou encore « réveille toi mon ange », ainsi qu'une série de caresses dans ses cheveux, et sur son visage endormit.
Ainsi lorsqu'Zinoaloe s'éveillera, il lui rendra la pareille avec probablement, l'un de ses beaux sourires qu'il a souvent en la regardant...

Mmh... Tentant, très tentant même !

Deuxième scénarios :

La brune, sadique sur les bords, verse doucement du sable dans son col, histoire de le réveiller, certes moins agréablement mais plus rapidement !
S'en suivrait peut être une série de râlement qu'elle jugea, avant même de les avoir entendus hilarant..
P'tête même que Zin ne le prendrait pas si mal, qui sait ...!

Mmh... Encore plus tentant, trop tentant même !

Oceania attrapa une légère poignée de sable de son autre main, celle qui ne caressait pas les cheveux de son amour, puis alors qu'elle s'apprêtait à aller le faire glisser dans son col, un large sourire machiavélique sur les lèvres, elle se sentie attirée vers lui, littéralement ! Et sans qu'elle eut comprit grand chose, se retrouva allongée sur son torse d'une chaleur agréable, contrastant avec l'air frais de cette fin d'après midi !

La hors la loi reposa vivement sa poignée de sable sur le coté, l'air de rien. Puis plongea ses iris dans celles gris, bleu de l'homme. Ses propres yeux semblaient sourire à ceux de son amour, et elle répondit largement à son baiser fougueux puis se blottie contre lui, posant sa tête et sa tignasse par la même occasion sur son torse.

« Mmh... J'suis ravie qu'il te plaise alors ! »

La brune s'apprêtait à lui répondre, lorsqu'il la fit basculer sur le coté, pour qu'elle se retrouve allongée dans le sable. Merveilleux, elle qui ne voulait avoir aucun contact avec cette matière qui s'infiltrait partout ! Raté !
Ses cheveux détachés s'étalèrent tout autour de son visage, et un large sourire, plus tendre cette fois étiraient ses lèvres pâles.

« Oui, j'étais venue voir la mer avec une dame et un messire, j'ai surement du les perdre en route ! »

Oceania rit doucement à cette pensée en désignant, deux vagues silhouettes au loin... Puis la femme reporta son attention sur Zinoaloe, le regardant intensément.
Ses yeux bleu, gris comme le ciel d'un orage semblaient rieurs et heureux par la même occasion, sa bouche lui souriait si tendrement qu'elle sentie les battements de son cœur s'accélérés doucement, cognant contre sa poitrine et se répercutant contre le torse de son amour...
Un sourire aux lèvres, elle répondit à son baiser, puis enroula ses bras autour de ses épaules pour être plus proche encore.
La jeune femme lui susurra doucement à l'oreille quelques mots d'amour :

« Je t'aime chaque jour un peu plus. Même qu'une pâquerette m'a dit que l'on s'aimait à la folie, tu crois que c'est vrai mon cœur ? »

Oceania rit doucement, puis lui ébouriffa doucement les cheveux.

« Et toi, que fais-tu ici ? Ce n'est pas vraiment un endroit pour dormir ! »
_________________

Olivier..levasseur

Zin entendit une douce voix lui caresser l'esprit

"Amour"... mais il n y a que sa ptite femme qui l'appelle comme cela.

Humm il rêvait de son ptit cœur...

Une main lui caressait les cheveux.

Il se réveilla doucement et entrouvrit légèrement les yeux.

Il vit Oce pres de lui, son visage illuminé par un merveilleux sourire

Il continua de ferme mine de dormir et soudain attrapa sa ptite femme dans ses bras.

Elle se retrouva allongée sur lui, il en profita pour plonger son regard dans le sien.

Ma puce, humm un réveil comme je les aimes.

Il l'embrassa amoureusement la serrant contre lui.

Que fais tu ici mon ange? tu te promènes?

Puis il la fit basculer sur le cote et se retourna pour être à son tour sur elle.

Il prit plusieurs secondes pour admirer sa future épouse^^
caressant avec douceur son joli visage
puis ses cheveux étalés sur le sable, sa jolie bouche, il admirait ses grands yeux, la finesse de son cou...

Il l embrassa encore avec tendresse, laissant ses lèvres caresser les siennes.
Sentant les battement de son cœur contre son torse....

Et lui murmura

Je t aime ma princesse

Olivier..levasseur

Zin était assis sur le bord de l'eau, il regardait la mer un peu nostalgique de son enfance...

Bon et mauvais souvenirs se mêlèrent dans son esprit...

Il s allongea sur le sable et ferma les yeux, se laissant bercer par le bruit sourd des vagues...

Soudain il se demanda ou pouvait bien être sa ptite chérie... surement entrain de converser avec les crapauds bitterois...
Il se mit à rire avec tendresse...

Il pensa à ce doux bonheur qu'il vivait auprès de sa chérie et un large sourire
illumina son visage.

Doucement il plongea dans un sommeil léger, apaisé et heureux...

Elaura

Un, deux, trois, quatre,
[Suis-je folle ?!]
onze, douze, ensuite...euh...treize,
[C'est vrai, on dit que les fous ne rêvent pas..]
vingt, vingt et un, puis...vingt-deux,
[Après tout, moi non plus je ne rêve jamais..]
vingt-quatre, vingt-cinq, ...vingt-six,
[Oui, cela doit être ça, je ne vois pas d'autre explication]
et trente grains de sable !!

Oui, la brune était définitivement folle, parce que pour compter les grains de sable au creux de sa main fallait être drôlement dérangé !

La hors la loi était plantée debout en plein milieux de la plage, ce qui est un environnement bien différent de l'habituel. L'habituel est bien évidement la forêt et ses arbres majestueux, ses fossés profond, remplie de crapauds, d'insectes et de boue.
Mais la jeune femme se plaisait tout de même sur cette plage, face à la mer, qu'elle contemplait de ses grands yeux bruns pétillant de folie

Le zéphyr soufflait fort prés des berges et certainement au large également ! Le vent s'engouffrait sous sa chemise, la faisant gonfler et onduler doucement, Oceania baissa les yeux vers son ventre qui semblait vraiment rond avec le vent à l'intérieur. La jeune femme sourit intérieurement se souvenant de sa grossesse et de son ventre énorme par la même occasion !

La brune fit quelques pas dans le sable, Lou et le messire devait certainement se trouvaient derrière.. Elle avait réellement envie de marcher et s'ils le souhaitaient, ils n'avaient cas la rejoindre !
C'est alors qu'Oceania aperçut sur la sable une chose allongée. Elle fronça ses sourcils bruns et reconnut une silhouette familière. Des cheveux bruns foncé, tirant sur le noir, une musculature évidente du à son travail dans l'armée, Zinoaloe. Son sang ne fit qu'un tour dans ses veines.

La brune le regarda intensément, s'imaginant déjà courir jusqu'à lui, sauter dans ses bras, rouler dans sable, l'embrasser passionnément et s'aimer sur..... Non fallait pas exagérer non plus, y'avait du mon déjà et puis si Cécile les voyaient s'en était fini ! Oceania voyait déjà la curée leur faire la lecture de psaume et pire encore.

Néanmoins, la jeune femme s'approcha de son amour, de sa démarche fine et silencieuse. Elle l'observa attentivement et vit qu'il dormait ! Fallait vraiment avoir du courage pour dormir prés de la mer, avec le sable, les crabes et autres p'tites bêtes du genre.
La hors la loi s'accroupit à ses cotés, passa doucement sa main dans ses cheveux en le regardant tendrement.

« Amour... »
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Elaura

Oceania courrait à foulée réguliére dérriére le Messire Tolanhdruth qui semblait marcher tranquillement mais à grand enjambée tout de même !

La jeune s'arrêta prés de Lou puis avec un sourire laissa promener son regard tout autour d'elle. La berge était grande, calme et apaisante.

"Je suis là également, tu as été vite dis donc ! "

Le ciel semblait maussade aujourd'hui, comme s'il eut été triste en cette fin de journée et de semaine également. La mer était bien calme elle mais l'eau était sombre, ceci avait un rapport avec l'état du ciel bien évidement.

La hors la loi avait envie de marcher tiens ! De parcourir la longue plage et d'enfoncer ses pieds dans le sable, ni une, ni deux, elle proposa cela à ses compagnons.

"Si nous faisions une petite promenade ?"
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Lou.

Lou arrive en courant, essoufflée...Elle regarde derrière, un fou rire mal con tenu. Pourvu qu'ils arrivent vite

Tolanhdruth

Tol arriva tranquillement a la plage ou dame Lou était déja arriver

Me voila
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Apophise

alors apo attend et regarde ca fille et fav courire l'une a coter de l'autres sur la plage.et se dit que se serez bien que fav dit oui pour etre la maman de celeste mais bon apo ne veut pas presipiter les choses car a peure de se que fav vas lui dire car il voie que celeste aime beaucoup fav apo dit a celeste comment trouve tu fav e, et la petite fille dit a sont pere quelle et tres gentil et quelle aime beaucoup, apo sourit et lui dit moi aussi je la trouve belle

Apophise

je me presente je suis apophise enchanté mes appel moi apo et dit que celeste et sa fille et quelle et tres joueuse car il lui manque l'amour d'une maman ,alors apo dit a fav qui faut l'excusser touts en marchant tante de prendre la main de fav et sens une essitation en verre cette si jolie femme

Lafavorite

Le père de la gamine se présenta. Il dit alors s'appeler Apophise...mais qu'on l'appelait Apo, que cela suffisait bien.

Il dit aussi qu'il élevait seul sa fille Celeste qui avait perdu sa mère.
Fav en fut émue et elle continua donc à marcher avec cet inconnu.

Cependant, Apo commença à vouloir lui prendre la main.....
Fav, mine de rien mais gênée, s'écarta alors et se mit à courrir en disant à la gamine.

La première arrivée là bas a gagné.....

Lafavorite

Et c'est encore en marchant sur le bord de cette eau, ses pieds s'enfonçant dans le sable, qu'une petite fille, pas plus haut que trois pommes, vient à sa rencontre.

La petite ne devait pas avoir plus de quatre ans et elle était suivie d'un peu plus loin par un homme qui devait être son père.

La petite se posa devant elle, les jambes légèrement écartées, ses petites mains sur ses hanches. Elle semblait dire...Nan....tu passes pas!

Fav s'arrêta alors, regardant de bas en haut et de haut en bas, celle qui osait se planter là et la sortir de ses pensées vagabondes.

Petite, si tu ne me laisses pas passer, je t'éclabousse dit alors Fav en souriant.....

Mais la petite, le nez en l'air, fière, restait là sans bouger d'un pouce.....

Fav se demandait bien ce qu'elle avait fait pour être accostée de cette façon, sur cette plage tranquille et par une sorte de petite sauvageonne.

Alors, mettant sa menace a exécution, elle s'accroupit et commença à arroser la petite qui en fit de même.....

Toutes deux se trouvèrent bientôt trempées alors que le père de l'enfant arrivait à grands pas.....

Fav dit alors, comme pour se défendre, sur un ton enfantin, en faisant un clin d'oeil à la petite... C'est elle qui a commencé....

et toutes deux se mirent à rire devant les yeux étonnés de l'homme....

Celeste, il suffit dit alors le père en lui prenant le bras et en l'entrainant sur la plage.

Messire, dit alors Fav en les rejoignant, ne la punissez pas, je crois qu'elle a envie de jouer.....

Fav, tout en ramassant sa besace, se présente alors.....
Je m'appelle Fav et je suis de passage par ici.....

Ils commencèrent alors à marcher un peu ensemble tout en discutant, en bord de mer, Celeste allant et venant en courant.....

Apophise

se met a marcher a coter de sa fille et de fav et parle et rit en se promennent ensemble

Lafavorite

Lafavorite, depuis qu'elle était partie de Montauban sur un coup de tête, n'avait pas cessé de marcher.

C'est épuisé qu'elle arriva aux abords de ce village qu'elle devinait au loin, là sur cette plage.....

Fav respira à plein poumon en regardant la mer....
Jamais elle n'avait vu une telle étendue d'eau. Jamais elle n'avait vu une telle couleur, un tel bleu.Elle comprenait aujourd'hui pourquoi on parlait de cette mer en la dénommant la grande bleue.

Elle s'approcha du bord de l'eau, posa sa besace et son bâton, retira ses chausses et enfin, commença à marcher les pieds dans l'eau.
La mer était chaude. Fav en fut bien surprise. Elle releva un peu ses loques et s'enfonça un peu encore dans la mer.

Des gabians volaient au dessus d'elle, ils criaient.....on aurait dit qu'ils riaient de la voire marcher dans l'eau.....

La fâtigue qui pesait en ses jambes semblait s'atténuer.

Fav resta un moment à marcher en bord de mer.....en râvassant.

Dotyy

Dotyy qui courrait toujours sentit deux bras puissant l'attraper et elle se retrouvât sur les épaules de Jehan. Elle ne pût s'empêcher de rire. Elle arrêtât de rire quand il s'avançât vers l'eau tout en lui disant :

Citation:

Depuis le temps que tu me verse des sceaux d'eau sur la figure, je dois me venger !

Elle se mit alors à hurler.

AH NONNN ! Pas.....

Elle n'eût pas le temps de finir ca phrase qu'ils etaient tous les deux dans l'eau. Ils partirent tous les deux à rire.

Citation:

Nous voila beaux comme ça !

Oui ! magnifique je trouve.

Elle lui sourit a son tour et quand il posât ses lèvres sur les siennes avec tendresse, elle frissonnât et se laissât aller contre lui et répondit avec tendresse.
Quelques secondes s'écoulèrent seulement mais elle eu l'impression que le temps venait de s'arrêter.
Elle reculât un peu et se mit à rougir.
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Jehan.

Jehan la regarda tendrement, repassant une petite mèche de cheveux qui la gênée derrière son oreille avant de lui sourire.

Jehan prit Dotyy dans ses bras et la ramena doucement sur la plage.
La voyant frissonner, il frotta ses bras pour la réchauffer..

Je t'aurais bien donné ma chemise mais je ne crois pas qu'elle va te réchauffer !

Jehan se mit à rire avec elle puis caressa doucement sa joue en regardant le soleil briller dans ses yeux.

Dotyy

Dotyy avait froid, il faisait beau mais l'eau etait un peu froide. Ses habits lui collé a la peau. Elle sentit Jehan la prendre dans ses bras et la ramener sur la plage.

Citation:

Je t'aurais bien donné ma chemise mais je ne crois pas qu'elle va te réchauffer !

Dotyy se mit a rire.

Oui je crois pas qu'elle va beaucoup me réchauffer, nous devrions rentrer. Je n'avais pas prevut une baignade aussi habillé faut dire.

Elle lui sourit, se levat et rangeat les affaires. Ils prirent ensuite la route pour rentrer au village.
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Chrego

Quelques jours après le retour de l'escapade Lodévoise, Chrego était allé récupérer Bartholomée chez les Frères où il l'avait laissé un temps, le temps de se vider l'esprit après que la maladie ait eu raison de Kall - du moins c'est ce qu'il espérait. La virée hors de Béziers avait été l'occasion de changer d'air, s'éloigner un peu de la maison tellement chargée de choses devenues si difficiles à supporter en cette période. Au gré d'une amitié qui s'était nouée sur le chemin de Lodève, Chrego avait d'ailleurs un peu eu l'impression de reprendre le dessus; mais un départ visiblement précipité venait de mettre fin à ce qui semblait vouloir commencer à se dessiner. Qu'est ce qui se dessinait, d'ailleurs? Bonne question... Chrego n'en savait finalement pas grand chose, d'autant plus qu'il ne se sentait pas vraiment capable de construire quoi que ce soit de très solide pour le moment.

Après la récupération au monastère, donc, Chrego et Bartho descendaient le chemin qui mène à la plage, sans vraiment être très bavards. Cela faisait bien longtemps qu'ils n'étaient pas venu par ici d'ailleurs; mais la journée était belle pour l'arrière saison, et depuis le haut de la plage où la mer était devenue visible les reflets brillants du soleil sur les flots les éblouissaient - d'ailleurs Bartho grimaçait de temps en temps.

A lalo?

Chrego sourit...

Oui, c'est de l'eau mon Bartho. Tu veux qu'on s'approche?

Hochement de tête de Bartho qui signifiait que oui, il l'amène donc tout au bord, puis défaisant leurs chausses et retroussant le bas de leurs braies, il mettent doucement les pieds dans l'eau. Elle n'était finalement pas si fraîche que Chrego l'aurait pensé.

Bartho regardait les petites vagues et le léger reflux de la mer à ses pieds, tellement concentré dessus qu'il manque perdre l'équilibre. Mais Chrego qui le tenait toujours par la main, resserre vivement la petite main dans la sienne et, levant un peu le bras, retient son fils parcouru d'une légère frayeur à la sensation de début de chute avant d'être retenu.

Papaaaaa!!!

Hééé, t'as failli tomber là, hein! Mais Papa est là, t'inquiète pas. On retourne sur le sable, tu veux?

S'écartant de l'eau, il s'assoient sur le sable non loin de là. Chrego installe Batho entre ses jambes, face à la mer, l'entourant de ses bras. Sa tête vient rapidement se poser tout contre celle du petit, en silence. Il n'arrivait pas à expliquer grand chose à Bartho, c'était si dur... Expliquer quoi, d'ailleurs? Retrouver son petit bonhomme l'écartelait littéralement, entre le bonheur de retrouver son fils, et la douleur de la disparition encore si fraîche de celle avec qui il l'avait conçu. Mais il ne pourrait rien changer désormais, restait à accepter les choses. Il faudrait du temps, c'est certain...

Une larme perla au coin de l'oeil de Chrego, qu'il laisse couler. Ils restent là un moment à regarder la mer; Bartho montre du doigt une mouette qui plonge chercher un poisson à la surface, Chrego lui explique qu'elle fait ça pour manger.

A mam le ouiso?

Oui, il a faim, sans doute. D'ailleurs, t'as pas faim toi? On ferait bien de rentrer pour préparer à manger je crois...

Rechaussant son fils, ils remontent ensuite de la plage pour se diriger la maison.

Jehan.

Jehan se leva d'un seul coup et se mit à courir après Dotyy.
Après quelques mètres il réussit enfin à l'attraper et la pris sur ses épaules, l'emmenant vers l'eau...

Depuis le temps que tu me verse des sceaux d'eau sur la figure, je dois me venger !

Jehan arriva dans l'eau et plongea dedans avec elle en rigolant.

Nous voila beaux comme ça !

Jehan lui fit un sourire avant de lui déposer un tendre baiser sur les lèvres.

Scott

Scott voulait visiter la ville mais une envie irrésistible le conduisit vers la plage ....Lui qui en avait jamais vus , il se demandait a quoi cela pouvait ressembler ...Il en avait tellement entendus parler de la mer qu'il en rêver chaque nuit .

A son arriver sur celle ci , il avait les yeux éblouies par sa beauté et se doux son que les vaguelettes venant s'écraser sur le sable lui procurer aux oreilles était un enchantement qui l'emporter dans un monde féerique tout étant éveiller ....

Scott continua de marcher avec cette drôle de sensation que lui procurer le sable sous ses pieds ...Cela lui donna beaucoup de plaisir tel un massage fait par une charmante femme ..... Scott sourit a cette idée un peu confuse .....Il regardait l'eau et avait envie de se baigner mais surpris par sa superficie , il prit un peu peur ..Lui qui ne savait pas nager , alors il se mit a s'assoir admirant la splendeur de cette beauté naturel ....

Camelle

Camelle et Ric arrivèrent à la plage, tenant Gamine par la bride.

Ils l’avaient sellée en utilisant le tapis de selle tout neuf que Ric venait d’offrir à Camelle, puis avaient placé la vieille couverture qui avait jusque là fait fonction de tapis de selle, derriére pour permettre à Ric de monter en croupe.

Gamine, en bon cheval camarguais semblait apprécier la proximité de la mer, elle avait tout d’abord remué les oreilles en entendant le bruit des vagues, puis elle ne faisait que remuer les naseaux.. des souvenirs de son enfance camarguaise remontaient manifestement dans sa mémoire.

Camelle monta la première, puis Ric vint la rejoindre en croupe et Gamine se mit à avancer sans probléme apparent, au pas dans un premier temps, puis ensuite au trot.

Camelle laissa alors Gamine, qui manifestement en mourait d’envie, se diriger vers la mer.

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La promenade sur le dos de Gamine était un vrai moment complice. Ric tenait Camelle par la taille et la laissait guider le cheval, elle était bien meilleure cavalière que lui...

Lorsque Gamine s'approcha de l'eau et commença à trotter sur le rivage ce fût un vrai régal. L'air tiède, le bruit de l'eau,les mouvements au trot, les embruns marins...et Camelle contre lui...Le paradis devait ressembler à ça.

Il déposa un baiser dans le cou de sa fiancée et profita pleinement de la ballade.

Au bout d'un bon moment, Gamine commença à ralentir. elle était encore jeune et il ne fallait pas trop l'épuiser. Par un heureux hasard,ils étaient sur leur plage de "Mer et Soleil" et leur roulotte était toute proche.

Dis moi mon Coeur, tu t'es entendue avec ta complice pou r qu'elle soit fatiguée dans ce secteur ? Moi ça me va en tout cas...On va ouvrir un peu la roulotte ?
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Dotyy

Dotyy ne put s'empêcher de sourire quand elle le vit commencer à creuser le sable avec la petite cuillère. Elle fut encore plus surprise lors qu'il allât chercher de l'eau avec ses mains.

Citation:

allons-y, par contre il va nous falloir de l'eau pour rendre notre construction plus solide !

Elle se mit à rire et lui dit :

Je crois qu’avec des autres matériaux cela seras plus facile.

Elle sortit alors de son panier quelques jouets d'enfants et le lui donnât. Elle prit elle-même un seau qu'elle allât remplir d'eau. Elle versât l'eau sur le sable et partis en chercher un autre.

Quand elle revient, elle se mit aussi à construire le château de sable. Elle s'arrêtât quelques instants et regardât Jehan. Le château etait presque finis et ils etaient tous les deux couverts de sable. Elle se mit alors à rire, elle se levât et s'approchât de lui.

Elle avait discrètement prit avec elle le seau remplit d'eau et elle s'adressât comme si de rien n'etait à Jehan.

Le château est une grande reussit mais je crois bien qu'une bonne douche s'impose.

Il n'eut pas le temps de dire oufffff, qu'elle lui versât le seau sur la tête tout en riant. Elle lâchât le seau et détallât comme un lapin, Jehan lui courant après.
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Jehan.

Jehan se demanda un instant si Dotyy n'avait pas bu quelques bières de trop puis commença à creuser le sable pour faire le contour du chateau...

Allons y, par contre il va nous falloir de l'eau pour rendre nôtre construction plus solide !

Jehan se leva et alla chercher de l'eau à plusieurs reprises dans ses mains.

Il revint se coucher sur le sable et regarda Dotyy qui avait l'air de s'amuser comme une enfant, Jehan afficha un sourire sur son visage, laissant ses mains mouler le château...

Damelou

Lou lui sourit. Elle était heureuse d'être dans ses bras plus rien ne comptait que ses lèvres sur les siennes, son corps pressé contre le sien. une douce chaleur l'envahit et le contraste avec la fraicheur de l'eau environnante, la fit frissonner. Quand Dan le remarqua, il lui proposa de rentrer et ce fut avec plaisir qu'elle accepta.

- J'accepte avec plaisir mon coeur mais je ne suis pas sur que la cheminée et le vin chaud soit de saison mais c'est justement pour ça que l'aidée est excellante et puis le plus important c'est que l'on soit ensemble.

Dan l'emporta dans ses bras, Lou surprise s'aggripa à son cou et éclata de rire.

- effectivement tu ne veux plus me lâcher mais ne t'inquiète pas mon ténébreux capitaine je suis prise dans tes files et je n'ai plus l'intention de m'enfuir.

Ils sortirent de l'eau, il la déposa et c'est main dans la main qu'il rassemblèrent leur affaires et qu'il quittèrent la plage.
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Jehan.

Jehan marchait au bord de l'eau, pieds nus, les mains dans les poches, vêtu de ses braies et d'une chemise au col ouvert. Le vent venait traverser ses cheveux, les laissant danser sur sa tête...

Jehan avait rendez vous avec Dotyy et l'aperçue couchée sur le sable au loin...
Après quelques pas, il arriva enfin à sa hauteur et se laissa tomber sur le sable à ses côtés.

Coucou !

Jehan passa ses bras sous sa tête pour la maintenir et laissa un sourire égayer son visage...

Dotyy

Dotyy avait toujours les yeux fermés quand elle sentit quelqu'un se laissant tombé à coté d'elle. Elle nu pas besoin d'ouvrir les yeux pour s'avoir qui cela etait.
Elle reconnut son parfum et sa voix.

Citation:

Coucou !

Elle se tournât vers lui et lui fit un sourire.

Coucou toi, alors prêt pour la grande aventure coffre la plage et la mer ?

Elle affichât un regard remplit de plaisir et de joie.

Nous allons commencer par construire un immense château de sable.

Elle s'arrêtât quand elle vit l'expression sur son visage et reprit.

OUI, OUI tu as bien entendu un château de sable. Comment veux-tu que le prince délivre la princesse sans château ! Ne t'inquiète pas j'ai tous prévus.

Elle sortis de sa besace une petite cuillère et lui tendit.

Voila pour faire le château.

En voyant de nouveau son visage, elle ne put se retenir plus longtemps et éclatas de rire.
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Dotyy

Dotyy etait pas venue à la plage depuis très longtemps et cela lui manqué.

Elle avait rendez-vous sur la plage. Elle arrivât et ne vit personne. Elle déposas le panier et les couvertures au sol. Elle en disposât une bien sur le sable et laissât les autres en tas.

Elle défit ensuite ses bottes et allât tremper ses pieds dans l'eau. Elle marchât un moment comme cela. Laissant libre cours a ses pensées.

Quand elle commençât à être fatiguée, elle allât s'allonger sur la couverture et attendit les yeux fermés.
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Danael

Dan regardait l'adorable naïade évoluer autour de lui. Souriant, il l'observait comme un prédateur.
Soudain, il plongea et nageant avec énergie, se propulsa en un instant auprès d'elle, la capturant à nouveau de ses bras.

" Là je te tiens ... et je ne te lâche plus ... "

Collant son corps contre le sien, il pressa ses lèvres sur les siennes. L'eau fraîche clapotait doucement autour d'eux, et le temps s'était arrêté comme par magie. Ils échangèrent un long et langoureux baiser, enlacés.

La sentant frissonner dans ses bras, Dan se dît qu'il avait vraiment envie de se retrouver dans un endroit chaud et douillet avec sa douce .

" Que dirais-tu d'un verre de vin chaud, un feu de cheminée, toi et moi ... "

Il la regarda avec un sourire coquin.

Danael

Dan se mît à rire en voyant filer sa sirène, munie de jambes ravissantes au demeurant ...
Relevant le défi, il partit derrière elle en courant comme un beau diable, l'imitant ... en nettement moins gracieux ^^...
Faisant voler bottes, braies et gilet, il était sur le point de la rattrapper quand il s'empêtra dans sa ceinture en corde et s'écrasa brutalement le nez dans le sable.
Les pattes ligotées comme du bétail, il roula avant de s'immobiliser dans une position ridicule. Prit d'un fou rire, il eut un mal de chien à défaire les noeuds.
Se relevant avec autant de dignité possible, il trottina doucement jusqu'à l'eau. Il rejoignît sa Lou et la serra contre lui aussitôt.

" Hmmm ... il y a nettement moins de vêtements entre nous, là ... "

Damelou

Lou émergea un peu plus loin au moment où Dan se prit les pieds dans sa ceinture. Elle fit demi tour de peur qu'il se soit fait mal et pour venir l'aider. Se rapprochant de la plage, elle vu qu'il rigolait, elle en fut rassuré et se mis à rire à son tour en le voyant se débattre comme il le pouvait.

Enfin il vint la rejoindre, la prenant dans ses bras. Elle ne pu retenir un frisson au contacte de son corps musclé.
Elle lui sourit toute rougissante en l'entendant parler du peu de vêtements qui les séparaient.

- C'est vrai que là je ne peux te cacher grand chose...

Sur ses mots elle l'embrassa tendrement sentant ses mains sur son corps. C'était si doux si sensuel et si nouveau pour eux deux que s'en était déroutant. Ils s'étaient tant désiré dans le passé sans pouvoir laisser court à ce désir. Ils durent même l'en fouir au plus profond d'eux même si longtemps que leurs gestes en étaient hésitant. L'interdit d'autre fois était enfin permis, ils pouvaient s'aimer librement.

Ce fut plus fort qu'elle, elle l'arrosa et éclata de rire se qui eu l'effet escompté elle se détendit. Elle s'échappa, s'éloigna un peu et nagea au tour de lui restant hors de porté. Leur regard était rivé l'un à l'autre plus rien n'existait.
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Damelou

- c'est parfait Dan.

Elle lui sourit et se précipita vers l'eau avant qu'il ne réagisse en lui criant

- LE PREMIER A L'EAU GAGNE...

Elle rit et se mit à courir très vite retirant chemise braies bustier les semant sur son passage et gardant que sa jupette avança dans l'eau un peu fraiche mais très agréable. Arrivée à mis cuisse elle plongea dans l'eau...
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Danael

Dan revenait sur la plage, pas seul cette fois ...
Main dans la main avec sa Lou, il marchait pieds nus sur le sable chaud et fin. Le soleil léchait de ses rayons leurs visages souriants, et un vent léger et rafraichissant leur caressait la peau.

Tous les deux venaient de s'échiner à démonter le parquet de l'Estaminet, et étaient couverts de poussière. Un petit bain de mer les rincerait et les détendrait à merveille.

Dan et Lou s'arrêtèrent dans un endroit un peu à l'abri des regards. Dan installa une couverture, et déposa le petit panier de victuailles qu'il avait emporté. Il regarda sa compagne:

" On s'arrête ici Lou ? Tu en penses quoi ? "

Damelou

Lou après avoir été pêcher décida comme tous les jours depuis son retour de retraite d'aller nager. Elle défit bottes braies corsage et garda le minimum puis elle nagea jusqu'à épuisement et enfin se laissa revenir par les vagues. Elle resta sans bouger allongé sur le sable les jambes léchées par les vagues se faisant sécher au soleil quand un vacarme impossible lui parvint derrière elle. Elle se retourna surprise qui pouvait bien faire plus de bruit que les mouettes et elle ne fut pas étonné et elle se demanda pas pourquoi d'ailleurs que c'était Dan qui faisait de la pub pour son frérot Xav. Elle éclata de rire. Ils étaient champions tout les deux pour lui remonter le moral. Elle l'interpella

- Hey!!! Dan il n'y a bien que toi pour faire plus de bruit que les mouettes et les vagues réunies et tu as raison d'avoir choisi le débardeur cette fois ci car tes fesses ont encore du mal à s'en remettre de la dernière campagne de pub.

Elle riait de bon cœur.
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Danael

Dan se mît à courir sur la plage, cheveux au vent mais la brindille bien accrochée, en hurlant aux baigneurs un peu effarés :

VOTEZ XAAAAAAAAAAAAAAV !!!!!!!!

Bruno

le couple arrivée de provence invité par leur amie Camelle c'était promis d'allez a la plage ensemble .après une journée en taverne avec leur amie ,et de retrouvaille amoureuse après une longue etreinte de desir et plaisir , hevi etait impatiente de voir la mer de si baigner ,mais thierry n'etant pas nageur a part patauger dans une marre dans sa jeunesse et après avoir faillit ce noyer a marseille la suiva avec le l'envie de lui faire plaisir .

elle le prit par la main et l'attira vers elle l'embrassa longuement pour le rassuré de la suivre .une belle soirée sous la chaleur de l'été de beziers sous une lègere tramontane .telle une déesse il admirait son ange arrivé sur la plage il eu une appréhension mais ce sentait en confiance près de son amour .

une plage féerique telle des vagues qui bercer le rivage par le clapotis de la mer en cette tombé de nuit .

il la regarda ce deshabiller un peu gène de la voir nue sur cette plage telle une déesse ,elle lui demanda de faire de même pour ce bain en amoureux .

elle le serra contre sa poitrine et l'embrassa longuement en ce frottant contre lui .elle le prit par la main et l'emmena vers cette eau qu"il redoutait tant .il la suiva pas a pas admirant sa beauté en ce clair de lune avec sa cheveulure blonde .elle mit enfin les pieds dans l'eau en le serrant contre lui tel qu'elle voudrait l'attirer vers elle telle une sirène elle avancer vers la mer en le tenant dans ses bras ce sentant en sécurité il la suiva comme un element etranger a la mer mais en confiance dans ses bras il commença a le faire flotter tel une planche ou patogeant comme un canard pendant qu'elle nageait a merveille il éssaya de la suivre mais jusque la ou il avait pieds elle lui sourit amoureuse en nageant elle revient vers lui l'embrasser longuement en ce collant contre lui .une longue soirée en amoureux passée au bord de mer au coin d'un petit feu leur corps coller l'un contre l'autre a ce faire des calins tendrement bercer par la mer
il se promire de revenir si baigner avant de rentrée chez leur amie pour ce retrouver dans un lit douillet pour une longue nuit amour
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Timeo

Un Retour?????

Beziers, ville de Timeo dans toute sa splendeur, ville qui avais aimé, mais qu'il avais sus quitter pour Evanes...
Oui, il ne regrettais pas de l'avoir suivit, même si depuis il était devenus père, marie itout...Avec une autre...
Bon, tout celas étant passé, étant également une expérience que le jeune homme ne regrettais pas...

Mais maintenant, il était, enfin, avec Evanes, celle qu'il aimais depuis le début, mais dons divers événements les avaient séparés...

Du passé, voila ce que s'était, du passé, et maintenant il était heureux avec elle, sur les chemins, et plus particulièrement ici à Béziers...

Il était donc assis à même le sable, sur cette plage de nombreuse fois parcourue, se laissant à rêver d'un avenir meilleur, avec elle...
Il espérais, que comme dans la capitale, elle saurais le trouver, ici, sur cette étendue de sable...
Caressant se dernier du dos de la mains, il laisse son regard couleurs émeraudes caresser la courbe des vagues, humant avec plaisir l'air salin...

Heureux; voila l'état d'esprit du Tim à se moment, heureux d'être là, heureux d'aimer une femme qui le lui rendais bien, heureux de vivre, avec elle...Pour elle...

Evanes

Ils avaient quitté Lodève, pour venir prendre un peu l’air à Béziers.

Une ville qu’elle appréciait….
La ville où il avait habité….et qu’il avait décidé de quitter pour la suivre…alors qu’il ne la connaissait pas…

On ne contera pas l’histoire, et on ne pourra d’ailleurs pas la refaire, mais une fois arrivé la bas, c’est avec une autre qu’il a fini….qu’il s’est marié….qu’il a eu un enfant….

Mais aujourd’hui….leur histoire terminé…Les deux avaient fini par se retrouver….Et afin d’être libre de pouvoir s’aimer, ils avaient entreprit un petit voyage en amoureux….ou presque….Puisqu'Evanes avait la garde de la fille de Tol…

Après une belle journée à Montpellier, ils avaient repris la route le soir même, pour arriver enfin à destination.

Le nouveau couple avait pris une chambre dans une auberge pour y passer leur séjour….bien qu’ils ne savaient pas combien de temps durerait leur escapade.
La route les ayant fatiguées, les 3 s’étaient endormis , récupérant du voyage.

En ouvrant les yeux….comme la veille, Tim n’était déjà plus là….
Elle sourit, sachant que comme la veille, elle aurait des chances de le trouver à la plage.
Elle se leva en hâte, mist quelques affaires dans une besace dont elle fit passer la sangle autour de son cou, prit la petite dans ses bras, et d’un pas décidé partie à sa rencontre.

Cette fois ci, elle n’avait pas osé confier la garde de la petite à l’aubergiste, de peur de culpabiliser de vouloir s’en débarrasser pour pouvoir se retrouver seule avec celui qu’elle aimait…..

Les voilà arrivée à la plage.
Evanes regarde à droite puis à gauche…cherchant du regard une silhouette….sa silhouette ….
Elle croit le reconnaitre au loin….faut dire que la plage n’est que peu fréquenté, il qu’il est par conséquent aisé de trouver celui qu’on cherche….

Elle marche difficilement dans le sable…le poids de sa besace et de la petite n’aidant pas….et ses chausses toujours aux pieds ne facilitant en rien….

Au fur et à mesure qu’elle avance, la silhouette qu’elle avait cru reconnaitre se dessine et se précise….
Au fur et à mesure qu’elle avance, son sourire qui ne la quitte plus depuis des jours, vient se fixer sur son visage….C’était bien lui, assit sur le sable.

« Dis-moi….ça devient une habitude de te sauver avant que je me réveille…..Tu crois qu’un jour je vais avoir l’honneur d’ouvrir les yeux et de te voir à mes côtés ? »
Evanes lui sourit, dépose sa besace sur le sable, se penche vers lui, la petite toujours dans les bras pour lui déposer un baiser, et lui tend la petite.
« Tu peux la prendre 2 min ? »
La question était juste la pour la forme puisque celle-ci n’étant même pas fini, la petite était déjà dans les bras de Tim.
Elle sortit de sa besace un drap qu’elle étala sur le sable en s’aidant de la petite brise.
« Merci ! »
Elle reprit la petite, et la déposa sur le drap.
« Voilà….Elle sera très bien ici ! »
Un sourire à la petite, elle s’assied à ses côtés, et tout près de Tim.

Elle retire ses chausses et ses bas afin d’être à l’aise. Fait un sourire complice et amoureux à Tim tout en allant chercher sa main pour , mêler ses doigts aux siens.
Elle l’embrasse tendrement, puis pose sa tête contre son épaule, et fixe l’horizon.
Elle profite du moment, elle est bien….heureuse….
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Lyric0467

Ric était content de sa journée, il venait de terminer une magnifique ceinture brodée pour une amie. Il avait besoin de prendre un peu l’air, et ses doigts s’engourdissaient quelques peu à force de travailler le cuir et de piquer.
Camelle lui avait glissé qu’elle irait sans doute faire un tour à la plage pour décompresser, elle aussi en avait grand besoin…
Il prépara une petite collation en passant à la maison, c’est là qu’il se rendit compte que la barque de Camelle manquait. Il pensa qu’elle avait préférer aller nager un peu au large, en excellente nageuse qu’elle était. Le cœur léger, comme c’était le cas depuis déjà plusieurs jours, il prît la direction de la plage qu’ils avaient baptisé « Mer et soleil », à l’embouchure de l’Orb et où trônait leur roulotte.

Son sourire disparût lorsqu’il entendit au loin une voix appeler à l’aide…Il reconnut immédiatement sa fiancée. Elle ne semblait pas souffrir, c’était plutôt une voix forte qui portait loin…Il c’était passé quelque chose de grave…Vite il accouru et en passant au somment d’une petite dune, sa vision se porta sur la silhouette si familière de son cœur…Elle semblait aller bien, ce qui le rassura. Par contre quelqu’un était étendu sur le sable,à côté de la barque.

Quelques instants plus tard, il les avait rejoint et reconnu Testie, leur voisine et amie qui semblait assez mal en point. Il se tourna vers Camelle : Ca fait longtemps que tu cries ainsi ? On t’entend à des kilomètres avec cette brise marine qui porte !!! Comment se fait il que personne ne soit venu ? …..Enfin bon, pas grave, il faut s’occuper de Testie. Le mieux c’est de la ramener à sa maison, tu m’expliqueras en route ce qui c’est passé….Tu vas bien mon Cœur au moins ? Ric se rendit compte qu’il parlait trop vite et souffla un peu pour se calmer et rassurer Camelle.

Elle ne pourra pas marcher et ce n’est pas très prudent de la porter sur mes épaules…attends…

Il se dirigea vers les dunes ou il récupéra quelques morceaux de bois solides et à peu près droits. Revenant près de Testie, il les disposa au sol entrecroisés puis fixa dessus sa cape, de sorte à faire une sorte de civière de fortune…Il sacrifiait là sa cape favorite mais peu importait, c’était une belle fin pour elle si elle sauvait une vie.

Laissant Camelle ouvrir la route, il traina la civière lentement jusqu’à la ville, espérant que leur amie tiendrait le coup. Arrivés près de la maison, il demanda de l’aide à Camelle pour finir le trajet…
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Shaena

Shaena se retrouvait seul,l'alerte avait été donner et son homme, à peine rencontrer déjà il était parti, elle ne savait pas combien de temps il serait absent.

Elle se leva et partie du coté des tavernes en éspérant y voir son frère quelle voyait de moin en moin.

Destron

Destron fut tellement tourmenté par son regard aussi fascinant qu'une

sirène attrapant sa proie sur le rivage,qu'il ne faisait plus attention à ses

pieds

"Ah oui...certes...un marin avec du rhum dans le sang,c'est

maladroit!"

Il retira ses bottes et s'assit dans le sable...il ne put s'empêcher de la

blottir dans ses bras en regardant ce magnifique rivage aussi brillant que

l'argent sous un fugace levé de soleil

"tiens!une mouette!regarde c'est incroyable elle...mange un...crabe...

mouais bon...héhé ça donne faim tout ça!j'ai apporté le casse-croûte;tu as

faim?"

Il attendit sa réponse tout en l'embrassant avec hâte,cette beauté qui

lui arrive du ciel tel l'amour d'Aphrodite lui envoyant un de ses plus

merveilleux présents jamais connu en ce bas monde

Shaena

Shaena ajouta:

Et un chouillat de Calva!! Elle ria.

Elle lui prit la main enlaçant ses doigts dans les siens, pieds nue elle l'emmenait au bord de l'eau, elle lui raconta un bout de sa vie.

Marchant lentement main dans la main, elle découvrait jour après jour son poséidon, son Desmouaite, son mâle.. rencontre inattendue et sentiment évoluant, les mots magiques était imminent, presque présent et Shaena attendait se jour la.

Leur rencontre en taverne sur le thème des mouettes, leur rapprochement aussi soudain qu'extraordinaire l'avait rendue heureuse et elle oubliait peu à peu se qui l'avait rendu triste, elle rigola en le regardant et lui dit:

ma petite mouette, regarde tes pieds, tu as encore tes bottes!!

Et sans le laisser répondre tout de suite, elle l'embrassa tendrement.

Destron

Destron redécouvrit la plage en cette belle soirée d'été sans nuage et

doté d'une merveilleuse pleine lune reflétant encore mieux la beauté de

sa sirène,sa mouaite,sa moitié,sa déesse Aphrodite.Il ne pouvait rêver de

mieux dans sa vie que de profiter de cette soirée près de la mer avec sa

belle

"à moi le rhum,la liberté,le sable blanc,et ma belle femme!"
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--Biturin

Comme chaque soir, Biturin s’était affalé sur la plage, à même le sable, où il avait cuvé toute la vinasse qu’il avait engloutie au cours de sa journée.

Tout a coup, des cris parvinrent à percer jusqu’à son cerveau, embrumé par l’alcool « a l’aide a l’aide a l’aide … »

Il ouvrit un œil, se redressa avec difficulté, le réveil était dur et son cerveau pas encore apte à fonctionner normalement…il chercha machinalement de la main sa bouteille afin de boire sa première gorgée du matin mais la voix insistait, il décida donc d'aller voir de quoi il retournait.

Il commença à se lever, mais sa tête se mit aussitot à tourner et le sable de la plage à tanguer...de sorte qu'il se retrouva prestement face contre le sable, à finir de cuver la sévére cuite qu'il tenait, incapable d'aider qui que ce soit pour le moment......

Testie

Testie commençait à avoir les jambes qui s'engourdissaient, sans s'en rendre compte elle s'était allongée, son corps toujours porté par la mer, seul son visage sortait de l'eau, les yeux fermés, elle "écoutait" le silence...

Elle ne pensait plus à rien, elle s'y refusait...

Elle ne vit pas la planche de bois qui flottait et qui allait à sa rencontre, elle ne ressentit qu'un choc sur sa tempe...

Un fin filet de sang colora un instant la mer si claire, puis doucement, sans un bruit ,sans un cri, son corps s'enfonça un peu plus, puis son visage... elle allait disparaitre de la surface de l'eau...
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Camelle

Comme chaque jour, Camelle avait sorti sa barque et était partie au large, pour pécher les ingrédients nécessaires à la confection de la soupe de calamar à la crème servie dans sa taverne. « aux délices des 9 écluses »

Elle appréciait particulièrement ce moment de calme total, seule avec la mer, accompagnée parfois de quelques mouettes a l’affut d’un repas .

Justement elle eut son attention attirée par un groupe de mouettes qui tournaient au dessus d’une forme claire qui flottait un peu plus loin.

Intriguée, elle donna quelques coups d’avirons vigoureux dans sa direction et s’approcha de la forme…il s’agissait d’une femme. Aussitôt Camelle se jetta à l’eau , puis, la ramena tout contre la barque sur laquelle elle la hissa.
Une traverse de bois s’échappa alors de la robe dans laquelle il était resté emprisonné, empéchant la malheureuse de couler.

A son tour, Camelle se hissa dans sa barque afin de voir si elle pouvait encore faire quelque chose pour ramener la victime à la vie. D’un revers de main, elle écarta les cheveux qui en masquaient le visage et elle s’écria « oh mon dieu, c’est testie… » elle venait de reconnaitre sa voisine et amie.

Ses réflexes de pécheuse expérimentée prirent aussitôt le dessus sur son émotion, et, de quelques mouvements précis, elle rétablit la respiration de la malheureuse qui était toujours inconsciente.

Elle se mit alors à souquer ferme en direction du rivage tout en criant « a l’aide , a l’aide a l’aide »

Testie

Elle était dans sa bulle, perdue dans un autre monde où aucun bruit ne lui parvenaient, elle n'attendit même pas passer le cheval au galop derrière elle, elle ne voyait plus rien, n'entendait plus rien, son cœur était meurtri et son esprit était vide.

Machinalement elle retira ses chausses, pourquoi elle ne le savait même pas, elle continuait de fixer l'horizon.

Doucement elle commença à rentrer dans l'eau, elle ne sentit que très peu la fraicheur de l'eau, elle avançait toujours droit devant elle, l'eau lui arrivait maintenant à la taille, sa robe flottait autours d'elle, elle ne pensait à rien sauf à disparaitre dans cette eau pour fuir la douleur qu'elle ne pouvait plus supporter, elle n'en pouvait plus de souffrir, elle voulait tout oublier...

Sa démarche se faisait plus difficile mais ce n'est pas ce qui l'arrêtait, elle continuait d'avancer, les yeux toujours fixés vers l'horizon, l'eau arrivait maintenant aux épaules, sa robe la gênait dans ses mouvements mais elle continua, elle était maintenant sur la pointe de pieds pour avancer, elle n'avait qu'une idée avancée, toujours plus...

Machinalement elle se mit à nager, pour aller encore plus loin, là où elle ne pourrait plus toucher le sol. Ses cheveux flottaient autours d'elle, elle finit par s'arrêter, resta un instant sur place à battre des pieds pour rester à la surface, un court instant elle revit le visage tant aimé, puis les battements de ses pieds s'arrêtèrent,

Elle était portée par l'eau, laissant le destin choisir son avenir....
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Shaena

Shaena était détendue, portée par les vagues, les yeux dans les nuages, elle sursauta à l'écoute d'un hennissement de cheval.

Elle se redressa regarda plus loin et aperçût son frère qui l'observait, une belle grande grimace se dessina sur son visage, qu'allait il dire... une baignade nue.

Elle sortit de l'eau et rapidement se cacha de ses vêtements, elle jeta un oeil sur Dalila puis jeta un oeil sur Divi et lui fît un grand signe de la main, voulant le salué.

Testie

Elle marchait sans but, les yeux remplient de larmes elle avançait sans rien voir de particulier, elle était perdu, elle avait mal, si mal, son cœur saignait, sa gaité l'avait abandonné tout comme son envie de vivre... d'ailleurs comment pourrait elle vivre sans lui, lui qui était tout pour elle, son ami, son amant, son mari, le père de ses enfants...

Elle aurait voulu disparaitre, ne plus penser à rien, oublier tout les merveilleux moments de bonheur qu'elle avait partagé avec lui et qui ne reviendront jamais.

La vie pour elle était devenue triste et sans intérêt, a quoi bon continuer à vivre, pour qui ? pour quoi ?

La jeune femme c'était arrêté, les pieds dans l'eau et fixait l'horizon, son corps était secoué de sanglots et les larmes inondaient son visage.
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Shaena

Shaena finie par se revêtir, ne voyant pas son frère approché, elle grimpa sur sa jument, ses cheveux encore mouillé de sa baignade.

Elle se passa un rapide coup de main dans sa chevelure et prit la direction de chez Snoop qui lui avait fait promettre de passé boire un verre. La chaleur était lourde, elle était presque sèche mais la soif se faisait sentir et Dalila devait avoir soif aussi.

Elle partie au galop, s'arreta un instant au même niveau que Divinius et l'embrassa tendrement sur la joue.

Puis dans un tourbillon de sable, elle disparut.

Shaena

Shaena se réveilla doucement d'une nuit très courte, ses yeux lui piquaient, sa peau lui tiraillait de partout, ses moindres parties du corp lui faisait mal d'avoir dormi sur un sol dur.

Doucement elle se leva, dit bonjour à Dalila qui mangeait de l'herbe, arracha une pomme du pommier et lui donna, elle la prit volontié et la macha de toutes ses grandes dents, Shaena sourit.

Une idée lui vint à l'ésprit, se baignée, en tenue fraiche.

Elle s'approcha de l'eau et au fur à mesure quelle s'en approchait elle enlevait un vêtement, puis un autre, elle se sentait légère et transporté par le vent.

Peu importe qui pourrait la voir comme sa, elle s'en moquait, ainsi nue elle plongea contre l'écumes des vagues, se laissant glisser sur elles, elle pensait à son frère qui lui manquait tant.

Elle laissa échapper un sourire quand elle se dit que même en douceur ou en raleur il était toujours aussi beau.

Divinius

En cette journée, Divinius, décida d'aller faire un tour avec son cheval, qui n'avait pas été monté depuis bien longtemps ! Il y a de cela quelques semaines qu'il se promenait dans le petit espace que représente son jardin en face du Fleuve. Il scella son cheval, avec une selle confectionner par lui même, une fois ou il était sur les chemin ...a la recherche de produits a acheter. Une petite marque était d'ailleurs visible, sur le dessus de la selle.

Il partit au galop, d'un coup sec, son cheval n'ayant pas perdu les bonnes habitudes! Il sauta l'enclos du jardin et partit a vive allure, se frayant un chemin a travers les broussailles et les autres obstacles routiers.

Il continua a galoper, et se remit au trot arrivant sur la plage ou il aperçut de loin sa sœur, shaena...

Shaena

Comme elle l'avait prévue, Shaena voulait aller dormir à la belle étoile,elle sortie de la taverne de son frère et grimpa sur Dalila, une jument, un cadeau de Divi, inestimable, elle tenait à elle, souvent elle lui chuchotait des choses, se confiait, même si sa lui semblait bête, sa lui faisait du bien et Dalila aime que l'on prenne soin d'elle.

Elle se dirigeait vers le bord de mer, ou le bruit de l'écume des vagues l'empêcherait de pensé et l'aiderait à s'endormir.

Nuit noir, elle faisait marcher sa jument au pas lent, ses sabots claquait sur le sol, sa devait être bruyant pour les autres.

Elle se laissait dirigé par sa Dalila, un peu errant dans les rues de Bézier à la recherche du chemin de la mer, le bruit de l'eau commençait à se faire entendre, elle sourit puis au galop elle s'effaça dans la nuit noir.

Elle arriva sur l'herbe près du sable, descendit de son cheval et marchait à coté en tenant fermement sa corde pour ne pas quelle s'échappe, ou par crainte de la nuit, Shaena s'enfonça un peu dans les brouissalles, voulant se cacher des passants, être à l'abri de tout regard malhonnête et indiscrêt.

Elle finie par trouver une place potable qui irait juste pour cette nuit, attacha la corde de Dalila à une branche seche, s'allonga dans l'herbe, ses yeux restaient fixe dans le ciel puis elle dit :

Ma toute belle Dalila, toi tu n'as jamais de souci, quelle chance...Je t'aime ma belle jument.

Elle soupira, calmant sa respiration, posa sa main sur l'autre, touchait la bague que son frère lui avait offert.

elle n'entendait à présent que l'eau qui tapait dans les rochers non loin de la.

Dotyy

Dotyy qui gardait la fille de Apophise, Céleste, et le Fils de Stelounette, Zanellou dit Zan, avait décidé en cette belle journée d'août d'emmener tous les enfants pour une journée plage.

Au programme etait prévus : baignade, chateau de sable, detente, pique-nique et bien d'autre chose inventé par les enfants.

Elle arrivât à la plage avec sa nourrice et les 8 petits diables. Pule etait devenu un jeune homme il allait sur ses 14 ans quant au triplés il allait avoir 12 ans. Le temps passé trop vite.

Elle laissât les quatre grands et la nourrice portée tout ce qu'il fallait pour le pique nique et les activités et s'occupât des 4 derniers.

Iseult etait la plus grande des 4, elle avait 4 ans. Quand a Isoline, Zan, et Céleste ils avaient tous les trois, trois ans. A eux quatre ils faisaient une sacrée équipe.

Elle les regardat courir sur la plage. Quand il trouvèrent l'endroit qui leur convenait à tous, tache pas facile, il étendire des couvertures sur le sable.

Elle mit de coté ce qui serait utile pour le pique-nique.

Elle mit leur tenue de Bain aux petits, Zan fut un peu retissent mais elle finit par le convaincre que pour aujourd'hui cela etait mieux.

Elle les accompagnas au bord de l'eau. Au bout de quelques minutes elle etait trempée. Elle riait de bon cœur avec les enfants.

Quand ils en heur asses, elle leur montrât comment faire un château de sable et ils l'imitèrent.

Elle sourit en les voyant faire. Elle se mit ensuite sur une couverture et se laissât sécher tout en regardat les quatre grand faire les fous dans les dunes.

La journée etait vraiment belle.
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Snoop71

Snoop était dans les bras de Coccy, elle le calinait, elle était là comme elle l'avait toujours été quand Eowynn arriva à son tour pour lui faire un bisou et un câlin.
Voila maintenant qu'il manquait de bras quand tant de femme demandait des câlins...
Avec La force qu'il lui restait, les serra, l'une et l'autre et leur fit un Bisou.
Il entendait vaguement Eowynn qui lui parlait, mais tout n'était pas très clair dans son esprit, les mots était mangé, mélanger....
Quand Eo dit ses mots

Citation:

Snoop pourquoi tu as fait ça tu as pas le droit je te l'ai dit pourtant que ej serai toujours la pour toi franchement tu y pense a nous aux gens qui t'aiment tu réfléchis pas tu sais j'ai eu tres peur de te perdre n,e recommence plus jamais ça

Ces mots devenaient pour Snoop un truc complètement incompréhensible.
Snoop ne savait que répondre. Il se contenta de la regardait et de lui faire un sourire

Heu.... oui Eowyyn....

Eowynn

Eowynn se baladait au bord de l'au comme tout les jours quand elel vu une agitation au loin elle couru et aperçu nson mad, coccy et au sol snoop elle cria et courra a toute vitesse.

Le souffle court elel se jetta pret de snoop les larmes aux yeux

Snoop pourquoi tu as fait ça tu as pas le droit je te l'ai dit pourtant que ej serai toujours la pour toi franchement tu y pense a nous aux gens qui t'aiment tu reflechi pas tu sais j'ai eu tres peur de te perdre n,e recommence plus jamais ça

elle le pris dans ses bras et lui fit un énorme bisous

bon aidez moi on le ramene à la maison

Coccycrep

Désolée mais ai eu quelques soucis d'ordi, et le premier poste n'est pas passé.
Ceci doit donc être placé avant l'intervention d'Eox. Merci

Snoop crachait toute cette eau qu'il avait avalait, et bien plus encore.
Il la vit et :

Citation:

Coccy.... qu'est ce tu fais là ma belle???
Tu dois te reposer, et penser à toi et à Mini, pourquoi t es toujours là dans les pires moments toi?

Elle ne savait que répondre.

Se reposer ? Avec toute cette agitation ? Ses amis qui se déchirent ? Impossible !

Oui mais...
Elle avait de plus en plus de mal, un petit moral et son ventre qui tirait de plus en plus. Des coliques !... Elle disait ça à tout le monde mais elle n'y croyait pas vraiment.

Elle avait décidé de prendre du recul, mais sans pour autant partir très loin.
Elle avait le port, le conseil municipal et son boulot de connétable qui durait, durait...

Il fallait qu'elle trouve une solution.

Snoop essayait de se relever mais pleurait, gémissait, vomissait, eau, larmes, rage.

Elle l'aida à se relever un peu avant de le prendre dans ses bras et de le câliner en le berçant machinalement.
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Snoop71

Snoop était allongé sur la plage, il sentait bien qu il était transporté, que des bras le trainait, le portait, mais ses yeux restaient fermés, collés, comme impossible à ouvrir...
Il entendait une voix, une voix grave et apaisante, qu'il commençait à connaitre et reconnaitre au premier son

Citation:

Hé bha mon ptit gars que t'arrive t'il ??

Snoop se mît à tousser et à cracher toute l'eau qu'il avait avalée, courir après les dauphine ne lui valait rien non plus.
Continuant à toussé, il voulait répondre à son pote et sauveur...

Ben rien mec, j ai bu la tasse...

Puis il se laissa embarquer dans un rire nerveux, remplis de larme, un volcan d'émotions le submergeait. L'eau se mettait à sortir à nouveau, ses yeux se décollaient, il pu apercevoir le visage de Coccy, les yeux remplies de larme.

Coccy.... qu'est ce tu fais là ma belle???
Tu dois te reposer, et penser à toi et à Mini, pourquoi t es toujours là dans les pires moments toi?

Il essaya de se relever et se mettre un peu présentable, mais n'en eu pas la force, comme un gamin, il se remit à pleurer, fallait que cette colère passe, qu'il se vide et qu il vomisse cette rage qu il avait en lui.

Madfly

madfly regarda snoop qui s'emblait s'etouffer alors il le mit rapidement sur le coté, snoop se mit a tousser puis il cracha toute l'eau qui se trouver dans ces poumons .

Madfly regarda coccy qui avait les larmes aux yeux.
Madfly attendait que snoop crache toute l'eau de ces poumons ....

Coccycrep

Coccy entendit des bruits au loin.

Elle sortit de sa rêverie et tournant la tête en direction du bruit, se rendit compte que quelqu'un sortait un corps de l'eau.

Elle se mit debout difficilement, le corps un peu endolori et s'approcha rapidement pour voir s'il ne fallait pas qu'elle aide.

Tout en s'approchant, elle reconnu Mad qui ôtait sa chemise pour recouvrir le corps. La personne n'était donc pas morte, il fallait qu'ils se dépêchent pour lui donner les premiers soins dont elle aurait besoin.

Se laissant tomber à genoux de l'autre coté du corps, elle reconnu Snoop et attrapa vite la chemise de Mad pour en frotter le corps de Snoop. Il fallait le frictionner, le réchauffer et vite.

Les yeux pleins de larmes elle regarda Mad quand il se mit à parler.

Elle ne s'était pas rendu compte que Snoop avait repris connaissance.
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Madfly

madlfy marchait dans le sable,il regardait les vagues puis il remarqua une silhouette coucher au bord de l'eau, il se rapprocha puis se rendit compte que c'etait son ami,snoop,courra vers lui, regarda si il respirait encore puis sentit sa respiration, il decida alors de le ramener vers le sable, il hota sa chemise puis la posa sur son corps tres froid puis tenta de le reveiller doucement

apres une dixaine de minutes snoop reprit concience .....

Hé bha mon ptit gars que t'arrive t'il ??

Snoop71

Snoop était de retour sur la plage, le monde autour de lui s'écroulait petit à petit, et découvrait le sens des mensonges et contre vérité.
Il avait gardé sa naïveté d'enfant, sa spontanéité, mais ça n'était pas compatible dans ce monde là.
Il marchait seul, sans trouvé de sens à sa vie, une vie vide de sens....
Il se sentait étouffer, l'air n arrivait plus, pris de panique, il arracha ses frusque et se jeta à l'eau, et plongea pour en ressortir plusieurs mètres plus loin. Il ressorti la tête de l'eau et pu reprendre une grande inspiration.

Il faut manqué d air pour vouloir respirer se dit il
Et s'il fallait mourir pour vouloir revivre...

Il plongea à plusieurs reprise, au plus profond qu il lui était possible de faire, restant plusieurs minutes sous l'eau. il cherchait à retrouvé le plaisir de respirer.
Puis épuisé, tenta de rejoindre le rivage, se laissant porté par les vagues.
Il fini par s'échouer sur la plage, sans force, sans énergie, son corps allongé, balloté par la houle.

Victoire

Que la mer est belle lorsque le soleil se couche, elle se promena sur le sable, seule , les yeux plongeait dans cette beauté...

Dire qu'elle allait devoir la quitter quelques jours le temps de se reposer chez les nonnes.
Soupir.
Un dernier regard vers l'horizon puis elle repart, elle s'en va dès demain ...

Coccycrep

Coccy regarde le large les pieds dans l'eau ...
Des heures, des heures, des heures encore...

Ses pieds s'engourdissent alors elle remonte dans le sable où elle se laisse tomber dans le sable, s'assied jambes écartes pour plus de stabilité et passe les mains autour de son ventre...

Elle reste là des heures encore ; elle attend ; elle n'attend plus rien.

Larmes d'écumes
perdues dans les dunes
odeur d'amertume
s'enfonce dans la lagune
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Damelou

Lou c'était baladé dans Béziers sans but juste pour profiter de cette belle journée d'Aout. Elle avait surtout besoin de prendre l'air sortir de cette maison trop grande pour elle maintenant. Alors elle avait mis un chapeau aux jumeaux, puis elle était sortie les portant tous les deux grâce à la grande écharpe fabriqué par Divi. Elle cherchait quelqu'un en particulier espérant le voir à chaque coin de rue visitant la ville mais elle ne le trouvait pas puis elle se rappela qu'il devait déjà être partie ce départ précipité qu'elle ne comprenait toujours pas d'ailleurs. Il fallait qu'elle s'y habitue elle était maudite... Non il ne fallait pas qu'elle se laisse aller c'est de leur faute à eux pas à elle il n'y avait pas de malédiction sur elle, elle devait le chasser de sa tête....

Elle ferma les yeux respira à fond et embrassa très fort les jujus. elle leur murmura

"heureusement que vous êtes là vous deux, vous savez votre maman vous aime très très fort. allez comme il fait beau je vous emmène à la plage on va s'amuser tous les trois dans le sable et je vous ferais gouter aux joies de la baignade."

Elle pris alors la direction de la plage évitant le passage principal elle n'avait pas envie de croiser quelqu'un. Elle trouva une petite crique fermée par les dunes et ci installa...
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Coccycrep

Quand Coccy avait entendu courir derrière elle, elle n'avait pensé qu'une chose : " Et merd...".

Citation:

Heeeeyyyyy Coccy,
Restes pas là toute seule, le vent se lève tu vas prendre froid. Pis un minipouss avec un rhume, j'sais pas trop c'que ça peut donner moi.

Snoop ! Le visage de Coccy s'éclaira.
Tout compte fait, c'était encore mieux que de marcher seule.

Elle n'avait pas vraiment froid mais accepta la chemise de snoop sur ses épaules. Rien que pour le plaisir de sentir qu'on s'occupait d'elle ; à moins que ce ne soit pour le plaisir de voir son torse nu... pour le plaisir en tout cas, elle accepta aussi le bisou.
Elle le remercia d'un sourire, posant une main sur sa joue.

Citation:

T viens boire un coup gente Dame?

Après Snoop... !
Viens marché un peu mon beau... ça te fera du bien aussi je pense...

Et lui souriant, elle lui prit la main et l'entraina avec elle au bord de l'eau.
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Snoop71

Le vide s était fait dans les tavernes, et Snoop se décida à aller à la plage passer un moment. En arrivant sur le bord de mer il vit au loin une silhouette de femme. A la vision du ventre arrondit, il pensa immédiatement à Coccy.
Il savait qu'elle traversait une période difficile, pleine de doutes et que la plage était sans doute pour elle comme pour beaucoup un refuge pour se retrouver seule face à soi même.
Il l'observa un moment, ne sachant s'il devait se rendre à ses cotés, ou filer sans mot dire.
C'était chose impossible, passé devant Coccy sans lui parler, c'était tout simplement impossible.
Puis il espérait être suffisamment proche d'elle pour qu'elle n'hésite pas à l'envoyer paitre le cas échéant.
Il me mît à courir jusqu"à ce qu'il fût auprès d'elle.

Heeeeyyyyy Coccy,
Restes pas là toute seule, le vent se lève tu vas prendre froid. Pis un minipouss avec un rhume, j'sais pas trop c'que ça peut donner moi.

Snoop enleva sa chemise et lui déposa sur les épaules avec le sourire. Elle pouvait accepter sa présence sans vouloir parler, et c'était déjà pas mal.
Sans en dire plus il lui fit un bisou

T viens boire un coup gente Dame?

Aredhel

Aredhel était revenue sur la plage pou se changer les idées, quand elle vit un corps allonger sur la plage. Elle s'avança en trottinant pour découvrir le corps de Vose sans vie. Elle n'hésita pas une seconde, et lui fis des massage cardiaques, bouche a bouche, sachant que ça ne servait a rien. Elle lui offra un dernier baiser, avant de le remonter sur la plage, et de demander de l'aide pour ramener, n'arrivant pas toute seule.

Coccycrep

Coccy arrivait avec son moral plongé au fond de ses bas.

Cela faisait des lustres qu'elle n'était plus passé par la plage.
Trop occupée, trop préoccupé, trop ... perdue.

Elle voulait se retrouver seule pour réfléchir à sa vie, à la décision qu'elle avait prise la veille. Elle devait penser à elle et au bébé qu'elle portait.
Elle n'était plus seule et devait trouver l'équilibre qui lui serait nécessaire pour ne pas faire retomber sur son enfant les erreurs qu'elle avait faite avant sa venu.

Elle avait peur de se retrouver seule, c'est vrai. Et un père pour cet enfant... ce serait l'idéal, elle ne pouvait pas lui refuser ça.
Mais est-ce des bonnes raisons pour se mettre en couple ? Est-ce que c'est les bases d'une relation durable ? Est-ce qu'elle pouvait dire oui et laisser espérer alors qu'elle était pleine de doute et en plein questionnement ?

Tout perdue dans ses pensées, elle marchait les pieds dans l'eau, le dos trop cambré comme à son habitude.
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Vosegus

Voségus décida de se balader sur la plage, la nuit devenait fraîche à cause de la brise qui annonçait la nuit ! Soudain, Vosy eut envie de se baigner !
Il entra dans l'eau et nagea quand tout à coup, ses membres se paralysèrent et le jeune homme sombra silencieusement dans la mer et son souffle se mélanger à l'eau salée ! Pourquoi crier puisqu'il n'y a personne ?

Vosy pensa, comme chacun de nous le ferait, à son jeunesse et ses amis, à toutes les personnes qu'il a connu à Béziers et enfin à elle, Aredhel, qu'il l'a comblée de bonheur ne serait-ce qu'un après midi !

Le biterrois mourut ! Le lendemain, son corps s'immergea sur la plage

Je suis très triste de vous quitter ! Je me suis beaucoup amusé avec vous et je vous en suis reconnaissant! Mais malheureusement , mon père a décidé de résilié Internet !

Aredhel

Aredhel eu du mal a ce lever, tant bien qu'elle fit tomber Guiz avant de ce relever, elle rit beaucoup. Ses habits aller sécher encore un peu, elle sourit en y repensant

Hum, avec une belle tête de cheval !

Rit tout en marchant a ses cotés

Guiizmoo_x

Guiizmoo était à moitier endormie quand elle se reveilla en sursaut

Oh et bah je vais pas devoir trainer moi ma belle..

Elle sourit et se releva d'un bond puis l'aida à se relever aussi.
Ses habits étaient encore un peu humide, mais elle secherait grace au vent..

Aller viens on rentre, j'vais aller m'cuire un rat crever!

Elle se mit à rire prenant le chemin du retour avec Aredhel..
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Aredhel

Un détail, oui bien sur, c'est comme la mort du roi, c'est un détail ^^

Elle leva les la bras au dessus de sa tête, pour essayer de sécher le plus vite possible, croisa les jambes, légèrement pudique.

Non, je ne suis pas là de puis très longtemps, je suis venue, pour voir où avait vécu mon mari, avant de mourir. Et toi, que fais tu de beau ici ?

Elle sentais le soleil sur sa peau et adorer ça, elle attendit sa réponse déjà à moitié endormit

Aredhel

Aredhel la rejoignit dans l'eau, trouva l'eau agréable avant d'être trempée. Elle rigola d'elle, avant de penser qu'elle était habillée tout en blanc.

Ah, l'eau ça mouilleuhh !!! suis trempée, vais crever de froidet suis habillée en blanc, un sir serai heureux de me croiser !

Aredhel explosa de rire avant de se coucher dans le sable sec a ses cotés

De quoi veux tu parler ma belle ?

Guiizmoo_x

Guizmoo explosa de rire avant de voir qu'effectivement elle était habilée toute en blanc..

Haan miiince j'avais oublier ce détail ...

Elle rit, joua avec le sable dans ses doigts, sechant de plus en plus tant le soleil était fort :

Ca fait longtemps que tu es à Béziers?

Elle attendit puis répondit :

On parle de ce que tu veux hein!
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Guiizmoo_x

Elle sourit en voyant la jeune Dame soulagée.
Puis comme elle connaissait un peu mieu Béziers, elle pourrait peut etre découvrir un peu plus.
L'attirant avec elle, elle se dirigea vers l'eau, allant et venant sur le sable mouillé.
A mi-chemin, elle enleva ses bottes, et laissa ses pieds rencontrer l'eau un peu fraiche.
Elle se retourna vers la Dame, et lui lança :

Avancez vous, elle est super bonne!!!

Quand la dame fut presque à sa hauteur elle plongea dans les vagues, eclaboussant Aredhel, un peu plus loin.
En remontant à la surface elle rigolla, de la voir trempée, puis sortant de l'eau elle essora ses longs cheveux, qui se mirent à bouclés.
Ses boucles dégoulinaient sur son coup, et cela lui donnait un air encore plus sauvage qu'a son habitude.
Elle s'avança sur le sable sec, et se laissa tombé de tout son long..

Une séance bronzette, ça te dis?

Elle sourit et l'invita a s'assoeir près d'elle pour parler..
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Aredhel

Aredhel entendit une réponse, soupira de soulagement, frémit en sentant le chat se frotter a elle et murmura : "Dieu merci"

Euh, coucou, moins peur avec toi, pourquoi pas ? Je te suis et tu me suis, comme ça on est sur de se perdre ?

Elles rirent et commencèrent a avancer

Aredhel

Aredhel se réveilla quand il fit presque nuit. Enfin, c'est ce qu'elle cru au début. La nuit était déjà noir, et elle ne voyait pas a 2 mètres devant elle. Ne connaissant pas bien le chemin du retour, n'y bezier pour aller droit devant elle, elle décida d'attendre. 30 minutes passèrent avant qu'elle entendit des bruits de pas et des voix. Le vent commencer a se lever, et elle n'aimer pas être toute seule sur la plage. Elle avait peur. Elle commença a appeler, pour savoir si les bruits de pas étaient réelles ou tirés de son imagination.

Hou hou, Y a quel qu'un ? Vous m'entendez !! S'il vous plait, répondez.

