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[RP] La plage

Malodreid
Malo s'était levé de bonne heure ce matin la, et c'est l'esprit embrumé qu'il se dirigea vers la plage... Il marchait le pas léger malgré un mal de dos persistant tout en se disant qu'un bon lit serai bienvenue pour les nuits prochaines... Arrivé hier dans la matinée, il n'avait pas eu le temps de trouver une auberge pour passer la nuit, et c'est donc à même le sol qu'il avait dormi, une fois de plus... Il se promis donc de trouver un établissement à la suite de sa promenade sur la plage...
Il avait promis à la demoiselle de venir ce matin, c'est donc armé d'une tulipe rose dans la main, sa vieille cape de voyage sur le dos qu'il posa les yeux sur l'étendue d'eau... Le soleil commençait à refléter ses premières lueurs sur une mer calme et, tandis qu'il observait le spectacle, il apperçu celle qu'il était venu retrouver...
Malo s'étonna de la voir s'agiter dans tout les sens, les pieds dans l'eau... D'une nature relativement réservée, il n'avait guère l'habitude de rencontrer des femmes et encore moins d'accpeter un rendez vous avec elle... De ce fait, il n'avait aucune idée de l'attitude à adopter et c'est donc le pas mal assuré qu'il s'approcha d'elle...

Ahem... Bonjour..

Puis lui tendant la tulipe, il ajouta:
Je ne savais pas si je devais ammené quelque chose alors... je l'ai ceuilli devant la mairie... j'espère que ça ne se verra pas trop... Il serai regretable que je sois accusé de vol de tulipe dès mon arrivée ici...
Ahem.. enfin bon... voila...


L'air gêné, il passa une main dans ses cheveux mi long et réajusta sa cape... Il ne savait pas vraiment quoi dire et restait planté devant la jeune femme, attendant une réaction de sa part...
Lucile.
Cath adorait la plage. Elle décida de partir faire un pic-nic là bas. Elle trouverait du monde surement là bas. Elle se balada dans les ruelles de la ville avant de débouché sur la plage. Il y avait beaucoup de monde.

Bonjour tout le monde, je ne m'attendais pas à se qu'il y est autant de monde. Tant mieux j'ai rapporté beaucoup à manger, tout droit des saveurs du languedoc. Vous pouvez vous servir.
Zolena
Zole poussa un cris de surprise et faillie tomber dans l'eau. Elle sourit en prenant la tulipe que Malo lui avait apportée et qui venait de la mairie.
Elle le sentait très mal à l'aise et espérait qu'il se détendrait un peu parce qu'elle même n'en menait pas large mais elle faisait tout pour ne pas paraitre trop timide.


On marche un peu ?

Tout en marchant elle cherchait un sujet de conversation neutre. Ce n'était pas facile de parler à quelqun qu'on ne connaissait pas sans l'ennuyer...

hum...vous avez bien dormi ? Vous êtes à quelle auberge ?

Fort heureusement la lumière orangée du soleil levant lui fourni vite un sujet de conversation ou du moins une excuse pour ne pas trop parler.
Malodreid
Malo esquissa un sourire de soulagement, constatant que la jeune femme, n'était pas tombée sous le coup de la surprise. Quelle aurait été sa gêne si par sa faute elle avait attéri le fessier dans l'eau. Fort heureusement, la demoiselle fit preuve d'un bon sens de l'équilibre...

A la suggestion de cette dernière, le jeune homme lui tendit le bras, l'invitant ainsi a le suivre le long de l'eau... Il n'était certes pas très doué pour comprendre le comportement et les souhaits des femmes en général, il avait quand même appris les bonnes manières et savait qu'il était coutume d'offrir son bras aux dames.

