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[RP]Quand le Diable essaie de devenir un Ange, cela donne...

Della
C'est qu'elle en perdrait son dentier si ce n'était toujours ses dents qui garnissaient sa bouche, la Della, en entendant la jeune fille revendiquer haut et fort toutes ces horribles choses dont elle s'est rendue coupable !

Ma pauvre enfant...Laisse-t-elle échapper en secouant doucement la tête...Voyons, ne vous vantez pas de tout ceci ! Pas au Louvre, quoi, que diable, un peu de tenue ! On n'est pas dans un bouge de province ici !

Mais de quel cousin parlez-vous ? C'est qu'en fait, il y a tellement de gamins dans cette famille qu'il est bien délicat de pouvoir tomber sur le bon numéro sans se tromper. Il ne faut pas qu'il revienne vous ennuyer, j'y veillerai.
Oui, parce que question alcôve et compagnie, la Baronne, elle n'aime pas qu'on en parle, pas du tout même. A chaque fois, elle pique un fard.

Tiens, l'on frappait.

Il y a quelqu'un qui doit venir vous visiter, damoi...Elma ?
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Meleagre
[Mes excuses pour le retard ! Les fêtes et tout et tout...]

Et suite à ses questions, un flot de paroles le submergea.
Le jeune Normand écoutait avec attention, enfin autant qu'il le pouvait, notant mentalement tous les points importants. Et non, ne vous méprenez pas, l'histoire des plaisirs masculins ne rentraient pas dans cette catégorie, bande de vicieux.

Il s'apprêta à prendre la parole lorsque Della, il venait enfin de coller un nom sur ce visage, enchaîna. Et ça tombait bien, il avait eu les mêmes pensées qu'elle. Il se promis de remercier la Baronne de lui éviter une perte de salive inutile.


Hum... Raclement de gorge pour rappeler sa présence à cette petite assemblée.
Savoir que vous êtes en capacité de compter m'intéresse plus fortement que le reste Damoiselle... Oui bé il avait du mal à l'appeler par son prénom, mais ça viendra rassurez-vous, un jour ça viendra.
L'on m'a dit que je me devais de vous apprendre l'art des mots, si je ne me trompe pas bien évidemment.

Il soutint le regard de la jeune femme, hésitant à poser la question suivante... Oh et puis qu'avait-il à perdre ?
Mais... Quelqu'un s'occupe de...de votre...éducation ?
Un regard vers le Premier Maître semblant vouloir dire : "Si elle me dit non, vous voulez pas vous en charger ? Siouplé siouplé siouplé ??"

A votre âge vous vous devez de laisser de côté vos anciennes...pratiques. Sans cela vous n'arriverez pas à grand chose dans ce monde qui est maintenant le vôtre. Sec le Normand ? Meuh non, du tout. Mais c'est pas tous les jours qu'on se retrouve précepteur d'une fille de Roy, bâtarde ou pas, alors autant essayer l'autorité, même si, vu le spécimen, il doutait du résultat.

J'en conclue que la lecture n'est pas votre fort, tout comme l'écriture.
Mais vous savez discourir
, dit-il avec un sourire, alors ça ne devrait pas être trop difficile. Utopique ? Ne dites rien, laissez le à son espoir.

Quelques coups furent frappés à la porte du salon, amenant les quatre protagonistes à jeter un oeil à la porte.

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Coline...
Que dire que faire dans c’est moment-là ? Hurler ? Tapé ?
Non avec la jolie rousse tous cela ne marchait pas et ça elle l’avait compris depuis un moment alors elle restait muette les laissant découvrir le carnage.
Au moment où Elma prononça le mot cousin la blondinette ce mit à réagir en souriant et ce tenant la plus droite possible devant la baronne.

- Hum je ne voulais pas interrompre mademoiselle mais je me présente Coline d’Armantia nièce de sa Majesté. Elma exagère un peu mon frère enfin son cousin n’a rien fait enfin ils ont tous les deux fautées n’est-ce pas ?
Et cela ne se reproduira pas et surtout ne sortira pas de ses murs. Enfin je pense qu’Elma est un peu chamboulée pars ce changement mais nous allons l’aidée.