Elle attendit une réponse

Guiizmoo_x

Comme Guiiz' s'ennuyait elle décida de visiter la ville.
Il fallait qu'elle se change les idées, d'ailleurs venir chercher l'escargot, et jouer avec lui à la chasse à l'homme ne l'amusait plus..
Elle avait du en faire des allers retours, elle avait du l'attendre de nombreuses fois, et là elle était lassée!
Pour une fois, elle allait le faire attendre, c'était le prix à payer de jouer avec ses pieds..
Etonnant qu'elle avait supporté de l'attendre déja 2 fois..
La folle marchait dans les rues, peu animée vu l'heure..
Les habitants mangeait surement, et comme celle-ci n'avait pas le coeur à se nourrir, elle décida de s'avancer vers la plage..
Quittant peu à peu les rues de Béziers, et sentant de plus en plus l'air frais de la Mer, elle sourit.
L'odeur du sable, et le vent frais des cotes l'emportèrent déja dans ses rêveries.
Elle huma l'air, plus que souriante, repensant à la Rochelle, et machinalement toucha ses colliers de coquillage, lui ornant le cou.
Que de souvenirs, .. Sandy, Handy, Elle, Minuit ..
Des larmes lui montèrent aux yeux, une sensation bizarre se fit ressentir dans son estomac.
D'un mouvement de tete sec, elle chassa ses images de sa tête, elle voulait oublier les mauvais moments, et penser de nouveaux aux bons.

[ Arrivée sur la plage ]

A son arrivée sur la plage, toujours dans ses rêveries la dominatrice de nature sursauta à l'entende d'un cri proche

Hou hou, Y a quel qu'un ? Vous m'entendez !! S'il vous plait, répondez.

Elle sourit reconnaissant la tavernière aux croissants de ce matin, et s'avança vers elle.

Ouép ya moi .. un leger rire se fit entendre et elle enchaina .. Qu'est ce qu'une damoiselle comme vous vient faire seule sur ce sable si chaud? Z'attendez un marin?Elle sourit et siffla afin que Minou, qui comme à son habitude la suivait, vienne se mettre près d'elle

J'vous ai amener vot' ami mon chaton..

Elle observa le chaton, et sourit quand il alla se frotter sur les chevilles de la donzelle, l'air content de la voir.

Oh bah on dirait qu'il vous aime deja.. elle sourit puis redressa le regard, et continua sur un autre sujet .. Ca vous dit une promenade sur les cotes?
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Shaena

Snoop je me balladais voila tout et te voyant comme sa alors je me suis arreté.

Shaena regarda la direction que Snoop lui montrait et même si elle ne voyait pas grand chose elle entendait,le bruit des vagues engloutissait presque la voix de son ami qui ne parlait pas très fort, il semblait si triste et perdu dans ses pensé quelle voulu lui venir en aide avant son départ.

Elle resta à l'écoute de Snoop qui disait fort se qu'il pensait, peut-être ses mots lui avaient échappés, qu'avait t'il en tête en voulant connaitre les secrets de la mer, elle voulait savoir :

Snoop que veux tu dire par la ? tu sais la mer renferme une force gigantesque que personne d'humain ne puisse combattre, comme tu le dis.. et de plus tu devrais trouver ta force dans ta faiblesse et te battre contre l'eau ne te servira à rien.
Relève la tête et avance, fais comme la mer elle, elle n'attend rien ni personne pour continuer sa route.

Ne souhaitant pas partir seule, elle invita Snoop à l'accompagné jusque chez elle :

Aller, viens ne reste pas la on parlera sur le chemin, et sa m'évitera de me retourner sur chaque bruit que j'entend.

Aredhel

Aredhel était arrivé il y a mois de une semaine en ville, après la perte de son mari. Elle supportait mal sa perte, et pour la première fois, elle commença a faire le tour de bezier, commençant par la plage de sable doux.

Elle y alla pied nues, marcha de tout son long en pensant a Rémi, son défunt mari. Elle pleura, beaucoup, marchant dans l'eau. Puis elle pensa a elle, a son avenir ici. Elle était déjà tavernière, plus pour rendre service qu'autre chose, mais c'était déjà ça. Dimanche ou Lundi elle aurai son premier champ, le début d'un vrai travail.

Elle ne voulu pas pensé aux homme d'ici, certains lui ayant déjà fait du mal, sans vraiment le vouloir. Elle continua de marcher, encore et encore, avant de s'allonger sur la plage et de s'endormir.

Snoop71

Snoop enfermé dans sa bulle entendit une vois qui s'adressait à lui.
Il n'avait pas franchement compris le sens, ou préféra en ignoré le sens.
Un peu surpris il leva la tête et aperçu Shae. Il la regarda et lui fit l'esquisse d'un sourire.

Shae, qu'est tu fais là?
Regarde comme c ets beau grand et fort la mer
Un jour, bientôt je serais là dessus, et elle me livrera ses secrets
Un jour je serais Grand Beau Fort et peut-être qu on pourra m aimer comme on aime la mer....

Shaena

Shaena n'était pas venue à la plage depuis un bout de temps, la nuit avait fait place au soleil et c'était très agréable, une brise légère lui soufflait sur le visage.

Son bonheur actuel était parfait et elle avait besoin d'évacuer tant d'émotions qui l'envahissait, elle marchait donc au bord de l'eau laissant les vagues atteindre ses chevilles, elle ne voyait pas grand chose mais entendait le bruit des vagues, elle rêvassait.

Plus loin elle reconnue une silouhette un peu replié sur elle même, elle s'approcha sans faire de bruit et sans prendre garde à se qui pourrait arriver, elle reconnu juste les cheveux de Snoop qui avait replié sa tête entre ses genoux, elle s'inquiétait et ne pouvait pas partir en le laissant comme sa, elle s'agenouilla devant lui, lui releva la tête en disant :

Snoop ? que se passe t'il ? que fais tu la ?

L'air inquiète elle s'asseya près de lui et le regarda sèrieusement.

Snoop71

Snoop était tristoune, et comme souvent dans ce cas il alla faire un tour seul à la plage. Il observait les enfants qui couraient et riaient au loin.
Il aurait voulu que ses rires soient contagieux, mais il semble que ce soit plutot la tristesse qui le fut.
Il repensait nostalgique à tous les moments passés ici, jusqu'au dernier rayon de soleil qui venait de s'éteindre sous ses yeux, sans qu il ne put rien y faire.
Il réfléchissait à partir quelques jours, si au moins il n était pas utile, il se sentitait moins inutile...

Snoop71

Une fois n'étais pas coutume Snoop se retrouvait sur cette grande place déserte. La lune débutait à peine sa phase descendante, et éclairait la mer de tout ses reflets.
Quel spectacle époustouflant, Snoop était en admiration, c'est à elle qu il venait de voué sa vie, cette immense et mystérieuse étendue d'eau serait son derniers recueil.
La mer le porterait peut-être plus loin que la terre, peut-être partagerait elle avec lui les secret de sa force exceptionnelle qui lui serait bien utile.

Il mit la tête entre ses jambes, replié sur lui même, il cherchait réponse à ses questions.
Il était perdu, ne savait plus que faire,, il n avait trouvé que la fuite en seule réponse, sachant bien que ça n en était pas une, mais il n en connaissait malheureusement pas d autre.

Dotyy

Dotyy allât se balader par cette belle après-midi de juillet sur la plage. C'est pas l'avait conduit tout naturellement ici. Ici régné la pais, le calme, la force et elle avait besoin de tout cela.

Elle enlevât ses bottes, marchât sur le sable chaud, de temps en temps elle donner de grand coup de pied dedans et du sable volé un peu partout.

Au bout d'un long moment elle marchât dans l'eau, les vagues vinrent lui lécher les pieds. Elle s'assit dans l'eau oubliant qu'elle avait ses braies.

Elle regardât la mer, cette magnifique étendu bleu. Une idée des plus noire lui traversât l'esprit. NON ! Elle ne pouvait pas faire cela, elle avait ses enfants, c'était la seule chose qui lui resté et une des plus belles choses.

Elle se perdit dans la contemplation de la mer en se demandant si l'amour était toujours associé a la souffrance.
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--Brunaite

Brunaite tapit des mins an voillant Grobeuf courrire aprais aile pour rejoignire Blondyette au baure de l'au. Ils aitaient tousse mouyaient telemant Blondyette taper faure dent l'au aveque sais mins et Brunaite éclati d'un ryre jouailleux ki nan finyssé pat.

Sé trau bihein d'aitre las aveque vou les zamys ! Yl fodrat reveunire tout les joures hain... Moa jé anvi deux meuh beignet, on i vas ?

--Hikce

Hikce viendu vouar seizamy barbeauté dent l'au-delà mère
Kikou lézamy !! chpeu meuh joagné à vouh pourt haytre moin ceul ??
jeuh voeu me fert dézamy quart jeuh suyt tous ceul vouh çavéé puits kan j'vouh voyt jouéé ansanbleuh bin sa matrysteuh deu vouh vouare ryrhe !! jaispaire ke vouh me comprandu ??

Le p'tiaut gamain attendas la rayponsse avaique unpassiance

--Blondyette

Blondyette ria de tou sont queur en voyents harivé sa geoli ami et le grent veulu qui avé lére de plére à brunaite telman quel avé lé zioeufs qui briyait. Elle ce meta a batre l'au de ces mins, de tent de boneur.

Elle et baune, hein?

--Brunaite

Brunaite pauza ça min sur le torsse vellu deux Grobeuf et pouça une exklamassion de surpryse.

Houa t'as draulemmant muskulé toa !!! Tu fé du bodibuildingue ?

Cent atandre la raiponce elle coura vair la maire pour se rafréchissé aveque son amy Blondy. En paçant elle vu une damme aveque dé piés tou nouars.

Pouha !!! Kele oreure...

--Grobeuf

Grobeuf ile aitez dent le baure deux l'aux, ahvec Blondynette é Brunaite.
Il semblat avware cho a sont our.

Brunaite le tout chat, é il monttrat c'est bisscotaux. Aile été bohne brunaite dent le baure deux l'aux.

Soudaim aile partu du baure deux dent l'aux, haie aile courrit vers blondynette.

Grobeuf partu ossi et courrit vert blondynette.

--Brunaite

Brunaite vue Blondyette et Grobeuf au baure de l'ô et allit le rejoindu en coursant.

Bonchour vous deus, vous alais bien ? Chuis contante de vous voire !

Elle inclinit sa tete gracilement et souria de toutes ces dans blanches en louchant sur le bo torsse vellu de Grobeuf.

--Blondyette

un jeune homme sourient c'était approché sans que la belle lusse apersu. elle était si perdu dans ses songe, les pied rafréchis par les vaguelettes dans le bord de l'eau.

oh, bonjour, moi s'est blonyette, blondy pour lais ami. oui tu a réson, je suis grassile

soudin, elle vus son ami brunaite :

Brunaite!! mais quelle plésir!! viens te réfréchisser avec nous!

--Hikce

Hikce venit sur la plaje et enfoncu ces dous doits dans la mère. Elle étais chaude et les vague guiliguilire ses piais. un momant apré, le jeune home fus ultraviaulé par les raillons soleillainne est ca pau brulu
Le gas plonja dan la flote et reconisit des copins tou pré de lui mai assé loin qu'en même!

--Memefioc

memefioc ne savé quoi faire ses pié l emenere sur cete bele plaje......

seé pié noir et encrasé elle decidat de se lavé......l ékume lui chatouilé elle se déssida a prendre un bèn toutte abiyée

ses cheveus reprire une kouleur normale

kele fierté de se sentir bele

nuietoilai, incarné par Amliss

Nuiétoilai vienda voir l'o ki bouje !de puits le ten que el vou laid i ferre une trent pette !
elle lanssa sa garaille menut et boudiuuu!!!! lasegonde vienda sossi den l'o
eh beeeee sa pardine sa refrouadi l'o qui bouje

--Nuietoilai

Nuiétoilai vienda voir l'o ki bouje !de puits le ten que el vou laid i ferre une trent pette !
elle lanssa sa garaille menut et boudiuuu!!!! lasegonde vienda zossi den l'o
eh beeeee sa pardine sa refrouadi l'o qui bouje !!

Rhum_barrow

cette fois ci elle l avait provoque se releva et lui courru a toutes jambes apres
il eu vite fais de la rattraper la saisie par la taille la pris dans ces bras et se diriga vers la mer et plonga dedand avec elle entrainais dans son elan tout habiller se retrouva dans l eau avec elle et se mit a rire en se voyant boire la tasse ensemble et se mis a nager pour la rattraper

Dotyy

Dotyy eut pas le temps de dire ouf qu'elle sentit Rhum la prendre dans ses bras. Elle essayât de se débâtir mais rien a faire.

Elle se retrouvât dans l'eau et lui aussi. Elle ne put s'empêcher de rire. Ils burent un peu la tasse mais cela les empêchât pas de rigoler de plus belle.

Il l'attrapât et elle ne put s'empêcher de lui mettre la tête sous l'eau.

Elle nageât jusqu’à la plage et sortis de l'eau complètement trempé mais avec le sourire.

Elle le regardât sortir et elle lui dit.

Bon on a plus que a aller se sécher en taverne avant d'être malade.

Elle lui prit la main et se mit a courir sur le sable en direction de la ville.
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--Grobeuf

Grobeuf marché sur les sables. Ca chemise été ouverte sur son torsse vellu, est il sourriez deux ces belle dent blanche.
Tout acoup, il vu blondynette qui semblat avoir chaud.

Bonjour Blondynette, tu semblat avoir chaud. Tu a l'ere melencholique, et seul, et grassile.

Grobeuf la rejoindu dans le bord de l'eau

Dotyy

Dotyy sourit quand il s'inquiétât pour son genoux.

Elle le regardât et sourit.

Tu sais j'ai connu bien pire, beaucoup même.

Elle en profitât pour le pousser en arrière et le voire tomber sur les fesses et elle se remit a courir en riant de plus belle.

Il fallait pas lui donner d'aussi belle occasion.
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Rhum_barrow

s arreta et examina le terrain elle ne pouvait etre loin peu d endrois pour se cacher essaya d ecouter ses pas mais dans le sable rien
quand tout d un coup l entendit crier tres fort et la vit rouler elle tomba a ses pied les fesses a l air la tete ds le sable il ne put eclater de rire et lui tendit la main afin qu elle se releve et lui nettoya avec sa main le visage ses cheveux humide qui etait plein de sable regarda son genoux qu elle avait dut erafler durant sa jolie chute prit un mouchoir alla le tremper afin de lui nettoyer son genoux qui saignait legerement suis desoler dotyy tout ceci est de ma faute je suis confus

--Blondyette

Blondyette avait très chaud, et ses pas l'amenait, sans qu'elle susse pourquoi vers la langue de sable, près de l'eau. Ses cheveux ambrées volient au vent léger comme une brise, et lui caressa le cou grassile, qu'elle penchit un peu. Elle, si seule, si mélencholique, si...aaah
Elle suiva le bord de l'eau, les vaguelettes touchairent ses chevilles et elle aimit ça. Rencontrait-elle un jourson grand amuuûr?

Dotyy

Elle avait courut a toute vitesse, elle se callât entre deux dunes. Si jamais il la trouvé il la balancerais dans la mer ca c'était sur. Elle regardât autour d'elle.

Droit devant la mer, pas possible.
A droite la plage mai a découvert
A gauche Rhumm non pas possible.

Elle se retournât, il restait plus que derrière elle. Cela allait être dur très dur.
C'était ca ou la mer.

Elle s'avançât vers les dunes et commençât a monter, ses pieds s'enfoncé dans le sable. Jamais elle y arriverait. Elle continuât quand même a avancé et d'un coup dérapât.

Elle essayât de s'accrocher mais rien a part du sable.

Elle laissât échapper un cri.

AHHHHHHHHHHHHHH

Quand elle arrivât en bas elle avait la tête dans le sable et les fesses en l'air. Elle devait vraiment avoir l'air fine comme ca. Elle sortis la tête et levât les yeux et la elle tombât sur une paire de pied.

OHHHH NONNNNN

Elle se levât et lui sourit.
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Dotyy

Elle rageait contre elle quand elle entendit la vois de Rhum.

Elle se levât d'un bon.

Elle le regardât et prit les vêtements des mains. Tout en les mettant elle lui dit :

Tu trouve ca drôle en plus. Espèce de ....

Elle venait de finir de se rhabiller quand elle lui sautât dessus et le plaquât au sol. Elle le bloquât et le couvrit de sable.

Elle se mit a rire et détalât comme un lapin.
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Rhum_barrow

apres lui avoir rendu ces vetements se retourna afin qu elle se rhabille
attendit et d un coup se retrouva au sol dotty sur lui entrain de le couvrir de sable venait de se faire avoir une fois de plus
il se releva et lui couru apres si il l attrape elle sais qu elle va finir habiller dans la mer
mais ou est elle donc passer !!!!!

Rhum_barrow

rhum s etait assoupie sur le sable quand un cri le reveilla et entendit son nom RHUMMMMMMMMMMMMMMMMMM
comprit desuite que dotyy s etait reveiller et chercher ses vetements il se leva discretement et la vie tourner en rond chercher quelque chose quelqu un attendit un peu mais ne voulant pas la laisser ainsi attendit qu elle retourne derriere sa dune et descendit vers ces coquillages qu il avait placée pour deterrer ces vetements lui l ai secoua et s approcha d elle d un air innocent en lui demanda si ceci ne lui appartenais pas d un air moqueur

Rhum_barrow

apres avoir passer la matinee en taverne avec sa fidele amie dotyy et lui avoir annoncer son depart il sentit que ca lui faisait de la peine et sortit faire un tour pour reflechir sur la plage et trouva un coin discret pret des dunes avec une superbe vue sur la plage
assie sur le sable il entendit un cri soudain et proche se releva discretement et apercue son amie dotty courrir comme une folle en hurlant vers la plage
se mit a rire en la voyant ainsi hurler et courir
prefera ne pas se faire voir et rester seul a mediter
jetant un oeil de temps en tempse la vis se deshabiler et nager ds cette eau bleue une vrai sirene dans l eau
la surveilla discretement s assurant qu il ne lui arrive rien un moment il pensa lui faire une blague en lui cachant ses vetements ds le sable se dit non puis oui apres tout il avait une vengeance a prendre
il attendit qu elle sois eloigner du bord pour courir et s approcha de ses vetements creusa un trou ds le sable et lui cacha presque tout lui laissa ses sous vetements et repera bien lendroit avec des coquillages et repartie sur s adune et attendit

Dotyy

Dotyy sentait les rayons du soleil sur tout son corps et elle aimait ca quand d'un coup elle sursautât. Elle avait oublié ses vêtements sur la plage. Vraiment elle avait pas de tête quand elle venait ici.

Elle sourit et se levât, passât la tête et vit personne a l'horizon.

Ouffff j'ai de la chance sur ce coup la

Elle repérât un petit tas au loin, ses vêtements.
Elle se dirigeât vers le tas et plus elle s'approchait, plus elle trouvait le tas très petit. Elle arrivât dessus et ne trouvât que ses sous-vêtements.

OHHHH NONNNN ! Pas ca.

Elle se dépêchât de les enfiler en essayant de trouver qui lui avait fait ca. Elle passât en revue les différentes possibilités et se dit que une seule personne pouvait avoir fait ca et elle hurla.

RHUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM

Il avait réussit a se venger du charbon et du seau d'eau de se matin.

Si tu me redonne pas mes vêtements, je vais devoir rentrer comme ca.

Elle s'assit dans le sable et attendit.
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Dotyy

Dotyy avait passé une partie de sa matinée en taverne a parler avec Rhum. L'annonce de son départ la chagrinée beaucoup.

Elle se rendit donc sur la plage pour marcher et se détendre.

Elle arrivât en haut des dunes et tendit les bras sur les cotés et descendit a toute vitesse les dunes en hurlant.

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Le vent lui foutait le visage mais elle aimait ca. Elle arrivât en bas trop vite et roulât sur la plage. Elle se mit a rire toute seule. Si quelqu'un la voyait il la prendrait pour une folle.

Elle se relevât et allât tremper ses pieds dans l'eau. Elle était bonne, trop bonne pour ne pas aller plonger dedans.

Dotyy regard autour d'elle et ne vit personne. Elle se défit et mit ses vêtements plus loin et courut jusqu'a la mer. Elle plongeât dedans. Elle nageât un long moment puis revient vers la plage. Elle sortis et allât se cacher entre deux dunes pour laisser le soleil lécher son corps avec ses rayons.

Elle fermât les yeux et attendit.
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Laure3

Des pas dans le seble derrière elle mais elle n'avait pas la force de se retourner. Il passerait bien son chemin.

Des bras qui la serre et la tire doucement de l'eau qui lui arrivait à la taille. Plus besoin de se retourner, elle savait que c'était lui. Ces bras dans lesquels elle se sentait si bien, où rien ne pouvait plus l'atteindre.

-Viens mon coeur rentrons chez nous

Sa voix, si réconfortante. Elle se laissa aller. Les mots avaient dépassaient leur raison la veille, elle le savait. Pourtant pour la première fois depuis qu'ils étaient ensemble, elle avait prit peur. Mais peur de quoi ? De le perdre ? Comment pourrait elle le perdre ? Ils n'avaient toujours fait qu'un.

Elle ne lui dit rien, rien de la colère dans laquelle il l'a mise. Pour s'être emportée ainsi ? Surtout que sur la fin, ils s'étaient mis d'accord. Elle ne savait expliquer ce sentiment qui l'avait traversé. Mais elle était tellement heureuse de partir à l'aventure avec lui. Enfin à l'aventure... Leur parcours était déjà pas mal tracé mais ça serait autre chose.

Elle se blottit contre lui, transis de froid. Ses lèvres un peu bleuies par le froid retrouvèrent un peu de chaleur au contact des siennes. Peu lui importait l'endroit du moment qu'elle pouvait être à ses côtés. Elle se laissa lentement guider pour le retour. Des disputes, vus leurs caractères, ils en auraient encore mais une chose était sur, rien ne pourrait les séparer.
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Correba

Corre se réveilla mais quel ne fut sa surprise de ne pas retrouver son épouse à ses côtés, d'habitude c'est lui qui se levais en premier, les devoirs de ses charges, donc à son habitude , il se leva et s'habilla, mais une chose de bizarre l'intriguais, la robe de son épouse était toujours en place, mais qu'avait t'elle bien pu mettre alors?

Lorsqu'il descendit en cuisine pour prendre le petit déjeuner, il se retrouva seul avec la cuisinière, la questionnant celle-ci lui répondi qu'elle était sortie de bonne heure et marchait de façon bizarre quittant la propriété.

Corre commença a s'inquiéte, Julia dormais paisiblement il était passer voir avant de descendre comme chaque matin, donc ou a t'elle pu aller, la plage elle adore cet endroit

Corre sauta en selle et fila vers la plage, qrrivé dans les dunes il observait les traces certaine se dirrigeais vers l'endroit ou Laure et lui avait l'habitude d'aller, il les suivat et la vi au loin dans l'eau.

Il laissa son cheval au bord de la plage entravé, puis s'avança vers elle , elle sembalit perdue dans ses pensées, ne l'entendant pas arriver, il l'enlaça, la serrant très fort.

-Viens mon coeur rentrons chez nous
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Laure3

Laure arriva là de bon matin presque comme une somnambule. Qu'était elle venue y chercher ? Pourquoi cette plage ? Elle se dit que là ou ailleurs...

Elle avança vers l'horizon, là où le ciel et l'eau ne font plus qu'un. Mais une sensation la stopppa, le froid de l'eau qui venait lécher ses pieds. Elle resta là un moment à regarder le soleil se lever.

La jeune femme avait l'eau qui lui montait petit à petit le long des chevilles puis des mollets. Combien de temps c'était déjà t'il passé depuis son arrivée ? Ne ne serait le dire. Une absence... des silences... des non dits... Elle se sentait vide. Sa tête était vide, son corps, son coeur...

Le soleil montait dans le ciel, quelques nuages parsemaient le ciel mais il allait faire beau. En fille de marin, elle s'y connaissait. Aurait elle encore le courage de regarder ses splendeurs alors que tout son être criait sa douleur.

Ses pieds toujours dans l'eau, se laissaient recouvrir peu à peu par le sable. L'eau toujours aussi froide montait doucement. Que faire ? La facilité ? se laisser emporter par sa peine, sa douleur ? Faire un pas, puis un autre et laisser monter l'eau de plus en plus. Mais elle avait Julia... Elle ne pourrait prendre cette option pourtant, son regard se perdait toujours dans l'horizon, vers ce vide.

Pourtant si joyeuse, on ne pouvait plus rien en lire sur son visage. Elle était habillée des premiers vêtements qu'elle avait trouvé et ne c'était même pas coiffée. Ces cheveux volaient auvent. C'était trop dur, elle se laissa tomber à genoux, s'éclaboussant elle même. Elle cacha son visage de ses mains et laissa libre court à son chagrin. Elle pleurait sans retenue, libérant ses sanglots. Puis la rage fit place tellement la douleur était grande. Toujours à genoux, elle frappa des poings dans l'eau en criant :

C'est pas possible, je ne peux y croire !

Elle était à bout de force, à bout de souffrance, à bout de son chagrin. Elle renifla et s'essyua le plus gros de ses larmes d'un revers de la manche. Mais elle resta là, sans bouger, se disant que cette eau froide qui l'avait inspirée pour la libérer à jamais la maintenait en vie par sa froideur. Elle claquait des dents tout en grelottant mais elle n'était pas capable de bouger pour le moment...
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Kyty

Kiyty était sortie de la taverne et remontait la rue qui allait à la plage. Il fallait qu'elle marche , la tête lui tournait... Elle se sentait nauséeuse et avait l'impression que la route changeait de direction à chacun de ces pas.

Elle arriva tant bien que mal et s'installa prêt d'un arbre et se laissa tomber sur le sol.
Elle se maudit intérieurement "La boulasse c'était bien, mais quand elle empêchait de travailler c'était pas vraiment malin!"
On lui avait pourtant dit d'être prudente... Oui... mais elle venait d'arriver...

Elle ferma ses paupières ...

Ugarth

La marée descendante emmenait lentement vers le large un Ugarth qui semblait s’être offert à la grande bleue. Bien que son regard fût porté sur l’éternelle course des nuages, il ne les voyait pas, voyant défiler en lieu et place certains épisodes de sa vie.
Avec son visage marqué par tant de cicatrices, il était difficile de lui donner un âge, il n’était pourtant pas bien vieux, malgré ce que pouvaient en dire ses ébènes. Mais si elle avait été courte, pour l’instant, sa vie était déjà bien plus remplie que celle de bon nombre de gens.
Un frisson le parcourut et il n’était pas dû à la fraîcheur de l’eau. Le terrible souvenir d’une nuit de sa jeunesse venait de ressurgir. Avec lui revenait cette angoisse qui l’étreignait dès que l’une de ces créatures l’approchait. Rien que le fait d’y penser faisait poindre cette peur insoutenable dans son esprit… la peur des loups…
Cela s’était passé dans le nord-ouest, dans un petit village sis non loin de l’océan à quelques lieues de Saint-Brieuc. Ses vieux, des cultivateurs de blé, s’occupaient merveilleusement de leurs enfants.
C’est alors que notre roux guerrier, vécut le premier drame de sa vie. Cette nuit-là, il faillit bien périr. Il avait à peine douze ans.
Ugarth s’était perdu dans la forêt, il l’avait un peu cherché, ayant oublié les recommandations paternelles. Il fut pris en chasse par une meute de loups, la course fut longue et âpre, mais totalement inégale. Il finit par chuter et il sentit les crocs s’enfoncer dans ses chairs. Il entendit hurler, et lorsqu’il prit conscience qu’il s’agissait de ses hurlements, il se perdit dans les méandres de l’inconscience. Il se réveilla plusieurs jours plus tard, le visage angélique de sa mère penché sur lui, orné de son plus beau sourire. Son frère aîné et le vieux étaient arrivés à temps pour lui sauver la mise, mais il se retrouvait couvert de cicatrices. De profondes marques sur les membres et le torse, ainsi qu’une peur panique de la race canine et des loups plus particulièrement.
Cette peur lui joua de vilains tours par la suite, par exemple lorsque les troupes ennemies lâchaient les chiens de guerre, mais là, il avait sa fidèle Auth et n’hésitait tout de même pas à trancher dans le vif. Il se rendit compte par la suite, que cela était surtout dû à la présence de ses compagnons à ses côtés.
Mais lorsqu’il fit pris et qu’il se retrouva, attaché face à ses monstres…

Ses compagnons… son ami… Gwador… ils n’étaient plus et lui marchait encore parmi les vivants. Il se retrouvait seul pour affronter le pire moment de sa vie et tel un naufragé fatigué, il songeait à lacer la planche qui lui permettait de garder la tête hors de l’eau.

Abandonner… tout lâcher… se laisser disparaître…
Il sourit, il avait déjà disparu, il avait toujours fait ce qu’il fallait pour cela. À vivre en solitaire comme un ours, on finit irrémédiablement seul.

Il se redressa et se tourna vers la plage, elle s’était bien éloignée ou plutôt lui en fait. Une profonde hésitation, était-il possible, qu'il abandonne si facilement ? Cela était un peu trop simple et il ne voulait pas partir de cette manière… il s’était toujours vu mourir sur un champ de bataille et même s’il n’était pas près d’en revoir, il pourrait tout de même faire avec une escarmouche…

Il regarda une dernière fois le large et souffla :

Navré ma grande, tu m’auras pas cette fois...

Il se retourna et nagea vers la plage…

Victoire

La plage était magnifique, la gamine se promena sur les bords, ses pieds nus et endoloris par la longue marche s'enfonçant dans le sable chaud.
Elle n'osait sourire. Les rayons de soleil chatouillèrent sa peau diaphane.
Elle eut un soupir puis se détourna pour retourner dans l'obscurité des mines.

Ugarth

Las de sa journée à la mine, Ugarth avait cherché un coin pour se rafraîchir. Certes, la mine pouvait même être froide pour certains, surtout ceux ou celles qui laissaient le travail aux autres. Mais il cherchait autre chose, une fraîcheur qui vous dégouline sur le corps après vous être plongé en son sein. Il avait fini par échouer ici, sur la plage. Il n’était pas bien différent d’un naufragé, si l’on exceptait qu’il venait de la terre et non du large.
Venu à deux, il s’était retrouvé seul dans cette ville et avait perdu toute notion de temps. Il avait également perdu toutes ses envies, ses désirs ne pensant qu’à travailler et se perdre dans sa tanière, tel l’ours qu’il était.
Il était un naufragé de la vie, à jamais marqué par cette chienne qui prenait un malin plaisir à faire souffrir les uns et les autres…

Lentement, il marcha vers les eaux qui allaient et venaient sur le sable. Le ressac était plutôt doux, dommage… un accident aurait pu survenir…
Il salua d’un très léger mouvement de tête la jeune femme allongée et continua son chemin.
Lorsqu’enfin il s’arrêta, il se dévêtit avec des gestes précis avant de s’avancer vers l’onde presque tranquille. Si son visage était couvert de cicatrices, son corps ne pouvait en aucun cas le jalouser. Qu’elles aient l’apparence de nettes coupures ou bien encore de morsures, pas une parcelle de son anatomie ne semblait épargnée.

C’est presque nu qu’il entrât dans l’océan, sa fraîcheur le saisit un instant, mais il ne s’arrêtât pas avant d’être entièrement sous l’eau. Puis, il émergea et se laissa aller sur le dos, flottant au gré du mouvement de sa maîtresse du moment.
Son regard d’ébène se perdit dans la contemplation du mouvement des nuages au-dessus de lui et il plongea à nouveau, mais dans ses souvenirs cette fois.

Les Clameurs s’élevaient par-dessus les hurlements de douleur et d’agonie. Le choc des lourdes armes qui se percutaient avec violence comme pour un air réservé aux percussions suivant toujours le même rythme rapide, précis… mortel. La terre devenue meuble et glissante bien trop gorgée du sang des victimes du combat qui devenait un danger permanent pour les combattants, les avertissements dans ce jargon que seuls connaissent les guerriers. La mort qui fauchait aveuglément les hommes d’un camp ou de l’autre, les amis qui disparaissent dans la boue, écrasés par les destriers lourdement caparaçonnés que montait la cavalerie lourde censée refouler les troupes ennemies. Les ténèbres alors que son visage rencontre une masse à ailettes qui lui lacère les chairs, transformant son faciès en une sinistre mosaïque.

Secouant la tête, il chassa ses souvenirs. Il faillait toujours que ces derniers soient les premiers à revenir à la charge. Il tenta de se concentrer sur quelque chose de plus plaisant, mais il n’y eut rien à faire, il avait perdu son dernier souvenir plaisant. Il n’avait pourtant été que très bref. Juste une rencontre agréable, mais sans lendemain.

Il espérait que l’océan s’éveillerait, juste pour lui, juste un instant pour l’engloutir et l’avaler, le perdant dans ses ténèbres insondables…

Wgaby

Ils arrivèrent sur la plage...heureux...détendus...
La nuit commençait à tomber.Ils étaient seuls sur cette plage.
Il la soutint quand elle enleva ses chausses...il la regardai faire, et il n'eut qu'une envie...c'est de retirer son bras,et de la voir se vautrer sur le sable...mais il l'aimait trop pour lui faire celà.
Ils discutèrent tout en marchant...lui tenant la main...
Puis elle se mit à lui raconter cette histoire de lettre.Il lui fit comprendre qu'il n'en avait rien à faire.Et elle lui dit:
"_Car la seule chose qui pourrais me faire fuir loin de toi serais....
que tu refuse la maintenant, de suite, de prendre un bain de minuit comme certains disent !! "
Il la regarda d'un air taquin...et la vit ôter ses vêtements et elle courut se jetter à l'eau.
Ah, c'est ainsi! Lui dit-il....
Ni une ni deux, il fit de même et courut vers la mer et plongea la rejoindre.
Il refit surface, face à elle et ils s'enlassèrent et s'embrassèrent longuement.Il ne se lassera jamais de ses doux baisers...de la douceur de sa peau.
Il nagèrent un peu, puis ils sortirent de l'eau, il la prit dans ses bras et l'emmena sur le sable un peu à l'écart des vagues.
Il s'allongea sur elle et se perdit dans ses baisers et ses caresses.Elle sentait bon l'eau salée...
Ils finirent une bonne partie de la nuit dans une étreinte dont ils avaient prit l'habitude.

Esperances

ils se promènent sans se presser , il fait bon en ce jour .
Tout occupés a parler , écouter , chacun buvant les paroles de l'autre , ils se dirigent vers le village .
Ils passent devant les tavernes mais l'envie d'être qu'eux , les fait continuer,ils croisent quelques personnes , les saluent .
Arrivent sur la plage , elle se maintien a lui en le tenant d'une main sur le bras pour ôter ces chausses .
le plaisir de sentir ces pieds s'enfoncer dans le sable est toujours le même , elle ne se lasse toujours pas du spectacle de cette étendue d'eau bleu-vert.
Le soleil est couché depuis longtemps, mais la lune pleine ce jour , les éclairent suffisamment pour guider leurs pas sans hésitation.
Ils marchent un bon moment , il lui passe le bras autour des épaules
Tu sais mon amour , cette lettre ....
Ne te met pas martel en tête...ce quelle dit ou laisse sous entendre ...
ne tiens pas debout, cela n'est ni plus ni moins une excuse comme une autre.
Car la seule chose qui pourrais me faire fuir loin de toi serais....
Elle le regarde moqueuse, jetant un regard a droite et a gauche , vérifiant que personne n'est la .
que tu refuse la maintenant, de suite, de prendre un bain de minuit comme certains disent !!
Tout en l'épiant elle défait sa robe...l'enlève ainsi que le reste...
Elle le voit prendre un air ahuri et court se jeter dans la mer en riant.

Ah c'est ainsi....
Il s'assoit sur le sable et enlève ces chausses , se deveti , court la rejoindre .
Elle rit aux éclats et attend qu'il rejoigne a elle.
Ils se regardent ,elle lui passe les bras autour de son cou , leurs lèvres se cherchent .
Comme a chaque fois qu'ils sont ensemble , serrés l'un contre l'autre les émotions parlent a leurs place , leurs corps s'épousent ne faisant qu'un .
Leurs mains caressent leurs peaux , prenant plaisir a se toucher.
Il la porte et la sort de l'eau , la couche sur le sable fin et continue de l'embrasser

Ils s'aiment tout simplement , se moquant de se qui ce passe autour d'eux

Dotyy

Dotyy qui était arrivée hier matin n'avait pas eu le temps de venir faire un tour sur la plage.

Quand elle arrivât, elle pu constater que rien n'avait changé ici et cela la rassurât.

Elle retrouvât son coin préféré au bas d'une des dunes de sables et si assit. Elle regardât un long moment les vagues aller et venir sur la plage.

L'endroit était paisible, personne a l'horizon. Une petite brise était la.

Elle se levât d'un coup et fit tomber sa houppelande au sol, elle enlevât ses bottes et se dirigeât vers l'eau.

L'eau vint lui caresser les pieds. Elle avançât doucement dans la mer et arriver a la taille elle plongeât entièrement dedans.

Elle nageât un long moment puis ressortit de l'eau. Elle n'avait pas prit de serviette mais cela était pas grave. Elle s'allongeât a même le sable et se laissât sécher au soleil.

Elle fermât les yeux et sentit le soleil lui caresser le corps. Elle plongeât dans ses pensées et au bout d'un moment s'endormit.
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Zolena

Perdue dans ses pensées, elle n'avait pas vu arriver Gaby et Espe. Avant d'avoir tout bien réalisé, elle se retrouva dans l'eau toute habillée. Ce coup de froid lui remit les idées en place. Elle retrouva rapidement son souffle et se remit debout allourdie par le poids de l'eau. Elle chercha qui avait osé lui faire ça bien qu'elle le savait déjà.

Vous ! Vous allez me le payer ! S'écria t elle à moitié morte de rire.

Elle se baissa et leur envoya de l'eau toujours en rigolant. Elle les poursuivit en les éclaboussant.

Wgaby

Ils se promenèrent sur la plage, se tenant la main, et tantôt, se chamaillaient comme des enfants...il la poussa pour quelle puisse tomber à l'eau, mais rien n'y fit. Elle avait de l'équilibre quand même...
Il y avait quelques personnes qui se promenaient, des enfants jouaient un peu plus loin...
gaby et espe se donnèrent des bisoux sans arret...ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre.
Tout en marchant ils virent quelqu'un un peu plus loin...une jeune femme était assise sur le sable.Tout en s'approchant ils pouvaient donner un nom à cette dame...C'était Zolena...elle avait la tête baisser, et jouant avec le sable, elle semblait perdue dans ses pensées...
Il fit un signe a son ange, et ils se souriairent de suite, au regard, ils se sont comprit.
Ils se mirent à courir vers Zol, Espe la prit par les bras, et gaby par les jambes, et l'emmenaient en courant la jetter dans l'eau.
Ils se sauvèrent comme des voleurs, et gaby se retourna et cria à son amie Zol:

"_Elle est bonne tizouuuuu????? c'est pour le coup du lavoirrrrr!!! tu t'en souviensssss??????? ahhahahahah......."

Esperances

ils se baladent ,se chamaillent , courent , s'amusant a s'attraper , s'embrasant chahutant le long de la plage.....
Ils sont insouciants heureux de vivre tout simplement.
Ils finissent les pieds dans l'eau , ils sont pas seuls , du monde se promène , d'autre batifolent ...
ils aperçoivent quelqu'un seul sur le sable , plus ils approchent plus ils reconnaissent Zolena.
Ils se regardent dans les yeux la même lueur.
S'approchent tout doucement...sans faire de bruit....
Ils la voient se lever...l'attrape...
La tire vers l'eau ....
Allez Zolenaa tu est toute sale , un bon bain et tout sera nickel....
Mon amour pas de pitié.....

La jete tout habillée dans l'eau et éclate de rire

Zolena

Une bonne promenade au bord de l'eau. Rien de tel pour se rafraichir les idées. Elle enleva ses chausses pour moins s'enfoncer et partit pour une longue marche. De temps en temps elle se baissait, ramassait des maclottes d'algues séchées et les jetait à l'eau. Elle même si jeta...enfin avait envie de s'y jeter mais se contenta de tremper ses pieds...Elle s'éloigna tellement qu'elle finit par ne plus voir le village. Elle s'assit pour se reposer un peu, laissa vagabonder ses pensées. Bien sure, après son travail et ses nouvelles amorces un seul sujet lui occupait le cerveau : Titeuf.
Elle poussa un long soupire et sans le faire exprès, ses mains qui jusque la tripotaient nerveusement le sable se mirent à dessiner des petits cœurs si bien qu'elle s'en trouva entourée.
Elle resta un moment dans cette position à soupirer mais un vague plus haute que les autres la mouilla jusqu'aux chevilles. Elle se leva d'un bond et effaça les cœurs. Elle n'avait plus 10 ans tout de même. .

Axius

il n'y avait aucun mot pour décrire, le bonheur, la passion qu'Isabele et Axius étaient en train de vivre. Ils communiquèrent que par leur regards et leurs caresses. Au moment où Isabele glissa ses doigts habiles tout le long de son torse, puis se pencha vers lui pour l'embrasser a pleine bouche, un baiser torride, il poussa un grognement et la serra si fort qu'elle put a peine respirer. Mais qu'importe tout ce qu'elle désirait, c'etait sa peau chaude contre la sienne, son étreint indiscipliné qu'elle avait nullement l'intention de censurer. Il était si heureux de la retrouver enfin, de constater que son désire était aussi fort que le sien.
Tandis qu'elle se blottissait contre lui, les mains d'Axius se glissant dans son dos jusqu'a ses fesses, qu'il pressa avec la plus grande envie. Il la souleva, elle enroula ses jambes autour de lui, il avait qu'une envie prendre possession d'elle. Jamais Axius n'avait aimé une femme comme il aimait Isabele. Elle avait un tel pouvoir sur lui qui mettait tout ses sens en alerte.
Il lacha enfin ses levres dériva sur son menton puis son cou, jusqu'a la naissance de ses seins. Elle rejeta la tête en arrière accompagné d'un soupir d'aise, Passa les bras autour de son cou, lui incitant a la savourer d'avantage. Axius senti son membre érigé se frotter contre la parti la plus intime de sa féminité, elle haleta, s'agita, et lui soutira un râle, tandis qu'il l'avait toujours les mains agrippés a ses fesses pour la maintenir contre lui.
Isabele se pencha a nouveau contre lui, elle ne réprima aucunement sont envie d'écraser ses lèvres contre les siennes, avant de s'arrêter net. Axus la regarda, il senti qu'elle voulu se dégager de son étreinte. Que se passe t'il?!Pourquoi se changement d'attitude soudain? alors qu'ils etaient si bien la, où leurs corps étaient a deux doigts de s'unir pour ne plus faire qu'un. il comprenait pas et commença a pousser des jurons de frustration dans sa tête.
Isabele lui fit un sourire, elle avait lu de l'inquiétude sur le visage d'Axius, elle lui indiqua alors du regard un endroit bien précis sur la plage. Alors il la laissa redescendre, lui prit la main car le besoin de la toucher était impérieux et se laissa guider par sa tendre.

Isabele_colomb

Axius s'approcha encore et encore jusqu'à être face à Isabele , elle le regarde et lui sourit et ne peut résister à cette bouche qui s'élance lentement vers la sienne , ils s' étreignent dans un baiser merveilleux où se mêlent toutes les sensations, et duquel s'écoule en elle un bonheur immense, comme si elle avait découvert un trésor encore plus magnifique que ce paradis lui même...
Leur baiser dure encore et encore, elle s'évade, elle s'envole, elle veut que jamais ce baiser ne s'arrête, qu'il dure infiniment.
Isabele se serre un peu plus fort contre Axius comme si elle voulait que leur fusion soit encore plus intense , les bras de son aimé la serre encore un peu plus, leur respiration devient plus difficile mais cela n'avait guère d'importance, peu importe leurs corps , seule cette sensation de bien être et d'unité compte vraiment
Axius passa un bras derrière ma nuque, lui arrachant un frisson, puis elle sentit son autre bras se coller à sa hanche, un contact d'une infini douceur,il la pressa un peu plus contre lui, elle sentait maintenant tout son corps contre le sien, c'était comme s'ils ne faisaient plus qu'un, comme si ils avaient fusionner ici, maintenant, elle pouvait même entendre les battements de son coeur...
Cette instant magique semble pouvoir durer une éternité , sa bouche explore , s'attarde et parvient finalement aux fines épaules d'Isabele à la peau encore plus douce.
Isabele ne pouvait détacher son regard de celui d'axius , une fois de plus il ne pu résister, ses bras la soulevèrent délicatement et il plongea mon visage dans sa merveilleuse poitrine avec laquelle jouaient les reflets de l'océan. Sa peau douce caressa mon visage et Sa bouche couvrit ses seins magnifiques de milles tendres baisers. Isabele sentait mon coeur battre à tout rompre , et c'est avec tout autant de délicatesse qu'il ramena Isabele prêt de son visage pour l'emporter à nouveau dans un baiser d'une tendresse infini.
Elle réalisa alors qu'à quelques centimètres d'eux flottait la jolie petite robe fluide et transparente qu'elle portait. Ils restèrent là quelques instant à s'admirer , tout simplement, sans aucune gêne ni retenue tandis qu'un désir des plus intenses montait en eux .
Isabele le désirait vraiment plus que tout au monde , c'est lui qu'elle voulait pour l'éternité et personne d'autre . Tandis que les mains d'axius continuaient leur exploration ,lui arrachant de multiples frissons à chacun de ses effleurements ,Isabelle lui caressa le dos avec des gestes lents qui le firent frémir dés les premiers instants .

Snoop71

Snoop avait passé un moment avec son fréro ce soir, il avait rit, mais Snoop n'arrivait plus à rire. Une boule grossissait dans sa gorge au fur et à mesure que la soirée avança. C'était trop dur de rester, de rire, de sourire, il préféra partir, faire un tour sur la plage.
Un vent glacial lui fouettait le visage, il avait froid de tout son être, jamais une sensation de vide ne l'avait pris ainsi.
Il ne sentait plus rien, son coeur ne battait plus, il s'allongea sur la plage à contempler les étoiles.
Les étoiles il ne les voyait même pas, il était parti, il n était plus là. Le monde n'existait plus, ni la terre , ni la mer, ni les étoiles... plus rien n'existait pour lui, qu un énorme néant

Axius

Axius et Isabele, s'étaient éloignés main dans la main s'échangeant des baisers au passage, ils s'arreterent a un endroit sur la plage, isolé, où ils n'étaient pas suceptible d'etre déranger. Un endroit lequel Isabele était la seule a connaitre, elle venait s'y ressourcer régulierement surtout ne l'absence d'Axius.. Ils s'arreterent Enfin, Isabele lui fit face, leur petit jeu à se séduire n'avait cessé d'arreter.
Sentir ses doigts qui vaguer sur son torse lui hotant sa chemise , ses levres qui se posaient sur les siennes, les mots d'amour qu'elle lui susurait à l'oreille.... C'etait comme si elle se jouait de lui. Axius la regarder faire, et apprecier fortement. La réalité de sa beauté avait anéanti sa raison. Axius l'avait traquée et à chaque pas elle avait reculé pour resister a ses incurssions...jusqu'a ce qu'elle se rendit dans l'eau et lui invita a venir telle une provocation.

Peur?! Est bien le mot qu'elle avait prononcé?!!se demanda t'il, la meilleur réponse était d'allé la rejoindre. Sans perdre une minute, il fit un tour sur lui meme balayant du regard les environs. Maintenant qu'il était assuré que lui et Isabele étaient vraiment seul à seul; il descendit sa braie la laissa sur le sable. completement devetu, il se rendit dans l'eau rejoindre sa belle, un sourire malicieux déforma le coin de ses levres.
Isabele le fixa, d'ailleurs son regard se portait sur un endroit bien precis, jusqu'a ce que l'eau lui recouvrit la taille à son tour.
il avança encore et s'arrêta avant de la toucher.

"Tu as vraiment cru que j'avais peur!!!"

"Ses deux semaines loin de toi ont été difficile a vivre"

soudain, il l'attira contre lui enfonça les doigts dans ses cascades de boucle emmeles, et prit ses levres dans un baiser des plus fougueux. Il n'y avait pas de mot pour décrire l'effet qu'elle avait sur lui. mais nul besoin de mot quand il y a les actes.
Lentement tres lentement, il colla son corps contre le sien, il appuya son corps contre ses courbes irrésistible

"Isabele je te désir"

Puis il posa ses levres sur sa tempe qui dériva jusqu'a sa bouche. Il ne pouvait s'empecher de la serrer contre lui, un à un il dégagea le long de ses épaule chacune de ses bretelles pour lui oter sa robe.

Ettis

A avoir passé toute la matinée en plein soleil, dans son champ, Ettis ruisselait de sueur, crevait de chaud, et il faut bien l'avouer, sentait un peu fort. Prenant le chemin de la ville pour combler sa faim dans une des nombreuses tavernes de la rue de la soif, elle passa devant le croisement et avisa la sente descendant vers la plage. Elle n'y venait pas bien souvent, peu désireuse de déranger les nuées d'amoureux qui s'y retrouvaient, mais aujourd'hui, le vent plus frais venant de l'eau la tentait plus que tout.
Aussi, ota-t-elle ses bottes rouges, et se confirma intérieurement qu'il était grand temps d'aérer tout ça, descendit d'un pas allègre la sente herbue, puis arriva enfin à la plage.

Rhaaa! Que c'est bon un peu d'air!! Tant qu'à faire, autant en profiter pour un ptit entraînement vite fait!

La caserne s'était vidée à nouveau, et les entraînements s'étaient espacés ; il était plus que temps, donc...elle ota ses braies et sa chemise, plia le tout soigneusement et les déposa dans un coin pour les retrouver après l'exercice. Elle était à présent en tunique, comme à ses tous débuts, lorsqu'elle était arrivée, pouilleuse et bien pauvre alors, à Béziers. Elle gagna le bord de l'eau, poussant un soupir d'aise en trempant ses pieds nus dans l'eau encore très fraîche, puis se mit à courir à petites foulées pour s'échauffer, puis de plus en plus vite, jusqu'à gagner son pas de croisière...1 lieue pour commencer....

Isabele_colomb

La journée était radieuse , le soleil brillait de mille feux , le vent soufflait légèrement, soulevant quelques grains de sables et sifflant dans les branches des rares arbres qui bordaient ce petit coin de paradis , Isabele était heureuse , heureuse de retrouver celui qui lui avait tant manqué ses deux dernières semaines . Soudain, sans qu'elle ne leur en ait donné l'ordre, ses jambes vacillent, puis commencent à se soulever, l'emportant inexorablement vers un paradis qu'elle a l'impression de violer. Le vent caresse doucement son visage et une douce odeur iodée emplit ses narines, elle se sent bien, heureux et libérée de tout tracas. Elle a l'impression de rêver, peut-être était elle entrain de rêver...
Non il est bien là ce n'est pas un mirage , pas une parole ne sort de sa bouche , elle se sent vaciller , ses mains douce et soyeuses qui descendent le long des son bras , ses lèvres posées sur les siennes , la chaleur de son corps contre le sien , son nez qui lui chatouille ensuite l'oreille , son souffle chaud et court , sa langue humide et chaude qui parcourt son cou, elle est telle une poupée de chiffon entre ses mains .
D'une voix suave et douce elle lui susurra quelques mots d'amour à l'oreille et l'entraîna , oubliant les chausses qu'elle porte aux pieds , elle se dirige vers l'océan , telle une sirène elle entraîne Axius dans sa course , Ils finissent bientôt par avoir de l'eau jusqu'au mollets , mais cela n'a pas d'importance , ils ne sentent même pas la tiédeur de l'eau au contact de leur peau.
le rêve se prolongeait. Ils marchaient en direction de l'océan, et ne se souciaient pas une seule seconde des vêtements qu'ils portaient ils n'avaient pas d'importance et c'est à peine si ils se rendaient compte de leur présence. Soudain, quelque chose de froid et humide tira Isabele de ses pensées coquines ; l'eau leur montait jusqu'aux genoux à présent , ils s'arrêtèrent un instant, pour prendre le temps de savourer ce moment unique , main dans la main , heureux plus que jamais .
Isabele regarda Axius et lui sourit , un sourire baigné de douceur et de malice , puis s'approcha d'Axius , avant de poser ses mains sur son torse et d'y faire glisser sa chemise .
Axius lui tendit les bras pour la serrer contre lui , trop tard , elle avait préféré se livrer à la mer et lui adressa un signe depuis l'eau qui la recouvrait maintenant jusqu'à la taille.
d'une voix douce , elle lui cria :

Viens tu as peur ?

Axius

Ça y est le moment tant attendu était enfin arrivé. Après s'être échanger un baiser des plus passionné, Axius se mit à la contempler, du regard pièce par pièce avec une lenteur délibérée qui faisait l'effet d'une torture délicieuse. Sous le lin et la soie diaphane, ce corps exquis, le feu et la glace couraient dans ses veines , il priait le ciel de pouvoir encore dissimuler le désir qui le transperçait.
Isabele savait parfaitement l'emprise qu'elle avait sur Axius. C'était même devenu comme un jeu pour eux, essayaient de déstabiliser, de faire craquer l'autre le premier et à ce petit jeu la, ils étaient au même rang. Axius la déshabillait toujours du même regard, si effrontément qu'il la voyait déjà nue. Oui il l'imaginait toute nue entendue sur le sable humide et se soleil brulant, entièrement offerte a lui.
Il eu un petit sourire en entendant la réponse D'Isabele.

Alors comme ça tu t'es pas rendu compte de mon absence?!

est ce vrai ce mensonge?

Sans même écoutait sa réponse, qu'il connaissait d'ailleurs, il pencha la tête euphorique, la journée promettait d'être divertissante.
Alors d'un geste Axius l'attira contre lui, seins contre torse, puis de son nez il repoussa ses cheveux pour dégager son oreille et en chatouiller lobe.

t'es sur que je t'ai pas manqué? redemanda Axius avec un sourire coquin

il effleura le cou d'Isabele de son souffle brulant, puis déposa ses lèvres mâles sur les siennes. Les mains effleurent avec délicatesse les bras nus, de ses coudes jusqu'à ses poignets.

tu veux pas que j'arrête!! lui souffla t'il à l'oreille

la langue d'Axius suivit le tracé de son oreille avant de dessiner une ligne le long de son cou. Un soupir d'aise se fit entendre. Si Axius s'écoutait, il aurait arracher ses vêtement et l'aurait fait l'amour sur le champs. Mais il avait envie de faire durer le plaisir et la faire languir surtout. Il s'arrêta net, lui prit la main sans doute pour l'amener dans un endroit plus discret...ou pourquoi pas dans l'eau se dit t'il.....

Isabele_colomb

Isabele avait dormi bien peu cette nuit , elle avait compté les jours les heures et les minutes depuis le départ d’Axius chez les moines , il ne s’était pas passé une journée sans qu’elle ne pense à lui ou qu’elle ne parle de lui . Le grand jour était arrivé , son bien aimé rentrait aujourd’hui , elle s’étira , se leva et ouvrit la fenêtre et les volets pour faire entrer les premières lueurs du jour et le soleil qui annonçait une journée radieuse et sûrement des plus folle puisqu’elle allait retrouver son bien aimé. Il lui avait tellement manqué , ses deux semaines avaient paru interminable , elle avait encore était l’objet de bassesses de la part de certain mais elle n’en avait rien à faire , elle avait pris cela de ou ça venait , elle valait bien mieux que tous ses faux culs que la ville renfermait .
Isabele était si excitée de retrouver son aimé , qu’elle tournait en rond , elle voulait être belle pour lui , rien que pour lui , elle le connaissait bien et elle savait que leurs retrouvailles seraient coquines , elle en avait rêvé de ses instants de retrouvailles , [Isabele était si excitée de retrouver son aimé , qu’elle tournait en rond , elle voulait être belle pour lui , rien que pour lui , elle le connaissait bien et elle savait que leurs retrouvailles seraient coquines , elle en avait rêvé de ses instants de retrouvailles tout au long de ses deux semaines .
Elle se mit a fouiller sa garde robe , qu'allait elle bien pouvoir mettre , elle voulait être radieuse et flamboyante , pour leur rendez vous sur la plage , elle finit par se décider et opta pour cette jolie petite robe fluide et transparente , légèrement échancrée qui laisse apparaître ses seins ,la fine étoffe laissait apparaître par transparence les roses aréoles et les tétons , et à la lumière du jour laissant présager qu'elle ne portait aucun dessous , les cheveux dénoué c'est ainsi qu'il la préfère .
Elle avait envie de le surprendre . depuis qu'ils s'étaient rencontré Axius avait suscité chez Isabele un désir brûlant et intense , elle ne pouvait résister à ses avances , elle aime le provoquer aussi et sentir chez lui le désir et l'envie de la posséder.
C'est toute fraîche et pimpante et parfumée qu'elle prit le chemin de la plage , elle voulait pour une fois arriver à l'heure même à l'avance , elle voulait être là avant lui pour lui réserver un accueil des plus chaleureux .

[La plage ]

Isabele arriva à la plage , émoustillée par l’odeur de la mer et à l‘idée de retrouver son aimé , cette chère méditerranée pour qui elle avait eu le coup de foudre , elle regarde cette immense étendue d’eau à perte de vue , ses pieds s’enfoncent dans le sable à chacun de ses pas , Après avoir marché un certain temps sur la plage, Isabele avait atteint les falaises et trouver une petite grotte . Elle sourit , rebroussa chemin et repartit vers la plage attendre l’objet de ses désirs.
Quand elle le vit enfin arrivée , sa chemise blanche ouverte , laissant apparaître sa musculature , son coeur se mit à battre la chamade , son regard s'illumina , il lui avait tellement manquait , il était enfin là , rien que pour elle . Elle s'avança lentement au devant de lui ondoyant de la croupe.

Bonjour mon coeur , je commençais à désespérer

Tout deux fiévreux et aussi impatients l'un que l'autre de se retrouver avaient des regards qui en disaient long . Isabele déposa un tendre et doux baiser sur les lèvres d'Axius , elle l'aurait bien dévoré tout entier , mais elle ne voulait rien précipiter bien qu'elle avait envie de sentir ses mains parcourir son corps.

Manque ? à peine mon coeur , je n'ai même pas eu le temps de m'apercevoir que tu étais parti

Isabele se mit à rire , elle avait envie de le taquiner un peu , bien sûr qu'il lui avait manqué et terriblement ,

Brac17

Brac arriva avec Tirli dans un bras et une couverture récupèrée à la maison dans l'autre, ils commençèrent a se mettres les pieds dans l'eau et à se balader. Ils sont partit de Bézier briser pour y revenir plus amoureux ils le savent et profite de ça, il la regarde et lui dit

Vien installons nous ici nous allons regarder le coucher de soleil ensemble.

Ils se couchent sur la couverture, se caline, se caresse et s'embrasse

Je t aime tellement Tirli, j ai hate que notre vie reprenne demain, je suis heureux et fier de se qu on vient de parcourir.

Ils se mettent a regarder le superbe spectacle qui s'offre a eux, encore plus beau que sur les bors du Rhônes le soleil rougit la mer et le sable, ils se serrent l'un a l'autre comme si rien ne pourrai désormai les séparer.

A nous 2 ma chérie et que plus rien ne se mette entre nous

Il lui caresse tendrement les cheveux et l embrasse tendrement profitant des dernier instant avant leur départ de Bézier.

Tirlititi

Elle tiens brac tendrement par la taille , cette derniere soirée elle la imaginée , revée , et desirée.
Et il lui offre comme il lui offre son amour .
Ils on passé le plus dur ....enfin l'espere t'elle.
Ils marche le long du bord de l'eau , les pieds dans l'eau.
Heuureux malgrés la tristesse qu'ils eprouvent a l'idée de quitter cette ville qu'ils aiment.
Il deplit la couverture qu'il a emporté , l'etale sur le sable...

Citation:

Vien installons nous ici nous allons regarder le coucher de soleil ensemble.

Ils s'installent tranquillement , les carresses arrivent naturellemennt , ils laissent parler leurs corps ...

Citation:

Je t aime tellement Tirli, j ai hate que notre vie reprenne demain, je suis heureux et fier de se qu on vient de parcourir

Moi aussi brac je t'aime plus que tout , plus que beziers , plus que ma propre vie.
Rlle l'embrassent tendrement
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Camelle

Camelle avait décider d'aller faire un tour à la plage, marchait sans but precis.
Elle crut reconnaître un ami et s'approcha:

"Tiens Cosmos , que fais tu là de si bon matin"
Tu m'as l'air bien triste, plongé dans tes rêves"

Camelle le secoua un peu

"Allez , allez tu veux bien raconter a Camelle tes soucis?"

Axius

en cette belle matinée ensoleillé Axius était de retour après une petite période passait chez les moines, la première chose qu'il eut envie de faire, c'était d'aller retrouver Isabele. Il n'avait cessé de penser à elle, deux semaines qu'il était chez les moines, deux semaines loin de sa moitié, deux semaines de trop.
A son retour, il fit ravi qu'elle lui est envoyé des pigeons pour lui informer de la situation de Béziers et de son évolution. Mais qu'importe ce qui se tramait dans la ville, l'heure était au retrouvailles. Il avait qu'une envie: de la revoir, de la prendre dans ses bras, sentir son parfum, lui parler, l'embrasser.
Ils s'étaient donnés rendez vous sur la plage. Lui qui croyait être le premier a son arrivé, Isabele était déjà sur place. Elle avait aussi hâte que lui de cet instant, cela se voyait sur son visage. Seul à seul, loin de tout soucis et autre....à l'abri de tout regards indiscrets.
Axius avança vers elle, tel un félin vers sa proie, la chemise déboutonné jusqu'a la taille, , relevant des muscles ciselés qui ondoyaient à chacun de ses pas.

Bonjour beauté fatale

Axius saisit la main d'Isabele pour le porter à hauteur de ses lèvres. Quand leurs regards se croisèrent, il la regarda longuement au fond de ses yeux avant de se pencher sur sa main pour y déposer un baiser.

je t'ai manqué Isabele?

Bien sur il connaissait la réponse mais il avait envie qu'elle le lui dise encore une fois. Il se pencha de plus prêt pour entendre sa réponse, il sentait la chaleur qui émanait du corps de sa tendre, au delà de son parfum suave l'odeur musquée du désir. Il n'y avait plus que la largeur d'un cheveux entre ses lèvres et ceux D'Isabele, lorsqu'il entendit sa réponse il l'embrassa langoureusement.

Cosmopolitain

Cosmo etait triste, et décida de partir marcher un peut, sa route l'emmena sur le sable, il marchai triste, sa feu Mary etait morte et il n'arrive pas a faire sont deuil !

Il resta en face la mers a la contempler pendant longtemps!

Angelique

Jasinte va faire un tour au bord de la plage, marche les pied dans l'eau en regardant le coucher de soleil.Aime venir se promener ici, entendre le bruit des vagues.Ne pense a plus riens .Elle arrive vers un rocher , et voix logrind assis.

Ah tu es la!!!! Snoop ma dit que tu était sur la plage...

Alors je suis venus me promenée en espérant te trouvée..

S'assois auprès de lui et contemple le couche de soleil....

Que c'est beau!!! que en pense tu log????

Jasinte le regarde es attend sa réponse .

Logrind

Logrind vit Jasinte arriver vers lui et lui fit un grand sourir. Puis elle lui dit :

Ah tu es la!!!! Snoop ma dit que tu était sur la plage...

Alors je suis venus me promenée en espérant te trouvée..

Il lui sourit de nouveau sans dire mot et contemplairent ensemble ce coucher de soleil. Et il regarda Jasinte qui s'addressa a lui :

Que c'est beau!!! que en pense tu log????

Il lui répondit :

Oui c'est vrai que c'est magnifique, la longue descente de cette boulle de feu vers le lointain.... C'est somptueux !
Et le fait que tu soit là à côté de moi ça le rend encore plus beau et ça me fait plus plaisir de partager ça avec toi.

Il la regarda et lui sourit

Angelique

Hier soir , voyant snoop dans ses rêve , jasinte lui demande a quoi il rêve, il lui dit a une cascade.Il la fait rêver, envie un peu de solitude part a la recherche d'une cascade.
Marche le long de la plage , va vers les criques escalade les rochers .
Entend le bruit d'une cascade s'approche en fessant attention de pas tomber du rocher , descend et vois une magnifique cascade.

OH QUELLE ES BELLE!!!!!

Jasinte regarde partout vois quelle et vraiment seule ,se d déshabilles , et plonge , et se met sous la cascade.

OU!!! elle es froide .

Elle reste des heures a contempler se jolie endroits.

Logrind

Après une belle soirée où les palles rayons du soleil atteignaient le visage de Logrind, qui le réchauffait doucement, décida d'aller faire un tour à la plage pour admirer cette lente déscente du soleil vers l'horizon pour disparaitre dans le lointin. Logrind se rapprochait de plus en plus de la mer, il sentait sur son visage le vent qui venait du large, le chant des mouettes...

Arriver devant la mer, Logrind inspira un grand coup, l'air du large lui fesait du bien. Il avanca donc dans le sable et s'installa pret d'un rocher. Puis il vit pret de lui dans un champs des cheveaux qui broutaient l'herbe. Cela lui fit penssé à Jasinte et à son cheval blanc et il sourit

Fiachra

Il était enfin sorti un peu de chez lui. En une semaine il s'en était passé des choses ! D'abord il avait enfin son champ de maïs. Il n'était plus un clochard local mais un paysan. Ensuite il représenterait sa ville à un tournoi prestigieux. C'était là un plaisir pour lui, il allait sans doute rencontrer plein de gens nouveaux, et voir des horizons tout aussi nouveaux, car il paraissait que le tournoi se déroulerait en Franche-Comté cette année.

Et puis il y avait cette dame qui hantait son esprit et son coeur. Lui qui disait que ça n'arriverait jamais, il s'était planté comme un haricot.

Les tavernes étant closes, il se décida à s'entrainer un peu. Il se mit à un bout de la plage, il apercevait un couple au loin. Mais peu lui importait il fallait se concentrer.

Il fit quelques mouvements, attaque, parade, contre-attaque et défense. Il devait gagner. Non pas pour la gloire, ni pour l'honneur, ça il s'en fichait. Ce qui lui importait c'était de plaire à sa guerrière préférée. Et quoi de mieux que de lui montrer qu'il était loin d'être un manche lui aussi ?

Il poursuivit ses mouvements au bâton se concentrant et bannissant toute pensée de son crâne. Toute sauf une. Celle du sourire de la femme qui avait su capter son attention. Il était sûr que ça suffirait à lui donner une sacrée motivation pour écraser ses adversaires.

Olympee

Olympée sursauta en entendant le messire, surprise elle se releva d'un bond , recula de peur tout en l'écoutant elle le regarda

Citation:

Hum... Humm... Excusez moi Dame, je ne veux pas m'imposer à vous, et je comprendrais parfaitement que vous préfériez être seul, mais si vous préférez mon oreille à celle d'une mouette je suis votre.

Elle essuya d'un revers de main ses joues mouillées, il avait l'air gentil , serieux et poli mais ... voilà ...pensa t elle

Je vous remercie Messire de votre attention envers moi mais helas je crois que personne ne peut rien pour moi et que je suis la seule qui peut regler ce problème !

Olympée se rassit sur le sable à une distance raisonnable du messire, elle soupira , aurait espéré , preferé , enfin bref !! pensa t elle !

Ne m'en veuillez pas messire mais je prefère rester seule, ne m'en tenait pas rigueur , merci encore

La petite alouette fixa de nouveau l'horizon et se reperdit dans ses pensées

Snoop71

Snoop détestait voir les gens malheureux, plus encore quand c'était des femmes, mais il ne pouvait que comprendre et accepter le désirs de solitude qui lui était présenté.
Il n'avait pourtant aucun droit d'insister, on aide pas les gens qui ne veulent pas être aidé.

Je ne vous en veux pas le moins du monde dame, je souhaitais seulement vous être agréable, même si je suis bien conscient que vous auriez aimé trouver quelqu'un d'autre.

Snoop se releva, salua poliment la dame puis se retira tranquillement.

J'espère que vous trouverez solution à vos problèmes dame.
Aux plaisirs de vous revoir en d'autres circonstances...

Shaena

Shaena vêtue de sa petite chemisette blanche, marcha d'un pas léger, elle arrivait bientôt dans les belles petites ruelle de Bézier, au loin elle vît Divinius qui marchait en sa direction, il avait belle allure son frère quand même.

Elle arrive à sa hauteur et lui dit :

ho !! Divi tu as pu retrouver mes vêtements!! merci !! mais ...

Elle renifla un petit peu tira la tête et lui dit :

hoo mais sa pue ici !!! on dirait de la bouze de vache ma parole !! Mais ou a tu donc trouver mes vêtements ??? enfin tu les as c'est le principal!! merci !!

Elle le bisouilla puis partie avec lui fêter sa..

Olympee

La petite alouette était bien désolée , les portes des tavernes restaient closes , pourtant elle avait attendu longtemps devant, du coup prise d'une envie de respirer un peu d'air, d'essayer de reflechir, elle prit sans meme s'en rendre compte le chemin de la plage.

Elle avançait pensive, essayant de reflechir à la suite de sa vie, quand elle sentit sous ses pieds la douceur du sable , qu'elle entendit le clapotis de l'eau, elle releva la tete , sourit

Tient me vla à la plage !!! oula ! je me suis meme pas rendue compte du chemin que je prenais ça devient grave là .

Ses lèvres arboraient un joli sourire et sa memoire lui rappela une autre plage celle de Narbonne ou la brunette Attala lui avait appris à se defendre face aux rustres des tavernes, l'avait conseillé de reprendre confiance en elle et dans la gente masculine, certe elle essayait , elle venait plus en taverne et les nouvelles amitiés de Beziers l'y aidaient bien aussi.

Elle lança un grand soupir , se baissa et s'asseya sous un arbre . Elle remonta ses jambes pliées sur elle , mit un bras autour d'eux , posa sa tete dessus et de son autre main joua en faisant glisser le sable entre ses doigts.
Si la vie pouvait etre facile que ce sable qui glisse inlassement de ma main, elle savait qu'elle avait progressé, qu'elle parlait plus, mais en ce qui concernait la gente masculine là elle était au point mort. Pourtant elle avait esperé pendant un moment mais voilà !

Elle souffla un grand coup relevant la tete pour regarder vers l'horizon,ses
yeux se perdant dans le vague, essayant de faire le vide dans sa tete, ne plus reflechir pour une fois!

Quand d'un coup Olympée sursauta en entendant un bruissement d'ailes, elle detourna son regard de l'horizon pour le mettre sur la plage non loin d'elle, elle sourit en voyant une mouette qui venait de se poser pour picorer dans le sable, elle chercha dans sa besace un reste de pain, l'émietta et le tendit vers la mouette, celle ci un peu apeurée n'osa s'approcher, elle pensa, elle est comme moi dur dur de faire confiance, elle resta immobile le bras tendu avec un morceau de pain et au bout d'un long moment l'oiseau s'en approcha lentement, elle l'admira de plus belle et tout en le regardant se mit à penser : est ce un message pour moi ?? cet oiseau si s'était moi ??
Elle lui parla à voix haute !!

Dis moi jolie mouette, tu crois que moi aussi je peux faire confiance??
Vais-je prendre le risque de souffrir ? ou vaut il mieux que je m'envole pour fuir ce dont j'ai peur !!
Tu n'as pas fuit devant moi toi ??? dois-je faire comme toi ??? est ce là ton message !!!

Olympée savait très bien qu'elle ne lui repondrait pas, l'oiseau sembla la regarder un instant, puis s'envola de nouveau gracieusement dans le ciel, Olympée ne put retenir ses larmes, elle se cacha entre ses jambes et les laissa couler abondamment !

Snoop71

Snoop profitait de la fermeture des taverne pour faire le tour de la ville, se balader sans but bien précis.
Se promenant il arriva sur la plage, il contemplait les bateau de pécheur revenant le la pêche accompagné de nombre de mouette affamées.
Son regard fût attiré sur la plage, une dame y était assise semblant parler à une mouette.
La scène se jouant devant lui ne manqua pas de le faire sourire. Amusé, il s'approcha lentement de la causeuse de mouette. Il Vît le volatile s'envoler et la jeune femme s'effondrer dans un torrent de larme.

Hum... Humm... Excusez moi Dame, je ne veux pas m'imposer à vous, et je comprendrais parfaitement que vous préfériez être seul, mais si vous préférez mon oreille à celle d'une mouette je suis votre.

