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[RP] La plage

La.loreley
Lore arriva sur la plage en courant, sautillant de bonheur. Quel plaisir de fouler enfin le sable fin, de voir face à elle une immensité sans pareil.
Elle s'approcha de l'eau et respira profondément, ses poumons se remplissant d'air iodé et frais.
Elle était un peu déçu tout de même, la saison ne lui permettait pas de se baigner, il faisait bien trop froid encore.

Lore s'asseye sur le sable, et resta la à observer la mer pendant des heures.
Alanvega1
Alan était arrivé ce matin en compagnie d'Exquise et de Rol, Exquise dormait d'un sommeil d'ange dans la cariole et il avait passé la nuit à deviser et rire avec Rol sur son cheval à coté...

Arrivant devant la mairie , ils avaient trouvés vite fait un travail bien rémunéré...

le soleil pointait le bout du nez et Alan eu l'idée de demander à Ex si une p'tite ballade sur la plage lui disait !!!

-Ma belle Ex, dit moi ça te dirait de faire une pause cet aprés midi et d'aller voir la mer ? Je sais , ça ne vaut pas l'océan de part chez moi, mais aprés tout ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris un moment à moi et de profiter de toi un peu...

La journée s'annonçait douce et il serait bien difficile de ne pas en profiter.

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Exquise
Exquise se réveilla alors que le soleil commencé à se lever, Alan et Rol discutaient ensemble alors qu'ils s'étaient arrêtés devant la mairie. Une fois qu'il eurent trouver un travail Alan lui proposa d'aller faire un tour sur la plage.

Ma foi, cette idée me plait beaucoup. Il fait un peu froid mais on se tiendra chaud, beau brun.

Exquise lui souri puis l'embrasse tendrement en se disant que la journée promettait d'être fort agréable.
Zazounette
l'air marin venait lui chatouiller le nez ....... elle se savait près de portes de beziers mais il était tôt et elle savait la ville endormie .....
l'envie était trop grande et Zazou pris le chemin de la plage et s installa au bord de l'eau pour regarder le jour se lever sur la mer c'etait un de ces moments préférés


les yeux perdu dans le remous des vagues elle laissa ses pensées défiler elle pensais a ses amis laissez a Castres et ceux qui était ici le choix était dur mais les villes était pas si loin ...... faire des aller retours serait chose facile mais que choisir ..... elle se decida a prendre le temps en admirant les rayons du soleil colorer la mer puis elle se leva et hata le pas pour aller boire une biere avec ses amis
Camelle
Camelle avait aperçu zazounette ,mais,
depuis ses nouvelles fonctions n'avaient vraiment pas, encore, eu le temps de venir lui parler.

Elle decida ce matin même , d'aller à sa rencontre, et se dit:

la plage oui pourquoi pas la plage , je crois que c'est l'endroit idéal pour la retrouver et , puis même , si elle n'y etait plus , je prendrai un bon bol d'air et ça me changerait les idees un peu.

Camelle avait grand besoin de se retrouver là, à regarder cette immensité bleue, ecouter le bruit des vagues, et penser à a son coeur qu'elle n'avait pas pu voir la veille.

Au loin, elle vit une silhouette.

Elle cria cria, gesticula afin d'essayer d'attirer l'attention de cette personne, elle resemblait bien à sa zazou...........



Elle cria cria puis attendit de voir si on pouvait l'entendre...............
Coccycrep



Il faisait froid, très froid.
Le vent s'était levé et les embruns semblaient s'être transformé en de multiples aiguilles perçant les chaires.

Coccy se trouvait là ... face à la mer, face au large ... son regard perdu dans le mouvement perpétuel des vagues.
Des goutes roulaient sur ses joues. Mais était-ce des larmes, des embruns, des goutes de pluie... Un peu de tout surement.

Une chose est sure en tout cas. La coccinelle ne pourrait s'y poser aujourd'hui tant elles étaient mouillées.


Coccy était là depuis des heures. Elle était trempée de la tête aux pieds, grelottante, mais ses joues étaient brulantes quand elle les essuyât rageusement du revers de la main.
Elle était en colère... une colère noire... une colère sourde qui lui vrillait la tête et lui tordait les entrailles.

Elle fourrageât le sable à coup de chausses en vociférant contre ... elle.
Elle se disait qu'elle était la seule coupable.
Elle ... elle est sa foutu naïveté.
Elle qui pensait qu'avec un peu de bonne volontés...
Elle fini par tomber à genoux dans le sable, sanglotant de tout son être, sanglotant de toute son âme.

Elle mit du temps avant de se calmer, et fini par s'apaiser.
Il fallait qu'elle rentre car la vie continuait.
Demain se lèverait et il faudrait qu'elle soit à son poste, prête à accueillir les nouveaux, à conseiller les égarés, à aider ceux qui en auront besoin.

