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[RP] La cathédrale St-Arnvald du Mans

Max_premier
Il avait fait le trajet durant la nuit, s'étant reposé quelques heures dans une auberge du Mans, et après un bon repas pour se remettre en jambe, avait demandé baquet, eau chaude et savon pour être parfait pour cette journée importante.

Ce n'était pas tous les jours que l'on était témoin et il voulait être à la hauteur de la tâche.

Il avait acquis une tenue qui, il l'espérait serait au goût du jour.

La dernière fois qu'il avait revêtu si beau manteau, c'était pour un mariage aussi, cela aurait dû être le sien mais l'eau avait coulé sous les ponts depuis, les cauchemars avaient fini par le laisser en paix. C'était donc seul qu'il s'avançait vers le parvis de la cathédrale où les cloches sonnaient à tout va maintenant le faisant sourire tout simplement. Ils attendaient que la foule s'engouffre dans le saint endroit avant d'y entrer lui même.

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--Agiluf
Allez fiers compagnons, laissez truelles et pelles pour ce grand jour.

Allez faire vos abblutions et allons prestement à la cathédrale pour les épousailles de notre bonne Dame Esquimote.


Ouaisssssss des épousailles, vl’a des lustres que je n’y ai pas assisté.

Ca va nous changer not’quotidien


C’est une petite troupe joyeuse qui arriva à la cathédrale en ce jour.

Ecoutez donc comme les cloches sonnent joyeusement compagnons ?

Un à un, trempant leur doigts dans le bénitier se signèrent et allèrent prendre place.

Maitre guillaume, on les pose où les fleurs qu’nos femmes ont préparé ?

Hé bien… la cathédrale est déjà joliment fleurie non ? près de l’autel je pense.


Dans un seau d’argent, de belles roses avaient été arrangées
Esquimote
C’est une procession de moines qui fit son arriver à la cathédrale. D’où venaient-ils donc ?

Ces derniers arrivaient de l’abbaye de Solesmes.

Mais pourquoi des moines à ce mariage vous demandez-vous ?

L’aieul d’esqui résidait à montmirail et s’était retiré dans cette congrégation pour y finir sa vie. Ils avaient promis à l’aieul de veiller sur Esquimote.

Et donc en ce grand jour, ils avaient tenu à être présents.

L’un derrière l’autre, il remontèrent la nef. Leur chant résonnait dans la cathédrale..

Fara natina / Hura na huna me / Fara natina / Hura dona me / Sula na hura me / Hura na duna me / Sula na hura me / Hura dora me / Huna mina tera mina ...

Huna mina tera mina
Ala mina hey ho
Huma mina tera mina
ala mala do
Huna mina tera mina
Ala mina hey ho
Huma mina tera mina
ala mala do


Tera na mina tera na harega
Tera na mina kura dona me
Fara natina hura na hunana
Fara natina kura dona me

Hura mina tera mina
Ala mina hey ho
Hura mina tera mina
Ala mala go
Hura mina tera mina
Ala mina hey ho
Hura mina tera mina
ala mala go

Tera mina, tera mina tera mina lei lo
Hura mina tera mina
Ala mala go
Tera mina, tera mina tera mina lei lo
Hura mina tera mina
Ala mala go.........


Ils vinrent se placer un à un de chaque coté de la nef.
Karyaan
[Rue de l’Écume]

Indécise... indécente...

Rituel exquis, divin, moment particulier où deux âmes ne font plus qu'une.
Elle se leva lentement, comme au ralenti, l'eau devenue tiède, aux odeurs de plantes enivrantes, glissant sur sa peau diaphane.
Passant ses doigts dans ses cheveux d'ébène, les tordant doucement, sans quitter les sinoples de celui qui est encore allongé, à moitié immergé.
Léger sourire, silencieuse, savourant les derniers instant d'une douleur exquise indécise, indécence qui s'était déchainée.
Rituel qui doucement s'était imposé. Passant des heures à se découvrir, s'apprivoiser. Elle connaissait chaque parcelle de sa peau, il en savait les moindres courbes et secrets.
Silencieuse, ses yeux de brume, glissant sur le corps de celui qui partageait à présent sa vie. Murmurant presque.


On va être en retard...

