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[RP] La cathédrale St-Arnvald du Mans

Mahiro
Des mois et des mois, peut être même des siècles.. Le temps paraissait filer à une vitesse inébranlable. La jeune femme était arrivée sur ses terres comment ? Elle ne le saura jamais… Toujours a étendre la poussière au fur et à mesure de ses pas, des souvenirs si lointain la submergèrent. Elle se souvitnde la dernière fois où elle fut conviée à un mariage… . Trop entêté elle s’était disputée avec le futur marié et pour se faire pardonner, d’une certaine manière, elle avait accepté son invitation.
Elle était invité pour célébrer Le mariage de la personne qu’elle respectait le plus à Laval : Esquimote. Ses pas s’alourdir au fur et à mesure qu’elle se rapprochait des environs. Mahiro se sentait toujours aussi mal à l’aise dans ce genre d’enroit. Trop de pureté rôdait autour de ces saintes enceintes.

La brune prenait sur elle pour garder la tête haute, le buste bien droit et se donner une belle prestance.
Pour l’occasion elle avait coiffé soigneusement ses cheveux sauvages pour leur prêter une belle allure. Ils tombaient sur ses épaules et se soulevaient légèrement au gré de ses pas. Elle s’était enfilé une robe toujours dans les mêmes tons, rouge ou plutôt bordeaux. La brune n’avait pas touché cette robe depuis des années. Présent de son premier et dernier véritable amour, elle ne pouvait la porte. Mais aujourd’hui, Mahiro se l’enfila car le couple qui allait s’unir pour le meilleur et le pire lui inspirait un vrai Amour avec un A comme dirait certains.



Elle s’arrêta devant l’édifice, le cœur en alerte… encore une église. Elle soupira longuement elle qui s’était toujours sentie mal à l’aise dans ces lieux là. La vagabonde regarda à droite puis à gauche et enfin pénétra les lieux.

Son regard erra longuement sur le décor, le plafond, les tables puis enfin les différents invités. Elle prit son temps pour se repérer parmi cette foule naissante. Elle resta en retrait comme si elle n’avait été entouré de ses semblables depuis bien longtemps. La brune les vit se saluer, parler et rire à tout va. Etait elle de trop ? Avait elle vraiment sa place ?
Son regard se posa naturellement sur les personnes qu'elle admirait ou du moins qu'elle semblait respecter le plus ici.

Elle avança et prit un verre d'eau qu’elle but d’une traite, eh oui, on fait avec les moyens du bord^^. Elle sentit le liquide couler en elle et la soulager un peu. Puis, elle alla saluer les futurs mariés s'ils ne sont pas bien trop occupé... ce qui risque d'être le cas...
Sacha9843
Sacha arriva dans l'église puis s'installa sur un banc .


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Lys.
Lys répondit à l'étreinte de Len avec chaleur, émue de voir son ami si fébrile. Elle comprenait son état et se sentait heureuse de partager cet instant à ses côtés.
Ils venaient à peine de commencer à discuter lorsqu'elle sentit qu'on lui touchait le bras. La rouquine, machinalement, pivota sur elle même. Qu'elle ne fut sa surprise lorsqu'elle croisa le regard de glace de l'irlandais qui s'adressait à présent à elle.


Bonjour à toi princesse, c'est ton homme qui m'envoie à toi, il a dû partir en toute hâte et m'a prié de te tenir compagnie en ce jour.

Sa première réaction fut de froncer les sourcils, déçue que Tom ait dû se rendre encore Dieu sait où plutôt que de venir la rejoindre. Elle murmura du bout des lèvres.

Je vois...

Elle se demandait ce qui pouvait être si urgent qu'il ne puisse être là mais, de toute façon, la rouquine se sentait complètement dépassée par les activités de son fiancé. En tout cas, elle le reconnaissait bien là de lui envoyer une escorte. Lys s'était souvent demandée si c'était pour la protéger, mais auquel cas de quoi bon Dieu ?!... Ou bien pour être en mesure de connaître tout ses faits et gestes.
Elle émit un bref soupir dont son parrain s'inquiéta. Désireuse de le rassurer, la rouquine lui expliqua l'absence de Tom, ce qu'elle en savait, c'est à dire pas grand chose et la présence de Connor en quelques mots.