Elle était intervenus parce que bon c’était comme même son frère jumeaux elle ne voulait pas qu’on le traine dans la boue juste parce qu’il agissait comme un homme… pas avec son cerveau donc…
Elle resta un peu gênée souriant à demi à la baronne puis au précepteur enfin s’il ne s’en allait pas en courant dans les prochaines minutes…
Coline risqua un regard vers sa cousine en espérant que celle-ci comprenne que si elle voulait changer elle allait devoir faire des efforts à partir de maintenant. Tien voilà qu’on frappe ?
C’est d’un sursaut qu’elle se dirigeât vers la porte, elle répondit à la place d’elma.

- Non et bien je ne crois pas enfin ou sont les valets ?

Elle ouvra donc en grand la porte ce trouvant nez à nez avec une dame ? Ou peut-être un homme ?

- Oui que puis-je pour vous ?


(Désoler un souci de connexion plus les fêtes mais me revoilà ! LJD Elma à aussi un petit souci de connexion.)
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Nouveau Départ.
Anaon
Enfin la porte s’ouvre sur… une femme trop bien mise pour n’être qu’une domestique. Les iris d’un bleus sombre parcourent furtivement la Dame qui lui fait face, incapable - bien entendu - de pouvoir lui caser un nom ou même un statut. Dans le soin de vouloir éviter tout impair, et dans le doute, la mercenaire incline le buste poliment en guise de salut et bien que son accoutrement soit exempt de robe et fanfreluche, c’est bien la voix d’une femme qui percent les lèvres tailladées. Placide mais respectueuse.

_ Le bon jour… L’on m’a fait mandé auprès de la damoiselle… Elmazilla d’Armantia pour une affaire d’éducation dont on ne m’a décrit tout les tenants et aboutissements.

Un regard furtif se glisse par-dessus l’épaule de la femme pour discerner quelque personne qui discutent dans un salon cossu mais l’attention retourne bien vite sur le visage auréolée de blond.

_ Mon nom est Anaon, Dame. Peut être reconnaitriez-vous ceci?

La missive sur laquelle figure la demande lui est tendue. Tandis que la blonde prend connaissance du plis, le visage spartiate se relève sur la petite assemblée. Et il ne faut pas être savant pour comprendre qui sera sa protégée à venir.. Ou son martyr. La nuance peut être minime… cela dépendra de la supplicier.

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Images originales: Victoria Francès, Concept Art Diablo III ----[Clik]
Elmazilla
Avant qu'elle puisse répondre aux déclarations des deux personnes qui lui font face, sa cousine Coline reprend les choses en main. Visiblement la blonde essaie tant bien que mal de maîtriser la tornade rousse qui lui sert de parente, et aussi de préserver l'honneur de son frère jumeau, honneur déjà fort bien amoché sans même l'intervention de la voleuse.

Faisant la moue, mais par amour pour sa si sage cousine, Elmazilla garde le silence, enfournant dans sa bouche une autre viennoiserie. Oui, elle a mangé pour quatre, mais il faut bien compensé les autres qui ne mangent pas et surtout accumuler de l’énergie pour cette nuit. Car la nuit appartient à un autre monde, et rien n'y personne ne pourra l’empêcher d'en faire à sa tête.

Coline se dirigeant vers la porte, et la peste rousse sort de ses pensées pour intéresser de nouveau à ce qui se passe autour d'elle. Il faut dire que les reproches et la perspective de rester assise derrière une table de travail des heures durant ne l'emballent guère. La porte s'ouvre et une vois de femme s'élève. Tiens, quelqu'un d'autre. Elmazilla se fait curieuse, intriguée par cette nouvelle entrée.

Sauf que sa curiosité se transforme rapidement en inquiétude en voyant le Dragon, sa gouvernante tirée à quatre épingles, pousser un soupire de soulagement en reconnaissant la personne qui se trouve derrière la porte et qu'Elmazilla ne peut pas encore voir. D'ailleurs, le mauvais pressentiment se confirme quand un large sourire, oui cela fait froid dans le dos de voir la vieille sourire, s'affiche sur le visage sévère.