La beauté du lieu eu pour effet de le détendre un peu, et c'est ainsi qu'il agrémenta la ballade de ses réflexions sur l'immensité de la mer...
A la question de la jeune femme, il se remémora soudain son mal de dos... Il avait fini par l'oublier et il lui répondit en se passant machinalement sa main libre au creux des reins:


En réalité, je n'ai pas eu le temps de chercher une auberge hier, j'ai donc dormi dehors, sur un coin d'herbe... Mais je pense chercher un endroit ou dormir dès cet après midi, si je ne veux pas finir le dos en compote...

Il ponctua sa réponse d'un léger sourire, puis continua a marcher tout en discutant de voyage et des différentes villes qu'il avait traversées...
Stelliem
Arrivée sur la plage, Stell, trainant son barda, pour laisser un peu d’intimité a Vanu et Kris, s’éloigne et cherche un coin tranquille pour dormir le reste de la matinée. Elle s’installe derrière une petite bute et rassemble des bouts de bois pour faire un petit feu le temps de se réchauffer un peu. Elle s’installe le dos contre sa barque et les genoux relevés devant elle, enroulée dans sa couverture et regarde la mer a quelques mètres plus loin qui vient lécher le sable. Ses pensées tournées vers Bikko… elle soupire doucement puis sourit tendrement et se laisse a rêvasser les yeux fixés sur la mer. La fatigue fait qu’elle s’endort sans s’en rendre compte, glissant sur le coté et en chien de fusil.

C’est quand le soleil est bien haut et que la plage commence a s’animer que Stell ouvre les yeux un peu perdue. Il lui faut quelques minutes pour réaliser où elle se trouve et se rappeler…. Vanu et Kris… Béziers… Bikko… Et un sourire nait sur ses lèvres tout en s’étirant les muscles ankylosés, Stell se redresse et s’assoit puis regarde le feu éteint avec une petite moue… Dure jamais longtemps mes feux pfffff … Se rappelle avec un petit rire le temps que Bikko a mit pour lui apprendre a en faire un…

Bien réveillée maintenant elle regarde la mer et se dit pourquoi pas… Elle ôte ses bottes, ses bas et ses braies, et simplement en haillon se lève et s’approche, enfonçant ses pieds dans le sable mouillé et froid avec plaisir. Quand les premières vagues lui lèchent les pieds, un petit cri de surprise lui échappe. Arfff elle est quand même froide … brrrrrr ! Elle avance courageusement dans l’eau jusqu'à mi-cuisses puis s’arrête ne pouvant s’empêcher de trembler de froid… Sourit un peu dépitée et regarde au loin un moment avec envie avant de faire demi tour pour rejoindre ses affaires, pas assez courageuse pour se lancer completement à l'eau, ni assez folle !!

Assise de nouveau les genoux relevés devant elle, elle laisse le soleil la réchauffer et la sécher doucement. Puis elle prend sa plume et un vélin et se décide a écrire a son amour avant d’aller visiter la ville et les tavernes.
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Fiachra
Le jeune homme était sale et puant. Il faut dire que le travail à la mine n'est pas vraiment un travail propre. Il en était sorti avec le minerai d'or qui servirait à frapper de la monnaie ou à d'autres choses qu'il ne comprenait pas.

Il était plutôt ignorant, n'ayant pas reçu d'éducation et ne savait ni lire, ni écrire. Cependant, il aimait bien la mer. Le flux et le reflux des vagues avaient un effet apaisant sur lui.

Il posa donc sa pioche, et s'assit sur le sable pour regarder l'immensité salée qui se trouvait en face de lui. Il ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il y avait au loin. La fin du monde ? Un monde nouveau ? Le monde des dieux peut-être ?

Il n'en savait fichtre rien. Mais un jour peut-être qu'il explorerait la mer et qu'il en rapporterait des trésors. En tout cas l'eau lui faisait un bien fou. Il décida donc de faire un petit plongeon pour détendre ses muscles endoloris. Il en ressortit un peu gelé, mais détendu.


Y a pas à dire, ça détend... Bon c'est pas tout ça, mais faut que j'prépare la soupe moi sinon je vais encore passer un jour sans manger.

