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[RP][Voyage de la Cour]Banquet

Samarel
arrivant juste derrière son capitaine, samarel entra à son tour dans la salle richement ornée. le comité des festes du lyonnais dauphiné s'était attaché le service d'un engingeur italien qui faisait des merveilles en décoration et le faste dégoulinait littérallement des murs de la piece. il salua les gardes de l'entrée et échangea avec eux quelques mots compatissants devant leur mission : surveiller les hotes qui allaient se régaler alors qu'eux, soldats, veillaient, prets à mourir pour la sécurité des autres. il leur promit de leur faire apporter un peu plus tard quelques plats reservés à leur intention aux cuisines.

un page clama haut et fort son pédigree lorsqu'il franchit enfin complètement la porte d'entrée.


Samarel Kennedy, baron de bourdeaux et seigneur de la rochette, conseiller militaire du lyonnais dauphiné et ambassadeur en écosse.

il foudroya du regard le page. il n'aimait pas qu'on insiste sur tout ces titres et fonctions. il était et resterait toujours un soldat. pret à défendre. il vivait pour l'honneur et l'amitié de ses amis. néanmoins, le protocole était le protocole et il devait aussi s'y plier. il trouva donc sa place, entre les vicomtes et les doyens de la faculté, parmis les autres conseillers militaires. debout il regarda tranquillement qui était présent.
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Armoria
Armoria écouta la fillette déjà croisée de ci de là dans la semaine. Après le sourire approbateur du Roy, elle prit la parole :

"Prince, sachez que parchemin
Ni que dorure jamais donne
Autant de joie que le bon vin
Buvons, amis, le lait d’automne "

Damoiselle, ces vers pourraient être bourguignons... Mais il est vrai que les vignes du Lyonnais-Dauphiné s'alignent fièrement tout au long du Rhône. Votre oeuvre est fort douce à ouïr.

Un éclat blond dans la salle. N'était-ce pas le jeune Chlodwig, qui avait connu ses - sans doute - premiers émois en escortant les Godiva bourguignonnes ?
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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Chlodwig_von_frayner
Soudain, le silence se fit. Haussant un sourcil, Chlo se regarda autour de lui pour voir ce qui avait provoqué pareil miracle, car faire cesser de parler une telle assemblée, surtout constituée de personnes dont la plupart était toutes plus inintéressantes les unes que les autres. Et une voix peu assurée au début mais féminine et fort jeune s’éleva, commençant à déclamer quelques vers. Pas du tout au fait des animations prévues dans la soirée, il se demanda si c’était prévu ou non… A voir les réactions des gens autour qui ne s’offusquaient pas, il semblait que oui. Il s’appuya nonchalamment sur une chaise vide pour profiter pleinement de la chose. Il était plus habitué aux rires gras et aux chansons paillardes des tavernes et des soldats, mais l’éducation qu’il avait reçu lui avait permis d’apprécier tout de même ce genre de subtilité. Sans même se demander si il avait le droit de s’y installer, il prit rapidement place sur la chaise et croisa une jambe. Il n’avait bien sur pas le droit, c’était les places réservées aux anciens gouverneurs, mais tous étaient occupés à écouter le poème et ne souhaitaient visiblement pas le couper… personne ne lui fit de remarque.

Il passa alors tout le temps de la déclamation à l‘écouter, jetant de temps à autres des regards un peu déplacés à ses voisines des alentours, mais c‘était peu simple car il y avait beaucoup plus d‘hommes à cette table (celle des ducs) que de duchesses. Ah ça… ils devaient avoir peur de se la faire voler… Et quand elle conclut finalement, il se prit à regretter que ce ne fut pas plus long. La prestation, qui, il fallait le reconnaître avait été très bonne lui arracha un léger sourire rêveur… et sans laisser aux gens des alentours le temps de s’offusquer de sa présence non autorisée sur ce siège, il se leva et reprit sa route en direction de la table royale, et plus précisément du siège royal. Oui, de la même façon qu’on ne va pas à Disney Land sans faire Space Mountain, on ne pouvait que difficilement aller à un banquet royal sans saluer le roy, même si dans les deux cas ça donnait envie de vomir.

