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[RP] La plage

Cyrianna2002
La tribu avait passé les remparts le matin même…carrosse ou carriole – oui, ben tout dépend du regard hein^^ - improbable ; deux molosses, plus gros que les quatre enfants réunis, trois adultes…pauvre garde, après une nuit blanche qui assume ce genre de rencontre. Epuisée, la sentinelle n’insiste pas, d’autant que la femme en rouge ne s’en laisse pas conter, elle a du caractère la bougresse.

Elle mène sa tribu jusqu’à la plage…havre de paix, le bivouac se fera là, près des flots. Déjà les enfants pataugent, ravis ; la jeune femme laisse son époux, elle n’y entend rien en campement, et va s’enquérir des décrets avant de visiter le marché. Retour à la mairie, trouver un emploi ; elle sait par habitude que sa moitié s’est enrôlé dans la milice.

Béziers ! Elle aime cette cité, elle aime certains de ses habitants…Impatience de voir arriver la nuit, de pouvoir se rendre en taverne, de retrouver ses amis ; Zaz’ qu’elle a croisée à Narbonne et avec laquelle elle doit tricoter ce soir, le viking qu’elle ne manquerait pour rien au monde et pour lequel elle a une tendresse particulière, le maire qu’elle respecte pour le travail effectué et pour ses fleurs…qui d’autre encore.

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Coccycrep
Coccy rentrait de la taverne et elle en profitât, même s'il était déjà tard et si la nuit était tombé, pour passer par la plage.

Elle était triste, son homme était chez les nones, malade et elle n'avait pas de nouvelle... mais il reviendrait, il lui avait promis et elle l'attendait.

La maison était vide sans lui et ... Marie lui faisait un peu la tête depuis son départ. Elle savait bien qu'en fait Marie était comme elle et que l'absence de Tim lui pesait beaucoup. Il fallait qu'elle lui change les idées mais que faire?
Demain, elle l'emmènerait avec elle sur le lac. Et puis, on verrait bien...

Marchant au bord de l'eau, elle pensait à lui...
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Nath31
Nath en rentrant de la pêche passa par la plage pour rejoindre sa maison. Il pleuvait et elle adorait ce temps là !!!! Elle vit au loin une silhouette et reconnut de suite sa soeur.

Elle accéléra le pas pour la rejoindre... elle la savait triste et désemparée depuis le départ de Tim. Une fois à sa hauteur....

Coucou ma Coccy... toi aussi tu te promènes par ce mauvais temps ? humm je vois bien que tu n'es pas en forme mais ne t'inquiète pas il va revenir....

Elle s'approcha tout près d'elle et la prit par le bras. Sa soeur était trempée par la pluie et transie de froid.

Bon là je te demande même pas ton avis, tu va tomber malade toi.... faut que tu sois en forme pour son retour... viens à la maison je vais te préparer une boisson bien chaude et.... des tits gateaux....
Coccycrep
Coccy était perdue dans ses pensées quand Nath arrivât derrière elle.
Coccy savait que sa soeur s'inquiétait pour elle et, elle s'en voulait.


Citation:
Bon là je te demande même pas ton avis, tu va tomber malade toi.... faut que tu sois en forme pour son retour... viens à la maison je vais te préparer une boisson bien chaude et.... des tits gateaux....


Coccy lui sourit et lui répondit :

Ne t'inquiètes pas pour moi Nath, je suis plus près de la maison que de chez toi ici^^ et puis il faut que je rentres, Alyciana dort surement déjà et je veux être là si elle se réveille. Et puis, il y a Marie aussi et je ne peux pas la laisser.
Allez, je vais rentrer, bonne nuit .


Elle s'en allait déjà puis, elle se retournât et ...

Heu... Nath... Je sais qu'il va revenir, mais... c'est juste que... il me manque tellement...

Et sur ce, elle repartit en direction de sa maison.

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_epiphanie_
Elle se dirige vers la plage de Béziers, elle n'y a pas vraiment mis les pieds depuis qu'elle a emmenagé.

