Petitemary03
[Plusieurs semaines avant son arrivée à Arles]
Mary, 24 ans, veuve, maman d’une petite Lélouna, voyage avec son ami Thomas.
Une façon pour Mary de quitter la Touraine, d’oublier sa tristesse et de reprendre un nouveau départ. C’est avec plaisir qu’elle accepta de suivre son compagnon de route jusqu'à Arles, lui qui voulait naviguer et elle qui voulait oublier.
Tout se passait bien pour les compères de routes, ils trouvèrent enfin le village prédit et s’y installèrent, vivant un peu à l’écart de tout elle décida de renouer avec sa passion : forger !
[Enfin le lieu idéal]
Elle avait mis toutes ses économies dans ce bien, une vieille bâtisse à vendre, à la sortie de la ville avait tout de suite plu à la blonde, bon c’est vrai qu’elle avait cru comprendre que beaucoup de forgerons habitaient ici mais bon elle ne savait pas faire autre chose que de travailler le fer, elle.
Et puis même si les habitants n’avaient pas besoin de ses services elle savait s’occuper à fabriquer un peu de tout.
Elle y travailla fort pendant deux semaines durant, tout remettre en état, nettoyer, y faire quelques modifications d’installation.
Tout était enfin prêt, un petit bouquet de fleurs posé sur le devant de la fenêtre et elle pouvait enfin penser à ouvrir son échoppe.
Un dernier petit coup de balai à l’intérieur, vue de dehors on pouvait penser à une maison habitée, Mary avait pris soin de décorer son échoppe de façon à ce qu’elle soit enharmonie avec elle mais l’intérieur avait bien tout l’attirail d’une vraie forge.
L’atelier du forgeur doit être un lieu sombre, car pour savoir qu’elle est la température atteinte par le métal lors de la chauffe, Mary se base sur les couleurs qui sont très diffusantes et ne peuvent être apprécié à leur juste teinte que dans la pénombre.
Elle avait aussi installé un bac à eau qui lui servira essentiellement à y plonger des pièces chaudes, soit pour les refroidir, soit pour les tremper. Il est souvent accompagné par un bac contenant un mélange d’eau et de matière grasse, afin de pouvoir faire des trempes plus contrôlées.
Tout son stock était parfaitement rangé, mis en valeurs sur des présentoirs à l’entrée de la forge pour attirer l’œil et puis comme ça si on venait lui demander une urgence elle avait de quoi dépanner les habitants d’Arles.
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Mary, 24 ans, veuve, maman d’une petite Lélouna, voyage avec son ami Thomas.
Une façon pour Mary de quitter la Touraine, d’oublier sa tristesse et de reprendre un nouveau départ. C’est avec plaisir qu’elle accepta de suivre son compagnon de route jusqu'à Arles, lui qui voulait naviguer et elle qui voulait oublier.
Tout se passait bien pour les compères de routes, ils trouvèrent enfin le village prédit et s’y installèrent, vivant un peu à l’écart de tout elle décida de renouer avec sa passion : forger !
[Enfin le lieu idéal]
Elle avait mis toutes ses économies dans ce bien, une vieille bâtisse à vendre, à la sortie de la ville avait tout de suite plu à la blonde, bon c’est vrai qu’elle avait cru comprendre que beaucoup de forgerons habitaient ici mais bon elle ne savait pas faire autre chose que de travailler le fer, elle.
Et puis même si les habitants n’avaient pas besoin de ses services elle savait s’occuper à fabriquer un peu de tout.
Elle y travailla fort pendant deux semaines durant, tout remettre en état, nettoyer, y faire quelques modifications d’installation.
Tout était enfin prêt, un petit bouquet de fleurs posé sur le devant de la fenêtre et elle pouvait enfin penser à ouvrir son échoppe.
Un dernier petit coup de balai à l’intérieur, vue de dehors on pouvait penser à une maison habitée, Mary avait pris soin de décorer son échoppe de façon à ce qu’elle soit enharmonie avec elle mais l’intérieur avait bien tout l’attirail d’une vraie forge.
L’atelier du forgeur doit être un lieu sombre, car pour savoir qu’elle est la température atteinte par le métal lors de la chauffe, Mary se base sur les couleurs qui sont très diffusantes et ne peuvent être apprécié à leur juste teinte que dans la pénombre.
Elle avait aussi installé un bac à eau qui lui servira essentiellement à y plonger des pièces chaudes, soit pour les refroidir, soit pour les tremper. Il est souvent accompagné par un bac contenant un mélange d’eau et de matière grasse, afin de pouvoir faire des trempes plus contrôlées.
Tout son stock était parfaitement rangé, mis en valeurs sur des présentoirs à l’entrée de la forge pour attirer l’œil et puis comme ça si on venait lui demander une urgence elle avait de quoi dépanner les habitants d’Arles.
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