Sourire malicieux accompagné d'un clin d’œil.
Délicatement son pied se posa sur le plancher détrempé par la folie qui s'était déchainée. Sortant, elle attrapa un drap et s'y enveloppa, tournant sa tête de trois quart, jetant un bref regard à son mâle, gardant son sourire à faire fondre un Pape, elle contourna le lit se séchant les cheveux. Le drap coula sur le sol, alors qu'elle s'approcha des tenues qu'elle avait fait faire.
Penchant la tête de coté, les mains de son homme se posèrent sur son ventre, se collant à elle, encore trempé. Fermant les yeux, elle frissonna quand ses lèvres se posèrent dans son cou. Murmurant presque inaudible.


On... on va être en retard... vraiment là...

Et en effet, ils le furent, un peu, juste un peu... Mais l'histoire ne dira pas pourquoi. De toute façon, il ne vaut mieux pas.
Nul besoin de carrosse comtal, ils n'étaient pas si loin et marcher ne leur ferait pas de mal pour se réveiller.
Saluant chaque passant qui passe, les voilà qu'ils arrivent sur le parvis de la Cathédrale en effervescence, juste au moment où les moines processionnaient.
Moines de Solesmes...
Bref regard à celui qui était à ses cotés, et léger sourire. Lui seul pourrait comprendre cet échange.

Elle salua alors en silence chaque personne déjà présente.
Impatiente de découvrir elle-même comment se déroule un mariage Aristotélicien.
Car c'est certain, ce genre de chose est et sera sans aucun doute bien différent du rituel d'union qu'elle connait et que sa culture pratique.

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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Maurice
Maurice leur avait dit d'essayer de dormir cette nuit mais c'est lui qui n'y parvint pas , un peu exité par ce mariage dont on entendait parler depuis quelques temps ...c'est pas tous les jours qu'on allait voir se marier sa maraine ...c'etait meme le seul jour normalement!!!De plus , bien que faisant parti de cettereligion, Maurice n'avait jamais eu l'occasion de venir en la cathedrale...

Whaou c'est... si grand si beau!!!

quelquepeu impressionné , Maurice regardait partout à la fois ,aux cotés de Leonie ,ils avançaient pour prendre place , habillés comme un dimanche ,les lumieres , les chants , les gens , tout etait plus beau que nature...il lui tardait d'enfin appercevoir les futurs epoux là bas de l'autre coté de la cathedrale!!!
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Regglys
Regglys avait préparé la chariote la veille, et ils avaient parcouru le chemin Laval, le Mans au tripple galot.
Arrivés en pleine nuit, ils prirent une chambre à l'Auberge.
Le matin du 3 Décembre 1459, ce sont les cloches qui le réveillèrent.
Pélipa était déjà en train de préparer le petit Adriel.


Hein? quoi ? on est en retard ? Ohhh, les cloches

Il bondit hors de la couchette, se passa un coup d'eau sur le visage afin de se réveiller.
Attrapa ses vêtements, et s'habilla, enfin, juste les bottes, le mantel et la Cape. Il était bien fatiqué à son arrivée.
Il s'était affalé et s'était endormi immédiatement.

L'estomac ne pouvant se satisfaire de sommeil, quoie que l'on en dise, pour Regg, le dicton "Qui dort dîne" était une illepsie
Il attapa donc, une miche de pain, et une grande bollée de lait, engloutit le tout avant de se rendre a la Cathédrale.
L'auberge n'étant pas juste à côté, ils s'y rendirent en chariote.
En arrivant pres de l'édifice religieux, ils virent une procession de moines. C'était assez impressionnant.


Hooo Hoooo Stop dit il aux cheveaux

Il descendit le premier, aida Pélipa à descendre, puis prit délicatement Adriel qui s'était rendormi

Après vous Diaconnesse, allez viens ici bonhomme Hoooop

Il prit le petit de péli dans les bras, le protégea de sa cape, emmela ses doigts dans ceux de Pélipa et s'approcha.
Il vit au loin la Comtesse et alla la saluer, même si il n'avait pas beaucoup apprécié sa petite altercation lors de son passage précédent au Mans, pour une affaire de marché vide.
Mais, ça le faisait marrer. Car le marché de Laval était bien vide aussi en ce moment avec tout ces irlandais.
Il s'approchèrent donc de Dame Karyaan et s'inclina respectueusement, comme a son habitude.


Bonjour Madame la Comtesse, je ne sais pas si vous vous souvenez de moi. Je suis Regglys je viens de Laval, je suis passé au mans, il y a quelques temps pour l'escorte d'une amie.
J'espère que vous allez pour le mieux.