Il était accroupi près d'elle, regardant la mer, près à sa demande à s'assoir un moment ou sur l'instant reprendre le court de sa promenade.

Divinius

Sur les chemins Divinius avait assisté a la scène, et s'empressa d'attendre Isa dans une ruelle.....L'occasion était trop belle!! Dans une courte ruelle il marcha doucement, croisant Isa..les regards noires se croisèrent.mais sans une attente il afficha un petit sourire sur son visage et au passage lui fit un merveilleux croche patte qui la fit chuter la tête la première dans une énorme Bouse....Voila un endroit qui lui allait bien..les éléments restent entre eux après tout...

Il aurait aimé dire, mais sa retenue le reprit et pensa juste:

-"Gare a la Pouf qui pouffe et qui tombe en Paf...!!!"

Et en riant il partit accompagné de drax

Shaena

Shaena encore les yeux fermés se sentait bien, paisible, elle s'assaya sur le sable l'eau venait lui toucher les pieds.

Elle regarda autour d'elle et aurait juré avoir entendu un petit rire de chameau comme elle disait, elle se tourna encore et encore, et n'y trouva pas ses vêtements, elle regardait au loin, peut-être était ce un crabe qui était venu lui prendre sa braie et sa chemise noir, ou encore.. plein d'idée venait, et elle en riait.

Elle soupira et dit:

Et bien quelle manque de maturité de m'avoir pris mes vêtements!!! pas possible sa !!! heureusement que j'avais garder ma chemise blanche en dessous!! j'aurais été bien la toute nue dit donc...

Elle sourit à tout ses enfantillage et prit la direction des tavernes histoire d'aller boire un coup et trinquée à l'autruche qui lui à voler ses vêtements, pensait elle au crabe ...

Shaena

Shaena après avoir eu un coup de nerf partie sur la plage voir si tout étaient mieu la bas, peut-être la baignade l'emporterai vers un autre horizon plus serein.

Elle ne voyait personne, rien qui pouvait l'empecher de se baigné en toute tranquilité. Elle opta pour un coup de bronzage par cette belle journée et elle verrait plus tard pour la baignade.

Elle enleva sa braie, sa chemise et s'allonga sur le sable chaud.

Isabele_colomb

Isabele avait de l'ennui , Axius lui manquait terriblement , aujourd'hui plus que d'habitude , elle avait le cafard et pas le moral bien qu'elle avait passé une partie de la journée entourée d'amis . Elle décida d'aller se promener là ou ses pas la conduiraient , elle finit par arriver sur la plage , bien longtemps qu'elle n'avait foulé le sable ni l'eau de ses pieds .
Isabele se souvint alors de la derniére fois ou elle y était venue , elle avait eu une grande décision à prendre , et la plage avait été son refuge , elle y était restée des heures prostrée , assise sur le sable face à la mer .Ce soir elle avait envie d'être seule et de songer un peu à son avenir avec Axius , il avait été dans les premiers temps un confident plus qu'un amant mais au fil du temps leur amitié s'est transformé en un immense amour , lEur voyage n'avait fait que consolider leur union .
la jourée avait été magnifique et ensoleillée , Isabele retira ses chausses et foula le sable chaud de ses pieds , elle marcha le long de l'eau , les vagues venaient se jeter à ses pieds , elle continua à avancer sas but , puis elle remonta plus vers la plage ,quand elle cru apercevoir allongée sur le sable , nue la soeur de Divinius , l'occasion était trop belle , une vraie aubaine , Isabele avança dans sa direction , par politesse elle la salua au passage , mais la greluche ne lui repondit , pas bien trop préoccupée à se faire dorer la face au soleil .
Isabele à peine vicieuse ramassa discrétement ses vêtements sur le sable et s'éloigna bien tranquillement , elle sortit de la plage remit ses chausses , sourire aux lévres et le moral remonté à fond .Bien heureuse de lui avoir joué un vilain tour , elle partit en direction des tavernes pour aller boire un coup à sa santé .

Gally63

Le soleil se couchait enfin.

Longue journée, longues retrouvailles... Pourquoi des retrouvailles ? Elle avait l'impression d'être partie hier. La notion du temps est une chose abstraite, et bien souvent on ne l'a que parce qu'on compte nos jours !

Elle n'avait pas eu la joie de serrer ses filles dans ses bras, celles-ci dormant paisiblement dans leur lit respectif. Sa soeur avait bien fait son devoir... Mieux qu'elle peut-être...

Son voyage fut long et pénible, mais il avait eu de beaux fruits. La plupart arriveront après elle et profiteront aux autres et d'autres certains ne les verront pas. Elle marchait sur cette plage qu'elle n'aimait pas à son départ : trop chaude ! Comme cette mer, pouah !

Mais le poids des ans s'envolait à présent de son esprit, un poids qu'elle avait dû endosser depuis longtemps la privant de sa jeunesse. Personne n'en était responsable sinon les circonstances. Mais avec ce voyage, elle avait enterré cette ancienne vie, et aujourd'hui elle revivait la jeunesse qu'elle n'avait su avoir.

Elle se jeta à la rencontre des vagues, se freina en pensant à ses vêtements qu'il ne fallait aps abimer... Puis ce jeta à l'eau dans un grand sourire, le même que celui d'un enfant qui saute dans une flaque. Elle en sortit, puis se laissa tombé sur le sable. La langue tirée sur le côté, elle fit un monticule qu'elle estimait chateau de sable.

Elle était contente de sa (immonde) création, elle la regarda et se dit que comme toute chose ce chateau n'en demeurait pas moins vouée à disparaitre, et péricliter... Rha, elle secoua la tête à cette pensée et mécontente se leva puis mis un coup de pied dans le "chateau" et fit une langue au petit cratère.

Enfin on peut être une gamine et avoir la notion de bienséance hein. Faut pas rentrer trop tard pour pas qu'on se fasse du soucis. Elle remonta la plage et reprit le chemin de la maison, sautillant et chantonnant.

Wgaby

wgaby et son ange Esperances arriverent sur la plage encore dans la pénombre...
Il marchèrent enlassés, les pieds nus sur le sable...Ils regardèrent l'horizon, le soleil commençait à faire son apparition...
Les nuages se dissipaient pour lui faire place....Ils marchèrent encore et s'arrêtèrent au milieu des petits rochers, et il la regardait...Elle souriait , et ne quitta pas des yeux ce spectacle si merveilleux.
Elle se retourna vers lui et se mit sur la pointe des pieds et l'embrassa tendrement...Elle en avait les larmes au yeux...

Esperances

Esperances le suit sans dire un mot, elle se laisse guider par ces bras qui l'enlassent tendrement, ils marche ainsi ils sont bien.
D'une main elle le tiens tendrement par la taille et de l'autre elle a ses chausses qu'elle a otés .
Elle regarde leurs empreintes qu'ils laissent dans le sable , celui -ci est encore frais , le soleil ne la pas réchauffé . elle sourit , elle est heureuse.
Oui elle est heureuse ,elle regrette pas de l'avoir suivie , bien au contraire
Ils continuent a avancer vers le bord de la plage .
ILs se tiennent amoureusement, comme si ils avaient peur d'etre séparé et ainsi blotti l'un contre l'autre , regardent le soleil se lever .
D'un simple point rouge , il deviens orangé , tout le ciel semble s'embraser.
Elle regarde le soleil qui semble sortir de la mer , comme si il renaissait pour la enieme fois .
elle regarde les yeux embués de larmes , le spectacle est si beau , que elle ne peut parler .
Les mots reste sans sortir , elle regarde l'amour de sa vie et se hissant sur la pointe des pieds l'embrasse tendrement

Angelique

Elle le vois arrivée au bord de l'eau, elle tenais ses habilles a la main , le vois ramper et tout gêner.

oh ... pardon messire !!! je vous dépose vous habilles.

elle lui dépose par terre , et se retourne.

Elle se présente , jasinte de castre lui serre la main .

Bon .. je doit vous laisser car je vois mon amie angel qui arrive..
Sa serras avec plaisir de trinquer avec vous.

Elle rejoins son amis..

Angel59

envoyant que les tavernes etait fermer je dicda d'aller fair un tour a la plage avec rem.

j'apperçoie de loin que mon amie et sur la plage et la rejoin avec rem.

en approchant d'elle je lui un gros bisou et lui demandant se qu'elle fait la aussi tard

[size=18][b][color=indigo]coucou ma belle que fait tu as cette heure la?[/color][/b][/b][/size]

Shaena

Après avoir eu une grande conversation avec Sinon son compagnon, elle décida de partir quelques heures se promener sur la plage, peut-être s'y couché, peut-être pas ... peut-être pour penser.. peut-être pour rêver...

Il faisait bon se soir la, temps idéal à la balade, Bézier était redevenue plus calme, elle pouvait sortir sans trop avoir peur, elle sentait déjà le vent soufflé sur son visage , le bruit des vagues commençaient à l'emporter dans ses pensées, elle s'assaya au bord de l'eau tête relever vers le ciel, pensive..

Shaena se coucha de tout son long près de l'eau, un frisson lui parcouru le corp à chaque vague qui venait lui caresser ses jambes et ses pieds, c'était agréable, elle aimait beaucoup, les yeux ouvert en comptant les étoiles et imaginant les nuages se dessiné dans le ciel, elle souriait aussi naturellement que d'habitude.Au loin elle entendait des rires joyeux, des gens parler, sans définir à qui appartenaient ses voix, elle ne bougea pas et se laissa submergé par toute ses émotions...

Angelique

Continue a se promenée le long de la plage, oh c'est quoi sa ,vois par terre des habilles.Se demande a qui sa peut être .

OHÉ OHÉ !!!ILYA QUELQU'UN ....
Regarde tout autour d'elle, et en directions de la mer.Vois au loin une personne qui nage.

REVENEZ VOUS ALLER TROP LOIN ..

Jasinte attend qui lui répond ?

Snoop71

Snoop se laissait bercé par les vagues, la tête plus souvent sous l'eau qu'au dessus. Il ressortit un moment prendre souffle, en cet instant il entendait crier au loin...
La nuit était déjà tombé sur la plage, il n'arrivait pas à en distinguer la silhouette. Au son de sa voix, il imagina bien que c est une femme qui le criait au loin. Il se rapprocha doucement du bord, puis lui répondu, gêné de faire connaissance d'une dame totalement dévêtu...

Heu.... oui.... Bonsoir, vous cherchez quelqu'un peut-être?

Snoop affichait un sourire presque naturel, qu avait pour but de cacher sa gêne. Il se laissait glissé sur l eau, afin de se rapproché le plus possible sans avoir à se lever.

C est avec plaisirs que je ferais votre connaissance, mais une taverne, une chope serait sans doute plus appropriée.

Les vagues allaient et venaient, laissant entrevoir sa nudité qui ne manquait pas de le mettre dans un drôle d'embarras.

Sefora

sef , apres avoir vendu son champs,preparer ses maigres affaire et fermer sa bicoque,decida de passer a la plage,elle s'approche afin que les vague viennent doucement lui muoiller les pieds....
elle etait reveuse,un peu angoissée certe mais heureuse,cette nuit elle partait pour un long voyage....les route n'etaient pas sure

qu'aristote veille sur moi....

elle remplit ses main d'eau et la regarder couler entre ses doigts...
puis passa en taverne avant son depart

Angelique

Jasinte arrive a Béziers avec ses amis ,a leur arriver vont en taverne . Elle décidas de les laisser , et pris le chemin et va vers la mer .

oh !!! que c'est beau...

Marche dans l'eau et admire la mer.Et attend ses amis ainsi que Elli qui lui a promis de venir a la plage

Snoop71

Snoop était bien seul ce soir là, les tavernes étaient étrangement vides, comme si un sortilège avait en un instant fermé toute les portes, le laissant seul l'âme en peine.
Il se résolu à aller faire un tour sur la plage, contemplé le couché de soleil sur la mer d'huile.
Il prenait rarement le temps de errer depuis son retour à Béziers, pourtant il en a passé des heures à se balader sans but par le passé.
Snoop était parti profiter de ce moment de calme soudain, il enleva ses bottes et sa chemise, en fit un tas au bord de l'eau. Il restait avec ses braies comme seul vêtement, les pieds dans l'eau il s'ouvrit au grand air de la mer qui s'étendait devant lui.
Le vent lui caressait le torse, Snoop avait cette étrange impression de vivre vraiment pour la première fois. Il voulait croquer la vie à pleine dent, profiter de chaque instant, vivre chaque instant, sans retenue.
Il avala un longue bouffée d'air, puis parti dans un éclat de rire sans fin. Il pensait à ses amis, à ceux qui l avaient si bien accueilli. Le souvenir joyeux de ses soirées animées.
En un instant Snoop balança ses braies. Il était complètement nu. Il se mit à courir vers le large. Il plongeât et disparu dans la profondeur sombre de la mer encore bien froide.....

Esperances

Elle savait que la journée était prometteuse , elle s'était réveillée lové au creux de ces épaules , c'était leurs première nuit ensemble , chez lui .
Ensuite cela avais suivi avec un petit déjeuné au lit servit par Gaby.
Elle était heureuse comme jamais , pour la première fois depuis longtemps.
Elle se prépara et ils sortirent ensemble.

Sans rien dire il la mena devant un cheval de toute beautée

Espé regarda Gaby et l'étalon impressionnée , elle compris que il voulais tenir la promesse faite a MP .
Elle lui sourit
Tu veut que je monte sur ca? Tu sais que je ne suis jamais montée sur ca....
Elle le regarde avec l'envie de faire cette balade et de se sauver a toutes jambes?
Mais au fond elle est heureuse , elle décide de repousser la peur qui la prend ,en plus avec lui elle se dit ne rien risquer.

Elle le regarde avec bravoure
Trés bien , allons y ...
Il est pas dit que moi Esperances d'Espalion amoureuse de toi je vais et me serais degonfler.....

Il l'aide a monter, et elle se tiens a lui fermement , pose la tête contre son dos et ferme les yeux dans un premier temps.
au depart il laisse le cheval qui part au pas , ensuite au trot et quand il sent quelle se detend un peu le fait partir au galop.
Elle ouvre les yeux , sent le vent sur son visage resserre son étreinte et Murmure
Je t'aime mon amour merci
Elle prend confiance au cheval , la peur est partie , elle rit au éclats heureuse

Wgaby

wgaby avait promi à son ange, de l'emmener voir la plage de Béziers.
Il se leva tres tôt , la laissant un peu se reposer de voyage et des tours de garde qu'elle avait faite aussi à Montpellier.
Il pépara le petit déjeuner puis alla lui porter au lit, et lui proposa cette balade à cheval sur la plage..
El fut prête en quelques minutes et il l'emmena, à cet endroit magique...
Il senti ses mains autour de sa taille, et son visage poser contre son dos...Elle se sentait bien...Il était rassurer de la voir ainsi...reposée et heureuse.

Il chevauchaient la plage au trop, puis au galot et l'entendant rire, cela lui faisait plaisir et il se sentit tres heureux de la voir ainsi...

Sefora

au moment ou elle s'appretait a quitter la plage,sef ne put s'empecher de se retourner...elle le vit s'eloigner ,il partait vers la sortie de la ville,elle su qu'elle ne le reverrai pas....

cette idée curieusement lui fit mal

elle s'en retourna,finalement elle ne retournerai pas en taverne.....

Zolena

Zole fit quelques pas sur la plage. Le soleil lui faisait déjà du bien elle le sentait. Malgré tout, elle se fatigua rapidement. S'allongeant au bord de l'eau elle se mouilla les jambes et les bras, fixant l'horizon.

Ricodesbois

après avoir trempé ses pieds dans cette eau si agréable , il vit sefora lui tourner le dos alors il ne la rappela pas pour lui dire combien il avait apprecié sa compagnie en taverne . il prit de l eau dans sa main et l'a regarda couler entre ses doigts ...
il retourna sur la plage où le soleil commençait à se coucher il remit ses bottes
regarda encore sefora partir au loin , il sourit puis il partit lui aussi dans l autre sens

Ricodesbois

rico arriva face a la mer il retira ses botes et ses chaussettes et il mis ses pieds dans les vagues

Sefora

sef decida d'aller se promener un peu ,apres ses corvées su soir elle ira un peu en taverne ,mais avant elle avait besoin de respirer le grand air ,de sentir l'iode ,de sentir le vent sur son visage.

elle savait qu'a cette heure elle trouverai la plage deserte et pourrait en profiter pleinement

elle s'avança vers le rivage,le soleil declivait a l'horizon donnant a la mer une couleur rougeoyante, elle se sentait bien,elle pouvait dire qu'elle etait heureuse a cet instant

les vagues venaient doucement lui caresser les pieds,l'eau etait tiede ...

au loin elle vit une silouhaite,un mssir trempait ses pieds,elle n'y preta pas attention,savourant le moment present.
ce n'est qu'en s'approchant d'un peu plus pres qu'elle reconnu le voyageur de la taverne

elle sourit

finalement il avait trouve....
elle le comptempla de loin quelques instants mais ne voulu pas troubler sa quietude

elle repris sa promenade,et fini par s'en retouner,vaquer a ses occupations

Lyric0467

Ric cherchait Camelle depuis le petit matin...Il savait bien que leurs emplois du temps étaient chargés ces derniers jours, mais il tenait à passer du temps avec elle. Il sentait bien qu'elle était très fatiguée en ce moment. Il se devait de lui redonner sa joie de vivre...Il se dit qu'il devait absolument avancer dans leurs démarches personnelles, c'était à cause de lui que le mariage était repoussé, et pourtant c'était son voeu le plus cher de s'unir à Camelle.

Après avoir fait le tour de la ville, il se dirigea vers la plage, espérant bien la trouver là-bas, ce qui serait une bonne chose finalement...

Effectivement, la belle était les pieds dans l'eau, le regard loin, dans une posture qui laissait deviner une certaine tristesse, Ric la connaissait depuis suffisemment longtemps pour comprendre... Il s'approcha lentement puis s'installa près d'elle. Il la prit dans ses bras et contempla l'horizon lui aussi sans rien dire, juste lui proposant ses bras comme soutien éternel. Après un long moment, il l'embrassa tendrement puis lui prit la main pour l'inviter à le suivre.
Viens mon Coeur, suis moi, je voudrais te montrer quelquechose...Une petite surprise pour toi...pour nous

Camelle, un peu intriguée le suivit en lui demanda plusieurs fois ce qu'il voulait lui montrer...mais il ne dit rien. Ils longèrent la plage vers l'Ouest, là où l'Orb se jetait dans la Méditérrannée. C'était l'un des coins préféré des amoureux, ils connaissaient chaque dune, chaque coin de végétation.

Soudain, Ric stoppa et pointa le doigt vers une roulotte installée un peu plus loin, contre une dune. Il glissa à l'oreille de sa fiancée Voilà mon Amour, c'est moins grand que chez nous, mais nous pourrions venir y passer quelques soirées tranquilles...

Tu sais mon Coeur, pour moi cette partie de plage sera la notre, et je la baptise "Plage de Mer et Soleil"...Puissions nous y passer de nombreux jours heureux...
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Camelle

Camelle, ce matin là, décida d'aller marcher un peu......
Sa promenade matinale l'amena vers cet infini horizon, ce merveilleux plan d'eau d'un bleu resplendissant....
Elle respirait cet air iodé et regardait le spectacle que lui offrait ces vagues qui venaient et repartaient aussi vite en faisant un léger claquement a chaque passage.
Camelle s'etait assise au bord de l'eau, les pieds ds le sable mouillé , accoudé a ses genoux et pensait..............
Elle laissa échapper une larme.

Antton

Alors qu'il nageait naturellement dans cette mer, un peu fraîche encore malgré les rayons de soleil qui venaient danser sur les vagues, au loin une silhouette se dessinait à son regard.

Plus elle approchait, et plus elle lui était familière.. Sourire aux lèvres.

Il l'a voyait doucement se défaire de ses habits, et s'élançait vers la mer. Il ne là lâchait pas du regard, riant de la voir stopper net un bref instant, sûrement surprise aussi par la fraîcheur de l'eau. Plongera.. Plongera pas?!

Il eût vite réponse à sa question, quand elle se jeta dans ses bras tout en l'éclabloussant, et riant.

Joelle5 a écrit:

Antton...mon coeur...c'est ça le bonheur...la mer, le soleil et Toi..

Non Amour.. Le Bonheur, c'est Moi d'abord, après la mer et le soleil.. Rire.

Il répondit passionnément à sa douce étreinte, prolongeant leurs baiser avec sensualité..

Puis, prenant son visage entre ses mains, et la regardant avec tendresse.. Je t'Aime Joëlle.. Et me voilà bien heureux, ici avec Toi mon Coeur.. Et ça, c'est mon bonheur à Moi..

A son tour, il l'éclaboussa.. Rire.. Avant de s'éloigner un peu, par peur des représailles de sa Cheftaine d'amour..
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Joelle5

Ruisselante, pour toute réponse, elle lui prit la main en souriant et l'entraîna hors de l'eau pour s'affaler sur le sable encore si chaud...

Antton...viens......

Allongée sur le dos, elle ferma les yeux un instant pour savourer ce moment de trouble qui s'emparait d'elle...

Plus rien n'existait qu'eux...
Lorsqu'il recouvrit son corps du sien, elle s'abandonna à l'étreinte passionnée, témoignage de leur amour...

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Joelle5

La mer était le but premier de leur escapde amoureuse. Comment résister plus longtemps?
Tout naturellement, elle dirigea ses pas vers la plage...
Immensité bleue, sable réchauffé par les rayons de soleil, son rêve devenait réalité...
Au loin, un homme de dos... une tête couronnée de cheveux noirs dépassait des vagues et elle l'aurait reconnue entre mille...
Elle sourit en enlevant ses chausses, son chapeau et son bustier.
Après avoir hésité un instant elle fit glisser les braies à ses chevilles.
Elle s'élança vers la mer qui vint lui lécher les pieds...
Surprise de la fraîcheur relative de l'eau, elle s'arrêta net, puis, elle courut pour se jeter dans ses bras en l'éclaboussant au maximum et en riant...
Antton...mon coeur...c'est ça le bonheur...la mer, le soleil et Toi...
Elle étreignit son corps mouillé et se plaqua contre lui, uniquement vêtue de sa chemise qui la voilait impudiquement...
Elle écrasa ses lèvres sur les siennes, ivre de cet amour qui les unissait...

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Sefora

sefora decida d'aller decouvir la ville,d'etroites ruelles la menerent juqu'au marché,passant devant l'eglise et la mairie,le soleil billait deja haut dans le ciel,ses pas la porterent naturellement vers la plage

il n'y avait pas grand monde,elle s'approcha des vagues et les laissa caresser ses jambes,elle resta là un moment,puis alla s'assoir un peu plus loin sur le sable chaud a l'ombre d'un pin

Antton

Antton était allé une fois encore voir au panneau d'affichage des offres d'emplois.. Rien de bien interessant.. Soupire. Bien qu'avec l'instauration de la loi martiale, sûrement ils quitteraient Béziers dès ce soir..

Le soleil frappait déjà de ses doux rayons tous les toits des petites maisons du village, illuminant les ruelles. Aussi, décida t-il de passer son après-midi farniente à la plage, espèrant que son Amour l'y rejoindrait plus tard.

Ses pas le menèrent doucement fouler le sable, encore fatigué et affaibli de l'attaque à laquelle ils avaient dû faire face la veille. Aussi, l'air iodé ne pourrait que très certainement lui être bénéfique.

Il s'assit sur le sable, les jambes remontées et pliées, les bras en appuis derrière. Son regard se perdit à l'horizon de ces vagues tout en mouvement, et il se laissa emporter par ses rêveries.

L'endroit était calme, apaisant.. Il resta là un moment, à contempler ce merveilleux panorama, cette vaste étendue d'eau.

Puis, il se déchaussa, et bottes en main, il arpenta à pas lent tout le long, l'eau jusqu'à mi-mollet.

Mais subitement, l'envie de se baigner le submergea, aussi il jeta ses bottes un peu plus loin, se défit de son col, son gilet, et courut à l'assaut des vagues. Sourire aux lèvres, regard pétillant..

L'eau était chaude et caresser sa peau.. Il était détendu, serein. Il ne lui manquait plus qu'Elle pour parfaire à cet instant de bonheur..
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Dbruno

Dbruno été heureux sur Herpès, regardant Fred avec tendresse.

Tu la tiens bien.

Il donna un petit coup de talon et Herpès si mit au pas.

Hola tout doux Herpès.

Il pensa à toutes les choses merveilleuses que son Amodio lui avait fait voir et découvert.
Sourit en voyant sa belle marcher a coté de lui.

Je t' adore ma sirène et une très belle vue ici, je me suis jamais senti aussi grand depuis que je suis avec toi mon Ange.

Il prit la main de sa douce et l' aida à monter derrière lui sur la jument.

Voilà mon Amodio, je suis un messire comblé, là serré contre toi, vas pas trop vite surtout je voudrais pas tomber et bien là contre toi, tiens moi bien!

Ravi le cœur léger l' air iodé contre son visage dans les bras de sa belle.

Frederique85

Fred se tenait à la taille de son nain tant bien que mal. Elle n'avait pas l'habitude de chevaucher ainsi.

Tu te sens près pour forcer l'allure mon ange? Je suis convaincue que notre Herpès à envie de se défouler un peu!

Elle serra plus encore Buno dans ses bras et flatta de ses pieds les flancs de la jument.

Celle-ci se mit aussitôt au galop, les cheveux au vent, fred riait heureuse d'être là à jouir de quelques moments moments de liberté. Cela faisait si longtemps, qu'ils n'avaient pas eu d'un moment bien à eux.
La nuit les envellopait peu à peu, il était temps pour eux de rejoindre leur demeure.
Allez mon ange, ramène nous à la maison!
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Frederique85

Citation:

je vous aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh fred et bruno !!!

Elle regarda dans la direction du cri qu'elle venait d'entendre et vit ses amis partir, elle en était attristée.

Ell reporta son attention su son ange qui avait réussi à grimper enfin sur Herpès, mais la situation une fois de plus était cocasse.
Elle riait à gorge déployée, en deux temps trois mouvements Bruno se mit dans le bon sens.

Citation:

Tu es belle du dessus mon Ange
Voilà tu vois pas trop dur

Oui je vois ça, tu prends en assurance ! tiens toi tu vas tomber !
Maintenant fais la marcher au pas je reste près de vous.

Elle saisit le licol de la jument et commença à marcher en dirigeant Herpes vers la mer.
Ils marchèrent ain un moment en bordure de l'eau.

aides moi mon coeur à monter derriere toi on va se faire une petite chevauchée.

Elle lui tendit la main alors qu'elle mettaot le pied à l'étrier.
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Lupusberserk

je n'avais d'yeux que pour elle et serrée contre la regardait rire aux éclats.
Mes pensées étaient déjà a préparer les bagages et dans ma tête le plan de route lorsqu'elle dit :

Citation:

"Comme ils vont me manquer c'est deux là !!"

D'un sourire au lèvre je lui répondis "oui, je sais ma puce..."

Lorsqu'elle m'embrassa je pouvait lire une certaine tristesse dans ses yeux... Ses amis allait lui manquer... ils étaient devenus les miens aussi.
Doucement, je lui caressait les cheveux le soleil reflétant au coin de ses iris des larmes prête a couler...
la je lui chuchotait : "On reviendra les voir, soit en sure..."

je tournais ensuite la tête et regardait Bruno au loin esquissant un sourire.. oui il allait me manquer aussi ces deux la.. et bien d'autre...
Je e levais, me frottait les fesses histoire de virer le sable et lui tendit la main.." viens, il est temps...."
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Beatrix

En taverne Mouk avait entendu fred et bruno parlait de cours d'équitation,
comme elle avait l'habitude de taquiner bruno, elle ne voulait surtout pas louper un tel spectacle.

Donc elle etait là, avec son loup, allongés l'un contre l'autre sur la dune a l'abri des regards et n'en pouvait plus de rire,
avoir vu bruno la tête la première dans le sable et les jambes battant l'air valait toutes les boulasses du monde.

Elle se tenait les côtes, n'en pouvait plus, elle en pleurtait de rire, ayant du mal a reprendre sa respiration, a presque faire pipi dans ses braies,

Comme ils vont me manquer c'est deux là !!

Elle se tourna vers lupus, le regarda les yeux brillants de larmes, posa ses lèvres humides sur les siennes et l'embrassa passionnément ,
mélant les larmes de joie, pour le spectacle et les larmes de tristesse de quitter ses amis.

Regardant de nouveaux ses amis elle dit tout bas :

je vous aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh fred et bruno !!!
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Dbruno

Dbruno arriva sur la plage au coucher du soleil, regarda la mer se mariant avec le soleil.
s' allongea sur le sable fin et attendis son Amodio pour sa leçon d' équitation un peu anxieux.
Sourit en ce voyant sur herpès deux fois plus grande que lui.

Frederique85

Ella avait promis à son nain de lui apprendre à chevaucher sa Jument Herpès, et le jour était venu d'accomplir sa promesse.
Ils s'etaient donné rendez vous sur la plage, l'espace y etait dégagé en cas de chute et les obstacles rares.

Elle montait sa jument en amazone et s'approchait au trot de Dbruno, allongé les yeux dans le vague.

Arrivée à sa hauteur, elle sauta sur le sable fin.

Bonsoir mon coeur, es tu prêt?
Herpès est d'un caleme olympien, tu ne crains absolument rien!

Elle ajusta les sangles à la morphologie de Dbruno.
Allez en selle Messire!
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Dbruno

Bruno vit arriver sa belle sur herpes heureux et anxieux à la fois.
Heureux de voir son Amodio et anxieux devant la jument.
Elle a grandit depuis la dernière fois mon Ange pas possible !.
Il prit son élan, sauta en voulant attraper le pommeau de la selle, la jument (pas verte de peur) fit un pas en avant.
Bruno tomba lourdement dans le sable la tête en première, se redressa, cracha du sable.

Regarda herpes dit a haute voix

Elle m'aime pas ta jument elle la fais exprès une copine a Moukill et Silue tiens la mon amour ou porte te moi sur tes épaules. Peut être quelle bougeras plus qui sait ?

Il regarda son Amodio l'air découragé et la jument qui l'observait curieuse de tout se remue ménage.

Tu vois sure qu'elle rigole Herpés.

Bruno tendit ses bras vers sa douce

Tu m'aides ma douce ?

Frederique85

Fred etait amusée par les réactions et les réflexions de Dbruno. Elle tentait de le rassurer tant bien que mal mais rien ne semblait l'apaiser.

Et lorsqu'il tomba la tete la première dans le sable elle ne put réprimer un fou rire. La situation était plus que cocasse. Elle aida son ange à se ramasser en lui enlevant un maximum de sable.

Je crois qu'effectivement tu as besoin d'aide.

Herpès ne bronchait pas impassible à ce qu'il venait de se passer.
Elle se plaça tout contre la jument, mis ses mains entrelacées en coupe et fit la courte échelle à son nain.

A toi de jouer mon coeur! Prends de l'élan mais pas trop sinon tu vas encore piquer une tete dans le sable.
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Dbruno

Dbruno était déçu d' avoir échoué sur le sable comme les crabes du comté sourit en pensant à sa chance d' avoir Fred comme Amour qui l' aidait dans son éducation pour savoir et apprécier l' équitation et rassuré de tant d' amour il décida de retenter un essai.

Tu m' aide mon Amodio

Il s' élança un peu, prit appui sur ses mains loucha sur ses flotteurs et se retrouva sur Herpès a califourchon.
Regarda autour de lui, arf une belle vue, vit SILUE, MOUKILL et LUPUS allongés dans une dune hilares.

Mon Amodio une belle vue, je vois t' es amis (e) et la croupe d' Herpés normal ?
Je ne dois pas être dans le bon sens ?

Il caressa la croupe d'Herpès se retourna doucement.

Ha oui voilà bien mieux

Il caressa l'encolure de la jument

Gentille Herpès voilà mon Amour je suis grand t' as vu !! Un chevalier!!!

Sourit fier de lui, regardant Fred, il se redressa en bombant le torse et admira la vue.

Tu es belle du dessus mon Ange (loucha dans ses flotteurs)
Voilà tu vois pas trop dur

Il attendit les instructions de sa belle pas trop rassuré.

Sashah

Le jour s'étire au rythme des vagues... Elle relève ses jupons et s'aventure dans l'eau... Au loin le soleil se cache derrière les nuages... Nimbant d'un voile cette journée de grand beau...

Il arrive à ses côtés malicieux... Elle le regarde souriante l'air taquin... Il l'asperge et s'approche radieux... Il la pousse impudent et l'envoi au bain...

Elle crache et se relève vengeresse... Les vêtements trempés et ruisselante... Il rit et l'enlace en liesse... Elle l'entraine à son tour dans l'eau étincelante...

Ils se frôlent, se cherchent et nagent ... Il l'attire et la désire, insolent... Quand sortiront et regagneront la plage...Le vent emportera leur étreinte....insouciant...
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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]

Rackam_de_la_lergue.

Ils s’étirent aux premiers rayons du soleil ….. la mer est d’huile ….. juste un léger clapot …… les bateaux de pêche sont rentrés depuis longtemps …. Quelques sternes disputent aux mouettes les restes des rejets d’appâts des pécheurs …. Un enfant joue avec un cerf-volant …..

Des grains de sable dans les cheveux …..
Des grains de sel sur les lèvres ….
Des grains de folie dans nos yeux …
Le grain si doux de ta peau …………

Dessinent des cœurs sur le sable humide …. Y écrivent leurs noms … insouciance …..

Sashah

L'aurore...

Un disque rouge embrase la mer... Reflets de feu sur leurs corps endormis... La brise douce venant de la terre... Soulève les cheveux de cette elle alanguie...

Elle s'étire dans les bras qui la serre... Comme un étau d'amour qui ne veut l'échapper... Il la regarde cette drôle d'étrangère... Qu'un soir d'hiver il avait fait danser...

Un grain de sable s'accroche à sa peau... Doucement il lui caresse la joue... Au loin une sirène de bateau... Annonce son approche dans cette aurore un peu floue...

Leurs lèvres qui s'effleurent dans un baiser salé... Leurs âmes qui fusionnent et embrasent l'horizon... Le réveil est doux, sur cette plage isolée... Nous... Juste un mot qu'ils se murmurent à l'unisson...
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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]

Zolena

Zole marchait sur la plage. Le bruit des vagues et l'air marin faisait autant de bien à ses narines qu'à son esprit. Elle ne regardait pas trop où elle marchait et quelqun lui fit un croche pied...elle était pourtant certaine d'être seule.

Eh ! Pourriez pas faire attention non !

En fait il n'y avait personne. Elle fronça les sourcils se demandant ce qui l'avait fait tomber. Elle vit alors quelque chose de brun dépasser du sable. En cresant un peu, elle comprit que c'était une rame. Elle l'examina : elle semblait neuve et comportait d'étrange inscription.
Elle regarda autour d'elle et décida de la ramener chez elle. Après tout elle l'avait trouvé !
Elle ne put s'empecher de grommeler un peu :

Tss maintenant la boulasse me vole mon travail ! Où va le monde ?

Rackam_de_la_lergue.

Le vent …. L’iode … les vagues …. Le bruit de la mer … le cri des mouettes … les lamparos qui sortent du port …. Le sable qui te crame la plante des pieds ….

Et tes cheveux qui volent au vent …. Ton rire cristallin ….. Ta silhouette fine et souple … Toi qui courre en écartant les bras …. Ton écharpe de voile qui flotte derrière toi …
Tes pieds mouillés d’écume …. Tes sauts de cabri pour éviter une vague …. Et tes yeux qui me cherchent … Ton regard dans le mien …. Les étoiles dans tes yeux …..

Le visage buriné de l’homme sourit aux émotions qui le traverse , il regarde la fille joyeuse qui gambade insouciante s’arrête juste pour venir déposer un baiser sur ses lèvres et repart en courant … rieuse … .joueuse ………. belle a en couper le souffle ……………….

Une paillote ….. un dîner de coquillages et de poisson grillés arrosé d’un vin blanc sec parfumé de terroir …

Une ballade sur la plage au clair de lune … les lamparos ont allumés leurs lanternes pour attirer les anchois … cela fait comme une guirlande lumineuse sur l’ horizon ou se confond mer et ciel …. La lune joue a cache cache avec de légers nuages portés par la tramontane ….. main dans la main ………..

Une couverture étendue sur le sable au creux d’une dune …. Une fourrure sur deux corps enlacés …..

Nous ………….

Fiachra

Le jeune homme était sale et puant. Il faut dire que le travail à la mine n'est pas vraiment un travail propre. Il en était sorti avec le minerai d'or qui servirait à frapper de la monnaie ou à d'autres choses qu'il ne comprenait pas.

Il était plutôt ignorant, n'ayant pas reçu d'éducation et ne savait ni lire, ni écrire. Cependant, il aimait bien la mer. Le flux et le reflux des vagues avaient un effet apaisant sur lui.

Il posa donc sa pioche, et s'assit sur le sable pour regarder l'immensité salée qui se trouvait en face de lui. Il ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il y avait au loin. La fin du monde ? Un monde nouveau ? Le monde des dieux peut-être ?

Il n'en savait fichtre rien. Mais un jour peut-être qu'il explorerait la mer et qu'il en rapporterait des trésors. En tout cas l'eau lui faisait un bien fou. Il décida donc de faire un petit plongeon pour détendre ses muscles endoloris. Il en ressortit un peu gelé, mais détendu.

Y a pas à dire, ça détend... Bon c'est pas tout ça, mais faut que j'prépare la soupe moi sinon je vais encore passer un jour sans manger.

Il reprit sa pioche et s'en retourna dans sa cahute. Le soleil languedocien le sècherait au retour. Rien de tel pour se redonner force et courage, car le travail à la mine était dur. Mais ça ne l'effrayait pas au contraire. Il savait travailler dur, vu qu'il ne faisait que ça depuis sa tendre enfance. Mais il était bien dans son sud natal. Il y faisait chaud, les gens étaient gentils, et il y avait assez à manger pour tout le monde qu'on soit noble ou simple paysan. Ses parents lui manquaient un peu vu qu'ils succombèrent à une épidémie de grippe il y a deux années, mais au fond il était heureux de vivre sous ce soleil radieux, en bord de mer qui plus est.

Stelliem

Arrivée sur la plage, Stell, trainant son barda, pour laisser un peu d’intimité a Vanu et Kris, s’éloigne et cherche un coin tranquille pour dormir le reste de la matinée. Elle s’installe derrière une petite bute et rassemble des bouts de bois pour faire un petit feu le temps de se réchauffer un peu. Elle s’installe le dos contre sa barque et les genoux relevés devant elle, enroulée dans sa couverture et regarde la mer a quelques mètres plus loin qui vient lécher le sable. Ses pensées tournées vers Bikko… elle soupire doucement puis sourit tendrement et se laisse a rêvasser les yeux fixés sur la mer. La fatigue fait qu’elle s’endort sans s’en rendre compte, glissant sur le coté et en chien de fusil.

C’est quand le soleil est bien haut et que la plage commence a s’animer que Stell ouvre les yeux un peu perdue. Il lui faut quelques minutes pour réaliser où elle se trouve et se rappeler…. Vanu et Kris… Béziers… Bikko… Et un sourire nait sur ses lèvres tout en s’étirant les muscles ankylosés, Stell se redresse et s’assoit puis regarde le feu éteint avec une petite moue… Dure jamais longtemps mes feux pfffff … Se rappelle avec un petit rire le temps que Bikko a mit pour lui apprendre a en faire un…

Bien réveillée maintenant elle regarde la mer et se dit pourquoi pas… Elle ôte ses bottes, ses bas et ses braies, et simplement en haillon se lève et s’approche, enfonçant ses pieds dans le sable mouillé et froid avec plaisir. Quand les premières vagues lui lèchent les pieds, un petit cri de surprise lui échappe. Arfff elle est quand même froide … brrrrrr ! Elle avance courageusement dans l’eau jusqu'à mi-cuisses puis s’arrête ne pouvant s’empêcher de trembler de froid… Sourit un peu dépitée et regarde au loin un moment avec envie avant de faire demi tour pour rejoindre ses affaires, pas assez courageuse pour se lancer completement à l'eau, ni assez folle !!

Assise de nouveau les genoux relevés devant elle, elle laisse le soleil la réchauffer et la sécher doucement. Puis elle prend sa plume et un vélin et se décide a écrire a son amour avant d’aller visiter la ville et les tavernes.
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Malodreid

Malo esquissa un sourire de soulagement, constatant que la jeune femme, n'était pas tombée sous le coup de la surprise. Quelle aurait été sa gêne si par sa faute elle avait attéri le fessier dans l'eau. Fort heureusement, la demoiselle fit preuve d'un bon sens de l'équilibre...

A la suggestion de cette dernière, le jeune homme lui tendit le bras, l'invitant ainsi a le suivre le long de l'eau... Il n'était certes pas très doué pour comprendre le comportement et les souhaits des femmes en général, il avait quand même appris les bonnes manières et savait qu'il était coutume d'offrir son bras aux dames.

La beauté du lieu eu pour effet de le détendre un peu, et c'est ainsi qu'il agrémenta la ballade de ses réflexions sur l'immensité de la mer...
A la question de la jeune femme, il se remémora soudain son mal de dos... Il avait fini par l'oublier et il lui répondit en se passant machinalement sa main libre au creux des reins:

En réalité, je n'ai pas eu le temps de chercher une auberge hier, j'ai donc dormi dehors, sur un coin d'herbe... Mais je pense chercher un endroit ou dormir dès cet après midi, si je ne veux pas finir le dos en compote...

Il ponctua sa réponse d'un léger sourire, puis continua a marcher tout en discutant de voyage et des différentes villes qu'il avait traversées...

Lucile.

Cath adorait la plage. Elle décida de partir faire un pic-nic là bas. Elle trouverait du monde surement là bas. Elle se balada dans les ruelles de la ville avant de débouché sur la plage. Il y avait beaucoup de monde.

Bonjour tout le monde, je ne m'attendais pas à se qu'il y est autant de monde. Tant mieux j'ai rapporté beaucoup à manger, tout droit des saveurs du languedoc. Vous pouvez vous servir.

Zolena

Zole poussa un cris de surprise et faillie tomber dans l'eau. Elle sourit en prenant la tulipe que Malo lui avait apportée et qui venait de la mairie.
Elle le sentait très mal à l'aise et espérait qu'il se détendrait un peu parce qu'elle même n'en menait pas large mais elle faisait tout pour ne pas paraitre trop timide.

On marche un peu ?

Tout en marchant elle cherchait un sujet de conversation neutre. Ce n'était pas facile de parler à quelqun qu'on ne connaissait pas sans l'ennuyer...

hum...vous avez bien dormi ? Vous êtes à quelle auberge ?

Fort heureusement la lumière orangée du soleil levant lui fourni vite un sujet de conversation ou du moins une excuse pour ne pas trop parler.

Malodreid

Malo s'était levé de bonne heure ce matin la, et c'est l'esprit embrumé qu'il se dirigea vers la plage... Il marchait le pas léger malgré un mal de dos persistant tout en se disant qu'un bon lit serai bienvenue pour les nuits prochaines... Arrivé hier dans la matinée, il n'avait pas eu le temps de trouver une auberge pour passer la nuit, et c'est donc à même le sol qu'il avait dormi, une fois de plus... Il se promis donc de trouver un établissement à la suite de sa promenade sur la plage...
Il avait promis à la demoiselle de venir ce matin, c'est donc armé d'une tulipe rose dans la main, sa vieille cape de voyage sur le dos qu'il posa les yeux sur l'étendue d'eau... Le soleil commençait à refléter ses premières lueurs sur une mer calme et, tandis qu'il observait le spectacle, il apperçu celle qu'il était venu retrouver...
Malo s'étonna de la voir s'agiter dans tout les sens, les pieds dans l'eau... D'une nature relativement réservée, il n'avait guère l'habitude de rencontrer des femmes et encore moins d'accpeter un rendez vous avec elle... De ce fait, il n'avait aucune idée de l'attitude à adopter et c'est donc le pas mal assuré qu'il s'approcha d'elle...

Ahem... Bonjour..

Puis lui tendant la tulipe, il ajouta:
Je ne savais pas si je devais ammené quelque chose alors... je l'ai ceuilli devant la mairie... j'espère que ça ne se verra pas trop... Il serai regretable que je sois accusé de vol de tulipe dès mon arrivée ici...
Ahem.. enfin bon... voila...

L'air gêné, il passa une main dans ses cheveux mi long et réajusta sa cape... Il ne savait pas vraiment quoi dire et restait planté devant la jeune femme, attendant une réaction de sa part...

Zolena

Elle se leva bien avant l'aube et partie en direction de la plage. Elle aimait bien cette heure car il n'y avait jamais grand monde en général.
Elle marcha un peu puis comme il n'y avait personne devant qui se ridiculiser, elle commença à trotiner un peu et à faire quelque étiremment tout en veillant à ne pas se faire mal. Il faisait encore nuit mais le ciel virait doucement du bleu nuit au bleu azur.
Le flux et reflux était trop tentant et elle ne tarda pas à se rapprocher de la mer. Elle continua à faire la folle mais cette fois les vaguelettes lui chatouillaient les pieds et les mollets.

Tirlititi

Ils continuent ainsi a marcher , le long de la plage .

Ils s'amusent comme deux jeunes ecervelés courants , s'éclaboussants , il la fait fait tomber , ils se retrouvent allongés sur le sable , s'embrassent ,chahutent mais ils sont bien ensemble
Il l'aide a se relever , sont trempés , mais heureux

Citation:

Il se fait tard, nous devrions rentrer à la maison, allons y

Elle le regarde , les joues rouges , elle est heureuse car depuis bien des jours cela est la premiere fois qu'elle le vois sourire , comme si il lui semblait nouveau qu'il a envie de se battre ,

Oui rentrons chez nous ,je t'aime tant brac

Citation:

Nous reviendrons très vite car j ai vraiment aimer cette promenade a tes coter mon amour, je t aime

Moi aussi j'ai aimé cette journée tout les deux , on ne devra plus jamais attendre aussi longtemps pour revenir.

Il se penche pour rammaser un coquillage et elle profite pour grimper sur son dos en s'amusant ,et ils repartent ainsi comme des gosses en direction de la maison , leurs chez eux comme elle aime a le dire
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Brac17

Brac tout mouiller par les éclaboussements de Tirli se venge et a son tour l'éclabousse. Il se regarde, s'embrasse et profite de cette superbe journée. Brac fait tomber Tirli dans le sable, se mets sur elle et l embrasse amoureusement, ils sont mouiller mais profite de cette première journée a la plage, Brac arrive même a sortir quelque sourir. Après un long moment alonger sur le sable Brac regarde Tirli et lui dit

Il se fait tard, nous devrions rentrer à la maison, allons y

Brac tourne son dos vers Tirli, elle grimpe sur son dos et ils s'en vont tous les 2 vers leurs maison.

Nous reviendrons très vite car j ai vraiment aimer cette promenade a tes coter mon amour, je t aime

Brac avance sur le sable avec Tirli sur son dos

Tirlititi

Tirli c'était promit quelle irai au bord de la plage , depuis Toul elle en rêvait de voir la mer , c'était tout ce dont elle rêvait, sans jamais y croire n'y espérer un jour y aller.

Elle regarde Brac lui sourit , le besoin de se ressourcer est présent elle lui donne la main et l'embrasse tendrement.

Puis subitement , enlève ces chausses , relève ces jupons , et se met a courir dans l'eau .

Pour la première fois découvre la sensation de marcher le long de la plage les pieds dans l'eau .

elle regarde Brac et se met a l'éclabousser , part a nouveau en courant et riant aux éclats , cette sensation , d'être heureuse , et de paix l'étonne et la dérange en même temps .

Mais elle décide que là , elle n'en tiendra pas compte et décide d'oublier pour un instant leurs tristesses, leurs malheurs.

Ils se chamaillent comme ils en avaient l'habitude il y a pas si longtemps encore.

Puis reviens vers lui l'embrasse , tout d'abord tendrement et avec plus de passion , elle le regarde avec dans les yeux des promesses non avouable ,
ils reprennent leurs ballade se tenant par la taille toujours en longeant le bord de l'eau .
Ils sont bien detenduent et amoureux surtout

Il se penche vers elle et a l'oreille lui murmure

Citation:

Je t aime tellement Tirli, tu es si importante a mes yeux. Cette promenade avec toi me rend quelque peu le sourire et je te remercie pour tout se que tu fais et que tu feras pour moi

Sérieusement ,elle le regarde ,les larmes aux yeux lui met doucement le bout des doitgs sur la bouche

Dit rien mon amour , profitons de cette instant .

ils s'arrêtent font face a la mer

Tu vois cette etendue .....

De sa main lui montre le large

Regarde tu ne vois pas la fin , on a l'impression que cela est interminable , que jamais on ne verra de l'autre coté de la terre et bien vois tu notre amour est pareil il n' a pas de fin !
Ce que je ressent pour toi , l' amour que je te porte est identique sans fin , continuelle.
Même ceux, qui mal intentionnés , veulent et attendent qu'ont se sépare n'y arriveront pas .
Car nos sentiment sont sincères ,et plus ils s'acharneront sur nous plus notre amour se renforcera , et cela ils ne l'ont pas compris Brac

Elle sais qu'ils pensent tout les deux aux meme personnes ,Ils restent un moment a regarder cette étendue

Puis reprennent leurs ballade tendrement enlacés ne faisant plus qu'un

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Wgaby

wgaby se leva tôt ce matin là...il ne cessait de penser à sa Steph qui lui manquai tant...Ainsi que leur chien Bourriquet...
Il fit sa toilette, puis se vêtit, mit ses bottes, et sorti de sa maison.
Il marcha lentement dans les rues de la ville , baissant la tête...
Au bout de cette longue route interminable, il arriva sur la plage.
Il s'arrêta un instant, et contempla l'horizon, ce magnifique lever de soleil.
Il enleva ses bottes et remonta ses braies, puis avança pres de l'eau .
Il se mit à marcher, tout en s'avançant, plus loin , jusqu'à avoir de l'eau jusqu'aux chevilles...
_"Quelle est froide se dit t'il..." Mais c'est bon pour la circulation du sang....
Il marcha ainsi ...seul...triste...pendant un bon moment...puis retourna chez lui ...reprendre son petit train de vie...

Brac17

Il fesait très chaud cette après midi, Tirli et Brac avaient grand besoin de changer les idées après toutes leurs péripéties. Main dans la main ils arrivent a la plage et se mettent a se promener les pieds dans l'eau. La promenade en bord de mer fait un bien fou à Brac. Il regarde Tirli, la sert fort contre lui et continue d avancer avec un bras sur les hanches de tirli, ils s embrassent et se regarde, Brac en profite pour glisser quelque mot a son oreille

Je t aime tellement Tirli, tu es si importante a mes yeux. Cette promenade avec toi me rend quelque peu le sourire et je te remercie pour tout se que tu fais et que tu feras pour moi

Il lui sourit, l embrasse et continue sa promenade le long de l'eau

Sebdanjos

Il faisait bon dans la crique, nez vers le soleil, hum ah que le grand crique me croque je vais croquer.

Alors qu'est ce qu'on va bien pouvoir aller cueillir, bon des fleurs ça fera du bien pour la maison, ensuite ben oui tient quelques beau cailloux, enfin dans l'ordre, cailloux, coquillages et fleurs.

Les pieds dans l'eau, le chasseur est attentif, on n'est pas à l'abri d'un oursin qui se cache sous un cailloux, ah les filou et ça pique , mon pied se souvient encore de leurs piments.

Ah les... que vois je, coquillages, coquillages, coquillages et coquillages.

tranquillou cueillant les coquilles empli de leurs filets croquant.

un ou deux tout vif pour mettre en appétit.

Zolena

Zole était morte de fatigue après ce long et périlleux voyage dans des contrées lointaines et inconnues. Mais avant d'aller se coucher, elle ne put résister à voir la mer qui lui avait tant manquée.
Elle marcha un moment, écoutant le flux et le reflux. La douce caresse du vent dans ces cheveux.
Elle finit par s'assoire et posa sa tête sur ses genoux.
Un groupe d'homme ivre qui chantaient tous plus faux les uns que les autres passa à proximité sans la voir.
Bienvenue à la maison se chuchota t elle pour elle même.

Testie

Alors que les deux jeunes femmes discutaient tranquillement, elles ne firent pas attention à Rasta qui arrivait derrières elles.

Et c'est juste après avoir entendu
"hop! mince raté!"

et reconnu la voix de Rasta, que Testie sentit dans ses cheveux quelque chose qui crapahutait.

Elle se releva rapidement, secoua ses cheveux tout en passant ses mains dedans et vit qu'en tombait.....

Un crabe....

Décidément Rasta aimait tout particulièrement ces petites bêtes, il avait déjà eu affaire à eux le jour de son mariage...

Avant que l'animal ai le temps de se sauver, elle l'attrapa par la carapace et se mit à courir après Rasta tout en lui montrant le crabe qui agitait ses pattes se demandant ce qui se passait.

Rhhhoooo Rastaaaaaaaaaa !!!!
Tu n'as pas finiiiii ???
Tu vas voir ou moi je vais te le mettre ce crabe ........

Elle riait tout en coursant Rasta
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Camelle

Camelle les regardait tous les 2 , amusée.
Elle ne connaissait pas bien rasta mais s'aperçut que c'etait vraiment un joyeux luron.
Elle était contente que ses amis Testie et Rapho l'ait fait venir, cela mettrait un peu plus d'ambiance a beziers.
Elle regardait Testie courir apres lui .........
Ces temps çi, Camelle avait le moral bas et la mer lui permettait de se ressourcer.
Son reve , partir sur un voilier et faire une belle croisiere,
mais elle pensa que ce n'est pas demain la veille tant que le port n'était pas fini et puis avant qu'elle ait un voilier.............

Rastapopulos

Cameligna étant toujours en train de cuver sa boulasse de la veille au soir, la moitié de son corps dans le lit et l'autre par terre, Rasta se décida pour une ballade sur la plage.

Une fois arrivé, il vit son amie Testie en compagnie de Camelle en grande discussion.

Profitant de leur extrème concentration, il ramassa un crabe à moitié mort et tout en s'approchant silencieusement visa le décolleté de son amie.

hop! mince raté! Le crabe venait d'atterrir sur l'imposante chevelure de Testie.

Rasta pris ses jambes à son cou tout en rigolant à la réaction de Testie.

Testie

La jeune femme perdue dans la contemplation de la mer n'avait pas vu arriver son amie Camelle et lorsque celle-ci lui parla, elle sursauta...

Oh!!! Camelle !!!
Je ne t'avais pas vu arrivée...
Bonjour !

Testie lui fit la bise, elle aussi

Ca va très bien ? je profite du calme et de la beauté de cette plage, et toi ? pas trop stressée par tout ce brouhaha autours des élections ?
Tu sais moi je me suis toujours tenu à l'écart de la politique, mais j'ai toujours aidé la mairie du mieux que je pouvais et je continuerai.
Mais c'est vrai qu'il faut des personnes comme vous tous pour s'occuper des affaires du village.
A part ça, comment vas Ric, toujours le parfait amour ?

Testie sourit, elle n'avait pas envie de prendre la tête à son amie encore plus, alors elle changea de discussion.
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Camelle

Camelle voulait changer d'air, se changer les idéés.
Camelle lassée de toutes ses polemiques steriles alla se promener au bord de l'eau.
Elle aimait cette plage qui lui rappelait de bons souvenirs.
L'eau y était encore frâiche mais dans quelques mois, elle pensait aux merveilleux bains qu'elle prendrait avec son coeur et ses amis
Elle marchait , marchait , les pieds ds l'eau, elle aperçut testie , reveuse, assisse au bord de l'eau.
Elle s'approcha d'elle, l'embrassa.
Bonjour "Testie", comment vas tu?
Quelle belle plage............

Testie

La matinée s'annonçait agréable, le printemps était maintenant arrivé et le soleil commençait à réchauffer la terre, la nature sortait enfin de sa léthargie hivernale.

Elle aimait se promener le matin lorsque tout est encore calme, et c'est toujours au bord de l'eau que ses pas finissaient par l'emmener.

Elle adorait la plage, tout y était tellement apaisant, elle s'assit tout prêt de l'eau, les genoux remontés vers sa poitrine, ses bras tenant ceux ci et le menton posé dessus.

Elle regardait le mouvement répétitif des vaguelettes, toujours régulier... l'eau était claire et les rayons du soleil matinal lui donnait des reflets d'argent qui scintillaient à sa surface.
Les oiseaux survolaient l'eau à la recherche d'éventuels poissons, tout ça l'émerveillait, lorsqu'elle était là elle ne pensait à rien d'autre, tout ces problèmes s'envolaient dans le roulis des vagues...
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--Oscea

Oscea savait qu'elle n'était pas la plus forte et qu'elle aurait du mal à récupérer son seau, mais elle n'avait pas prévu que ça se terminerait dans le sable. Elle se débattit de toutes ses forces pour se libérer, mais la teigne avait agrippé ses longs cheveux et tirait dessus pour les arracher, comme elle l'avait dit.

Aïeeeeuuuuhh !!!

Et pour finir, elle la traitait encore de bébé, c'était trop fort ! Elle ne s'était jamais battue jusqu'à présent, mais elle avait vu des enfants le faire. Elle essaya d'abord de lui tirer aussi les cheveux, mais pas facile quend ils sont courts, alors elle planta ses dents dans la main de Virgule pour la faire lâcher prise, puis elle la griffa de toutes ses forces, mais elle avait mal et elle tenait à ses cheveux.

Isaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Ghell

Gel avait comme a son habitude installe son campement a l'ecart du village...La plage etait belle,il la connaissait...
Son Vago etait pres d'une clairiere pas loin de la mer...
Lui et Celestine etaient partis au village,pour manger et rencontrer du monde.

Celestine etait un peu fatiguee...elle etait venue se reposer dans l'apres midi dans leur Vago. Gel se faisait du soucis...
Ils avaient passes leur soiree en Taverne,et Celestine etait encore fatiguee.
Gel l'avit prise dans ses bras et l'avait porte jusqu'au Vago...
Il l'avait doucement couche dans leur lit,il avait couvert son amour,elle dormait deja,son doigt caressait ses levres.

il se penche sur son amour et lui murmure doucement.
Dors mon Ange,je suis la a cote de toi...je t'aime

il se couche doucement a cote de son bebe

Lorenzia

Après être passé au cadastre je décide de prendre le chemin de la plage afin de prendre un peu l'air. Le vent souffle aujourd'hui et depuis mon arrivée je retrouve cette plage sur laquelle je me suis retrouvé le jour de mon naufrage.
Je m'assoie un long moment sur un rocher et contemple le paysage. Le temps est gris et les pluies de mars sont là. Les perturbations du ciel préparent la réapparition de la vie végétale et animale. c'est le début du printemps et toutes les maturations sont en train de s'accomplir, la nature est bientôt prête à jaillir du sol.
Je m'étire et décide de m'approcher un peu plus du rivage jusqu'à ce que les vagues lèchent mes pieds. Je continue ainsi les cheveux au vent et ramasse de temps à autre un coquillage que l'océan a refoulé.

Il commence à faire frais et je décide de reprendre le chemin de la ville les bras chargés de coquillages de toutes formes. Ils serviront à orner mon intérieur tient!

je rentre en sautillant l'esprit serein et tranquille et espère que le temps sera plus clément la prochaine fois afin que je puisse peindre un bout de ce paysage....

Virgule.

En plus d'être un bébé, cette gamine était une cafteuse! Décidement, il allait falloir lui montrer qui était la chef ici!
Virgule fronça les sourcils, lançant un regard assassin à la fillette lorsque celle ci la traita de sorcière. Et alors qu'elle apprêtait à retourner le sceau remplit de sable, celle ci se jeta sur elle pour lui arracher des mains!

Virgule ne lacha pas le sceau et, tira bien fort dessus afin de déstabiliser la gamine. Puis elle lacha d'un coup sec et se jeta sur elle, lui tirant les cheveux avec vigueur. Alors que les deux gamines roulèrent dans le sable, Virgule vociférait:

Sal'bébé! Tu vas mourrir, j'vai t'faire pleurer! T'pourras aller chialer dans les jupons d'la sorcière!

Virgule avait l'avantage certain d'avoir les cheveux courts, ce qui laissait peu de prise pour ses agresseurs. Par contre elle, se délectait de tirer sur les long cheveux soyeux de la petite, tout en lui collant des coups de pieds à l'aveugle. Après tout, cette gamine l'avait cherché, et Virgule était la plus grande, elle méritait donc le respect!
Nan mais...

--Oscea

Oscea n'aimait pas cette fille qui la traitait de bébé, et en plus voulait lui arracher les cheveux. Elle courut se cacher derrière Isabele.

Moi je veux pas jouer avec elle, elle est méchante, elle a dit qu'elle va m'attacher à un arbre dans la forêt. Tu vas pas la laisser faire hein ?

Rassurée par la présence d'Isa, elle osa défier Virgule.

D'abord Isa c'est pas une sorcière, c'est moche une sorcière, j'en a vu dans des livres, et Isa elle est belle. C'est toi la sorcière d'abord, et je t'aime pas, t'es méchante !

Elle se tourna vers Konrad, mais il s'était allongé sur la couverture et piquait un petit roupillon, comme disait sa maman. Son papa, il piquait des fois un roupillon après manger, mais là ils avaient même pas mangé encore...
Aucune aide à espérer du côté de Konrad... Et Isa qui invitait cette Virgule à manger et à jouer avec eux... Pfff.... Et voilà que pour finir elle lui chipait son seau sans prévenir !

Heeeee !!! Rends-moi mon seau, c'est mon papa qui l'a fait, il est à moi !!!

Sans plus réfléchir, elle fonça sur Virgule et empoignant le seau par l'anse, tira de toutes ses forces pour le reprendre.

Ysi

Voilà fort longtemps qu'Ysi n'avait mis les pieds à la plage.. En ce midi du mois de Mars, elle prit le chemin qui la conduisit vers la grande bleue.
Arrivant devant le sable pas encore bien chaud elle quitta ses bottes et ses bas puis foulant le sable sous ses pieds Ysi était heureuse. Elle pensait à ses amis(es) disparu ce qui étaient encore de ce monde et qu'elle aimait temps.
Puis tout en pensant à eux Ysi plongea les pieds dans l'eau cela l'a fit réagir car il faut dire quand ce début de printemps l'eau n'était pas encore bien chaude. Elle fit un bond qui la ramena sur le sable, puis elle vint s'installer sur une dune sortit de sa besace un bon litre de ce vin divin un morceau de viande, alluma un feu et la fit cuire.
Le ventre rompu et un coup dans l'nez Ysi s'assoupit .

Virgule.

Alors ça c'était la meilleure! Se faire traiter de bête par un bébé! Et en plus elle lui tire la langue!
Virgule afficha une mine encoléré et s'apprêtait à tirer les cheveux de cette gosse de riche mais elle se ravisa en voyant la sorcière! Elle lança un regard noir au bébé, lui signifiant par la même qu'elle en avait pas fini avec elle avant de lui murmurer à l'oreille:

T'as d'la chance d'et' 'vec des vieux, prochaine fois, j't'arrache les ch'veux pour fair'd'la corde 'vec et ensuite j't'atache avec et j'te laisse dans la forêt et personne y pourra t'entendre pleurer sal'bébé!

Sur ce, elle se mit à courir atour d'Isabelle en hurlant:
Haaaa la sorcière! T'as une verrue sur le nez heu!

Puis elle s'arréta à la proposition de la sorcière... A manger.. Aussitôt son ventre se mit à manifester, gargouillant bruyament. C'est qu'elle mangeait pas beaucoup, en plus au couvent elle avait toujours été privé de dessert. Les bonne soeur étaient vraiment trop bête!

Virgule considéra la situation avec intérêt. Ca lui plaisait pas de devoir faire copine avec cette gamine trop sage à ses yeux, mais si elle voulait avoir à manger, il faudrai peut etre faire un effort. Se mordant la lèvre pour réfléchir, elle répondit au bout d'un long moment d'intense réflexion:

Ouais j'veux bien jouer 'vec vous mais c'moi l'chef! On dira qu'j'suis le chaprentrier! Et vous zetes les esclaves!

Sur ce, elle empoigna le sceau d'Oscea, lui prenant des mains -sans lui demander son avis évidement- et commença à le remplir frénétiquement...

Emnea

Emnéa appéciait se promener sur la plage, regarder les vagues de cette magnifique mer. Elle adorait venir ici pour se ressourcer... Elle venait d'apprendre quelque chose qui ne lui faisait pas plaisir. Elle pensait à cet ami qu'elle allait bientôt perdre. Son Premier ami. Elle ne pouvait rien faire à part le regarder se perdre, mourir lentement... Elle rageait, s'en voulait face à son incapacité d'arranger les choses. Elle se posa sur une branche échouée et commença à rêvasser... Le son des vagues arrivant sur le sable la berça tendrement. Elle s'endormit et cauchemarda. Elle rêva d'abord de son agression, puis de la perte de cet être cher. Elle se réveilla en sursaut et pleura, pleura... Elle entendait la mer l'appeler...

Isabele_colomb

Isabele fut heureuse de voir que la petite Oscea était ravie de voir Konrad , depuis qu'elle l'attendait sa journée château de sable , ils allaient essayer de la rendre inoubliable , ils lui devaient bien cela , Isabele n'était as trés bien mais ne fit rien voir ils arrivérent à laplage aprés une course effrénée ,Oscea toute fiére de les avoir battu.
Sur le temps qu'Isabele et konrad discutait ensemble , elle vit arrivait le petit serpent de Virgule , lasachant capable de tout parfis elle ne la quitta pas des yeux , elle se dirigea vers Oscea et engagea la conversation avec elle , connaissant Virgule Isabele s'apporcha des deux fillettes et negagea la conversation.

Alors les filles vous faites connaissance !!

Dis Virgule , ça te dis de faire des chateaux de sable avec nous et ensuite on mangera , konrad a rempli un panier de pleins de bonnes choses , si ça te tene tu peux rester avec nous pour manger

Isabele ne savait pas trop si le petit serpent deVirgule l'appréciait ou pas vu qu'elle l'appelait la sorciére , mais elle préférait être affublée de ce nom plutôt que d'être appelée morue comme elle se plaisait à le dire à certaines . En tout cas son invitation partait d'un bon sentiment et Isabele espérait bien qu'elle accepte , les deux fillettes pourraient faire plus ample connaissance et jouer ensemble , bien que Virgule soit quelque peu impolie parfois il allait falloir veiller au grain pour qu'Osceane ne les enregistrent pas

Alors Virgule ça te dit , on se mange un caramel et on attaque les chateaux de sable , t'en penses quoi Oceane ça te dis d'avoir une camarade de jeu et à quatre on va pouvoir faire une grande forteresse

Nath31

Nath sourit en le sentant arriver et poser sa tête sur son épaule. Sa berceuse terminée elle se retourna et l'embrassa tendrement. Ils restèrent un long moment tous les trois comme ça sans parler, juste profiter de cet instant en famille. Le soleil commençait à baisser sur l'horizon, les journées étaient encore courtes.

Regarde la chéri, elle se réveille....

Ericia ouvrit de grands yeux et les regarda tous les deux. Puis fit une moue que Nath reconnut aussitôt.

Ohhh chéri, la belle ne va pas tarder à avoir faim... il va falloir rentrer. Tu as vu ce beau temps ? je pense revenir demain.. ça fait tellement de bien ce soleil et Ericia semble apprécier l'air marin... mais là elle commence à grimacer elle ne va pas tarder à hurler de faim.... on y va ?

Nath se leva et enlaça son mari pour l'embrasser encore.

Allez bientôt tu reviendras faire des chateaux de sable avec ta fille ne sois pas triste chéri et elle se mit à rire.

Reprenant son sérieux elle ajouta..

Tu rentres avec nous ou tu dois repasser au bureau... hummm je vois que tu as encore des dossiers dans ta besace... tout en disant ça elle remit Ericia, qui commençait vraiment à s'impatienter dans son couffin.

Divinius

Divinius prit vite le couffin de sa tendre fille et passa son bras autour du corps fin de sa femme.

Non ne t'en fais pas chérie je continuerais chez nous le travail....Et pis je fais attention a vous chérie...

Il l'embrassa doucement et continua a marcher avec elle sur la plage, le soleil dans leur dos...

--Oscea

Oscea se gavait de caramels pendant que Konrad et Isabele discutaient, elle n'aurait plus très faim pour goûter à toutes les bonnes choses qu'elle avait vues dans le panier.

Comme elle ne tenait pas longtemps en place, elle commença à s'impatienter et prit le petit seau et la pelle que lui avait faits son papa. Elle essaya de faire des patés mais le sable était sec et ils s'effondraient les uns après les autres.

Elle regarda autour d'elle, des gens se promenaient sur la plage, elle reconnut au loin la dame des boules de Noël avec un bébé. Elle se demanda si elle pouvait aller le voir, elle aimait bien les bébés quand ils ne pleuraient pas, c'était comme de grandes poupées. Elle réfléchit aux personnes que sa maman avait dit qu'elle pouvait embêter sans problèmes, et elle n'avait pas parlé de cette dame, alors finalement, elle préféra rester avec ses amis. Elle aimait bien être avec eux mais là elle avait envie de jouer et eux ils parlaient. Elle les regarda, une moue boudeuse sur les lèvres.

Allezeeuuuhh ! On le fait le château ?

Elle agita son seau sous leur nez, envoyant plein de sable sur la couverture... Heureusement que Konrad avait refermé le panier, sinon ils auraient eu de la nourriture au sable et c'était pas bon. Elle le savait parce qu'un jour, pendant la chasse aux coquillages, sa maman avait assis Orion sur le sable pour faire des patés avec Ondine. Son papa était occupé à faire un château avec elle et personne ne surveillait Orion. Il avait voulu marcher à quatre pattes et était tombé en avant et après il avait hurlé jusqu'à ce qu'il n'ait plus de sable dans la bouche. Si c'était bon, le sable, il n'aurait pas pleuré comme ça...

Virgule.

Une fois n'est pas coutume, Virgule s'était à nouveau échappé du couvent et avait retrouvé ses habitudes de gamine errante... Elle avait entendu parlé de la plage, mais elle avait encore jamais vu la mer, et c'est en courrant qu'elle arriva sur les lieux. Tout d'abord abassourdie par l'immensité bleutée qui s'étendait à des lieux, elle courra ensuite dans le sable, remplissant ainsi ses chausses d'un sable collant et pas plaisant du tout. Personne lui avait dit que le sol était si bizarre sur la plage. Elle avait plein de grains qui lui picotait la plante des pieds maintenant!

Soupirant, elle laissa tomber son derrière sur le sol mou et ota ses chausses roses qu'elle rangea dans sa besace avant de courrir vers la mer.
Relevant le bas de ses braies, elle laissa l'écume lui lécher doucement les orteils. C'était frais mais pas désagrable après tout.

Finalement, elle avait drôlement bien fait de s'enfuir une nouvelle fois! Alors qu'elle regardait ses pieds apparaitre et disparaitre au rythme des vagues, elle entendit des bruits au loin. Quelqu'un parlait...

Tournant la tête elle apperçu des gens avec... une petite fille!
Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres et elle se précipita sur la petite. Elle était plus petite qu'elle c'était sur.
Se plantant devant elle, elle redressa la tête et bomba le torse, histoire de lui signifier qui était la plus grande et donc... la chef!
Elle annonça fierement:

Moi j'suis Virgule j'ai sept ans!
T'as quel age toi? T'es 'core un bébé hein!
Puis regardant au dessus de l'épaule de la gamine, elle remarqua le tas de sable:
T'fait quoi 'vec le sable?
Sans attendre de réponse, elle se jeta sur les pâtés, sautant à pied joints dedans, faisant s'écrouler ce qui tenait encore à peu près en place avant de se tourner vers la mioche et de lui tirer la langue, un air de défit sur le visage.

--Oscea

Oscea attendait avec une impatience grandissante que Konrad ou Isabele ou les deux se lèvent pour venir faire le château promis, quand une autre fillette arriva, plus grande qu'elle.

