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[RP] La plage

Wgaby
Ils se promenèrent sur la plage, se tenant la main, et tantôt, se chamaillaient comme des enfants...il la poussa pour quelle puisse tomber à l'eau, mais rien n'y fit. Elle avait de l'équilibre quand même...
Il y avait quelques personnes qui se promenaient, des enfants jouaient un peu plus loin...
gaby et espe se donnèrent des bisoux sans arret...ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre.
Tout en marchant ils virent quelqu'un un peu plus loin...une jeune femme était assise sur le sable.Tout en s'approchant ils pouvaient donner un nom à cette dame...C'était Zolena...elle avait la tête baisser, et jouant avec le sable, elle semblait perdue dans ses pensées...
Il fit un signe a son ange, et ils se souriairent de suite, au regard, ils se sont comprit.
Ils se mirent à courir vers Zol, Espe la prit par les bras, et gaby par les jambes, et l'emmenaient en courant la jetter dans l'eau.
Ils se sauvèrent comme des voleurs, et gaby se retourna et cria à son amie Zol:


"_Elle est bonne tizouuuuu????? c'est pour le coup du lavoirrrrr!!! tu t'en souviensssss??????? ahhahahahah......."
Zolena
Perdue dans ses pensées, elle n'avait pas vu arriver Gaby et Espe. Avant d'avoir tout bien réalisé, elle se retrouva dans l'eau toute habillée. Ce coup de froid lui remit les idées en place. Elle retrouva rapidement son souffle et se remit debout allourdie par le poids de l'eau. Elle chercha qui avait osé lui faire ça bien qu'elle le savait déjà.

Vous ! Vous allez me le payer ! S'écria t elle à moitié morte de rire.


Elle se baissa et leur envoya de l'eau toujours en rigolant. Elle les poursuivit en les éclaboussant.
Dotyy
Dotyy qui était arrivée hier matin n'avait pas eu le temps de venir faire un tour sur la plage.

Quand elle arrivât, elle pu constater que rien n'avait changé ici et cela la rassurât.

Elle retrouvât son coin préféré au bas d'une des dunes de sables et si assit. Elle regardât un long moment les vagues aller et venir sur la plage.

L'endroit était paisible, personne a l'horizon. Une petite brise était la.

Elle se levât d'un coup et fit tomber sa houppelande au sol, elle enlevât ses bottes et se dirigeât vers l'eau.

L'eau vint lui caresser les pieds. Elle avançât doucement dans la mer et arriver a la taille elle plongeât entièrement dedans.

Elle nageât un long moment puis ressortit de l'eau. Elle n'avait pas prit de serviette mais cela était pas grave. Elle s'allongeât a même le sable et se laissât sécher au soleil.

Elle fermât les yeux et sentit le soleil lui caresser le corps. Elle plongeât dans ses pensées et au bout d'un moment s'endormit.

_________________
Esperances
ils se promènent sans se presser , il fait bon en ce jour .
Tout occupés a parler , écouter , chacun buvant les paroles de l'autre , ils se dirigent vers le village .
Ils passent devant les tavernes mais l'envie d'être qu'eux , les fait continuer,ils croisent quelques personnes , les saluent .
Arrivent sur la plage , elle se maintien a lui en le tenant d'une main sur le bras pour ôter ces chausses .
le plaisir de sentir ces pieds s'enfoncer dans le sable est toujours le même , elle ne se lasse toujours pas du spectacle de cette étendue d'eau bleu-vert.
Le soleil est couché depuis longtemps, mais la lune pleine ce jour , les éclairent suffisamment pour guider leurs pas sans hésitation.
Ils marchent un bon moment , il lui passe le bras autour des épaules

Tu sais mon amour , cette lettre ....
Ne te met pas martel en tête...ce quelle dit ou laisse sous entendre ...
ne tiens pas debout, cela n'est ni plus ni moins une excuse comme une autre.
Car la seule chose qui pourrais me faire fuir loin de toi serais....

Elle le regarde moqueuse, jetant un regard a droite et a gauche , vérifiant que personne n'est la .
que tu refuse la maintenant, de suite, de prendre un bain de minuit comme certains disent !!
Tout en l'épiant elle défait sa robe...l'enlève ainsi que le reste...
Elle le voit prendre un air ahuri et court se jeter dans la mer en riant.

