Gally63
Les gardes leur avaient dit l'avoir vu partir vers la plage. C'est dangereux la mer l'hiver, c'est peut être cette satanée mer chaude, elle n'en demeure pas glacée quand c'est l'hiver. La plus vieille avait envoyé la plus jeune devant. Elle n'aurai pas de mal à la reconnaitre les femmes se promenant de nuit sur la palge à cette période ça court pas les rues... Ou alors le pays devient vraiment fou.
Mary pouvait vouloir se tremper, ou pire se noyer. Marie courut donc le long de la côte et vit une femme assise dans un coin reculer, heureusement que la lune était pleine, mais le ciel sans nuage annonçait de bonnes gelées pour la nuit. Elle distingua une autre silouhette à côté. Déjà sa soeur arrivait au loin, prenant moins de temps qu'elle estimant que sa cadette aurait déjà fouuiller comme il faut :
Gally é la trouve !
Qu'elle fut à la hauteur de Marie, la jeune femme ajouta :
Y a quelqu'un avec elle.
O fè re ! Vo tchercha mo filleule.
Gally avança assez lentement sûre qu'elle n'allait pas partir en courant. Vu la taille de son ventre, si elle le décidait, elle ne saurait pas la rattraper et il faudrait demander à Marie restée en retrait de lui courir après et de la faire tomber le temps qu'elle les rattrape. Dans la pénombre elle reconnut Divinius assit à côté d'elle. Ils ne discutaient pas visiblement mais des fois la présence seule compte.
Maryloug luisait un peu, signe d'une baignade... Elle reçut un linge sur la tête. Elle tourna tout juste la tête et Gally vociféra alors :
Mais t'es pas bien toi ! Sèche toi de suite et enfile ces vêtements !
Euh... Bonju Divinius.
Allez et dépêche toi ! Tu cherches quoi à faire de ton fils un orphelin ?! Alors maintenant on arrête les bêtises pour ce soir et tu viens pleurer chez moi au chaud...
Elle se tût alors. Elle regardait Mary mais elle espérait qu'elle ne se retournerait pas... Elle ne voulait voir sa filleule pleurer. Elle avait été autoritaire et méchante, elle l'avait engueulé, mais pourtant en elle n'existait que compassion. Elle se devait de faire cela, de dire cela car ayant vécu situation pareille, elle savait que c'était le meilleure moyen de la faire finir et d'au moins préserver sa santé. Il fallait l'empêcher de tomber dans la tétanie et la faire réagir...
Mary pouvait vouloir se tremper, ou pire se noyer. Marie courut donc le long de la côte et vit une femme assise dans un coin reculer, heureusement que la lune était pleine, mais le ciel sans nuage annonçait de bonnes gelées pour la nuit. Elle distingua une autre silouhette à côté. Déjà sa soeur arrivait au loin, prenant moins de temps qu'elle estimant que sa cadette aurait déjà fouuiller comme il faut :
Gally é la trouve !
Qu'elle fut à la hauteur de Marie, la jeune femme ajouta :
Y a quelqu'un avec elle.
O fè re ! Vo tchercha mo filleule.
Gally avança assez lentement sûre qu'elle n'allait pas partir en courant. Vu la taille de son ventre, si elle le décidait, elle ne saurait pas la rattraper et il faudrait demander à Marie restée en retrait de lui courir après et de la faire tomber le temps qu'elle les rattrape. Dans la pénombre elle reconnut Divinius assit à côté d'elle. Ils ne discutaient pas visiblement mais des fois la présence seule compte.
Maryloug luisait un peu, signe d'une baignade... Elle reçut un linge sur la tête. Elle tourna tout juste la tête et Gally vociféra alors :
Mais t'es pas bien toi ! Sèche toi de suite et enfile ces vêtements !
Euh... Bonju Divinius.
Allez et dépêche toi ! Tu cherches quoi à faire de ton fils un orphelin ?! Alors maintenant on arrête les bêtises pour ce soir et tu viens pleurer chez moi au chaud...
Elle se tût alors. Elle regardait Mary mais elle espérait qu'elle ne se retournerait pas... Elle ne voulait voir sa filleule pleurer. Elle avait été autoritaire et méchante, elle l'avait engueulé, mais pourtant en elle n'existait que compassion. Elle se devait de faire cela, de dire cela car ayant vécu situation pareille, elle savait que c'était le meilleure moyen de la faire finir et d'au moins préserver sa santé. Il fallait l'empêcher de tomber dans la tétanie et la faire réagir...