Ahh vous voilà Dame Anaon. J'ai désespérée de vous voir arriver. Vous m'avez été chaudement recommandée, on m'a assuré que vous saviez vous y prendre avec les cas désespérée. Je dois bien avouer que je suis trop âgée pour courir après ce petit diable dans les couloirs... Sans parler de la nuit où elle se glisse en douce dehors pour aller traîner je ne sais où....

Une grimace s'affiche sur le visage d'ange. Arg... Elle qui pensait avoir été suffisamment maligne pour pas se faire griller...

Et oui Mademoiselle ! Je ne suis pas née de la dernière pluie...

Dame Anaon, vous pouvez prendre vos fonctions dès à présent, je vous guiderai les premiers jours puis vous aurez quartiers libre pour mater cette peste.... Heu... La fille de Son Altesse....


Voila qui ait dis... En douce, alors que le Dragon s'entretient avec son nouveau geôlier, Elmazilla fait le plein de douceurs, qu'elle enveloppe dans une serviette, avant de prendre la tangente, certes peu subtilement mais avec rapidité, il faut bien le lui reconnaitre. Quand on est petit et qu'on grandie dans la rue, on apprend à courir vite.

C'est donc une tornade de boucles de feu qui s'engouffre par la porte de service réservée aux serviteurs, jaillissant comme une bombe dans le couloir. Il s'agit de fuir vite et loin de cette femme. Gênée par ses jupons auxquels elle n'est pas habituée, elle finit par trébucher, et maladroite, percute de plein fouet une jeune femme blonde à l'angle d'un couloir.

BOUM !

Un peu sonnée, les viennoiseries étalées par terre, Elmazilla pose une main sur sa tête douloureuse, pestant après la personne qu'elle a renversé.


Vous pouvez pas faire gaffe ? Elles vont m'attraper maintenant !
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Blanche30
Elle ressortait de sa chambre, portant un paquet de livres.

Et PAF Blanche par terre. Et PAF ses bouquins par terre. Et PAF ses cheveux dans tous les sens. A travers le brouillard blond, la jeune femme crut distinguer une forme humaine. Ecartant sa chevelure, elle se fit houspiller par la tornade humaine qui lui était rentrée dedans.
Quoi ? Attraper ? On n'est pas capitaine pendant des mois pour rien. Ni une, ni deux, la blonde attrapa la jeune fille par le bras et la tira dans sa chambre, enfin son ex chambre, et verrouilla la porte. Protection, puis éclaircissement, telle était sa devine. Enfin non, sa devise était plutôt Alba Est Imperare Orbi Universo . Entendez par là, il est donné à Blanche de commander au monde entier. Certes, Skal aurait quelques réserves à émettre, mais on peut rêver, n'est ce pas ?

Oui, ne râlez pas, j'en reviens à l'instant présent. Blanche observa un instant la jeune fille.


- Bon ici, ils ne vous trouveront pas. Je suis la capitaine des "maudites" Flandres, personne ne risque de venir me rendre visite, ajouta t elle avec un brin d'humour, se référant aux précédents événements.

Blaaaanche !!!!
Quoi ?
Et te renseigner sur l'identité des gens ça t'arrive ? Si ça se trouve c'est une voleuse !
Oups j'avais zoublié.


- Et qui êtes vous ? Pourquoi est ce qu'on vous cherche ?

Comme une impression de déjà vu... Blanche ne comptait plus le nombre de fois où elle posait ce genre de questions. Elle devrait penser à innover. Du genre "c'est quoi votre p'tit nom ?" ou encore "mmh si vous me dites votre nom jvous donne un bonbon". Non seulement ça pourrait rimer mais ce serait moins lassant.

- Ah, et euh...pour vos viennoiseries désolée. Mais si vous courrez dans les couloirs vous risquez d'avoir souvent ce genre de désagréments.

Oh une autre impression de déjà vu ! Han sa mère ! ça y est, Blanche devenait comme sa mère. Sa vie était fichue. Vous auriez pas une corde siouplaît ?