Ah c'est ainsi....
Il s'assoit sur le sable et enlève ces chausses , se deveti , court la rejoindre .
Elle rit aux éclats et attend qu'il rejoigne a elle.
Ils se regardent ,elle lui passe les bras autour de son cou , leurs lèvres se cherchent .
Comme a chaque fois qu'ils sont ensemble , serrés l'un contre l'autre les émotions parlent a leurs place , leurs corps s'épousent ne faisant qu'un .
Leurs mains caressent leurs peaux , prenant plaisir a se toucher.
Il la porte et la sort de l'eau , la couche sur le sable fin et continue de l'embrasser

Ils s'aiment tout simplement , se moquant de se qui ce passe autour d'eux
Wgaby
Ils arrivèrent sur la plage...heureux...détendus...
La nuit commençait à tomber.Ils étaient seuls sur cette plage.
Il la soutint quand elle enleva ses chausses...il la regardai faire, et il n'eut qu'une envie...c'est de retirer son bras,et de la voir se vautrer sur le sable...mais il l'aimait trop pour lui faire celà.
Ils discutèrent tout en marchant...lui tenant la main...
Puis elle se mit à lui raconter cette histoire de lettre.Il lui fit comprendre qu'il n'en avait rien à faire.Et elle lui dit:

"_Car la seule chose qui pourrais me faire fuir loin de toi serais....
que tu refuse la maintenant, de suite, de prendre un bain de minuit comme certains disent !! "

Il la regarda d'un air taquin...et la vit ôter ses vêtements et elle courut se jetter à l'eau.
Ah, c'est ainsi! Lui dit-il....
Ni une ni deux, il fit de même et courut vers la mer et plongea la rejoindre.
Il refit surface, face à elle et ils s'enlassèrent et s'embrassèrent longuement.Il ne se lassera jamais de ses doux baisers...de la douceur de sa peau.
Il nagèrent un peu, puis ils sortirent de l'eau, il la prit dans ses bras et l'emmena sur le sable un peu à l'écart des vagues.
Il s'allongea sur elle et se perdit dans ses baisers et ses caresses.Elle sentait bon l'eau salée...
Ils finirent une bonne partie de la nuit dans une étreinte dont ils avaient prit l'habitude
.
Victoire
La plage était magnifique, la gamine se promena sur les bords, ses pieds nus et endoloris par la longue marche s'enfonçant dans le sable chaud.
Elle n'osait sourire. Les rayons de soleil chatouillèrent sa peau diaphane.
Elle eut un soupir puis se détourna pour retourner dans l'obscurité des mines.
Ugarth
Las de sa journée à la mine, Ugarth avait cherché un coin pour se rafraîchir. Certes, la mine pouvait même être froide pour certains, surtout ceux ou celles qui laissaient le travail aux autres. Mais il cherchait autre chose, une fraîcheur qui vous dégouline sur le corps après vous être plongé en son sein. Il avait fini par échouer ici, sur la plage. Il n’était pas bien différent d’un naufragé, si l’on exceptait qu’il venait de la terre et non du large.
Venu à deux, il s’était retrouvé seul dans cette ville et avait perdu toute notion de temps. Il avait également perdu toutes ses envies, ses désirs ne pensant qu’à travailler et se perdre dans sa tanière, tel l’ours qu’il était.
Il était un naufragé de la vie, à jamais marqué par cette chienne qui prenait un malin plaisir à faire souffrir les uns et les autres…

Lentement, il marcha vers les eaux qui allaient et venaient sur le sable. Le ressac était plutôt doux, dommage… un accident aurait pu survenir…
Il salua d’un très léger mouvement de tête la jeune femme allongée et continua son chemin.
Lorsqu’enfin il s’arrêta, il se dévêtit avec des gestes précis avant de s’avancer vers l’onde presque tranquille. Si son visage était couvert de cicatrices, son corps ne pouvait en aucun cas le jalouser. Qu’elles aient l’apparence de nettes coupures ou bien encore de morsures, pas une parcelle de son anatomie ne semblait épargnée.

C’est presque nu qu’il entrât dans l’océan, sa fraîcheur le saisit un instant, mais il ne s’arrêtât pas avant d’être entièrement sous l’eau. Puis, il émergea et se laissa aller sur le dos, flottant au gré du mouvement de sa maîtresse du moment.
Son regard d’ébène se perdit dans la contemplation du mouvement des nuages au-dessus de lui et il plongea à nouveau, mais dans ses souvenirs cette fois.