Moi c'est Oscea et chuis pas un bébé d'abord, j'a quatre ans ! Ma soeur non plus c'est pas un bébé, elle a deux ans. J'a aussi un piti frère, c'est lui le bébé, il sait pas encore marcher.

Elle redressa fièrement la tête en la regardant.

Je te connais pas toi, je t'a jamais vue et ma maman m'a jamais parlé de toi.

Quand elle vit Virgule sauter sur ses patés de sable, elle faillit se mettre à pleurer, mais ses patés ils étaient tout moches, alors finalement ça valait pas le coup de pleurer.

T'es bête toi, mes patés ils étaient même pas beaux alors... Et je va faire un beau château avec Isa et Konrad, naaa....

Elle lui tira la langue à son tour en plissant le nez, comme lui avait appris son papa quand ils faisaient des concours de grimaces..

Divinius

Malgré ses nombreuses occupations, un Homme vint lui dire que sa tendre épouse, était de sorti, sa fille sous le bras, lui avait on dit! Il se décida donc a sortir de son bureau. Bien que ce dernier, était ouvert sur le parc du château, il n'y avait jamais assez de lumière!
Il prit ses quelques dossiers en trop, et les enfila dans sa besace, près a la rejoindre. Il ne sera pas dit que des morceaux de papiers l'empêcheraient de voir sa tendre épouse. Il avait par chance prit de l'avance dans son travail. Il se faufila vite dehors, et très vite, fit tout pour la rejoindre le plus vite possible. Il faisait assez beau aujourd'hui....loin le temps des température négative, qui gelée les cultures...
Mais la seule la plage s'étendait sous ses pieds, il vit une belle silhouette toute fine au loin. il se doutait bien de qui il s'agissait, mais s'approcha pour en être sur....

La voix mélodieuse, qu'il entendit ne le trompa pas.....Une voix douce, gentille, délicieuse à souhait.

Il s'approcha doucement d'elle, et regarda ses tendres femmes. Il entoura de ses bras Nath, et posa sa tête sur son épaule, pour voir sa douce fille....le soleil se reflétant partout!

Nath31

Le printemps était là... le soleil brillait haut dans le ciel bleu. Quelques fleurs et bourgeons commençaient à apparaitre. Nath décida de sortir. Elle avait terminé l'aménagement de la chambre de sa fille.. Un peu de repos et de bon air ne leur feraient pas de mal. Depuis son retour de voyage, elle se sentait toujours un peu en vacances. Moins de travail, moins de tension. Elle était heureuse comme jamais, auprès de sa famille. Son homme, sa fille, sa soeur.... Quoi de meilleur et de plus rassurant que ce cocon qu'ils formaient tous. Bon il était temps de se bouger un peu. Elle termina de se préparer, s'occupa de Ericia et elles sortirent toutes deux.

Une fois dehors, Nath machinalement tendit son visage vers le soleil. Ces premiers rayons étaient les meilleurs et elle savoura cet instant. Ericia dormait, bercée par le balencement du couffin. L'air était doux. Une belle journée en perpective.

Direction la plage. Elle se faufila dans les rues de la ville et arrivée au port prit le chemin qui menait à la mer. L'air marin de suite lui fit du bien. Elle respira à fond se demandant pourquoi elle n'était pas revenue depuis si longtemps....

Une fois dans le sable elle ota ses chausses et ses bas, les rengeant dans sa besace. Elle apperçut du monde au loin... des enfants jouaient. Elle marcha droit devant elle, jetant un coup d'oeuil de temps en temps sur sa fille qui dormait à poings fermés.

Arrivée assez proche de l'eau elle posa le couffin et installa une couverture. Elle adorait regarder au loin les pécheurs et s'amusait à tenter de les reconnaitre, bien que ce fut pratiquement chose impossible. Elle sourit les yeux sur l'horizon et s'assit bien décidé à profiter de ce moment de pur bonheur.

Ericia dormait toujours... son ange... sa princesse... elle la prit doucement dans ses bras et la regarda.

Hier soir en taverne, elle avait fait son premier sourire et Divi et elle en étaient restés tout idiots, tous deux en admiration devant leur bébé.

Ericia dans ses bras, elle la berça tendrement lui chantant de sa voix douce une berceuse...

Citation:

Ma petite fille adorée,
Mon enfant chéri, mon trésor,
Il est tard, range tes poupées,
C'est l'heure de se dire bonsoir.
Je vais te chanter en te fermant les yeux
La légende du rêve bleu

Le rêve bleu, léger mystérieux,
Comme un oiseau, vole autour des berceaux
Il fait son nid
Tout près des touts petits,
Comme pour accrocher leur coeur,
De son aile porte-bonheur

Le rêve bleu, c'est l'ange bienheureux
Du beau pays tout près du paradis
Et chaque soir, avant de se dire bonsoir,
Le rêve bleu, s'envole dans les cieux.

Plus tard lorsque tu seras grande,
Un autre bras te bercera
Tu n'entendras plus de légende
Le soir quand tu t'endormiras
Et les rêves qui viendront bercer tes nuits
Ne seront plus ceux d'aujourd'hui

Le rêve bleu, léger mystérieux
Qui fait son nid auprès des tous petits,
Et chaque soir, avant de se dire bonsoir,
Le rêve bleu, s'envole vers les cieux.

--Oscea

Oscea marchait, ou plutôt sautillait, à côté d’Isabelle, toute contente de passer la journée à la plage avec elle et Konrad. Elle ne les avait pas beaucoup vus depuis leur baptême, elle n’avait pas revu Gaby non plus… Sa maman lui avait même dit qu’elle les verrait plus jamais, et quand elle lui demandait pourquoi elle avait dit ça, elle lui faisait un sourire tout triste et parlait d’autre chose, comme si elle ne voulait pas y penser. Son papa lui disait toujours de pas parler de ce qui rendait sa maman triste, elle devait pas parler non plus de tonton Zol, mais des fois elle oubliait et quand elle voyait des larmes dans les yeux de sa maman, c’était trop tard. Alors elle lui faisait plein de bisous jusqu’à ce que son sourire revienne.

Quand elle vit Konrad devant sa maison, elle lâcha la main d’Isa pour courir vers lui et rit aux éclats quand il la souleva pour lui faire deux gros bisous. Son papa aussi faisait ça et des fois aussi il tournait comme un fou et faisait semblant de la lancer en l’air, ce qui la faisait beaucoup rire.

Bonjour Konrad ! Y’a quoi dans ton panier ?

Il ne répondit pas et proposa de faire la course jusqu’à la plage. Alors elle partit comme un éclair, sans les attendre, c’était pas de la triche, elle avait des jambes beaucoup plus petites qu’eux, alors elle devait prendre de l’avance si elle ne voulait pas perdre. Elle les entendait courir derrière elle, leurs sabots claquaient sur le sol, Konrad criait, tout excité, puis soudain plus rien. Elle s'arrêta un instant pour jeter un coup d'oeil, mais c'était une ruse, ils avaient enlevé leurs sabots pour courir plus vite, allors elle repartit vite sans lss attendre et arriva la première à la plage. Elle se laissa tomber sur le sable en riant, tout essoufflée, et regarda Konrad déballer le contenu de son panier.

Hmmm... Ca va être bon tout ça, on va se régaler... Dis, tu crois qu'on va pouvoir tout manger ?
Oooohh des caramels, c'est trop bon ça.... Rien que pour moi ? Et des fleurs aussi . Merciiii ! On dirait papa...

Comme elle était très gourmande, elle prit immédiatement un caramel puis commença à chercher des coquillages pour décorer le château. Quand elle en eut assez, elle revint en courant et se mit à sauter autour d'Isa et Konrad.

Allez ! On fait le château ! Viiiite !!!

Hansreudi

Konrad entendit Isabele l'appeler depuis la rue. Il passa la tête par le fenêtre et vit les deux filles, la petite et la plus grande. Il leur sourit, leur fit un signe de la main.

Ben alors, je commençais à m'inquiéter moi, je croyais qu'on vus avez enelvées. J'arrive. Je prends les affaires et j'arrive, laissez-moi quelques instants.

Il remarqua qu'Oscea semblait excitée à l'idée de partir pique-niquer sur la plage avec eux deux. Pour Konrad cet instant était un pur moment de bonheur. Profiter de cet enfant, si douce et pleine de vie et.....profiter aussi d'Isabele. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Il n'oublierait pas de remercier Hispa de leur avoir confié la petite pour la journée. C'était une marque de confiance qui lui allait droit au coeur.

Il se saisit de son panier garni, de la grande couverture et courut dans la rue. Il posa ses affaires au sol, prit Oscea dans ses bras, l'embrassa sur les deux joues et la souleva en l'air.

Alors ma petite princesse, tu es prêtes à faire la course jusqu'à la plage avec moi??

Il la reposa au sol, puis alla biser Isabele.

Et toi ma grande princesse, tu es prête à courir aussi sur la plage, tous les trois?

Tiens en parlant d'affamé, j'espère que vous l'êtes, parce que là, j'ai prévu de quoi nourrir la caserne de Béziers. Tu me connais Isa, j'ai toujours peur de manquer. Je me demande si j'ai quand même pas triplé la capacité alimentaire de la petite. Vous êtes prêtes les filles, le dernier à la plage finira à l'eau.

Isabele et Konrad regardait en souriant la petite filer en direction de la mer, à la vitesse de l'éclair. Il prit sa main, et il l'entraina à courir derrière Oscea.

En avant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Au bout de dix mètres à peine.

Ahhhhhhhhh, attends Isa !!!!!!!!!!!!!!!!!! Je vais pas y arriver. Je balance mes sabots, je peux pas courir avec ça.

Sans s'arrêter de courir, il balança un après l'autre ses deux sabots, manquant de perdre l'équilibre, sautant à cloche pied pour ne pas s'arrêter, il n'eut pas le temps de bien voir où ses groles finissaient leur course. Il compris où ils pourraient les récupérer le soir au retour en entendant hurler le boulanger pour son premier jet de sabot et au son du "plouffff" dans la fontaine pour récupérer le second.

C'est bon, je me sens plus léger, je retournerai chercher ça se soir. Tu devrais faire pareil, on se sens mieux pieds nus, en plus ça fait été et vacances...Allez !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Zouuuuu, balance moi ça!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ils laissèrent Oscea arrivé en premier à la plage, et puis même sans vouloir le faire, Konrad était asphyxié, c'est donc tout naturellement qu'il arriva en dernier et qu'il finirait à la mer en fin de journée. Isabele et la petite ne manqueraient pas de lui faire gouter le bain.

Il déplia la couverture sur le sable, posa son panier à côté.

Il sortit une à une les diverses victuailles.

Alors, j'ai à vous proposer, du bon pain frais, terrine de campagne, une poule rôtie, des asperges, des navets au miel, des oeufs durs, quelques bouquets de mâche, du fromage, des fruits, des gaufres avec sa confiture de coing spécialement confectionnées par Isabele, et....et....et...Oscea, ça c'est rien que pour toi....Des caramels qui collent aux dents pour toutes la journée.

Il rit aux éclats en voyant les yeux de l'enfant s'ouvrir en grand à la vue des friandises.

ahhh, j'allais oublier, ça c'est pour mes deux princesses.

Il tendit à chacune d'elle un petit bouquet de fleurs des champs qu'il avait été cueillir dans la matinée. Ils installèrent Oscea sur la couverture et Konrad aida sa merdeuse à s'assoir. Il profita de cet instant de grâce, pour les regarder toutes les deux et admirer le bonheur en face. Il eu un léger pincement au coeur, non une énorme douleur, une pensée brève et incontrôlable qui n'avait certainement pas échappée à Isabele. Elle saurait à quoi et surtout à qui il pensait à cet instant précis. A leur petit ange. Il se ressaisit aussitôt, il regarda Isabele et Oscea puis il arbora le plus beau des sourires.

Flynns

Plus d'une semaine déjà qu'il a refait sa vie, pourtant, Flynns ne peut s'empêcher de retourner sur cette plage, à l'endroit même, qui un peu isolé, où il a pus commencé sa nouvelle histoire, ou de moins sa vie tout simplement.

Il n'a plus le souhait de retrouver la mémoire d'autrefois, son ancienne vie. II a vue de nouvelle chose qui en vaut plus que les souvenirs passés, un endroit pour vivre, une ville si calme.. si agréable, loin du bruit et de la soif du pouvoir, mais surtout il s'était fais des amis.

Que demandé de plus, il mène la vie qu'il a certainement toujours voulus mener, Béziers semblait l'endroit où on pouvait recommencé tout à zéro en partant de rien.

Son souhait s'est réalisé, voilà son point de départ, c'est ce qu'on appelle:
La liberté.

Hansreudi

La matinée était déjà bien avancée. les cloches de l'église sonnaient les onze heures, Isabele et la petite Oscea n'étaient toujours pas arrivées. Ils avaient encore le temps de se rendre à la plage, d'autant plus que le temps était vraiment radieux aujourd'hui. Soleil et une douce chaleur flottaient dans la ville Languedocienne.

Konrad vérifia encore une fois que son panier pique-nique était complet. Il était maître en matière d'intendance, surtout au niveau alimentaire. Il était inégalable. Sa douce lui rappelait souvent le concours de tir à l'arc à Narbonne, ou il s'occupait de la rôtisserie pour les participants, un magnifique cochon qui ne s'était pas laissé compter.

Il ouvrit donc son panier, jeta un dernier coup d'œil, tout semblait y être, rien ne manquait il espérait que cela fasse plaisir aux deux princesses. Il partit en courant, s'étant aperçu d'un oubli.

Voilààààà, la couverture et le petit plus aussi, pour la petite.

Se dit-il en souriant au visage de l'enfant lorsqu'ils lui donneraient
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Testie

Testie perdue dans ses pensées n'avait pas entendu arriver Camelle et ses pleurs ne lui avaient pas échappé malgré son geste rapide pour chasser cette larme...

Les propos de la jeune femme redonnèrent le sourire à Testie du moins le fit elle croire à sa nouvelle amie pour ne pas l'inquiéter.

Pourquoi je pleure ? Mais je ne pleure pas c'est le vent marin qui me pique les yeux...
Pourquoi devrais je pleurer ? comme tu dis, il fait un doux soleil, la plage est magnifique, je me plais énormément à Béziers, Rapho aussi et en plus je me suis fait de nouveaux amis...

Testie chassa ses mauvaises pensées pour le moment, à quoi bon parler de tout ça pour le moment à Camelle...

Et toi, qu'est ce que tu fais la si tôt, tu n'es pas dans les bras de ton homme ?
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Camelle

Camelle , ce matin, s'etait levée trés tôt , préoccupée par son sort électoral.
Elle avait très mal dormi, rien que de penser a sa famille qui disparaissait petit à petit, qu'elle ne voyait plus.........
Et puis son coeur, elle ne faisait que le croiser.................
Heureusement qu'elle rencontait quelques amis en taverne quelques têtes sympathiques qui lui changeait un peu les idées.

Elle vit justement une de ses nouvelles amies, Testie, se diriger vers la plage, il lui sembla qu'elle n'allait pas trés bien, car elle marchait en baissant la tête, ce qui est un signe qui trompe rarement.

Elle la suivit de loin et la vit s'installer prés de l'eau, elle s'approcha d'elle, assez prés pour voir une larme couler sur sa joue, larme qu'elle camoufla prestement quand camelle lui parla..

"bonjour testie, que se passe t il? pourquoi pleures tu? tu n'es pas bien à beziers?
puis elle rajouta "regarde ce beau soleil d'hiver, il devrait pourtant te rendre le moral...et pis dis toi bien que si le soleil ne suffit pas, tu as les amis pour cela

Camelle vit alors avec plaisir un beau sourire éclairer le visage de son amie

Testie

Ce matin Testie s'était levée morose, elle avait quitté le lit sans faire de bruit pour ne pas réveiller son mari endormi.

Les rayons du soleil diffusaient une douce chaleur, le printemps était bientôt là et il faut dire que le climat de Béziers était bien différent de celui de Bourganeuf, il était beaucoup plus doux.

La jeune femme était sorti de l'auberge encore endormie et s'était dirigée vers la plage, elle aimait cet endroit.

Regardant l'horizon, elle s'était assise sur le sable pas très loin de l'eau, le bruit des vaguelettes la berçait quelque peu. Elle était perdu dans ses pensées, tant de choses c'étaient passé depuis un mois...

Maintenant Rapho était bitérois, et cela lui faisait bizarre car pour elle ce n'était pas encore le cas, elle devait attendre de pouvoir déménager et pour cela elle devait faire un aller retour jusqu'à Bourganeuf.

Elle se sentait un peu triste par cette situation, pourtant elle n'aurait pas du car le principal c'était qu'ils soient ensemble...

Elle pensait aussi à cette grossesse qui c'était terminée trop tôt... elle aurait du bientôt accouché si tout c'était passé autrement.... Une larme coula le long de sa joue qu'elle essuya rapidement, il fallait tourner la page, se relever et partir vers un nouvel avenir, ne pas se laisser aller, et croire en leur amour et qui sait peu être qu'un jour....

La jeune femme soupira, elle suivait des yeux un oiseau qui voletait au dessus de l'eau, tout était si paisible, elle se sentait bien sur cette plage, bien à Béziers et contente de s'être fait de nouveaux amis, comme quoi tout était possible...
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Coccycrep

Il faisait froid, très froid.
Le vent s'était levé et les embruns semblaient s'être transformé en de multiples aiguilles perçant les chaires.

Coccy se trouvait là ... face à la mer, face au large ... son regard perdu dans le mouvement perpétuel des vagues.
Des goutes roulaient sur ses joues. Mais était-ce des larmes, des embruns, des goutes de pluie... Un peu de tout surement.

Une chose est sure en tout cas. La coccinelle ne pourrait s'y poser aujourd'hui tant elles étaient mouillées.

Coccy était là depuis des heures. Elle était trempée de la tête aux pieds, grelottante, mais ses joues étaient brulantes quand elle les essuyât rageusement du revers de la main.
Elle était en colère... une colère noire... une colère sourde qui lui vrillait la tête et lui tordait les entrailles.

Elle fourrageât le sable à coup de chausses en vociférant contre ... elle.
Elle se disait qu'elle était la seule coupable.
Elle ... elle est sa foutu naïveté.
Elle qui pensait qu'avec un peu de bonne volontés...
Elle fini par tomber à genoux dans le sable, sanglotant de tout son être, sanglotant de toute son âme.

Elle mit du temps avant de se calmer, et fini par s'apaiser.
Il fallait qu'elle rentre car la vie continuait.
Demain se lèverait et il faudrait qu'elle soit à son poste, prête à accueillir les nouveaux, à conseiller les égarés, à aider ceux qui en auront besoin.

Après tout, ce n'est pas la première fois qu'elle se retrouvait seule. Mais bon, c'est la première fois qu'elle y avait tant cru ...

Elle devait relever la tête, on lui avait demandé...
Elle était forte, on lui avait affirmé...

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Flynns

Le revoici, Après s'être réveillé sur cette plage totalement inconscient hier, Flynns ne pus s'empêcher de revenir.
Pourquoi à cette endroit? Aucune idée, il n'en a pas le souvenir... ce n'est surement pas un hasard, mais comment savoir?...
Était-ce une nouvelle chance, il ne sait rien de son ancienne vie, Béziers semblent être un nouveau point de départ, comme une terre promise.

Voyant du monde au loin, il ne s'attarda pas, il préféra retourné au village.

Flynns

Le lendemain, encore une fois, Flynns revint sur cette plage, la mer semble paisible, calme, elle est apaisé. Cette endroit est son nouveau point de départ, Tout à commencé à partir d'ici... ou du moins tout à recommencé, il ne sait pas vraiment.
Béziers est son nouvelle habitat, et cela, il ne pourra jamais l'oublier.

Il décida de rester un peu plus longtemps cette fois ci, posé sur un rocher, il observe la mer, il fait déjà nuit, les nuages laissent place aux étoile et les rayons du soleil cèdent leur place au clair de lune...

Émerveillé par ce paysage que lui offrait la nature, il ne pus s'empêcher de dire à voix basse:

- Le monde semble si beau d'ici, ma nouvelle vie sera t'elle fait ainsi? comment le découvrir?...

Une question dont lui seul pourra un jour détenir la réponse, mais il semblerait qu'il ne la trouvera pas ce soir...

Il en a suffisamment vus pour ce soir, peu à peu, il s'éloigna pour rentrer chez lui...

Camelle

Camelle avait aperçu zazounette ,mais,
depuis ses nouvelles fonctions n'avaient vraiment pas, encore, eu le temps de venir lui parler.

Elle decida ce matin même , d'aller à sa rencontre, et se dit:

la plage oui pourquoi pas la plage , je crois que c'est l'endroit idéal pour la retrouver et , puis même , si elle n'y etait plus , je prendrai un bon bol d'air et ça me changerait les idees un peu.

Camelle avait grand besoin de se retrouver là, à regarder cette immensité bleue, ecouter le bruit des vagues, et penser à a son coeur qu'elle n'avait pas pu voir la veille.

Au loin, elle vit une silhouette.

Elle cria cria, gesticula afin d'essayer d'attirer l'attention de cette personne, elle resemblait bien à sa zazou...........

Elle cria cria puis attendit de voir si on pouvait l'entendre...............

Zazounette

l'air marin venait lui chatouiller le nez ....... elle se savait près de portes de beziers mais il était tôt et elle savait la ville endormie .....
l'envie était trop grande et Zazou pris le chemin de la plage et s installa au bord de l'eau pour regarder le jour se lever sur la mer c'etait un de ces moments préférés

les yeux perdu dans le remous des vagues elle laissa ses pensées défiler elle pensais a ses amis laissez a Castres et ceux qui était ici le choix était dur mais les villes était pas si loin ...... faire des aller retours serait chose facile mais que choisir ..... elle se decida a prendre le temps en admirant les rayons du soleil colorer la mer puis elle se leva et hata le pas pour aller boire une biere avec ses amis

Exquise

Exquise se réveilla alors que le soleil commencé à se lever, Alan et Rol discutaient ensemble alors qu'ils s'étaient arrêtés devant la mairie. Une fois qu'il eurent trouver un travail Alan lui proposa d'aller faire un tour sur la plage.

Ma foi, cette idée me plait beaucoup. Il fait un peu froid mais on se tiendra chaud, beau brun.

Exquise lui souri puis l'embrasse tendrement en se disant que la journée promettait d'être fort agréable.

Alanvega1

Alan était arrivé ce matin en compagnie d'Exquise et de Rol, Exquise dormait d'un sommeil d'ange dans la cariole et il avait passé la nuit à deviser et rire avec Rol sur son cheval à coté...

Arrivant devant la mairie , ils avaient trouvés vite fait un travail bien rémunéré...

le soleil pointait le bout du nez et Alan eu l'idée de demander à Ex si une p'tite ballade sur la plage lui disait !!!

-Ma belle Ex, dit moi ça te dirait de faire une pause cet aprés midi et d'aller voir la mer ? Je sais , ça ne vaut pas l'océan de part chez moi, mais aprés tout ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris un moment à moi et de profiter de toi un peu...

La journée s'annonçait douce et il serait bien difficile de ne pas en profiter.
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La.loreley

Lore arriva sur la plage en courant, sautillant de bonheur. Quel plaisir de fouler enfin le sable fin, de voir face à elle une immensité sans pareil.
Elle s'approcha de l'eau et respira profondément, ses poumons se remplissant d'air iodé et frais.
Elle était un peu déçu tout de même, la saison ne lui permettait pas de se baigner, il faisait bien trop froid encore.

Lore s'asseye sur le sable, et resta la à observer la mer pendant des heures.

Coccycrep

Cela faisait longtemps que Coccy ne s'était pas promenée le long de l'eau.
Avec le port et la pêche, elle avait eu pas mal de boulot et cela ne lui avait pas trop manqué.
Mais aujourd'hui... le port était a l'arrêt, et a cette heure, les tavernes vides.
Elle devait attendre son homme qui rentrait très tard du boulot et aucune envie de rentrée seule chez eux.

Lentement elle se baladait, se gardant bien de mouiller ses chausses.
Le vent était glacial, les embruns piquants.

A tout moment, elle s'attendait à l'entendre arriver derrière elle.
A tout moment, elle se disait "aller, je reste encore un peu... juste un peu..."

Mais au bout d'un long moment, elle se dit qu'il était temps de rentrer tout de même.
Que demain, il ferait jour et que certains auront besoin d'elle accueillante et en forme comme à son habitude.
Il fallait qu'elle entre et se couche même s'il n'était pas encore là.

Elle repris le chemin de la ville et rentrât chez eux.
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Agnia

Il était diablement tard et il faisait diablement froid en cette nuit glaciale. Agnia n'arrivait pas à dormir, elle se tournait et se retournait dans son lit. Dans la chambre à côté reposait Danaël à qui elle avait proposé l'hospitalité. Enrageant contre son insomnie, elle se leva et enfila un gros manteau de laine.

Pieds nus, ses longs cheveux noirs défaits, volant au vent, elle prit la direction de la plage. Le chemin n'était pas long, sa masure se trouvait à quelques pas de cette immensité sableuse.

La lune était haute dans le ciel, elle illuminait les environs, malgré les quelques nuages qui venaient perturber la clarté de l'astre lunaire. Agnia leva son visage vers le ciel, savourant le grand air. Le bruit des vagues était apaisant, l'immensité noire s'étendait devant elle. Les pieds dans le sable froid, Agnia jouait avec les petits grains entre ses doigts de pieds.

Elle pensait à son passé, à son présent, à l'avenir qui s'offrait à elle. Elle aimait beaucoup cet endroit. Elle se sentait chez elle ici. Chez elle? Enfin, elle avait trouvé un lieu pour poser ses bottes crasseuses. Elle se mit à arpenter à grands pas la plage, tout au bord de l''eau, se délectant du roulement des vagues. Le froid était présent mais son gros vêtement de laine la protégeait suffisamment pour qu'elle puisse rester un moment là.

Elle repensa aussi à son invité, aux moments passés avec lui, à ce qu'elle avait appris sur lui et tout à coup, le coeur serré, elle ne put s'empêcher de s'adresser au ciel et de faire une prière au Très-Haut afin qu'Il le protège.

Tant de choses avaient changé depuis peu! Il était temps qu'elle se retrouve elle-même, qu'elle sonde en son âme son être profond.

Elle sourit, sentant le vent caresser son visage et remonta un peu plus son col. Le sable était froid mais ses pieds savouraient le délicieux massage à son contact. Elle continuait à arpenter la plage, en espérant que Morphée reviendrait vite la chercher.

Baldik

Baldik arriva sur la plage. Il regarda la Méditérannée, la trouvant belle avec ses reflets bleu et vert profonds.

Il distinga une silhouette assise sur les dunes et en se rapprochant de celle-ci, il reconnut son amour, Lou.

Il se rapprocha sans bruit, le sable rendant sourd le son de ses pas.

Il s'installa à coté de sa douce, sans un mot puis, au bout de quelques minutes il dit:

-" C'est comme dans mes souvenirs, elle est toujours aussi belle mais pas autant que toi!"

Il lui passa le bras sur les épaules et la serra contre lui, l'embrassa goutant le sel imprégnant ses lèvres.

Ils regardèrent ensemble le soleil s'éffondrer dans la mer, jetant sur eux ses lumières rouge orangées annonciateur de leur bonheur d'être ensemble.

Damelou

Lou sursauta quelque peu quand elle sentit et reconnu sans se retourner Baldik qui s'intalla à coté d'elle. Elle posa la tête sur son épaule, ferma les yeux et l'écouta, avant d'ajouter
- Elle m'a tellement manqué, je n'aime pas être loin de la mer.
Merci mon coeur c'est toi qui me rend belle. Je suis tellement heureuse d'être avec toi. Si tu s'avais combien de fois je suis venue ici en rêvant qu'un jour tu serais à mes cotés ici même et voilà mon rêve c'est réalisé.
Elle l'embrassa tendrement et regarda le soleil se couché en se disant qu'elle en était sur, elle voulait vivre toute sa vie dans ses bras, elle ferait tout pour que cela ce réalise il comptait tellement même plus que ça propre vie.
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Damelou

Lou arriva sur la plage rien n'avait changé. Quelle surprise lui avait fait son coeur venir ici à béziers chez elle... Elle sourit en repensant à ce qu'il lui avait dit hier en taverne à Montpellier.
"demain pas de plage mais on visitera les arènes c'est pas grave... "
- ah tu m'as bien trompé mon amour mais c'est dur de t'en vouloir se dit elle dans un murmure.
Elle retira ses bottes et se balada le long de l'eau, les vagues venant lui lécher ses pieds nus.
Puis elle remonta la plage et s'installa près des dunes les pieds enfonçaient dans le sable elle fixa l'horizon...
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Lyric0467

Ric était ravi de cette ballade.

Le froid glacial était revigorrant au bord de l'eau les chevaux galopaient. L'eau éclaboussait autour d'eux. Ric se dit que Camelle semblait une déésse sortit tout droit de la mer...C'était SA déesse.

Ils dirigèrent les chevaux vers les dunes. Camelle, plus habile cavalière avait prit quelques longueurs d'avance.

ic n'eut que le temps de voir une ombre traverser puis le cheval de tête se cambrer. Camelle perdit l'équilibre et se retrouva à terre avant qu'il n'ai put faire le moindre geste. Ric arrêta son cheval et sauta rapidement, inquiet pour sa Belle.

Il prit Camelle dans ses bras pour la réconforter. Heureusement, le sable n'était pas trop dur ici, le vent ayant ramené du sable frais surface. Elle se plaignait de sa cheville surtout, et un peu du dos.

Pour le dos, il lui faudrait un bon massage relaxant, ça devrait suffire, mais la cheville était plus inquiétante.

Tu peux marcher mon Coeur ?

Camelle essaya de se relever, aidée par les bras de Ric, mais la cheville était douloureuse.
Ne t'inquiètes pas, je m'occupe de tout....

Il donna son manteau à camelle pour la réchauffer et après l'avoir embrassée,il rappella son destrier puis prit Camelle dans ses bras afin de la poser en Amazone sur le cheval. il prit ensuite les renes et marcha à traver dunes, guidant très doucement la monture, demandant sans cesse comment allait sa blessée.
Ils arrivèrent finalement à leur maison, la douleur de la chute s'était atténuée mais Camelle était frigorifiée.
Ric la prit dans ses bras puis la fit rentrer au chaud pour la soigner....
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Camelle

Camelle etait heureuse d'avoir passer une apres midi
seuls en tete a tete avec son homme ds leur taverne.
Ca faisait si longtemps................
Ils avaient la peau du ventre bien tendue et il fallait faire une petite promenade digestive en amoureux .

Une promenade au bord de la plage...Hein tres bonne idée......Allons y ..... .

Ils chevaucherent en direction de la plage, les cheveux de Camelle flottaient ds le vent.
Un pâle soleil d'hiver eclairait la campagne,la tramontane avait rejeté les nuages au large et le froid pénétrait au travers de leurs vetements,leurs visages etaient rubiconds.
Ils galopèrent au bord de l'eau quand soudain un chien surgit et effraya la monture de Camelle qui perdit l'equilibre.........

Lyric0467

La soirée était fraiche, limite glaciale quand le vent se levait....

Ric et Camelle avaient bien travaillés dans la journée précédente, pour rattraper des commandes en retard dans leurs échoppes respectives. aujourd'hui, ils avient plus profité de la taverne au coin du feu. Au fil des conversations et des buches consumées, il fallait qu'ils se désaltèrent.

Camelle, excellente patissière avait de plus confectionné des choux à la crème, dessert dont Ric rafollait. Finalement, en fin d'après midi...ils étaient un peu lourds....repus, abreuvés, heureux...mais lourds.

Camelle prit l'initiative en attrapant son homme par la main.
Mon Coeur, allons prendre l'air, ça nous fera le plus grand bien....

Ric ne pouvait rien refuser à sa Belle. de plus la taverne était calme et il devait avouer qu'un peu de marche lui ferait du bien. Ils se vetirent donc de chauds manteaux et sortirent.
Ric eut soudain une idée...

Mais nous pourrions faire une très grande promenade si tu veux...

Il scella 2 chevaux puis les amena près de Camelle.
Direction la plage ?

Au vu du sourire qu'il eut en retour, il sû que la ballade serait belle....
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Sebdanjos

voilà la plage, hum une boule ici, verte qui plus ai, pourvu qu'elle ne soit pas mis parmi les algues, vert sur vert j'en serais vert. Bon vu la taille de plage, elle doit être visible, sinon noël prochain j'y suis encore, quoique je pourrais avoir la chance de trouver d'autres trésors, mais bon ne rêvons pas.
Arpentons, ha mais c'est quel est froide l'eau, se sera pas pour aujourd'hui la baignade. ah que c'est bon l'air marin promenons nous. Tout en arpentant la plage tout en scrutant un peu partout la trace d'une boule verte, il en profita pour ramasser quelques coquillages et divers galets de belles couleurs. Puis au fur au à mesure que le temps passait, la faim venait petit à petit, heureusement quelques crabes passer par là a son grand bonheur pour leurs plus grands malheurs. Il prépara un bon feu, et se fit une belle brochette de fruits de mer. Une petite toute sieste après ne me fera pas de mal!

Tout en se calant confortablement contre un rocher et observant la construction du port, ça sera bien, de nouveaux produits et moult merveilles du monde. Il s'envola dans les brumes du sommeil.

oulà, oulà qu'est qui m'arrive! Il se réveilla en sursaut quelques volatiles avait pris ses doigts pour des restant de crustacés. Et bien ils n'en loupent pas une, pestant mille nom d'oiseaux à ces volatiles.

Il s'étira et reparti a la chasse à la boule, tout en arpentant la plage de long en large, sa besace se remplissait de bout de bois sculptés par les flots, de coquillages , de pierres, mais toujours aucune boule à l'horizon, les boules!
Le crépuscule commençait à tomber doucement. Bon ce n'est pas maintenant que je vais la découvrir enfin c'est ton jamais. Un peu déçu de n'avoir par mis la main dessus, il reparti joyeux tout de même, la pêche ne fut pas mauvaise, du bois pour chauffer sa bicoque, des cailloux pour chauffer son bain, et de beaux coquillages pour.... Ben on verra plus tard.

Il reparti en direction de la taverne boire une bonne gueuze pour se réchauffer et se délasser de cette belle journée bien remplie.

Camelle

Camelle se sentait bien seule depuis son retour de Lodeve, son coeur lui manquait tellement.......elle ne savait pas quand est ce qu'il reviendrait de son seminaire chez les moines, c'etait telllement long.....
La ville avait bien changé depuis des mois,elle s' y sentait un peu a l'écart aussi elle decida d'aller a la plage.
Elle etait tellement triste qu'elle se disait qu'au moins la bas personne ne verrait sa tristesse ni ses pleurs.
Elle profita de cette immense plage pour marcher marcher , la tete baissé, le coeur serré.
L'air etait vivifiant, ses joues etaient toutes rouges.
Elle se remémorrait de bons moments passés avec ses amis pendant son voyage mais hélas ils devaient la quitter pour rentrer chez eux.
Elle avait envie de fuir fuir le plus loin possible tellement qu'elle etait triste

Sebdanjos

Quel rêve, étrange, cette boule m'a tarabiscoté. C'est grand quand même une plage, mais je sens que c'est mon jour aujourd'hui, les algues vertes, le seul endroit où je n'ai pas vraiment chercher, quelque part, une chevelure émeraude pour cacher se joyaux de Noël, quel plus bel écrin.

Tout en se dirigeant vers la chevelure des sirènes, quelques ambassadeurs du ciel, tournaient autour de cette prairie riche de mille petits mets délicat à leurs becs, crabes, crevettes, coquillages.... Que leurs frénésies mettaient l'eau à la bouche. L'oeil vif et l'ouïe fine il écouta son petit doigt qui lui rappelait l'appétit sauvage de ces voleurs. Un sentiment de méfiance naquit, mais aussitôt effacé par la pensée que lui pauvre animal de la terre pouvait mettre en appétit ces êtres de l'air, c'est donc que je ne dois être bon à manger.

Il commença à peigner de long en large, chaque algues, les retourna, les brossa dans tout les sens, les éparpillant de-ci, de-là en moult chignons.
Puis tout en arpentant ce gazon marin, lui petit poux, il la vit. Là qui brillait au soleil, elle semblait lui sourire, reflétant l'éclat émeraude de l'écume marine.

Ravi, il l'a pris précieusement dans sa besace en l'entourant avec précaution.
Il se dirigea d'un pas sur vers la salle au festin, où d'autre surprise l'attendrait surement et surtout un bon feu, ravi de pouvoir remettre sa découverte au tribun de Béziers.

Ducila

L'été ,l'automne passèrent dans cette endroit.
Même si on est hors saison et le vent souffle glacial,voir la méditerranée,ça me fait que du bien.
Toi, mer et plage vous ne faites qu'une.
Toi mer,témoin de tant d'histoire depuis des siècles.
Mon hommage a tes états d'humeur.
Vert-ciel quand tu est pleine de soleil.
Ciel obscure quand tu est en colère.
Je viendrais souvent, au tant que possible.

Maryloug

Mary avait entendu et senti la présence de divin mais ne pouvais dire mot
Ainsi ils retaient un long moment ou elle fut interpeller par gally.Elle l entendit parler mais ne voulait entendre et pour ses amis decida de parler

Rhooooooo , pourqoi etre venu?Vous allez avoir froid.Gallyyyyyyyyyy rentre!!!!!!!!!tu vas prendre froid.Je vous remerci d etre la mais prenez soin de vous

Hansreudi

Il marchait sans but précis. Il ne savait pas vraiment où aller et puis pour quoi y faire de toute manière. Alors c'est à la plage qu'il finit par se retrouver, abattu et malheureux. Il s'assit sur le sable humide et froid à contempler la mer. ce n'était pas elle qu'il souhaite contempler à cet instant, mais Isabele. Il rêvait de la serrer dans ses bras, de lui murmurer des mots tendres à l'oreille, de lui dire qu'il l'aimait. Mais voilà, il était là, seul face à l'immensité de la méditerranée.

Il était passé au concours de sculptures sur neige, il l'avait vue, enfin il l'avait admirée serait plus juste. Il aurait presque pu la toucher. Mais il resta à l'écart. Elle était belle, elle était admirable de force et de courage. Il ne comprit qu'à la fin la signification de sa sculpture, il enrageait contre lui, il se serait jeté la tête contre un mur tellement il s'en voulait. Il aurait aimé être à ses côtés, la guider dans son œuvre et l'encourager...ou tout simplement être là. Il n'en fit rien. Il était là, devant la mer, transi de froid. Et cette douleur qui ne l'avait plus quitté depuis trois jours, cette douleur abominable et brûlante à l'estomac qui le serrait.

Il devrait rentrer pour terminer son poème qu'il avait commencé, pour elle. Il devait la reconquérir, il devait arrêter d'être un idiot, il devait lui dire tout simplement qu'il l'aimait. Les yeux commençaient à rougir et à pleurer avec ce froid, mais était-ce vraiment que le froid qui lui faisait ça............
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Divinius

Divinius qui l'avait suivi depuis la ville, la guetta un instant, le vent soufflant dans ses cheveux, il resta sur un mas de sable les yeux fixés sur elle. Il ne fut pas difficile de la suivre entre gouttelettes sur le sol et petites reprises de respiration courte.
il s'approcha d'elle doucement ne voulant pas trop se faire remarquer, il l'avait vu se baigner malgré le froid, et craignant pour sa santé, il décida de se montrer. Il se mit a coté d'elle et ne sachant pas comment agir, il se laissa tomber a coté d'elle sachant qu'elle désirait être seule, mais ce n'était pas la chose a faire et encore moins a laissé faire.

Gally63

Les gardes leur avaient dit l'avoir vu partir vers la plage. C'est dangereux la mer l'hiver, c'est peut être cette satanée mer chaude, elle n'en demeure pas glacée quand c'est l'hiver. La plus vieille avait envoyé la plus jeune devant. Elle n'aurai pas de mal à la reconnaitre les femmes se promenant de nuit sur la palge à cette période ça court pas les rues... Ou alors le pays devient vraiment fou.

Mary pouvait vouloir se tremper, ou pire se noyer. Marie courut donc le long de la côte et vit une femme assise dans un coin reculer, heureusement que la lune était pleine, mais le ciel sans nuage annonçait de bonnes gelées pour la nuit. Elle distingua une autre silouhette à côté. Déjà sa soeur arrivait au loin, prenant moins de temps qu'elle estimant que sa cadette aurait déjà fouuiller comme il faut :

Gally é la trouve !

Qu'elle fut à la hauteur de Marie, la jeune femme ajouta :
Y a quelqu'un avec elle.

O fè re ! Vo tchercha mo filleule.

Gally avança assez lentement sûre qu'elle n'allait pas partir en courant. Vu la taille de son ventre, si elle le décidait, elle ne saurait pas la rattraper et il faudrait demander à Marie restée en retrait de lui courir après et de la faire tomber le temps qu'elle les rattrape. Dans la pénombre elle reconnut Divinius assit à côté d'elle. Ils ne discutaient pas visiblement mais des fois la présence seule compte.

Maryloug luisait un peu, signe d'une baignade... Elle reçut un linge sur la tête. Elle tourna tout juste la tête et Gally vociféra alors :

Mais t'es pas bien toi ! Sèche toi de suite et enfile ces vêtements !
Euh... Bonju Divinius.
Allez et dépêche toi ! Tu cherches quoi à faire de ton fils un orphelin ?! Alors maintenant on arrête les bêtises pour ce soir et tu viens pleurer chez moi au chaud...

Elle se tût alors. Elle regardait Mary mais elle espérait qu'elle ne se retournerait pas... Elle ne voulait voir sa filleule pleurer. Elle avait été autoritaire et méchante, elle l'avait engueulé, mais pourtant en elle n'existait que compassion. Elle se devait de faire cela, de dire cela car ayant vécu situation pareille, elle savait que c'était le meilleure moyen de la faire finir et d'au moins préserver sa santé. Il fallait l'empêcher de tomber dans la tétanie et la faire réagir...

Maryloug

Cela fesait longtemps que maryloug n était venu a la plage.Elle regarda le paysage et appréciait sentir le calme.Une brise la fit frissonner.Elle regarda le ciel, des larmes la submergère en repensant au pigeon qu elle avait reçu de son tendre,pour ne plus les sentir , elle se déshabilla entièrement et couru vers l eau ou elle plongea.Elle n était pas très bonne nageuse donc elle décida de rester au bord.Elle s allongea et les vagues se jetaient les une après les autres par dessus elle.Elle resta ainsi un long moment.Elle fut obliger de sentir de l eau ne sentant plus le bout de ses pieds.Elle reprit ses habits, chercha un coin ou personne ne la verait et se glisse sur le sable rester ici un long moment pensea t elle et pourquoi dormir a la belle étoile , meme si le froid tombe de plus en plus.Elle n a pas le coeur de rentrer chez elle, chez eux.Se n est plus sa demeure a présent, son coeur se serra et se consuma par la douleur.

Adhara.

Lussifa ne connaissait pas encore cet endroit. C'était une petite crique un peu à l'ecart,il l'avait trouvé en cheminant au hasard des sentiers longeant les falaises.
Le vent soufflait plus fort qu'il ne l'aurait cru.Avec ses haillons en piteux état il avait un peu froid mais la beauté du paysage le retenait sur ce lieu qu'il considérait comme presque magique.
Il ferma les yeux et s'emplit les poumons d'air pur, frais, et tres légèrement iodé
Allongé sur le sable il n'écouta plus que le calme et le vent pendant de longues minutes.

Puis il se releva sur ses coudes.

Bon bin c'est pô tout ça, mais y gèle un peu quand meme, hein mon gars!!

Il prit la petite barrique de bière qu'il avait emmené avec lui, l'ouvrit et la vida d'un trait ....Avant de s'affaler à nouveau de tout son corps sur le sable, pour un plus long moment.

Nath31

Elle s'était réveillée tot ce matin là. Doucement avait enfilé une cape, la maison était calme. Elle avait regardé Divi qui dormait encore, avait posé un bisou sur ses lèvres et était sortie. Au bout de leur jardin la plage. Il faisait à peine jour.... la mer était calme et elle s'avança lentement les pieds nus dans le sable.
Elle scruta l'horizon et déjà elle apperçut les bateaux des premiers pécheurs qui posaient leur filet. Elle n'avait pas péché depuis un moment. Elle marcha un moment sur la plage respirant à fond l'air iodé.
Elle aimait cet endroit, il avait le don de la détendre de la reposer. Tout à sa contemplation elle fit un bout de chemin et s'assit sur le sable froid. Elle frissona se serrant dans la cape, ferma les yeux et se laissa bercer par le bruit des vagues.
Le doux clapoti de l'eau lui faisait du bien. Calme et sereine elle était et le resterait. Elle resta un long moment loin de tout, sans autre bruit que celui de l'eau du vent, à se ressourcer.

Fantik37

Il était encore tôt quand Fantik gagna la plage où était amarrée sa barque.
En gagnant le large, elle vit un homme qui lui faisait des signes, il avait certainement trouvé un bon emplacement.
Fantik l'avait déjà croisé, c'était un habitué et partageait toujours les bons coins qu'il trouvait avec les autres.
Fantik le salua de la main et lança son filet à ses côtés.
Celui-ci ne tarda pas à devenir lourd, Fantik le remonta plein de très beaux poissons.
Elle décida de revenir vers le rivage pour tenter de repérer des endroits poissonneux pour les pêcheurs à pied afin de les aider.
Il lui sembla que près de la falaise à gauche en regardant la plage, l'eau était agitée...
C'est à ce moment qu'elle vit Lach qui arrivait sur la plage.
Elle lui fit de grand signes en l'interpellant.

Hou hou ! Lach...viens voir par ici !
Je crois que les poissons n'attendent que toi...

Un sourire illumina son visage, il aimait se retrouver avec elle à la pêche.
Bientôt il l'avait rejointe et lança son filet à l'endroit indiqué.
Des remous nombreux leur indiquèrent qu'un banc de très gros poissons était pris au piège, la journée était prometteuse.

[quelques heures plus tard...]

Notre pêche a été bonne ! Si on en profitait pour nager un peu ?
Tu descends de ta barque ?

La proposition était tentante, il faisait encore bon malgré la saison.

Quelle bonne idée !!!!
J'adore le goût du sel sur ta peau...lorsque je t'embrasse !
Mais avant je vais retirer quelques vêtements, sinon je vais couler !!!

Aussitôt dit, aussitôt fait...Fantik se retrouva bien vite en braies et chemise. L'eau était un tout petit peu moins chaude que la dernière fois, mais elle se retrouva bien vite dans les bras de Lach et profita de sa chaleur.
Après avoir fait la course en direction de l'île au milieu de la baie, ils regagnèrent le rivage, fatigués mais heureux de leur journée.
Lach alluma un feu avec du bois flotté ramassé sur la laisse de mer et ils de réchauffèrent avant de remettre leurs vêtements secs.
Ils décidèrent de faire griller quelques poissons et de les déguster sur la plage.

Le soleil descendait doucement sur l'horizon, Fantik était blottie dans les bras de celui qu'elle aimait, doucement bercée par le bruit des vagues et réchauffée par le feu qui pétillait joyeusement.
Il y avait longtemps que Fantik n'avait pas été aussi bien...
Elle serait bien restée là toute la nuit.

Tu sais que l'on est attendu ?
Il va falloir que l'on aille se changer et rejoindre Kall et Chrego pour les festivités qu'ils ont préparées !!!
Il m'a dit avoir prévu de quoi trinquer à leur bonheur jusqu'au bout de la nuit...
Et puis, il faut que j'aille chercher le cadeau que l'on a apporté...

Ils se levèrent, ramassèrent leurs nasses à poissons et regagnèrent l'auberge main dans la main.
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Damelou

Lou arriva à l'entrée de la plage, elle resta un long moment sans bouger subjuguer et le souffle coupé. Sa marraine lui avait parlé de cette endroit mais elle n'avait pas imaginé que s'était si beau.
Elle avança vers la mer le sable était humide et froid mais elle le remarqua à peine les yeux rivés sur les vagues.
Elle sursauta quand son premier pied atteint l'eau froide, elle fit un pas en arrière et longea la mer, rigolant toute seule quand une vague un peu plus forte venait lécher ses orteils. Elle ne pouvait pas s'empêcher de sauter en arrière à chaque vague et fini par être mouillé de la tête aux pieds. Petit à petit son corps s'habitua à la température de l'eau et elle la trouva même pas si désagréable que ça.
Elle remonta un peu sur la plage, s'assit et enfonça ses pieds dans le sable. Elle resta là, à contempler la mer et à se faire bercer par le bruit des vagues.
Elle frissonna, la brise lui rappela qu'elle était toute mouillée, elle se dit :
- il faut que je rentre me sécher.., il a beau ne pas faire froid, je vais finir par tomber malade si je persiste.
Elle se releva et refit le chemin en arrière, du haut de la plage loin de l'eau, la vue était tout aussi féérique.

Hansreudi

Il marchait sur le sable humide. Simplement éclairé par une torche au milieu de la nuit noire. Cette lumière était bien superflue. Il serait capable de parcourir cette plage en pleine pénombre. Il l'avait arpentée tant de fois que même les yeux fermés il s'y retrouverait.

Tout avait commençait ici il y a bien longtemps. Tout prendrait fin ici.

Il s'assit sur la plage, écoutant le clapotis de la mer. Il alluma un feu pour se réchauffer et pour terminer ce qu'il avait commencé. Faire ses comptes avec le passé.

Le brasier était intense, revigorant. Il se saisit d'une liasse de papiers ornée d'un ruban de satin bleu. Des lettres jaunies par le temps, symbole d'un passé lointain. A la simple clarté du feu il relut, son histoire, sa vie évoquée à travers ces courriers échangés. A l'issue de chaque lecture, il posait chaque correspondance dans les flammes. Puis passant à la suivante il fit de même, et encore, jusqu'à la dernière de ces lettres. L'air frais qui venait du large lui fit s'apercevoir que des larmes coulaient sur ses joues.

Il prit un médaillon dans sa poche, l'embrassa comme on embrasse celui que l'on ne reverrait plus. S'approcha de l'eau, il le lança en mer le plus loin que ses forces lui permettaient.

Il se rassit. Le soleil commençait alors à illuminer l'horizon d'un rouge flamboyant. Une nouvelle journée pour Béziers et une nouvelle vie pour lui. Il aurait tant aimé qu'Isabele soit à ses côtés en ces moments. Il n'avait pas osé le lui demander. Faire table rase du passé, c'était ce pour quoi il était venu si tôt ce matin. Isabele était son avenir...........

Après quelques minutes à contempler le ciel, il se leva. Il était maintenant l'heure de son rendez-vous. Son quatrain était à écrire. Il aimait ce qu'Isabele tentait de lui apprendre. Il l'aimait elle plus que tout.
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Alycianne

Elle regarde la mer. Mer que sa mère n'a jamais vue.
Drôle d'histoire de mère absente et mer présente.

Si elle suit le chemin qui part sur la droite, elle ira vers Castelnaudary, ville où elle a autrefois habité alors qu'elle ne savait pas encore marcher. Aucun souvenir de celle-ci, mais elle sait qu'il y a des chances que Maman y soit retournée.
Si elle part vers la gauche, Ces-Murs sera plus proche.
Maman, où es-tu allée ?

Le panier tombe avec un bruit sourd sur le sable. Une menotte vient rabattre une mèche de cheveux derrière son oreille.

Tout à l'heure, elle doit partir. Gauche, ou droite de la mer ? A vrai dire, la gauche et la droite se confondent. Disons qu'elle ira vers Montpellier, ou vers Narbonne, deux villes, en plus de Ses-Murs et Castelnaudary, dont elle connait l'existence.
La gamine se perd. Montpellier, gauche, droite, Narbonne, Ces-Murs, Maman. Sa mère peut-être partout, tandis que la mer est ici.

Une main vient trouver le réconfort de ses cailloux. Ses préférés, un blanc, un noir, et un rayé, tous trois cadeaux, sont sortis de la poche. Blanc, à Ces-Murs, Noir à Ces-Murs, Rayé on-ne-sait-où.

Para Tistote ! murmure-t-elle.
Maman...

Maman revient toujours à Ces-Murs. C'est son port pour s'attacher, ou quelque chose comme ça. Elle ira d'abord vers Ces-Murs. Et si Maman n'y est pas, ben... Elle continuera plus Loin.

Le soleil sera bientôt haut dans le ciel. Si seulement il n'y avait ces nuages, aujourd'hui ! On pourrait voir de jolis reflets dorés dans la mer.
C'est beau, la mer.
Un petit galet gris attire son regard. En une seconde alyciannesque, il se retrouve dans sa poche.
Souvenir de Béziers.

Coccycrep

Coccy revenait de la taverne et se dirigeait vers sa maison quand croisât le chemin de son ami.
Elle vit vite que celle-ci n'allait pas bien ; ses yeux rougis ne pouvaient mentir.

Isa ! dans quel état tu es !
Viens à la maison, on va discuter.
Faut que tu fasses le vide dans ta tête avant de prendre une décision si importante.
Tu es tiraillées entre ton envie de vivre ici à Béziers avec tes amis et l'envie de vivre avec Konrad et je comprend que cela est difficile à vivre pour toi. Mais rien ne sert de prendre une décision sur un coup de tête.

On va aller se mettre devant un bon feu, se prendre un verre de vin et discuter entre filles toute la nuit si il faut. Mais demain, tu y verras plus claire alors et tu pourras prendre une décision.

Doucement, Coccy poussât Isabele dans la direction de sa maison et toutes deux, elles montèrent l'aller qui menait à la porte d'entrée.

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Isabele_colomb

Isabele se sentait mal , elle avait écrit et envoyé un courrier qu'elle regrettait amérement , mais trop tard le mal était fait , tout ce qu'elle espérait à présent c'est qu'elle puisse être un jour pardonnée de cette lacheté dont elle avait fait preuve .
Elle avait besoin de se retrouver seule , elle s'habilla chaudement car la soirée était fraîche , le vent et le froid lui cinglaient le visage , elle erra longtemps dns la ville sans but songeant à ce qu'elle avait fait , ses pas finirent par la conduire sur la plage , il faisait de plus en plus froid , Isabele grelottait et ses larmes coulaient le long de ses joues , comment avait elle pu et osé faire ça , elle était à présent pleine de remords.
Elle marcha longuement sur la plage sans savoir où elle allait vraiment , songeant à tous ses instants de bonheur partagé qu'elle avait balayé en une simple lettre , oubliant même ce qu'ils s'étaient promis et l'avenir qu'ils envisageainet ensemble.
Aprés une longue errance sans but , fatiguée , les yeux rougis et les joues brulantes , Isabele finit par s'asseoir dans le sable humide recroquevillée sur elle même face à la mer , face à cette immense étendue d'eau salée dont on n'en voyait pas la fin.
A cet instant présent elle aurait voulu mourir pour oublier ce qu'elle avait fait , de ses mains elle se mit à tripoter le sable humide et se mit à dessiner

c'était soir de pleine lune et on y voyait comme en plein jour , Isabele essuya ses mains pleines de sable sur son manteau , sortit plume et parchemin et se mit à écrire

Elle ferme les paupiéres,appose ses deux mains
Et plonge dans l'océan aux rivages sans fin

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle ferme les paupiéres
Elle glisse telle une pierre

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle ressasse
Elle rêvasse

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle tressaille
Elle baille

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle déchiffre
Elle souffre

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle rit
Elle crit

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle pleure
Elle meurt

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle s'émerveille
Elle s'éveille

Tout ceci n'était qu'un mauvais rêve......

Isabele sécha l'encre de son parchemin avant de le plier et de le ranger dans sa besace , elle se leva , secoua son manteau couvert de sable et reprit sa marche sans but , en direction du village cette fois , elle espérait avoir rêvé les évenements de la journée

_epiphanie_

Elle se dirige vers la plage de Béziers, elle n'y a pas vraiment mis les pieds depuis qu'elle a emmenagé.

Elle ôte ses chausses, ses bas et les tiens à la main, elle enfonce avec plaisir ses orteils dans le sable fin et froid, elle commence à longer la mer, elle admire cette eau si calme, elle ne peut s'empecher de comparer cette mer avec l'ocean qu'elle connaissait.

Elle a un petit sourire en repensant à sa Gascogne natale, mais elle ne regrette aucunement d'être là à Béziers, c'est au cours de ce voyage que Meg et elle se sont rapprochées, elle en est heureuse.

Elle s'approche de la mer, trempe un orteil timidement, elle est parcouru de frissons, l'eau est froide, mais elle décide tout de même d'entrer dans l'eau du moins jusqu'aux chevilles. Elle continue sa marche , les pieds baignant, elle ne croise que peu de personnes, il y a quelques barques échouées, et sur la mer elle aperçoit quelques embarcations de pêcheurs.

Le soleil commence à descendre tout doucement, elle se demande si elle ne va pas attendre le coucher de soleil pour le voir se fondre dans l'horizon, elle remonte un peu plus haut sur la plage s'assoit, le sable colle sur ses chevilles. Elle enserre ses genoux dans ses bras, pose son menton sur ses genoux repliés et laisse ses pensées vagabonder.

Coccycrep

Coccy était perdue dans ses pensées quand Nath arrivât derrière elle.
Coccy savait que sa soeur s'inquiétait pour elle et, elle s'en voulait.

Citation:

Bon là je te demande même pas ton avis, tu va tomber malade toi.... faut que tu sois en forme pour son retour... viens à la maison je vais te préparer une boisson bien chaude et.... des tits gateaux....

Coccy lui sourit et lui répondit :

Ne t'inquiètes pas pour moi Nath, je suis plus près de la maison que de chez toi ici^^ et puis il faut que je rentres, Alyciana dort surement déjà et je veux être là si elle se réveille. Et puis, il y a Marie aussi et je ne peux pas la laisser.
Allez, je vais rentrer, bonne nuit .

Elle s'en allait déjà puis, elle se retournât et ...

Heu... Nath... Je sais qu'il va revenir, mais... c'est juste que... il me manque tellement...

Et sur ce, elle repartit en direction de sa maison.
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Coccycrep

Coccy rentrait de la taverne et elle en profitât, même s'il était déjà tard et si la nuit était tombé, pour passer par la plage.

Elle était triste, son homme était chez les nones, malade et elle n'avait pas de nouvelle... mais il reviendrait, il lui avait promis et elle l'attendait.

La maison était vide sans lui et ... Marie lui faisait un peu la tête depuis son départ. Elle savait bien qu'en fait Marie était comme elle et que l'absence de Tim lui pesait beaucoup. Il fallait qu'elle lui change les idées mais que faire?
Demain, elle l'emmènerait avec elle sur le lac. Et puis, on verrait bien...

Marchant au bord de l'eau, elle pensait à lui...
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Nath31

Nath en rentrant de la pêche passa par la plage pour rejoindre sa maison. Il pleuvait et elle adorait ce temps là !!!! Elle vit au loin une silhouette et reconnut de suite sa soeur.

Elle accéléra le pas pour la rejoindre... elle la savait triste et désemparée depuis le départ de Tim. Une fois à sa hauteur....

Coucou ma Coccy... toi aussi tu te promènes par ce mauvais temps ? humm je vois bien que tu n'es pas en forme mais ne t'inquiète pas il va revenir....

Elle s'approcha tout près d'elle et la prit par le bras. Sa soeur était trempée par la pluie et transie de froid.

Bon là je te demande même pas ton avis, tu va tomber malade toi.... faut que tu sois en forme pour son retour... viens à la maison je vais te préparer une boisson bien chaude et.... des tits gateaux....

Cyrianna2002

La tribu avait passé les remparts le matin même…carrosse ou carriole – oui, ben tout dépend du regard hein^^ - improbable ; deux molosses, plus gros que les quatre enfants réunis, trois adultes…pauvre garde, après une nuit blanche qui assume ce genre de rencontre. Epuisée, la sentinelle n’insiste pas, d’autant que la femme en rouge ne s’en laisse pas conter, elle a du caractère la bougresse.

Elle mène sa tribu jusqu’à la plage…havre de paix, le bivouac se fera là, près des flots. Déjà les enfants pataugent, ravis ; la jeune femme laisse son époux, elle n’y entend rien en campement, et va s’enquérir des décrets avant de visiter le marché. Retour à la mairie, trouver un emploi ; elle sait par habitude que sa moitié s’est enrôlé dans la milice.

Béziers ! Elle aime cette cité, elle aime certains de ses habitants…Impatience de voir arriver la nuit, de pouvoir se rendre en taverne, de retrouver ses amis ; Zaz’ qu’elle a croisée à Narbonne et avec laquelle elle doit tricoter ce soir, le viking qu’elle ne manquerait pour rien au monde et pour lequel elle a une tendresse particulière, le maire qu’elle respecte pour le travail effectué et pour ses fleurs…qui d’autre encore.
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Timeo

Tim marchait sur la plage, regard dans le vague, l'air était vif et frais mais celas ne l'empecher pas d'avancait, les bourrasque ébourrifant ses cheveux...
Il aimait l'air marin, cet atmosphere iodé et salé, le bruit des vagues léchants le sables....
Tim continut d'avancait ramasse un galet sur le sol qu'il jette au loin...puis s'avachit complétement sur le sol, laissant ses pensée le submerjer...
Sourire...soirée d'hier avec ce Coccy...ca fesait longtemp qu'il n'avait pas était aussi bien et celas grace à elle....il souriait....il l'aimait...et lui montrerais....

Stephetfranck

Steph savoura ce moment si doux,puis a son habitude elle ne put s'empecher de le taquiner...Elle profita de la complicite avec son chien et lui fit signe de venir Bourriquet arriva tout courant sur son maître qui fût un peu mouille...

-Rhoo Bourriii qu'es que tu as fait^^

dit-elle en grodant faussement le chiot

-Ohh mon chéri je sais vraiment pas ce qui lui a prit
-pfff te voila bien, bon sa vas tu n'ai pas trop trempe encore sa devrait vite secher en esperant que tu ne prenne pas froid

Elle le prit dans ces bras et lui fait un groos calin, puis d'un pti sourire taquine elle lui fit un gros bisou baveux et se mit a courir en entenden son tendre criée

-Beuuuuuuuuurk!!!!!!!!!! Tu vas voir toi^^

Ell se mit a explose de rire l'empechent de poursuivre sa fuite

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Qui vivra verras

Ysi

Ysi qui venait juste de fermer les yeux entendit le bruit d'une brindille craquer, elle sursauta de peur d'un voyeur lut vu se déshabiller, elle tourna la tête et vit son ange qui affichait un large sourire.

Rhoooooo c'est toi amour!!!!!! quelle peur tu m'as fichu heinnnnnnnnnn !!
Il y a longtemps que tu me mate ainsi heinnnnn^^?
Allez mon amour viens me réchauffer sous ton manteau j'ai froid là^^.

Ysi afficha un sourire coquin et Maq vint s'allonger à ces cotés l'enlaçant fort contre lui et l'embrassant langoureusement.
Ils étaient si bien tout les deux, que même ils en avaient oublier les bruits des vagues venant s'échouer sur la plage.

Stephetfranck

steph se promena accompagne de son fidel chien

elle vit au loin la plage et se dit que cela serait une merveilleuse idee que d'y promene bourriquet...
le chiot se mit a abboyé et a courir apres les vagues bonne partie de rigolade elle avait peur de passe pour une folle a rigole ainsi seul

-Bourriquet vien ici allée au pied...

trop tard une vague vennait de se glisse et bourriquet y eu les pattes trempes terrifie de ce 1er contact avec la mer il ne bougeat plus mais abboyez supeeer fort!! pour le distraire elle pensa a lui faire faire un peu de sport

-allée et si on s'entrainaît a courir un peu hein mon chien

ravi de voir que le chien qui courrait aussi elle fut ravie de voir qu'elle pourrait partagez une de ces passion et se dit que de revenir avec son amour serrait un moment magique a prevoir

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Qui vivra verras

Wgaby

wgaby emmena son amour et leur chiot faire une ballade sur la plage...histoire de se changer les idées, et de s'amuser un peu...
Ils avaient marcher à travers les rues de la ville tranquillement...
Au bout de quelques instants; ils arrivèrent sur la plage , ils enlevèrent leurs chausses, et laissa Bouriquet courir sur la plage.

_Ahahahahah!! regardes- le courir!!! Il est fou ce chien!! hihihihi

Puis ils marchère les pieds dans l'eau, et wgaby fit mine de ramasser qq chose, et en profita pour arroser sa tendre...Et il éclata de rire, et se mirent à courir comme des enfants...
wgaby, trébuchat, et se retrouva de tout son long sur le sable...Steph, en profita pour lui sauter dessus et le chatouiller.

_"Hey!! nannnnnn!!!!! pas çaaaaaa!!!!! hihihihi ahahahahah!!!!! arrreeettteeeeee!!!!!!!!!!
Je t'aurai ! tu verra ! ahahahahhh.....

Ils se laissairent aller à des jeux de taquineries, et finirent par un baiser interminable....

Maquis

Ysi avait décidé de laisser Maq ce reposer pour aller ce promener sur la plage de Béziers.

Quand il ce réveillai doucement il l’apercevait au loin sur la plage, une vague venait même de la percutait.

Elle était toute trempée, c’est vêtements qui lui collaient au corps laissé transparaitre toute ces formes généreuses.

Ysi ce mit à l’écart pour ce déshabiller et faire sécher ces habits, Maquis la suivit discrètement et la dévorai des yeux derrière une dune de sable sans quelle le sache.

Il fini par la rejoindre avec un sourire qui voulait en dire long.

Maryloug

Mary va vers la plage qu elle aime tend.Elle cherche un endroit ou personne ne peut la voir.Elle doit se reposer.Beaucoup de pensée la submerge , pourquoi elle n est pas venu voir ses amis de puis si longtemps? pourquoi? beaucoup de question sans réponse.Elle s allonge sur le sable et ferme les yeux.Entendre le doux bruit des vagues le sifflement du vent lui a manqué.Ses mains se glisse sur son ventre qui devient de plus en plus rond.Elle est heureuse de sentir son enfant grandir de jours en jours dans son ventre.Elle se releve et decide d aller se fondre dans les vagues.Elle regarde autour d elle , enleve tout se qu elle porte et court vers l eau.Se sentir transporter et de ne plus rien pensée , voila se qu elle veut

Ysi

Ysi étant arrivée a l'aube à Béziers avec son futur fiancé, passa en premier lieu en taverne, son amour lui était parti se reposer.
Puis elle prit le chemin de la plage.
Arrivant sur le sable elle quitta ses botte puis ses bas, foulant le sable de ses pieds.
Elle atteignit l'eau, elle y marcha longuement.. rêvant de cette belle vie qu'elle allait vivre avec son ange, tout deux c'étaient promis la fidélité, l'amour pour la vie, ils serraient toujours là l'un pour l'autre quoi qu'il advienne... ils était si amoureux.
Puis Ysi sortit de ses songe quand une vague lui vint la trempée jusqu'aux hanches, elle fut prise de frissons... se mit à courir sur le sable... se cacha à l'abri des mauvais regards et se déshabilla, posant ses vetements sur le sable pour les faire séchés.
Puis elle s'allongea sur le manteau de son amour qu'il avait prit soin de lui laissait, s'enroula dedans et s'endormit épuiser du voyage....

Vin.de.sa.marraine

Il la regarda s'éloigner tout étonné, puis quand il la vit rentré dans l'eau il comprit. Il retira ses chausses, ses braies et sa chemise puis se leva d'un bond et se mit a courir en direction de l'eau.

Il plongea dans l'eau et rejoignit son petit coeur dans l'eau. Il l'a prit dans ses bras laissant l'eau les portés puis il l'embrassa tendrement, le gout salé de ses lèvres le fit frissonné, il resserra l'étreinte pour sentir la peau de son ange contre la sienne.

Seloutte

Le voyant se dévêtir et courir vers elle, elle plongea mais il eut vite fait de la rattraper et la prendre dans ses bras. Se collant à lui elle répondit à son baiser tout aussi tendrement se laissant bercer par les flots.

Quel délice mon ange !! cela fait longtemps que nous n'avions eu un petit moment de tranquillité sur la plage..... mais tout à une fin il faut que nous reprenions la route.... on nous attend.....

Elle se remit à nager à côté de lui regagnant le sable. Ils rejoignirent l'endroit où les vêtements étaient posés, main dans la main, s'habillèrent lentement tout en regardant la mer.

Lou regarda tout autour d'elle, de beaux souvenirs lui revenaient de la plage de Montpellier, elle regarda sa bague et fut un moment perdue dans ses pensées...........

Elle le regarda amoureusement, se blottit dans ses bras et ils s'en allèrent tous les deux tendrement enlacés sur les chemins hors de la ville.

Lizia2

Lizia marche sur la plage ....ses pas laissent des empreintes derrière elle sur le sable mouillé ....puis disparaissent.

Elle hume les embruns et ses cheveux s'emmêlent sous la caresse du vent ....je vis ...je respire ....je crie de joie ....je t'aime toi ...la mer ..

Elle la fille de la mer du Nord ....sauvage et orageuse ....elle ne peut vivre sans l'odeur qui monte de ses flots ....sans ces embruns qui collent à la peau et laissent un goût salé sur les lèvres. Elle virevolte dans l'écume ....tend les bras vers le ciel et l'horizon là bas ...si loin ....et toujours ....elle voudrait savoir ce qui se cache derrière ....le néant ou l'infini .....nul ne le sait.

Tout ce qu' elle sait, c'est que là bas se cachent ses rêves d'éternité ....son envie d'absolu ...sa ferveur ...son rêve d'amour .....sa foi en la vie simplement.

Seloutte

Toujours allongée sur le sable, Lou s'était réveillée depuis un moment mais gardait les yeux fermés écoutant le bruit de la mer.... cette mer qu'elle aimait tant.

Elle sentit une présence près d'elle, elle le reconnu de suite, c'était son ange il savait toujours où la trouver...... elle n'ouvrit pas les yeux se laissant caresser tendrement tout en lui caressant la tête quand il vint poser la sienne sur son coeur.

Code:

Je t'aime, je suis tellement heureux près de toi. Tu es toute ma vie mon amour j'ai tellement de chance de t'avoir

Lou sourit en lui murmurant :

Moi aussi mon ange j'ai beaucoup de chance de t'avoir.... tu es mon plus beau cadeau.... je t'aime tellement.

Ils restèrent ainsi un bon moment, seuls au monde dans leur cage dorée, plus rien ne comptait dans ces moments là, privilégiés.

Puis Lou se redressa lentement, perdit un instant son regard dans le sien, l'embrassa tendrement, se mit sur ses pieds et partit en courant dans l'eau.........

Tu viens mon coeur ? Cette fois-ci ce ne sera pas un seau d'eau que tu vas recevoir...........

Lou l'attendit au bord de l'eau les mains sur les hanches, tout en riant, espérant bien lui faire prendre un bain.........

Vin.de.sa.marraine

Cela faisait des heures qu'il n'avait pas vu son ange, inquiet il était parti a sa recherche il savait ou pousser ses recherches. Il marcha tranquillement sur la plage admirant la mer toujours si belle, si bleue qu'on voudrait s'y noyer. Il longeait la plage, les pieds dans l'eau pour sentir la clapotis des vagues venir lui lécher la peau.

Après quelques minutes de marche il la vit allongée sur le sable, il s'approcha d'elle elle était si radieuse, il la contempla un instant puis la rejoignit sur le sable. Il se servit de son bras pour en faire un appuie tête ou il se calla. Il continuer d'admirer la femme qu'il aimait plus que tout. Il posa son bras sur son ventre et la caressa tendrement. Il ne dit pas un mot, et lui sourit. Il vint posé sa tête sur le coeur de son ange et écouta chaque battement qui battait la mesure.

- Je t'aime, je suis tellement heureux près de toi. Tu es toute ma vie mon amour j'ai tellement de chance de t'avoir.

Il ferma les yeux et se laissa emplir de ce bonheur qu'il avait chaque fois qu'il était seul avec son ange des parenthèses ou le temps semblait marquer la pause.