- Au pire on ira en rechercher.

Ah voilà, ça ressemblait davantage à la blonde ce genre de choses.
Blanche s'arrêta enfin de parler. Pourvu que la jeune fille ne se soit pas sentie noyée sous ce flot ! Sinon... Bah sinon tant pis. Et puis regardez bien, au final, il n'y a que deux questions qui lui sont adressées ! Ben oui, si personne suit aussi...

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Anaon
    La missive passe d’une main à l’autre et la mercenaire se rend alors compte d’un léger impaire. Ses azurites se pose sur ses doigts couvert de cuir. Discrètement, elle retire sa paire de gant. On ne salue pas quelqu’un ganté et chapeauté. Si elle commence à faire des écueils à l’étiquette alors qu’elle doit éduquer une jeune donzelle… Les mains viennent se joindre dans son dos avec humilité et l’Anaon attend l’expertise de sa voisine. Mais c’était sans compter sur l’éclat de voix qui lui fait redresser la tête.

    Les prunelles féminine se posent sur la vieille dame qui semble être… son commanditaire. Cas désespéré? Un regard se pose sur la jeune fille au boucle de feu assise non loin d’elle. Ah… et apparemment sa courre cette chose là. Pas grave, il se trouve que l’Anaon a deux jambes pour courir aussi. Certes, l’une d’elle se fait parfois boiteuse quand la fatigue se fait sentir, mais elle peut encore cavaler la balafrée. La vieille dame lui parle alors de ses fonctions…

    _ Justement, Dame, je…

    … j’aurais voulu avoir quelque détail à ce sujet. Sauf que la phrase n’a pas le temps de sortir. C’est une tempête rousse qui s’engouffre par une porte du fond et coupe la clique à tout le monde.



    L’index de la balafrée se lève presque timidement.

    _ Euh…. J’en conclu que lorsque vous disiez maintenant… c’était pour maintenant, comme… maintenant, quoi.

    Pas de réponse, mais le regard désemparé de la gouvernante veut tout lui dire. Il n’en faut pas plus pour la mercenaire. Début du sprint. En quelques enjambées la balafrée rejoint les fauteuils sur lesquelles elle jette - plus qu’elle ne pose - manteau et gants, puis à reculons, en courant, elle incline prestement du buste pour saluer l’homme et la blonde présente. Une femme peut faire deux chose à la fois. Anaon en fait trois. Et la porte est poussée à la volée.

    Là, dans la tête y’a un problème qui se pose. Elle ne connait pas le Louvre. Plutôt con quand on doit rattraper quelqu’un. Déboulant elle ne sait pas trop où, ses pieds s’arrêtent devant un tas de viennoiserie mêlées de livre. Un regard suspicieux est lancé d’un bout à l’autre du couloir et sur les portes qui jalonnent les murs. Silence. Aucun échos de pas de course qui émane de plus loin. Dans quel sens elle est s’est barré? Dans quelle pièce elle s’est fourré?! Si la vieille gouvernante pouvait arriver là maintenant sur ses talons çà l’arrangerai grandement la mercenaire.

    Les yeux bleus se plissent. Il faut se rendre à l’évidence, elle ne la rattrapera pas dans ses dédales inconnus. Elle peut partir à l’aveuglette à travers le Louvre en espérant tombé dessus. Ou bien tenter une ruse, aussi stupide qu’elle puisse paraitre. L’Anaon reprend sa couse, bruyante, jusqu’à l’angle du couloir. Avec un peu de chance, si elle se planque dans une des pièces, elle la croira partit plus loin. Ca la fera peut être sortir de son trou. Malgré tout, la femme ne manque pas de continuer un peu plus loin, des fois qu’elle se serait barré dans cette direction là. Puis elle revient en silence sur ses pas et passe une tête furibonde dans le couloir aux viennoiseries. Elle est là, elle est pas là?

    Sacré journée qui s’annonce. M’enfin aujourd’hui elle a des circonstance atténuante. On viendra pas lui reprocher son manque de compétence.

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