Les Clameurs s’élevaient par-dessus les hurlements de douleur et d’agonie. Le choc des lourdes armes qui se percutaient avec violence comme pour un air réservé aux percussions suivant toujours le même rythme rapide, précis… mortel. La terre devenue meuble et glissante bien trop gorgée du sang des victimes du combat qui devenait un danger permanent pour les combattants, les avertissements dans ce jargon que seuls connaissent les guerriers. La mort qui fauchait aveuglément les hommes d’un camp ou de l’autre, les amis qui disparaissent dans la boue, écrasés par les destriers lourdement caparaçonnés que montait la cavalerie lourde censée refouler les troupes ennemies. Les ténèbres alors que son visage rencontre une masse à ailettes qui lui lacère les chairs, transformant son faciès en une sinistre mosaïque.

Secouant la tête, il chassa ses souvenirs. Il faillait toujours que ces derniers soient les premiers à revenir à la charge. Il tenta de se concentrer sur quelque chose de plus plaisant, mais il n’y eut rien à faire, il avait perdu son dernier souvenir plaisant. Il n’avait pourtant été que très bref. Juste une rencontre agréable, mais sans lendemain.

Il espérait que l’océan s’éveillerait, juste pour lui, juste un instant pour l’engloutir et l’avaler, le perdant dans ses ténèbres insondables…
Ugarth
La marée descendante emmenait lentement vers le large un Ugarth qui semblait s’être offert à la grande bleue. Bien que son regard fût porté sur l’éternelle course des nuages, il ne les voyait pas, voyant défiler en lieu et place certains épisodes de sa vie.
Avec son visage marqué par tant de cicatrices, il était difficile de lui donner un âge, il n’était pourtant pas bien vieux, malgré ce que pouvaient en dire ses ébènes. Mais si elle avait été courte, pour l’instant, sa vie était déjà bien plus remplie que celle de bon nombre de gens.
Un frisson le parcourut et il n’était pas dû à la fraîcheur de l’eau. Le terrible souvenir d’une nuit de sa jeunesse venait de ressurgir. Avec lui revenait cette angoisse qui l’étreignait dès que l’une de ces créatures l’approchait. Rien que le fait d’y penser faisait poindre cette peur insoutenable dans son esprit… la peur des loups…
Cela s’était passé dans le nord-ouest, dans un petit village sis non loin de l’océan à quelques lieues de Saint-Brieuc. Ses vieux, des cultivateurs de blé, s’occupaient merveilleusement de leurs enfants.
C’est alors que notre roux guerrier, vécut le premier drame de sa vie. Cette nuit-là, il faillit bien périr. Il avait à peine douze ans.
Ugarth s’était perdu dans la forêt, il l’avait un peu cherché, ayant oublié les recommandations paternelles. Il fut pris en chasse par une meute de loups, la course fut longue et âpre, mais totalement inégale. Il finit par chuter et il sentit les crocs s’enfoncer dans ses chairs. Il entendit hurler, et lorsqu’il prit conscience qu’il s’agissait de ses hurlements, il se perdit dans les méandres de l’inconscience. Il se réveilla plusieurs jours plus tard, le visage angélique de sa mère penché sur lui, orné de son plus beau sourire. Son frère aîné et le vieux étaient arrivés à temps pour lui sauver la mise, mais il se retrouvait couvert de cicatrices. De profondes marques sur les membres et le torse, ainsi qu’une peur panique de la race canine et des loups plus particulièrement.
Cette peur lui joua de vilains tours par la suite, par exemple lorsque les troupes ennemies lâchaient les chiens de guerre, mais là, il avait sa fidèle Auth et n’hésitait tout de même pas à trancher dans le vif. Il se rendit compte par la suite, que cela était surtout dû à la présence de ses compagnons à ses côtés.
Mais lorsqu’il fit pris et qu’il se retrouva, attaché face à ses monstres…

Ses compagnons… son ami… Gwador… ils n’étaient plus et lui marchait encore parmi les vivants. Il se retrouvait seul pour affronter le pire moment de sa vie et tel un naufragé fatigué, il songeait à lacer la planche qui lui permettait de garder la tête hors de l’eau.

Abandonner… tout lâcher… se laisser disparaître…
Il sourit, il avait déjà disparu, il avait toujours fait ce qu’il fallait pour cela. À vivre en solitaire comme un ours, on finit irrémédiablement seul.

Il se redressa et se tourna vers la plage, elle s’était bien éloignée ou plutôt lui en fait. Une profonde hésitation, était-il possible, qu'il abandonne si facilement ? Cela était un peu trop simple et il ne voulait pas partir de cette manière… il s’était toujours vu mourir sur un champ de bataille et même s’il n’était pas près d’en revoir, il pourrait tout de même faire avec une escarmouche…

Il regarda une dernière fois le large et souffla :


Navré ma grande, tu m’auras pas cette fois...