Bon le roy… oui il était là. C’est qu’elles étaient grandes ces tables… enfin il bifurqua et se dirigea vers sa destination. Il jeta un dernier regard en direction de la jeune fille de tout à l’heure, mais elle s’était retirée… Joli poème décidément pour une si petite fille, elle avait dut avoir une éducation poussée… Noblesse donc… De toutes façons, comment imaginer qu’un gueux eut put être admis à déclamer le moindre vers devant le roy ? A moins bien sur qu’il fut troubadour. Machinalement, il remit en place un des pan de sa cape, jetant à peine un regard aux courtisans assis de là, se battant pour avoir la meilleur place, ne désirant que servir le roy pour mieux satisfaire leur ambition. Ces gens là ne l’intéressaient pas, ils n’avaient aucune envergure, aucun sens à donner à la vie que la recherche du pouvoir et de la vie facile… Trop simple… et la simplicité n’allait pas au teint du Chlo. Jouer les hypocrites toute sa vie n’était pas sa tasse de thé.

Arrivé devant le couple roy/GMeuF, il ploya le genoux et s’inclina. C’était sans doute la partie la plus difficile, car le fils de la duchesse de l’Aigle et de Chiny avait pris pour habitude, d’une part, de ne jamais ployer le genoux devant une autre personne que sa suzeraine, et d’autre part, de n’incliner que la tête, et encore si peu, devant les ducs et les comtes, se considérant, par sa naissance, comme leur égal. Mais là… c’était au dessus de lui, il n’avait pas vraiment le choix. Mais la posture était nouvelle pour le nouveau baron. Il resta un instant comme ça, attendant il ne savait quoi, et il se dit que c’était peut être à lui de parler…


Hum… Votre Majesté, votre Altesse… je suis Chlodwig VonFrayner d’Azayes, baron de Château-rouge et seigneur de Belzaize, le fils aisné de Sa Grâce Enorig Von frayner d’Azayes, duchesse de l’Aigle, l’une de vos vassales Sire…

Il releva alors la tête et regarda tour à tour le roy et la princesse. Et là, son cœur menaça de faire une sorte de bond dans sa poitrine en voyant la robe qu’elle portait. Ah quelle robe mes aïeux ! Avait elle copié sur la nebouille ? Non ! C’était pire encore ! D’un bleu royal, les entrelacs fins d’or et de pierreries descendaient le long de la gorge jusqu’au bout du décolleté… bout qui semblait ne jamais arriver tant la chute était vertigineuse. Que croyez vous que fit le regard du jeun homme ? Eh bien il s’engagea immédiatement dans la voie qui semblait avoir été royalement (c’était un peu le cas de le dire) tracée pour eux. Ah quelle poésie dans ces lignes, ces courbes, ces coupures… On eut dit que la nature entière invitait tous les regards à converger vers le point de chute de toutes les lignes de la salle (comprenez le décolleté) ! On se serait crut dans un tableau… Cette robe lui semblait faite uniquement pour le plaisir de ses yeux, il vivait une sorte d’osmose avec elle, presque un syncrétisme !

Ah… finalement, n’étais ce pas pire que d’en dévoiler tant et cependant d’en cacher le plus beau ? En d’autres temps et d’autres lieux la réflexion eut été intéressante, mais comment se poser encore toutes ces questions lorsqu’on savait déjà ce qui se cachait dessous et qu’on ne demandait qu’à le revoir , Car tout y était ou presque, sinon la vision complète… Le galbe des seins, les courbes, les hanches… et surtout ce qu’il ne pouvait pas voir, le grain de beauté sur la fesse droite. Car oui, pour les avoir eu devant lui pendant de trèèèèès longues minutes, il pouvait en témoigner ! Une femme admirable réellement ! Et superbement conservée pour son âge (pensez donc elle allait être arrière grand-mère. Devait il lui faire savoir qu’il était très doué pour ôter des robes ? Il n’était pas certain que sa suggestion soit très bien prise.

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Chlodwig Von Frayner d'Azayes, baron de Chateau rouge et Seigneur de Belzaize (blason pas à jour)
Armoria
Elle salua aimablement le jeune homme, constatant avec un rien de dépit une sorte de divergence de son regard, fort plaisant au demeurant. Elle se pencha vers le Roy pour le situer, parlant de sa famille et de ce qu'elle savait de lui :

... Il a entre autres fait partie des 45, Majesté, et était dans l'escorte qui a protégé les Godiva de Bourgogne, et surtout leur nu...

Doux Christos, elle avait failli révéler au Roy qu'avec d'autres nobles bourguignonnes, elle avait traversé Dijon vêtue seulement de ses cheveux pour lutter contre une injustice ! Elle se reprit. Leur nu, leur nu-quoi ? Comment enchaîner, rodidjiu ?

... homérique trajet, veux-je dire.