Baissant les yeux sur la tenue de son garde du corps, Lys fut surprise de constater que, pour une fois, l'irlandais avait troqué ses éternels cuirs pour un velour noir très seyant et particulièrement cossu qui ne dénaturait en rien son charme barbaresque
Il était aussi immense et fort que Tom et aurait presque pu passer pour son frère de sang si ce n'était le bleu polaire de ses yeux et la matité de sa peau.
Si la jeune femme pensa bien l'éclair d'un instant que son fiancé devait avoir une tenue similaire, à aucun moment l'idée ne l'effleura qu'il puisse en vérité s'agir de la sienne.
Lys lui sourit un instant, de ce sourire qui venait du coeur et qui éclairait ses yeux clairs. Elle aimait bien Connor et sa façon étrange de parler. Ses manières parfois un peu rudes aussi qui tantôt l'amusaient, tantôt l'agaçaient mais qui ne la laissaient jamais indifférente. Une certaine complicité les unissait depuis qu'ils avaient échangé quelques confidences pendant les nombreux soirs où il tachait de la distraire de l'absence de Tom avant de la raccompagner courtoisement devant chez eux.


Merci d'être là Connor... Je me demande ce qui peut bien être plus important que ce jour mais bon... nous en parlerons plus tard... Voilà Feuillle... et au vu de la musique, je dirais bien que notre mariée ne va pas tarder à faire son apparition...

Et en effet quelques instants à peine plus tard, après un bref discours de la Diaconesse, la mariée parue, magnifique et si gracile dans sa somptueuse robe de velour bleu azur.
S'accrochant machinalement au bras de Connor, Lys scruta bouche bée, émerveillée et émue, l'avancée d'Esqui vers l'autel pour rejoindre son futur époux.

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Rossonero666
A sentir le contact de ses doigts délicats sur son bras, l'Irlandais frissonna imperceptiblement; la belle rousse avait l'art de l'impressionner par sa farouche volonté, que sa silhouette menue ne laissait nullement présager. La damoiselle était de ces natures indomptables, de celles que le fils d'Erenn admirait en guerrier impavide.
La regardant discrètement, il murmura quelques mots, quasi imperceptibles.


Pardonne-moi faerie, je déteste devoir te mentir mais dans ton état, je ne peux faire autrement.

Il reprit immédiatement sa contenance, fixant l'officiante et les futurs mariés, adressant une prière silencieuse à ses dieux pour que son ami résistât au mal qui le rongeait.
Irella
Les deux bonnes raisons qui avaient conduites Irella dans le Maine étaient un mariage, un enterrement.
Pour l'enterrement, on ne sait pas encore, mais pour le mariage, il allait lui être impossible d'arriver à l'heure.
Démonstration.


[Au petit matin du jour J dans une auberge du Mans... ]


Etait-ce l'effet Montmirail? L'absence du bruit des vagues? Quoi qu'il en soit, Irella avait retrouvé pour un temps le sommeil. Quand les premières cloches de la toute première prière prière sonnèrent, elle se dit qu'elle avait encore quelques minutes pour se réveiller complètement... Et puis, elle n'avait pas entendu sonner la demi-heure qui suivit... ni moins encore l'heure suivante.
Quand, un petit coup de vent fit claquer bruyamment le volet, Irella refit surface.


- Mon Dieu! Mon Dieu!

Et Irella de sauter de sa couche et d'enfiler à vitesse grand V sa paire de bas, sa houppelande de deuil, noire ébène. A-t-elle le temps de passer devant le miroir? Fait-on seulement la différence quand elle y est passée ou pas...
D'une petite génuflexion et sans même s'asseoir, elle se mire un instant et passe la main dans ses cheveux.


- Un petit chapeau par dessus tout ça!