Il se retourna et nagea vers la plage…
Kyty
Kiyty était sortie de la taverne et remontait la rue qui allait à la plage. Il fallait qu'elle marche , la tête lui tournait... Elle se sentait nauséeuse et avait l'impression que la route changeait de direction à chacun de ces pas.

Elle arriva tant bien que mal et s'installa prêt d'un arbre et se laissa tomber sur le sol.
Elle se maudit intérieurement "La boulasse c'était bien, mais quand elle empêchait de travailler c'était pas vraiment malin!"
On lui avait pourtant dit d'être prudente... Oui... mais elle venait d'arriver...

Elle ferma ses paupières ...
Laure3
Laure arriva là de bon matin presque comme une somnambule. Qu'était elle venue y chercher ? Pourquoi cette plage ? Elle se dit que là ou ailleurs...

Elle avança vers l'horizon, là où le ciel et l'eau ne font plus qu'un. Mais une sensation la stopppa, le froid de l'eau qui venait lécher ses pieds. Elle resta là un moment à regarder le soleil se lever.

La jeune femme avait l'eau qui lui montait petit à petit le long des chevilles puis des mollets. Combien de temps c'était déjà t'il passé depuis son arrivée ? Ne ne serait le dire. Une absence... des silences... des non dits... Elle se sentait vide. Sa tête était vide, son corps, son coeur...

Le soleil montait dans le ciel, quelques nuages parsemaient le ciel mais il allait faire beau. En fille de marin, elle s'y connaissait. Aurait elle encore le courage de regarder ses splendeurs alors que tout son être criait sa douleur.

Ses pieds toujours dans l'eau, se laissaient recouvrir peu à peu par le sable. L'eau toujours aussi froide montait doucement. Que faire ? La facilité ? se laisser emporter par sa peine, sa douleur ? Faire un pas, puis un autre et laisser monter l'eau de plus en plus. Mais elle avait Julia... Elle ne pourrait prendre cette option pourtant, son regard se perdait toujours dans l'horizon, vers ce vide.

Pourtant si joyeuse, on ne pouvait plus rien en lire sur son visage. Elle était habillée des premiers vêtements qu'elle avait trouvé et ne c'était même pas coiffée. Ces cheveux volaient auvent. C'était trop dur, elle se laissa tomber à genoux, s'éclaboussant elle même. Elle cacha son visage de ses mains et laissa libre court à son chagrin. Elle pleurait sans retenue, libérant ses sanglots. Puis la rage fit place tellement la douleur était grande. Toujours à genoux, elle frappa des poings dans l'eau en criant :

C'est pas possible, je ne peux y croire !

Elle était à bout de force, à bout de souffrance, à bout de son chagrin. Elle renifla et s'essyua le plus gros de ses larmes d'un revers de la manche. Mais elle resta là, sans bouger, se disant que cette eau froide qui l'avait inspirée pour la libérer à jamais la maintenait en vie par sa froideur. Elle claquait des dents tout en grelottant mais elle n'était pas capable de bouger pour le moment...

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Correba
Corre se réveilla mais quel ne fut sa surprise de ne pas retrouver son épouse à ses côtés, d'habitude c'est lui qui se levais en premier, les devoirs de ses charges, donc à son habitude , il se leva et s'habilla, mais une chose de bizarre l'intriguais, la robe de son épouse était toujours en place, mais qu'avait t'elle bien pu mettre alors?


Lorsqu'il descendit en cuisine pour prendre le petit déjeuner, il se retrouva seul avec la cuisinière, la questionnant celle-ci lui répondi qu'elle était sortie de bonne heure et marchait de façon bizarre quittant la propriété.


Corre commença a s'inquiéte, Julia dormais paisiblement il était passer voir avant de descendre comme chaque matin, donc ou a t'elle pu aller, la plage elle adore cet endroit


Corre sauta en selle et fila vers la plage, qrrivé dans les dunes il observait les traces certaine se dirrigeais vers l'endroit ou Laure et lui avait l'habitude d'aller, il les suivat et la vi au loin dans l'eau.

Il laissa son cheval au bord de la plage entravé, puis s'avança vers elle , elle sembalit perdue dans ses pensées, ne l'entendant pas arriver, il l'enlaça, la serrant très fort.



-Viens mon coeur rentrons chez nous

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Laure3
Des pas dans le seble derrière elle mais elle n'avait pas la force de se retourner. Il passerait bien son chemin.