Elle ôte ses chausses, ses bas et les tiens à la main, elle enfonce avec plaisir ses orteils dans le sable fin et froid, elle commence à longer la mer, elle admire cette eau si calme, elle ne peut s'empecher de comparer cette mer avec l'ocean qu'elle connaissait.

Elle a un petit sourire en repensant à sa Gascogne natale, mais elle ne regrette aucunement d'être là à Béziers, c'est au cours de ce voyage que Meg et elle se sont rapprochées, elle en est heureuse.

Elle s'approche de la mer, trempe un orteil timidement, elle est parcouru de frissons, l'eau est froide, mais elle décide tout de même d'entrer dans l'eau du moins jusqu'aux chevilles. Elle continue sa marche , les pieds baignant, elle ne croise que peu de personnes, il y a quelques barques échouées, et sur la mer elle aperçoit quelques embarcations de pêcheurs.

Le soleil commence à descendre tout doucement, elle se demande si elle ne va pas attendre le coucher de soleil pour le voir se fondre dans l'horizon, elle remonte un peu plus haut sur la plage s'assoit, le sable colle sur ses chevilles. Elle enserre ses genoux dans ses bras, pose son menton sur ses genoux repliés et laisse ses pensées vagabonder.
Isabele_colomb
Isabele se sentait mal , elle avait écrit et envoyé un courrier qu'elle regrettait amérement , mais trop tard le mal était fait , tout ce qu'elle espérait à présent c'est qu'elle puisse être un jour pardonnée de cette lacheté dont elle avait fait preuve .
Elle avait besoin de se retrouver seule , elle s'habilla chaudement car la soirée était fraîche , le vent et le froid lui cinglaient le visage , elle erra longtemps dns la ville sans but songeant à ce qu'elle avait fait , ses pas finirent par la conduire sur la plage , il faisait de plus en plus froid , Isabele grelottait et ses larmes coulaient le long de ses joues , comment avait elle pu et osé faire ça , elle était à présent pleine de remords.
Elle marcha longuement sur la plage sans savoir où elle allait vraiment , songeant à tous ses instants de bonheur partagé qu'elle avait balayé en une simple lettre , oubliant même ce qu'ils s'étaient promis et l'avenir qu'ils envisageainet ensemble.
Aprés une longue errance sans but , fatiguée , les yeux rougis et les joues brulantes , Isabele finit par s'asseoir dans le sable humide recroquevillée sur elle même face à la mer , face à cette immense étendue d'eau salée dont on n'en voyait pas la fin.
A cet instant présent elle aurait voulu mourir pour oublier ce qu'elle avait fait , de ses mains elle se mit à tripoter le sable humide et se mit à dessiner

c'était soir de pleine lune et on y voyait comme en plein jour , Isabele essuya ses mains pleines de sable sur son manteau , sortit plume et parchemin et se mit à écrire




Elle ferme les paupiéres,appose ses deux mains
Et plonge dans l'océan aux rivages sans fin

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle ferme les paupiéres
Elle glisse telle une pierre

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle ressasse
Elle rêvasse

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle tressaille
Elle baille

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle déchiffre
Elle souffre

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle rit
Elle crit

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle pleure
Elle meurt

Seule face à la mer
Pour tout univers
Elle s'émerveille
Elle s'éveille

Tout ceci n'était qu'un mauvais rêve......


Isabele sécha l'encre de son parchemin avant de le plier et de le ranger dans sa besace , elle se leva , secoua son manteau couvert de sable et reprit sa marche sans but , en direction du village cette fois , elle espérait avoir rêvé les évenements de la journée
Coccycrep
Coccy revenait de la taverne et se dirigeait vers sa maison quand croisât le chemin de son ami.
Elle vit vite que celle-ci n'allait pas bien ; ses yeux rougis ne pouvaient mentir.


Isa ! dans quel état tu es !
Viens à la maison, on va discuter.
Faut que tu fasses le vide dans ta tête avant de prendre une décision si importante.
Tu es tiraillées entre ton envie de vivre ici à Béziers avec tes amis et l'envie de vivre avec Konrad et je comprend que cela est difficile à vivre pour toi. Mais rien ne sert de prendre une décision sur un coup de tête.