Elle avait eu vent du fait que le jeune Chlodwig connaissait la fille de sa fille de coeur, cette damoiselle qui s'amusait à l'appeler grand-mère pour la faire enrager. Elle se demanda, amusée, s'il croyait ou non qu'elle avait réellement l'âge d'être la mère de Mormynette - dont elle n'était séparée par la naissance que de quelques mois.

Le Roy accueillit de quelques mots le jeune homme, l'invitant à se joindre à la tablée, après quoi elle put répondre :


Le bonjour à vous, vous me voyez ravie de vous retrouver après toutes les péripéties traversées ensemble - et surtout de constater que vous portez comme un charme.

Dieu merci, il semblait avoir renoncé à l'alcool.
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Phelim
Profitant que Nynaeve faisait une révérence pour saluer le roy, il prêta une oreille attentive à Anne blanche, qui déclamait sa ballade. Il avait rencontré la jeune fille à Vienne en taverne, alors qu'il sortait enfin de sa Lyon natale qu'il n'avait plus quitté depuis de longs mois, et du fait qu'il avait connu un petit peu sa famille, surtout sa tante mentaïg, quelques affinités s'étaient développées.

Il l'avait trouvée brillante et intelligente mais devant se rendre à Embrun dans les plus brefs délais, il n'avait pas eu le temps de faire mieux connaissance.

Une fois qu'elle eut terminé, il observa les gens présents, avec un contraste saisissant entre les dauphinois qui n'avaient jamais vu le roy et dont la joie s'affichait sur leur visage et ceux qui surement habitaient des provinces moins éloignaient de paris, vu leur signifiant dédain.

Mais déjà Nynaeve s'était relevée et écartée, lui laissant la place pour saluer le Roy et sa suite. Il s'inclina devant chacun d'eux et dit d'une voix grave et hésitante, puisque cherchant ses mots pour ne pas commettre d'impair ...


Je suis Phelim. C'est un honneur de vous rencontrer Altesse, vous ainsi que les gens vers lesquels vont votre confiance. Tout comme la connétable, j'espère aussi que vous garderez tous bons souvenirs de votre passage en Lyonnais-Dauphiné.
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Mariealice
Marie sourit et après avoir présenté la fillette à Sa Majesté et à Son Altesse, recula de deux pas pour la mettre en valeur tout en restant assez près d'elle pour qu'Anne puisse sentir sa présence.

Si le début s'avéra difficile, elle reprit petit à petit contenance au fur et à mesure qu'elle récitait ses vers.

Une fois le compliment d'Armoria fait, la Vicomtesse se rapprocha, posa sa main sur l'épaule de la dauphinoise et lui murmura.
Vous voyez que ce n'était pas si dur et que le Roy ne mange pas les enfants.

Un mouvement attira son attention et elle reconnut le jeune homme qui était invité à s'asseoir par Armoria. Elle l'avait vu il y avait peu aux joutes du Lavardin et le salua de la tête.

Venez Anne, nous allons nous restaurer et je vous veux en ma compagnie.

Elle prie la main de cette dernière et se dirigea à table pour rejoindre son époux.
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Djemilee
Entrant dans la grande salle de banquet au bras de son mari, la Duchesse de Louhans était radieuse. Son époux aussi semblait plus décontracté, loin des intrigues de Dijon. Certes elle savait qu'il recevait des lettres contenant certainement des messages qui lui attristait le regard mais Djemilée avait décidé de ne pas y préter plus attention que cela. Leur fille, la charmante petite Gabrielle, s'épanouissait dans cette foule de monde et de festivités et enfin, Djemilée pouvait profiter pleinement de la présence de son époux.

Leurs grâces Gaborn et Djemilée de Hennfield. Duc et Duchesse de Louhans, Baron et Baronne de Château-Chinon

Le couple s'avança vers Armoria et le Roy et après une révérence, la duchesse se redressa et adressa un sourire courtois au Gouverneur.

Votre Majesté, c'est un plaisir que d'assister à ce banquet. Princesse, vous supervisez ce voyage d'une main de maitre, je vous en suis reconnaissante et j'en profite pour vous demander une audience lorsque vous aurez quelques minutes à m'accorder. Gouverneur, je vous félicite! L'accueil dans votre contré est des plus chaleureuse. Je garderai un souvenir merveilleux de mon passage dans le dauphiné.