Apres aboir échangé 2 ou 3 mots, il peit congé, afin de regarder les lieux, et éventuellement trouver d'autres têtes connues.
Ce mariage allait certainement être l'occasion de revoir des gens qu'il avait rencontré dans le Maines.
Bezuto
[Parvis de la Cathédrale]


Déjà devant cette cathédrale du Mans , monument gigantesque témoin de de la fois Aristoliscienne .
C'est aujourd'hui accompagné de sa brune , bras autour d'elle se présentant au porte , qu'il s'y trouvais pour assister au mariage de deux Mainois .
Saluant comme il se doit légère fierté de s'afficher avec la femme dont il partage pour ainsi dire tout cela lui passe rapidement au dessus ce n'est pas ce qui l'importe .
Il lui sourit se rappelant le moment d'il y a peu, les cheveux attaché encore humide mouillant en pointiller le haut de son dos, sourire rassurant sur leur possible retard , mais leur rituel avait pris un jour de repos la veille ..
Bruit de chant de moine , regard échangé qui prend simplement toute sa signification , il secoue doucement la tête , et d'une voix basse murmure

-Ils chantent bien ...

Poursuivant tout les deux se mettant dans un coin , ils se regardent dans le blanc des yeux, tas de sentiment qui s’échange , une foule de mot et d'envie qui déjà se font trahir , mais ce n'est pas le moment de penser à autre chose , cette journée risque d'être longue et mouvementé , il faudrait l'appréhender comme il se doit et le roux y comptait bien .

-Tu es vraiment magnifique toi comme ça .. en toute objectivité bien sur !

Il roule des yeux , accompagnant d'un léger rire , c'est vrai qu'elle l’était .. habillé de ce vert .. de cette robe , il n'avais pas l'habitude de la voir ainsi alors il en profitait ..



Impatient de voir les différents invités faire leur apparition l'un après l'autre , impatient de voir la cérémonie commencer , et surtout de la voir découvrir ce que c’était .. et ce que cela pouvais représenter.
Il s'adosse à la bâtisse de nouvelle gens qui arrive même un couple qui s'approche d'eux tiens , l'homme préféra s'adresser à la comtesse ignorant le roux , il s'en offusquera pas à quoi bon .
Le Bailli ajoutera naturellement un enchanté en haussant les épaules des fois que celui ci ne l'aurait pas vu caché derrière la brune .
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Elendillefin


Abandonnant sa chaise à un gamin en quête de quelque piécette, Len pénétra dans la cathédrale. Il s'arrêta juste après avoir passé les grandes portes, assailli par l'émotion.

Pouvait-il imaginer, il n'y avait pas deux ans qu'il se retrouverait à cette place, vêtu de vêtements cossus, la gorge nouée, les yeux au bord des larmes parce qu'il allait se marier?


Je dois rêver. Cet édifice décoré, ces gens qui sont devenus mes amis, qui me regardent en souriant, ces cloches qui sonnent à toute volée, ces moines venus spécialement pour nous, cette femme, la plus aimable et la plus douce des femmes qui va devenir ... mon ... épouse ?


Len porta le regard sur les personnes déjà présentes et les salua à tour de rôle. C'étaient ses amis qui étaient là et peu importe leurs titres ou leur fortune, ils avaient tous la même valeur à ses yeux.

Reg! Cher compagnon de taverne!

Mau? Comment va ta chè... pardon, ta mule!

Bonjour Karyaan, quel plaisir de te voir ici!

Agiluf, les travaux avancent bien aux thermes? Merci pour votre aide!

Max! Esquimote sera plus que ravie de te voir!


Len s'approcha de l'autel mais se tenait pour le moment le dos tourné vers celui-ci afin de ne pas rater l'arrivée de celle qu'il attendait depuis toujours ..., de celle qu'il aimait plus profondément chaque jour ..., de celle qui était devenue sa raison de vivre, de celle qui allait devenir son épouse.
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R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine
--Agiluf
Les compagnons travaillaient sur le chantier des thermes et ne connaissaient pas grande monde.

Ils regardaient tour à tour les arrivants, les saluant aimablement.

Ohhh r'gardez c'est le promit de notre bonne dame Esquimote.

Un groupe de ménestriers avait prit place. Vielle, harpe et flûte n’attendaient que le moment d’envahir de leur son la cathédrale.