Après tout, ce n'est pas la première fois qu'elle se retrouvait seule. Mais bon, c'est la première fois qu'elle y avait tant cru ...

Elle devait relever la tête, on lui avait demandé...
Elle était forte, on lui avait affirmé...

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Flynns
Le revoici, Après s'être réveillé sur cette plage totalement inconscient hier, Flynns ne pus s'empêcher de revenir.
Pourquoi à cette endroit? Aucune idée, il n'en a pas le souvenir... ce n'est surement pas un hasard, mais comment savoir?...
Était-ce une nouvelle chance, il ne sait rien de son ancienne vie, Béziers semblent être un nouveau point de départ, comme une terre promise.

Voyant du monde au loin, il ne s'attarda pas, il préféra retourné au village.
Flynns
Le lendemain, encore une fois, Flynns revint sur cette plage, la mer semble paisible, calme, elle est apaisé. Cette endroit est son nouveau point de départ, Tout à commencé à partir d'ici... ou du moins tout à recommencé, il ne sait pas vraiment.
Béziers est son nouvelle habitat, et cela, il ne pourra jamais l'oublier.

Il décida de rester un peu plus longtemps cette fois ci, posé sur un rocher, il observe la mer, il fait déjà nuit, les nuages laissent place aux étoile et les rayons du soleil cèdent leur place au clair de lune...

Émerveillé par ce paysage que lui offrait la nature, il ne pus s'empêcher de dire à voix basse:



- Le monde semble si beau d'ici, ma nouvelle vie sera t'elle fait ainsi? comment le découvrir?...


Une question dont lui seul pourra un jour détenir la réponse, mais il semblerait qu'il ne la trouvera pas ce soir...

Il en a suffisamment vus pour ce soir, peu à peu, il s'éloigna pour rentrer chez lui...
Testie
Ce matin Testie s'était levée morose, elle avait quitté le lit sans faire de bruit pour ne pas réveiller son mari endormi.

Les rayons du soleil diffusaient une douce chaleur, le printemps était bientôt là et il faut dire que le climat de Béziers était bien différent de celui de Bourganeuf, il était beaucoup plus doux.

La jeune femme était sorti de l'auberge encore endormie et s'était dirigée vers la plage, elle aimait cet endroit.

Regardant l'horizon, elle s'était assise sur le sable pas très loin de l'eau, le bruit des vaguelettes la berçait quelque peu. Elle était perdu dans ses pensées, tant de choses c'étaient passé depuis un mois...

Maintenant Rapho était bitérois, et cela lui faisait bizarre car pour elle ce n'était pas encore le cas, elle devait attendre de pouvoir déménager et pour cela elle devait faire un aller retour jusqu'à Bourganeuf.

Elle se sentait un peu triste par cette situation, pourtant elle n'aurait pas du car le principal c'était qu'ils soient ensemble...

Elle pensait aussi à cette grossesse qui c'était terminée trop tôt... elle aurait du bientôt accouché si tout c'était passé autrement.... Une larme coula le long de sa joue qu'elle essuya rapidement, il fallait tourner la page, se relever et partir vers un nouvel avenir, ne pas se laisser aller, et croire en leur amour et qui sait peu être qu'un jour....

La jeune femme soupira, elle suivait des yeux un oiseau qui voletait au dessus de l'eau, tout était si paisible, elle se sentait bien sur cette plage, bien à Béziers et contente de s'être fait de nouveaux amis, comme quoi tout était possible...
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Camelle
Camelle , ce matin, s'etait levée trés tôt , préoccupée par son sort électoral.
Elle avait très mal dormi, rien que de penser a sa famille qui disparaissait petit à petit, qu'elle ne voyait plus.........
Et puis son coeur, elle ne faisait que le croiser.................
Heureusement qu'elle rencontait quelques amis en taverne quelques têtes sympathiques qui lui changeait un peu les idées.

Elle vit justement une de ses nouvelles amies, Testie, se diriger vers la plage, il lui sembla qu'elle n'allait pas trés bien, car elle marchait en baissant la tête, ce qui est un signe qui trompe rarement.

Elle la suivit de loin et la vit s'installer prés de l'eau, elle s'approcha d'elle, assez prés pour voir une larme couler sur sa joue, larme qu'elle camoufla prestement quand camelle lui parla..

"bonjour testie, que se passe t il? pourquoi pleures tu? tu n'es pas bien à beziers?
puis elle rajouta "regarde ce beau soleil d'hiver, il devrait pourtant te rendre le moral...et pis dis toi bien que si le soleil ne suffit pas, tu as les amis pour cela

Camelle vit alors avec plaisir un beau sourire éclairer le visage de son amie
Testie
Testie perdue dans ses pensées n'avait pas entendu arriver Camelle et ses pleurs ne lui avaient pas échappé malgré son geste rapide pour chasser cette larme...