Elle pinça légèrement ses joues pour leur faire venir quelques couleurs. Et là, stupeur, elle entendit les cloches annonçant le rassemblement pour les épousailles. Ni une, ni deux, la voilà qui accroche son collier, s'y prend à deux fois, reverse le contenu de sa petite bourse en la saisissant à l'envers, ramasse tout en maugréant sur sa maladresse et finit par dévaler l'escalier pour s’apercevoir qu'elle avait oublié dans sa chambre, le présent qu'elle comptait offrir à son amie. Elle refit donc le trajet en sens inverse, mais cette fois avala les marches quatre par quatre et relevant la jupe.

- Mon Dieu! Mon Dieu!

C'est fou ce qu'il peut y avoir de monde sur votre route quand on en voudrait pas croiser. Et les rues du Mans peut être plus qu'ailleurs pensait Irella quand elle se retrouva à vouloir marcher à vive allure.

Le cul d'une vache qu'on frappe pour qu'elle active le pas, un saut au dessus d'une flaque d'eau, un œil qui traine sur l'étalage de pains fraichement sortit du fournil. Son estomac se rappela à son bon souvenir, elle grimaça et reprit sa course quand elle s'aperçut que les cloches s'étaient tues.


- Là! C'est sûr! Je suis en r'tard! En r'tard!

C'est à quelques choses près la conjoncture dans laquelle elle se trouvait quand elle fit irruption dans la cathédrale et accourut en faisant quelques signes discrets à droite à gauche pour saluer ses connaissances pour finir près de l'autel.

- Bonjour Feuilllle, Esquimote! s'exclame-t-elle en la prenant dans ses bras. Comme tu es belle... Len... vous êtes magnifique aussi.

Irella fit un clin d’œil à Max avant de l'étreindre aussi.

- Qu'il est bon de te voir...


Enfin, elle prit place et scruta l'assemblée aussi discrètement que possible, visiblement à la recherche de quelqu'un.
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Erraa
En retard...Pour changer...Erraa avait enfilé la robe qu'elle avait prévu, s'était coiffée comme prévu et c'était rendu à l'église comme prévu. La seule chose qui n'était pas prévu c'est cette fichu douleur à la tête qui avait fait des siennes. La baronne, la tête en feu, avait du s’asseoir au bord du chemin en attendant que le brasier de son crâne s'éteigne.

Une fois tout revenu en ordre, elle fini le chemin doucement et entra dans l'église. En retard oui mais de combien? Juste un peu avant d'arriver, Erraa avait vu Irella en robe de deuil se pressant pour entrer. Pour le coup elle était en retard de chez pas du tout en avance et compagnie.

Elle entra discrètement dans la cathédrale et se glissa dans un coin avec un sourire d'excuse vers les mariés. Aucune idée d'où en était la cérémonie. Avec un peu de chance la brune ne tarderait pas à le savoir.
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Feuilllle


... S'il est une chose qu'un Clerc apprécie par dessus tout, c'est bien la belle ordonnance de ses Ouailles superbement vêtues, siégeant avec ordre et harmonie sur des rangées de bancs parfaitement symétriques, et auréolés d'une expression sage et silencieuse.

Du haut de l'estrade supportant le Maitre-Autel, le coup d’œil flatte leur goût pour l'ordre ritualisé et et leur bon sens clérical.
Feuilllle n'échappe pas à cette pieuse Règle...

C'est donc avec un plaisir évident qu'elle admire en tout bonheur la belle allée centrale toute propre, la Demeure Du Très-Haut bien investie (*par Aristote quel monde!*), et l'alignement presque sans faille des habitants du Maine.
L'ordre ne fait-il point partie de la beauté?

... A bien y regarder, les hommes et les femmes ne sont point séparés comme il est coutume à leur époque, et Feuilllle a abandonné cette idée depuis belle lurette, sachant qu'exiger des choses impossibles à respecter de la part des Fidèles les indisposerait trop. (Et ne serait point une sinécure!)
L'art et la manière d'être un Clerc suivi supposent une bonne dose d'adaptabilité de l'ordre établi, et ma foi, prie-t-on plus mal si nous sommes plus heureux réunis en famille ou en couple?