Chrego

Chrego avait cherché Kallhan pendant une partie de la journée. Ne l'ayant trouvée nulle part, il finit par s'éloigner du village pour rejoindre la plage. Comme une intuition... Une autre plage avait été importante pour eux il n'y a pas si longtemps.

Débouchant par le petit sentier qui amène, sur une pente douce, à l'étendue sablonneuse, Chrego ne vit pas tout de suite Kallhan. Le vent qui soufflait un peu aujourd'hui agitait les grandes herbes sauvages qui bordaient l'entrée de la plage. S'avançant un peu plus, son regard distingue finalement la silhouette familière de celle qui l'accompagne depuis tout ce temps.

Bonjour, toi...

Se postant derrière elle, il passe ses mains autour de son ventre, et lui dépose un baiser dans le cou.

Tu sembles perdue dans tes pensées... Cette plage... ça en rappelle une autre, non?

Chrego pose son menton sur l'épaule de Kall, sa tête tout contre la sienne; le regard au loin vers l'horizon, par delà l'étendue azur.

Kallhan

Kall n'entendit pas Chrego arriver derrière elle. Elle sursauta quand il passa ses mains autour d'elle. Elle posa ses mains sur les siennes et s'appuya contre lui. Elle repensa à tout ce qui s'était passé depuis leur rencontre. Et elle était heureuse d'avoir surmonter ces difficultés.

Cela semble si lointain ce jour sur la à Narbonne. Pourtant c'était il y a juste quelques mois. Le déménagement, le bébé en route, cette maudite attente pour rien. Tout cela en si peu de temps.

Elle se retourna et l'embrassa

Seloutte

Kallhan

Coccycrep

Nejma

Laurine

Danael

Coccycrep

Divinius

Danael

Coccycrep

Citation:

La jolie sirène fendît les vagues, puis se tourna dans sa direction, et il aperçut son visage ...

Ils se regardèrent tous deux un instant sans bouger.

Danael

Divinius

Horkos

Edit pour cohérence IG

Coccycrep

Dameraphaelle

Kelak

Après sa ballade impromptue au milieu du lac de bézier durant la soirée du 8 sept 1457, kelak n’aurait jamais pensé guérir si vite de son état faiblard et pourtant aujourd’hui il était en forme et pour tout dire il ne s’était jamais senti aussi bien.

Il n’y avait pourtant aucune trace de sorcellerie là dedans, du moins l’espérait il, mais il savait qu’il devait cela aux gentilles attentions d’une personne chère… ce soir il reprendrait la route avec elle pour montpelier et décida donc de passer une partie de son après midi à se reposer sur la plage de Bézier, seul endroit de la ville ou le calme règne en maitre…

Il chercha un coin d’ombre pour s’allonger mais la lumière restait trop vive que pour espérer s’endormir, il chercha une solution et soudain il se souvint que divinus lui avait remis une peau gagné lors de la semaine du mineur. Il avait garder cet objet sans trops savoir qu'en faire et maintenant il lui trouva enfin une utilité.

Il s'allongea, couvra son visage avec la peau et tenta de s’endormir en repensant aux événements d'hier au soir...

Ettis

La fin d'après-midi était chaude, cuisante même, pour qui a trotté tout le jour par les ruelles et les remparts. La sueur lui collait les cheveux au front et les braies, ben...aux jambes. Septembre ne semblait pas vouloir laisser finir l'été, quoique les feuilles aient partiellement commencé à virer du vert aux ocres. Ettis parvint à la plage, d'un pas un peu lourd, un peu las. Elle y passait rarement, trop occupée pour baugenauder le plus souvent, mais ce soir, elle s'était dit que la relative fraîcheur de l'eau serait bien agréable. Et, de fait, elle savourait en s'approchant l'air plus léger, la fine brise sur son visage. Elle regarda passer un vieil homme, l'air revêche un peu, et son chien : tiens donc, une nouvelle tête par là. Mais elle n'y prit pas garde davantage, et se laissa facilement convaincre d'aller jusqu'à l'eau, tenant ses bottes rouges à la main de crainte de les mouiller, et trempa se pieds échauffés au fil de l'onde. On en ronronnerait presque de plaisir ! Les reflets sur l'eau reposaient l'oeil : elle décida de passer quelques minutes de sa pause là, avant, tout à l'heure de remonter le sentier vers la ville.

Anaximandre

Plongé dans ses pensées, le vieil homme contemplait toujours le mouvement des vagues, le vol erratique des mouettes et les derniers feux du soleil couchant, lorsque des aboiements joyeux retentirent derrière lui. Par Aristote ! Le vieux cabot avait donc réussi à échapper aux douaniers et à retrouver la plage ! Pour la première fois depuis longtemps, un vrai sourire éclaira le visage d'Anaximandre lorsque le chien, jappant allègrement, se jeta sur lui, faisant voler son chapeau.

Hé, vieille canaille, mon galurin !

Mais c'était trop tard. Le couvre-chef, emporté par le vent marin, tourbillonnait déjà au-dessus des flots, jouant avec les nuages, avec l'air de s'amuser follement. Le vieil homme, la surprise passée, haussa les épaules. Celui-là au moins était libre à présent. Et puis, il avait fait son temps. D'un pas décidé, il se releva et s'en retourna vers la ville, en quête d'un nouveau chapeau.

Zazounette

zazou le regarda detaler comme un lapin ...... et explosa de rire
pauvre homme qui devait mourir de soif ....

le soleil était deja haut dans le ciel et il devenait brulant, le temps avait filé à grande vitesse , elle respira a nouveau l'air salé en le regardant faire demi tour pour revenir la chercher ......

elle ne comprenait pas, ne cherchait plus à savoir...... la tête lui tournait ..... plus rien ne comptais, plus rien sauf ........

ils prirent tranquillement le chemin de la taverne se separant aux portes de la ville
l'heure n'etait pas aux questions c'était un de ces moments fragiles qui ne pouvait se partager une complicité commencais a naitre ...... le destin serait leur maitre

Anaximandre

Le vieil homme se sentait fatigué. Sa passion pour le vagabondage s'émoussait, ces temps-ci. Si tant est qu'il ait jamais eu une passion pour quoi que ce soit. Sauf peut-être pour son chien. A cette pensée, son coeur se serra. Il avait égaré le brave Aristote au moment d'entrer dans Béziers. Un moment d'inattention, les questions de la douane auxquelles il avait répondu avec toute la mauvaise humeur dont il était capable, donc quelques heures au poste : résultat, plus de chien. Anaximandre espérait que son fidèle compagnon le retrouverait.

Et attendant, las des bavardages futiles de taverne et presque rassasié de contempler le doux minois de la demoiselle Aurore, il avait erré dans le village à la recherche de l'église, sans succès. Encore une cité où la religion n'était pas bien vivace. Ce qui n'était pas forcément pour lui déplaire, bien qu'il commençât toujours par adresser une prière à Aristote et un salut du bout des lèvres à l'usurpateur Christos.

Finalement, après avoir marché en long et en large sur la plage, le vieil homme s'assit face aux vagues et songea à sa jeunesse, aux fiers voiliers et aux femmes qui, alors, lui tombaient dans les bras...

Zazounette

Citation:

Hey!! Zazouuuuuuu!!!!! Que fait tu là?

son coeur fis un bond, elle sursauta a cette voix si familière sourit et s'assied pour lui faire une bise
ses desirs avaient été exaucés ..... il était là ......

elle discuta avec lui de longs instants essayant de ne rien laisser paraitre de ce trouble qu'il savait provoquer
elle ne souhaitait que rien ni personne vienne troubler cet instant mais elle savait aussi que les villageois s inquietais de pas les voir arriver pour boire une bière

se levant et lui tendit la main pour l'aider a se relever

Viens allons boire une bonne bière tant que la ville est encore calme ......

faisont la course premier arrivé ........

elle lui sourit attendant son approbation

Wgaby

gaby fut heureux d'avoir discuter avec zazou...il se sentait bien en sa compagnie.Il buva ses paroles ...ne voulant pas perdre un seul mot de ce quelle pouvait lui raconter.
Le temps passait à une vitesse folle, et elle lui proposa de rejoinde nos amis en taverne et de boire un coup.
Enfin de bonnes paroles..hihi...

""_ Ah !! tu veux faire la course? ok...prête?...1....2......et....partez!!

Il coura comme le vent et la laissa sur place...puis se retournant en éclatant de rire...il la rejoignit et lui prit la main et allèrent jusqu'à la taverne...

Zazounette

le soleil commencais à laisser paraitre ses premieres lueures et dejà la journée s'annoncais chaude ....

c'était des moments que zazou appreciait énormement tout y était d un calme absolu ,sachant ses amis encore endormi elle s'installa sur la plage et laissa son regard se noyer dans les vagues colorées de rose par endroit......

puis elle pensa a lui ..... il ne manquais que lui pour partager ce moment unique même si avec lui tout etait unique chaque details prenait une nouvelle saveur ......

elle qui avait oubliée tout cela, ferma les yeux en s'allongeant sur le sable .....
puis se promit de se laisser porter dans cette nouvelle histoire comme le murmure des vagues emmenait a ce moment precis son esprit

allait il venir ? allait elle l'entendre rire aujourd'hui ? et comment lui avouer qu'elle ne pouvait plus se passer de sa presence ..........

Wgaby

wgaby se leva tôt et eu l'envie d'aller faire une ballade sur la plage.
Il alla dans les rues de la ville d'un pas serein,tout pensif.
Au bout de quelques instants, il arriva sur la plage...enleva ses bottes, et se mit à marcher pieds nus au bord de l'eau.
Il se sentai bien, le coeur paisible...et toujours cette pensée qui l'envahissait ... Elle.....
Puis il apperçu au loin une sillouette allongée sur le sable.Il alla prestement voir qui ça pouvait bien être.

_ Hey!! Zazouuuuuuu!!!!! Que fait tu là?

Il se mit à ses côtés et lui fit la bise..

_Je suis content de te voir tu sais? Justement je pensai à toi! Et puis te voila...

I lui sourit, puis resta de longs instants près d'elle à discuter...
C'est un moment très agréable qu'il n'a pas envie rompre..

Banquizz

Mevanwi a écrit:

Sans dire un mot ou porter un regard sur l'homme, Mévanwi se leva. Elle s'immobilisa quelques instants, les yeux rivés sur l'horizon bleu, puis fit volte face.

Je rentre...

Le temps de faire deux pas et elle s'arrêta de nouveau.

Je vais à l'auberge. Keiji doit surement déjà m'y attendre.

Un bref silence suivit, puis

Si cela vous dit de m'accompagner...

Banquizz se leva doucement et rejoint vite Mevanwi qui partait vers le village.

Attendez moi

Il se placa au coté de la dame sans trop savoir comment entamer la conversation. Il se contenta de regarder la jolie dame en se demandant ce a quoi elle pouvait bien penser.

Mevanwi

Banquizz

Il fit un grand sourire pour répondre a celui de la charmante demoiselle.

Ce n'est pas la peine de vous excuser vous savez, les mots que vos lèvres ne prononcent pas, ce sont vos yeux qui les disent. Ca se voit que vous aimez beaucoup la mer.
Moi aussi. Lorsque je viens sur la plage j'arrive a ne plus penser à rien. Je plains les gens qui ne l'ont jamais vue. Devant une telle immensité on se sent tout petit, on est peu de choses, lorsque l'on est dessus c'est encore plus fort, elle a des humeurs pareil à celle des hommes. Elle peut être calme comme aujourd'hui ou connaitre les pires colères frappant les navires de ses vagues. Comme nous avons le moral, elle a ses marée, parfois hautes, parfois basses.

Il regardait le joli visage de Mevanwi. Il se dit qu'elle ne pouvait jamais être vraiment très loin de la mer, puisqu'elle était dans son regard.

Il sourit de nouveau et regarda la mer.

J'ai vécu tout près de Toulon, et durant longtemps. Mais je n'y suis jamais allé. Le destin ne l'a sans doute pas voulu. Vous avez de la chance d'avoir grandit au bord de l'océan.

Il hésita à aborder le sujet de l'enfance de Dame Mevanwi, il connaissais ses silences et avait peur de gener sa compagne de voyage. Il préféra ne rien dire et il se dit que son prochain projet allait être de trouver un navire pour voguer sur l'océan de port en port avec la personne qu'il portait en son coeur. Cette idée seule lui redonnait le sourire. Les rêves, c'est ca l'essence de l'âme.

Vous avez l'air de beaucoup aimé Toulon.

Maryloug

maryloug arriva près de l endroit qu elle adorait pkus que tout sentir cette brise juste que les douceur qui est simple.Elle vit des personne au loin , regarde mes juste la silhouette cela ne lui dit rien , elle ne veut déranger et reste la.Elle plonge se regard vers ce paysage si paisible avant de revenir au réel

Mevanwi

Fixant l'horizon, elle n'écoutait que d'une oreille. La question qu'il lui posa la sortit de ses rêveries.

Eum... Egale à elle-même.

Après un petit instant de silence, elle tourna la tête pour le fixer. Elle vit l'embarras du jeune homme.

Excusez-moi, je ne suis pas très loquace quand je m'y mets.

Elle esquissa un sourire, se forçant à s'ouvrir un peu plus qu'à son habitude.

Je... Suis née à Toulon. J'ai si souvent vu la mer... C'est quand je ne l'ai plus eu sous les yeux que j'ai compris à quel point elle était importante pour moi.

Banquizz

Un son plus doux encore, que celui des vagues le tira calmement de ses pensées. C'était la voix de Mevanwi. Cela le fit sourire, tout naturellement, alors qu'elle s'asseyait à ses côtés.

C'est vraiment joli n'es-ce pas ? J'était en train d'imaginer prendre la mer. Les gens se demande souvent si il y a quelques choses tout au bout. Moi je me demande ce qu'il y a tout au fond. Personnes n'a jamais touché le fond de l'océan, à l'endroit le plus profond possible, alors qu'on gravit des montagnes. Si ca se trouve il y a des gens qui vivent en dessous de l'eau et on le sais même pas. C'est vraiment mystérieux.

La marée avait rendue quelques mètres à la plage en reculant . Le ciel commençait à rougir derrière les nuages et les couleurs qui s'étalaient au dessus du village annonçait le crépuscule.

Je suis vraiment heureux que vous soyez venue

. Comment trouvez vous la mer?

Mevanwi

Au fur et à mesure qu'elle s'avançait vers l'horizon bleu, le sable devenait de plus en plus présente au bord des ruelles. Passant, les dernières maisons, elle arriva sur la grande étendue de sable clair. La jeune femme enleva ses chausses et laissa ses pieds s'enfoncer, laissant une longue trainée de pas derrière elle. Le vent commançait à se lever et ses cheveux lui caressaient le visage. D'une main, elle les rabattit derrière l'oreille.

Une silhouette familière se dessina bientôt, assise face à la mer, les yeux perdus dans la contemplation de l'immensité bleue.

Bonsoir...

Sa voix était douce et calme. Elle paraissait chuchotter, s'en voulant peut-être de tirer l'homme de ses rêveries. Elle s'assit près de lui avant mêem qu'il ne répondre, et fixa l'horizon.

Banquizz

Le soleil d'été n'était pas chaud, le ciel nuageux sans être menaçant n'annonçait pas de pluie, juste ce vent un peu frais coutumier des plages de méditerranée qui donnait un petite impression de froid qui allait grandir à mesure que la journée avançait. La marée encore haute commençait à descendre, en brassant les galets, dont le bruit reposant était de temps à autres masqué par les cris des mouettes, volant au dessus d'un navire de pêche rentrant au port.

L'homme respira une grande bouffée d'air avant d'avancer sur la plage. Il scruta les lieux. Il était arrivé bien en avance et il avait le temps de se reposer un peu. Il s'approcha de l'eau et se mit à jeter quelques cailloux dans les vagues.

Scrutant l'horizon, il se demanda ce qu'il pouvait bien y avoir au dela de cette étendue d'eau. Cet horizon étrange, cette ligne si lointaine que nul ne l'a jamais franchit. Probablement qu'il n'y avait rien.

Ses yeux se fermèrent emportés par le bruit relaxant des vagues, des oiseaux et des quelques personnes qui était présentes. La fin d'après midi était agréable. Il resta la assis en s'imaginant voguer sur un navire comme dans ces histoires qu'on lui racontait enfant, et qui le berçaient encore aujourd'hui.

Pattricia

Réalisant soudain ma bévue, j'éclate de rire. Rhooo pardon, je ne sais pas où j'ai la tête en ce moment, j'aurais pu te demander si tu savais monter ! Quelle idiote ! Attend je te montre, c'est simple, il faut juste être douée pour le lever de jambe !

Je descends de ma monture et lui explique l'art de monter sur un cheval sans tomber ou se retrouver à l'envers ! Ne t'inquiète pas, tu n'auras pas besoin de la diriger, je vais l'attacher à ma monture et c'est à ta monture que nous commencerons à attacher la première mule. De toute façon, les enfants voyagent toujours attachés derrière Mari et je suis de près comme ça je garde un oeil sur eux ! Là-dessus j'entends Mari éclater de rire, je lui jette un regard furibond et rit de bon cœur. Bon d'accord, en fait les trois quarts du temps je dors pendant le voyage et c'est Mari qui veille, c'est pour cela qu'elle dort plus longtemps que nous ensuite le lendemain, elle doit récupérer.

Regardant Mélie s'y prendre pas trop mal pour une première fois pour monter sa jument, je lui prends les rênes et les attachent à l'arrière de ma selle. Voilà ! Comme ça tu ne t'occupes de rien, ne t'inquiète pas si je dors mon cheval à l'habitude de suivre l'étalon de Mari, donc aucun risque de nous perdre dans la pampa !

Voyant de Mélie hésite à se détendre, je lui souris et monte en selle et suit Mari qui met en route notre caravane...

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--Melie

Mélie c'était réveillée aux premiers pleurs de Cantor, et oui toujours le même ! Se dépêchant de le prendre dans ses bras, de dégrafer son corsage et de le coller à son sein, elle regarde Floris, émergeant tranquillement de ses doux rêves, un léger sourire aux lèvres. Décidément toi tu est vraiment le paisible, ton frère n'est que fureur, et toi tu souris... S'avançant un peu, Mélie constate que Lucie quant à elle, dort toujours du sommeil du juste, ses petits poings serrés, souriant de voir cette minuscule petite fille avec un air aussi sérieux, elle s'assied près d'eux regardant d'un air narquois Cantor avaler son repas goulument...

Une fois chaque enfant rassasié et changé, Mari se réveille et s'approche collée de près par Truffe qui ne rate jamais une occasion de quémander un câlin... Dame Mari, je peux vous laisser la surveillance des enfants le temps que j'aille laver ces langes au lavoir du village, comme ça ils seront propres pour cette nuit ?
Mari accepta avec joie de s'occuper des enfants qu'elle chouchoutait un peu moins depuis l'arrivée de Mélie dans le groupe et même si elle ne disait rien, se sentait un peu exclue et inutile par moment.

De retour du lavoir une demi-heure plus tard, les langes lavés et étendus aux paniers des enfants, Mélie repris sa garde auprès des gazouilleurs et entrepris de les distraire en attendant le départ. Plus tard ils dormiraient, plus tard ils se réveilleraient !

Pat arriva sur ces entrefaites et entreprit d'aider Mari à préparer le départ.
Une fois les enfants installés dans leurs berceaux de fortune, Pat se dirigea vers Mélie un cheval à la main...

Citation:

Mélie tu prendras la jument que j'ai achetée ce matin pour toi, elle est moins haute que nos montures, mais elle est douce et calme, ce sera parfait !

Prenant les rênes qu'on lui tend, Mélie se retrouve près d'une jument qu'elle doit monter, le seul problème c'est qu'elle ne sait pas comment...
Heuu... Pat... Ca marche comment ce truc ? La regardant avec un pauvre sourire et les yeux suppliants, elle vit à ce moment là un grand moment de solitude...

Pat la regarde, ouvre grand ses yeux et éclate de rire.

--Melie

Mélie regarde Pat s'éloignée en courant presque, elle sourit qu'elle est drôle, je sens que je vais être heureuse entre ces petits trésors et ma nouvelle maitresse, elle est si... différente !
C'est pas le tout Mélie, mais puisque le plein d'eau a été fait en rentrant à la plage, autant en profiter pour faire un brin de toilette et ensuite un petit somme ne sera pas de refus !

Joignant le geste à la parole, la jeune fille se précipita à l'intérieur de la grotte et procéda à ses ablutions... Après avoir vérifié que les enfants et Mari dormaient du sommeil du juste, elle s'autorisa enfin à se laisser tenter par les bras de Morphée...

Pattricia

J'étais en retard, pfff tout moi ça, je m'amuse, je m'endors et ensuite je coure grrrrrrrr ! Non mais franchement quelle mère indigne je fais ! Courant comme toujours après les heures qui passent trop vite, j'arrive à la grotte essoufflée, les cheveux en bataille et le visage rouge pivoine.

Mélie est là sereine, jouant avec les enfants. Je les regarde et souris, mes merveilles, la meilleure chose qui me soit arrivée dans la vie... ce qui m'a maintenue en vie, sans eux...
Agacée d'avoir encore ce genre de pensées, je me dirige à l'intérieur de la grotte non sans avoir bisouiller mes amours. Marie s'affaire, elle a déjà effacé les traces du camp et commence à seller les chevaux. Truffe me saute dessus et me voilà cul par dessus tête, arf mais c'est pas possible, j' passe ma vie par terre dans ce village, ça doit être l'air marin je suis pas habituée. Rhooo mais arrête toi ! Non pas de léchouille grrrrrrr éclatant de rire sous les assauts déchaînés de mon loup, je le repousse, me relève tant bien que mal et me dirige vers les paniers et coffres afin de tout charger sur les mules.

Une fois notre besogne faite, je mets les garçons dans leur grand panier et je mets Lucie dans le sien. Bon ben les filles, je crois qu'on est prêtes pour continuer notre voyage ! Demain Nîmes, et on repart vers le Nord. J'ai hâte de retrouver les chemins en forêt, ça me manque je crois, c'est plus mon élément que cette grande étendue bleue qui n'en finit pas ! Mélie tu prendras la jument que j'ai achetée ce matin pour toi, elle est moins haute que nos montures, mais elle est douce et calme, ce sera parfait !
Je lui souris, enfourchant mon hongre et remarque son air dubitatif...

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Titoine

Titoine a bien dormi même si le sable était un peux dure, il y a une du sable qui lui est tombé sur les pieds.

- Je m'en doutais qu'il y allais avoir du sable qui allais tombé mais j'ai de la chance quand même que tout ne sois pas tombé.

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Pattricia

[le lendemain...

Elles étaient parties en taverne, n'avaient rencontré personne, mais c'était restaurées. Les enfants avaient bien dormi et la matinée c'était avancée.. doucement.. De retour à la caverne, le cycle habituel des tétées et des langes à changer avait repris. Mari qui n'avait pas encore dormi, alla s'allonger sur sa paillasse et tomba dans un profond sommeil. Je fis un clin d'œil à Mélie et l'attirais à l'extérieur...

Mélie, j'ai besoin de me dégourdir les jambes, je vais retourner un peu en taverne, et me balader un peu partout. Je serai de retour dans trois heures afin de t'aider avec les enfants, en attendant repose toi, prends ma couche, je vais faire le nécessaire pour que tu puisses avoir la tienne d'ici ce soir.
Il faut vraiment que tu dormes, tu as une tête à faire peur et c'est bien dommage pour un aussi joli visage !

Mélie me regarde, les yeux se fermant à moitié et me sourit... Oui merci Dame Pat, j'avoue avoir grand besoin de sommeil, ça n'est pas de refus, les petits anges seront près de moi, ne vous inquiétez pas... Allez vous amuser un peu, je veille !

Je lui souris, appelle moi Pat et dis-moi tu, entre nous pas de chichis, je n'ai jamais eu d'employé de maison tu sais, je suis une fille simple, alors comme nous allons tous former une grande famille, autant commencer tout de suite à se comporter en conséquence ! Je reviens dans trois heures, pas plus !

Filant comme le vent, je pars à la découverte du village, première chose trouver une taverne où il y a du monde...

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Huhu49

Huhu fut surpis par cette ondée qui vint lui humidifier le corps et le visage.
Memem si leau était froide cela ne pouvait lui faire que du bien et lui rafraichir l esprit.

Il se mit a courir vers Miss, l attrapa, la saisit dans es bras et roula avec elle dans l ecume. L eau et le sable s engouffrerent dans leurs vetements, mais qu importe, le plaisir d etre avec Miss et de retrouver un peu de sourire lui faisait beaucoup de bien, meme si la bonne humeur n avait jamais quitté sa personne, huhu avait besoin de retrouver un peu de chaleur.

Les corps se melerent, dans un fou rire, pour se termnier par un regard percant et un baiser langoureux.

Huhu saisit la main de Miss et l entraina sur la plage, il ota sa chemise, qu il mit a secher et s allongea sur le sable chaud au coté de cette ravissante damoiselle..

Huhu était bien et se laissa divaguer dans ses pensées les plus folles

Misserose

Misserose se laissât captivé par le regard de Huhu, elle commençât à se sentir bizarre et ce levât d'un coup.

Et si ont allé marcher un peu !

Elle commençât à marcher, puis elle se mit à courir pour arriver au bord de l'eau. Elle se retournât et vit Huhu marchant tranquillement tout en souriant.

Elle attendit qu'il arriva jusqu'a elle et elle se mit à l'arroser avec les pieds, elle se mit à rire et regardât comment il prenait la chose.

Titoine

Titoine va à la place pour se trouver un petit coin tranquille ou il pourrait faire une petite nuit blanche, il se fait un lit en sable pour plus de confort.

(ne pas faire attention aux personnes et au reste qui est moderne, merci)

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Titoine

une fois fini Titoine était très fatigué donc il monta dessus pour voire si il avait bien fait son lit pour la nuit, il le trouvait un peux dure mais sa lui convenais pour la nuit.

- J'espère qu'il va pas pleuvoir cette nuit

Autrement je risque d'être enseveli vivent.

Titoine se coucha il voulait gardé un œil pour voire si sa tiendrait toute le nuit, mais il n'a pas peut car il s'est endormit dès qu'il s'est coucher.
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Mariceleste

[Arrivés a Béziers et installation]

« Mari, je crois que nous arrivons à la plage, Truffe est dans tous ses états ! Pourvu que nous trouvions quelque chose pour tous nous abriter, une cabane de pêcheur abandonnée comme à Narbonne serait une bénédiction... »

Mari regarda pat en soupirant, elle était morte de fatigue et soulagée de pouvoir enfin faire une pose et profiter de la mer.
Mais d'abord fallait trouver un endroit pour se poser quelque jours, Pat et Mari avaient voyagées toute la nuit pour arriver au petit matin au portes de Béziers.

Après avoir marchés longuement sur la plage, Pat nous dénicha une caverne assai grande pour nous cinq et nos bêtes.
Pendant que les bébés dormaient dans leur paniers, Mari et Pat firent le grand nettoyage et installa paillasse et bon feu puis Pat alla chercher de l'eau potable.

Après cette occupée de Cantor, Floris et Lucie elle les confia sous la garde de Mari et alla se baigner

Mari, je vais aller me baigner de suite comme ça tu auras tout ton temps pour le faire après... Je te laisse mes amours qui viennent de s'endormir, je ne prendrai pas plus d'une demi-heure promis !

La demi heure passée Pat rejoignit Mari a la Caverne me voilà de retour Mari ! A ton tour de profiter de la baignade ! Je vais remplir les gourdes d'eau et partager en deux ce qui reste, comme ça nous pourrons chacune faire notre toilette. File ! Je m'occupe de tout !

Mari fit un grand sourire a Pat et partit se baigner, elle se déshabilla et se glissa dans cette eau salée et se laissa flotter sur le dos un grand moment.
Après sa demi heure passé elle rejoignit la plage se sécha et se rhabilla et rejoignit la caverne.

- Me revoilà, waouh ça fait un bien fous je suis détendues, mis le sel dessèche ma peau. A super de l'huile pour la peau !!

Mar prit le flacon que Pat lui avait laissé et se la passa.
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--Melie

[Deux heures plus tard...

La jeune Amélie, dite Mélie nourrice de son état, marchait sur la plage, l'air hagard, le regard vide et les joues couvertes de larmes. La soirée précédente avait été un cauchemar, sa patronne, une jeune baronne au demeurant fort agréable, avait perdu son bébé, le petit Arthur, mort dans son sommeil. Folle de douleur, la mère avait chassé la nourrice, sans lui payer ses gages. Perdue dans sa douleur, elle avait accusé Amélie d'être responsable de la mort de son enfant et l'avait menacé de représailles.

La jeune nourrice, incapable de réagir devant tant d'injustice, elle-même très malheureuse du destin tragique de son jeune protégé, était partie en courant sans se retourner et avait marché toute la nuit jusqu'au village de Béziers où elle était arrivée au petit matin.

Incapable de surmonter sa douleur, choquée de la cruauté de la vie, elle se dirigeait vers l'eau, bien décidée à en finir une fois pour toute... Personne ne lui avait jamais appris à nager et elle voyait là la juste pénitence pour assurer son salut. Commençant à avancer comme une somnambule, elle se retrouva vite avec de l'eau jusqu'à la taille, saisie par la fraicheur de celle-ci elle marqua un temps d'arrêt. Bien lui en prit, cet instant de saisissement allait changer le cours de sa vie...

Un vagissement incarnant à lui tout seul la colère de tous les dieux grecs réunis se fit entendre du côté des falaises. On ne change pas sa nature, même dans la douleur, Amélie est une nourrice dans l'âme et rien ne saurait la détourner de ce pourquoi elle est fait. A moitié sonnée, son regard s'éclaircit et elle tourne son visage d'ange du côté d'où viennent les pleures. Reprenant petit à petit ses esprits, elle sort de l'eau et se dirige au son. Quelle n'est pas sa surprise devant le spectacle de la plage...

Deux jeunes femmes, trois bébés et un loup, tous en train de s'agiter pour leurs raisons propres, et un des trois bébés attendant son tour pour se nourrir vagissant comme déjà décri précédemment du fond de son panier... Amélie ne pouvait supporter d'entendre un enfant pleurer, surtout aussi minuscule que celui-ci. Alors elle fit ce qu'elle faisait le mieux au monde, ne se préoccupant pas plus des jeunes femmes plutôt dépassées par les évènement, que du loup qui commençait à la renifler d'un peu près, elle se précipita vers le panier hurlant, ouvrit son corsage, attrapa l'enfant, le colla à son sein et le regarda téter goulument pendant que de nouvelles larmes coulaient de ses beaux yeux bruns.

Ce fut d'un coup le silence, une sorte de sérénité couvrit le petit groupe et ce silence surprenant fit lever la tête à Amélie et rencontrer le regard vert/noisette de la jeune mère. Amélie se sentit soudain rougir de honte, elle n'avait pas réfléchit, elle avait agit instinctivement et maintenant elle se trouvait au milieu d'une famille pour qui elle était une étrangère.
Le regard vert se fit rieur, bonjour Damoiselle, je suis Pat et mon amie ici présente se nomme Mari. Nous venons toutes deux du village de Sarlat en Périgord et comme vous le voyez la naissance récente et surprenante de mes triplets nous a prises toutes les deux au dépourvu.
Votre venue sur cette plage est un vrai miracle, j'aimerais savoir si vous avez des projets pour les vingt prochaines années ?

Les deux regards se rencontrèrent, se reconnurent et s'aimèrent de suite. Il y a des personnes qui sont faites pour se rencontrer, c'est inévitable et Amélie venait de vivre ce genre de rencontre, comme une évidence. Elle éclate de rire je me présente, je suis Amélie, mais tout le monde m’appelle Mélie et oui en effet Dame, j'ai un projet, celui si vous le voulez bien de m'occuper de ces trois anges tant que vous le jugerez nécessaire !
Pat avait souri à Amélie, Amélie lui avait rendu son sourire et Mari avait éclaté de rire je crois Pat qu'il est tant que nous allions prendre un vrai repas en taverne qu'en penses-tu ? Et vous Amélie, je ne sais pas pourquoi, mais entre votre jupe trempée et dégoulinante et votre air d'avoir pleuré pendant une semaine, je crois qu'un bon repas avec nous et les enfants, une fois qu'ils seront endormis, ne pourra que vous être bénéfique...

Il y a des jours comme ça où les personnes qui devaient se rencontrer s'apprécient au premier regard...

Huhu49

Huhu sourit a miss

Oui Miss un moment extrenement magique surtout lorsque l on est bien accompagné

Huhu rendit son baiser a Miss sur chaque joue tout en plongeant ses yeux dans les siens

Un plaisir de partager ce moment avec toi

Pattricia

Une heure plus tard...

Après avoir marché un certain temps sur la plage, nous avions atteint les falaises et trouver une petite grotte, bien assez grande pour nous cinq, les chevaux et les mules. A priori à l'abri des embruns, nous avions entrepris de bouchonner les bêtes, de donner à chacune un sac de grains, me promettant en moi-même de monter sur une des falaises pour y trouver de l'herbe afin de les faire brouter. Profitant que les enfants dormaient encore à poings fermés, Mari et moi nous étions mises au grand nettoyage, choisissant l'endroit des paillasses et celui du feu.
Pendant que Mari s'occupait du petit déjeuner, ce fut le tour des enfants de réclamer pitance et langes propres. Cette fois j'avais anticipé et m'étais arrêtée au lavoir pour remplir tous les seaux d'eau et faire boire les bêtes. Ma tache fut donc plus facile qu'à Narbonne, je commençais à prendre mes marques et à anticiper nos besoins en eau potable et surtout ceux des bébés, qui eux ne pouvaient attendre...

Une fois Cantor, Floris et Lucie rassasiés et propres, nous installâmes leurs paniers près du feu et entreprîmes de manger à notre tour... Une bonne mère est une mère restaurée et reposée... Enfin pour le repos, il me faudrait attendre que ces chenapans se rendorment... Chose qui finit par arriver au moins une heure après que nous ayons mangé, discuté et soupiré d'impatience de ne pas les voir tomber de sommeil comme nous.

Le miracle arriva enfin et j'en profitait pour prendre le premier tour de baignade...

Mari, je vais aller me baigner de suite comme ça tu auras tout ton temps pour le faire après... Je te laisse mes amours qui viennent de s'endormir, je ne prendrai pas plus d'une demi-heure promis ! Je lui souris et file vite avant qu'elle n'ait eu le temps de me répondre, sachant pertinemment qu'une demi-heure passe toujours trop vite lorsqu'on se baigne...

Filant en courant vers le bord de l'eau, chose qu'il y a encore quatre jours j'étais bien incapable de faire tellement je ressemblais à une baleine, je me déshabille et entre dans l'eau à toute vitesse ! J'éclate de rire, quel bonheur ! Sentir tous ses muscles se détendre les uns après les autres, gouter le sel de l'eau et profiter de cette lumière si particulière à cette heure du milieu de matinée. Après avoir fait quelques belles longueurs, la planche et quelques plongées, je retourne à regret vers la plage... Pff ! C'est vraiment trop court une demi-heure !

Je souris me moquant de moi-même, sachant très bien qu'une fois rincée j'allais m'écrouler morte de fatigue. Une fois rhabillée, je rejoins Mari à la caverne me voilà de retour Mari ! A ton tour de profiter de la baignade ! Je vais remplir les gourdes d'eau et partager en deux ce qui reste, comme ça nous pourrons chacune faire notre toilette. File ! Je m'occupe de tout ! Je lui souris sachant à quel point elle est exténuée, elle qui nous avaient guidés toute la nuit. Elle me regarde avec un grand sourire et file comme une flèche vers la mer...
Récupérant toutes nos gourdes, je les remplies dans les seaux et partage l'eau qui reste en deux. Sortant un linge doux, j'entreprends de me laver, quel plaisir de retirer tout le sel qui dessèche la peau ! Ensuite, quel soulagement que de finir de prendre soin de soi en se frottant avec une huile parfumée qui aidera la peau à retrouver son élasticité et enveloppe le corps d'un cocon de douceur... Laissant le flacon d'huile pour Mari, je m'allonge ma paillasse de fortune et tombe dans un sommeil sans rêve...

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Misserose

Misserose était perdu dans ses pensées, regardant les vagues avancé et reculé quand elle sentit des doigts lui frôler une de ses épaules.

Elle tournât la tète et vie huhu, elle sourit et le laissât s'asseoir à coté d'elle.

Ils restèrent là un moment à regarder cette mer si belle et si dangereuse en même temps.

Au bout d'un temps indéfinis elle tournât de nouveau la tête vers lui et lui demandas :

Comment vas-tu ? Ne trouve tu pas que ce moment est magique ? La mer est si belle, si envoutante, si attirante. Tu avais raison, cette plage, ces falaises et la mer sont une des plus magnifiques choses qui existe à Béziers.
Je te remercie de partager ce moment avec moi.

Puis elle lui donnât un baiser sur la joue pour le remercier.

Pattricia

Entre nuit et jour...

Le groupe était arrivé à Béziers au petit matin, trois chevaux et trois mules, deux ombres féminines, une ombre masculine... Ils s'étaient séparés au pied des remparts du village, l'homme avait rejoint son logis et les femmes avaient traversé le village... jusqu'au petit port, la plage, les cabanes de pêcheurs... L'homme avait bien insisté pour les loger pendant leur séjour, tenant absolument à les remercier de lui avoir permis de rentrer chez lui, mais elles avaient décliner l'offre avec un sourire las mais sincère.
Ils s'étaient dit au revoir se promettant de se retrouver en taverne et chacun avait continué sa route...

Petit jour ou "faut vite trouver un abri !!!"

Le voyage depuis Narbonne s'était bien passé, les enfants s'étaient réveillés toutes les trois heures, mais avaient bien supporté cette nouvelle aventure, un voyage alors qu'ils avaient à peine deux jours.
Mari nous avait guidés, fidèle au poste, Truffe avait surveillé, encore plus méfiant depuis la naissance de ses nouveaux protégés et moi je m'étais endormie, épuisée par ce cycle permanent dodo, langes et allaitement...

Emoustillée par l'odeur de la mer, cette chère Méditerranée pour laquelle j'avais eu un coup de foudre, je me réveille lentement, le regard attentif à la mule devant moi, accrochée à la monture de Mari et qui transporte mes raisons de vivre... Floris et Lucie dorment du sommeil du juste, mais Cantor, égal à lui-même, s'agite près de son frère, déjà harcelé à deux jours à peine par des rêves. Je souris, décidément des triplets, Cantor allait sûrement être celui qui allait me donner du fil à retordre.

Je vois mon loup partir soudain en courant, revenir, sauter, repartir et je ris. « Mari, je crois que nous arrivons à la plage, Truffe est dans tous ses états ! Pourvu que nous trouvions quelque chose pour tous nous abriter, une cabane de pêcheur abandonnée comme à Narbonne serait une bénédiction... »
Je regarde ma fidèle amie sans qui ce voyage aurait été bien compliqué et je lui souris.

Alors elle apparaît...

Moi qui pense vivre près du plus beau lac des royaumes, je regarde cette étendue rose de l'aube du matin, bientôt couleur or et qui deviendra enfin bleu azur et je m'émerveille encore une fois... Je murmure « Se trouver un endroit où abriter les petits, bouchonner les montures et les mules, trouver de l'eau fraîche pour désaltérer tout ce petit monde et... me plonger dans tes bras, frais et salés, nager et rêver à cette nouvelle aventure... Juste être bien... »

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Huhu49

HUHU arriva enfin sur la plage

ca faisait longtemps qu il n avait pas mis les pieds sur ce sable chaud, et admiré ce spectacle splendide des vagues qui dansent a perte de vues et de cette ecume, douceur coton, couleur des anges qui s echoue sur cette entendue d or

Il contempla les quelques badauds qui erraient sur la plage et remarqua MISSEROSE qui avait du suivre ses conseils

Il se decida d avancer vers elle timidement, ne voulant la deranger dans ses pensées.

Il grimpa sur le rocher et du bout des doigts frola son epaule afin de ne pas la brusquer

Il s assit a coté d elle et en sa compagnie laissa ses songes l envahir a regarder cette immensité bleue dont l au dela restait un mystere

Lysyan

Une fois de plus, il avait filé le nez en l'air....se laissant guider par son odorat et son ouïe.
Chat curieux, impatient de .....barboter. Parce que bien sûr, Lysyan le chat est un amoureux de l'eau...comme tout chat qui se respecte !
Chat marin !

Quelques rochers escaladés, et le voilà, chemise et chausses jetées au vent, qui goûtait à l'eau salé.

Chat poisson, heureux dans l'eau....
Le voilà qui plongeait, nageait, se laissait balloter par les vagues...
Petite pensée poisson....

Et un chat planche ! Un !!!
Yeux fermés, se laissant dériver....

Cerdanne

Une fois dans Béziers, Cerdanne avait refreiné ses envies de course éperdue….

Elle avait décidé dans sa petite tête de chat têtue qu’elle se présenterait face à la mer sans hâte, pour ne rien perdre de la douceur du sable…

Pour laisser le vent lui amener son odeur et pour gouter sa fraicheur,son sel….
Pour que les souvenirs du temps heureux ou avec sa mère, elles arpentaient la Provence remontent….
Comme un hommage tranquille….

C’est donc l’âme recroquevillée sur elle-même qu’elle trouva le chemin de la plage
….Et ses pas de voyageuse l’amenèrent devant le miroir brillant de la mer….

Instinctivement, elle s’avança vers une crique protégée et isolée…
Pieds nus, sourire aux lèvres…le bonheur émergeait, à chaque pas plus fort plus intense…

Elle prit le temps de s’asseoir sur le sable brulant….
Le laissant filer entre ses doigts, profitant du spectacle des mouettes, bercée par le bruit des vagues…
Son regard affrontant de plein fouet le miroir aveuglant de l’eau et du soleil….

Tant et tant que des taches dansaient devant elle….
Mains en visière sur son front, les yeux plissés elle regarda à nouveau la mer d’huile…la tache n était pas une tache….

Chat curieux, elle s’attacha à suivre le mouvement et plissa encore un peu plus les yeux….
Elle se releva et machinalement s’approcha de l’eau…

Lysyan…..

Lui seul pouvait être là….
Bonheur complet ….

Vêtements enlevés à la hâte…et envolée la détermination de rester sage…
Plonger dans l’eau salée ….enfin…. et le rejoindre……
S’approcher doucement du chat planche, porte bonheur, et s’y accrocher…
L’emmener vers les fonds merveilleux, lui montrer ses couleurs et remonter doucement vers le soleil….Caressés par les vagues…
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Arthemys89

Arthemys était rentrée le matin même à Béziers. Elle décida d'aller faire un tour sur la plage.
Elle pensa "Enfin de retour à la maison, quel bonheur".

Que de choses survenues depuis son arrivée à Béziers. Des bons et des mauvais moments s'étaient succédés. Elle espérait que tout irait mieux.
Elle alla se tremper les pieds, la baignade serait pour un autre jour, elle rentra ensuite chez elle.

Misserose

Misserose avait décidé d'aller se balader à la plage.
Elle n'y avait jamais était et messire Huhu lui en avait dit du bien.

Elle se dirigeât donc d'un pas léger vers la plage. Elle trouvât un petit chemin entre-deux dunes et s'y aventuras. Elle suivit le chemin qui se mit à monter.

Au bout de quelques minutes elle arrivât enfin en haut des dunes et levât la tète.

Elle restât stupéfaite et seul un OHHHH !! sortis de sa bouche. Elle se mit à regarder la mer qui d'un coté aller se fracasser contre les falaises et de l'autre coté elle aller doucement lécher la plage de sable.

Elle se mit à sourire et dévalât la pente en riant comme une enfant. Tant pis si quelqu’un la voyer.

Elle arrivât en bas toute décoiffé maos ce n’était pas grave. Elle était heureuse de voire cette immense étendu d'eau que l'on appeler la mer.

Elle allât jusqu’à la plage et mit ses pieds dans l'eau. L'eau était bonne. Elle se dit que la prochaine fois faudrait qu'elle pense à emmener sa tenue de bain et une grande serviette.

Elle se baladât comme ca un moment, les pieds dans l'eau et la tète au vent.

Elle trouvat ensuite un petit rocher. Elle allât s'asseoir dessus et restât la a regardé la mer.

pnj

Tuff arriva sur la plage de bon matin. C'était la première fois qu'il venait içi. Il avança pied nu sur le sable tranquillement, regardant l'horizon par dela la mer. Il s'arreta dans un coin calme et se decida a piquer une tete.

Il fut cependant un peu ralentit dans son élan par la fraicheur de l'eau. Il mouilla sa nuque, pris son courage a deux mains et sauta d'un coup entierement dans l'eau.

Sur le coup, il eu un peu froid mais cela changea vite, il s'était mis a nager, se sentant libre comme un poisson dans l'eau. L'eau, élément fesant partie des plus belles choses que la nature a créer. Tuff s'arreta de nager et regarda vers l'horizon. Cette sensation d'infini lui plaisait, mais lui fesait peur aussi car aprés tout, l'eau pouvait avoir une grande force de devastation.

Puis, il se mit à faire la planche, se laissa flotter en regardant le ciel tout en étant dans ses pensées.

pnj

Lylou arrivée depuis peu a Béziers, s'impatientait s'aller voir la plage......elle tournait et déambulait dans les rues, a la recherche de cette fameuse plage qu'elle avait entendu parlé en taverne......

Grand miracle!!!! au bout de quelques heures elle finissa par la trouver......

A sa grande joie et pour son plus grand plaisir, elle posa ses pieds sur ce sable fin......pieds nus, elle sentait tout ces petits grains de sables lui chatouiller les orteils.......

Elle marcha en direction de la mer, les vagues vinrent lui caresser les chevilles, elle leva les pieds et recula ......pas aussi chaude que ça!!!!!

Lylou pris la direction d'un gros rocher, s'asseya , scruta la mer, le bruit de la houle, le vent portant cette odeur iodée, ce calme......Béziers avait l'air d'une ville fort sympatique....

Camelle

Camelle s'etait endormie sur le sable chaud quand tout à coup une legere humidité vint lui chatouiller ses levres puis un baiser prolongé comme elle les adorait tant.
"Ne serait ce mon coeur, bien sur que oui, qui d'autre si non". Mon coeur, je t'aime toi, je t'attendais.
apres avoir laissé tomber un peu le travail nous voila enfin tous les 2.
Ric se déshabilla et entraina Camelle dans l'eau.
Ils se mirent à courir, éclaboussaient par les vagues, il faisait si chaud, quel bonheur d'être avec son homme à cet instant, ils s'embrasserent, jouerent comme des petits fous, de vrais gamins.
Camelle vit un peu plus loin des jeunes qui jouaient avec une balle;"ça ne te rappelle pas des souvenirs mon coeur".
Puis ils regagnerent la plage apres avoir passé un long moment dans l'eau enlaces a s'embrasser.Ils s'allongerent sur le sable quand tout a coup camelle aperçut un panier que son homme avait déposé puis interrogea son coeur.
"Ric qu'as tu emmené".
Chutt me dis t'il en me mettant sa main devant ma bouche, tu vas voir .puis il s'eclipse un petit moment.[/color
Camelle le connaissait bien et savait qu'il ne manquait pas d'imaginations et elle adorait ses surprises.
au lieu de se torturer l'esprit à deviner ce que ric lui préparait, elle préfera se rendormir et attendre le son de sa voix:il finira bien par m'appeler.
Tout d'un coup, elle entendit un sifflement puis reconnut la voix de son amour et se dirigea dans ce sens.
Camelle fut eblouie, elle n'en croyait pas ses yeux.
Ric avait sacrifié sa barque pour en faire une sorte de radeau afin d'y deposer une table pour m'offrir un somptueux repas sur l'eau.
"Mon coeur, c'est magnifique, c'est sublime, vraiment tu ne me surprendras de jour en jour, je t'adore toi tu sais et je t'aime de plus en plus et t'aimerai toujours."
Camelle attrapa la main que lui tendait son amour et grimpa sur ce radeau.............

Lyric0467

Lyric arriva sur la plage alors que la journée était déjà bien avancée....

Il avait trouvé un petit mot de sa douce Camelle l'invitant à venir la rejoindre et il pensait bien la trouver au bord de cette Mer qu'ils chérissaient tant. Il ne savait pas depuis combien de temps elle epérait sa venue, mais certainement depuis le matin, il s'en voulait de l'avoir délaisser un peu.....elle méritait tant d'attentions.
D'ailleurs, espérant ne pas se tromper et la trouver à la plage, il avait prévu un panier de victuailles et quelques autres accessoires. Il avait prévu une surprise et cette soirée pouvait parfaitement convenir.

Il avait choisit de se diriger vers leur plage préférée, abritée des regard derrière de petites dunes sauvages. Il aperçu rapidement sa Belle qui se prélassait au soleil. Cette vision l'emplit de bonheur, elle était d'une telle beauté....

Elle ne l'avait pas vu apparemment, il se dirigea vers elle sans faire de bruit....elle dormait.
Il déposa un baiser sur ses lèvres afin de la réveiller.
Mon Coeur, je crois que tu m'as attendu depuis longtemps, tu vas encore avoir des coups de soleil.....
Tu es magnifique ma chérie, maintenant que je suis là, tu vas oublier mon absence et nous allons passer une soirée magique....

Il souria et après s'être quelque pe dévêtu, il entraina Camelle dans l'eau pour se rafraichir et la caliner.

Après avoir finit l'après midi à jouer, s'embrasser et se prélasser, ils étaient allongés sur le sable quand Camelle remarqua le panier.....Ses yeux interrogateurs firent réagir Ric, il avait tendance à tout oublier dans les bras de son amoureuse......

Ma chérieeeeee, quelle tête en l'air je fais......Attends moi quelques minutes, je reviens.....

Il prit le panier et se dirigea derrière une dune proche...

Depuis quelques jours, il avait demandé l'aide de quelques amis proches et ils avaient aménager la barque de Ric. Il pensa qu'il faudrait sans doute la changer après mais bon, Camelle méritait largement le sacrifice d'une barque.....

Il mit l'embarcation à l'eau puis grimpa dessus.

Ils avaient attaché des planches afin de faire une plate-forme puis fixé une table et des chaises. Il positionna sur la table de quoi manger et disposa autour quelques bougies.....Le soleil commençait à tomber, il était temps de rejoindre sa moitié.

Il rama un peu puis, appela Camelle en l'invitant à venir la rejoindre.....
Une petite faim, Dame ? Service sur l'eau ce soir....L'idée te plait ?

Il souria et attendit qu'elle vienne le rejoindre.

Severant

Une immense cave voutée. Une faible lanterne qui éclairait quelques pas autour de lui. Des rangées d’énormes tonneaux. Il se dirigeait vers l’un d’eux, se couchait afin que sa bouche soit à l’aplomb du robinet et l’ouvrait doucement pour faire couler un nectar de bibine directement dans sa gorge.
Quelques gorgées … fermer le robinet … savourer … recommencer …
Il était dans un état proche de la béatitude …
Soudain un rat sauta sur lui du haut du tonneau. La sensation désagréable des pattes griffues de l’animal le sortit de sa torpeur. Se relevant brusquement, il se cogna la tête au tonneau ….
… Au tonneau ? … cave ? … il avait ouvert les yeux, il faisait grand jour !
Il revint à la réalité, son rêve s’estompa d’un coup.

Qu’est-ce que c’est que ce machin velu ?
Articula-t-il, la bouche encore pâteuse.

Une étrange bestiole s’était tranquillement installée sur son ventre et le regardait. Ça l’avait tiré du sommeil.
Sentant une autre présence, il tourna la tête de côté et vit, assise à l’ombre près de lui, Lou qui avait le regard perdu dans ses pensées.

Lou ! Je ne t’avais pas entendue arriver. ..... Je ronflais ? ..... C’est ton animal favori ? Comment s’appelle-t-il ?

Puis il enchaina :
Mettons tes affaires dans la barque.

Joignant l’acte à la parole, il se leva, lui tendit la main pour l’aider à se relever, puis ils installèrent sa besace dans un casier encore libre.
Le nouveau remue-ménage réveilla Adrian. Lou fut assez surprise de voir cet enfant. Sev le lui présenta en expliquant que sa mère le réclamait.

Tu es prête au départ ? Alors allons-y !

Il l’aida à monter à bord, accompagnée de son animal, sans trop qu’elle se mouille le fond de la robe élégante qu’elle portait, puis poussa la barque et bondit dedans.
Prenant les rames, il l’éloigna ensuite de la plage et, arrivé à distance raisonnable, il installa la voile qu’il borda afin que le bateau profite de la bonne brise pour fendre l’onde.

L’animal se plaça sur l’étrave, le museau orienté vers l’avant. Elle s’était placée à l’arrière, près de lui qui tenait la barre d’une main ferme, habitué qu’il était à la navigation.
La barque avait pris rapidement son allure de croisière. Cheveux au vent, ils prenaient gout au plaisir de la navigation.
Ils se regardèrent … il lui sourit.

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Lou.

Prenant une nouvelle fois le chemin de la plage, Lou, le sourire aux lèvres, suivait des yeux le furet. Celui-ci ne semblait guère à l'aise et mordillait régulièrement le bas de sa houppelande, comme pour lui enjoindre de faire demi-tour.

Inutile d'essayer de me faire changer d'avis, toi...Par contre, tu peux rester si tu veux...

L'animal couina mais continua à la suivre.
Lou s'arrêta soudain, regardant des traces bizarres dans le sable. Les suivant des yeux, elle vit une barque et pouffa de rire. Secouant la tête, amusée, elle reprit sa route décidée et arriva bientôt près de Sev.
Celui-ci dormait paisiblement et elle hésita un instant. Le furet fit le tour de l'homme endormi, un peu méfiant, puis sauta délibérément sur son ventre.
Lou posa sa besace et s'assit près d'eux. Elle admira en silence la barque, lui tardant de sentir la coque fendant les flots.

Zazounette

zazou arriva a l'aube sur beziers, le soleil commencait à peine à chauffer la ville ....
en franchissant les portes de la ville le silence était absolu seul au loin se faisant entendre le murmure des vagues ......
la mer .....voila un lieu ideal !!!

elle alla remettre son cheval au soin d'un palfrenier puis parti visiter la ville qui avait l air d avoir enormement changée ....

la ville commencais a s'eveiller l'odeur du pain frais se faisait sentir et la faim la tenaillais apres cette longue chevauchée un arret en taverne était obligatoire pour faire de nouvelles connaissances et se desalterer
l'ambiance y etait agréable et la journée passa très vite .....
c'est a la nuit tombée qu elle s'appercu qu'elle ne savait ou dormir mais peu importais la plage irai tres bien .....

elle se dirigea vers la plage choisi un endroit qui lui semblait assez éloigné pui s'installa laissant ses pensées deriver au gré du bruit des flots et s'endormi sagement ......

Severant

Et voilà, c’était reparti pour un tour.
Sev s’était dirigé vers la plage, trainant tout son barda. Son fils Adrian l'accompagnait. Ses pieds s’enfonçaient dans le sable à chacun de ses pas, ses affaires, qu’il tirait tant bien que mal, laissaient une longue trainée derrière lui.
La météo était clémente, les vents favorables. Il avait donc décidé de partir par la mer avec sa nouvelle barque flambant neuve.

La journée passée avait été bien employée. Achat de l’accastillage, installation du gréement, peinture de la coque … La barque était pimpante. Il lui tardait de l’essayer, de mettre la voile, de jouer avec le vent pour la faire filer, l’étrave fendant allègrement les vagues.

Il commença donc par la mettre à l’eau. C’était pas une mince affaire, la barque pesait son poids, mais Sev avait pris pas mal de muscle lors de son précédent voyage et, avec quelques astuces, il finit par y arriver.
Il transféra ensuite toutes ses affaires, les répartit du mieux possible pour que le bateau garde son assiette et les amarra en prévoyant assez de place pour Lou et ses propres bagages.
Ensuite il installa son fils confortablement dans un recoin sur de la barque. Celui-ci s'était endormi profondément pendant qu'il transférait tout.

Une fois terminé. Il s’installa à l’ombre de sa barque et piqua une petite sieste en attentant sa passagère.
Il ne tarda pas à piquer du nez …

Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ... Rooooon ... Zzzzzz ............
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Nath31

Ils restèrent un long moment là tous les deux dans les bras l'un de l'autre..

Au bout d'un moment Nath se releva et le regarda

Allez chéri on rentre la nuit va tomber

Puis elle lui tendit la main et il se releva. Serré dans les bras l'un de l'autre ils rentrèrent dans la maison au bord de la plage.

Camelle

Apres un long voyage, Camelle etait de retour à Beziers.
Ce matin là, lui prit l'envie d'aller flâner sur la plage.
Cela faisait bien longtemps trop longtemps meme qu'elle n'y avait pas remis les pieds.
Apres avoir fini sa fournéé de pain , elle decida d'aller y faire un tour.
Elle ne dit rien à ric qui travaillait ds les champs mais lui laissa quand même un petit mot sur la table,

Cheri mon coeur, si tu me cherches tu sauras où me trouver . Camelle sourit.....

Camelle partit direction la plage.

Le sable etait chaud, Camelle s'approcha du bord de l'eau y trempa les pieds et marcha en rêvant..........

Divinius

(Divinius l'aperçu au loin, et décida de s'en rapprocher, doucement il se glissa derrière elle et passe ses bras autour d'elle lui déposant des baisers dans le cou)

(doucement il lui murmura...je t'aime )

Nath31

Nath se laissa aller dans ses bras...

hummm c'est bon que tu sois là chéri.... c'est bon d'être là tous les deux.... moi aussi je t'aime mon coeur à la folie

Nath31

Nath après une matinée bien remplie fit un détour par la plage... Elle se sentait fatiguée par son voyage et par le travail fournit ce matin et avait besoin de faire une pause.

Elle marchait depuis un moment dans le sable ses chausses dans sa main et une fois arrivée à hauteur de leur maison elle s'allongea sur le sable. L'air était frais, le ciel voilé. Elle regarda le ciel un moment essayant de deviner les formes de nuages....

Elle repensa à ces deniers jours.... son voyage.... Il lui avait tellement manqué !!!! voyager oui mais seule c'était dur... elle l'aimait plus que tout et leur séparation avait été dure à vivre... la chaleur de ses bras lui avait tellement manquée...

Elle sourit en repensant à leur retrouvailles ce matin et se dit une fois de plus qu'elle avait de la chance de l'avoir à ses cotés.

Elle resta là encore un moment à scruter le ciel.

Nath31

Nath s'était assoupie sur la plage et le soleil avait bien baissé quand elle se reveilla.

Elle frissona, se releva tranquillement .....

Cette pause lui avait fait du bien.

Elle regarda la mer une dernière fois puis se retourna et partit vers la maison rapidement... Divi devait surement êter rentré.

Divinius

(Divinius l'apercu et courra vers elle avant u'elle soit arrivée a la maison)..

attend chérie on rentre ensemble^^

(l'embrasse tendrement dans le cou, et lui murmure)...merci mon cœur

(Pis ensemble ils rentrèrent chez eux par la porte donnant sur la plage)

Nath31

Nath après sa journée de travail dans son champ passa par la plage avant de rentrer ...

Elle avait besoin de calme et de grand air.... ces derniers jours avaient été fatiguants et riches en émotion et là un besoin de se détendre serait le bienvenu.

Elle s'avança près de l'eau et après avoir enlevé ses chausses trempa ses pieds.... elle était fraiche, mais elle resta un long moment ainsi les vagues venant mourrir sur ses pieds son regard rivé sur l'horizon.

Puis lentement, elle remonta vers le sable plus sec et s'allongea. La journée n'était pas superbe mais un rayon de soleil vint lui caresser le visage. Elle repensa à Saint Aignan... son départ et son arrivée à Béziers... que de chemins parcourus... que d'histoires mais aussi que de bonheur. Elle sourit à cette idée et se mit à regarder les nuages. Humm je risque de prendre l'orage .. pensa-t-elle ... bah tant pis... pas encore envie de rentrer.

Nath31

Nath faisait une pause et passa par la plage pour rejoindre la maison.

Elle marchait bien enveloppée dans son manteau, la pluie tombant fort. Elle était perdue dans ses pensées et se tourna vers la mer ....

Son regard était rivé sur l'horizon et elle appercevait les bateaux de pécheurs.... Hummm ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas péché et ça commençait à lui manquer, l'air de la mer lui faisait du bien les embruns l'immensité. Sur il fallait qu'elle y retourne rapidement....

Elle arriva au niveau de la maison quand surprise elle vit une silouhette qu'elle reconnut immédiatement !!!

Mais que fais tu la ?pensa-t-elle

Elle s'approcha doucement et l'enlaça se collant à lui dans son dos.

Coucou mon amour contente de te voir ici . Je vois que toi aussi tu aimes voir la mer par ce temps ....... hummm c'est sublime

Puis elle le lacha et se mit près de lui et continua à scruter l'horizon.

Divinius

(sourit et se retourna pour apercevoir le visage de nath...il passa son doigts pour lui retirer la goutte d'eau qui coulait de son nez..et sourit encore plus)

On rentre nath?....il commence a faire froid même si au mois de juin..je sens que j'ai encore un petit creux en plus...pas toi?

(sourit)

Nath31

Elle pensa qu'elle avait une chance inouie de l'avoir à ses cotés

Elle tourna son visage vers lui et sourit

oui chéri on rentre j'ai pas chaud non plus..... tu as faim rhooooo mais tu as toujours faim toi .... elle éclata de rire, lui prit la main et prit la direction de la maison en se demandant ce qu'ils allaient bien pouvoir manger.

Divinius

(Divinius décida de retourner l'après midi sur la plage toujours ruisselante de pluie...Il s'arrêta capuche sur la tête, s'immobilisant au milieu de cette dernière. Laissant les gouttes couler doucement, entendant chaque fracas de ces mêmes gouttes sur ses habits. Puis il donna une grande inspiration pour prendre l'air)

Hummmm, que c'est reposant...

(se laissant bercer par le bruit des gouttes, il aperçu au loin....un château de sable en décomposition sous les gouttes et le temps...cela lui rappela quelque chose..et il se mit a rire soudainement, les douves étaient complètement dévaster, et seul le donjon central tenait encore debout...même si on aurait plus dis une colline qu'un bastion)

(il en profita pour faire tomber le dernier vestiges de cette ruine avec le bout du pieds et s'en alla a l'autre bout...avec sa longue vue..pour admirer les flots se déchainer, s'immobilisant de nouveaux, sortant sa longue vue d'un geste net, puis la plaçant sur son œil, il scruta les horizons.)

Oh oh..vu les nuages ..et l'éclairage on risque de ré avoir de la pluie demain....( il se dit tout bas...chouette)

Lou.

Non, vous savez je n'ai pas vraiment mal, c'est un genre que je me donne...

Elle avait penché la tête, un petit sourire aux lèvres en l'écoutant. Décidément, les hommes avait parfois la fierté mal placée. Elle sourit de son humour et sa pirouette pour changer de sujet l'amusa.

Vous savez, par certains aspects, je me porte pas si mal que cela, j'espère même avoir l'occasion de pouvoir m'illustrer à vos yeux.

Lorsqu'il se pencha vers elle, la serrant un peu, elle sentit son parfum et le trouva agréable. Elle ne fit rien pour s'éloigner de lui, moins prudente. Après tout, cela faisait un moment qu'elle désirait faire cette promenade avec lui. La plage était un lieu comme un autre mais le sable ne devait pas rendre la marche facile à Philibert.
Faisant glisser sa besace à ses pieds, elle s'arrêta.

Insatiable ...Je ne connais qu'un sens à ce mot, cher Philibert. Je suis...avide...curieuse...de tout. lui répondit-elle se mettant face à lui.

Elle contempla son visage, s'attardant un moment sur la cicatrice qu'il avait sous l'oeil. Glissant son index dessus, elle le regarda, interrogative.
Retirant sa main, elle murmura :

Il est des escarmouches qui laissent des traces...Celle-ci aurait pu vous couter cher.

Elle aurait aimé se rapprocher de lui mais se trouva suffisamment hardie. Il n'était pas comme les autres, ceux qu'elle délestait si facilement. De plus, sa bourse ne l'interessait pas.
Elle même se sentait différente, l'esprit presque au repos.

Divinius

(Divinius pris une longue vue et admira la mer couvert de gouttelettes de pluie, malgré cela elle était très calme.... Une grande cape le protéger lui de la pluie, et tout en entendant l'eau s'écraser sur sa capuche, il admirait les navires lutter au loin contre les flots.)

(l'air été doux...presque aucun vent...juste le sable fin qui recevait le choc des gouttes...Au loin il cru voir une sirène...mais très vite il se rendit compte de son erreur, une goutte tombée sur la visée de sa longue vue, lui avait fait prendre le flou pour un ange.....Tout en y réfléchissant il se dit que mettre ange et le flou abstrait, c'était réaliser la un euphémisme)

(Heureux de ce temps...Et oui divi adore la pluie...il sourit continuant de ziotter au loin les pécheurs rapportant leur marchandises)

Tiens ca me fait penser que j'ai un creux moi...

(il sauta de son petit monticule de sable a pieds joints, et se dirigea prestement vers sa demeure...)

Russocarine

Quand Ric partit se cacher sous la barque, Russo orienta le tir du couillard sur la "tortue". Les galets faisaint "ploc ploc" en arrivant sur la barque.

Puis quand elle fut à cours de munitions, elle envoya le régiment de crevettes de combat renforcer l'armée des soldats coquillages

Les crevettes blindées, en avant !!!!!!
On cogne la tortue, et on en fait de la soupe !!!!!!

Les crevettes se mirent en ligne et avancèrent au pas, comme il faut, en évitant les pièges de l'ennemi.
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Gally63

Xellotath n'était encore jamais venu sur la plage. Elle n'avait connu de toute sa vie que la mer froide du nord... Elle ne trouvait pas le sommeil, pourtant elle lui fallait être en forme pour la journée du lendemain. Aussi c'était-elle dit que l'air marin l'aiderait peut-être à trouver la quiétude qu'elle recherchait.

Elle marcha jusqu'à l'eau. Elle vit des gens crapahuter sur la plage, certains comme elle, d'autres s'amusant. Elle tenait ses chausses à la main. Ses pied entrèrent dans l'eau jusqu'au mollet. Comme on lui avait dit, celle-ci était tiède... Elle eut un sourire pincée. Puis elle fit demi-tour jusqu'à être à un endroit où l'eau ne l'attraperait pas.

Elle s'assit, songeuse.
Elle se surprit à parler seule à voix basse.
Et ben voilà mère... Certainement, me voyez-vous de là haut, voici mon tour de m'unir à un homme. Un homme merveilleux... J'espère lui faire honneur et ne pas trahir la confiance et l'amour qu'il a placé en moi. J'ai du mal à me souvenir de vous. Mais j'aurai aimé que vous fûtes ici pour vivre ce moment avec moi.

Elle marqua un temps de silence.
Je sais ce que vous vous dites, vous serez avec moi en mon coeur.
Elle sourit alors à cette pensée.

Elle eut une pensée pour le brave et bienheureux Jeandalf qui lui aussi de là haut devait savoir le bonheur qui était le sien. Elle songea à tout ce qu'il lui avait apporté. Quelque part au fond d'elle, elle l'aimait comme il eut été possible d'aimer un père bienfaisant et se disait que si elle était parvenue jusqu'ici, elle le lui devait bien...

Elle échappa quelques sanglots. Sa vie avait bien changé. Les Flandres étaient loin désormais. Elle était heureuse de ces changements, de ses amis qui l'entourait, de l'amour qu'elle avait trouvé ici, la déviant de la voie d'église qu'elle s'était fixé. Mais elle ne pouvait s'empêcher de pleurer de n'avoir aucun de ses êtres qu'elle avait tant aimé à ses côtés pour leur montrer qu'elle aussi à son tour avait obtenu ce bonheur que chacun cherche quelque part.
Sentant comme une présence, elle se retourna et crut apercevoir Parrain au loin. Elle se leva et poursuivit cette ombre. Elle ne s'en rendit compte qu'après coup mais cette illusion la menait loin de la plage. Sur la route, pour rentrer chez elle. Elle sut alors que son être tout entier l'attirait vers cette nouvelle vie qui se dessinait vers elle.

Et que... pour rien au monde, elle ne le regretterait.

Philippe_le_bel

C'est du bel ouvrage...vous êtes doué...et je trouve qu'elle s'accorde parfaitement avec vous. lui dit-elle, en montrant la canne des yeux.

Le Cram la regarda, et lui sourit... Il réfléchit un petit instant et lui répondit juste entre ses lèvres encore serrées :

Je vous remercie, comme vous le savez sûrement j'ai eu pas mal de temps ces derniers mois, alors je me suis mis à la sculpture.

Il avait du mal à la suivre, elle marchait certes lentement pour prendre soin de sa jambe, et cette compassion l'énervait, pourtant, il n'avait pas le choix, il devait s'y faire.

Votre jambe ne vous fait pas trop souffrir? Il faudra me dire si vous désirez vous arrêter, je suis une insatiable...

Non, vous savez je n'ai pas vraiment mal, c'est un genre que je me donne... Il prit un instant son souffle, convaincu qu'elle ne le croirait pas il reprit : Insatiable? Insatiable dans quel sens? Il sourit retrouvant pour l'occasion un peu de sa superbe, il reprit toujours aimable : Vous savez, par certains aspects, je me porte pas si mal que cela, j'espère même avoir l'occasion de pouvoir m'illustrer à vos yeux.

Le Cram' aimait jouer avec les mots, Lou était une belle femme, et il appréciait sa présence, aussi la serra-t-il un peu plus dans ces bras, se penchant sur sa chevelure, pour y déposer un baiser en souriant.
Mais il en profita surtout pour glisser une racine de valériane dans sa bouche et se mit à la mâchonner pour se soulager d'une douleur grandissante.

Lyric0467

Ric était en train de consolider le château lorsqu'il leva la tête.

Ce qu'il vit ne le rassura pas du tout....Russo et Zac s'étaient regardés à peine un instant et ils avaient l'air de vouloir passer à l'offensive.

Camelle, Mary....attenti....

Il ne put même pas finir sa phrase, une pluie de galets arriva sur eux pour mettre à mal leurs défenses.

Vite....ils attaquent

Camelle se trouvait un peu à l'écart mais Mary était juste à côté de lui. Une idée soudaine lui parut bonne.....

Camelle, ma Chérie, nous comptons sur toi....tiens les défenses. Mary, viens avec moi...j'ai une idée......et je t'interdis de dire "enfin une idée, tu vois que tu peux en avoir", pas le moment de faire de l'humour !!!!

Ric attrapa un sac plein de coquilles d'huitres venues de l'étang voisin et courru vers sa barque mais pas pour se mettre à l'abri.....
Il retourna l'embarcation et avec la complicité de Mary et avancèrent vers les positions ennemies comme certaines légions romaines avaient pû le faire quelques siècles auparavant, en utilisant la technique dite de "la tortue" afin de se mettre à l'abri des projectiles adverses.

Zaknafien

Une barque avançait lentement vers les fortifications de sa femme. Les tirs de Russo faisaient mouches sur les murailles ennemies écrasant certains coquillages et huitres. Un carnage....

Charggeeeeeez!!

Une "cavalerie" de coquillage chargea sur les flancs de la barque mouvante. Avec le soutien de sa femme, cette charge pourrait perforer cette coquille qui semble indestructible.

Poutrez moi cette tortue!!

Zaknafien

Zak fit un clin d'œil des plus discret à sa femme en lui faisant comprendre que son alliance lui allait parfaitement.

Allez les ptis gars, c'est l'heure de la baston!!

Zak fit avancer sa petite armée de coquillage jusqu'au porte du château de sa femme. L'un d'eux, le chef avec le tonneau, fut déplacé sur une petit bosse non loin de la avec quelques autres coquillages bien rond qui roulent facilement.

Les coquillages simples, encore habités par des mollusques, furent placés prêt de l'armée de crevette de sa femme.

C'est bon Russo, je crois que l'ont peut raser Béziers pour de bon!!

Il observa les armées ennemies, et sourit en voyant les 3 villageois rencontrés en taverne faire de même avec leurs coquillages. La bataille serait sanglante....