Les propos de la jeune femme redonnèrent le sourire à Testie du moins le fit elle croire à sa nouvelle amie pour ne pas l'inquiéter.

Pourquoi je pleure ? Mais je ne pleure pas c'est le vent marin qui me pique les yeux...
Pourquoi devrais je pleurer ? comme tu dis, il fait un doux soleil, la plage est magnifique, je me plais énormément à Béziers, Rapho aussi et en plus je me suis fait de nouveaux amis...


Testie chassa ses mauvaises pensées pour le moment, à quoi bon parler de tout ça pour le moment à Camelle...

Et toi, qu'est ce que tu fais la si tôt, tu n'es pas dans les bras de ton homme ?
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Hansreudi
La matinée était déjà bien avancée. les cloches de l'église sonnaient les onze heures, Isabele et la petite Oscea n'étaient toujours pas arrivées. Ils avaient encore le temps de se rendre à la plage, d'autant plus que le temps était vraiment radieux aujourd'hui. Soleil et une douce chaleur flottaient dans la ville Languedocienne.

Konrad vérifia encore une fois que son panier pique-nique était complet. Il était maître en matière d'intendance, surtout au niveau alimentaire. Il était inégalable. Sa douce lui rappelait souvent le concours de tir à l'arc à Narbonne, ou il s'occupait de la rôtisserie pour les participants, un magnifique cochon qui ne s'était pas laissé compter.

Il ouvrit donc son panier, jeta un dernier coup d'œil, tout semblait y être, rien ne manquait il espérait que cela fasse plaisir aux deux princesses. Il partit en courant, s'étant aperçu d'un oubli.


Voilààààà, la couverture et le petit plus aussi, pour la petite.

Se dit-il en souriant au visage de l'enfant lorsqu'ils lui donneraient
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Flynns
Plus d'une semaine déjà qu'il a refait sa vie, pourtant, Flynns ne peut s'empêcher de retourner sur cette plage, à l'endroit même, qui un peu isolé, où il a pus commencé sa nouvelle histoire, ou de moins sa vie tout simplement.

Il n'a plus le souhait de retrouver la mémoire d'autrefois, son ancienne vie. II a vue de nouvelle chose qui en vaut plus que les souvenirs passés, un endroit pour vivre, une ville si calme.. si agréable, loin du bruit et de la soif du pouvoir, mais surtout il s'était fais des amis.


Que demandé de plus, il mène la vie qu'il a certainement toujours voulus mener, Béziers semblait l'endroit où on pouvait recommencé tout à zéro en partant de rien.


Son souhait s'est réalisé, voilà son point de départ, c'est ce qu'on appelle:
La liberté.
Hansreudi
Konrad entendit Isabele l'appeler depuis la rue. Il passa la tête par le fenêtre et vit les deux filles, la petite et la plus grande. Il leur sourit, leur fit un signe de la main.

Ben alors, je commençais à m'inquiéter moi, je croyais qu'on vus avez enelvées. J'arrive. Je prends les affaires et j'arrive, laissez-moi quelques instants.

Il remarqua qu'Oscea semblait excitée à l'idée de partir pique-niquer sur la plage avec eux deux. Pour Konrad cet instant était un pur moment de bonheur. Profiter de cet enfant, si douce et pleine de vie et.....profiter aussi d'Isabele. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Il n'oublierait pas de remercier Hispa de leur avoir confié la petite pour la journée. C'était une marque de confiance qui lui allait droit au coeur.

Il se saisit de son panier garni, de la grande couverture et courut dans la rue. Il posa ses affaires au sol, prit Oscea dans ses bras, l'embrassa sur les deux joues et la souleva en l'air.


Alors ma petite princesse, tu es prêtes à faire la course jusqu'à la plage avec moi??

Il la reposa au sol, puis alla biser Isabele.

Et toi ma grande princesse, tu es prête à courir aussi sur la plage, tous les trois?

Tiens en parlant d'affamé, j'espère que vous l'êtes, parce que là, j'ai prévu de quoi nourrir la caserne de Béziers. Tu me connais Isa, j'ai toujours peur de manquer. Je me demande si j'ai quand même pas triplé la capacité alimentaire de la petite. Vous êtes prêtes les filles, le dernier à la plage finira à l'eau.


Isabele et Konrad regardait en souriant la petite filer en direction de la mer, à la vitesse de l'éclair. Il prit sa main, et il l'entraina à courir derrière Oscea.

En avant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Au bout de dix mètres à peine.

Ahhhhhhhhh, attends Isa !!!!!!!!!!!!!!!!!! Je vais pas y arriver. Je balance mes sabots, je peux pas courir avec ça.