On va aller se mettre devant un bon feu, se prendre un verre de vin et discuter entre filles toute la nuit si il faut. Mais demain, tu y verras plus claire alors et tu pourras prendre une décision.


Doucement, Coccy poussât Isabele dans la direction de sa maison et toutes deux, elles montèrent l'aller qui menait à la porte d'entrée.




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Alycianne
Elle regarde la mer. Mer que sa mère n'a jamais vue.
Drôle d'histoire de mère absente et mer présente.

Si elle suit le chemin qui part sur la droite, elle ira vers Castelnaudary, ville où elle a autrefois habité alors qu'elle ne savait pas encore marcher. Aucun souvenir de celle-ci, mais elle sait qu'il y a des chances que Maman y soit retournée.
Si elle part vers la gauche, Ces-Murs sera plus proche.
Maman, où es-tu allée ?

Le panier tombe avec un bruit sourd sur le sable. Une menotte vient rabattre une mèche de cheveux derrière son oreille.

Tout à l'heure, elle doit partir. Gauche, ou droite de la mer ? A vrai dire, la gauche et la droite se confondent. Disons qu'elle ira vers Montpellier, ou vers Narbonne, deux villes, en plus de Ses-Murs et Castelnaudary, dont elle connait l'existence.
La gamine se perd. Montpellier, gauche, droite, Narbonne, Ces-Murs, Maman. Sa mère peut-être partout, tandis que la mer est ici.

Une main vient trouver le réconfort de ses cailloux. Ses préférés, un blanc, un noir, et un rayé, tous trois cadeaux, sont sortis de la poche. Blanc, à Ces-Murs, Noir à Ces-Murs, Rayé on-ne-sait-où.


Para Tistote ! murmure-t-elle.
Maman...

Maman revient toujours à Ces-Murs. C'est son port pour s'attacher, ou quelque chose comme ça. Elle ira d'abord vers Ces-Murs. Et si Maman n'y est pas, ben... Elle continuera plus Loin.

Le soleil sera bientôt haut dans le ciel. Si seulement il n'y avait ces nuages, aujourd'hui ! On pourrait voir de jolis reflets dorés dans la mer.
C'est beau, la mer.
Un petit galet gris attire son regard. En une seconde alyciannesque, il se retrouve dans sa poche.
Souvenir de Béziers.
Hansreudi
Il marchait sur le sable humide. Simplement éclairé par une torche au milieu de la nuit noire. Cette lumière était bien superflue. Il serait capable de parcourir cette plage en pleine pénombre. Il l'avait arpentée tant de fois que même les yeux fermés il s'y retrouverait.

Tout avait commençait ici il y a bien longtemps. Tout prendrait fin ici.

Il s'assit sur la plage, écoutant le clapotis de la mer. Il alluma un feu pour se réchauffer et pour terminer ce qu'il avait commencé. Faire ses comptes avec le passé.

Le brasier était intense, revigorant. Il se saisit d'une liasse de papiers ornée d'un ruban de satin bleu. Des lettres jaunies par le temps, symbole d'un passé lointain. A la simple clarté du feu il relut, son histoire, sa vie évoquée à travers ces courriers échangés. A l'issue de chaque lecture, il posait chaque correspondance dans les flammes. Puis passant à la suivante il fit de même, et encore, jusqu'à la dernière de ces lettres. L'air frais qui venait du large lui fit s'apercevoir que des larmes coulaient sur ses joues.

Il prit un médaillon dans sa poche, l'embrassa comme on embrasse celui que l'on ne reverrait plus. S'approcha de l'eau, il le lança en mer le plus loin que ses forces lui permettaient.

Il se rassit. Le soleil commençait alors à illuminer l'horizon d'un rouge flamboyant. Une nouvelle journée pour Béziers et une nouvelle vie pour lui. Il aurait tant aimé qu'Isabele soit à ses côtés en ces moments. Il n'avait pas osé le lui demander. Faire table rase du passé, c'était ce pour quoi il était venu si tôt ce matin. Isabele était son avenir...........