De derrière le Maitre-Autel, elle apprécie remarquer en ce tout début d'office le groupe d'enfants sagement parqués au fond, et les Invités et Fidèles debout, certains devant les lourds vantaux pour libérer davantage de places, visages sérieux ou joyeux, (Tsss-Tssss, un peu trop peut-être? Mais non : la joie fait partie des Dons offerts par notre Créateur.)
Le grand portail est fermé car il fait froid au dehors et les braséros sont alimentés régulièrement.

Les décors de mousseline et de fleurs sont encore visibles sur les bas-côtés des rangées de bancs fixés pour ne point être trop bruyants lors des mouvements des gens.

Les fleurs sentent bon, les bougies éclairent joliment cette scène bucolique et emplie de profonde piété. Car les Mainois le sont énormément.

Elle note cependant de son regard de lynx une fillette en rose et bleu qui s'agite, à la manière d'une enfant qui serait excitée à l'approche d'une représentation d'une troupe de jonglerie en ville... Fronçant les sourcils, elle se promet de la surveiller étroitement pour calmer ses débordements enfantins si ceux-ci deviennent par trop exubérants!
Elle indique d'un doigt discret "la Petiote" à sa Sœur Pelipa, celle-ci acquiesce d'un hochement de tête : nul besoin d'explication, les deux Officiantes se sont comprises.

Un calme relatif règne dans la cathédrale, petits soupirs d’impatience mêlés de quelques gestes anodins, de chuchotements gais, d'exclamations juvéniles réprimandées par des parents vigilants.


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[edit pour indispensable amaigrissement, vu la prise de poids de l'image.
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--Lesieurhuile

Voilà qu'en passant dans la capitale Mainois, il lui prend la saine envie - ou le besoin, de prier!
Cela lui arrive parfois, sur les routes du Royaume où il voyage perpétuellement

... Germain Huile est profondément croyant, malgré ses airs frustres et son peu d'érudition.
Mais diantre! S'il avait su qu'il y avait un mariage! Il ne serait point venu dans la cathédrale.

"* Fichtre*,
se dit-il, *heureusement que les piliers me cachent, je ne peux fuir à présent toute cette foule sans me faire remarquer! Et les convenances ne l'admettent du reste pas!*

Il observe de l'ombre discrète l'arrivée de la Future Épousée, précédée de deux petites demoiselles d'honneur charmantes, qui lancent fièrement et généreusement devant elles des pétales de fleurs blancs ou rosés.
La future, appelée Exquise croit-il avoir entendu, est accompagnée par celui dont il a ouï tout à l'heure à voix basse le nom par une belle Dame vêtue de deuil, Maxpremier, "*ce doit être son témoin* et ils remontent tous les quatre lentement l'allée centrale vers l'Autel.

Les gens se pressent vers les bords pour mieux voir, et les deux clercs sourient en la voyant approcher, la mine baissée, soucieuse de bien guider les deux fillettes.
Son futur, le Sieur Elendillefin s'il en croit le Ban qu'il vient de lire, est déjà devant l'autel, ému et palpitant...


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[Edit pour images obèses à changer.]
Feuilllle
Fini le bel ordre du départ! Feuilllle voit avec amusement que la bonhomie naturelle des Mainois a repris le dessus! comment a t-elle pu songer un instant qu'il n'en serait point de même que d'habitude aujourd'hui!

Il faut être juste : le contraire l'aurait décontenancée.

De là où elles sont, derrière le Maitre-Autel surélevé, les diaconesses ont une vue imprenable sur les tressaillements et fluctuations de l'assemblée réunie ici :
Elles aperçoivent ce qui parait de prime abord comme de légers mouvements spasmodiques dans l'assistance, mais qui se révèlent bientôt comme un but raisonné ou inconscient de bienséance locale : fi donc! les Inconnus passent derrière les natifs du lieu, subrepticement, guidés par des courbettes, regards appuyés et sourires fermes, voire soutenus de quelques écarts de bottes et de coudes bien visés, donnés gratuitement mais sans méchanceté!
Surement, ce n'est que justice!