Des bras qui la serre et la tire doucement de l'eau qui lui arrivait à la taille. Plus besoin de se retourner, elle savait que c'était lui. Ces bras dans lesquels elle se sentait si bien, où rien ne pouvait plus l'atteindre.


-Viens mon coeur rentrons chez nous

Sa voix, si réconfortante. Elle se laissa aller. Les mots avaient dépassaient leur raison la veille, elle le savait. Pourtant pour la première fois depuis qu'ils étaient ensemble, elle avait prit peur. Mais peur de quoi ? De le perdre ? Comment pourrait elle le perdre ? Ils n'avaient toujours fait qu'un.

Elle ne lui dit rien, rien de la colère dans laquelle il l'a mise. Pour s'être emportée ainsi ? Surtout que sur la fin, ils s'étaient mis d'accord. Elle ne savait expliquer ce sentiment qui l'avait traversé. Mais elle était tellement heureuse de partir à l'aventure avec lui. Enfin à l'aventure... Leur parcours était déjà pas mal tracé mais ça serait autre chose.

Elle se blottit contre lui, transis de froid. Ses lèvres un peu bleuies par le froid retrouvèrent un peu de chaleur au contact des siennes. Peu lui importait l'endroit du moment qu'elle pouvait être à ses côtés. Elle se laissa lentement guider pour le retour. Des disputes, vus leurs caractères, ils en auraient encore mais une chose était sur, rien ne pourrait les séparer.

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Dotyy
Dotyy avait passé une partie de sa matinée en taverne a parler avec Rhum. L'annonce de son départ la chagrinée beaucoup.

Elle se rendit donc sur la plage pour marcher et se détendre.

Elle arrivât en haut des dunes et tendit les bras sur les cotés et descendit a toute vitesse les dunes en hurlant.

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH


Le vent lui foutait le visage mais elle aimait ca. Elle arrivât en bas trop vite et roulât sur la plage. Elle se mit a rire toute seule. Si quelqu'un la voyait il la prendrait pour une folle.

Elle se relevât et allât tremper ses pieds dans l'eau. Elle était bonne, trop bonne pour ne pas aller plonger dedans.

Dotyy regard autour d'elle et ne vit personne. Elle se défit et mit ses vêtements plus loin et courut jusqu'a la mer. Elle plongeât dedans. Elle nageât un long moment puis revient vers la plage. Elle sortis et allât se cacher entre deux dunes pour laisser le soleil lécher son corps avec ses rayons.

Elle fermât les yeux et attendit.

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Rhum_barrow
apres avoir passer la matinee en taverne avec sa fidele amie dotyy et lui avoir annoncer son depart il sentit que ca lui faisait de la peine et sortit faire un tour pour reflechir sur la plage et trouva un coin discret pret des dunes avec une superbe vue sur la plage
assie sur le sable il entendit un cri soudain et proche se releva discretement et apercue son amie dotty courrir comme une folle en hurlant vers la plage
se mit a rire en la voyant ainsi hurler et courir
prefera ne pas se faire voir et rester seul a mediter
jetant un oeil de temps en tempse la vis se deshabiler et nager ds cette eau bleue une vrai sirene dans l eau
la surveilla discretement s assurant qu il ne lui arrive rien un moment il pensa lui faire une blague en lui cachant ses vetements ds le sable se dit non puis oui apres tout il avait une vengeance a prendre
il attendit qu elle sois eloigner du bord pour courir et s approcha de ses vetements creusa un trou ds le sable et lui cacha presque tout lui laissa ses sous vetements et repera bien lendroit avec des coquillages et repartie sur s adune et attendit
Dotyy
Dotyy sentait les rayons du soleil sur tout son corps et elle aimait ca quand d'un coup elle sursautât. Elle avait oublié ses vêtements sur la plage. Vraiment elle avait pas de tête quand elle venait ici.

Elle sourit et se levât, passât la tête et vit personne a l'horizon.

Ouffff j'ai de la chance sur ce coup la

Elle repérât un petit tas au loin, ses vêtements.
Elle se dirigeât vers le tas et plus elle s'approchait, plus elle trouvait le tas très petit. Elle arrivât dessus et ne trouvât que ses sous-vêtements.

OHHHH NONNNN ! Pas ca.

Elle se dépêchât de les enfiler en essayant de trouver qui lui avait fait ca. Elle passât en revue les différentes possibilités et se dit que une seule personne pouvait avoir fait ca et elle hurla.


RHUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM

Il avait réussit a se venger du charbon et du seau d'eau de se matin.


Si tu me redonne pas mes vêtements, je vais devoir rentrer comme ca.

Elle s'assit dans le sable et attendit.
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