Russocarine

Une fois leurs 2 armées réunies, Russo et Zak chuchotèrent un moment en montrant du doigt les 3 biterrois. Ils examinèrent attentivement les constructions adverses, cherchant le point faible. Puis ils firent des signes entendus de la tête, pour montrer qu'ils étaient d'accord.

Russo chargea le mini-couillard avec des galets, et les catapulta sur sa cible, le chateau de Mary et de Lyrico, qui serait plus facilement amoché que le chateau blindé de Camelle.
Une partie des galets rataient la cible, mais une partie arrivait au bon endroit, et dérangeait les adversaires, ce qui était le but...

Vas y Zak , charge, je te couvre !!!!!!!!
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Lyric0467

Ric regarda Maryloug puis Camelle....

Je me demande si on ne serait pas tombé dans un traquenard.....ils ont 2 châteaux là bas et une belle armée de crevettes !!! Nous nous sommes 3 crevettes tout court....

Ric observa les mouvements des 2 étrangers.

Pour sûr Mary, ils complotent quelque manoeuvre ces deux là, il faut bien les surveiller.....

Il regarda alors Camelle dans les yeux, ces beaux yeux qui le troublaient tant, et d'une voix solennelle annonca :

Si ça tourne mal, vous vous mettez à l'abri Mary et Toi, je ferai rempart de mon corps jusqu'à mon dernier souffle.....
Il esquissa un petit sourire puis embrassa son Ange.

Je crois qu'il est temps de prendre nos positions. Après tout, les conquérants ce sont eux, ils en veulent à notre plage.......donc, attendons qu'ils bougent. Il me semble que l'on dit que la meilleure défense c'est la défense, mais vous savez, moi et les manoeuvres militaires !!!!

Maryloug

Mary regarda dame russo qui avait fait un bon rempart de sable autour d elle, zak était plus loin.Mary pensait ils font deux lieux pour nos attaquer, une stratégie?Elle entendit la dame criée (J'arrive, tu vas voir, ton armée je vais en faire de la purée!!!
Non , non , ils avaient pensés faire un combat l un contre l autre.Tout a coup mary aperçu un objet voler en direction de zak.Mmmm que cela voulait dire.Une alliance? Cela se pourrait.C est vrai que nous sommes trois quand même.Mary regarda ric

Tu as bien fait de ramener ta barque , si cela devient trop dur , on pourra se mettre a l abrit

Mary écouta camelle et lui répondit

Oui camelle , super le blindage!!!

Maryloug

mary avait ramasser tout ce qu elle pouvait coquillage et heuuu c est quoi sa?elle ne savait mais cela pouvais servir.Elle était heureuse de voir ses amis.Ils étaient très motivé

Ric , camelle c est super!!!!!

C est sur la bataille était perdu car leurs adversaire étaient vraiment plus douer que eux mais le principal c est de s amuser

Russocarine

J'arrive, tu vas voir, ton armée je vais en faire de la purée!!!

Russo tira la langue à son mari, et se mit à renforcer les défenses du chateau en creusant un 2ème fossé. Puis elle alla ramasser des crevettes qui étaient là comme par hasard, et les aligna en première ligne. Elle attrapa le chef-crevette d'une main, et le chef-coquillage de l'autre main

chef-crevette: "1er régiment de cuirassés paré chef"
chef-coquillage: "lieutenant crevette, préparez vous à charger l'ennemi"
chef-crevette: "mais c'est qui l'ennemi, chef ? ya des méchants partout, ils sont trop nombreux"

Russo regarda tout autour.. les biterrois croisés la veille en taverne faisaient aussi des armées ennemies. Il fallait vite redresser la situation.
Elle attrapa un soldat-coquillage, lui planta une plume blanche de mouette dessus, et l'envoya grace au couillard sur l'armée de Zak.

Zaaak !!! faut qu'on fasse une alliance militaire !! A nous la conquête de Béziers !!!
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Lyric0467

Ric avait suivi son amie Mary....il était temps de défendre leur ville contre les envahisseurs......

Il réunit le maximum de sable autour de Mary et l'aida à monter des tours à l'aide d'un seau.

Il creusa un fossé le plus profond possible, jusqu'à ce qu'il arrive à l'eau.

Mary, il faut prévoir une solution de repli, ils ont l'air coriace ces deux là, on est plus jeunes....mais ils sont plus forts....

Ric alla chercher sa barque au cas où une fuite stratégique serait nécessaire....[/b]

Camelle

camelle avait decider de preter mains fortes a son amie mary et a son coeur
elle se mit aussi a creuser le plus profond possible afin d'atteindre l'eau pour faire les douves du chateau.
le sable extrait servant a alimenter le seau de ric.
le sable mouillé plus maleable permettait de façonner les murailles du chateau
quand elle eut fint son ouvrage camelle se mit a ramasser des coquillafges sur la plage pour renforcer le chateau.
avec un tel blindage le chateau serait beaucoup plus resistant
alors qu'en pensez vous mes amis
sommes nous prets?

Maryloug

Mary avait vu zak en taverne et sa douce, comme convenu elle commença a construire son château.Pour défendre elle cherche des coquillages enfin se qu elle peut trouver.son château n était pas fini, elle attendait ses amis

Zaknafien

Zak s'était posé aux côtés de Russo sur la plage et admirait le paysage de son enfance. Béziers avait vu ses premiers pas, ses premières gamelles, ses premières bières, ses premiers entrainements à l'épée, ses premières blessures, ses premiers combats et au final son adorable épouse.

Zaaaaak !!!!!!! T'as vu mon chateau et mon armée ?
T'es prêt pour la bataille ?

Elle ne changerait jamais:

J'arrive, tu vas voir, ton armée je vais en faire de la purée!!!

Zak se dépêcha de faire à son tour une petite armée avec d'autres coquillages. L'un des grands coquillages fut accompagné d'un petit tonneau de sable pour le différencier des simples troupes.
Il fit à son tour son petit château de sable, en y installant principalement une petite cave pour les tonneaux: toujours utile pour les sièges.

Je suis prêt!!

Russocarine

Arrivé à Béziers le matin, Zak et Russo avaient fait un tour en ville. Vanyel qui les avait accompagné était aller visiter son domaine d'Agde. Ils s'étaient rendus à la plage, et avaient trouvé un coin tranquille, un peu à l'écart, pour leur occupation du jour.

Russo posa sa besace qui contenait le repas de midi, un morceau de flamand rose mariné prêt à réchauffer, puis elle alla ramasser des branches, en choisissant des branches droites. Elle tailla certaines de façon particulière, et les assembla d'une façon plus particulière encore avec de la ficelle qu'elle avait transporté.
Puis elle alla chercher quelques galets sur la plage, ainsi qu'une poignée de coquillages.
Ensuite, elle sortit une petite pelle de sa besace, et se mit à creuser, puis à tasser le sable.

Au bout d'un moment, elle admira son oeuvre: un chateau de sable avec une muraille, des tours, des crénaux, et un fossé avec de l'eau de mer. Russo mit un petit étendard sur le sommet du chateau, puis elle disposa son mini couillard en bois à côté du stock de galets, et plaça les coquillages bien en rang. Elle alla chercher une algue et la posa sur le chef-coquillage

Zaaaaak !!!!!!! T'as vu mon chateau et mon armée ?
T'es prêt pour la bataille ?
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Lyric0467

Ric attendait son Trésor avec impatience....lorsqu'elle s'approcha de lui pour l'embrasser, il se sentit pousser des ailes.

Il porta Camelle dans ses bras et la déposa délicatement dans la barque.

Mon Amour, aujourd'hui, nous serons coupés du monde....

Il poussa ensuite l'embarcation pour la mettre à flot et à grand coups de rames, ils s'éloignèrent du rivage. Les petites vagues les berçaient et l'écume venait fouetter les flancs du bateau.
Camelle souriait, le bonheur se lisait sur son visage. Elle laissa trainer sa main à la surface de l'eau, tout en regardant son homme qui l'éloignait de la civilisation.....

Après avoir trouvé un endroit qui leur paraissait propice, ils installèrent alors leurs lignes et se collèrent l'un à l'autre en attendant qu'un poisson accepte l'invitation pour le repas du soir....

Ils restèrent ainsi de longues minutes à profiter du calme environnant.
Ric regarda Camelle avec des yeux pétillants puis lui glissa quelques mots au creux de l'oreille.....ce qui eut pour effet de lui faire rougir un peu les joues.

Oui mon cher Messire, je crois que c'est possible ...

Ils otèrent alors leurs vêtements superflux afin de profiter des rayons du soleil sur leurs peaux.

La journée fut parfaite et ils s'apprétaient à rentrer avec leurs invités à écailles quand Camelle retint Ric par le bras.

Encore un peu mon coeur, la journée n'est pas terminée....n'oublies pas que je suis ta sirène.......

Camelle plongea nue dans l'immense étendue salée puis fit signe à Ric de la rejoindre.....
Ils profitèrent ainsi au maximum de leur journée de détente et retardèrent l'heure du retour jusqu'au soleil couchant.

Camelle

Camelle avait mis du temps pour se preparer et arriva enfin sur la plage.
Quel bel horizon s'offrait a elle, une mer d'un bleu limpide ,les rayons de soleil refletaient sur l'eau ,les mouettes passaient et repassaient en poussant de petits cris au dessus de sa tete.Que voulaient elles me dire?
Elle aperçut au loin un couple qui se promenait.Puis vis une barque.

Tiens donc il me semble bien que je la reconnais celle là

Et quelqu'un lui fit signe.
Elle reconnu desuite son amour

alla en courant à sa rencontre.
Elle se jeta ds les bras de son coeur et l'embrassa.

Ric mon coeur,tu n'aurai pas une petite idéé derriere la tete

Lou.

Lou avait observé Philibert tout en posant sa main sur son bras. Il avait maigri, ses traits s'étaient creusés. Peut être un manque de nourriture, quelques ennuis sur les routes.
Repensant aux diverses rencontres faites durant la présence de ses compagnons, elle n'en fut guère étonnée.
Elle lui sourit et se rapprocha de lui.

J'aime ce hasard là, cher Philibert, ainsi que les promenades nocturnes, souvent plus intéressantes... lui répondit-elle

Accordant son pas aux siens, elle remarqua qu'il boitait.

C'est du bel ouvrage...vous êtes doué...et je trouve qu'elle s'accorde parfaitement avec vous. lui dit-elle, en montrant la canne des yeux.

Elle ne voulait pas l'ennuyer avec des questions. Elle le sentait un peu méfiant, prudent. Elle même gardait ses sens en alerte, elle avait entendu tant de choses. Malgré cela, elle appréciait sa présence. Elle savait depuis longtemps que nul être était parfait, sans tâche. Elle en avait eu encore la certitude peu de temps auparavant.
N'étant pas du genre bavarde, elle hésita un bref instant et finit par demander :

Votre jambe ne vous fait pas trop souffrir? Il faudra me dire si vous désirez vous arrêter, je suis une insatiable...

Elle le regarda, un grand sourire aux lèvres, ravie qu'il soit là.

Lyric0467

Ric arriva sur la plage et contempla le spectacle qui s'offrait à lui ce matin là. La mer était calme et le ciel d'un bleu pur..........

Il prépara la mise à l'eau de sa barque......... Il y installa le matériel de pêche et le panier de pique-nique qu'il avait préparé pour deux avec soin et amour..........

Il s'assit alors face à la mer Méditerranée et il attendit sa Douce en rêvassant, tout en faisant couler le sable fin entre ses doigts...........

Philippe_le_bel

Il avait longtemps hésité à répondre à cette invitation pour le moins impromptue, mais une forte envie de savoir de quoi il en retournait avait semble-t-il prit le pas sur sa méfiance.
De plus Lou était une belle femme, et Philibert ne savait pas résisté à ce genre d'appel. Ainsi s'était-il lavé de près, rasé, parfumé, et était-il descendu vers la plage.
Sa canne désormais finie arborait un crâne sculpté, non de façon morbide, mais presque au contraire de façon médicale. Il déambulait apparemment sans but, pourtant ses pas l'avaient mené sur la plage, il resserra un peu le cordon de sa cape sous l'assaut du vent que se levait, et chercha Lou des yeux.
Après l'avoir trouvé, il l'observa en silence, elle était jolie comme dans ses souvenirs, mais elle semblait avoir vécu des événements qui l'avait fatiguée. Elle n'en était que plus belle à ses yeux.
Aussi se rapprocha-t-il, mais rapprochant imperceptiblement sa main gauche de la poignée ouvragée de son poignard, il valait mieux être prudent non?
Il parvint juste devant Lou, lui prit la main dans la sienne, et déposa délicatement un baiser sur ses doigts frais.

Ma dame, je suis ravi de vous revoir ici, le hasard vient bien les chose de nous réunir ici enfin...
Puis-je me permettre de vous proposer mon bras pour une promenade nocturne?

Ce disant il tendit le bras afin d'accueillir celui de la femme dans le creux du sien.

Seloutte

Etant dans ses pensées, Seloute se rappela soudain qu'elle était partie bien vite de chez son amie devant voir Redim avant son départ.. Elle se leva d'un bond, enfila ses bas, remis ses bottes et partit en courant vers la maison de Hispahan.

Mince !!! mince !!! j'ai encore oublié Xav.... déjà l'autre jour je ne l'ai pas vu.... rhooooooooo vite !!! vite !!! avant que Hispahan ne parte de chez elle.

Seloutte

Toute à la joie d'avoir retrouver ses amis de voyage en taverne et vu Hispahan et ses adorables filles, Seloute alla se promener un peu sur la plage en sortant de chez son amie.

Enlevant ses bottes et ses bas, les tenant d'une main, elle alla tremper les pieds dans l'eau fraiche. Voyant deux hommes en grande discussion, et une dame plus loin elle ne voulu pas les déranger. S'asseyant sur le sable elle déposa ses bottes et ses bas à côté d'elle, prit ses jambes entre ses bras et regarda la mer, puis tout en souriant elle ferma les yeux et se mit à rêver.

Lou.

Elle s'est décidée pour une promenade sur la plage. Elle voit deux personnes qui semblent discuter sérieusement et, ne voulant pas les importuner, se dirige de l'autre côté.
Ses pieds s'enfoncent légèrement dans le sable qui les recouvre parfois. Elle aime ce contact doux.
viendra t-il? Elle n'en est pas sure du tout mais apprécie tout de même cette escapade loin de tout.
Elle s'asseoit et regarde les vagues faire l'incessant aller et retour. Le bruit la berce.

Alcuin

Alcuin pris et gouta , le liquide coula en lui , procurant une douce chaleur, !!hum fameux Bb merci ! et merci aussi pour tes paroles, oui, ce coup m'a fait tres mal et me fait encore souffrir, une paleur s'empara d'Alcuin, son coeur se serra ,deux larmes brulantes s'echappèrent de ses yeux pour aller s'immerger dans le sable où elle disparurent aussitot.
Il passa sa langue sur ses levres ou les larmes en passant avaient laissés un peu de sel.Il repris un coup à boire. Se pouvait il qu'il oublie camelle ?
10 fois deja il l'avait chassé de ses pensées, mais incidieusement elle revenait, et c'etait comme un nouveau coup de poignard à chaque fois.
Par moment la colère revenait tel un coup de vent, pour le laisser desemparé aussitot après. Pourquoi la connaissance doit elle passer par la souffrance se demanda t'il ? Pensées de haine, pensées d'amour, maelstrom de sentiments mélés à rendre félé. Tu parles juste Bb, mais tu vois, les sentiments dominent les pensées, en tout cas souvent, et là je suis comme un ecorché a qui tu tendrais des vetements, mais je ne peux trop douloureux, la peau doit d'abord se reformer avant de pouvoir les enfiler.
Il contempla la ligne d'horizon un court instant, puis se tourna vers Bb.

Bbred

BB regarda Alcuin s'assoir...
Puis il fit de même, fixant la plage, les cheveux balayé par un courant d'air nocturne, il se tue quelques secondes pour laisser vibrer le vent et le song des vagues qui se brisent.
Les journées du printemps était assez chaudes ... Les nuits un peu moins.

Bb répliqua ensuite :

Mmh les détails tu sais ... L'essentiel est là... Vous étiez un des plus vieux couple de Béziers, j'ai été fort surpris. Aprés il peut y avoir 1000 explications. Les femmes évoluent étrangement... maintenant elles portent les braies et sont libre comme l'air !
Tu sais, peut-être qu'Aristote l'a décidé ainsi après tout.
Tu étais peut être voué a souffrir pour pouvoir vivre et connaître quelque chose de plus fort ! Et à ce moment là tu seras sur de pouvoir en profiter et en jouir comme si chaque jour était le dernier.

Ca doit faire mal de la voir se jeter dans les bras d'un autre. Mais aurait tu pu vivre avec une femme aussi frivolle toute ta vie sans en pâtir ?
Elle a fait son choix, elle est partie avec un autre, soit !
Aprés tout elle savait ce qu'elle perdait et pas forcément ce qu'elle gagnait !
tu sais qui tu es, et ce que tu vaux, releve toi, le meilleur n'est pas derrière mais devant !
C'est cassé, ça n'as pas marché tant pis, chaque chute nous rend plus fort !

J'ai vécu l'enfer quand Kataban est partie...
Elle m'a lachement abandonné une fois ... puis 2 ! Elle a eut une aventure avec un autre, même courte, tendis que moi je l'attendais, repoussant toute les prétendante notaement Shigella.

Petit fou rire

Ensuite nouvelle mésaventure et souffrance... Avec une fille de Baron ... Au final j'ai échappé au pire vu qu'elle s'averais impitoyable.

Puis tu vois, j'ai revu Alandrisse, une amie avec qui je me chamaillais et dont j'etais à 1000 lieux de deviner que naitrait le grand amour, voir le véritable amour tout court. bientôt elle sera ma femme... une grande joie a effacé une grande douleur !

Même si c'est un peu cruel, Il y a peu Kataban était revenue pour me reprendre ... cette fois ci elle fut la seule a souffrir, même si j'ai été ennuyé pour elle... Ca m'a fait un peu de peine, mais mon destin est vers Alandrisse, le passé est derrière.

je te souhaite de tout coeur de pouvoir trouver un nouveau futur ...

Sortant une petite bouteille de vin parfumé

Ca viens du château, c'est du vin à la mur, c'est assez fruité mais pas mauvais du tout, goutte.

Lui tendant la bouteille
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Alcuin

Alcuin achevait de se secher au soleil, il etait temps d'y aller, Mary ne s'etait pas montré, tant pis pour la partie de cercle volant, ce serait pour une autre fois. Soudain quelqu'un apparut de derriere une dune. Ca alors Bb !! ça faisait une eternité qu'il ne l'avait vu, il gravitait dans les "hautes sphères" lui avait on dit !
Salut Bb,tu me trouve donc la mine peu rejouit ! c'est normal, j'ai été laché par camelle il y a tres peu de temps,et mon coeur est encore douloureux,mais voila, la page est tourné ,pas tres envie d'en parler en moins que tu tiennes vraiment à avoir des details ?
Alcuin se rassit et attendit que Bb en fasse de meme.

Bbred

Censuré : pas de HRP dans les RP - {LeFaucheur}

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Philippe_le_bel

Censuré pour la même raison - {LeFaucheur}

Maryloug

Mary avait bu beaucoup de verre d eau en taverne pour la réveiller mais rien ni fit.Elle avait passée une agréable soirée avec ses amis, ou la bière avait couler a flot.Elle était heureuse d avoir revu son amie valerye.Elle sourit en y repensant.Elle se dirigea vers la plage , rien de tel qu un bon bain pour se remettre en forme.Elle enleva ses chausses , sentir le sable chaud sous ses pieds quel douce sensation.Elle se mie a courir vers l eau, en jetant au passage ses habits sur le sable.Elle plongea dans cette eau qui n était ni chaud , ni froide.Elle se sentait revivre , sentir les vagues sur tout son être, lui fesait un bien qui ne pouvais s expliquer.Ses pensées la submergèrent , un large sourire dessinait son visage, elle était heureuse ses amis (parrain et xello) revenaient aujourd hui de voyage.
Elle sorti de l eau , prit au passage ses habits et se dirigea vers une dune pour remettre sa tenue.

(J ai changer le mot bbred

)

Bbred

BBred n'allait pas souvent à la plage, pourtant une fois sa journée terminée, il récupéra alors les quelques plan de Pézénas avant de s'assoir sur la plage et de respirer le bon air marin.

Il se mit à rêver quelques instants quand il aperçut Alcuin.
Il est vrai que cela faisait un moment qu'il ne l'avait point aperçu ...
Il s'approcha remarquant l'air dépité de celui-ci puis lui adressa :

Bonser !
Comment vas-tu ?
Tu as l'air bien triste, que se passe t'il ?
La plage est assez déserte si tu veux parler vas-y, personne pour venir m'espionner.

Bb souriait humblement, parler avec la roture allait se compliquer mais c'est un plaisir auquel il ne voulait renoncer. Même si le baron d'Exat avait du envoyer des espions pour le surveiller et obeserver quelconque manquement à ses devoirs de noblesse. L'obscurité et le calme était maintenant un allié très utile pour avoir la paix et la tranquilité.
_________________

Lyric0467

Le visage de Ric s'illumina lorsqu'il vit Camelle .........la peau couverte de sable humide. Elle était tellement heureuse, c'était évident.

Comment avaient-ils pu attendre si longtemps ? Leurs destins semblaient liés depuis toujours et tout les poussait l'un vers l'autre.

Le regard de Ric se perdit alors dans celui de Camelle et il ressentit enfin ce que pouvait être le bonheur, le bonheur tout simple d'un amour partagé...

Mon coeur, tu es si belle. Je vais veiller sur toi et te rendre heureuse comme tu ne l'as jamais imaginé dans tes rêves les plus fous.
J'en fais serment sur cette plage qui sera à tout jamais la notre.

Ric se pencha vers Camelle et déposa un long baiser sur ses lèvres.
Allongés côte à côte, ils admirèrent les étoiles une partie de la nuit en échangeant leurs rêves.

Alcuin

Alcuin avait passé une nuit agité, se faire lacher ainsi ,mettrait quelques temps à cicatriser. Il chassa camelle de ses pensées, la page etait tourné, point final. Apres s'etre lavé et substenter, il se dit que commencer la journée par un petit moment sur la plage lui ferait du bien. Il s'appretait a sortir, quand il repensa à ce qu'il avait dit à Mary, il attrapa au vol son rond de bois et se retrouva dans la rue. Prenant la direction de la plage, il se dit que si Mary n'etait pas là, il se contenterait d'un bon bain .
Tout au long du chemin, la brise lui apporta l'odeur du sel marin mélé à la senteur de la végétation qui s'offrait au soleil. Hélios et Eole collaboraient à l'epanouissement de la vie. Ces pensées firent jaillir une émotion soudaine, quelle puissance infini le créateur possedait ! quelle merveille que la Création ! la nature, avec sa végétation innombrable en diversité, les rochers et la terre que le pied pouvait fouler, les pierres précieuses croissant dans la nuit souterraine, les animaux et l'homme sommet de cette chaine, mais qui sans elle ne pourrait vivre, et vers laquelle il devait se pencher humblement et la remercier. Le ciel étoilé et la multitude infini des etoiles ! oui grande etait la Création.
Il arriva sur la plage, celle ci etait déserte, il s'approcha de l'acqueuse etendue miroitante . Il posa son cercle et se déshabilla,il plongea :oups pas encore tres chaude l'eau ! après quelques dizaines de metres dans l'eau, il revint sur le rivage et s'allongeant s'offrit aux rayons du soleil en fermant les yeux.

Camelle

Camelle eut fini son travail à la boulangerie plus tot que prévu..

Elle se débarassa de la farine qui la recouvrait et partit faire un tour à la plage où elle pensait retrouver ric...
En effet en arrivant, elle le vit au loin qui marchait au bord de l'eau, elle courut vers lui, l'appela, et, quand il se retourna , il la vit également et se mit à courir vers elle.

Ils sautérent dans les bras lun de l'autre et se couvrirent de baisers..puis roulérent sur le sable, ils étaient si bien ensemble...

Maryloug

Mary sourit

en imaginant la scène de se jeu, jeter ce cercle devait surement etre facile mais le rattraper devait être autre chose

Oui bien sur al ,je te fait signe, cela va être très amusant, on va redevenir de vrai enfant hihihi

Elle vit al se lever, elle le regarda et fit de même

Je rentre aussi, il commence a se faire tard et de ne pas faire la route seul me ravie

Elle lui sourit et ensemble ils reprennent la route vers le village

Lyric0467

Après ces derniers jours agités, Ric avait décidé de venir se ressourcer encore une fois au bord de l'eau, ça lui avait particulièrement réussit à Montpellier et après tout, cette eau était la même que là bas.....

Il marchait seul doucement pour profiter des embruns et de la douceur de la soirée, il aurait voulu qu'ils soient deux en cet instant mais Camelle avait du travail et il pensait que c'était bien aussi pour elle de se retrouver un peu dans le calme le plus total......il irait donc la chercher un plus tard et ils reviendraient tranquillement finir la soirée ici.

Il sourit en repensant aux derniers jours et à tout ce bonheur qui les attendait....

Alcuin

Alcuin etait content d'etre en compagnie d'une chic fille.IL devisa un moment puis dit à Mary: tu sais j'ai trouvé un truc amusant, c'est de se lancer un rond constitué d'un cercle fin de bois avec du tissu autour, ça plane et c'est rigolo, si tu veux la prochaine fois que tu viens a la plage fait moi signe, je l'emmenerai tu verras c'est sympa, et puis si tu n'aimes pas on fera des chateaux de sable comme les enfants et les plus grands aussi !lol
Alcuin se leva, et demanda à Mary si elle restait sinon, il lui tiendrait compagnie sur la route du retour.

Maryloug

Mary était elle aussi heureuse de le voir, elle aurait préférer dans d autre circonstance.Elle écouta son ami et fut très triste pour lui.Elle pensait que parfois l amour est éphémère , il disparait comme il est apparu

Je suis sincèrement désolé pour toi! Et tu ne m ennuie pas du tout, rhoooo
Je vais bien merci.Je profite de se beau soleil et de ce lieu si apaisant, ma vie est bien rempli avec mes champs et mon échoppe , s évader parfois fait du bien

Maryloug

Maryloug entendit du bruit se qui la réveilla.Elle regarda autour d elle et aperçu une silhouette venir dans sa direction.Dans un élan très vif , elle attrapa ses habits et les enfila .
Elle aperçu son ami alcuin.Son visage était si triste, elle se demandait se qui se passait

bonjour alcuin

Elle le bisouta, elle ne voulut lui poser de question pour ne pas le gêner s,il n avait peut etre pas envie de se confier, s il avait besoin de parler , elle l écouterait et essayerais de l aider de son mieux si elle le peut.

Alcuin

Alcuin se rapprocha et finit par reconnaitre Mary, ça faisait un moment qu'il ne l'avait vu,il etait content de trouver une connaissance.
Alcuin embrassa Mary sur la joue et se laissa glisser sur le sable pres d'elle.
Content de te voir Mary, ça faisait un moment, la dernière fois , j'etais plus en forme. Alcuin lui raconta la triste aventure qu'il venait de connaitre, camelle qui l'avait largué pour voguer avec ric vers d'autres , ...les mots lui manquait, il lui confia son amertume tout en se faisant lecher le bout des pieds par l'ecume, ecume dont le soit disant amour de Camelle avait en fait la consistance,tel le ressac elle s'etait echoué dans ses bras et en etais reparti sans marquer le moindre signe de regret !
Tu vois Mary j'ai été naif je pense, ça m'apprendra !
On m'a utilisé,j'etais un trompe l'ennui ! et quand, je n'ai pu répondre plus outre à la demande , on m'a troqué pour un autre ! Hyper décevant !
Ses yeux recommencèrent à le piquer, alors il essaya de changer de conversation.
Mais je vais pas t'ennuyer plus outre avec mes deboires sentimentaux, comment vas tu, quel est ta vie en ce moment ?

Arthemys89

Arthemys était dans un piteux état, elle avait bu plus que de raison. Elle était venue sur la plage pour s'aérer la tête pour reprendre ses esprits. Tout était bancal, elle ne marchait pas très droit. Elle aperçut des personnes sur la plage, elle se dirigea à l'opposé d'elles.
Plus loin, elle s'approcha de l'eau, laissa la mer lui lécher les pieds, elle se laissa tomber assise au sol. Dieu que la terre était basse...
Elle regarda l'horizon, elle se dit que décidément la vie n'était pas clémente avec elle...
La mer vint lui mouiller les fesses, Arthemys se dit qu'elle devait de relever, mais elle ne s'en sentait pas la force. Elle resta donc encore un peu sur la plage. Dire que c'était elle qui l'avait fait venir ici et que c'était la première fois qu'elle venait la voir depuis son arrivée à Béziers et que ce serait peut être la dernière fois qu'elle la verrait. Arthemys eut tout à coup le coeur serré, elle laissa libre cours à ses larmes.

Alcuin

Alcuin atteignit la plage, il ne vit personne, il se dirigea machinalement vers la cabane qu'ils avaient construite avec Camelle, elle lui parut triste et sans plus de signification dorenavant, il regarda les piquets a moitié effondrés, il eut envie d'y mettre le feu mais se raisonna, c'etait stupide,elle pouvait servir a d'autres.
Il rebroussa chemin vers le bord de mer.Ils'arreta quand l'eau vint lui lecher les pieds, l'ecume blanche semblait lui dire: regarde vers le large, ne t'attarde pas sur des souffrances qui n'en valent pas la peine.
Son regard porta sur la ligne d'horizon qui formait une barre plus sombre, ses yeux le piquait, des larmes se mirent a couler, il les laissa s'ecouler dans l'eau de mer, sel pour sel. Une petite brise lui caressa la joue comme pour le consoler, le soleil se refletait en milliers de points brillant sur l'etendue marine.Il inspira profondement, s'accroupit et se mit à ecrire sur le sable. Un mouvement sur sa droite au loin sur la plage le remit debout, il avait cru apercevoir une naiade se secher au soleil. Apres un dernier regard vers la mer bleu et or et il se dirigea vers la personne allongé au loin.
Une vaguellette termina d'effacer ce qu'il avait inscrit dans le sable, un C suivit d'un a et peut etre d'un m se matérialisa une derniere fois avant de disparaitre.

Maryloug

Maryloug avait décidé d aller faire un tour a la plage , profiter de cette belle journée, un moment de détente et de douceur.Elle regarda ce magnifique paysage , ou le calme régnait .Elle enleva ses chausses et marchait doucement pour trouver un endroit reculer , ou personne ne pouvait la voir.Enfin ses pas l avait amener dans un endroit ou les feuilles des arbres tombaient en forme de cascades et les oiseaux avaient prit refuge pour offrir leur plus beau chant.
Elle était émerveillé par ce lieu .
Elle ne put s empêcher de regarder si personne n était dans les parages et doucement enleva ses habits.
Sentir cette douce brise sur son corps fut une douce sensation.
Elle couru vers l eau et plongea, elle n étais pas très bonne nageuse , donc elle ne pouvais s éloigner et rester près de la cote était bien sur la meilleur solution.
Quelques instant après , me revoici sur le sable.Elle m allongeais et fermais les yeux.Elle était apaiser , son corps semblait être si léger.
Doucement ses yeux se fermèrent , bercer par ce lieux magique, la voici plonger dans un rêve des plus magnifique

Pasoa

Pasoa arriva à la plage en fin de matinée. Elle mena son cheval au pas jusqu'à la limite des vagues et se laissa glisser le long du flanc tiède.
Longtemps elle regarda l'horizon en pensant à sa fille Aly qui était venue ici il y a quelques mois.
C'était le temps du bonheur... Mailvador l'accompagnait... Les courriers étaient joyeux...
Et puis un jour un pigeon bien souffreteux :

"Maman,
Mail est mort! J'ai envie de mourir aussi!"

Paso secoua la tête des larmes dans les yeux.
Elle savait que Aly avait survécu, qu'elle s'était installée à Sarlat sous la protection de Dame Miquette et du Seigneur Mundi.... mais elle continuait de maudire la politique qui déchirait les êtres qu'elle aimait...

Elle jeta un œil sur sa soutane de bure roulée derrière sa selle mais garda la paume sur la poignée de son épée.
Entre Dieu et la vengeance, son choix n'était pas défini...

Seloutte

Seloute comme à son habitude quand elle revenait sur Béziers passa à la plage....... cette plage....... que de souvenirs....... Elle retira ses bottes et ses bas, entra dans l'eau fouler cette eau....... elle ferma les yeux, tout lui revenait en mémoire....... que de joie... de bonheur..... mais cela n'appartenait qu'à elle et lui.... personne ne savait leur secret.... mais tant de choses s'étaient passés depuis.... que de dégâts.....

Elle revint sur le sable, prit ses genoux dans les bras et regarda au loin, refit l'inventaire de sa vie...

Pfffff... que de bêtises j'ai pu faire....... en croyant que...... pffffffff...... enfin je tourne la page sur ces amourettes sans lendemain....... que j'ai pu être bête.......... enfin deux ont vraiment compté pour moi... mais cela est du passé et nous sommes restés de très bons amis cela est le principal.

Elle s'allongea sur le sable, regardant le soleil et ne pensa plus qu'à son amour, le seul, l'unique et le dernier pour elle. Ils s'étaient trouvés tous les deux, ils étaient pareils, ils s'aimaient c'est tout ce qui comptait pour eux.

Seloute se releva, remit ses bottes et ses bas tout en souriant en pensant à lui, tout le reste, les gens, ce que l'on pouvait dire sur elle n'avait aucune importance ni pour elle ni pour lui.

Elle regarda une dernière fois la mer... et repartit sur les routes, sa mission ici était terminée.

Lyric0467

Après une dure journée passé à la mine, Ric était épuisé.

Il pensa qu'un petit tour sur la plage lui ferait le plus grand bien. Il marchait en profitant du calme et des embruns marins. Le bruit des vagues l'avait toujours détendu et relaxé.

Soudain, il distingua une silhouette de sirène, familière, au loin. Ses yeux ne pouvaient le tromper mais il se disait que son esprit le pouvait....un mirage.....ce devait être un mirage......une ombre du passé....

Il repartit vers les tavernes pour se changer les idées, assez de calme pour ce soir.

Seloutte

Seloute était bien......... il fallait qu'elle reprenne un peu de force elle repartait le soir même avec son amour.

Elle se leva et aperçut au loin une silhouette familière. Elle eut voulu crier après lui........ oui c'était Ric........ il lui en voulait encore, elle aurait voulu lui parler, lui expliquer........ à quoi bon.

Elle se releva d'un bond et se dirigea vers les tavernes........... peut être pourraient-ils avoir une conversation..... bon laissons faire le temps un jour redeviendraient ils amis........ qui sait.

Toute dans ses pensées elle entra dans une taverne et y retrouva ses amis.

Seloutte

Seloute avait très envie de revoir cette plage qui lui rappelait tant de souvenirs........... elle s'avança sur le sable et aperçu Divin et Nath au loin... ne voulant pas les déranger elle disparu derrière une dune et en ressorti un peu plus loin.

Elle enleva ses bottes et marcha le long de l'eau se laissant carresser les pieds par cette mer qu'elle avait tant adorée.

Elle reconnu l'endroit qui l'avait fait tant rêver, il y a longtemps....... l'abrit côtier............ que de souvenirs......... mais maintenant il y avait quelqu'un d'encore plus important à ses yeux et dans son coeur.... elle se laissa tomber sur le sable les bras derrière la tête, ferma les yeux et ne pensa qu'à son bonheur présent.

Divinius

(deballe le panier repas et lui sourit tendrement)

vas y regale toi^^...........ogresse va!!!

(rit)

Nath31

Nath sentit une présence derrière elle, roula sur le ventre et le vit debout en train de la regarder... elle sourit et lui tendit une main

chéri viens avec moi là viens me rejoindre puis elle se remit sur le dos et regarda le ciel bleu ....

Divinius

(divi s'avanca, et s'assit a cote d'elle continuant de la regarder. Le merveilleux soleil, se refletait sur l'eau qui bodrait ses pieds..le sable etait enfin chaud, enfin souple...

Nath31

Nath le regarda s'installer près d'elle puis s'assit près de lui se serrant dans ses bras...
ils avaient fait un long chemin ensemble et affronté pas mal d'obsacles et elle savait que le meilleur était là ........
elle l'embrassa tendrement se serrant fort contre lui ....

j'ai faim moi........... le grand air creuse elle pris le panier posé près d'elle et déballa les vituailles : pain, fromage, viande, fruits et vins au menu.......
elle pris une tranche de pain avec du fromage et l'avala rapidement en souriant.

Nath31

Nath aperçut Mounira un peu plus loin et lui fit un signe de la main... puis elle s'allongea sur le sable se laissant bercer par le bruit des vagues qui venaient s'échouer à ses pieds elle ferma les yeux et se mit à rêver .....

Divinius

(divinius se mit quelques metres derriere ele et la regarde rever n'osant pas la deranger d'avantages...

il se dit ) qu'elle est belle....

pnj

Gaetan arriva enfin a Béziers après quelque mois de voyage. Il était heureux d'être de retour chez lui. IL arriva sur la plage épuisé mais heureux de revoir cette plage qu'il aimait tant et sa chérie. Il espérait qu'elle ne l'avait pas oublié durant tout se temps. Il s'assit sur la plage et regarda l'océan. Cela lui manquait tellement.

Mounira

Mounira venait d'arriver à Bézier. Elle s'était renseignée auprès des villageois et avait découvert avec joie qu'une plage était non loin. Elle prit Candice avec elle et partit marcher dans ce lieu magique ou elle avait grandit, mais ce n'était pas du même côté...

Elle s'allongea donc sur le sable chaud, atendant la fin de la journée...

Nath31

Nath arriva sur la plage en compagnie de Divi, heureuse de passer une journée au grand air et au soleil
Elle posa son panier le prit par la main et s'avança lentement vers la mer calme.
Elle fit voler ses bottes et l'eau vint lécher doucement ses orteils......
Une sensation de bonheur et de bien être l'envahit soudain..... jamais elle n'avait été aussi calme aussi sereine .
Elle regarda son amour et s'assit au bord de l'eau....
quel bonheur chéri d'être là..... je ne regrette rien tu sais....
Elle ne quittait pas l'horizon des yeux et se sentit bien petite face à une telle immensité......

Oryax

Oryax se rendit sur la plage afin de découvrir un lieu qui lui était aussi étranger qu'elle pouvait l'être en cette ville. Envie de profiter du sable qui glisse entre ses doigts, envie d'écouter le bruit des vaguelettes caressant la rive, envie de profiter de l'étendue de cette eau si calme. La jeune femme n'avait connu jusqu'à là que l'océan, sauvage voir déchainé, se jetant sur des rochers acérés par ces assauts répétitifs. Ici tout était différent. Même les gens ne cessaient de piailler à tout va, sans aucun respect pour leur entourage et encore moins un regard pour ces merveilles dont la nature leur avait fait don. Le dépit mena la belle à penser ceci : Mais pourquoi ces personnes se sentent elles obligées de parler sans cesse ? Pour se sentir exister peut être ? Pour remplir le vide qu'est votre vie de vains mots, de ragots et de rumeurs ?

Oryax aurait également voulu leur dire : Mais regardez donc autour de vous et profitez pleinement de ce que vous avez au lieu de palabrer inutilement. Mais elle s'abstint. Elle n'était qu'une étrangère en terre inconnue, elle n'était rien de plus que l'un de ces grains de sable que l'on foule sans le voir. Un soupire pour expier cette pointe de sagesse, un dernier regard à cette mer qui au final semblait transmettre sa platitude à ses riverains. Dommage, elle cherchera un autre endroit en bordure de Méditerranée, plus serein pour laisser divaguer ses pensées et loin de la basse populace tenant des discours dignes de l'heure de la première fournée du matin dans une boulangerie.

Ce sentiment de lassitude prédominant depuis quelques jours était imputable à l'impolitesse et à l'accueil glacial des biterrois. Cocon d'autosuffisance d'une jeunesse sans cervelle ou était ce elle qui devenait de plus en plus intransigeante avec la bétise humaine ?

pnj

Here commenca a frissoner de partout
Oui, je commence a avoir froid, mais j'ai pas d'endroit ou i aller...
Ya des auberge par la?

Amaury_de_k

Amaury se releva et prit Here dans ses bras, enveloppant autant que possible ses épaules.

Rentrons , alors !

Il y a bien quelque hotels, mais bon...

Je crois qu'il y a une belle flambée de bois sec dans ma cheminée. Je te propose de m'accompagner. Et je te passerais des vetements secs, et on trouvera bien une petite place pour que tu dormes...

L'invitation était audacieuse et Amaury ne douta pas une seconde que Here la prenne pour ce qu'elle était.

Il attendit avec un mélange de confiance et d'appréhension la réponse de la belle voyageuse.

pnj

Here regarda Amaury avec tendresse

C'est tres gentil à toi de my invitais, sa me ferai un très grand plaisir.

Here etait très enchantée par la demande d'Amaury et l'accepta. Main dans la main, ils marchèrent vers la demeure d'Amaury.

pnj

Here sentit les lèvres d'Amaury se posés sur les siennes, elle sentit son coeur battre très fort.

Elle repondit à son baiser.

Amaury je suis si heureuse, d'etre aupres de toi....
C'est la premiere fois que je ressente un telle sentiment
Je suis tombée amoureuse de toi, dès que nos regards se son croisé...

Amaury_de_k

Tu fais battre mon coeur. Je le croyait mort, insensible à tout.

C'est un miracle et tu es une magicienne. Je t'aime alors que je croyais plus pouvoir aimer

Amaury sentit un lèger frisson passer entre les épaules de Here, sans pouvoir déterminer si c'etait le froid ou non qui faissiat frissonner la belle voyageuse.

Tu dois avoir froid, ainsi mouillée, non?

Camelle

camelle etait dans tous ses etats
elle venait d'apprendre dans l'apres midi une tres mauvaise nouvelle.
elle n'arretait pas de pleurer ce qui lui avait donner fort mal a la tete.
aussi elle decida de s'en aller prendre l'air , le large.
Elle partit direction la plage..
cela lui rappelait de si bons souvenirs mais hélas de courte durée.
elle decida de s'en aller et de marcher sans but sur cette plage immense..
Prendre l'air le large............

Amaury_de_k

Amaury se retrouva tout contre Here sans l'avoir vraiement recherché. Mais la situation était loin de lui déplaire. Il repoussa le doute qui effleurait son esprit amnésique...oui quelqu'un m'attend peut etre quelque part... mais aujourd'hui je n'ai pas de passé et cette belle fille fait surement partie de non avenir.

Il posa doucement ses levres sur celles d'Here

--Mouton_toutmeugnon

petit mouton il est tout mignon et il en a mare de sa blonde parceque elle sait pas faire les bébé alors petit mouton il dit

_c'est bon y'en a mare de par dessus la tete tu fais pas bien les bébé lateneignetgueusesalvina ! je vais retrouver ma poupée

je m'en vais à la mer et je regarde mon amourese elle est trop belle
y'a aussi des gens ils font des trucs dessus le sable je passe près de eu pour leur faire pipi dessus parceque j'é envie

mais je men vais et va passer mes bras tout autour de mon amourese

je t'm est ce que tu veux m'épouser !

elle dit oui je suis content on va pouvoir enfin faire deux bb

Amaury_de_k

Amaury s'allongea pres d'Here. Il se laissa submerger par la vision d'un ciel étoilé, le clapotit des vagues et la simple perfection de l'instant.

Un mouton, l'air un peu bizard passait plus loin. L'idée vint a Amaury qu'il pourrait bien améliorer son quotidien fait essentiellement de poissons.Il chassa provisoirement l'idée de son esprit.

Il prit doucement la main d'Here dans la sienne.

pnj

Here sentit la main d'Amaury contre la sienne, se retourna vers Amaury et lui sourit.C''est la première fois qu'une personne lui tiens la main.

Nous avons la une belle nuit étoilé n'est ce pas ?

Elle se leva soudain et l'entraina dans le sable mouillé, laissant l'eau froid leurs passé sous le pieds.

As tu eu le temps de prendre un bain se soir?
Sinon en voilà un bien froid... je pourrais te rechauffer plus tard si tu en as besoin

tout en eclatant de rire,Here prit l'eau dans ses petites mains et commença à mouillerAmaury .
Celà l'amusait bien, voyant Amaury prendre l'eau dans ses mains,Here essaya de s'éloigner mais trop tard,elle était à moitié trempée.

Ehhh tu vas me le payer toi, gaffe à toi si je t'attrape

Elle courut après lui puis le fit tomber dans le sable.Emportée dans la chute avec Amaury, Here retrouva son corps contre celui d'Amaury.

pnj

Oh oui tu a raison, c'est le plus beau endroit du monde.
Here comtempla la beauté de l'océan et s'allonga sur le sable, puis regarda les étoiles s'intillaient dans le ciel.

C'est magnifique!!!!

Une petite larmes coulaient sur ses joues

pnj

Quelques temps plus tard, Princesse_tout_en_rose avait eut envie d'une balade sur sa magnifique plage préférée! Elle était si belle cette merveilleuse plage et elle, Princesse_tout_en_rose avait vécue tellement d'horreur depuis ce bal...

Ses merveilleux quintuplés étaient mort-nés après que son valeureux mouton l'est planté là pour une vilaine et plantureuse blonde. Oui, Princesse_tout_en_rose était tellement heureuse de se retrouver sur cette merveilleuse plage parfaite, avec ce parfait couché de soleil.

Rapidement, elle retira ses chausses et ses bas, retroussa le bas de sa jupe et alla trainer les orteils parmi les glaçons qui flottaient encore parmi les vagues. Involontairement, elle récita quelques parfait vers;

Ho beau mouton moutonnu,
Pourquoi ne m'es-tu jamais revenu?
Monts et merveilles m'avais-tu promis,
Plus jamais nous ne serons unis...

Amaury_de_k

Amaury était charmé par l'enthousiasme de la jeune voyageuse, tout en restant un peu étonné que l'on puisse s'émerveiller à ce point de choses aussi simples. Il sentait qu'il aurait peu etre du dire quelque chose de romantique mais il se contenta de commenter

Oui, c'est pour moi le plus bel endroit du monde...un endroit a part entre le reve et la réalité. Il y a de la magie la ou se rencontent terre et mer.

Amaury_de_k

plus loin...

Here et Amaury traverserent le port avant d'arriver à la plage.
Une légere brise agitait les voiles des barques de pêcheurs.
Ils s'éloignerent doucement des habitations.

S'adressant à la voyageuse

Retirez vos bottes ma chère, venez marcher dans l'eau. Il n'est pas de bonheur pareil que sentir le sable et l'eau sous ses pieds quand on le désire

pnj

Here pris le bras d'Amaury et marcha vers la plage c'est la premiere fois qu'elle voyais la mer. elle étais si heureuse.
Puis enleva ses bottes , elle senti le sable sous ses pieds, puis marchait vers la mer

Oh Amaury que c'est beau!!!!!!!
Vous avez une belle plage, je suis très contente que tu m'y es amené.

Zol75

Zol rigolait aussi. Il comptait bien profiter de cette nuit.

Bon et si on mangeait maintenant?

Zol regardait Dotyy qui se penchait sur le feu.

Hummmmmm ça à l'air bon. J'en mangerai bien.

Zol ne pensait pas qu'aux brochettes !!!

Princesseaurore

Princesseaurore invitée par sa sœur Dotyy à passer la soirée sur la plage arriva avec un panier rempli de gâteaux pour le dessert.

Vit sa sœur et Zol enlacés et les rejoignis doucement.

Coucou vous deux…c’est moi PA

Comme je vois, mon cœur Tysonne n’est pas encore là !

Bon, ben continué de vous embrasser… vais m’installer de l’autre côté du feu et l’attendre.

S’allongea confortablement sur la couverture et pensa fortement à son amour

Hummmmmmmmm bientôt un bain de minuit

Dotyy

Dotyy vit arrivé sa soeur. Elle lui sourit et rigolat a l'entendre.

Pas de soucis ma soeur assit toi et fait comme chez toi. Non tysonne est pas encore et il a interré a venir sinon je l'etripe.

Elle se remit a rire et rajoutat :

Pour les bisous ont va eviter sinon on risque d'effrayer les invités.
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Zol75

Zol riait à en pleurer.

Oui c'est le grand méchant loup et je vais te croquer !!!

Zol sentit qu'il perdait l'équilibre et tomba sur Dotyy. Il la regarda droit les yeux et l'embrassa tendrement.

Dotyy

Dotyy se retrouvat avec zol sur elle. Il la regardat puis l'embrassat. Elle repondit a son baiser avec beaucoup de tendresse puis se relevat et dit :

euh mon coeur !! on va etre sage est attendre les autres, sinon ils vont avoir peur.

Puis elel se mit a rire et se blottit dans ses bras
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Zol75

Zol vit un feu en se promenant près de la plage. Il vit son coeur bien sage qui attendait les convives.
Il s'approcha doucement derrière elle et lui couvrit les yeux de ses mains.

Coucou qui c'est ?

Zol regardait avec envie tous ces délicieux mets. Hummmmmmm il allait se régaler avec tout ça.

Dotyy

dotyy sursautat quand elle sentit des mains sur ces yeux mais fut rassuré en sentant son parfum.

Puis elle entendit :

Citation:

Coucou qui c'est ?

Elle se mit a sourire et dit :

Le méchant loup peu être ???

Puis elel partis dans un fou rire et fit tomber zol par dessus elle.
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Dotyy

Dotyy arriva à la plage avec son fidèle cheval attelé a une charrette remplie de mille et unes choses.

Elle s’arrêtas à un endroit entouré de dune, ce qui permettraient d’être a l’abri du vent. Elle commentât à décharger un monticule de bois qu’elle mit de coté, puis une pelle. Elle déchargeât ensuite d’énormes paniers ou etait mit bons nombres de viandes et saucisses prête à griller.

Puis elle se mit en quête en pierre, quand elle en eut assez elle revient à l’emplacement et se mit un creuser un trou assez conséquent. Elle remit la pelle dans la brouette et mit les pierres tout autour du trou. Elle prépara ensuite du petit bois et du vieux papier et alluma le feu. Quand de belles braises fut la, elle allât chercher du gros bois qu’elle mit dessus.

Puis elle allât décharger des couvertures qu’elle disposa à plusieurs endroit.

Elle allât ensuite chercher une grande nappe qu’elle mita coté du feu. Elle installât dessus des chopes, du pain et les différents paniers.
Certains contenez des brochettes de différentes viandes, dans un autre il y avait des saucisses a profusion. Dans un troisième il y avait des cotes de porc et dans le dernier il y avait des légumes.

Quand eu finit tout cela elle approchât le tonneau de bière au bord de la charrette pour qu’il soit plus facile d’accès.

Quand elle eut tout fini, elle regardat si elle n’avait pas oublier quelques choses. Puis comme tout etait e ordre elle s’assit en tailleur devant le feu et attendit.
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Camelle

Camelle se reveilla et se rendit compte que son prince charmant ne viendrait pas. Mais que cela tienne..Ma foi elle se sentait si bien à cet endroit si calme et berçée par le bruit des vagues.
Elle etait presuadée qu'il n'avait pas eu le temps , le travail avant tout.

Apparement il ne s'etait même pas inquieté.....
Elle etait ravie d'avoir revue son amie Princesseaurore et d'avoir fait la connaissance de Tysonne.

Elle se leva et decida d'aller faire quelques pas les pieds dans l'eau....

pnj

Marchant le long de la plage mes penser encombrer par tant de chose? cette ville,la plage,la mer.......
rien de telle pour exprimer une penser.
Oh camelle est passer dommage,quelle se rassure je suis également tres enchanté de l'avoir rencontrer d'ailleurs je lui dédit se poème

Allongé sur cette plage
La tete dans les nuages
Je repasse ma vie et ses tourmants
Les mauvaises passes comme les bons moments.

Je me léve tous les matins
Sans jamais penser a rien
Pourtant Qu'est ce que c'est compliquer
De toujours faire face a la realité

Parfois je me dis que la vie est belle
Que chaque instant est eternel
Et puis le lendemain rien ne va plus
La joie fait place a la tristesse,c'est du jamais vu.

Inquiet pour un oui pour un non
Je continue a tourner en rond
Ne sachant meme plus qui je suis
A part que le bonheur me fuis

Je regarde toujours le ciel si bleu
Et la j'ai envie de formuler un voeu
Ne plus avoir peur du lendemain pour une fois
Et retrouver enfin le joie,

Camelle

Camelle se sentait seule, son ami etait parti se reposer quelques jours.
Hier soir elle etait passée ds sa taverne mais parler de littérature ne l'intéressait guère.
Alors elle décida d'aller se ballader sur la plage, marcher dans le sable les pieds dans l'eau.Tout etait calme et reposant ,elle en avait tant besoin.
Au bout d'un moment Camelle s'arrêta, s'assit sur le sable puis s'y'allongea .
Bercée par le bruit de l'eau , elle admirait toutes ces étoiles scintillantes.
Elle commençait a rêver et s'endormit.
Quel bonheur d'être ici.

pnj

Je suis la sur la plage de Béziers et je pense ,des penser me traverse l'esprit je vous en fait part!!Vous avez une bien belle ville je suis charmé.

Si, Aimer,
C'est s'émouvoir,
De la sincérité des mots,
De la beauté de ton visage
Ou de la tendresse d'un de tes gestes,
Alors, oui,
Je sais ce que c'est d'Aimer.

Si, Aimer,
C'est pleurer,
Loin de ton regard,
Loin de tes bras
Ou loin de toi,
Alors, oui,
Je sais ce qu'est Aimer.

Si, Aimer,
C'est frissonner,
Au contact de ta peau,
Au contact de tes mains
Ou au contact de ton corps,

Alors, oui,
Je sais ce que c'est d'Aimer.

Si, Aimer,
C'est vibrer,
Tout au long d'une danse,
Tout au long d'un baiser
Ou tout au long d'une nuit,
Alors, oui,
Nul besoin de preuves,
Je sais ce que c'est d'Aimer,
Je sais ce qu'est Aimer,
Tout simplement, je sais.

Pour toi "Calypso" je t'aime

Seloutte

Seloute passa par la plage, regarde une denière fois la mer et partit sans se retourner.

Dotyy

Dotyy n'en pouvait plus et ne tenait plus en taverne.

Elle vient se promener un peu sur la plage, elle admirât cette longue étendue d'eau.

Puis elle allât s'asseoir sur une des dunes qui surplomber la mer et se mit e pleurer. Les larmes qui coulaient le long de ses joues etait emportés par le vent.

Elle resta là un long moment, puis essuyât ces larmes et s'allongeât sur le sable. Elle regardat le ciel et son regard se perdit dans le ciel bleu.
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Marienbad

Aly arriva tout en fin de matinée à Beziers. Elle était harassée. Elle avait passé plus de temps à courir après son canasson que sur son dos et maudissait tous les équidés.
Comble de malchance, un brigand lui avait subtilisé sa bourse déjà bien maigre pendant la nuit.
Après être passée au poste de police, elle rejoignit la plage et commença à entasser des débris secs (planches rejetées par les flots, branchages desséchés).
Lorsque le tas lui sembla conséquent, elle l'enflamma et s'assit près du brasier.
Elle passa ses bras autour de ses genoux et regardât la mer en pensant à Mail.
* Oh comme tu me manques mon gentil ami!
Tes rires, ta voix et même quand tu te moques de moi... Quand te reverrai-je ? *
Elle toucha dans son sac le dessin qu'il lui avait donné.

Vaincue par la fatigue, la jeune fille sombra dans un profond sommeil, bercée par le ressac léger des vagues et le crépitement du feu.

pnj

mail arriva comme toujours dans un dérapage foudroyant couvrant la pauvre alyzee ,endormie là, d'une vague de sable.

héhé tu es arrivéé!! enfourche ton animal , on va faire la course.

sa bestiole sautillait tout autour d'aly, qui se reveilla d'un mauvais poil , allez savoir pourquoi!

on repart dés ce soir, je n'attendais que toi.

il partirent tous deux a fond la caisse , a celui qui arriverait le premier a la taverne la plus proche.

Explorer

Explorer se précipita hors de la taverne qui bordait la plage.

Il était déjà en pagne et il plongea dans l'eau pas très chaude..........

Brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!

Tant pis, il nagea vers le large et profita des embruns salés. Fit quelques sous l'eau et se ramena vers le bord..

Il revint vers la taverne pour vite se réchauffer au feu de bois........

pnj

Ne le voyant pas arriver, Etoile alla rejoindre Explorer sur la plage.
Elle scruta la mer, mais elle ne l'aperçut pas .
Elle fit des vas-et-viens sur le sable en cherchant à le voir quand il sortit de l'eau!
Elle courut vers lui, soulagée qu'elle était de voir qu'il ne lui était rien arrivé de fâcheux ....

Tu vas bien !!! Comme j'ai eu peur ...

Ils s'en retournèrent très vite à la taverne pour qu'il puisse se réchauffer au coin du feu que Lou avait attisé à son intention ...

Hadelize

Apres avoir passé la nuit sur les routes avec ses compagnons, la vue de la mer détendit Dany.

Elle enleva ses chausses et entra dans l’eau encore assez fraîche.

Elle longea la plage un moment, puis s’allongea sur le sable pour se reposer.

Le bruit des vagues la berçait, l’air avait l’odeur des embruns.

Elle commençât à sommeiller

Juliette1357

Arrivée le matin même à Béziers, Juliette se sentait épuisée par son voyage. Quinze jours qu'elle sillonnait les routes en compagnie de ses amis, tous autant épris de liberté que la jeune femme.

Après quelques heures de repos dans une auberge, Juliette pointa le bout de son nez dehors, heureuse de constater que le soleil était au rendez-vous. Elle prit le chemin de la plage, flânant dans les rues et découvrant la ville au passage.

Sitôt arrivée au bord de mer, la jeune femme retira bottes et bas, les prit d'une main et s'empressa de poser ses pieds, nus, sur le sable chaud, profitant du massage relaxant que celà produisait.

Juliette avança jusqu'au bord de l'eau, trempa le bout de son pied pour prendre la température, plutôt fraîche... Puis entra franchement jusqu'à mi-mollets, son corps parcouru d'un frisson de froid. Malgré tout, elle longea la plage, laissant l'eau de mer détendre ses muscles endoloris.

Au loin, elle vit une forme allongée sur le sable. En s'approchant, Juliette reconnue Dany, son amie de voyage. La voyant assoupie, elle sortit de sa besace un carré de tissu rose, le déposa au sol, s'allongea dessus et se laissa caresser par les timides rayons de soleil, sombrant peu à peu dans un demi sommeil.

pnj

mailvador venez d'arriver a bezier, fier sur son canasson ,il trottait sur le bord de l'eau espérant secretement appercevoir aly son amie de voyage qu'il avait perdu de vue depuis deux jours.

pourvu qu'elle aille bien!pensa t il

il s'arréta , descendit du cheval et s'allongea sur le sable.
une belle journée s'annoncait, le temps était magnifique.

Les yeux perdus dans le bleu de la mer , il pensait a son retour chez lui et quelque fois , il croyais voir alyzee.

il se sentait bien seul tout d'un coup mais son aventure devait continuer quoiqu'il arrive....

pnj

mail galoppait sur la plage, le sourire aux levres et les cheveux dans le vent. il humait les enbruns qui se collaient a son visage, et un peu de sable aussi.

il avait reçu de bonnes nouvelles et attendait quelqu'un ici même pour mardi.

Il s'arrêta, descendit, et decrocha sa besace, pleine de vituaille et prit aussi sa couverture fétiche qui lui faisait office de doudou aussi mais ça, il ne fallait pas le dire.

il étalla la couverture,et sorti saucisson, pain croustillant et bouteille de vin.
là, allongé, la bouche pleine et du vin plein sa chemise , il admirait le soleil qui disparaissait petit a petit.

le bonheur ou pas loin!

pnj

mail arriva sur la plage, s'arreta en faisant un super dérapage avec son cheval
grande classe , plein de style, maintenant il métrisait parfaitement sa monture

il jeta un coup d'oeil et n'apercevant aucune lueur , il reparti accomplir sa tache de la journée....

pnj

Bagodasy commenca à en avoir marre du travail...Ellle trouvait difficile de récolter et entetenir maison seule...

Elle décida donc de venir se changer les idées mais surtout de se donner un petit répit en venant écouter le bruit des vagues se fracasser sur les rochers...

Comme c'est apaisant!!!

Elle vit une petite roche plate où elle décida de s'y installer un moment...

Perdue dans ses pensées, Bagodasy se mit à rêvasser du jour où elle trouvera son prince...où elle ne sera plus seule...

Dotyy

Dotyy qui en avait un peu marre en ce moment décidas d'aller au seul endroit qui arrivait à l'apaisé.

Elle marchât un long moment les pieds dans l'eau. Celle-ci etait encore glacé et cela ne la dérangeât pas.

Puis elle se dirigeât vers un endroit reculer en haut d'une petite bute et allas s'asseoir.

Elle recroquevillât ses genoux contre elle et admira le paysage. Les vagues se cassé contre les rochers. Elle aimait la mer malgré le lot de souffrance que cela lui avait apporté.

Puis son regard se perdit dans le vague et elle repensât à cette rencontre faite en taverne et qui avait complètement bouleversé ses projets et son...
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Valerye

Valerye était enfin arrivée à Béziers, une ville située en bord de mer... Après avoir rencontré plusieurs personnes sympathiques en taverne, elle décida de se rendre sur la plage, malgré la nuit qui venait de s'installer... Il faisait un peu froid, le vent soufflait en bourrasque, ramenant les flots incessants vers la côte, en une valse des plus irrégulières... Elle aimait se rendre près de la mer, pour écouter la mélodie de l'eau se fracassant sur les rochers... Elle glissa une vieille couverture par-dessus ces haillons et se rendit d'un pas menu jusqu'à la grève. Assise sur une pierre un peu plus en contrebas, elle se mit à contempler ce paysage féérique, éclairée par la lune comme seul réverbère... Elle ferma les yeux et souria, bercée doucement par le bruit des vagues... Peut-être allait-elle trouver enfin ce qu'elle cherchait dans ce paradis baigné de soleil et d'eau... Elle l'espérait au plus profond de son coeur...

Seloutte

Seloute prolongea le baiser de Gaby et lui sourit en passant les mains sous sa chemise, lui caressant le dos doucement.

Je suis bien ici avec toi...... dit si on allait prendre une tasse de thé chez toi ? je passe chez moi avant pour prendre les gâteaux que j'ai confectionné cet après-midi.... ça te vas ?

Seloute se leva aidé par Gaby, se frotta les vêtements pour enlever le sable et partit en direction de sa maison main dans la main avec son amour.

Wgaby

wgaby, se laissa emporter dans un bien être, quans seloutelui caressa le dos...il ferma les yeux pour mieux apprécier cet instant de bonheur...

Moi aussi mon ange je suis si bien avec toi...Tu veux que nous rentrions ? daccord...comme tu veux mon coeur...

Seloute lui proposa de passer chez elle avant ...et ensuite, il l'emmènerai chez lui pour prendre le thé.
Il lui tendis la main, et l'aida à se relever...

Aller viens mon amour, alons-y...

Il lui prit la main, et s'en allèrent tous deux en direction de la ville ...

Elerinna

Elerinna marchait sans savoir pourquoi elle marchait. Adam était sur son dos... Fixant déjà de ses yeux perçant l'horizon, puis toute la plage, la mer, les passant, ses yeux étaient rapides, en alerte. Rinna regardait dans le vague. Les nausées montaient lentement, elle se sentait moite... Elle s'assit en tremblant sur le sable.
Elle éclata en sanglot. Il était loin maintenant. Non... Quel était le problème?...
Elle s'allongea sur le ventre, Adam profitant de la vue aux alentours.
Elle passa ses mains sur le sable, chaud, presque humide. La forêt lui manquait...
Adam sourit.
Elle lui chuchota un poème à l'oreille, le berça, chassant ses pensées morbides. Adam déployait ses canines, Rinna le regardait, il en avait tellement envie... Elle soupira en regardant ailleuir. Sa place n'était pas ici.
Elle se leva, le prit dans ses bras et se dirigea vers la forêt.

Wgaby

wgaby se laissa entrainer vers la plage avec Seloute...
Il la regarda, et lui souriai...la voyant heureuse...
Puis elle s'abaissa, croyant quelle allait ramasser un coquillage...mais pas du tout.C'etait pour lui jeter de l'eau ...

Hey!! tu me cherches toi? Ok.. tu l'aura voulue...

wgaby lui courra après , et lorsqu'elle fut à sa portée, il lui jetta de l'eau avec les pieds...Ils riairent de joie et de bohneur.
Trébûchants dans le sable, ils se retouvèrent par terre...Et Seloute lui donna un doux baiser...

Oh oui mon coeur, on est bien ici...c'est vrai que le bruit des vagues chantent à nos oreilles...c'est une douce mélodie pour une douce soirée...Et tu es si radieuse mon amour...

Elle se laissa retomber à côté de wgaby, et il se retouna vers elle pour l'embrasser tendrement.

Seloutte

Seloute et Gaby partirent discrètement du bal, l'ambiance ne leur plaisait pas, en ce jour ils voulaient savourer leur bonheur et .... être un peu seul. Ils rentrèrent chez eux pour se changer et allèrent se promener dans les rues de Béziers.

Leurs pas les conduisirent sur la plage, tendrement enlacés, ils marchèrent un moment les pieds dans l'eau s'éclaboussant comme des enfants... puis ils se laissèrent tomber sur le sable en riant... heureux...

Seloute se pencha sur Gaby et l'embrassa tendrement, lui enlevant le sable sur le visage.

On est bien mieux ici mon coeur....... j'aime ce calme..... le bruit des vagues..... loin de toute cette tourmente.

Seloute se laissa retomber à côté de Gaby en souriant et poussa un soupir de plaisir.

Je suis bien mon amour......... trop bien.

Seloutte

Seloute entendit frapper à sa porte et alla ouvrir. Elle aperçut son amour sur le pas de la porte tout souriant. Elle lui sauta au cou et l'embrassa.

Hé !! mon ange tu es bien matinal ? Tu veux aller te promener sur la plage ? Attends je mets mon col et je suis toute à toi ......

Seloute pris son col, ferma la porte et partit en direction de la plage tendrement enlassé dans les bras de Gaby.

Arrivés sur la plage déserte ils se mirent à courir en riant comme deux enfants libre et heureux d'être ensembles..... puis Gaby s'arrêta et prit Seloute dans ses bras l'embrassant tendrement.

J'adore cette plage mon coeur........ j'y venait souvent avant, ma maison était en face... d'ailleurs regarde elle est là et toujours libre....

Seloute pointa le doigt en direction de la maison. Puis le regardant...

Tu sais je préfère où je suis maintenant et je suis près de toi.... je suis si heureuse..... jamais je n'ai ressentie autant d'amour... je t'aime Gaby.

Seloute se blottit dans ses bras et l'embrassa avec passion.

Kanea

Souriant toujours de ce qu'elle venait de lire Kanea arriva devant la plage.
Elle vit un couple et parti de l'autre coté elle voulait savourer ce moment seule.....
Elle s'assit sur le sable regarda la grande étendue d'eau la tete posé sur ses mains elle se mit a réflechir à sa vie.Dans 1er temps elle avait décidé de partir en voyage dans les terres aussi elle respirait a pleins poumons l'air iodé du large .

Wgaby

Apres une bonne nuit de sommeil,wgaby décida d'emmener son amour Lou à la plage pour une promenade en amoureux...Il fit un brin de toilette et se fit tout beau pour aller chez elle.
Il frappa à sa porte.
Quand elle vit que c'etait lui , elle lui sauta au coup pour l'embrasser....
Il lui proposa alors de faire une balade sur la plage...Elle accepta avec joie.
Nous marchions enlasser vers cette plage ,qui semblait déserte.
Quand enfin, nous y arrivons,il lui prit la main et me mis à courir.
Puis un peu plus loin, il la prit dans mes bras et lui donna un tendre baiser....

Je t'aime LOU...

Elerinna

Elerinna leva difficilement les yeux vers l'homme grand qui la fixait avec un air de débile. Elle fronça les sourcils en se demandant ce qu'un abrutis venait faire à coté d'elle, elle qui voulait être seule pour une fois.
Elle ne cessa de le fixer, toujours plus loin, en sentant son regard l'aspirer, puis se ressaisit, regarda de nouveau le ciel et lui demanda d'une voix grave et froide:
Quoi?

L'homme grand lui adressa un beau sourire, dont toutes les dents étaient parfaites, blanches, douces et attrayantes, Elerinna se sentait captivée par une quelconque force magique. Elle agrandit ses yeux et leva son regard vers celui de cet inconnu, la bouche entre ouverte. Elle sentait comme une sorte de gêne à le regarder, une sorte d'amertume du passé. Elle ne pouvait pas le quitter du regard.
Cet homme c'était...
Il continuait de la fixer sans rien dire, en souriant simplement, comme si il se voulait pleins de gentillesse, mais dont la chute serait fatale. Comme si le perfide se cachait en elle, et se dévoilerait avec cet homme au grand sourire.
Elle sentait une espèce de vide, une espèce de remord, de honte.
Soudainement, elle le quitta du regard, sentant son orgueil se gonfler.
Elle sentait toute la haine s'insinuer non pas comme un petit ruisseau mais comme un torrent sur son coeur et sur ses joues, lorsque les larmes dévalèrent les pentes, et couler sur ses mains, puis sur ses genoux recroquevillés, et secouée de ses sanglots, ou était-il????

Il continua de sourire un bref instant et se dévoila lui même, plongeant son regard à moitié fermé vers l'océan, et n'adressant plus que la méprise à Elerinna. Elle qui continuait de sangloter. Elle pleura ainsi durant quelques minutes.

Elle se calma enfin un cours moment durant lequel elle prononça l'unique mot de ses pensées, l'unique qui n'était pas là...
Ele se tourna vers l'homme et lui cria comme pour le suplier:
OU est il?!

Le regard emplit de larmes brulantes.
L'homme tourna le sien vers elle, d'un geste lent, supérieur et autoritaire.
Il sourit à moitié, d'un air sadique, l'œil gauche presque clos, l'œil droit se voulant fendant.
Il élargit son sourire comme pour la faire souffrir et la visage d'Elerinna devint aussi pâle que le ciel gris et froid.
Elle lui dit d'une toute petite voix: Rends le moi.
Il regarda l'horizon et d'une voix pleine d'envie, il lui lança très distinctement, comme si il la connaissait depuis des siècles:
Je n'ai qu'une envie Elerinna, c'est de te tuer.

Elerinna agita sa tête d'un air désapprobateur de petite fille.
Je veux pas...

Il sembla se calmer, l'homme aux yeux de serpent soupira et glissa ses mains sur le sable, en s'appuyant dessus pour apprécier la mer.
Il la déshabilla du regard, ferma les yeux comme un chat amoureux et lui sourit.
Il à tes yeux.

--Virdane

Un homme s'approcha de la jeune-femme, Ses pas semblaient comme des piquants dans le sable pourtant mou. Il avançait comme l'acide se fraye un chemin dans la plus douce des chairs. Il était grand.

Ses yeux semblaient à moitié fermés, comme si le soleil l'éblouissait, sa peau paraissait douce, elle était comme grise, passé, craquelée, moisie.
de longs cils noirs et épais recouvraient la bordure de ses paupières, la fièreté qui émanait de lui semblait aussi puissante que celle d'un dragon se présentant au portail d'une forteresse.
Son souffle était comme trop gros pour que tout l'air puisse y entrer facilement, et de ce fait il inspirait lentement, il ne regardait rien en particulier, il se guidait avec son ouïe et son odorat.

Il vit Elerinna, allongée sur le sol, il sourit en savourant cette espèce d'innocence féroce, cette peau aussi pure que le soleil et ses mains si fines, aussi belles que des ronces. Il huma son odeur, frissonna et la regarda de plus près. Comme elle ne réagissait pas il s'assit sur le sol, à coté et prit un air bête.

