[RP] La plage

Aly s'était laissée surprendre par la chute d'Imla, mais ne put se retenir de rire. Mais elle reprit vite son sérieux en pensant qu'il s'était peut être fait mal à la cheville. Elle le fixa du regard.

Ta cheville va bien? Tu crois que tu vas réussir à continuer notre promenade?

Elle resta près de lui, profitant de chaque instant de bonheur et espérant qu'il y en aurait encore beaucoup. Elle ne se demandait pas de quoi l'avenir serait fait, elle souhaitait juste qu'il en fasse toujours partie.

Une nouvelle fois, les flots n'avaient pas voulu de lui.
C'est un pêcheur en route vers l'est qui l'avait recueilli à son bord puis l'avait déposé plus loin sur la côte.
Le temps étant clément, il en profita pour déballer ses maigres affaires pour les sécher et en faire l'inventaire.
La seule chose qu'il ne trouva pas c'était cette rose séchée dans un parchemin plié. Le séjour dans l'eau avait eu raison de ce fragile souvenir qui avait du se dissoudre.
Une fois tout bien sec, il rangea ses affaires. Il était temps pour lui de reprendre la route, ce qu'il fit en ayant une pensée pour toutes ces personnes qu'il connaissait et qui s'étaient révélées des amis fidèles dans ces jours sombres.
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Isarie voulait revoir une dernière fois cette plage si belle, le long de laquelle elle avait vécu tant de moments exquis.
Dans ses pensées tournoyaient les images de celles et ceux qui avaient marqué son séjour ici.
Bien entendu, Strangy venait en premier. Elle avait choisi son destin. Isarie ne lui en voulait pas de son abandon, elle savait qu'un grand destin l'attendait dans l'au-delà. Sa mémoire restait comme le souvenir d'un rêve doux et libertin.
Elle savait qu'elle laissait ici Rinna, sa petite soeur. Isarie espérait que ses blessures lui laisserait assez de force pour continuer à lutter. Elle savait qu'elles se retrouveraient et la laissait en toute confiance à Luk.
Et puis venaient tous ses amis de Béziers, qui avaient été comme sa famille pendant les quelques semaines de son séjour. Arthe et Hu, Cécile et Amas, Cosmo, Zara, Gaby, Kanea, et d'autres encore... Elle espérait vivement les revoir un jour, ou bien les accueillir chez elle. Ils devaient savoir qu'ils seraient tous les bienvenus.
Elle gardait encore une pensée secrète pour un rêve qui n'avait pas abouti, mais qui peut savoir ce que l'avenir réserve...

Tout celà occupait ses pensées, mais le vent du large lui envoya au visage son souffle puissant et iodé. Elle respira l'air de la liberté, elle ouvrit ses poumons à cet air chargé d'aventure et d'inconnu...
Alors toutes ces images des semaines passées s'estompèrent et s'assoupirent dans un coin de sa mémoire, et elle concentra son attention sur le chemin qu'elle allait suivre.
Elle allait suivre la mer...

.... elle fit le premier pas ....

Après quelques jours à errer en forêt à chasser en compagnie d'Almut, Pule s'était décider à sortir de l'ombre de la forêt.
Il en sortit et fut éblouis par le soleil filtrant a travers les nuages.
De nombreuses peaux de bêtes deja tannées ornaient la croupe d'Almut, témoignant de nombreuses heures de chasse.

A peinne sortit de la forêt, il dirigeat son canasson vers la plage, il se sentait une envie d'iode, de sel et de lointain.

En quelques minutes, il avait contourner la ville pour arriver en bord de plage, là, il s'arretat et admirat l'étendue d'eau qui s'offrait devant lui.

Il remarquat aussi quelques promenneurs.

Almut marchant sur place et ayant envie d'être un peu tranquille, il lancat celui-ci au galop de charge le long de la plage, envoyant le sable voler plusieurs mètres dans les airs et envoyant de grandes ailes d'eau a chaque vague qui passait sous les sabots du destrier.