Il reprit sa pioche et s'en retourna dans sa cahute. Le soleil languedocien le sècherait au retour. Rien de tel pour se redonner force et courage, car le travail à la mine était dur. Mais ça ne l'effrayait pas au contraire. Il savait travailler dur, vu qu'il ne faisait que ça depuis sa tendre enfance. Mais il était bien dans son sud natal. Il y faisait chaud, les gens étaient gentils, et il y avait assez à manger pour tout le monde qu'on soit noble ou simple paysan. Ses parents lui manquaient un peu vu qu'ils succombèrent à une épidémie de grippe il y a deux années, mais au fond il était heureux de vivre sous ce soleil radieux, en bord de mer qui plus est.
Zolena
Zole marchait sur la plage. Le bruit des vagues et l'air marin faisait autant de bien à ses narines qu'à son esprit. Elle ne regardait pas trop où elle marchait et quelqun lui fit un croche pied...elle était pourtant certaine d'être seule.

Eh ! Pourriez pas faire attention non !

En fait il n'y avait personne. Elle fronça les sourcils se demandant ce qui l'avait fait tomber. Elle vit alors quelque chose de brun dépasser du sable. En cresant un peu, elle comprit que c'était une rame. Elle l'examina : elle semblait neuve et comportait d'étrange inscription.
Elle regarda autour d'elle et décida de la ramener chez elle. Après tout elle l'avait trouvé !
Elle ne put s'empecher de grommeler un peu :


Tss maintenant la boulasse me vole mon travail ! Où va le monde ?
Rackam_de_la_lergue.
Le vent …. L’iode … les vagues …. Le bruit de la mer … le cri des mouettes … les lamparos qui sortent du port …. Le sable qui te crame la plante des pieds ….

Et tes cheveux qui volent au vent …. Ton rire cristallin ….. Ta silhouette fine et souple … Toi qui courre en écartant les bras …. Ton écharpe de voile qui flotte derrière toi …
Tes pieds mouillés d’écume …. Tes sauts de cabri pour éviter une vague …. Et tes yeux qui me cherchent … Ton regard dans le mien …. Les étoiles dans tes yeux …..

Le visage buriné de l’homme sourit aux émotions qui le traverse , il regarde la fille joyeuse qui gambade insouciante s’arrête juste pour venir déposer un baiser sur ses lèvres et repart en courant … rieuse … .joueuse ………. belle a en couper le souffle ……………….

Une paillote ….. un dîner de coquillages et de poisson grillés arrosé d’un vin blanc sec parfumé de terroir …

Une ballade sur la plage au clair de lune … les lamparos ont allumés leurs lanternes pour attirer les anchois … cela fait comme une guirlande lumineuse sur l’ horizon ou se confond mer et ciel …. La lune joue a cache cache avec de légers nuages portés par la tramontane ….. main dans la main ………..

Une couverture étendue sur le sable au creux d’une dune …. Une fourrure sur deux corps enlacés …..

Nous ………….
Sashah
L'aurore...

Un disque rouge embrase la mer... Reflets de feu sur leurs corps endormis... La brise douce venant de la terre... Soulève les cheveux de cette elle alanguie...

Elle s'étire dans les bras qui la serre... Comme un étau d'amour qui ne veut l'échapper... Il la regarde cette drôle d'étrangère... Qu'un soir d'hiver il avait fait danser...

Un grain de sable s'accroche à sa peau... Doucement il lui caresse la joue... Au loin une sirène de bateau... Annonce son approche dans cette aurore un peu floue...

Leurs lèvres qui s'effleurent dans un baiser salé... Leurs âmes qui fusionnent et embrasent l'horizon... Le réveil est doux, sur cette plage isolée... Nous... Juste un mot qu'ils se murmurent à l'unisson...