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Pulemetchik

Après plusieurs heures à rester alonger dans le sable sous la pluie, Pule rouvrit les yeux, les nuages s'étaient encores obscurcis pendant qu'il méditait, le ciel était désormais d'un noir profond et la terre était elle aussi obscurcie.
Il prit son casque en main puis se redressat, fesant couler les perles d'eau qui mouchetaient sa cape de fourrure.
Il se relevat et remis son casque avant de remetre son épée dans son dos et de se mettre face à la mer, sa hache en main et appuyée sur son épaule.
Il restat ainssi de longues secondes avant de remettre son casque.
La pluie continuait de couler et de faire tinter son casque, il allat récupérer sa scelle qu'il avait mise à l'abbris sous une souche échouée.
Il rescellat Almut puis remontat sur son dos et se dirigeat vers la sortie de la ville au pas, une mission lui avait été confiée et il l'accomplirais avant de revenir.
Quand il délaissat la plage, le ciel se réclaircis, comme si les nuages noiratres semblaient suivre son sillage.
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Elerinna

Elerinna s'éveilla lentement, découvrant le ciel toujours grisonnant... Elle cligna des yeux, tout en savourant le gout du sel dans sa bouche, l'air en était chargé? Ou encore son imagination...

Comme il était bon de sentir la fraicheur s'engouffrer partout, lacérer son visage, la rendre raide, frissonnante, elle ferma les yeux et inspira de nouveau en espérant recevoir un peu de douceur de la part du vent. Quand celui ci vint lui fouetter le visage elle sourit.

Rien ne comptait plus lorsqu'elle était à terre, sur le sable. Le ciel était gris. La mer était douce. Elle s'assit brutalement et fixa l'horizon, aussi brulant et insipide que son regard noir, creux, innocent, féroce.

Pulemetchik

Après quelques jours à errer en forêt à chasser en compagnie d'Almut, Pule s'était décider à sortir de l'ombre de la forêt.
Il en sortit et fut éblouis par le soleil filtrant a travers les nuages.
De nombreuses peaux de bêtes deja tannées ornaient la croupe d'Almut, témoignant de nombreuses heures de chasse.

A peinne sortit de la forêt, il dirigeat son canasson vers la plage, il se sentait une envie d'iode, de sel et de lointain.

En quelques minutes, il avait contourner la ville pour arriver en bord de plage, là, il s'arretat et admirat l'étendue d'eau qui s'offrait devant lui.

Il remarquat aussi quelques promenneurs.

Almut marchant sur place et ayant envie d'être un peu tranquille, il lancat celui-ci au galop de charge le long de la plage, envoyant le sable voler plusieurs mètres dans les airs et envoyant de grandes ailes d'eau a chaque vague qui passait sous les sabots du destrier.

Après quelques minutes à galoper ainssi dans un tonerre assourdis a chaque pas du canasson, il arrivat dans une petite crique.

Là il attachat et déscellat Almut puis allat s'assoir au bord de l'eau, les vague venant lecher le cuir de ses bottes.

Il déguainnat ses armes, enfilat le brassard de cuir relier au manche de sa hache avant de poser cette dernière à sa droite, et plantat son épée dans le sable à sa gauche.

Il restat ainssi à admirer la mer et se remémorant d'anciens voyages, ayant l'espoir inscencé de voir poindre au loin un mat de drakkar, mais malheureusement rien ne venait.

Il s'alongeat dans le sable en soupirant, quelques lourds nuages noiratres venaient de l'intérieur des terres, obscurcicant le ciel et la terre.

Il fermat les yeux et sentit la premiere goute de pluie tomber sur son visage, une seconde fit tinter la lame de sa hache puis s'ensuivit un concert de chocs de l'eau contre le métal de sa hache, son épée et son casque.

Il enlevat ce dernier et le posat sur son ventre, offrant son visage à la pluie.

Pour la première fois depuis longtemps, il sourrit, non pas d'un sourrire moqueur ou guaindailleur comme en taverne, un sourrire serain, qui pour une fois ne semblait pas enlaidis par les cicatrices.

Après quelques minutes alonger ainssi, il passat chacune de ses mains autours de ses armes, l'une au manche de sa hache, l'autre à la lame de son épée.

Il s'endormit ainssi, les pieds bercés par les vagues et le visage par la pluie, au calme sur la plage, seul le bruit de l'eau claquant sur le métal et le sable venant troubler le calme présent.
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Elerinna

Elerinna sentait le vent s'engouffrer dans son visage comme au travers d'un linge, aussi pâle était elle...

Les odeurs saturées de la mer l'oppressaient et la rendaient vide, pourtant elle parvenait à se calmer, ses doigts étaient sous la pellicule de sable comme dans un lit naturel, à l'abri, protégés...
Inspirant l'air frais qui paraissait si chaud, chassant les larmes de la hauteur, elle découvrait le ciel blanchit et légèrement noirâtre que son horizon lui laissait persevoir mais rien n'était plus beau que ce vide serain ou tout disparaissait dans un tsunami d'ombres de souvenirs, dansant sous ses yeux comme les pétales d'un champ de fleur à perte de vue, toutes les couleurs se mélangeant, tous les sons trébuchant sur la douceur des vagues, absorbant les moindres détails de sa courte vie.
Elle était bien, et pour la première fois, elle ne pensait à rien.

Floyanne

Aprés quelques heures de reflexions.. de méditations.... elle regarda le bord de plage.. les pomeneurs semblaient si serein.. elle les enviaient.. soudain sont regards se posa sur une silhouette qu'elle reconnue de suite..Galb.. elle sentie la peine l'envahir en le regardant ainsi.. il semblait si malheureux et triste d'avoir tous perdu...cela n'aurait jamais du lui arriver..
elle fouilla dans son baluchon.. prit sa vieille plume et un reste de parchemein et ecrivit quelques lignes.. simple resultat de ses pensées et de ses reflexions...elle siffla son pigeon lui attacha la messive correctement.. et l'envoya vers le destinataire...
Un dernier regards sur cette plage afin de la graver au mieux..et elle repartie discretement.. d'autres lieux l'attendaient

Elerinna

Elerinna avait envie de voir la mer pour la premièere fois, elle voulait juste... Enfouir ses pieds dans le sable... Se poser dessus et regarder les vagues en ayant la nausée...

Elle étendit ses jambes... Comme si elle allait toucher les vagues... C'était comment déjà?...

Elle se leva et marcha sur le sale mouillé, pieds nus. La mer ne servait à rien. Le seul avantage était le calme. Le sable était doux, l'eau était chaude, mais il manquait la vie...
Ou étaient ses forêts... Et ses cerfs...

Sa pensée s'axait progressivement comme un tambour de plus en plus fort, vers Isarie qui était partie, et son coeur se serrait encore plus en pensant ne jamais revoir Strangy.

Plus rien, le vide complet... La mer laissait un gout amer... Un gout de nausée... Avec ses vagues qui venaient repartaient...

Elle resta ici un long moment en essayant de ne penser à rien.

pnj

Apaisé par le ventre rempli, apaisé par ses plaies recousues, Galbur décida de s'en aller pour la plage
Il marcha tranquillement, sans trop se soucier de ce qui l'entourait, pensant simplement à rester rêveur dans ce lieu
Ses pieds touchèrent le sable, malgré le froid qui régnait, le soleil arrivait à percer ses rayons au travers du doux brouillard qui y régnait

Il enfonça ses pieds dans le sable, les réchauffant légèrement, et avança doucement sur cette immensité de fins cristaux...

Des idées toutes plus belles que les autres venaient danser en apaisement dans son esprit, et il sourit

Il aperçut une femme, un peu plus loin
De peur de la déranger, il marcha encore un peu dans le sens inverse, puis il s'assit, contempla l'horizon

Le brouillard lui picotait les yeux, mais il s'en fichait, rien n'était plus beau que ceci

La mer était calme, silencieuse... comme bercée par le plus doux des anges

Il s'allongea, posa ses mains le long de son corps, et ferma les yeux

Floyanne

Comme chaque fois qu'elle venait à bézier Floyanne allait à la plage.. elle affectionnait cet endroit .. quelque part il lui ressemblait.. sauvage.. parfois calme ou tempetueux..mysterieux...elle enleva ses chausses malgrés le froid .. le sable froid lui donna un frisson..et les embrunts lui fouetta son visage ..elle avança ... admirants cette maginifique spectacle qui était devant ses yeux.. chaque fois elle trouvait l'océan different.. chaque fois elle decouvrait les nouvelles nuances que celui ci offrait aux promeneurs... elle aperçut quelques silhouettes au loin.. elle s'en eloigna .. ne voulant voir personne.. ne voulant pas faire voir la peine qu'il submergeait..elle marcha vers les falaises.. ce lieux lui donnait une vue imprenable t personne ne la trouverait ici sauf ceux qui l'a connaissait..elle s'adossa a la parois.. replia ses jambes contre son corps gelé.. et l'enroula des ses bras... elle resta là noyée dans ses pensées.. remplie de culpabilité

Isarie

Isarie voulait revoir une dernière fois cette plage si belle, le long de laquelle elle avait vécu tant de moments exquis.
Dans ses pensées tournoyaient les images de celles et ceux qui avaient marqué son séjour ici.
Bien entendu, Strangy venait en premier. Elle avait choisi son destin. Isarie ne lui en voulait pas de son abandon, elle savait qu'un grand destin l'attendait dans l'au-delà. Sa mémoire restait comme le souvenir d'un rêve doux et libertin.
Elle savait qu'elle laissait ici Rinna, sa petite soeur. Isarie espérait que ses blessures lui laisserait assez de force pour continuer à lutter. Elle savait qu'elles se retrouveraient et la laissait en toute confiance à Luk.
Et puis venaient tous ses amis de Béziers, qui avaient été comme sa famille pendant les quelques semaines de son séjour. Arthe et Hu, Cécile et Amas, Cosmo, Zara, Gaby, Kanea, et d'autres encore... Elle espérait vivement les revoir un jour, ou bien les accueillir chez elle. Ils devaient savoir qu'ils seraient tous les bienvenus.
Elle gardait encore une pensée secrète pour un rêve qui n'avait pas abouti, mais qui peut savoir ce que l'avenir réserve...

Tout celà occupait ses pensées, mais le vent du large lui envoya au visage son souffle puissant et iodé. Elle respira l'air de la liberté, elle ouvrit ses poumons à cet air chargé d'aventure et d'inconnu...
Alors toutes ces images des semaines passées s'estompèrent et s'assoupirent dans un coin de sa mémoire, et elle concentra son attention sur le chemin qu'elle allait suivre.
Elle allait suivre la mer...

.... elle fit le premier pas ....

pnj

Aly s'était laissée surprendre par la chute d'Imla, mais ne put se retenir de rire. Mais elle reprit vite son sérieux en pensant qu'il s'était peut être fait mal à la cheville. Elle le fixa du regard.

Ta cheville va bien? Tu crois que tu vas réussir à continuer notre promenade?

Elle resta près de lui, profitant de chaque instant de bonheur et espérant qu'il y en aurait encore beaucoup. Elle ne se demandait pas de quoi l'avenir serait fait, elle souhaitait juste qu'il en fasse toujours partie.

Severant

Une nouvelle fois, les flots n'avaient pas voulu de lui.
C'est un pêcheur en route vers l'est qui l'avait recueilli à son bord puis l'avait déposé plus loin sur la côte.
Le temps étant clément, il en profita pour déballer ses maigres affaires pour les sécher et en faire l'inventaire.
La seule chose qu'il ne trouva pas c'était cette rose séchée dans un parchemin plié. Le séjour dans l'eau avait eu raison de ce fragile souvenir qui avait du se dissoudre.
Une fois tout bien sec, il rangea ses affaires. Il était temps pour lui de reprendre la route, ce qu'il fit en ayant une pensée pour toutes ces personnes qu'il connaissait et qui s'étaient révélées des amis fidèles dans ces jours sombres.
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pnj

Rozi voulait passer une dernière fois sur la plage avant de partir le lendemain comme prévu avec son amour. Elle avait toujours sa fille blottie contre elle, ne connaissant personne ici elle ne pouvait la laisser où que ce soit. Elle lui avait expliqué, qu'enfin elles allaient avoir une vie normale après un dernier voyage.

Elle fit doucement ses premiers pas sur le bord de plage, le vent était présent mais moins fort que la dernière fois, heureusement car le froid était bel et bien présent. Elle restait dans ses pensées, pressée de partir, de retrouver le sourire de son fiancé qui n'allait pas très bien. C'est alors qu'elle crut l'apercevoir, elle pensa d'abord que c'était ses pensées qui lui jouaient des tours vu qu'elle pensait à lui, mais non plus elle s'approchait plus elle reconnaissait sa silhouette et sa démarche. Elle paniqua alors, que faisait-il dans cette haut glacée ??? Elle se mit à crier faisait sursauter leur fille

"Mac !!! Severant !!!"

Il ne devait pas entendre il ne lui semblait pas le voir réagir, alors sans réfléchir elle courra elle aussi dans l'eau, cela la glaça complètement, la petite hurlait, mais ses yeux et ses pensées étaient trop embrumés pour réfléchir. Elle l'avait enfin retrouvé, il lui avait promis ce départ juste le temps qu'il s'occupe de la Mairie, que s'était-il passé ? les gens qui lui avaient donné envie de partir l'avait-il poussé à bout à ce point ? Peu importe si il devait mourir elles mourraient avec, cette vie sans lui n'était plus possible. Elle s'avança se rapprochant assez rapidement de lui qui avançait doucement, il ne pouvait que l'entendre désormais, encore quelques pas et elle pourrait le rattraper

"Mon amour ! Ne fais pas ça ! Le bonheur n'est plus qu'à quelques heures, tout ira mieux, nous sommes là maintenant"

Elle glissa, se rattrapant de justesse, l'eau les éclaboussant. Le froid commençait à bloquer ses jambes, elle serrait un peu plus fort leur fille lui disant doucement d'être forte. Quoiqu'il arrive ils étaient enfin réunis que ce soit dans la vie ou dans la mort, le choix lui appartenait.

Alors qu'elles étaient toutes proches elle lui effleura le bras comme pour le retenir mais elle était trop glacée pour avoir assez de force. Dans un dernier élan d'amour et d'espoir elle lui murmura

"Il n'y a pas assez de mousse ici chéri, on a connu mieux comme bain quand même"

Ses yeux brillaient de tout l'amour qu'elle avait pour lui, un léger sourire en coin comme si tout s'effaçait autour, même les pleurs avaient cessés. Elle gardait son bras tendu vers lui, tendu pour qu'il les suive vers leur bel avenir prévu la veille ou alors pour qu'il les amène à jamais avec lui, enterrant leur dernière chance de bonheur et tous leurs projets.

pnj

Après une longue et eprouvante semaine de travail, Imla était allé retrouvé Alyanne à la taverne municipale pour y partager un instant de paix en sa compagnie. Ces moments étaient trop rares dans sa vie, et il les savourait d'autant plus.
Il l'avait prise par la main et l'entrainait désormais vers la plage qu'il lui avait promis de lui montrer.
Une fois arrivé, il la laissa contempler l'étendu du paysage pendant qu'il admirait la beauté de son amante.
Le soleil refletait dans ses cheveux et le jeune homme avait une folle envie d'y plonger sa main.
Après un moment d'hesitation, il l'enlaça par derrière et colla son visage au siens.

Nous voila arrivés.
N'est ce pas magnifique? La mer me rappel chaque fois à quel point nous les Hommes nous sommes insignifiants face à la puissance de la nature.
Mais aujourd'hui, avec toi, j'ai l'impression que je pourrais affronter les flots déchainés.

Il retourna doucement sa compagne, et dans le silence que seules le vent et les vagues venaient troubler, il déposa un chaste baiser sur les lèvres d'Alyanne.

Severant

Il arriva sur la plage, les traits tirés par les nuits sans sommeil. Non, ce n'était pas les pleurs des enfants ... c'était la lassitude de tout ce qui se passait depuis une bonne semaine...
Il s'avança lentement dans l'eau devenue glaciale avec l'hivers ...
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pnj

Alyanne profita du baiser d'Imla, elle avait tellement attendu cet instant qu'elle tenta de le prolonger. Elle alla dans ses bras et parcouru le paysage des yeux, elle était si bien, qu'elle aurait pu rester plusieurs heures à regarder la mer dans les bras de son aimé.

C'est vraiment un endroit magnifique, le temps semble s'arrêter ici. Merci de me faire découvrir ce lieu , je pense que j'y viendrai souvent. lui dit elle en souriant.

Puis, elle prit la main d'Imla et ils marchèrent au bord de l'eau. Aly était tout simplement heureuse de partager ce moment avec lui.

pnj

Le baiser dura tellement longtemps que le jeune homme dût prendre le temps de reprendre son souffle.
Il y'avait longtemps qu'il n'avait plus embrassé une femme, il y'avait longtemps qu'il n'avait plus aimé.
Il pensait même que ce bonheur simple lui était désormais interdit, et puis Aly était apparue comme le soleil au milieu de la tempête.
Il n'y avait qu'ici qu'il pouvait encore esperer, sur cette plage, loin des hommes, car c'est ici qu'il avait toujours cherché le réconfort, et c'est ici qu'il pouvait être lui même.
En tout autre lieu, il pensait à ce qui l'avait éloigné de ceux qu'il aimait, Viejen qui l'avait quitté à cause de son obsession du travail, et Aigue qui était morte sans qu'il sache comment pour les même raisons.

Enfin il se reprit et sourit à sa belle comme un gamin a qui on vient d'offrir une friandise.
Ne me remercie pas, la mer et la plage auraient fini par t'appeler d'eux même. Je n'ai fait que t'y accompagner. J'espère qu'un jour notre amour sera aussi grand et aussi inebranlable que l'ocean.

Prenant soudain conscience de la légereté de ses paroles, il se mit à rougir, et pour mieux dissimuler sa réaction, il se laissa tomber sur le sable, feignant une entorse.
Lorsqu'Aly se pencha vers lui, il l'attrapa et la tira brusquement, jusqu'a ce qu'elle soit sur lui, enfin il l'embrassa.

Arthemys89

Arthemys, ce matin-là, avait décidé d'aller faire un tour à la plage. Elle arriva sur celle-ci alors que le soleil n'était pas encore levé. Elle pensait beaucoup à son amie Strangy qui lui manquait. Elle s'assit donc enroulée dans son manteau et attendit que la nature fasse son travail.

Huhu49

L entrainement de soule terminé Hu décida de se rendre sur la plage afin de piquer une tete dans l eau glaciale et de se rafrachir.

Il se devetit et commenca a effectuer quelques brassées. Il se sentait bien dans cet étendue dont seul le souffle du vent et le clapotis des vagues brisait le silence.

L'eau glacait sur son corps et le transportait. Il passa un long moment a nager et sortit de l eau pour s'étendre sur la plage, recouvert par sa chemise, pendant que ses affaires sechaient.

"On est vraiment bien a BEZIERS, les femmes sont belles, les gens chaleureux, les tavernes sont nourissantes et moi je suis HEUREUX"

Dotyy

Dotyy était assise la depuis un moment quand elle vie son ami huhu arrivé.

Elle ne bougea pas. Elle le regardât se déshabiller sans rien dire, Puis ensuite il se mit à l'eau et effectuer des brasses.

Il nageât un long moment puis sortis, s'allongeât et se couvrit avec sa chemise.

Dotyy approcha à pas de loup sans faire le moindre bruit et s'allongeât à coté de lui et ne dit rien.

Elle écoutât le bruit des vagues et la respiration de son ami.

Ce qu'elle aimait chez huhu c'est qu'ils n'étaient pas obligé de parler pour se comprendre.
Elle tourna ensuite la tête vers huhu et lui sourit.
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Huhu49

Hu était encore dans ses reves. Il imaginait comment son passage sur BEZIERS lui faisait du bien. Il se remémorait toutes ses rencontres heureuses, gaies mais parfois triste et sportives en confrontation. Mais il ne les regrettait pas et trouvait que cela mettait du piment à sa vie.

Il sentit comme une présence à ses côtés, et se feveilla doucement tout en détournant la tête et apercu Dotyy souriante a ses côtés.

Il était ravi de voir ainsi son amie lui adresser ainsi un si joli sourire. Ety se souvenu d un coup qu il était nu sous sa chemise et qu il ne fallait surtout pas que l on se meprenne sur ses intentions vis a vis de Dotyy. Il se rhabilla précipitament de peur qu on profite de la situation. ^^

Il invita alors dotyy a marcher sur la plage afin de discuter de la siuation actuelle et des interrogations que les gens mal intentionnés pouvaient faire circuler.

Dotyy

Dotyy ne tournat pas le regardas quand huhu se rhabilla, elle ne l'avait jamais fai avant et elle ne le ferais pas maintenant.

Puis elle suivit son ami qui l'invita a marcher avec lui sur la plage.

Elle enleva ses bottes et ses bas et marchat doucement les pieds dans l'eau. Puis elle s'arreta nette et regardas huhu dans les yeux et lui dit :

Toutes cetet histoire m'agasse mais je ne changerais pas.

Puis elle se remit a marcher.
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pnj

En marchant le long de la grande bleue, Strangy avait aperçue Uhu et Dotyy, elle avait bien pris soin de les contourner.
Ils ne la remarquèrent d'ailleurs pas. C'était mieux ainsi.

Elle voulait simplement être seule. le visage fouetté par les embruns, cet air vivifiant, lui faisait du bien;
Son regard se perdait dans cette immensité, aujourd'hui agité par des vagues qui venaient se briser les une contre les autres.
Leur danse excité, rappelait des moments de tavernes extatique et bruyant. Mais ici l'air iodé rafraichissait son cerveau et bonifiait son corps. Loin d'être forcément le cas en taverne.
Il semblait que tout lui pesait ces temps-ci.

Elle poursuivie de marcher le long des flots. fredonnant son petit refrain :

Je préfère toujours regardé devant moi sans jamais me retourner.
Cependant pour tout vous dire je ne sais trop comment je me sens.
Je ne sais pas si j'ai trouvé ou perdu la vue.
Je ne sais même pas pourquoi je vous raconte tout cela.
Si c'est un appel ou pas.
Mais tout ceci n'a plus guère d'importance.
Je poursuis ma route, mais soyez assurés, même dans l'inconnu,
je continuerai de vous porter dans mon cœur.

Pedroroy

Tellement heureux a la merveilleuse nouvelle, Pedro explose de joie et entraine la femme de sa vie à danser sur la plage..............il l'a fait tourner et tourner et retourner dans un tourbillon de joie, de bonheur et d'amour..............

Tu sais ce soir je suis le plus heureux des hommes!! ma vie est comblée, j'en suis fou et fou de toi...........ma chérie d'amour malheureusement il va falloir quitter cet endroit magique et magnifique car ce soir on reprend la route............le temps de passer en taverne voir Weedounette et de lui annoncer la nouvelle , on récupère nos affaires et on prend la route......

Il prend l'amour de sa vie par la taille ,tout en faisant quelques pas sur le sable si doux , il regarde ensemble une dernière fois la mer puis main dans la main il se dirige tous deux vers le village...... tout au long du chemin il ne cesse de la couvrir de doux baisers enflammés tout en lui murmurant :

Je remercie la vie de nous avoir fait rencontrer ,Je t'aime tant mon amour !!! et plus que tout !!
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Pedroroy

Pedro tout ouïe regarde son Amour Pré avec des yeux brillant de joie et de bonheur...........

Une merveille surprise!!!!! oooh Mon Amour !!! je t'aimeeeee tant!!!

Tremblotant, saisie d'impatience son cœur s'accélère ...............

WAHOUUUUUUUUUU!!!Mon Amour c'est merveilleux!! c'est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire!!un enfant!! un enfant de toi!!ooh ma chérie!!!j'en pleure de bonheur!!.........moi Papa!!!tu peux pas t'imaginer la joie , le bonheur que tu me donne!! tu merveilleuse, sublime, éteincellante!!! toi mon cœur , ma vie..............

Fou de joie et de bonheur, il l'enlace la serre très fort contre lui et l'embrasse avec passion, tendresse amour d'un baiser dont la force et l'intensité et comparable à une éruption volcanique.......
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Dame_phrenegonde

Phré était tellement heureuse de voir autant de joie et de bonheur rejaillir de l'homme de sa vie, les cris de joie de Pedro couvraient le bruit des vagues.
Elle lui fait alors un grand sourire.

Je savais que cette nouvelle allait te rendre fou de bonheur mais je ne pensais à ce point là.

Pedro l'entraine alors dans un baiser volcanique qu'elle prolonge le plus possible.

Mon coeur tu fais tellement pour moi depuis que nous nous connaissons. Je me devais moi aussi te faire un cadeau à la hauteur de tes espérances.

Elle le prend alors dans ses bras et lui murmure doucement à l'oreille:

Je t'aime tant mon amour !!!
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Pedroroy

Pedro et Phré enlacé , joue contre joue admire la mer dans un même regard..............ils sont si heureux , qu'ils se laissent bercer dans le rouage des flot au sifflement intense émie par le ballet des vagues........... a l'écoute de sa Princesse il la regarde tendrement et lui sourit..............

Oui Mon Amour je t'écoute!!oooh!!tu as quelque chose d'important à me dire!! une nouvelle!!hummm!!...............me réserverais-tu une surprise ma douce!!

Il la regarde dans les yeux et attend avec impatiente l'annonce de la nouvelle.................... le cœur battant rien que pour elle car dans ces instants si merveilleux il en oubli le monde autour de lui.......
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Dame_phrenegonde

Phré, le coeur battant de bonheur, prend une grande respiration et continue.

Oui mon coeur une merveilleuse surprise!

Elle lui fait un sourire radieux et poursuit, accompagnée par le bruit des vagues.

Mon amour ! Certains signes m'ont montré que dans quelques temps nous seront trois !!! Tu vas être Papa mon coeur.

Phré continue de le regarder dans les yeux, serrant sa main dans la sienne, en attendant une réaction.
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Dame_phrenegonde

Phré rêvait en regardant les vagues s'écraser devant ses pieds lorsqu'elle entend une douce voix familière.

Mon coeur !! j'étais sure que tu me retrouverais. ^^ Je suis heureuse d'avoir pu voir la mer et tout ça c'est grâce à toi !!

Pedro la serre contre lui et l'embrasse passionnément, Phré prolonge le baiser puis poursuit:

Mon amour j'ai quelque chose d'important à te dire !!

Elle le regarde tendrement dans les yeux en souriant, en se demandant quelle serait sa réaction à l'annonce de la nouvelle.
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Dame_phrenegonde

Phré venait d'arriver à Bézier par cette matinée un peu fraîche, avec l'homme de sa vie et sa meilleur amie.
Pedro et Weed dormaient toujours, ne voulant pas les réveiller, elle décide donc d'aller se balader accompagnée de Véanor son jeune loup .

Ses pas la conduisent le long de la plage où elle découvre une chose magnifique.
Une immense étendue d'eau bleue claire à perte de vu. Elle s'arrête un moment et s'assoie dans le sable rafraîchit pas la gelée matinale.

Alors c'est ça "La Mer", je ne savais pas que c'était aussi beau.

Phré reste là, assise pendant de longues minutes, en regardant la mer avec de grands yeux brillants, alors que Véanor papotage dans l'eau écumeuse.
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Pedroroy

Au p'tit matin après avoir chevauché la campagne languedocienne Pedro arrive à Béziers avec son Amour Phré et leur meilleure amie Weedounette..........

Ils se reposent tous un moment fatigués de leur voyage...Pedro se réveille après quelques heures de sommeil et ne sent plus la présence de son amour!!........il se dit que elle a du aller voir la mer a son réveil...........

Tiens mon amour!! je savais que la première de chose que tu ferais en te levant c'est de venir ici!! ...........oui la mer est magnifique et majestueuse!!!

IL enlace son amour la serre contre et contemple l'étendu d'eau dont les vagues rebondissent devant eux.............le soleil est au plus haut , les cheveux de son amour se soulèvent par le vent rentrant............il la regarde , lui sourit et l'embrasse tendrement avec amour et passion..............
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pnj

Dot enroula ses jambes autour de lui et l'embrassa de nouveau.

Bonjour mon coeur, bonne l'eau?? elle est gelée oui! mais sa ravigote c'est vrai!

Bloody sentait lui aussi qu'on les observait mais n'y fesait point attention.

Oui tu as raison sortons! d'autre personne arrive en plus!

Ils sortirent de l'eau et se rhabillèrent rapidement.
Dot pris une chope qu'elle remplit d'eau et se dirigea vers l'homme endormit.

Non! Dot ne fais pas sa le pauvre...

Trop tard le contenu de la chope était déja répandue sur le malheureux

pnj

Il était tôt le matin lorsque Rozi arriva en ville. Elle serrait fort contre elle sa petite princesse, bien enroulée dans un gros châle pour ne pas avoir froid. Ses cheveux, plus clairs désormais, flottaient au vent, vent qui la faisait frissonner. Ou alors était-ce l'émotion de savoir qu'elle allait enfin retrouver l'homme qui lui a offert son cœur à jamais un jour... Elle longea la plage, observant ce lieu qu'elle n'avait pas vu depuis des années, elle n'aurait jamais cru revenir un jour dans cette ville... Mais il fallait cela pour reformer leur famille, pour qu'ils soient à nouveau tous heureux ensemble.

La petite s'agitant un peu elle lui caressa délicatement le front avant d'y déposer un doux baiser et de lui murmurer

"Ca va aller ma chérie, on sera bientôt au chaud... Et tu vois toute cette eau là-bas c'est la mer... C'est dans cette ville que vit ton Papa, il sera si heureux de te voir..."

Elle sourit tendrement, même si la petite ne pouvait tout comprendre ce que sa Maman lui disait, celle-ci avait toujours eu l'habitude de lui parler, qu'elle sache d'où elle vient et ce qu'il se passait. Elle finit par faire le choix de se diriger vers une auberge pour se reposer un peu avant d'aller retrouver celui qui partagerait de nouveau leur vie. Elle se demandait si elle allait se faire à nouveau nom... Même si ce n'était pas la première qu'il en changeait celui-ci était bien différent, mais bon cela ne les avait jamais empêché de s'aimer aussi intensément. Des semaines d'attente et de recherche, elle ne réalisait pas encore qu'elle touchait enfin au but alors qu'elle avait cru en mourir bien avant. Il fallait vraiment que toutes deux soient en forme et bien pomponnées pour retrouver celui qu'elles ont tant cherché. Elles disparurent en direction de la ville, ne laissant que quelques marques de pas disparaissant au vent derrière elles.

Fredo451

Fredo se promenait sur la plage ,quand il vu strangy .Bonjour mon ange ca va? J'aime bien me promener sur la plage mais seul c pas terrible, c'est mieux avec une jolie fille,veux tu m'accompagner, fredo lui tends la main pour qu'elle le suive.

Huhu49

Hu ne pouvait s empecher de revenir sur cette plage dont il adorait l odeur et la bise.

Il apprécie également de voir d'aussi jolies filles se divertir, se delasser, rever sur le sable. Il reconnait d'ailleur plusieurs d entrelles mais n ose aller les déranger.

Hu s'allonge sur le sable et rêve s'endort, et imagine :

L'horizon n'est jamais aussi beau
que lorsqu'il est baigné par les flots.
Bercées par les vagues aux reflets bleutés
des ombres colorées envahissent nos pensées.

L'ecume des vagues effleure vos levres
en emportant avec ses lames cremeuses
votre passage sur cette plage heureuse
vous mes beautés aux corps de reves

Dotyy

Dotyy fut un peu surprise quand elle sentit une personne prête d'elle, mais elle le reconnut de suite et ne dit rien quand il l'embrassât.

Elle enroula ses jambes autour de sa taille et répondit à son baiser avec passion. Puis elle regardat, lui sourit et lui dit :

Bonjour Bloody, l'eau est bonne tu ne trouve pas ? un peu fraîche mais elle remet bien les idées en place.

Puis dotyy arrêtas d'un coup et eu l'impression que quelqu’un les regardaient mais elle n'arrivait pas a situer cette personne, puis elle aperçut fredo arrivais et se diriger vers une personne.

Dotyy la reconnue de suite c'etait strangy. Dotyy sourit puis elle regardas de nouvelle bloody et lui dit :

On devrait sortir avant que tout Béziers arrive.

Puis elle se mit à rire.

Elle sortit de l'eau avec bloody.

La elle vie de loin son ami huhu qui s'allongeât sur le sable.

Elle se dépêcha de remettre sa robe et regardas de nouveau vers huhu, il semblait s'être endormit.

elle eut alors une idée. Elle sortit une choppe de sa besace et courut jusqu'a l'eau et la remplit puis elle se dirigea vers huhu qui dormait et elle lui versa le contenue de la choppe sur le visage tout en souriant.

Puis elle attendit toujours le sourire aux lèvres.
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pnj

Bloody se promenait le long de la mer sur le bord de la plage, l'air frais de la mer le reviguorait, il n'allait pas souvent ici et y restait plusieur heure a marcher tranquillement les pieds dans le sable, regardant tantôt la mer tantôt le sable, il remarqua une jeune et jolie demoiselle qui se baignait, elle ressemblait a une sirène nagant au gré des vagues.

Il crut reconnaitre Dot pendant un momment mais n'y fit pas plus attention et continua de marcher, il s'arreta près d'une robe étalé par terre, il reconnut celle de Dot et regarda de nouveau la mer. Il fit un signe de bras en direction de sa sirène, et se mit en quête d'aller la rejoindre.

Il enleva ses vêtements et les déposa dans sa besace, il rangea aussi la robe dans sa besace.

Il se mit a l'eau et fut parcouru d'un frisson lorsqu'il déposa les pieds dans l'eau, il hésita un petit momment avant de continuer. Il nagea tranquillement jsuqu'a Dot et l'embrassa sans qu'il ne se dise un mot.

pnj

Il n'était pas si fréquent les moments où Strangy prenait la peine de venir au bord de la mer.

Par manque de temps. Par flemme et aussi, un peu parce que sa maison donnant sur la mer, tous les matins elle sortait sur sa terrasse en buvant son café, ses pensées surfant sur les vagues et se perdant dans l'étendue saline.

Quelque soit le temps, quelque soit la température; les embruns, l'air iodé l'a revigoré et comme un coup de fouet, ce rituel matinal l'aidait à débuter sa journée.

Aussi venir en journée ne lui était pas courant.

Très vite, elle ne regretta pas d'être là. Le spectacle qui s'offrait à elle la fit sourire. Au début elle avait tout de suite reconnue Dotyy. Comment pouvait-il en être autrement.
L'homme qu'elle vit glisser subrepticement dans les flots à la rencontre de Dotyy, puis l'embrasser à demi par surprise, ne lui était pas familier. Ni d'apparence, ni de connaissance.
Indubitablement cela faisait partie de l'histoire de son amie.
Elle resta là un long moment sans savoir, ni chercher à être vu ou non. Elle observa cette scène, de la façon la plus naturelle possible. Cela ne lui vint pas à l'idée de faire un pas en arrière. Son sens aigu de la liberté n'y voyait rien de particulier.

La brise marine humecté son visage; Une impression doucereuse et agréable. C'est probablement le froid qui la fit frissonner. Que cela pouvait-il être d'autre?

pnj

skizo ces reveille camoufler entre les roches et les arbers , il ces relever doucement ,
il regarde lullaby , toujour en boule coller a lui il decouvret doucement la peaux de mouton , puis ces rallonge a ces coter et lui dit a
l oreille
ta peaux est de toute beauter
ta saveur est comme le miel des premier jours
je ne peux me passer de toi
attire par t on nectar
je suis comme l abeille , qui vas a traver chanps
tu est ma fleur ; ma petale; ma douceur
je me reveille aupres de toi , la joie au coeur de tes voir blotti contre moi
toi mon petit t ange du bonheur .. de skizo

il l embrasse , ces leve et la recouvre ;
vas au bord de la plage enlever ces affaire vite fait et rentre vite dans la mer pour ces baigne ( ça reveiller un mort). aaaaaahhhh

pnj

Lulla avait entendu son poète se réveiller, elle gardait ses yeux fermés et savourait de l'avoir à ses côtés sur cette plage.
Il revint contre son corps et elle l'entendit lui murmurer :

Citation:

ta peaux est de toute beauter
ta saveur est comme le miel des premier jours
je ne peux me passer de toi
attire par t on nectar
je suis comme l abeille , qui vas a traver chanps
tu est ma fleur ; ma petale; ma douceur
je me reveille aupres de toi , la joie au coeur de tes voir blotti contre moi
toi mon petit t ange du bonheur

Elle sentit les lèvres de son amour se poser sur les siennes et se dit qu'elle était la plus heureuse des femmes.

Sous la peau de mouton, elle somnolait et dans un demi sommeil entendit soudain un

Citation:

"aaaaaahhhh"

couvrant le bruit des vagues
Elle se redressa et vit Skizo, beau comme un Dieu grec, se baigner dans la mer.

Sous l'impulsion du moment, elle sauta sur ses pieds, vit voler ses petits haillons et le rejoignit dans l'eau :
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh"

Dotyy

Dotyy décidas ce soir la d'aller se balader à la plage, elle venait de finir sa journée a la boucherie, elle l'avait fermé etait vite fait chez elle pour se changer et voire le petit pule. Puis elle prit le chemin qui mener à la plage.

Elle arriva en haut des dunes de sable et aperçut la mer qui se prolonger à perte de vue.

Elle etait toujours sous le charme a chaque fois qu'elle venait ici. Elle réalisât soudain qu'elle n'y etait pas revenue depuis son retour a Béziers.

Elle descendit la dune ou elle se trouvait et s'assit en bas, admirant les vagues et le couché de soleil. Elle aimait cette tranquillité et se dit que s'etait l'endroit parfais pour réfléchir et prendre des décisions.

Apres avoir réfléchi un long moment, elle se dit qu'il etait temps de se détendre un peu.

Elle se mit debout et fit descendre sa robe le long de son corps, elle se dégageas de sa robe puis courut jusque dans l'eau ou elle se mit à nager.

Dotyy aimer sentir le contact de l'eau contre son corps.

Elle continua à nager en ne pensant plus a rien, même au temps qui passé.
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Babette

Elle se décida enfin à aller faire un tour sur la plage avec Ariane qui avait bien besoin de se dépenser. Elle avait ramassé un baton et lui lançait en avançant sur le sable. Arrivée au bord de l'eau elle laissa Ariane s'amuser dans les vaguelettes et alla s'asseoir plus loin tout en la surveillant.

Elle entendit au loin les paroles du poète et tout lui revint en mémoire.

Les bras autour de ses genoux , elle repensait à son premier passage à Béziers. Leur voyage de retour vers chez eux.Elle était si heureuse, il lui avait demandé d'être sa femme. Ils avançaient main dans la main, ne craignant rien, sinon le fait d'être séparés.

Tu me manques tellement, tes bras autour de moi, tes mots si doux à mon oreille, tous ces moments de notre voyage qui sont gravés dans mon esprit et dans mon coeur.

Elle laissa couler les larmes, qu'elle retient tous les jours devant ses amis ne voulant pas leur faire de peine.

Ariane revint vers elle, la sentant triste surement, et posa sa tête sur son épaule. Elle se releva, lui donnant une caresse, pour la ramener hors de la ville , avant de rejoindre les autres devant une bonne bière. Cela lui ferait le plus grand bien.

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La vie est courte , il faut dire les choses tant que l'on peut !

Melisende_

C'était la première fois que Nanelle descendait aussi bas en Languedoc, elle était arrivée ce matin là à Béziers en compagnie de son époux Actarius et de sa petite princesse Mélisende, qui n'était plus si petite que cela, la jeune demoiselle avait déjà 7 ans. Ils faisaient tous trois un petit tour des différentes villes du Languedoc afin d'y récolter quelques dons pour le comté. La jeune femme était enchantée par ce petit voyage, cela lui faisait le plus grand bien de s'éloigner un peu de Mende, et encore plus de bien de passer un peu de temps avec son époux qu'elle ne faisait que croiser à cause de ses diverses fonctions. Mais une partie de son cœur était resté à Mende avec leur petite Enimie né quelques mois plus tôt, qui était malheureusement encore trop petite pour faire un tel voyage.

Après avoir pris soin de bien installer sa petite famille dans une auberge, Acta se rendit en ville pour faire connaitre sa venue. Il était déjà venue à Béziers, il leur avait longuement parlé de la mer, de cette plage au sable fin et de cette eau à perte de vue. Nanelle et Mélisende n'avaient encore jamais eut l'occasion de voir la mer. La jeune femme voulait attendre le retour de son époux pour la découvrir tous ensemble, mais Mélisende en avait décidée autrement, il était impatiente et trépignait dans cette petite chambre, ne tenant pas en place et demandant toutes les cinq minutes si son papa allait bientôt revenir.

Las de l'entendre et aussi impatiente que la petite fille, il faut bien le dire, la jeune femme pris un parchemin et écrivit quelques mots à l'intention de son époux.

Citation:

Mon cœur,

Tu connais notre impatience, nous n'avons pas pu t'attendre plus longtemps. Si tu ne reviens pas trop tard, viens nous rejoindre pour une petite ballade sur la plage.

Je t'embrasse.

Ton Ange

La jeune femme eut juste le temps d'attraper sa cape que la petite fille l'entrainait déjà en dehors de la chambre. Nanelle et Mélisende, main dans la main, se dirigèrent vers la plage après s'être renseigné auprès de l'aubergiste de la direction à prendre ( on ne sait jamais, c'est bien connu que les femmes n'ont pas du tout le sens de l'orientation... ).

Au fur et à mesure qu'elles approchaient, le vent devenait plus frais. Après quelques centaines de mètres, qui avaient paru interminable à la fillette, ils aperçurent enfin cette immense étendu bleue. C'était indescriptible, la vue était magnifique, même Mélisende pourtant si pipelette ne trouva plus ses mots.

Maman... maman... regarde, c'est...... waouuuuuuuuu...

Lâchant la mère de sa mère, la petite se mit à courir dans le sable, elle courait et riait faisant des aller retour sur la plage. C'était vraiment beau, Nanelle regretta à cet instant de ne pas avoir attendu le retour de son amour. Elle aurait aimé partager ce moment avec lui. La jeune femme s'assit dans le sable, le regard perdu sur l'horizon, laissant ses doigts glisser dans le sable.
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Huhu49

Hu arriva sur ce sable fin dont les grains fremissait sous ses pas

Il adorait la douceur de cette plage et cela le tranquilisait a chaque fois qu il regardait l'horizon. Il pensait a tous ses amis et également a ses futurs amis qu ils ne connaissaient pas encore. Il lui semblait que la ville de BEZIERS c'était un peu apaisé et cela le ravissait. Les gens semblaient s appréciés et c est ce qui lui importait.

Les vagues, fines et légères s'échouaient a l'aube de ses pieds, laissant l'écume effleuré ses doigts de pieds. Cela lui faisait pensé à la rage que certain biterrois avaient pu avoir à son encontre au début de son séjour dans cette ville. Toutefois cette colère semblait les avoir abandoné après qu'ils eut connu véritablement hu.

J'adore voir toutes ces ames qui deambulent sur la plage et qui laissent libres courts a leurs pensées.
J'adore ce silence juste brisé par le cri des mouettes et le son de la mer.
Aucun reproche, aucune colère, juste un endroit paisible qui réchauffe les coeurs

Hu s'allongea sur la plage et se mit a rever d'une ville ou tous les gens pouvaient s apprécier malgré leurs divergences.

pnj

skizo marche le long de la plage entre l ecume et le sable il ces rememore quelque poeme a voix haute ,ces melange entre la melodie de la mer et les fracas des vagues sur les roches;

t on sourire me redonne du bonheur
t on regard est si joli, qu il fait battre bien fort mon coeur
t on charme entier me conquit
j aime t on parfum et ta douceur

je t aime a la folie et je t aimerai j usqua ma derniere heure
j usqua mon dernie souffle de vie
tu est ma tendresse ma force et mon courage
mon amour qui fait battre mon coeur
skizo
il s arrete et regarde au loin ces merveilleux paysage , et continue a pense
a tous ces poeme qu il voudrait offrire a tous ces gens qu il a croise.

Wgaby

De bon matin , au lever du jour, je m'en allai me promener sur la plage. J'enlevai mes jolies bottes, et marcha sur le sable frait nus pieds.
Tout en réflêchissant, à mon passer, à mes coups de coeurs, je sentis les larmes m'envahires. Je me suis assis sur ce sable, et je me mis à pleurer de toutes mes larmes!
Un bon coup de cafard! pourquoi, le mauvais sors s'acharne t'il sur moi?
Je finis par me relever, et à continuer de marcher, le long de la plage...

Barberine

Par ce bel après midi Barberine se promenait tranquillement sur les rives.

Le soleil ravivait son plaisir d'avoir fait étape dans cette jolie ville.

Elle serait triste de quitter dans quelques jours certains villageois qu'elle considérait déjà comme des amis.

Elle regrettait juste que son homme soit trop fatigué pour l'accompagner dans cette promenade, elle aurait aimé se promener avec lui main dans la main, s'asseoir au bord de l'eau, poser la tête sur son épaule, ne pas parler, rester là comme ça à entendre le clapotis régulier.

Elle devait s'armer de patience, ce moment viendrait bientôt elle l'esperait.

Barberine s'assied sur un rocher, entoure ses genoux de ses bras et regarde le spectacle qui s'offre à elle.

Floyanne

flo avait fait son retour tôt le matin..elle c'était précipitée à la taverne de son ami qu'elle avait retrouvé rayonnant de plaisir et de bonheur..cela lui réchauffa le coeur il le méritait..elle se rendit nsuite à l'endroit qu'elle chérissait tant..elle se souvenait y a voir passé beaucoup de temps avant son départ..
Flo se trouva un endroit tranquille afin de s'isoler..la plage etait assez déserte cela ne lui fût pas difficile..Le vent était pultôt glacial..elle s'asseya.enroula ses bras autour de ses genoux comme elle le faisait à chaque fois qu'elle aimait se perdre dans ses pensées...
Un homme lui fît préter attention..Il s'exprimé à haute voix comm si il etait seul au monde...Flo écouta son récit et constata que celui-ci racontait un poeme..Flo laissa échappé un sourire se disant que la destinataire de ces ver était bien gâtée....celui ci lui arracha malgrés tous une douleur..
elle etait lasse de cette vie ... elle aurait aimé s'endormir et ne plus s reveiller....

pnj

skizo poete de carcassonne prend l airs de la plage respire le vent et pense a sa belle en chemin ;
il s assied sur la plage regarde autour de lui et ces dit que bezie est un tres beau village , je suis presse dit rancontre ces villagoies ; il sort son parchemin et tous haut il lis son poeme en cadeaux pour les villagoies de beziers.
ohhh pour vous les amoureux et ceux qu il veule etre aimee
ecouter
ton prenon resonne dans ma tete
comme une douce melodie
tes sourire ravive mes jour de pluies
tes yeux, j en reve jour et nuit
tes levers me font oublier mes soucis
je reve d etre dans tes bras
d etre aupres de toi
j aimerais passer ma vie. je t aime ma douce au parfum de fleur de rose. skizo poete de carcassonne
il ces releve puis ces dirige vers le village.

Code:

Seloutte

Seloute fit une dernière fois le tour de Béziers et ses pas l'amenèrent sur la plage où elle s'asseya sur le sable.

Elle se perdit dans ses pensées et se remémora les bons et les mauvais moments qu'elle avait passé ici.

Quelques larmes coulèrent de ses yeux car elle savait qu'une énorme plaie ne se refermerai jamais et qu'il était préférable qu'elle parte le plus loin possible pour essayer d'oublier.

Elle se leva, pris sa besace et partit sur la route sans se retourner.

Lou.

Lou. regardait la mer, pensive. La vie lui jouait un drôle de tour....
Elle commença à marcher parallèle à l'onde mouvante et laissa le sable garder ses empreintes un bref instant.
Souriante, elle retrouva les sensations de douceur, cette caresse inimitable et l'odeur iodée. Prise d'un fou rire, elle le laissa s'échapper et écartant les bras, tourna sur elle-même, heureuse d'être en vie, heureuse d'être là.
Elle finit pas s'asseoir, essoufflée et ferma les yeux, écoutant le vent et les vagues lui raconter une histoire.

pnj

toute l'apres midi a travailler par ce froid , faisant divers travaux avant le rigoureux hiver annoncé , david avait chercher en vain cette fille au cheveux foncés qui l'avait envouté

au detour d'une ruelle il tomba sur un ami qui lui dit on elle s'etait rendu
il prit alors le chemin de la mer en poussant l'allure

en arrivant sur le sable il fallait prendre une direction il reflechit que un instant et pris la direction de lest vent dans le dos

au loin il appercu une silhouette recroquevillé , il s'approcha d'elle se mit derriere il posa une main sur son epaule se colla a elle et mis sajoue contre la sienne
tu n'a pas froid cherie ??

Lou.

Lou sourit en sentant la douce chaleur dans son dos. Le souffle chaud sur sa joue, et cette voix tendre. Elle se sentait bien.

Non, amour...Pas froid...Je me sens merveilleusement bien. Mmmm Qu'il est bon d'être ici!! La mer, l'amour...Je suis aux anges!!
Elle se retourna un peu et posa un baiser léger sur ses lèvres fraiches

Floyanne

Flo regarda gaetan lui adressa un dernier sourire.. l'enlaça amicalement dans ses bras et lui murmura un "je t'adore " reste comme tu es."
Elle laissa une larme roulée sur sa joue.. prit son baluchon .. et la direction des chemins qui l'attendaient

pnj

Gaetan regardait Flo se levait et partir , il ne put s'empêcher de remarquer la larme de flo. Puis elle se leva et partit , en la regardant partir gaetan ne put s'empêcher de verser une petite larme lui aussi .

Après quelque minutes , il se leva et retourna dans sa taverne.

Kale_roloc

Ainsi ils avaient choisi des prénoms pour leurs futurs enfants. Agulis si c'était un petit gars, Bérangère pour une petite dame. Il restèrent à savourer les derniers moments du jour tombant, regardant le soleil accrocher des ors et des pourpres aux nuages épars dans le ciel et à la crête des douces vagues qui mourraient à leurs pieds...

Lorsque l'ombre commença à s'étendre, ils se levèrent. Kale embrassa encore sa fiancée puis alla détacher les chevaux. Le ciel était toujours clair, et la lumière de la lune et des étoiles nimbait le paysage d'une lueur douce et apaisante.

Kale sortit des fontes de grandes capes qui suffiraient à les protéger de la fraicheur du soir, et ils repartirent vers leur logis. Le ciel était superbe, et les étoiles magnifiques. Mais chaque fois qu'il captait le regard de sa bien-aimée, Kale se disait que la plus belle de toute se nichait au fond des yeux de Sylo...
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Herboriste, boucher, poête à ses heures. Responsable médical de Béziers

J'aime, donc je suis. Merci Sylo

Huhu49

Hu depuis longtemps avait voulu venir s isoler sur la plage et sentir les effluves de la mer. Cette odeur d iode, l ecume qui caressait le sable, le vent qui sifflait dans ses oreilles.

Il se dit que cela ferait une belle balade avec son amour Arthe. Marcher sur le sable chaud, bars dessus dessous tout en regardant l horizon et tous ces couples qui semblaient s aimer ou se chercher.

Quelle plaisir de se ressourcer et de ne plus penser.
En repartant hu apercu Gaetan et Floyanne ainsi qu Isalie qu il salua d un grand geste de la main.

Floyanne

Flo souria à la taquinerie de Gaetan... amoureuse de lui.. il aimait l'embeter à lui dire ça...
Soudain elle le regarda plus serieusement.. elle devait lui annoncer.. elle savait qu'elle ne le faisait pas de bon coeur mais il le fallait

Gaetan?? je suis venue aussi te dire quelque chose d'important..
Je quitte bezier ce soir.. je reprends ma route....tu as était un merveilleux ami et tu le seras encore longtemps..je te donnerais des nouvelles régulierement ...tu ma manqueras beaucoup.. surtout des poustillons dans mon oreille...

Elle ria pour détendre un peu l'atmosphère..elle savait la peine qu'elle affligé à son ami Gaetan..

Toi par contre tu as interet de rester tels que tu es .. et je te souhaite de recevoir tous le bonheur que tu mérites

Elle lui fit un tendre bisous.. remplie de l'amitié qu'elle avit pour lui

pnj

Gaetan écouta son amie devenir sérieuse et lui annoncer son départ. Il fut fort triste de savoir qu'une de ses meilleurs amis , voire même la meilleure partait.

Et , bien c'est plutôt brutale comme départ , mais je te souhaite le plus de bonheur possible et si tu doit partir pour être heureuse alors part. J'espère bien que tu va donner de tes nouvelles ,et j'espère que tu passera me voir de temps en temps quand même.

Gaetan était vraiment triste, il pensait a toute les choses qu'il ont fait ensemble durant son passage a Béziers , tout les postillons et toutes ces longues discutions autour d'une bière dans sa taverne.

Floyanne

Flo souria à Gaetan en l'entendant dire que c'étaient les même choses qui le tracassaient au fond elle le savait ... et pour cela qu'elle était là.. elle n'aimait pas le voir ainsi.. elle but une gorgée de sa fiole .. regarda son ami et lui dit

ben moi je traîne de ci de là.. et puis je te voyait pas ces derniers temps en taverne je m'inquiètais !!
pis moi en taverne je m'ennuie .. je ne comprends rien de ce qui s'y passe en ce moment.. alors j'ai preferée venir ici.. je suis comme toi j'adore cette endroit.. pis quoi?? j'ai pas le droit de venir t'embeter un peu ???

pnj

Oui c'est vrai que en se moment les gens sont bizarres en tavernes , un peu trop joyeux pour moi.

Gaetan sourit et se retourna afin de pouvoir regarder l'horizon. Puis il rajouta:

Je me doutais que tu allais passer. Me ment pas tu voulait voir comment j'allais . Je le savais tu est amoureuse de moi.

Gaetan éclata de rire et continua a regarder la mer.

Isarie

Isarie n'était pas encore venue admirer cette plage, dont Strangy lui avait vanté la beauté et la douceur lors de son voyage.
Celà faisait bien des années qu'elle n'avait pas vu la mer, depuis ses années d'enfance...

Elle arriva sur le bord de la plage, le soleil se levait et reflétait dans l'eau une lumière un peu froide. Un peu plus loin, deux couples ne semblaient préoccuppés que par eux-même. Une barque renversée, avec un écriteau dont elle ne parvenait pas à lire l'inscription de loin. La plage était pratiquement déserte. Celà lui convenait. Elle avait envie de calme et de solitude pour goûter à l'odeur âcre de la Méditerranée. Elle respira profondément, goûtant le sel et l'iode sur ses lèvres. L'eau faisait danser la lumière sur toutes ses vagues, faisant un jeu de miroir qui éclaboussait de clarté le paysage. Les vagues venaient mourir avec un doux murmure obstiné, comme pour partager tous les secrets qu'elles gardaient.

Isarie se déchaussa pour sentir sous sa plante le grain fin du sable. Celui-ci était encore frais de la nuit, et légèrement humide.
Isarie offrit son visage à la lumière, se laissant envahir par toutes ces sensations qui l'enivraient. C'était un moment de pur ravissement et de bonheur extatique. Elle vida son esprit de toute pensée pour se concentrer sur ces instants de sensualité exquise.

pnj

Fossaert étant venu admiré la plage de béziers pour la derniere fois eut dur cette visite il se balada le long des dunes de Béziers et y laissa meme échappé quelque larmes.

Il continua sa blade et ramassa un petit coquillage magnifique il se promit de le garder tout sa vie il était magnifique il en trouva un deuxieme pareil autant magnifique que l'autre il se promit de le garder aussi.

Puis il alla finir sa balade en observant Béziers et la plage il était deja tard quand il était venu sur la plage.
Il vit Wgaby , Gaetan1701 , Floyanne puis Kanea il passa jute devant eu et leur fit un petit signe de la main

"salut a vous et je pense vous dire adieu je part demain dans la soirée"

Puis il continua sa balade il vit des pecheurs au loin il leur fit a tous des signes de la main.

Il continua sa balade et il vit le Cadastre les maisons et Les quartier Il voit meme son ancienne maison et aussi son magasin de fraises qui était fermé.

Il laissa encre une fois échappé des larmes.

Il venait de terminer sa balade il décida donc de rentrer mais rentrer ou?c'était la question qu'il se posait allait il aller dormir a l'auberge des voyageurs ?il y renonça il préféra meme dormir dehors que de passer dans Béziers pour rentrer là dedans il alla prendre sa barque cacher et il essaya de trouver un bon coin de la plage chaud il décida plutot un trou dans le sable qu'il fit lui meme il aurait plus chaud dans le sable fin chauffé la journée par le soleil.

Ayant fini son trou il installa sa barque juste a ce trou puis le il souleve sa barque et se cacha en dessous il se dit:

*ici au moins il fait chaud*

mais il se rappela une chose qu'il avait oublié pour les personnes qui le cherchait comment allait il faire?

Il décida de faire un petit panneau avec écrit:

[domicile pour la nuit de ce soir a demain ou plus pour Fossaert il est toujours la ]

heureusement il avait le matériel.

Ensuite Fossaert se cacha encore une fois dans sa taniere ou il s'endormit car il était fatigué

pnj

Gaëtan était assis la depuis plusieurs heures, il regardait au loin , l'horizon . Il pensait a tout les événements de ses derniers jours, à sa vie. Puis il fut surprit par l'arrivée de Flo .

Tiens, salut , ça va ? Et bien je suis venu réfléchir un peu.

Flo lui tendit une fiole et lui dit de ne pas tout boire.

Ne t inquiète pas , je vais t'en laisser quelques goutes.

Gaetan prit la fiole et en bu quelque gorgé. Puis il lui rendit .

Ce qui me tracasse , et bien comme d'habitude , rien de grave . Mais j'aime bien venir ici afin de repenser a des bonnes et des moins bonnes choses.
Et toi quesqu'i t'emmène.

Floyanne

Flo n'avait pas croisé son ami Gaetan depuis 2 jours en taverne.. cela l'inquiètée un peu.. elle savait où le trouvé alors elle décida.. munie d'une petite fiole d'allait l'embeter un peu...
C'était devenue une habitude ..taquiner Gaetan. il l'a faisait rire .. et le chantage journalier que celui-ci lui faisait chaque jours l'amusait beaucoup..
C'est un pas décidé qu'elle se rendit à la plage...endroit ou son ami aimait dormir..elle aperçue au loin Gaby et kanea qui s'amusaient comme des fous..elle les salua de loin sans être sure qu'ils l'ai vue..
elle marcha pieds nu dans le sable jusqu'a ce que la silhouette de gaetan aparaisse.. il etait là scrutant l'horizon perdu dans ses pensées.. elle s'aprocha doucement avec un sourire malicieux.. s'asseya à ses côtés et lui donna un p'tit coup de coude

Coucou!! toi !!! ben alors que fait tu ici??je t'attendais moi en taverne ...
tu es encore en train de penser à moi

Flo eclata de rire elle adorait l'embeter

Tiens je t'ai aporter un petit remontant histoire de te requinquer

Flo sortit sa p'tite fiole de sa poche rempli d'hydromel qu'elle avait trouvée au marché

Bon tu bois pas tous hein ??? tu partages !!!

et aprés tu me diras ce qui te tracasse au point de t'isoler comme un sauvage

Flo lui souria amicalement .. elle aimait pas voir son ami ainsi .. elle preferait le voir sauter par dessus son comptoir

pnj

merci a toi , mais ne t inquiète pas il me faut juste quelques temps . Ce n'est qu'une question d'heure.

Wgaby

Kanea

Kanea est toute contente de voir enfin la plage avec wgaby .Apres avoir traverser le village tout nouveau pour elle ,elle la voit enfin cette plage magnifique et cette mer a perte de vue ,elle se sent un peu etourdie par tout cet espace......
elle court sur ce sable si doux et est bien vite rattapée par Wab .Ils tombent ensemble et sent ses douces levres sur les siennes ,repond a son baiser.

et lui dit quel merveilleux lever de soleil je m'en souviendrais toute ma vie tout en lui souriant

Kanea

Kanea voulait voir la plage depuis qu'elle etait arrivée a Beziers aussi ce matin elle alla voir le lever de soleil sur la mer.
En approchant elle vit la sihouette de Gaetan ,une des personnes qui l'avait acceuilli a son arrivée,elle s'approcha de lui.

Gaetan?mais que fais tu dans l'eau et le regarde perdu vers l'horizon?tu as l'air si triste

pnj

Gaetan n'avait pas vu arrivé Kanea, il fut surprit d'entendre sa voix . Il se retourna et la regarda.

Oui ,voila se qui arrive quand on tombe "trop" vite amoureux. Enfin bon j'espère que sa ira mieux.

Gaetan retourna à son occupation , attendre que le soleil se lève. Puis , il dit :

Viens t'assoir , on a une bonne vue de lever de soleil ici.[/i]

Kanea

merci Gaetan c'est tres gentil j'espere que tu va vite aller bien mieux

pnj

Gaetan ne ce sentais pas bien en cette soirée qui était bien triste pour lui. Il ne tenait plus dans sa taverne. Il décida de venir faire un tour a la plage afin de réfléchir. Il marchait le long de l'eau , pied nue . Les vagues emmenaient l'eau jusqu'à ses pieds.
Pourquoi fallait-il qu'il fasse confiance au dame si facilement? Pourquoi ne pouvait il pas être comme ces hommes qui n'éprouvait aucun sentiment pour leurs conquêtes ?
Puis il s'assit dans l'eau et regarda droit devant lui , sans rien fixé de particulier , en pensant juste a son mal.

Floyanne

la vie lui semblait soudaine belle...sous ses airs d'ours mal léché .. il était la tendresse incarné..elle se laissa portée sur la selle du bourin .. elle se sentait si légère lorqu'il a porté ainsi..Une fois installés tous les deux.. flo passa ses bras autour de la taille de Pule .. et posa sa tête tous contre son dos ... elle ferma les yeux .. elle savait qu'il ne lui arriverait rien..Soudain un cri tira flo de sa reverie.. qui pouvait crier ainsi..elle se redressa lorsque Pule poussa un grognement.. elle aperçut une femme qui etait comme figée...
Qui cela pouvait -il etre ?? jamais encore flo ne l'avait croisé ni en taverne ni ailleur

Flo savait que pule avait etait marié.. il ne lui avait rien caché.. mais pourquoi le rgardait -elle ainsi ?? leurs histoires etait finie
Elle n'y preta guère plus d'attention et se blottissa de nouveau contre celui pour qui ses sentiments allait..

Pulemetchik

Quand Flo se levat, il l'embrassat encore une fois puis la prit pa la taille et la déposat doucement sur la croupe d'Almut.
Il montat à sa suite en selle et entendit une espece de petit cris, il cherchat prestement du regard qui en était la source et apercut son ancienne compagne qui était plantée là à les regarder.
Il haussat les épaules, lachant un leger grognement tout en se retournant puis passat son bras dans son dos de facon à tenir Flo par le flanc pour quelle ne chute pas et mit son bourrin au galop, parcourant quelques dizaines de mètres sur la plage pour dire au revoir à sa mère puis changeat de direction, tout droit vers la ville, gardant toujours un de ses bras sur le flanc de Flo et sa main libre tenant les renes.
Ils s'éloignèrent ainssi, galopants vers la ville qui ne tarderait pas à se réveiller d'ici peu, soit du fait du lever du soleil, soit par le fait des sabots qui provoqueraient bientot un bruit du tonerre dans les rues de Béziers.
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Floyanne

cela faisait des heures que Flo devait être assise ici... A ressasser tous ces souvenir la notion du temps lui avait complètement échapée..mais les questions demeuraient toujours...pouvait-elle aimer de nouveau??.. Pourrait-elle faire de nouveau confiance à quelqu'un...Elle aurait pu y réfléchir pendant des heures elle n'avait aucune réponses à aporter à ça...
Le froid commencer à l'engourdir .. il fallait qu'elle rentre.. Elle savait que ses nouveaux amis la taquineraient de nouveau avec des questions.. des intuitions .. des choses qu'ils voyaient et qu'ils interprétaient à leur façon.. mais peu de gens connaissait Flo réellement.. elle dissimulait tous ses angoissent derrière la rigolade..
Un bruit inhabituel la tira de ses pensées.. un bruit de sabots..de cheval foulant le sable à grands pas... et qui venait à son encontre..
Elle chercha du regard..l'image devenait plus net à chaque pas de l'équidé..et sans voir le visage .. elle devina la personne qui s'aprochait .. cette silhouette .. cette stature que personne ne possédait à bezier.. c'était lui elle en était sûre...Elle souria ...Ni l'un ni l'autre ne prononçèrent un mot... Il s'asseya tous prés d'elle... comme à son habitude lui caressa les cheveux.. l'embrassa .. et l'enveloppa délicatement de sa cape...Elle ne pu s'empecher de se blottir contre lui.. de laisser aller dans cette douceur qu'il savait si bien donner..elle glissa sa main dans la sienne ... et l'embrassa.. heureuse de le sentir prés d'elle..La question qu'il lui posa ne la surpris guère .. quoique les gens disent ou pensent Pule etait un être trés atentionné et délicat quand il le voulait

Je suis heureuse de te voir ici Pule.. Bien sur que je veux rentrer, j'avoue ne pas mêtre rendue compte du temps que j'ai passé ici et le froid ma bien saisie.. heu!! un vin chaud?? tu as toujour de bonne idées toi .. allons s'y !!!

Flo se leva .. plus sereine qu'elle n'aurait crue l'être il y à encore quelques instants.. l'avenir lui dira.. ou lui montrera si elle à raison de faire confiance de nouveau.. et d'y croire..

Le_meli_melo

Meli s'etait levee de bonne heure aujourd'hui, car ses nouvelles vaches allaient produire leurs premieres bouteille de lait, elle devait passer par la mairie au plus vite pour etre sur de trouver quelqu'un pour travailler chez elle... Et puis elle avait beaucoup de travail avec sa taverne, la lune disparaissait peu a peu pour laisser la place a une journee d'automne radieuse...

Meli passa non loin de la plage et se dit qu'elle allait y faire un tour, elle n'avait plus de nouvelle de Pule depuis tellement longtps que cette balade sur la plage lui ravivrait peut etre quelques sentiments, qu'elle n'esperait guere, elle sentait que ce dernier avait pris trop de recul depuis certain temps... Plus de nouvelles depuis plusieurs semaine... Meli n'avait ete guere presente du a son travail, elle dormait dans la piece amenagee dans sa taverne et n'avait pas vu Pule y rentrer depuis si longtps..

Elle se rappelait de ce que sa belle soeur sal lui avait dit... "Laisse le bougonner dans les bois il reviendra..."

Alors Meli s'etait penchee dans le travail pour oublier...

Meli marchait, deambulait meme sur la plage, elle avait enlevee ses chausses et laissait l'eau froide lui glacer le sang... Elle entendit alors une voix dans l'aurore... Et sursauta, on aurait dit Pule...

Elle regarda et vit un homme et une femme en train de s'embrasser et de discuter, blotit l'un contre l'autre...

Ca ne pouvait donc pas etre le vicking...

Elle continua sa marche pour ne pas deranger le couple... Et regarda du coin de l'oeil pour se rememorer les moments passés...

Elle s'arreta net lorsqu'elle reconnu effectivement son mari....

Elle ne pu reagir autrement qu'en emettant un son de stupefaction, fige dans sa marche...

Pulemetchik

Pule chevauchait depuis deja quelques heures après sa folle galopade sur Almut depuis le chateau de Montpellier.
Il avait vus la lune faire son chemin au dessus de sa tête, le regardant dans sa folle chevauchée traverser les campagnes jusqu'à la mer qu'il aimait tant, cette mer qui avait été une mère pour lui et l'avait rendus si fourbus et si bourru qu'il l'était.
Parfois douce, parfois brutale, c'était sur cette mer qu'il avait vécus et dont il avait été chassé par une froide nuit d'hiver.
Cela fesait longtemps qu'il chevauchait, les cheveux dans le vent.
Il s'était tout de même arreter quelques minutes dans une taverne du vilage et en avait profiter pour se couper les cheveux, ceux-çi devenants trop longs et le génant dans certains mouvements.
Après quelques bières descendues et quelques grains d'avoine pour son vieux bourrin qu'était Almut, il remontat en selle et retournat vers la mer.
Il galopat encore de longues heures le long du littoral, se fesant frapper le visage de plein fouet par le vent, fouetant le postérieur avec sa mèche à noeuds qu'il n'avait pas couper et qui volait au vent derrière lui.
Des mottes de sable volaient à sa suite, envoyées en l'air par les coups de sabots rageurs du canasson qui provoquaient de profondes empreintes dans le sable humide.
Après une journée et une nouvelle nuit à galoper, un nouveau jour pointait son nez, il entrapercevait quelques lumières poindre dans l'horizon, le soleil revenait, la lune qu'il aimait comme un père le laissait seul avec sa mère.
Après quelques minutes à galoper vers l'aurore, il vit deux silouettes au loin, il voulut faire demi tour, ne voulant voir personne, puis s'apercut qu'une des deux silhouette était sa sirène, Flo.
Il continuat sa galopade vers elle tandis que l'autre silouette s'éclipsait.
Il arrivat devant elle et arretat sur quelques mètres son bourrin, projetant une jiclée de sable devant les sabots de l'animal.
Il la regardat quelques secondes et descendit de l'animal.
Il s'aprochat d'elle sans dire un mot, passat sa main dans ses cheveux et l'embrassat tendrement.
Ensuite, constatant quelle ne se trouvait pas dans une tenue capable de l'empecher de frissonner, il lui passat sa cape sur les épaules et, tenant les rennes d'une main et la sienne de l'autre, prononcat ses premieres paroles depuis sa cavalcade sans cheveux:

Tu veut rentrer ? Je pourrais te faire du vin chaud chez moi, pour te réchauffer.
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Floyanne

Flo était perdue dans ses pensées... ses inquiétudes..la fraicheur du matin lui vivifier le visage... quelques frissons la parcourue.. soudain elle entendit un bruit au loin...elle se croyait pourtant seule ici elle n'avait croisé personne.. pourtant se bruit lui semblait ressembler à un plongeon..
Flo se demanda qui pourrait se baigner à cette heure ci..
soudain une sensation de peur l'envahissa... et si c'etait un désespéré qui voulait mettre fin a ses jours???elle se leva précipitement et couru vers les vagues...Quelle ne fut pas sa surprise de voir un homme pataugeait comme si il faisait 30 degrés... elle se sentit mal à l'aise.. l'homme lui semblait fortement dénuder...elle retourna dans son coin aussi silencieusement que possible.. en rien elle ne voulait déranger ce baigneur un peu particulier..

Ndj

En nageant,NDJ vit une jeune fille s'approcher,regarder dans sa direction,puis repartir.

Il regagna la plage,se rhabilla prestement après s'être épongé avec une peau de mouton qu'il emportait toujours en voyage.

Puis il se rendit au poste de police pour voir s'il y avait des nouvelles concernant son agresseur...
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Ndj

NDJ pour se remettre des émotions du voyage,décida d'aller se baigner.

En escorte de civils depuis Briançon,il avait d'abord été arrêté à Montpellier pour lance interdite,avant de perdre ses protégés en route vers Béziers,et,pour couronner le tout,un gibier de potence avait tenté de le détrousser.Mal lui en avait pris,son entraînement militaire avait fait la différence.Persistait de cet épisode une déchirure dans son mantel,mais c'était un moindre mal,il réparerait cela une fois retourné dans ses montagnes,étant un tisserand renommé.

Heureusement,toute ces péripéties lui avaient fait connaitre des gens intéressants.Il se louait de la compétence du sergent Foolrapier et du lieutenant andrélesage de Montpellier.

Il venait de quitter la taverne "A l'entrée libre..." où il avait discuté fort convivialement avec le lieutenant Severant et le tribun Hispahan.Cette dernière devait le prendre pour un fou d'aller se baigner à l'approche de l'hiver,mais comparé à Briançon qui était sous la neige,ce serait presque comme un bain bien chaud.