Après quelques minutes à galoper ainssi dans un tonerre assourdis a chaque pas du canasson, il arrivat dans une petite crique.

Là il attachat et déscellat Almut puis allat s'assoir au bord de l'eau, les vague venant lecher le cuir de ses bottes.

Il déguainnat ses armes, enfilat le brassard de cuir relier au manche de sa hache avant de poser cette dernière à sa droite, et plantat son épée dans le sable à sa gauche.

Il restat ainssi à admirer la mer et se remémorant d'anciens voyages, ayant l'espoir inscencé de voir poindre au loin un mat de drakkar, mais malheureusement rien ne venait.

Il s'alongeat dans le sable en soupirant, quelques lourds nuages noiratres venaient de l'intérieur des terres, obscurcicant le ciel et la terre.

Il fermat les yeux et sentit la premiere goute de pluie tomber sur son visage, une seconde fit tinter la lame de sa hache puis s'ensuivit un concert de chocs de l'eau contre le métal de sa hache, son épée et son casque.

Il enlevat ce dernier et le posat sur son ventre, offrant son visage à la pluie.

Pour la première fois depuis longtemps, il sourrit, non pas d'un sourrire moqueur ou guaindailleur comme en taverne, un sourrire serain, qui pour une fois ne semblait pas enlaidis par les cicatrices.

Après quelques minutes alonger ainssi, il passat chacune de ses mains autours de ses armes, l'une au manche de sa hache, l'autre à la lame de son épée.

Il s'endormit ainssi, les pieds bercés par les vagues et le visage par la pluie, au calme sur la plage, seul le bruit de l'eau claquant sur le métal et le sable venant troubler le calme présent.
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Après plusieurs heures à rester alonger dans le sable sous la pluie, Pule rouvrit les yeux, les nuages s'étaient encores obscurcis pendant qu'il méditait, le ciel était désormais d'un noir profond et la terre était elle aussi obscurcie.
Il prit son casque en main puis se redressat, fesant couler les perles d'eau qui mouchetaient sa cape de fourrure.
Il se relevat et remis son casque avant de remetre son épée dans son dos et de se mettre face à la mer, sa hache en main et appuyée sur son épaule.
Il restat ainssi de longues secondes avant de remettre son casque.
La pluie continuait de couler et de faire tinter son casque, il allat récupérer sa scelle qu'il avait mise à l'abbris sous une souche échouée.
Il rescellat Almut puis remontat sur son dos et se dirigeat vers la sortie de la ville au pas, une mission lui avait été confiée et il l'accomplirais avant de revenir.
Quand il délaissat la plage, le ciel se réclaircis, comme si les nuages noiratres semblaient suivre son sillage.
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Un homme s'approcha de la jeune-femme, Ses pas semblaient comme des piquants dans le sable pourtant mou. Il avançait comme l'acide se fraye un chemin dans la plus douce des chairs. Il était grand.

Ses yeux semblaient à moitié fermés, comme si le soleil l'éblouissait, sa peau paraissait douce, elle était comme grise, passé, craquelée, moisie.
de longs cils noirs et épais recouvraient la bordure de ses paupières, la fièreté qui émanait de lui semblait aussi puissante que celle d'un dragon se présentant au portail d'une forteresse.
Son souffle était comme trop gros pour que tout l'air puisse y entrer facilement, et de ce fait il inspirait lentement, il ne regardait rien en particulier, il se guidait avec son ouïe et son odorat.

Il vit Elerinna, allongée sur le sol, il sourit en savourant cette espèce d'innocence féroce, cette peau aussi pure que le soleil et ses mains si fines, aussi belles que des ronces. Il huma son odeur, frissonna et la regarda de plus près. Comme elle ne réagissait pas il s'assit sur le sol, à coté et prit un air bête.