Les voix des moines s’étaient tues. Une douce mélodie résonna à l’arrivé du futur marié. Le son de la flûte s’envola afin de charmer l’assistance qui arrivait et prenait place. En concertation avec les épousés, ces derniers avaient choisi cette mélodie qui avait marqué leur rencontre.
Lys.
Lys pénétra dans la cathédrale avec l'affreux sentiment d'être en retard au mariage de son meilleur ami.
A la maison elle avait attendu Tom impatiemment jusqu'à la dernière minute.
Si elle avait été en mesure de le faire, sans doute aurait elle fait les cent pas. Elle s'était contentée de rester assise en soupirant d'un air excédé toute les dix minutes.
Habituée à le voir aller et venir à toute heure du jour et de la nuit, la jeune femme lui avait simplement rappelé d'être là à l'heure pour partir au mariage. Or il avait manifestement oublié ! Et elle ignorait complètement où il pouvait être.
Contrariée, la rouquine avait marché aussi vite que son état le lui permettait jusqu'à l'église de Laval pour n'y trouver évidemment personne. Dans son impatience elle en avait oublié que c'était à la cathédrale ! De fort mauvaise humeur la rouquine revint sur ses pas en pestant avec une parfaite mauvaise foi contre les hommes sur lesquels on ne pouvait décidément jamais compter. Et en plus, la jolie robe verte en brocard qu'elle avait fait confectionner exprès pour l'occasion et qui était sensée faire ressortir sa chevelure et son teint, lui donnait l'impression d'être engoncée de partout. C'était pas son jour !
Ainsi devisait intérieurement, telle une enfant trop gatée, la fiancée de Tomnissa, dont la grossesse n'arrangeait en rien le caractère pour le moins capricieux.

A quelques mètres, la cathédrale enfin. Sur le parvis, des moines chantaient merveilleusement. Quelque peu mpressionnée par cet accueil, la jeune femme ne le fut pas moins lorsqu'elle découvrit avec quel goût exquis l'intérieur des lieux avait été décoré.
Puis reconnaissant Regg , Péli et Mau, Lys les salua d'un geste amical sans trop s'attarder. Elle cherchait son parrain du regard.
Il était là, tout beau dans son habit de marié. Elle sourit devant sa nervosité manifeste, et oubliant aussitôt sa mauvaise humeur, le rejoignit de sa démarche en canard, avec son éternelle main plaquée sur son ventre arrondi.


Len tu es superbe !

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Paximus
Arrivés au Mans, la veille, ils avaient pris chambre dans une auberge où bien des invités au mariage avaient trouvé asile. Leur pensée n’arrivait pas à se détacher de leur petit Valdorant, c’était la première séparation et ça leurs causait une petite émotion. Après une bonne nuit de sommeil, ils étaient fin près pour ce grand jour où allait être célébré l’union de ceux qui étaient devenus leurs amis : Esqui et Len.

Les cloches de la cathédrale ébranlèrent les murs de la ville et firent presser le pas des deux lavalois. Tenant la main de sa douce, Paxi la serrait contre lui et tout deux arrivèrent enfin sur le parvis où ils reconnurent quelques têtes parmi les invités déjà présents. Les demoiselles continuaient leur tintamarre et déjà le futur époux avait pris place. Ils s’avancèrent eux aussi en saluant leurs connaissances et en faisant un signe de tête vers les autres.

Madame…

Reg, bonjour l’ami !

Maurice, salut compagnon !

Messire…


Paxi serrait toujours son Anaïs, l’entraîna à l’intérieur et allèrent saluer Len qui se tenait debout devant l’autel. Il lui serra fort la main, grand sourire aux lèvres.

Le grand jour est arrivé, Len, comment te sens-tu, hein ?

Puis ils prirent place sur un banc.