Après quelques minutes à contempler le ciel, il se leva. Il était maintenant l'heure de son rendez-vous. Son quatrain était à écrire. Il aimait ce qu'Isabele tentait de lui apprendre. Il l'aimait elle plus que tout.

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Damelou
Lou arriva à l'entrée de la plage, elle resta un long moment sans bouger subjuguer et le souffle coupé. Sa marraine lui avait parlé de cette endroit mais elle n'avait pas imaginé que s'était si beau.
Elle avança vers la mer le sable était humide et froid mais elle le remarqua à peine les yeux rivés sur les vagues.
Elle sursauta quand son premier pied atteint l'eau froide, elle fit un pas en arrière et longea la mer, rigolant toute seule quand une vague un peu plus forte venait lécher ses orteils. Elle ne pouvait pas s'empêcher de sauter en arrière à chaque vague et fini par être mouillé de la tête aux pieds. Petit à petit son corps s'habitua à la température de l'eau et elle la trouva même pas si désagréable que ça.
Elle remonta un peu sur la plage, s'assit et enfonça ses pieds dans le sable. Elle resta là, à contempler la mer et à se faire bercer par le bruit des vagues.
Elle frissonna, la brise lui rappela qu'elle était toute mouillée, elle se dit :
- il faut que je rentre me sécher.., il a beau ne pas faire froid, je vais finir par tomber malade si je persiste.
Elle se releva et refit le chemin en arrière, du haut de la plage loin de l'eau, la vue était tout aussi féérique.
Nath31
Elle s'était réveillée tot ce matin là. Doucement avait enfilé une cape, la maison était calme. Elle avait regardé Divi qui dormait encore, avait posé un bisou sur ses lèvres et était sortie. Au bout de leur jardin la plage. Il faisait à peine jour.... la mer était calme et elle s'avança lentement les pieds nus dans le sable.
Elle scruta l'horizon et déjà elle apperçut les bateaux des premiers pécheurs qui posaient leur filet. Elle n'avait pas péché depuis un moment. Elle marcha un moment sur la plage respirant à fond l'air iodé.
Elle aimait cet endroit, il avait le don de la détendre de la reposer. Tout à sa contemplation elle fit un bout de chemin et s'assit sur le sable froid. Elle frissona se serrant dans la cape, ferma les yeux et se laissa bercer par le bruit des vagues.
Le doux clapoti de l'eau lui faisait du bien. Calme et sereine elle était et le resterait. Elle resta un long moment loin de tout, sans autre bruit que celui de l'eau du vent, à se ressourcer.
Fantik37
Il était encore tôt quand Fantik gagna la plage où était amarrée sa barque.
En gagnant le large, elle vit un homme qui lui faisait des signes, il avait certainement trouvé un bon emplacement.
Fantik l'avait déjà croisé, c'était un habitué et partageait toujours les bons coins qu'il trouvait avec les autres.
Fantik le salua de la main et lança son filet à ses côtés.
Celui-ci ne tarda pas à devenir lourd, Fantik le remonta plein de très beaux poissons.
Elle décida de revenir vers le rivage pour tenter de repérer des endroits poissonneux pour les pêcheurs à pied afin de les aider.
Il lui sembla que près de la falaise à gauche en regardant la plage, l'eau était agitée...
C'est à ce moment qu'elle vit Lach qui arrivait sur la plage.
Elle lui fit de grand signes en l'interpellant.



Hou hou ! Lach...viens voir par ici !
Je crois que les poissons n'attendent que toi...

Un sourire illumina son visage, il aimait se retrouver avec elle à la pêche.
Bientôt il l'avait rejointe et lança son filet à l'endroit indiqué.
Des remous nombreux leur indiquèrent qu'un banc de très gros poissons était pris au piège, la journée était prometteuse.


[quelques heures plus tard...]

Notre pêche a été bonne ! Si on en profitait pour nager un peu ?
Tu descends de ta barque ?


La proposition était tentante, il faisait encore bon malgré la saison.



Quelle bonne idée !!!!
J'adore le goût du sel sur ta peau...lorsque je t'embrasse !
Mais avant je vais retirer quelques vêtements, sinon je vais couler !!!