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Elerinna leva difficilement les yeux vers l'homme grand qui la fixait avec un air de débile. Elle fronça les sourcils en se demandant ce qu'un abrutis venait faire à coté d'elle, elle qui voulait être seule pour une fois.
Elle ne cessa de le fixer, toujours plus loin, en sentant son regard l'aspirer, puis se ressaisit, regarda de nouveau le ciel et lui demanda d'une voix grave et froide:
Quoi?

L'homme grand lui adressa un beau sourire, dont toutes les dents étaient parfaites, blanches, douces et attrayantes, Elerinna se sentait captivée par une quelconque force magique. Elle agrandit ses yeux et leva son regard vers celui de cet inconnu, la bouche entre ouverte. Elle sentait comme une sorte de gêne à le regarder, une sorte d'amertume du passé. Elle ne pouvait pas le quitter du regard.
Cet homme c'était...
Il continuait de la fixer sans rien dire, en souriant simplement, comme si il se voulait pleins de gentillesse, mais dont la chute serait fatale. Comme si le perfide se cachait en elle, et se dévoilerait avec cet homme au grand sourire.
Elle sentait une espèce de vide, une espèce de remord, de honte.
Soudainement, elle le quitta du regard, sentant son orgueil se gonfler.
Elle sentait toute la haine s'insinuer non pas comme un petit ruisseau mais comme un torrent sur son coeur et sur ses joues, lorsque les larmes dévalèrent les pentes, et couler sur ses mains, puis sur ses genoux recroquevillés, et secouée de ses sanglots, ou était-il????

Il continua de sourire un bref instant et se dévoila lui même, plongeant son regard à moitié fermé vers l'océan, et n'adressant plus que la méprise à Elerinna. Elle qui continuait de sangloter. Elle pleura ainsi durant quelques minutes.

Elle se calma enfin un cours moment durant lequel elle prononça l'unique mot de ses pensées, l'unique qui n'était pas là...
Ele se tourna vers l'homme et lui cria comme pour le suplier:
OU est il?!

Le regard emplit de larmes brulantes.
L'homme tourna le sien vers elle, d'un geste lent, supérieur et autoritaire.
Il sourit à moitié, d'un air sadique, l'œil gauche presque clos, l'œil droit se voulant fendant.
Il élargit son sourire comme pour la faire souffrir et la visage d'Elerinna devint aussi pâle que le ciel gris et froid.
Elle lui dit d'une toute petite voix: Rends le moi.
Il regarda l'horizon et d'une voix pleine d'envie, il lui lança très distinctement, comme si il la connaissait depuis des siècles:
Je n'ai qu'une envie Elerinna, c'est de te tuer.

Elerinna agita sa tête d'un air désapprobateur de petite fille.
Je veux pas...

Il sembla se calmer, l'homme aux yeux de serpent soupira et glissa ses mains sur le sable, en s'appuyant dessus pour apprécier la mer.
Il la déshabilla du regard, ferma les yeux comme un chat amoureux et lui sourit.
Il à tes yeux.

Souriant toujours de ce qu'elle venait de lire Kanea arriva devant la plage.
Elle vit un couple et parti de l'autre coté elle voulait savourer ce moment seule.....
Elle s'assit sur le sable regarda la grande étendue d'eau la tete posé sur ses mains elle se mit a réflechir à sa vie.Dans 1er temps elle avait décidé de partir en voyage dans les terres aussi elle respirait a pleins poumons l'air iodé du large .

Apres une bonne nuit de sommeil,wgaby décida d'emmener son amour Lou à la plage pour une promenade en amoureux...Il fit un brin de toilette et se fit tout beau pour aller chez elle.
Il frappa à sa porte.
Quand elle vit que c'etait lui , elle lui sauta au coup pour l'embrasser....
Il lui proposa alors de faire une balade sur la plage...Elle accepta avec joie.
Nous marchions enlasser vers cette plage ,qui semblait déserte.
Quand enfin, nous y arrivons,il lui prit la main et me mis à courir.
Puis un peu plus loin, il la prit dans mes bras et lui donna un tendre baiser....



Je t'aime LOU...