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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]
Rackam_de_la_lergue.
Ils s’étirent aux premiers rayons du soleil ….. la mer est d’huile ….. juste un léger clapot …… les bateaux de pêche sont rentrés depuis longtemps …. Quelques sternes disputent aux mouettes les restes des rejets d’appâts des pécheurs …. Un enfant joue avec un cerf-volant …..


Des grains de sable dans les cheveux …..
Des grains de sel sur les lèvres ….
Des grains de folie dans nos yeux …
Le grain si doux de ta peau …………


Dessinent des cœurs sur le sable humide …. Y écrivent leurs noms … insouciance …..
Sashah
Le jour s'étire au rythme des vagues... Elle relève ses jupons et s'aventure dans l'eau... Au loin le soleil se cache derrière les nuages... Nimbant d'un voile cette journée de grand beau...

Il arrive à ses côtés malicieux... Elle le regarde souriante l'air taquin... Il l'asperge et s'approche radieux... Il la pousse impudent et l'envoi au bain...

Elle crache et se relève vengeresse... Les vêtements trempés et ruisselante... Il rit et l'enlace en liesse... Elle l'entraine à son tour dans l'eau étincelante...

Ils se frôlent, se cherchent et nagent ... Il l'attire et la désire, insolent... Quand sortiront et regagneront la plage...Le vent emportera leur étreinte....insouciant...
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Le poète doit être un professeur d'espérance. [Jean Giono]
Dbruno
Dbruno arriva sur la plage au coucher du soleil, regarda la mer se mariant avec le soleil.
s' allongea sur le sable fin et attendis son Amodio pour sa leçon d' équitation un peu anxieux.
Sourit en ce voyant sur herpès deux fois plus grande que lui.
Frederique85
Ella avait promis à son nain de lui apprendre à chevaucher sa Jument Herpès, et le jour était venu d'accomplir sa promesse.
Ils s'etaient donné rendez vous sur la plage, l'espace y etait dégagé en cas de chute et les obstacles rares.

Elle montait sa jument en amazone et s'approchait au trot de Dbruno, allongé les yeux dans le vague.

Arrivée à sa hauteur, elle sauta sur le sable fin.


Bonsoir mon coeur, es tu prêt?
Herpès est d'un caleme olympien, tu ne crains absolument rien!


Elle ajusta les sangles à la morphologie de Dbruno.
Allez en selle Messire!
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Dbruno
Bruno vit arriver sa belle sur herpes heureux et anxieux à la fois.
Heureux de voir son Amodio et anxieux devant la jument.
Elle a grandit depuis la dernière fois mon Ange pas possible !.
Il prit son élan, sauta en voulant attraper le pommeau de la selle, la jument (pas verte de peur) fit un pas en avant.
Bruno tomba lourdement dans le sable la tête en première, se redressa, cracha du sable.

Regarda herpes dit a haute voix

Elle m'aime pas ta jument elle la fais exprès une copine a Moukill et Silue tiens la mon amour ou porte te moi sur tes épaules. Peut être quelle bougeras plus qui sait ?

Il regarda son Amodio l'air découragé et la jument qui l'observait curieuse de tout se remue ménage.

Tu vois sure qu'elle rigole Herpés.

Bruno tendit ses bras vers sa douce

Tu m'aides ma douce ?
Frederique85
Fred etait amusée par les réactions et les réflexions de Dbruno. Elle tentait de le rassurer tant bien que mal mais rien ne semblait l'apaiser.

Et lorsqu'il tomba la tete la première dans le sable elle ne put réprimer un fou rire. La situation était plus que cocasse. Elle aida son ange à se ramasser en lui enlevant un maximum de sable.


Je crois qu'effectivement tu as besoin d'aide.

Herpès ne bronchait pas impassible à ce qu'il venait de se passer.
Elle se plaça tout contre la jument, mis ses mains entrelacées en coupe et fit la courte échelle à son nain.


A toi de jouer mon coeur! Prends de l'élan mais pas trop sinon tu vas encore piquer une tete dans le sable.
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