Aussitôt dit, aussitôt fait...Fantik se retrouva bien vite en braies et chemise. L'eau était un tout petit peu moins chaude que la dernière fois, mais elle se retrouva bien vite dans les bras de Lach et profita de sa chaleur.
Après avoir fait la course en direction de l'île au milieu de la baie, ils regagnèrent le rivage, fatigués mais heureux de leur journée.
Lach alluma un feu avec du bois flotté ramassé sur la laisse de mer et ils de réchauffèrent avant de remettre leurs vêtements secs.
Ils décidèrent de faire griller quelques poissons et de les déguster sur la plage.


Le soleil descendait doucement sur l'horizon, Fantik était blottie dans les bras de celui qu'elle aimait, doucement bercée par le bruit des vagues et réchauffée par le feu qui pétillait joyeusement.
Il y avait longtemps que Fantik n'avait pas été aussi bien...
Elle serait bien restée là toute la nuit.



Tu sais que l'on est attendu ?
Il va falloir que l'on aille se changer et rejoindre Kall et Chrego pour les festivités qu'ils ont préparées !!!
Il m'a dit avoir prévu de quoi trinquer à leur bonheur jusqu'au bout de la nuit...
Et puis, il faut que j'aille chercher le cadeau que l'on a apporté...

Ils se levèrent, ramassèrent leurs nasses à poissons et regagnèrent l'auberge main dans la main.
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Adhara.
Lussifa ne connaissait pas encore cet endroit. C'était une petite crique un peu à l'ecart,il l'avait trouvé en cheminant au hasard des sentiers longeant les falaises.
Le vent soufflait plus fort qu'il ne l'aurait cru.Avec ses haillons en piteux état il avait un peu froid mais la beauté du paysage le retenait sur ce lieu qu'il considérait comme presque magique.
Il ferma les yeux et s'emplit les poumons d'air pur, frais, et tres légèrement iodé
Allongé sur le sable il n'écouta plus que le calme et le vent pendant de longues minutes.

Puis il se releva sur ses coudes.

Bon bin c'est pô tout ça, mais y gèle un peu quand meme, hein mon gars!!

Il prit la petite barrique de bière qu'il avait emmené avec lui, l'ouvrit et la vida d'un trait ....Avant de s'affaler à nouveau de tout son corps sur le sable, pour un plus long moment.

Maryloug
Cela fesait longtemps que maryloug n était venu a la plage.Elle regarda le paysage et appréciait sentir le calme.Une brise la fit frissonner.Elle regarda le ciel, des larmes la submergère en repensant au pigeon qu elle avait reçu de son tendre,pour ne plus les sentir , elle se déshabilla entièrement et couru vers l eau ou elle plongea.Elle n était pas très bonne nageuse donc elle décida de rester au bord.Elle s allongea et les vagues se jetaient les une après les autres par dessus elle.Elle resta ainsi un long moment.Elle fut obliger de sentir de l eau ne sentant plus le bout de ses pieds.Elle reprit ses habits, chercha un coin ou personne ne la verait et se glisse sur le sable rester ici un long moment pensea t elle et pourquoi dormir a la belle étoile , meme si le froid tombe de plus en plus.Elle n a pas le coeur de rentrer chez elle, chez eux.Se n est plus sa demeure a présent, son coeur se serra et se consuma par la douleur.
Divinius
Divinius qui l'avait suivi depuis la ville, la guetta un instant, le vent soufflant dans ses cheveux, il resta sur un mas de sable les yeux fixés sur elle. Il ne fut pas difficile de la suivre entre gouttelettes sur le sol et petites reprises de respiration courte.
il s'approcha d'elle doucement ne voulant pas trop se faire remarquer, il l'avait vu se baigner malgré le froid, et craignant pour sa santé, il décida de se montrer. Il se mit a coté d'elle et ne sachant pas comment agir, il se laissa tomber a coté d'elle sachant qu'elle désirait être seule, mais ce n'était pas la chose a faire et encore moins a laissé faire.
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