Il s'approcha de la grève,la plage était déserte et il se risqua à se dévêtir derrière un gros rocher et planqua ses vêtements et ses armes,il ne garda que sa ceinture à laquelle était acroché un étui pour sa miséricorde.

Il courut vers l'eau et plongea immédiatement,refaisant surface quelques mètres plus loin:

RAAAAAAAAHHHHHH...
Ca caille quand même,bougeons...

Il se mit à nager parrallèlement à la plage,pour éviter toute mauvaise surprise...
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Floyanne

Flo avait passé une nuit agitée..trop de questions c'etaient posées dans sa tête...à peine c'était elle endormie .. elle avait du se retourner moultes fois .. vu l'etat de sa paillasse.....lorsqu'elle se reveilla .. la lune était encore debout...dans quelques heure elle laisserait peut être la place à un soleil généreux de rayons qui avait le don de réchauffer Flo..
En attendant elle décida de se lever.. inutile de chercher un sommeil qui ne viendrait pas..Elle avait besoin de trouver un endroit pour réfléchir..un endroit calme et serein..Elle ne connaissait pas trop la ville ..mais ces derniers jours elle avait pu aperçevoir la plage...elle décida de s'y rendre..de si bon matin elle savait qu'il n'y aurait personne..tous ce qu'il lui fallait..
Elle marcha dans les ruelles encore endormies...elle avait l'impression d'être la seule dans tous bézier...

Plus elle avançait plus l'air iodé lui chatouillé le nez.. elle adorait cette odeur .... elle descendit les quelques marches qui menaient sur cette grande etendue de sable... et marcha jusqu'à ce que les vagues viennent s'échouer sur ses chevilles...Elle trouva un endroit ou s'asseoir non loin du bord.. et admira l'océan.. la plage représenté un lieu extraordinaire pour Flo.. un endroit calme.. parfois sauvage et cruel.. mais d'une beauté changeante au gré des saisons...Soudain les questions revenaient... pourquoi tous ce qu'elle fuyait la rattrapé ??Elle fouilla dans sa poche et y trouva l'anneau .. cet anneau qui l'avais fait tant rever.. elle y avait tant cru .. toutes ces belles paroles qui rendent vos nuit si douces .. et vos journées si merveilleuses.. et puis une demande .. une promesse... un reve qui se poursuit ou jusqu'au jour.. plus rien.. le silence.. celui qui vous pèse et vous tue à petit feu..
Les larmes lui monta .. elle ne pu les retenir...
Les souvenirs l'envahissait ..elle qui depuis quelques jours jouait à la femme super gaie.. et qui cachait si bien cette blessure... Du jour au lendemain elle etait passé de la futur mariée à une etrangère.. pas un regard.. pas un mot...pas de réponse à tous ces parchemins remplis de questions... même pas un aurevoir...elle avait donc décidée de fuir .. pour ne plus croisere ce regards désormais si froid...maintenant Bézier.. elle avait cru pouvoir ne jamais éprouver de sentiments.. ne plus s'attacher .. elle se l'était promis.. et pourtant...
Elle regarda l'anneau entre ses mains..une larmes tomba dessus... flo prit l'anneau l'embrassa et le jetta, dans un geste de rage et séparation definitive, à la mer..la lune le fit briller une derniere fois avant qu'il ne coule...Flo soupira...elle devait penser désormais à l'avenir.. à l'endroit ou elle vivrait ...Bézier ou ailleurs ???
elle replia les jambes sur son corps ... s'enroula dans son châle... et resta là..silencieuse.. et inquiète de ne savoir quoi faire maintenant...

Sylojuma

Bérangère, ce nom résonna dans sa tête , il était parfait , comment avait il pu hésiter et lui sortir exactement le nom qui lui plaisait , peut être faisait il des transmissions de pensée, mais ce n'était pas résonnable d'en parler , il l'aurait prise pour une sorcière.
Sylo se contenta de sourire en rougissant des yeux doux que lui faisait Kale et lui répondit simplement .

Ce sera parfait , comme ce moment que nous vivons et tant d'autres qui viendront

Elle se blottit dans ses bras , un vent léger s'était levé et la fit frissonner ...

pnj

david sorti de la taverne accompagné par klauri , l'air etait frais et vivifiant ils avancerent doucement vers leau
ils sarretent un instant pofitant du moment et du silence de la nuit et regarderent lhorizon ensemble , il se tourna vers elle et lui dit merci , cest tres beau dame !

il la regarda attentivement au clair de la lune son visage etait blanc mais brillait de toute part il put entrevoir un sourire eclatant, elle se tourna vers lui et il tourna rapidement la tete afin quelle ne voye pas qu'il l'observait et lui dit on continue un peu dame ou vous voulez rentrer chez vous ??

pnj

*Galbur n'était pas souvent allez sur la plage, et quand il y était allez, c'était pour voir si le soleil s'éclipsait bien derrière ce mont.
Cependant, ce beau matin, il décida de s'y rendre ...
Aussi devait-il reprendre l'entrainement au bâton, pour reprendre ses anciennes fonctions dans l'Ost, où Dame Ibalam l'avait conviée pour VilleFranche.
En effet, pas longtemps plus tôt, il avait reçu une lettre d'elle lui demandant de venir rendre son mandat à la mairie, faute de temps disait-elle, elle devait le récupérer ...
Elle lui avait aussi demandé si il voulait bien revenir dans l'Ost, cette période n'allait pas pour eux, et c'était vraiment pénible, disait-elle ...
Il n'avait aucune intention d'y retourner, mais cela lui rappela le temps où il combattait sur les champs de guerre ...
Il avait un peu perdu la main depuis ce temps, et il tenait à la retrouver
Il se dirigea donc vers la plage, avec son bâton emmanché dans le dos, quelques petits biscuits pour faire une pause, et une sorte de petit pantin de bois
Il arriva sur la plage, il y faisait mi-nuit mi-soleil, et c'était vraiment beau ...
Il s'arrêta quelques minutes pour s'assoir et contempla ce lever du jour
Puis il rebondit sur ses pieds et sortit son bâton
Il plaça le pantin et commença à s'entrainer ...
Il voletait dans les airs tout en enchaînant les coups, il faisait tourner son bâton dans sa main et frappait le pantin de toute part
La sueur envahissait déjà son front, il s'arrêta donc pour reprendre son souffle
Il regarda la position du soleil et constata qu'il avait déjà bien avancé dans le ciel
Il se dit qu'il avait dû s'entrainer assez longtemps pour aujourd'hui
Il prit quelques biscuits qu'il mangea en vitesse, puis il reprit son bâton et replaça son bâton
Puis il se dirigea vers sa petite tente improvisée pour ranger ses affaires
Il prit un bon bain dans la mer pour se rafraîchir et alla trainer dans les tavernes*

Kale_roloc

Le prénom proposé avait l'air de plaire à la future maman, et Kale en était heureux. Elle lui servit un verre de vin, et ils burent à leurs futurs enfants, les yeux dans les yeux.

Puis Sylo lui demanda malicieusement pourquoi il n'avait pas propsé un nom de fille, lui demandant de combler cette lacune. Cette demande l'embêta quelque peu, il aurait préféré que sa fiancée s'occupe de cette partie de la question : en effet, il souhaitait que leur enfant ait un nom doux à prononcer et à porter, qui en plus rappellerait leur beau pays d'Oc, que tous deux aimaient profondément. Et s'il connaissait quelques prénoms de garçon qui correspondaient à ces critères, il en connaissait peu qui puissent aller à une minote...

Il se mit cependant en devoir de se creuser la tête.

Voyons, la question est plus compliquée. Non que j'aimerais moins que nous ayons une fille plutôt qu'un garçon, mais j'ai plus de difficlulté à leur trouver un prénom à ma guise...

Il plongea le regard dans celui de sa future épouse.

Allons, que dirais-tu de Bérangère ?
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Herboriste, boucher, poête à ses heures. Responsable médical de Béziers

J'aime, donc je suis. Merci Sylo

Sylojuma

Sylojuma écoutait les paroles de Kale , elle savait que pour lui donner un prénom à un enfant n'était pas une mince affaire et d'en parler sur la plage , où ils avaient l'impression d'être seuls au monde ,était le moment propice.
Agulis , le prénom résonna dans sa tête , une fine émotion l'envahie et elle sut à cet instant que si elle avait un garçon il se prénomerait ainsi.

Oui Agulis c'est comme cela qu'il s'appellera !

Sylo lâcha doucement la main de Kale et leur servit un verre de vin , elle tendit son verre à Kale , s'appuya sur son coude , avant de trinquer avec les lui.

A nos futurs enfants!

Sans s'en rendre compte elle avait envisagé qu'elle aurait plusieurs bambins avec lui , certainement cela lui venait comme une évidence qui surement était partagée par son amoureux.
Puis elle se redressa

Dis moi , ne serais tu pas un peu macho pour me proposer un nom de garçon et pas un nom de fille?

Sylo lui posa la question juste pour interpeller Kale sachant trés bien qu'il voulait simplement partager le choix des prénoms.

Oui parce que je préfère que tu me proposes des prénoms et ensuite je dispose , hihihi!!!!
Alors tu as une idée???

Kale_roloc

Kale sourit lorsque Sylo éluda sa question. Elle aimait le taquiner, et cela ne lui déplaisait pas, que du contraire. Mais elle ne tarda pas à se retourner vers lui, confirmant que leur amour était partagé.

Mais en même temps, elle lui laissait tout organiser... Il ne répondit pas tout de suite à cette proposition, essayant d'imaginer tout ce qu'il y aurait à faire...

Puis, elle lui demanda de proposer des prénoms pour leur futur enfant. Pour Kale, c'était quelque chose d'important. Un prénom, c'est aussi un don que les parents font à leur enfant et qui l'accompagnera toute sa vie. C'est ce prénom qui fleurira dans la bouche de ceux qui l'aimeront et qu'il ou elle aimera...

Le jeune homme réfléchit un moment.

Pour un garçon, je dirais : Agulis. Et pour une fille, que dirais-tu ?

Et Kale prit la main de sa promise, attendant son avis et sa proposition...
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Herboriste, boucher, poête à ses heures. Responsable médical de Béziers

J'aime, donc je suis. Merci Sylo

Eullallie

Elle l'écoute chantonner, elle le regarde...
**Il est si beau!**

Les vagues semblent éterniser leur amour, sans jamais faillir, inlassablement elles lèchent leurs pieds nus.
Ils sont biens, ils sont heureux, peut être n'est ce qu'un rêve?

Mon amour, ma vie je suis si fier d'être ton aimé
Pression de sa main dans la sienne...
**Amour....**Elle ne dit rien, préférant le laisser continuer!

si heureux de t'aimer Elle a envie de l'embrasser, à cet instant précis, le ciel bleu pourrait bien s'écrouler...

si content d'être heureux !!!
Bon sang, si elle avait su que ce voyage serait tellement salvateur, elle l'aurait ligoté et emmené de force en promenade, au lieu de cela, elle avait attendu sagement que la vie les libère de leurs obligations respectives... Apparemment, elle avait bien fait! ça elle en était maintenant convaincue!

Veux-tu ne pas m'épouser pour la vie ?
Il ne lui laisse pas le temps de lui répondre, l'emportant vers la passion de l'amour qui les unissait à l'instant précis...

Heureuse douceur, béatitude enchantée, bonheur sans nom!

Soudain, toujours enlacés, elle le regarde de ses yeux émeraudes, Lalie reprend son souffle, lui pose délicatement une main sur le front, laisse sa paume sentir la douce chaleur émanant de Paulh. Elle garde son sérieux et dit:

Paulh? Tu es brûlant...
Tu es certain que ce ne sont pas les effluves marines qui te jouent des tours?
Non, parce que là....
Tu tiens des propos étranges...
Paulh?

N'y tenant plus, elle éclate de rire, un rire sonore, un rire qui veut dire: OUI! OUI! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi
_________________

Paulhaguetois

Eullallie sa lumière a écrit:

]Paulh?
Regarde!!!!

C'était la première fois qu'elle voyait la mer...
Ses yeux n'en revenaient pas...
Elle resta figée un instant....

Paulh avait déjà vu la mer, une fois, mais le spectacle était à chaque fois grandiose et différent

Lalie riait, battait des mains, ne bougeait puis courrait, riait

Dieu que la joie et le bonheur lui allait bien

Il était heureux de la voir ainsi, de l'avoir ainsi

Il lui prend la main, dépose un baiser sur ses lèvres, la serre contre lui, il sregardent l'étendue marine , enlacés sans un mot, heureux

Puis ils se promènent, pieds nus sur le sable, ils rient, font des rêves.

Pour uen fois depuis longtemps ils n'ont pas de souci, pas de responsabilité, ils ne sont que tous les deux, simplement là , l'un pour l'autre

"Face à la mer, j'aurais du grandir
Face contre terre, j'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve" fredonne-t-il tout bas en souriant à sa belle

Mon amour, ma vie je suis si fier d'être ton aimé, si heureux de t'aimer, si content d'être heureux !!!

Veux-tu ne pas m'épouser pour la vie ?

il rit , tourne sur lui même , l'embrasse passionnément, ils tombent roulent sur le sable, se relevent, elle lui court après , il lui court après, ils sont heureux

L'air marin saoule c'est certain

Sylojuma

Finalement Sylo était revenue s'installer prés de Kale sur la toile étalée sur le sable.Il posa délicatement sa main sur son ventre et lui parla de mariage et de prénom à donner à cet enfant tant attendu.
Elle mit un moment à répondre profitant de la chaleur de sa main et de ses mots qui lui provoquèrent des frissons de plaisir tout le long de son corps et laissant son regard se noyer dans la mer...
Les chevaux commencèrent à s'agiter , plusieurs personnes arrivaient et Sylo tournant la tête ,les aperçue de loin.
Elle commença à parler d'eux alors qu'elle savait trés bien que ce n'était pas ce que Kale attendait

Tu as vu il y a du monde!!!

Puis elle se retourna vers lui, s'agenouilla et en se rapprochant trés trés prés , le nez juste devant le sien , le regard plongé dans le sien, elle lui dit:

Bien sur que je veux de toi! tant que j'aurai confiance et que je sentirai tout cet amour débordant pour moi , je serais la plus heureuse des femmes , pour la date c'est toi qui décides et qui organises tout .

Elle sourit sachant que cela allait être une dure épreuve pour lui mais de le savoir dans ses efforts pour elle , cela la satisfaisait.
Sylo l'embrassa tendrement et ferma les yeux n'entendant plus que les ondulations de la mer venant mourir sur le sable.
Elle se redressa doucement et reprit un air amusé comme si elle jouait à un jeu.

Alors pour le prénom c'est toi qui commence!
un nom de fille ou de garçon?

Eullallie

C'était décidé!
C'était ce matin!
Depuis qu'ils étaient arrivés à Beziers, ils logeaient à l'auberge.
Paulh dormait encore, Lalie ouvrit les yeux, s'étira en ne faisant aucun bruit, se releva en prenant appui sur un coude et le regarda amoureusement.

Ah cet homme, elle l'aimait plus que tout, oh, bien sur elle avait envie de ne pas se prendre la tête avec des promesses quelconques, mais, franchement quel autre homme que lui pourrait lui apporter ce que Paulh lui donnait depuis si longtemps?
Jamais elle ne s'était lassée de lui, toujours amoureuse, souvent malicieuse, généralement compréhensive...
Elle le couvait du regard, l'effleurant doucement de la main... c'était le moment...

Paulh? mon cap'tain?
Il ouvrit les yeux, lui sourit et l'embrassa tendrement en la serrant contre lui.
Instants magiques, moment de tendresse, amoureusement vôtre^^

Bonjour ma lumière, tu as bien dormi?
T'as même pas fait du bruit avec ton nez cette nuit^^ C'était sa façon à lui de dire qu'elle ronfle^^ pffff, même pas vrai d'abords^^

Mhhh, j'ai bien dormi dit elle en se lovant contre lui, telle une chatte contre son maître, ronronnant de plaisir...

Mais là...Tu sais de quoi j'ai envie? Etincelles dans les yeux...
Contre toute attente, elle saute hors du lit, passe un peu d'eau sur son visage, se coiffe, enfile braies et chemise...

Il la regarde éberlué... **Heu, mais qu'est ce qu'elle fabrique?** Il la voit s'affairer en souriant... **Ha!!! oui... la mer...**
Il se lève d'un bond.

Oui, Lalie... on y va!

Pour toute réponse elle déposa un baiser sur ses lèvres avant de l'entraîner vers la plage.

En chemin, ils croisèrent des gens rencontrés la veille en taverne, saluant certain, s'arrêtant pour échanger quelques mots avec d'autres...

Mais Lalie tirait Paulh vers la plage, inlassablement.

Arrêt, plus un souffle, juste la bise marine joue de la musique...

Paulh?
Regarde!!!!

C'était la première fois qu'elle voyait la mer...
Ses yeux n'en revenaient pas...
Elle resta figée un instant....
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pnj

Après sa crise de larmes au sein de sa demeure, Imla s'était emparé de son petit colis et de quelques bouteilles vides.
Il s'était dirigé vers la plage, où il avait passé de si doux moments en compagnie de Viejen.

C'est là que leur histoire avait commencé, et c'est là qu'il devait y mettre un terme pour enfin aller de l'avant.
Il l'avait aimé sincérement, et sans doute ce brasier ne s'etait'il pas encore éteint.
Mais il devait symboliquement se libérer, et c'était la raison de son geste.

Il s'installa sur le sable, inspirant le bon air marin et admirant le coucher de soleil.
Enfin il ouvrit le paquet, et commenca a relire la correspondance entre lui et celle qu'il appelait sa reine.
Il s'empara ensuite des lettres unes à unes et les glissa dans les bouteilles avant de s'approcher de l'eau.

Il avança dans la mer, jusqu'à ce que son corps soit au trois quart submergé.
Il jetta ensuite les bouteilles aussi loin qu'il le pouvait.
Il ne les avait pas bouché. Car il ne voulait pas qu'elles soient transportées, mais uniquement qu'elles soient englouties.

Après quelques minutes passées dans l'eau pour laver son âme, il était reparti et à la nuit tombée, et c'est au coin de son feu qu'il rechauffa son coeur froid et endolori.

Kale_roloc

Kale regarda son amie écrire son amour dans le sable. La lumière particulière de ce jour détachait chaque lettre, chaque courbe du dessin.

Puis une vague l'enveloppa et l'emporta. Mais pour les amoureux qui regardaient, la mer n'effaçait pas le message, elle l'emportait avec elle. Les lettres immobiles s'animaient de la force et de la douceur de l'eau, et elle sublimait et transportait leur amour.

Main dans la main, Sylo et Kale regardaient le spectacle de la mer comme une allégorie de la vie qui les attendait. Kale posa la main sur le ventre de Sylo qui commençait à s'arrondir

Tu sais, il faudrait trouver un prénom pour la petite merveille qui habite là.

Et puis, il va falloir penser à préparer notre mariage. Tu veux toujours de moi ?

Bien qu'il soit certain de la réponse, cette question avait le don d'accélerer les battements de son coeur.
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Herboriste, boucher, poête à ses heures. Responsable médical de Béziers

J'aime, donc je suis. Merci Sylo

Adir

Écoutant Lyne, il réalisa quelle était bien plus ivre que lui et que la laisser repartir serait des plus périlleux pour elle... Il sourit à ses propos un peu décousu et se leva après un bref moment de silence.
Je pense que tu vas m'accompagner jusqu'à ton lit très chère. Je ne pense pas avoir le droit de disputer la couche à une jeune demoiselle "en détresse"... *complètement paf oui !!* maugréa-t-il en lui même. Il avait pris grand soin de teinter ses derniers "mot" d'ironie mais pas assez pour que Laurelyne le remarque.

Il aida son amie à se lever et remarqua que la dernière coupe de vin avait changé ses genoux en coton. Il l'accompagna jusqu'au escalier et réalisa qu'une petite épreuve les attendait avant d'arriver à la chambre...

*Je le sens pas trop... Ben, on se fera office de béquille

*

Allez Lyne, je t'emmène là haut... Le second étage. On devait y arriver avant la fin de la nuit.
Se tenant l'un l'autre, ils se lancèrent dans l'ascension. On ne devait les revoir qu'au petit matin.

Laurelyne

Lyne avait monter les escalier accroché a Adir, apres quelques chutes et eclats de rire ils avaient finalement reussit a atteindre la chambre. La porte se ferma.

Le lendemain matin, Lyne fit son apparition, son visage un peu defait, et un mal de tete carabiné la tenaillée. Elle demanda de l'eau bouillante et fit deux tisane d'asperie pour enlever le gout amer de la plante elle rajouta des mure et des feuilles de franboisiers ainsi qu'une cuillère de miel. Elle touillait sa tisane les yeux perdu dans le vide et se tortillant une meche de cheveux tic de nervausité.

"Que va t il pensée de moi? Je me suis conduite comme une ivrogne, mais le vin etait sucré j'ai rien vu venir! Et en plus j'ai des trou de memoire je ne me souvient pas de ce qui c'est passée apres l'entrée dans la chambre! J'ai du m'endormir lamentablement! Il doit avoir une piteuse idée de sa nouvelle amie!" Le pauvre! Pourvus qu'il ne veuille pas me laisser!"

Elle etais ainsi, la tisane d'Adir prete en face d'elle.

Kale_roloc

Lorsque Sylo et Kale parvinrent jusqu'à la plage, le soleil était haut dans le ciel. Ils descendirent de leurs montures, et Kale entreprit de préparer leur déjeuner.

De la besace que portait sa jument, il retira une pièce de toile qu'il étendit à terre aux pieds de sa compagne, et sur laquelle il disposa les victuailles qu'il avait emportées. En dernier lieu, il sortit d'une autre sacoche une bouteille emmaillotée d'un linge humide, ce qui l'avait maintenu à une température agréablement fraîche.

Lorsque tout fut prêt, il s'assit à côté de sa belle et déboucha la bouteille, dont il préleva deux gobelets, et ils trinquèrent.

A notre amour. Et à nos futurs enfants.

L'air était limpide et lumineux, l'eau calme et bleue. On aurait dit que la nature partageait leur bonheur.
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Herboriste, boucher, poête à ses heures. Responsable médical de Béziers

J'aime, donc je suis. Merci Sylo

pnj

Mel était arrive a Béziers ce matin là...
elle fit un tours de ci de là et ses pieds la menèrent jusqu'a la plage...
Il fesait frais, un peu de vents, la mer était calme
Elle retira ses chausses et se fit quelques pas les pieds dans l'eau...
Elle fini par s'assoir dans un coin tranquil elle sortie sa flûte en soupirant
et joua un air tout aussi paisible que la mer l'était !!

Sylojuma

L'eau était calme et paisible comme le moment qu'ils étaient en train de partager, accompagnés par un doux air de flûte qui semblait rythmé par le léger clapotis des vagues .
Allongés sur la toile installée à cet effet, ils levèrent leurs verres et trinquèrent à leur amour ...
Etincelle se prit le pied dans la rêne et Sylo se leva en trombe pour l'en dégager , une fois fait elle se mit à marcher sur la plage non loin de là pour ramasser un vieux baton humide .
Puis elle se retourna vers Kale avant de graver son amour sur la plage...

Laurelyne

Lyne le regardait, detaillant chaque parcelle de son visage, chaque mèches de cheveux ne l'écoutant que d'une oreille. Elle entendit le mot auberge et loin, elle se concentra en rougissant un peu sur les paroles d'Adir.

-Une auberge pris de la ville? humm et bien je suis a "La taverne du bonheur et des plaisirs...", la patronne est gentille et ce n'est pas excessif. Les chambres sont propre et plutot agréable de plus nous serions a coté l'un de l'autre ainsi je pourrais prendre soins de toi!

Réalisant que ces propos pouvaient etre déplacé dans sa bouche elle rougit et se repris.

-Je veux dire que je pourrais te faire un massage si tu souffre ou te donner des huiles pour ton bain bien sur.

Puis la conversation porta sur la chambre d'Adir et ces craintes du retour de Lyne dans son état. Elle voulut le taquiner un peu comme a son habitude.

-Oui je suis forte et pas si pompette que ca tu sais, gare a celui ou celle qui se frotterons a moi *hip*!...

Le hoquet la pris par surprise et elle mis sa main devant sa bouche agrandissant ses yeux.

-Heuuu désolé ca doit etre nerveux! *hip*! Je disait que *hip*
Elle baissa les yeux sur ses mains.

-Et bien je pense que je vais devoir partager ton lit! heuuu ta chambre je veux dire...ou du moins ton auberge! Enfin si ta chambre est chere peut etre que tu y a un fauteuil ou je pourrais dormir? ou bien un tapis? ...Je ne voudrais pas mettre ta reputation en danger en partageant ton lit!

Elle sourit et lui tira la langue.

Laurelyne

Lyne arriva donc la premiere , les cheveux au vent, les jupons relevés, laissant voir ses bas, les joues rougis par la course, elle riait en etant essouflée.

-Tu as triché! Tu a ralentit au dernier moment et pour ta peine tu sais que tu devras aller a l'eau apres le repas? En attendant tu as raison allons manger !

Elle decouvrit donc la taverne et l'aubergiste. Elle devora literalement son repas et bu beaucoup plus que de raison.

-Le repas etait délicieux et le vin un vrai délice quoiqu'il est un peu traite, il tourne un peu la tete tu ne trouve pas? Pourras tu aller a l'eau sans te noyer?

Lyne pris la main d'Adir dans la sienne.

-Tu as l'air un peu ivre! Ja vais peut etre faire le chemin du retour seule non? Ton bain d'eau froide sera pour demain quand pense tu?

Adir

Je pense que l'on va attendre un peu en effet très chère.
Au fait, j'ai pensé à ça hier, ma chambre est louée jusqu'à demain. J'avais prévu de dormir ici ce soir et de partir à ta recherche demain. J'aurais pris une chambre en ville et pas sur la plage. (entre nous c'est un peu cher pour un étudiant en médecine comme suite

... et beaucoup trop grand pour moi en tout cas).
Donc demain si tu le veux, on cherchera une auberge plus proche de toi histoire de ne pas avoir à se balader à plus d'heure. Et puis je ne te cache pas que tu es un peu pompette toi aussi et que je ne suis pas tranquille de te voir rentrer toute seule... Aussi forte sois tu !

Adir

Le dernier arrivé ? Mais ce sera une dernière ma chère...

Adir bondit sur les empreintes de pas de Lyne et commença une course avec elle. En bon Gentlemen jamais il n'aurait osé gagner... et laisser la Dame payer son repas ! Mais, comment résister à l'envie de lui donner un peu de fil à retordre à cette jolie demoiselle ? Sans parler que courir avant de manger ouvre l'appétit... si besoin était.

Ils arrivèrent pratiquement en même temps, à ceci près qu'Adir dut ralentir un peu pour ne pas voler le triomphe à la gagnante... Courir en jupe ; elle avait un mérite certain qu'Adir n'aurait pour rien au monde tester. Ce devait faire l'effet d'une course en sac sans doute...

Bravo, tu as gagné. Il soupira et se laissa charrier par Lyne, triomphante et... si belle quand le bonheur l'illuminait.

Allons manger maintenant. Il la conduisit dans la maison où un bonhomme à la mine franchouillarde et engageante les accueillit chaleureusement à grand renfort de patois et de dicton du coin.

La soirée s'engagea, bonne pièce de viande et légumes se mêlant aux meilleurs vins des coteaux de Bezier. Bien arrosée, la soirée se poursuivit pour le fromage et le dessert dans le salon.

De l'avis d'Adir, ce cher Aubergiste savait lire dans les pensées de ses clients et rendait la soirée unique par sa prestation discrète mais remarquable ! Tant agréable que fut ce moment, le vin tourna la tête à Adir.

*Est-ce que Lyne a bu autant que moi ? Je crois que j'ai la tête qui tourne un peu trop pour raccompagner ma gentle amie...*

Laurelyne

Lyne toujour dans les bras d'Adir se sentait tres bien, une ombre passa sur le visage de celui-ci et elle ne put s'empecher de lui caresser la joue.

"Nos voyages mutuels d'avant ont ete douloureux pour nous deux on dirait! Mais je suis la et je prendrais soin de toi!"

Elle etait entrain de pensée ca quand un gargouillit venu du ventre de son compagnon la fit revenir a la réalité. Son visage se fendit en un sourir legerement moqueur. Elle essaya de se retenir de rire mais devant son air mecontent, elle ne put se contenir d'avantage et c'est ensemble qu'ils eclaterent de rire. malheureusement leur corp se separèrent et bien que décue elle le cacha derriere un sourir.

Citation:

Je te propose de poursuivre la promenade. L'auberge est à peine plus loin. C'est la que j'habite, le propriétaire m'attend pour le diner. Tu verras, sa femme et lui son des gens charmants.

-Tres bien! Allons voir ton auberge, les gens d'ici sont gentils!

Ils se mirent en route et Adir partit dans le recit de son aventure de la semaine, il lui tenait la main et la lachait pour mimer son recit puis la reprenait, Lyne adorait l'entendre parler et elle écoutait attentivement. Elle suivait son discourt et ses gestes ayant presque l'impression de vivre l'aventure avec lui. Malgres tout, elle avait l'impression qu'il s'etait bien amusé sans elle alors qu'elle s'etait ennuyait a mourir guetant la route tous les jours et allant a la plage esperant le voir arriver. Mais ca y etait il etait la et elle n'avait pas l'intention de le laisser repartir de nouveau.

Citation:

"Ah non, je ne"... ils arrivèrent enfin à la taverne où Adir avait sa chambre. Il s'interrompit et se tourna vers Lyne.

Comme il venait de s'interompre elle regarda autour d'elle et vit une auberge, ce fut a ce moment la que son etomac cria lui aussi famine, elle sourit confuse.

Citation:

Lyne, tu as faim ?

-Je crois que mon estomac vient de te repondre! Je meur literalement de faim je crois bien que je vais devorer tout ce qu'il y a a la cuisine.

Elle le regarda d'un air coquin et releva son bas de robe, elle partit en courant vers l'auberge prenant un peu d'avance avant de lui crier en riant.

-Le dernier arrivé payera la repas! et ira a l'eau apres!

Adir

Je suis heureux d'être avec toi ici. C'est la première fois que je voyage le cœur léger. (une ombre passa sur son visage l'espace d'un instant...)

Dans de mélodieux gargouillis l'estomac d'Adir signala son mécontentement. Depuis des heures Adir n'avait rien mangé et la petite promenade n'avait pas du tout arrangé les choses.

Instantanément il rougit pour atteindre la couleur d'un poivron... Son regard croisa celui de Laurelyne, tout sourire sur ce coup bas du destin à leur romance.
*je suis foutu* songea-t-il... *je n'aurai plus jamais l'occasion d'être aussi sérieux avec elle*. Leurs sourires se fendirent imperceptiblement avant qu'une boule se forme dans leurs gorges. Ce fut bientôt trop difficile de maintenir le sérieux de ce silence gêné.
Il explosa de rire au même moment que la jeune femme. Ses bras se détendirent et son corps s'écarta du sien. Par automatisme il releva le bras et plaça sa main derrière sa nuque, signe de confusion.

Je te propose de poursuivre la promenade. L'auberge est à peine plus loin. C'est la que j'habite, le propriétaire m'attend pour le diner. Tu verras, sa femme et lui son des gens charmants.

Poursuivant le chemin, Adir sembla ne pas pouvoir tarir. Un peu comme un enfant qui raconte sa journée à sa mère, il détailla son voyage ; son séjour chez les bénédictins, comment avec un simple pic qu'il avait taillé lui même il avait harponné trois poissons, quelles méthodes les gens du coin utilisait pour pocher les œufs, comment il avait prévu l'orage qui s'était abattu sur le pays et comment il avait réussi à s'abriter... Laurelyne n'aurait pu placer un mot dans la "conversation" sans qu'il soit perdu au beau milieu des aventures d'Adir... Tout en parlant, il lui tenait la main, tournait autour d'elle et mimait les actions qu'il racontait. Sans trop se l'avouer, sa semaine loin de Laurelyne avait été un calvaire sentimental pour lui.

Et quand l'aubergiste de Montpellier arriva vers moi avec le plat de viande trop cuite je lui ai dit "Ah non, je ne"... ils arrivèrent enfin à la taverne où Adir avait sa chambre. Il s'interrompit et se tourna vers Lyne.
Nous y voilà. Prenant conscience qu'elle n'avait quasiment pas ouvert la bouche depuis une bonne dixaine de minutes...
Lyne, tu as faim ?

Laurelyne

Citation:

Je ne crois pas avoir à me cacher davantage ce soir. J'ai tout contre moi une femme qui sait voir mon cœur.

Elle aurait aimé en etre aussi certaine que lui. Elle sentit ces bras se resser et son coeur s'emballat en plus. Elle le regarda se pencher et ferma ses yeux quand leur levres s'unirent, instant unique ou le temps s'arrete et ou le monde n'existe plus. Lyne se serra un peu plus contre lui et ses bras se croisèrent autour de son cou.

Elle etait si contente, elle avit cru qu'il ne la voyait que comme une amie et rien d'autre, esperant qu'il ne regrettais pas son geste elle recula son visage doucement sans s'enlever de ces bras.

-Tout comme j'ai contre moi, un homme qui lit dans le mien!

Elle l'embrassa doucement a nouveau.

Adir

Les derniers rayons de soleil effleuraient les vagues. Le vent s'était légèrement levé, le soir apportait sa fraicheur à la plage.

Code:

-Quand ce n'est pas la farine c'est le sable vas tu enfin arrêter de te cacher? Honnêtement tu es mieux ainsi sans rien.

Je ne crois pas avoir à me cacher davantage ce soir. J'ai tout contre moi une femme qui sait voir mon cœur.

Il resserra ses bras et se rapprocha de Lyne. Inclinant la tête pour contourner une mèche de cheveux, il posa un baiser léger sur les lèvres de la jeune femme.

Le temps sembla s'arrêter. Douceur et chaleur l'envahirent et il resta figé ainsi, n'osant pas briser cet instant pourtant furtif.

Laurelyne

Lyne voyait qu'Adir etait perdu dans ses pensées et elle ne voulut pas le deranger. Elle meme se perdit dans la contemplation du paysage et quands Adir lui dit qu'il etait en effet magnifique elle hocha la tête.

Elle ne le vit pas quand il s'approcha ou du moins ne fit pas plus attention jusqu'a ce qu'il passe ses deux bras autour d'elle. Elle resta statufié quelques seconde, son coeur fit un enorme bon dans sa poitrine a tel point qu'elle crut qu'il aller passer a travers. Puis il posa sa tête sur elle et elle ferma les yeux profitant de l'instant.

Citation:

Tu es magnifique, toi aussi.

elle rougit du compliment.

"Ho Adir, je donnerais beaucoup pour prendre soin de toi, si tu savais!"
-Non c'est toi qui est beau!

Elle croisa ses bras sur ceux d'Adir et soupira d'aise. Cela faisait un moment deja qu'elle esperait mais sans vraiment y croire, revé-t-elle? Elle n'osa bouger pendant un long moment mais la fraicheur la fit frissoner et elle ressera ses bras autour de ceux d'Adir. Elle se tourna doucement afin de rester dans ces bras et sourit en le voyant encore plein de sable. Elle passa ses deux mains sur ces joues et ces levres enlevant le reste de grains puis les mis dans ces cheveux.

-Quand ce n'est pas la farine c'est le sable vas tu enfin arrter de te cacher? Honnetement tu es mieux ainsi sans rien.

Bien elle mourrait d'envis de faire plus, elle resta ainsi a le regarder en souriant. Elle sentait ces mains posées a sa taille et les sienne caressaient ces cheveux blonds doucement.

Adir

Citation:

-Qui va prendre soin de toi ? et te protéger ? Enfin je veux pas dire que tu n’en ai pas capable…Mais je ..

Elle abandonna son explication le laissant seul juge de sa réponse et regardant l’horizon stoppa devant la vue. Le soleil venait a peine de disparaitre derrière la ligne d’horizon laissant voir une ligne verte entre le rose du ciel et l’orange de l’eau suivit de dégradée.

-Ohhhh regarde comme c’est beau !

*Adir sourit à la dernière phrase de Laurelyne. C'était vrai. Qui saurait prendre soin de lui aussi bien que cette jolie jeune femme ? Mais surtout qui pourrait le rendre plus heureux et avec qui pourrait-il partager tous ces moments si uniques ? Elle était la personne qui semblait compter le plus pour lui, avec sa sœur.

Sa soeur jumelle, Nanelle... Depuis qu'elle s'était mariée un lien invisible restait entre eux, mais dans son âme quelque chose s'était brisé. Un imperceptible vide que laisse l'enfance quand l'homme devient adulte... et que seul comble... la présence d'un être cher.

Adir ferma les yeux et se laissa porter vers l'avant. Il fit ces gestes sans penser. Intérieurement il luttait pour étouffer sa raison, sa volonté et sa timidité. Il savait ce que lui dicterait sa conscience et connaissait ses sentiments... Il se laissa aller.*

Oui, c'est magnifique, Laurelyne.

Elle lui tournait le dos pour regarder le crépuscule. Il approcha et l'entoura de ses bras. Tendrement il vint poser sa tête contre les cheveux de la jeune femme et ne bougea plus.

Tu es magnifique, toi aussi.

Laurelyne

Lyne était bien, La main d’Adir tenait toujours la sienne et leurs pas étaient fait dans un ensemble parfais. Une paix intérieur l’envahissait toujours a ses cotés, sa présence était synonyme de paix et de fou rire avec un brin de tendresse jamais dite mais toujours ressentit. Les vagues et le couché de soleil donnait un aspect romantique qu’ils avaient connu a leur premier repas. Le cœur battant, Lyne jetait des coups d’œil a Adir, il était beau et paraissait bien, elle le connaissait bien et il avait toujours était la pour elle dans toutes les situations il était toujours apparue au moment ou elle en avait besoin. Cet instant était magique et bien qu’elle eut envi que ca continue encore et encore, Lyne sentait qu’elle devait dire quelques chose sous peine de mettre un silence tendu en eux. Réfléchissant rapidement elle ouvrit la bouche et c’est la voix d’Adir qui se fit entendre, encore une fois ils étaient sur la même longueur d’onde. Elle sourit et écouta le discourt quelque peu confus de son ami.

« Mais que lui arrive t il ? Généralement quand il veut dire quelque chose il le dit sans cérémonie ou du moins il est plus clair que la ! »

Elle se reteint de rire mais son sourire et la brillance de ses yeux la trahir. Elle acquiesça de la tête.

-Hummhum !! Je vois ou du moins j’essaye de…….

Sa phrase resta en suspend quand Adir buta dans le sable lui lâchant la main et s’étalant non sans avoir fait de magnifiques acrobaties. Le nez dans le sable, Lyne s’inquiéta immédiatement. Elle se précipita et s’agenouilla mettant sa main sur l’épaule de celui –ci.

-Adir ! Adir ! Répond voyons ca va ? Tu t’es fais mal ?

Elle le vit relever le nez, le visage plein de sable et l’œil furieux contre lui-même à coup sur. Rassurée, elle éclata de rire et de sa main libre lui enleva le plus gros du sable sur ses joues et son nez ainsi que sa mèche de cheveux sur son front.

-Et bien si ca marche pas en médecine pense a acrobate la tu seras parfais ! Ta souplesse et ta chute était vraiment spectaculaire, tu voudras bien me la refaire au ralentit ?

Elle était prise de fou rire et en pleurait même, le souvenir du spectacle plus la mine de son ami n’aider pas à la calmer. Au bout de quelques minutes se sentant honteuse de se moquer de lui elle l’aida a se relever et lui fit une bise sur la joue pour se faire pardonner.

-Excuse-moi mais je te jure que c’était comique ! Tu es vraiment le meilleur pour me faire rire !

Ne voulant pas qu’il fasse la tête toute la soirée, elle essaya de relancer la conversation non sans l’embêter un peu, et tout en l’epoussetant.

-Donc tu me demandais mes projets juste avant d’aller voir le sable n’était pas trop mouillé c’est bien ca ?
Elle prit son air angélique qui ne le trompé plus depuis un moment déjà

.

-Et bien mes projets…A vrai dire je pense pour le moment rester sur Mende mais rien n’es moins sur je veux pouvoir affiner mes soins par les plantes et continuer mes massages ! Tu sais je travaille déjà avec ta sœur. Mais heu…enfin je n’ai rien planifié tout peu changer.

Voyant qu’elle n’était pas vraiment plus claire dans ses explications que lui dans ses questions, elle se mordit le coin de la lèvre supérieur (encore un tic). Elle lui repris la main et fit quelques pas.

-Comme tu vois je ne sais pas vraiment ce que va être mon futur mais tu me dis que tu veux être sur les routes ?

Le fais de le savoir seul, sur les routes l’angoissa d’un coup.

-Qui va prendre soin de toi ? et te protéger ? Enfin je veux pas dire que tu n’en ai pas capable…Mais je ..

Elle abandonna son explication le laissant seul juge de sa réponse et regardant l’horizon stoppa devant la vue. Le soleil venait a peine de disparaitre derrière la ligne d’horizon laissant voir une ligne verte entre le rose du ciel et l’orange de l’eau suivit de dégradée.

-Ohhhh regarde comme c’est beau !

Adir

Citation:

Elle fit une gracieuse révérence un peu trop prononcé et se releva en tendant la main.

-Ce sera avec plaisir monseigneur!

Adir sourit à son amie et lui prit le bras à la manière des gentlemen, avec toute l'élégance d'un nobliau...

Ils marchèrent un long moment en silence, leurs pas rythmés par l'aller et venue des vagues. Une légère tension dans la poitrine, Adir bouillonnait en son fort intérieur. Il connaissait bien Laurelyne maintenant. Ils avaient passé de bon moment ensemble, vécu dans le même village et s'étaient côtoyés chaque jour qu'Aristote fit.Il était parti en voyage avec elle pour découvrir le Sud et voir la mer ; placé devant la grande et gracieuse étendue d'eau il éprouvait du plaisir, mais ce n'était rien comparé à la petite promenade qu'ils faisaient... Il aurait voulu que ce moment dure une éternité, seulement à rester silencieux il avait l'impression que le temps lui coula entre les mains...

Je... Tu ne m'as jamais parlé de ce que tu voulais faire dans l'avenir... Il réalisa que dans la situation présente sa phrase était des plus ambiguës. Euh, je veux dire... Moi par exemple, je me destine à des études de médecine... enfin tu vois ? Nous pourrions... Euh, je pourrais me déplacer un peu partout dans le pays pour soigner les malades ou m'installer dans une grande ville et vivre de mon travail... enfin tu vois, quoi. Mais toi, tu... Enfin, voilà quoi. Tu as des projets pour l'avenir à Mende ou ailleurs ? Adir se perdait dans un cafouillis de plus en plus inextricable.

Maladroit dans ses propos, il le fut également dans ses pas et trébucha sur une bute de sable humide. Conséquence logique de cette maladresse, il tomba à la renverse dans le plus parfait vacarme et accompagna sa descente d'une chorégraphie des plus burlesques.

Le nez dans le sable Adir pesta intérieurement contre sa bêtise et la situation, puis entendant Lyne l'appeler il sortit la tête de son terrier de circonstance pour assurer que tout allait bien.

Laurelyne

Lyne finit par ce calmer et meme a s'excuser.

-Je suis désolée mais je me suis sentit un peu...seule disont ici! Les gens sont gentils tu vera mais bon tu m'as quand meme manquer un peu. me bichonner un peu tu dis? Chic alors il me tarde de voir ca!

Elle ecouta sa proposition et se releva en secouant sa robe pleine de sable.

-Bien sur que je suis disponible, je n'ai fais que t'attendre depuis que ce suit ici alors tu parle qu'une promenade et un diner avec toi ca me dis!

Elle fit une gracieuse reverence un peu trop prononcé et se releva en tendant la main.

-Ce sera avec plaisir monseigneur!

Il lui pris la main qu'elle lui tendait et commencèrent ainsi la promenade qui etait bien plus agreable avec Adir que seule meme si le site etait le même d'un coup il etait plus....beau.

Laurelyne

Lyne venait regulierement a la plage, le bleu de l'eau et le jaune du sable l'attirait et puis si Adir devait un jour arrivé enfin ce serait surement pas la!

Elle s'avanca donc les pieds nue dans le sable et la robe legerement relevé, cette derniere avait eut des difficulté la derniere fois pour se debarrasser du sable et du sel d'ont elle etait impregné, ce coup si Lyne avait prevus une couverture et une broderie afin de ne pas trop penser. Elle vit une tete blonde assise pas tres loin et a son endroit habituel.

"Tien qui c'est qui m'a pris ma place? bon ben j'ai plus cas trouver un autre endroit!"

Tout en pensant elle s'approchait de la personne. Et cette silouette et ses cheveux.

"On dirait ...mais oui c'est lui! c'est Adir!"

Elle se mis a courir, le contourna et lui sauta au cou ce qui eut pour effet de le planquer au sol.

-ADIRRRRRRRRRRRRRRRR! Enfin c'est bien toi dis? ho je suis heureuse! J'ai cru que tu n'arriverais jamais! Comment te sents tu? as tu fais bon voyage? et les curés comment ils etaient? raconte moi tout! Es tu blaissé?

Comme a son habitude, des qu'une emotion etait intense Lyne devenait un vrai moulin a parole mais c'etait plus fort qu'elle. Elle pris consceince qu'elle planquait toujour adir sous elle dans le sable et se releva rouge de honte. Assise en face sur ses genoux elle lui tendit la main pour l'aider.

-Désolée! tu m'excuse? je t'ai pas fais mal?

Adir

Adir attendit patiemment que la jeune femme passe son enthousiasme sur lui en souriant et se redressa pour répondre à la gamine qui se tenait devant lui.
Je vais bien, ne t'en fait pas. Pendant la semaine de retraite j'ai appris les rudiments de la médecine par les tisanes et les herbes chez les moines. du coup je vais pouvoir te bichonner autant que toi tu me bichonne

.

Adir leva la tête vers le ciel. A cette heure il se teintait d'orange et d'or et l'ouest s'embrasait à mesure que l'est se drapait de nuit. Il se redressa et tendit la main à Lyne.
Que dirais-tu d'une petite promenade au couchant ? En venant par la côte j'ai repéré une petite taverne qui cuisine des plats de poisson et de fruit de mer. Si tu es disponible je t'y emmène. nous y seront pour l'heure du diné.

Il attendit que son amie se relève et longeant la plage ils débutèrent leur promenade main dans la main.

Adir

Adir posa son sac de voyage dans le sable et en un battement de cœur écrasa son visage dans la poudre jaune de la plage (pour une fois que ce n'était pas de la farine...). Il huma lentement les odeurs d'algues et se retournant il dégusta les embruns de l'automne.
Le vent venait du large à cette heure, apportant la fraicheur et le cri des oiseaux de mer.
Le soleil inondait son visage de lumière et de chaleur ; il se sentait bien. Pour être franc la mer le l'épatait plus tant que ça. Ayant longé la côte une bonne journée pour arriver ici, il en avait plus que soupé de la grande bleue. Il avait réussi à combiner le soleil, le vent et un bon orage en une après-midi... dans cet ordre précis il avait fini la journée grelotant et trempé jusqu'à l'os.
Mais il était arrivé à rejoindre la ville où l'attendait son amie Lyne ; il en était si heureux qu'il n'avait pas pris le temps de déjeuner ce matin... Erreur qu'il payait bien entendu à cet instant précis, sous la forme de gargouillis sonores et assez éloquents.

Ah, sans de bouc ! Il ne me reste presque plus de pain... (et je rêve d'une bonne bière depuis si longtemps que j'en mangerais des algues si ça pouvait me donner un espoir...)

Il se releva et chercha du regard un lieu ou donner rendez vous à Laurelyne. Après un bon quart d'heure à trainer sur la plage il butta sur une petite pierre dont le son lui était des plus étrange... TOC !
En y regardant de plus près Adir sourit en reconnaissant l'objet de sa surprise. Une petite boite en bois de rose en forme de galet, le genre de boite que Laurelyne portait toujours avec elle, dans sa besace. Il avait déjà vu son amie en faire usage dans des cas assez précis de contusion... Un... baume. Oui, c'est ça, du baume ! Une sorte de crème qui soigne un tas de chose.

Il ramassa la boite et la nettoya du sable qui s'y était collé. Il observa un instant l'endroit et choisi de s'y assoir un moment. Peut-être l'intéressée reviendrait-elle sur ses pas sous peu...

Quand je pense que jusque là nous n'avons pas pu profiter de notre voyage... Ben, c'est décidé, à partir de maintenant ça va changer. Et vive les vacances !

Divinius

divinius s'avance et regarde le soleil, il s'assoit seul devant les vagues, jouant avec le sable de sa main droite, ilo ne sait quoi faire .
il reste pensif...
seul il reflechis esperant infantilement, recevoir une visite hospitaliere.
il en profite pour chantonner un petit air qu'on lui a apprit.

pnj

Levan. allat sur la plage, une fois la-bas il commencit a macher lentement dans le sable en regardant la mer et le couché du soleil...
Il se demande sur qui il tomberai en se promenant sur cette belle plage

Crapaudine

Le manège de sa fille dura quelques minutes. Crapaudine eut une idée qui elle en était sûre ravirait sa fille. Elle se leva et alla là où le sable restait tout juste humide. S'acroupissant, elle forma grâce à ses deux mains, un petit monticule semblable a une petite tour, elle tapota dessus avec le plat de la main pour rigidifier l'ensemble.
Lilly jettant un regard derrière elle vit ce que faisait sa mère et s'empressa de revenir vers elle.

Ooooh M'man! Qué'que c'éééé? dit la petite fille, le regard curieux.

Crapaudine sourit à sa fille et tout en ajoutant de petits coquillage tout en haut de son édifice elle lui dit :

-Tu vois ma chérie... C'est la tour de la belle princesse et là.... la jeune femme rajouta un coquillage le long de la tour, là c'est sa fenêtre de laquelle elle guette la venue de son prince !

Lilly s'accroupit à son tour et admira sa mère à l'oeuvre en réfléchissant longuement.

Tu c'ois m'man que moi aussi j'aurais un p'ince un jour?

La jeune femme rit de bon coeur et prit sa fille dans ses bras pour l'embrasser.

-J'en suis sure ma puce ! Tu es déjà pour moi la plus belle des princesses !

Un souffle de vent plus frais que les autres la fis frissonner, elle remit les chausses à Lilly et la prit par la main lui racontant sur le retour à l'auberge l'histoire de la belle princesse de la tour.

Crapaudine

Lilly et Crapaudine arrivèrent sur la plage. La petite fille ne tenait plus en place entre les quatre murs de la taverne où ils séjournaient.
Lilly lui lacha la main et courut aussi vite que ses petites jambes pouvaient le faire, trébuchant parfois lorsque le sable se dérobait sous ses chausses.

-Viiite M'man y'a l'eauuu!! criait-elle d'une voix surexitée.
La jeune femme courut en souriant derrière son petit bout, la rattrapant de justesse avant qu'elle atteigne les premières vagues. S'accroupissant près d'elle elle lui défie ses chausses et lui fit une petite claque sur son postérieur en riant.

-Allez va faire trempette ! Mais juste les pieds ! je te regarde !

La jeune femme s'installa sur le sable sec et regarda Lilly courir au bord de l'eau et s'arreter là où les vagues venaient lècher ses petits doigts de pied. L'éclat de rire de sa fille résonnait comme du bonheur pur dans son coeur de mère. Elle comptempla le manège de Lilly un long moment, lorsque la mer se retirait, elle s'avançait d'un pas vers l'eau et celle ci inlassablement, revenait l'éclaboussée, déclanchant son rire.

Laurelyne

Lyne vit la dame et l'enfant venir et joué, elle sourit aux eclats de rire de l'enfant et aussitot des souvenir d'un autre temp vinrent l'assahirent. Elle s'éloigna et retourna aupres de ses vetements qu'elle enfila rapidement afin de cacher sa nudité et c'est la mort d'en l'ame et le visage d'un enfant de 5 ans courant dans les vagues en hurlant de joie qui l'accompagnèrent sur le retour.

Laurelyne

Lyne ecoutait la dame.

-Si vous avez besoin de nourriture je peux vous depanner en pain vous savez? je peux vous faire quelques miche a 2 ecus ainsi vous auriez de quoi manger tous les deux pendant que vous travaillez!

Lyne se leva doucemant, sa robe etait trempé et ses mouvements etaient complexe.

-Si nous fesions quelques pas? Enfin si ma proposition vous interresse dites le moi.

Brigide

Elle avait écouté Lyne parler et un sourire c'était ficher sur son visage. Elle était vraiment très gentille et elle était contente de l'avoir rencontré. De pain, elle n'avait nul besoin. Elle se leva elle aussi et se met à marcher à côté d'elle.

Je vous remercie dame Laurelyne, mais nous avons ce qu'il faut, vous savez. Il a juste besoin de repos, il ne faut pas vous en faire pour nous. Mais c'est vraiment très gentil. Il est rare de rencontrer des personnes comme vous.

Elle devait prendre congé maintenant.

Je suis vraiment très heureuse d'avoir fait votre connaissance et d'avoir pu discuter un peu avec vous, mais je dois rentrer à l'auberge maintenant. J'espère que votre voyage se passera le mieux possible et peut-être qu'un jour nos chemins se croiseront de nouveau.

Elles étaient arrivées en bout de plage ou le chemin caillouteux commençait. Elle s'essuie les pieds et remet ses chausses. Toujours avec un sourire, elle prend donc congé de dame Lyne en lui faisant un signe de la main et se dirige vers le village.

Elle devait se dépêcher. Si son ami s'était réveillé il allait se demander où elle était encore partie. Non pas qu'il s'inquièterait pour elle, il savait qu'elle pouvait se débrouiller seul et il savait aussi qu'elle ne l'abandonnerait pas comme cela. Mais s'il avait faim, il allait encore grogner ... Cette penser, même furtive, la fait sourire franchement. Il avait un caractère insupportable, mais elle l'aimait comme il était et ne l'aurait changé pour rien au monde.

Laurelyne

Lyne etait heureuse d'avoir rencontré cette dame, elle etait gentille et s'estaient tres bien entendu des les premiers regards. Arrivé au bout de la jetté la dame pris congès.

-Et bien j'espère que cela ira bien egalement pour vous. Je souhaite bon retablissement a votre compagnon et qui sait peut etre viendrez vous a mende un de ces jours?

Elle regarda la dame s'éloigné et une idée un peu folle lui traversa l'esprit.
Regardant a droute et a gauche pour voir si elle etait bien seule, son intrepidité repris vite le dessus. Elle fit passé sa robe par dessus sa tête, ota ses bas et chausses, sa sous chemise vient rejoindre le reste de ses vetement et c'est entierement nue qu'elle courrut se plonger dans l'eau tres fraiche.
Elle ressortit la tête de l'eau, ne sachant nager, elle se contenta se rester entierement dans l'eau sauf la tete et de marcher en s'aidant de ses mains.

Elle tourna le dos a la plage regardant l'horizon.

"Que c'est beau!"

Laurelyne

Lyne laissait courir son regard en ecoutant la dame, elle appercut le messire qu'elle avait croisé en taverne mais a peine eut elle le temps de lui sourir qu'il faisait demi-tour. Elle haussa les epaules et reporta son attention sur brigide.

-Oui depuis deux ans que je me suis posé a Mende je n'avais pas repris la route. Le chemin avait ete tres long alors.... C'est vrai que les brigands sont nombreux j'ai eut la chance de ne pas les croiser en chemin pourvus que cela dure!

Elle regarda la dame avec attention.

-Vous avez l'air épuisé vous aussi! Votre ami est il vraiment mal en point? Il parait qu'ici il ont de bon soigneur je suis moi meme guerisseuse, cela se pretique chez moi de mere en fille! Du moins dans mon pays! Vous devriez peut etre demander a le faire voir?

Brigide

-Vous avez l'air épuisé vous aussi! Votre ami est il vraiment mal en point? Il parait qu'ici il ont de bon soigneur je suis moi meme guerisseuse, cela se pretique chez moi de mere en fille! Du moins dans mon pays! Vous devriez peut etre demander a le faire voir?

Il est vrai qu'elle ne devait pas être très belle à voir, de la poussière de partout sur les vêtements.

Oui, il est vrai que je suis un peu fatigué, je n'ai pas l'habitude de voyager comme cela. Mais une bonne nuit de sommeil va me faire du bien. Ne vous inquiéter pas pour mon ami, il est simplement épuisé et surtout il a faim. Je suis allé au marché avant de venir ici pour qu'il puisse manger comme il faut et reprendre des forces. Les brigands que nous avons croisés ne nous ont laissé que nos vêtements et bien-sur notre vie.

Elle lui fait un sourire qui ressemblait plus à une grimace, mais ils étaient en vie tous les deux et c'était tout ce qui comptait pour elle.

Laurelyne

Lyne vit la jeune femme s'approcher et la regarda le faire en souriant.

Citation:

C'est magnifique n'est-ce pas ?

-En effet c'est si beau que l'on a presque du mal a croire qu'elle est si terrible!

Ses yeux un instant vers la mer revienrent vers la dame.

Citation:

Pardonnez-moi de vous déranger dans votre prière. Si vous voulez rester seul, je me retire. De toute façon je ne vais pas rester trop longtemps, un ami m'attend dans une auberge ... Oh !! je suis impolie, je me nome Brigide ...

-Non vous ne me derangé pas! Et si avoir les fesses dans l'eau comme moi ne vous derange pas assayez vous donc! Je suis Laurelyne dite Lyne enchantée!

laissant le temps a la dame de s'installer, Lyne repris.

-Vous avez de la chance d'avoir un ami qui vous attend! Le mien a pconfondu les curés qu'il devait voir et au lieu de rester une semaine ici chez eux il est a Montpellier!

Lyne sourit.

-Et je l'attend ici avant de reprendre la route vers Mende. Vous etes aussi en voyage?

Von_gobseck

Selrach se baladait sur la plage quand il aperçu Dame Brigide , en la voyant il prefera s'eclipser en esperant qu'elle ne l'avait pas vu

Brigide

Répondant a l'invitation de Lyne, elle s'assoit accroupi sur le sable.

oui je suis en voyage aussi, je rentre chez moi à Valence et oui je suis accompagné d'un ami. Nous repartons bientôt, juste le temps pour lui de se requinquer un peu.

fermant les yeux elle prend une bonne bouffée d'air marin.

Je n'ai pas souvent l'occasion de venir voir la mer, alors j'en ai profité qu'il se soit endormi pour le faire avant de rentrer à l'auberge.

Comme moi il vous reste quelques bonnes journées de voyage. Je ne connais malheureusement pas Mende. En fait je voyage rarement.

Il est vrai qu'elle n'était pas une férue de voyage, c'était fatiguant et on n'était pas à l'abri du danger avec tous les brigands qui rodaient sur les chemins. Son ami et elle en avait d'ailleurs déjà fait les frais il y avait peu.

Laurelyne

Lyne se sentant observé tournan la tête vers une jeune femme marchant dans l'eau. elle ne l'avait pas vu avant surement trop absorbée par ses sombres pensées. Elle avait tenu sa parole et avait dit adieu a son fils, il fallait maintenant qu'elle vive et reprenne sa vie.
Elle sourit donc a la jeune femme l'invitant au dialogue si elle le desirait ou la rassurant si ce n'etait pas le cas.
Elle remarqua qu'elle avait l'air fatiguée.
"surement une voyageuse aussi!"

Brigide

Cela faisait maintenant quelques minutes qu'elle était là. Les pieds dans l'eau à observer cette belle dame. Elle avait quelque chose de différent, mais elle n'aurait pas su dire quoi ... La belle dame se retourne et lui fait un sourire. Elle lui rend son sourire. Ses yeux étaient humides. Elle avait pleuré. Elle s'approcha un peu et tourna elle aussi, son regard vert en direction de cette étendue immense. Elle a une pensée nostalgique pour son frère. Elle était sûre qu'il était en vie quelque part et qu'il se retrouverait un jour.

C'est magnifique n'est-ce pas ?

Puis se tournant vers la dame, les pieds toujours dans l'eau, ses chausses dans une main et le bas de sa houppelande dans l'autre, elle lui fait un grand sourire engageant.

Pardonnez-moi de vous déranger dans votre prière. Si vous voulez rester seul, je me retire. De toute façon je ne vais pas rester trop longtemps, un ami m'attend dans une auberge ... Oh !! je suis impolie, je me nome Brigide ...

Laurelyne

Lyne venait d'arrivais a Bézier. Apres avoir trouvé une chambre à "la taverne du bonheur et des plaisirs", Lyne sortit de la ville et alla sur la plage. Ayant un hommage a rendre la, elle s'assit sur le sable face a la mer qui lui avait pris le dernier etre qu'elle aimait. Elle se mit donc a parler a cette si cruelle eau.

-Hoo toi qui a pris mon fils, mon amour et ma vie! Garde le bien au chaud en ton sein. Surtout fais attention a lui jusqu'a ce que je le rejoingne! mais pourquoi l'avoir pris, il etait si jeune?

Elle fit couler quelques larmes et regarda cette etendu d'eau qu'elle avait elle meme traverser pres de deux ans plus tot. Elle revecu la taversée, le bateau, le capitaine, son deguisement en garcon pour etre mousse a bort les regards curieux des matelots etc....

elle resta assise la, les mains autour de ses jambes replié contre sa poitrine, les yeux perdu dans les vagues et le vent venant s'engoufrer dans ses longs cheveux defait trainant sur le sable.

Brigide

Ils étaient arrivés le matin même et n'allaient rester que quelques jours. Son compagnon avait besoin de repos et ce voyage n'était pas du tout facile pour lui. Elle était tellement heureuse de faire ce voyage avec lui. Elle l'avait laissé se reposer dans une auberge non loin de là. Comme il était épuisé, elle le laissa dormir pour qu'il récupère. Il en avait besoin.

Comme il faisait encore jour, elle en profita pour faire le tour du village. L'air y était si différent de celui de Valence. Un air salé et iodé. Elle était passée par la place du marché avant de venir sur la plage. Elle avait réussit a avoir quelques provisions pas cher, juste avant que les commerçants rangent tous. L'argent diminuait a vu d'oeil et ils avaient encore du chemin à faire pour arriver à Valence.

Elle s'approche de la plage, enlève ses chausses et commence à marcher nu pied sur le sable encore chaud. Elle avance doucement en direction de l'eau, lève le bas de sa houppelande et trempe un peu ses pieds. L'eau est fraiche. Elle marche un peu dans cette eau fraiche le long de la plage. Au bout d'un moment elle aperçoit une femme, elle était assise sur le sable et regardait l'eau. Elle semblait perdu dans ses pensées. Que devait-elle faire ? Elle avait l'air si triste. Devait-elle aller la voir ? Elle la regarde un moment ne sachant trop quoi faire ...

Swan

C'était une Lou complètement frigorifié qui les avait suivies bon gré, mal gré sur la plage. La rouquine boitait encore un peu, mais sa blessure au mollet, avait bien cicatrisé ce qui lui permettait maintenant de presque courir, ce qu'elle faisait d'ailleurs, complètement hermétique au froid qui l'entourait tant elle était heureuse d'être là et de voir une partie de son rêve de ses yeux.

F'tredieu! C'est quand même beau c'vagues!
V'croyez que la mer elle peut geler?

La rouquine, fessier posé sur le sable humide, se tourna vers sa jeune amie. Les deux jeunes filles avaient accroché dès qu'elle s'était vue. Un peu comme avec Chipie quand elle était arrivée au manoir des crocs. Lou se tenait à côté d'elle et avait les yeux rivé sur le large.

Oui c'beau hein ! T'comprends pourquoi j'veux naviguer ?!

Si la mer gelait ? Elle n'en savait fichtre rien ...

J'sais pâ du tout si l'mer gèle, mais j'crois pâ qu'le peu d'neige qu'y a là, la fasse geler !

Elle regardait les deux jeunes femmes qui étaient là avec elle. Elle qui n'avait que des frères se retrouvait avec deux jeunes femmes qu'elle considérait comme des soeurs. Avec Chipie, elles en avaient vu des vertes et des pas mures et des crises de fous rires, elles en avaient eu. Quant à Lou, son expérience à la fosse lui avait démontré qu'elle pouvait compter sur elle. Oui, ces deux filles là étaient des soeurs pour elle. Peut-être devrait-elle faire un pacte de sang pour officialiser ça. Quand elle aurait un moment, elle leur en parlerait, mais là, elle contemplait cette étendue infinie ...

Chipie !! Alors t'en pense quoi d'la mer ?

Lou ? T'viendrais 'vec moi sur un navire si un jour on a l'occasion d'monter d'ssus ?

Hummm !! Au fait ! Jeni rapplique ici 'vec ceux d'son groupe et j'ai écrit au volatile blond, et lui aussi l'doit nous rejoindre ...

Elle baissa la tête en disant ça, mais heureusement qu'il faisait froid, au moins la rougeur sur ses joues ne se verrait pas. Ben quoi ?! Bon elle n'aimait pas les blonds, c'était de notoriété publique, mais celui-là était en grâce de sainteté à ses yeux !

L'est où ton brun d'ailleurs Chipie ?
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Luludja

Tournant la tête vers la rousse, elle vit dans ses yeux "le" regard. Celui qui montrait qu'elle aussi avait une sorte de fascination pour la mer. Ce qu'elle confirma en disant:

Oui c'beau hein ! T'comprends pourquoi j'veux naviguer ?!

Si elle comprenait? Lou rêvait depuis bien longtemps de monter sur un bateau et de fendre les flots à la recherche d'aventure, de découvertes, d'ailleurs. Alors bien sûr qu'elle comprenait. De savoir que Swan aussi avait ce même rêve, c'était la cerise sur le gâteau. Décidément elles se ressemblaient beaucoup. Les mêmes délires, les mêmes envies. Mais si Swan fonçait tête la première, Lou, elle, était plus réservée, plus hésitante.

T'viendrais 'vec moi sur un navire si un jour on a l'occasion d'monter d'ssus ?

Elle se tourna vers sa rousse amie, un sourire aux lèvres.

Ce serait chouette oui... T'sais j'ai toujours voulu monter sur un bateau mais...
Elle reporta son attention sur le sable gelé et commença à dessiner des cercles du bout du doigts.
... Je sais pô nager... c'est grave tu crois?

Y avait tellement de choses que Lou n'avait jamais apprises. Ecrire, lire, vivre en communauté. Et nager.
Mais Swan enchaîna sur le fait que les autres allaient les rejoindre. Crusty, le blond... elle les aimait bien ces deux-là. Pis ça ferait de l'animation autour des roulottes.
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Chipie..

L'hiver le climat est plus doux dans l'Sud ! Tout l'monde sait ça ! N'empêche qu'ils se g'laient grave les cacahuètes ... C'tait pas le froid sec des montagnes en plus ... Tout c'qui dépassait des vêtements était r'froidi en moins d'temps qui faut pour l'écrire ...

Après leurs péripéties à Mende, sa princesse avait dit, on va voir la mer pour te faire plaisir ! La brune s'en était extasié ou presque ! Et d'annoncer ça à son brun ...

Haaaaaan !! T'vas voir, trésor ! La mer ... Tu l'as d'jà vu toi ?!

Comme une gamine, et on n'était pas très loin de la vérité, elle l'avait fait tourner sur lui-même en riant ... Pis après ces quelques journées passées dans des geôles crasseuses, à compter le nombre de rats ou les grains d'poussière, c'est selon ... ça leur ferait un bien fou !!

A leur arrivée à Béziers, Chipie n'avait qu'une idée en tête ! Na ! Pas s'baigner, c'pas la saison ... Quoique ça lui fasse pas peur, elle avait fait pire ! Les conn'ries, elle était passée maître dans l'art !! 'Fin bref ... Elle avait donc qu'une idée en tête, voir cette étendue d'flotte à perte de vue, respirer l'air du large, laisser le vent emmêler ses boucles brunes ... Elle se mit à sourire et sans attendre ses acolytes, fonça sur la plage ... Elle ôta ses bottes et ses bas et remonta ses braies jusqu'aux genoux, bien que l'air soit vif et que le sable soit recouvert d'une légère couche immaculée ... Il fallait qu'elle trempe au moins les pieds ! Elle se prendrait pour une sirène quand l'temps s'rait plus clément ...

Swan et Lulu finirent par la rejoindre ... Elles, ce qui les intéressait, c'tait les bateaux ... La brune, elle, elle préfèrait d'loin le plancher des vaches et les bras d'son brun ... T'jours est-il que toutes les mirettes étaient tournées vers la grande bleue ...

J'sais pas où il est ... L'a dû s'trouver une taverne, un coin près d'l'âtre et se faire chauffer la couenne !

Chipie se mit à rire en imaginant la scène puis se replongea dans la contemplation, entre ciel et mer, de l'horizon murmurant à voix basse :

Jamais vu plus beau spectacle ...
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Swan

L'air marin était agréable. L'iode et les mouettes qui cherchaient leurs pitances dans les flots agités que leur insufflaient les vents. Les vagues et l'écumes s'écrasant sur le sable. C'était de toute beauté, même si la saison ne s'y prêtait pas.

Elle regarda Chipie qui osait mettre les pieds dans l'eau glacée. Elle n'avait jamais eu peur de rien elle non plus. Comme elle, elle mettait tout en oeuvre pour obtenir ce qu'elle voulait et lui faire plaisir en venant ici, c'était un peu sa façon de se faire pardonner pour ce qui s'était passé à la fosse. Richard s'était battu pour la sortir de là et il avait failli y laisser la vie.

Ce serait chouette oui... T'sais j'ai toujours voulu monter sur un bateau mais...
... Je sais pô nager... c'est grave tu crois?

Elle lâcha des yeux son Cap'tain Fracasse pour tourner son regard clair vers Lou qui répondait à sa demande. Elle posa sa main sur la sienne et lui fit un sourire.

Oui c't'un peu embêtant, mais j't'apprendrais s'tu veux ! C'pâ bien compliqué t'sais ! Moi j'ai appris 'vec mes frères. Mais là c'pâ trop l'saison pour ça, faut attendre les beaux jours !

D'ailleurs ...

Elle se dit que comme il faisait froid et qu'il n'y avait pas grand-chose à faire, ce serait bien de commencer les leçons d'écriture.

J'crois bien qu'en attendant les autres, on va commencer l'écriture. T'veux ? Fais froid dehors 'lors autant en profiter. Pis j'ai quelques livres dans l'roulotte que j'ai « emprunté » à la bibliothèque de mon « ami » l'bourgmestre de Mende !

Elle éclata de rire en disant ça. Ce cher Summa. Elle s'en souviendrait de lui. Chipie avait fini de faire trempette ses gambettes dans l'eau et elle les rejoignit.

J'sais pas où il est ... L'a dû s'trouver une taverne, un coin près d'l'âtre et se faire chauffer la couenne !

Mouai ! Bien un homme tien ! Elle rit avec la brune, amusée.

Jamais vu plus beau spectacle ...

Oui c'beau et ça l'est 'core plus à l'saison chaude.

Elle se leva et tendit sa main à Lou pour l'aider.

Qu'est-ce qu'on fait l'filles ? On va s'mettre au chaud dans l'roulotte ? S'fait un peu frisquet quand même ! Mais on r'viendra, l'temps qu'les autres arrivent !

Elle attendit une réponse, des fois qu'une d'entre elles auraient une autre idée !
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Luludja

Elle regarda Chipie qui trempait ses doigts de pied dans l'eau glacée. L'était pas frileuse, elle, pour sûr. Puis interrompit son dessin quand Swan dit:

J'crois bien qu'en attendant les autres, on va commencer l'écriture. T'veux ?
Ah... ben, oui. Mais j'te préviens, j'arrive pas à me concentrer trop longtemps. Faudra que tu sois patiente avec moi.

Swan se relève et aide Lou à faire de même.

Qu'est-ce qu'on fait l'filles ? On va s'mettre au chaud dans l'roulotte ?

Lou opine du chef, la mer c'est beau mais là elles vont pas tarder à se transformer en statues de gel.

Ouaip' on y va! J'vous ferai griller quelques châtaignes sur le feu si v'voulez!

Elle attend de voir si Chipie pense de même et reniffle un coup.
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[RP] La plage