Djemilée ne s'étendit pas plus en salutations et courbettes. Elle fit un pas en arrière et laissa les suivants venir présenter leurs salutations au monarque et à sa cour. La duchesse, elle, resta non loin de là, observant les jeunes nobles venir se présenter. Elle était toujours à la recherche d'un époux pour sa fille, la Baronne de Ciel. Dans sa dernière lettre, celle-ci lui avait fait part du refus du Duc de Billy aussi Djemilée comptait-elle bien redoubler d'efficacité pour trouver un mari convenable à sa fille ainée...
Anne_blanche
Damoiselle, ces vers pourraient être bourguignons... Mais il est vrai que les vignes du Lyonnais-Dauphiné s'alignent fièrement tout au long du Rhône. Votre oeuvre est fort douce à ouïr.

La voix de la princesse rompit le silence, suscitant chez Anne un discret soupir de soulagement. Le roi souriait, la princesse semblait avoir apprécié sa ballade ; Anne, ravie, sourit avant de saluer, recula de trois pas, salua encore, comme on le lui avait appris. Où irait-elle ? Le jeune homme blond, tout de noir vêtu, passa près d'elle, pour aller se présenter au roi, aussitôt suivi du porte-parole, qu'elle avait déjà rencontré.
La fillette sentait de nouveau l'inquiétude la gagner quand une main se posa sur son épaule. Elle se rendit compte que Dame Marie-Alice était restée là tout le temps, discrète, mais prête à intervenir en cas de besoin.


Vous voyez que ce n'était pas si dur et que le Roy ne mange pas les enfants.

Sa présence tutélaire lui faisait chaud au coeur. Non, bien sûr, le roi n'avait pas donné l'ordre qu'on la mît en broche illico. Mais ça avait tout de même été très difficile ! Elle était reconnaissante à la vicomtesse, cependant, de lui avoir rappelé les devoirs du nom qu'elle portait, et de l'avoir aidée à franchir le pas.

Venez Anne, nous allons nous restaurer et je vous veux en ma compagnie.

Anne rosit de plaisir, et adressa à la dame son plus beau sourire. Sa main dans celle du Premier Secrétaire d'Etat, elle la suivit jusqu'à la place qu'on lui désigna.
Elle aurait pu se détendre, maintenant que le plus dur était passé, mais elle n'était que trop consciente de l'honneur qui lui était fait. Elle, fillette à peine sortie des jupes de sa gouvernante, prête à rire à toutes les bêtises de son ami Antoine dans les tavernes viennoises où elle se réfugiait dès qu'elle pouvait échapper au morne quotidien de l'hôtel de Culan, se retrouvait assise près d'un membre de la Curia Regis, non loin de Sa Majesté, du Grand Maître de France, du Gouverneur du Dauphiné,... Elle avait l'impression qu'on allait détailler sa mise, son maintien, qu'on se poserait des questions, que les railleries iraient bon train derrière les mains portées aux lèvres.
Une fillette entra, accompagnant ses deux parents, manifestement à l'aise. Anne se surprit à l'envier. Mais ça ne servait à rien. Elle aussi se sentirait à l'aise, un jour, parmi les plus grands. Elle saurait comment se comporter, comment faire fi des regards et des paroles blessantes.
Elle avait si hâte de grandir !
Samarel
alors que les convives se présentaient les uns après les autres devant sa majesté levan le troisième, samarel attendait tranquillement son tour. lorsque plus personne ne se présenta, il s'avança à son tour. arrivé au milieu du U, en face du roy, du grand maistre de france et du gouverneur, il salua et inclina la tête.

votre majesté, votre altesse, soyez les bienvenus en lyonnais dauphiné. nous sommes honorés de votre présence en notre capitale. que votre visite soit placée sous le signe de la joie et de la prospérité.

le baron salua à nouveau pour se retirer, et attrapa l'échansson au passage avant d'aller s'assoir. il lui parla à voix basse.

messire l'échansson. que notre roy ne manque surtout jamais de boisson. à l'occasion, peut etre pourriez vous lui faire gouter le fameux pastasam, et peut etre meme un bon whisky du clan kennedy. je sais qu'il y en a au chateau. pour etre tout à fait franc, j'aimerai voir si notre suzerain est capable de tenir l'alcool ou si il va finir rond comme un rond
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Lady_antlia
Samarel s'était présenté au Roy et à son Altesse , elle allait pouvoir le rejoindre .
Timide dans de telles occasions , la présence de son père adoptif lui procurait un peu de sérénité .
Elle s'approcha de lui un instant , lui sourit :


Bonsoir Samarel , je pense que tu viens de faire bonne impression .

Ayant entendu les dires de son père , elle sourit à sa gentille attention envers Sa Majesté .

Dis moi, sais tu quel jour nous sommes ? ...