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Rossonero666
Lancé à bride abattue sur les routes détrempées, le puissant destrier noir emportait un Connor vêtu à l'avenant, même s'il avait délaissé le cuir de sa tenue habituelle pour des habits plus élégants. Arrivé devant la cathédrale, l'Irlandais sauta à terre d'un bond souple avant d'épousseter ses vêtements.
Ses longues mèches couleur d'encre, rendues brillantes par l'humidité, encadraient un visage sombre, qui lui avait valu son surnom dès l'enfance; en Erenn, il était nommé Dubh (le Noir) et son teint inhabituel avait suscité crainte et méfiance. Trouant la noire silhouette, l'éclat d'un regard à la clarté étrange achevait de rendre l'Irlandais trouble à souhait; ses yeux avaient la couleur des glaces hivernales sous la lumière blafarde de sa terre natale.
La journée était magnifique quoique glaciale, la lumière douce de décembre jouait sur le velours noir de sa tenue; son ami Salentin avait insisté pour qu'il l'endossât, d'un murmure inarticulé, avant de sombrer dans une inconscience fiévreuse due à l'infection qui brûlait son sang.
L'Irlandais avait obtempéré en silence, enfilant la tunique et les braies sombres, qui moulaient sa haute silhouette quasi jumelle de celle de Tom.
Il avait lustré ses hautes bottes et agrafé une cape de même couleur avec une broche verte, en forme de trèfle, souvenir quasi oublié d'une jeunesse perdue dans ses souvenirs. Sur son épaule gauche, le corbeau bicéphale brodé d'argent luisait doucement, rappelant à tous que le fils d'Erenn appartenant à l'armée de son frère de sang, dont les soldats guidés par l'étendard noir et le heaume couleur de sang venaient de foudroyer les hordes irlandaises félonnes aux côtés des autres armées royales, hâtant la trêve qui permettait de festoyer en ce jour.
Il pénétra dans la bâtisse, sombre guerrier qui honorait d'autres dieux que celui qui siégeait en cette place, s'avançant d'un pas silencieux à travers la nef. Parvenu auprès de la faerie rousse, resplendissante dans le brocard de sa robe verte, il toucha délicatement son bras afin de ne point l'effrayer, avant de murmurer quelques mots à son oreille.


Bonjour à toi princesse, c'est ton homme qui m'envoie à toi, il a dû partir en toute hâte et m'a prié de te tenir compagnie en ce jour.
Elendillefin


Un large sourire s'étala sur le visage de Len lorsqu'il vit entrer son amie d'enfance, sa filleule et bientôt son témoin.
Il s'avança vers elle alors qu'elle venait vers lui de cette démarche si caractéristique et si touchante des femmes sur le point d'accoucher.


Merci d'être venue, ma chère amie. Tu me vois comblé de ta présence ici en ce jour.

Il l'étreignit avec émotion. après tout, elle était la seule personne qui ressemblait de près ou de loin à une famille pour lui, presque comme une petite soeur.
Il jeta un regard derrière elle, s'attendant à voir Tom arriver, en vain.


Bonjour Paximus, merci à toi et bienvenue en ces lieux.

C'est alors qu'entra un homme déjà aperçu auparavant, l'ami de Tom qui s'approcha sans mot dire de Lys. et lui murmura quelque chose à l'oreille.

Tout va bien, Lys.?
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R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine
Sacha9843
Sacha arriva puis s'asseya et vis Len , puis il lui fait signe de la main .
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--Jacquouille
La nuit avait été bien courte pour Jacqouille et sa Jacquette. Ils avaient passé la nuit à décorer pour la cérémonie la cathédrale. Et vu la taille de l’édifice, ça n’avait pas été une mince affaire.

Ayant revêtu des affaires propres, il avait même fait ses abblutions pour faire honneur aux épousés, mais surtout à sa douce amie.

Ohhh ben r’garde donc tout c’monde ma jacquette.

Gravissant en courant les marches du parvis, il fit halte près de Max

M’sieur Maxxxxxxxxxxxxxxx… Ben ça fait ben plaisir d’vous voir.
Z’attendez notre demoiselle Esqui ? d’vrait pas tarder. Vous connaissez Jacquette ? c’est ma bonne amie.


Les salutations faites, ils pénétra dans la cathédrale où les lueurs des cierges et candélabres la faisait briller de milles feux.

Viens donc ma Jacquette, z’allons nous approcher.

Courant de l’un à l’autre pour les saluer, il remonta la nef

Heyyy M’dame la Comtesse vous m’reconnaissoit ?

M’sieur l’ami d’d’ame comtesse j’suis ben content d’vous connaitre.

M’sieur Paxi, m’dame anais, le bonjour

Ohhh m’sieur reg vous êtes beau comme un pape !

M’sieur Sacha fait plaisir d’vous voir aussi. Z’êtes de tous les festoiements vous aussi..

Ah ben ça fait un bout Maitre guillaume qu’on n’vous avait vu… Maitre Agiluf j’suis bien content d’vous voir aussi.
M’sieur Maurice serrez moi la pince !! z’êtes tout beau dans vos habits du dimanche savez l’ami !


Les salutations avançant, il arriva près de l’autel

Bonjour dame Lys, z’êtes courageuse d’ête v’nue jusqu’ici.
M’sieur lennnnnn grand jour, grand bonheur !!! j’vous bise pas mais l’cœur y est hein ? okayyyy


Se fendant d’une révérence devant l’officiante

Huuuuuuu Dame feuille mes hommages du matin
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