Et d'ailleurs...
Puisque c'est la coutume! Les gens du Comté passent avant ! C'est dans les meurs locales!
Surs de leur bon droit, et munis d'un incontestable et étonnant savoir-faire à ce niveau, ceux-ci se retrouvent sans trop de bruit sur le devant de la scène. Les "autres" sont irrémédiablement et fermement relégués dans le fond de la vaste demeure Du Très-Haut.

Feuilllle sourit à Irella, qu'elle n'a pas vue depuis longtemps, son cœur se serre sincèrement à l'idée de ce qu'elle doit supporter de ses douleurs récentes ; elle aperçoit pêle-mêle Jacquette et Léonie, Erraa et Domino, Rossonnéro et Anais , Sacha et Mahiro, les Galipeau et une dame inconnue : Maeguy.guymae.
Elle reconnait encore Lys, un Irlandais, Maelia et un homme d'apparence joviale et affable à ses côtés.
Feuilllle rayonne : elle vient d'apercevoir son époux Oldtimer, qui se remet doucement mais surement de ses blessures de guerre.

Les Potineuses se chuchotent des potins, elles doivent préparer leurs prochaines remarques acidulées ou humoristiques dans la pénombre.


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Tout à coup, une sensation "d'inadéquat" la saisit. Un léger malaise s'ensuit : quelque chose manque à ce désordre allant de soi et "bon-enfant".


"* Oh! Cieux Bienveillants! Où sont allés tous les enfants???"*

Elle cherche du regard en relevant un peu le cou, mais ne les voit pas.
Elle connait leur promptitude à utiliser avec opportunité toute situation, leur complicité silencieuse, leur vivacité d'esprit quand il s'agit de voler à la vie du bon temps.

Elle comprend à présent qu'ils ont dû profiter des mouvements des adultes et du recueillement de leurs parents pour partir " sans tambours ni trompette" s'amuser dehors!
Il est bien connu que la messe est une épreuve de patience pour les plus jeunes ; cependant cette éducation est nécessaire et salvatrice à tous les Enfants Du Très-Haut.

"* L’apprentissage de la patience et de la concentration ne se fait jamais trop jeune, et la piété fait partie de la Foi"* se murmure t'elle un peu en colère, car ils lui ont échappé.
Elle espère qu’ils ne feront pas trop de bêtises.

Elle renfonce sa contrariété et pense qu'ils ne perdent rien pour attendre, tout en sachant qu'ils évaluent toujours ce risque et que cela ne les retient guère, une bonne fessée étant secondaire, an regard d'un moment de jeu et de liberté supplémentaire.
Selon leur échelle de valeur enfantine, les fessées, on oublie et ce n'est qu'un mauvais moment à passer ; une bonne partie, ça vous reste pour toujours dans la tête et fait rire les souvenirs!^^

Elle a remarqué qu'il y a de plus en plus d'enfants dans le Comté et sans doute faudrait-il canaliser cette bande de mioches rieurs et point méchants du reste, car ils ne se regroupent pas toujours pour le meilleur!

Elle manque éclater de rire à cette idée, se contient en gloussant, ce qui fait tourner le beau visage de Pelipa, éclairé par le cierge qu'elle tient entre ses mains, et enfin, enfin, tout le monde est en place :
Exquise observe quelque chose dans la main de Len, les grands bouquets de fleurs sont écartés de l'autel qui est bien cerné, Maxpremier est agenouillé à terre, cherchant on ne sait quoi, et seuls le Clergé, les témoins et les futurs épousés sont sur le haut des marches.

La cérémonie peut débuter.


[edit pour prise de poids des imlages!]
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Feuilllle
"- Mes bien chers Frères et Sœurs, débutons par le Credo, cette prière qui est le Guide de l’Église aristotélicienne et le nôtre donc!"


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Max_premier
Max avait tenu dans ses bras un instant Irella à son arrivée et lui avait répondu discrètement.

Moi aussi je suis content de te revoir surtout pour une si belle occasion.

Puis toujours à côté d'Esquimote, il posa discrètement au pied de l'autel un petit parchemin entouré d'un lien. Se redressant bien vite. Il était là, fier et droit et attendit que Feuille lance le premier crédo pour d'une voix ferme reprendre en cœur.