Elle sourit puis regarda vers la table royale .
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Samarel
Citation:
Dis moi, sais tu quel jour nous sommes ? ...


bien sur fillotte. et nous y avons pensé. je suis sur que la princesse va apprécier la surprise. en ce moment meme les meilleurs cuisiniers de montélimar sont en train de s'affairer aux cuisines pour lui offrir un énorme gateau d'anniversaire... au nougat et au chocolat. j'ai cru comprendre qu'elle adorait celà. d'après ce que j'ai entendu tout à l'heure, il va avoir la taille d'une charette tellement ils ont vu grand. on ne va pas manquer.

veux tu venir avec moi en cuisine superviser les derniers préparatifs ?

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Lady_antlia
Elle sourit à son père et acquiesça .

Volontiers. D'ailleurs, dans se chateau je n'ai visité que les salles de travail et les caves .

Ses joues s'empourprèrent légèrement.

Enfin c'est ce que le porte parole à clamer partout à l'époque...

Elle le regarde et fronce le nez puis lui sourit.

Je te suis , montre moi le chemin, tu as l'air de connaître les lieux .
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Samarel
le vieux baron, qui avait enchainé plusieurs mandats de conseiller, connaissait en effet le chateau comme sa poche. les cuisines étaient le ciment d'un moral qui ne devait jamais faillir. et plus d'une fois, il avait réussi à faire passer un texte de loi discuté après un repas gargantuesque distribué sur son ordre dans une ambiance de quiete somnolence.

au bout d'un couloir, une énorme salle dont plusieurs cheminées ornaient les murs offrait le spectacle d'une armée qui regorgeait d'une foule de queux, hasteurs, paiges, souffleurs, sauciers, enfants, sommiers, poulliers, tous gens ayant une besogne définie et réglée par « le chef des broches », seigneur souverain dans les cuisines. à son arrivée, maistre jehan de saulieu vint saluer cordialement le conseiller et le capitaine


capitaine lady ! quel plaisir de vous voir. rien de grave j'espère ? le repas se déroule bien ? le roy est satisfait ? ho ! nous avons dépensé tout notre savoir et notre énergie pour nous surpasser.

rassurez maistre jehan. pour l'instant tout est parfait. nous venons juste voir ou en est le gateau surprise préparé en l'honneur de l'anniversaire du grand maistre de france. son altesse a un péché mignon. la gourmandise. en particulier le nougat. nous avions commandé, l'ensemble du conseil municipal de montélimar, une pièce exceptionnelle. qu'en est il ?

ha ! messire samarel, rassurez vous. le gateau est pret ! mais il était si monumental qu'il ne passait pas par les couloirs. nous avons du le faire passer par dehors et il est en train d'etre amené à l'entrée de la grande salle de réception en toute discretion. vous pouvez compter sur moi. mon honneur de chef des cuisines est en jeu.

bien ! tout celà est fort bien !


samarel regarda lady en souriant. ce qui lui permit de voir l'échansson revenir en cuisine avec un hanap dans chaque main.

messire échansson. n'oubliez pas ce que je vous ai dit. le roy a encore le teint bien frais. n'hésitez surtout pas à forcer la dose.
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Lady_antlia
Avec de grands yeux elle regardait cette salle ou s'affairait tellement de personnes ... une bonne ambiance y régnait .

Elle écouta sagement, hochant de la tête quand il fallait . La jeune femme ne perdait pas une miette de ce qu'il se passait la .

En entendant que le gâteau attendait déjà dehors elle regarda son père d'un regard interrogatif .

Peut etre alors nous faudrait il nous rendre dans la salle a présent ...
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Ulan
Ulan, vêtue d'une longue robe bleue, assorti à ses yeux et coiffée d'un chapeau arriva devant la salle de banquet. Elle déclina son identité auprès du garde et celui-ci se mit à hurler à côté d'elle, au point de lui décoller les tympans.

Ulan d'Aubenasson, Baronne de Montfort, Rectrice du Lyonnais-Dauphiné et Maire de Montélimar.

L'annonce du garde avait été si forte qu'elle se massa les oreilles et lui jeta un regard noir. Puis, elle réajusta son chapeau et entra dans la salle. D'un tempérament plutôt discrêt et timide, Ulan sentit des rougeurs s'afficher sur les joues en découvrant tout ce monde.
Afin de se rafraichir, elle alla directement prendre un verre et le bu cul sec. De suite, elle sentit les rougeurs diminuées.
Elle se tourna vers la salle et salua les gens qu'elle connaissait.

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