Sans s'arrêter de courir, il balança un après l'autre ses deux sabots, manquant de perdre l'équilibre, sautant à cloche pied pour ne pas s'arrêter, il n'eut pas le temps de bien voir où ses groles finissaient leur course. Il compris où ils pourraient les récupérer le soir au retour en entendant hurler le boulanger pour son premier jet de sabot et au son du "plouffff" dans la fontaine pour récupérer le second.

C'est bon, je me sens plus léger, je retournerai chercher ça se soir. Tu devrais faire pareil, on se sens mieux pieds nus, en plus ça fait été et vacances...Allez !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Zouuuuu, balance moi ça!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ils laissèrent Oscea arrivé en premier à la plage, et puis même sans vouloir le faire, Konrad était asphyxié, c'est donc tout naturellement qu'il arriva en dernier et qu'il finirait à la mer en fin de journée. Isabele et la petite ne manqueraient pas de lui faire gouter le bain.

Il déplia la couverture sur le sable, posa son panier à côté.



Il sortit une à une les diverses victuailles.


Alors, j'ai à vous proposer, du bon pain frais, terrine de campagne, une poule rôtie, des asperges, des navets au miel, des oeufs durs, quelques bouquets de mâche, du fromage, des fruits, des gaufres avec sa confiture de coing spécialement confectionnées par Isabele, et....et....et...Oscea, ça c'est rien que pour toi....Des caramels qui collent aux dents pour toutes la journée.

Il rit aux éclats en voyant les yeux de l'enfant s'ouvrir en grand à la vue des friandises.

ahhh, j'allais oublier, ça c'est pour mes deux princesses.



Il tendit à chacune d'elle un petit bouquet de fleurs des champs qu'il avait été cueillir dans la matinée. Ils installèrent Oscea sur la couverture et Konrad aida sa merdeuse à s'assoir. Il profita de cet instant de grâce, pour les regarder toutes les deux et admirer le bonheur en face. Il eu un léger pincement au coeur, non une énorme douleur, une pensée brève et incontrôlable qui n'avait certainement pas échappée à Isabele. Elle saurait à quoi et surtout à qui il pensait à cet instant précis. A leur petit ange. Il se ressaisit aussitôt, il regarda Isabele et Oscea puis il arbora le plus beau des sourires.
--Oscea



Oscea marchait, ou plutôt sautillait, à côté d’Isabelle, toute contente de passer la journée à la plage avec elle et Konrad. Elle ne les avait pas beaucoup vus depuis leur baptême, elle n’avait pas revu Gaby non plus… Sa maman lui avait même dit qu’elle les verrait plus jamais, et quand elle lui demandait pourquoi elle avait dit ça, elle lui faisait un sourire tout triste et parlait d’autre chose, comme si elle ne voulait pas y penser. Son papa lui disait toujours de pas parler de ce qui rendait sa maman triste, elle devait pas parler non plus de tonton Zol, mais des fois elle oubliait et quand elle voyait des larmes dans les yeux de sa maman, c’était trop tard. Alors elle lui faisait plein de bisous jusqu’à ce que son sourire revienne.

Quand elle vit Konrad devant sa maison, elle lâcha la main d’Isa pour courir vers lui et rit aux éclats quand il la souleva pour lui faire deux gros bisous. Son papa aussi faisait ça et des fois aussi il tournait comme un fou et faisait semblant de la lancer en l’air, ce qui la faisait beaucoup rire.


Bonjour Konrad ! Y’a quoi dans ton panier ?

Il ne répondit pas et proposa de faire la course jusqu’à la plage. Alors elle partit comme un éclair, sans les attendre, c’était pas de la triche, elle avait des jambes beaucoup plus petites qu’eux, alors elle devait prendre de l’avance si elle ne voulait pas perdre. Elle les entendait courir derrière elle, leurs sabots claquaient sur le sol, Konrad criait, tout excité, puis soudain plus rien. Elle s'arrêta un instant pour jeter un coup d'oeil, mais c'était une ruse, ils avaient enlevé leurs sabots pour courir plus vite, allors elle repartit vite sans lss attendre et arriva la première à la plage. Elle se laissa tomber sur le sable en riant, tout essoufflée, et regarda Konrad déballer le contenu de son panier.

Hmmm... Ca va être bon tout ça, on va se régaler... Dis, tu crois qu'on va pouvoir tout manger ?
Oooohh des caramels, c'est trop bon ça.... Rien que pour moi ? Et des fleurs aussi . Merciiii ! On dirait papa...


Comme elle était très gourmande, elle prit immédiatement un caramel puis commença à chercher des coquillages pour décorer le château. Quand elle en eut assez, elle revint en courant et se mit à sauter autour d'Isa et Konrad.

Allez ! On fait le château ! Viiiite !!!
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