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Maelia...


La cérémonie commençait enfin.
Tout le monde avait l'air d'être arrivé enfin surtout les mariés et leurs témoins c'était le principal.
Feuillle commença par le credo comme à chaque fois.

Tenant Guy par la main qui se trouvait tout près d'elle, Maelia le récita en cœur

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen!


Elle sourit à une pensée qui lui traversa l'esprit : un jour elle serait à la place d'Esqui. C'est alors que sa main se referma un peu plus dans celle de l'homme qu'elle avait à ses cotés.
Lui jetant un coup d'œil discret, elle lui sourit puis écouta la suite attentivement

_________________
Esquimote
Les notes coulaient entre les piliers de l'édifice. Les vibrations rebondissaient contre les pierres.

Au son envoûtant elle avait pas à pas rejoint Len. Une main tendue, deux mains qui se joignent, elle était maintenant à ses cotés.

La harpe était d'une beauté et d'une élégance simple. Quand à la musicienne, ses doigts si adroits glissaient sur les cordes de l'instrument.

Les volutes d’encens mêlées à la douce lumière des rayons de l’astre solaire accompagnaient la mélodie.

L’avé Maria se terminait et l’on aurait pu palper l’émotion de l’assemblée tant la voix alliée au son de la harpe pénétraient l’âme.

Feuille et Pélipa restaient silencieuses, attendant que les fidèles se placent.

En ces temps troublés il avait été impossible à tout le monde de pouvoir les rejoindre, Jcmail et Gwenola, Thyra...

Les portes s'ouvraient, des bruissements se faisaient entendre, le claquement des bottes sur le sol de l'église.. l’ami de Tom vint chuchoter à l’oreille de Lys, Mahiro, Maélia et Guillaume, Karryaan et Bézuto, Regglys, Maurice et Léonie, Domino, les aubergistes Galipeau même étaient là.... Old, Paxi et Anais.

Un furtif coup d'œil derrière elle le temps de partager un clin d’œil à l’un, un sourire à l’autre, mais surtout pour surveiller l’arrivée de son amie. Tout en tentant de laisser paraître un visage serein contrairement aux sentiments qu’elle ressentait, l’absence d’Irella l’inquiétait.

Elle fixa un moment la flamme d’un cierge, tantôt immobile, tantôt animée par un faible courant d'air.

Puis un froissement de tissus et quelques pas, et ce fût dans les bras d'Irella qu’elle se retrouva émue de l’as revoir. Une embrassade rapide et un sourire complice Irella prit place non loin d’elle, tout près de Max, scrutant l'assemblée comme à la recherche de quelqu'un.

Puis un autre bruissement…. Un petit sourire d’excuse aux lèvres. Un petit clin d’œil à Erraa et elle se retourna vers Feuille non sans avoir remarqué un petit parchemin déposé par Max.. hmm un pense bête ?

Les témoins présents la cérémonie tant attendue qui allait l’unir à Len pouvait commencer. Un dernier regard derrière elle… Le cœur gonflé de bonheur d’être autant entourée elle entama le crédo au son des orgues

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Je croit en Len
Et je remercie le très haut encore et encore de m’avoir permise de croiser sa route


Amen!

_________________
Elendillefin
Enfin, il tenait sa main. Le monde pouvait bien s'écrouler, il ne la lâcherait pas tant que la cérémonie ne serait pas terminée et qu'ils ne seraient pas sortis mariés de l'édifice.

Une foule bigarrée et nombreuse avait empli la cathédrale qui était maintenant pleine à craquer.

Len, maintenant tourné vers le choeur avec Esqui, faisant face à Feuillle et Pelipa tentait discrètement de donner de rapides coups d'oeil pour savoir qui était présent. Il dut cependant s'interrompre, la cérémonie commençait et il fallait réciter le Credo.



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Je crois qu'Esquimote est un ange descendu du ciel dans le seul but de sauver mon âme.
Amen

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R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine
Sacha9843
Sacha récita le Credo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen
!
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