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[RP] Pon' pon' pon' pon' ...

Brieucdeguerande
"...le cul d'un réformé dites vous? Diable, cela explique que je croyait avoir affaire a Chevesche lui même..."

Brieuc était déçu... mais les recherches allaient continuer...
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L'OdL recrute
http://ordre-des-lames.fr-bb.com/forum.htm
1legolas


Il faisait nuit, le ciel était éclairé par les nombreuse flèche enflammé, qui ne cessait de faire des aller retours dans le ciel. De temps a autres on entendait des cris, cela voulait dire qu'une des flèche avait toucher sa cible, mais jamais cela ne donner la victoire...

Legolas était toujours planquer dans son trou, attendant le bon moment, un signe, ou quelque chose lui permettant de réagir. Il surveiller toujours la mairie, très bien garder et pour le moment imprenable.
De nombreuse attaque ont été mener ces derniers jours, mais aucune ne s'est avéré victorieuse.

Les Comtois enchainer alors défaite sur défaite, le moral était au plus bas, les homme fatiguer contrairement aux bandits qui n'était pas dehors, mais a l'intérieur bien loger et bien nourris. Legolas avait bien réussit a piquer une bouteille de vin, qu'il avait partager avec son frère, mais la fin le prenait de plus en plus.

''PFIOUUUUUU POUMM CRAKKKKKkk''

Enfin, le moment était venue, un des bouler venait de causer une brèche dans la mairie, le moment tant attendus était enfin arriver.
L'homme sortis de son trou arme en main, bouteille dans l'autre qu'il but alors d'un trait, le pas rapide, toujours de plus en plus rapide, jusqu'à arriver tout près de cette brèche.

Il se retourna alors vers ses camarades, et sous un crie de fureur, l'épée levée vers le ciel,leurs demanda de se révolter de toute leurs forces.

''CAMARADE AVEC MOIIII, POUR PONTARLIERRRRR''


Soudain, plus un bruit la concentration ultime, Legolas se mit en marche a l'intérieur des murs, croisant a de nombreuse reprises le fer, un coup a droite, a coup a gauche, le sang gicler de tout part que se soit amie ou ennemie peu importe.

Il regarda alors des yeux si il pouvais voire ce traitre ou encore les hommes qui l'avait prit pour un faible, il chercher aussi une personne du nom de Chevesche, qui lui avait déjà causer du tort a l'église, mais aucun n'était la, surement cacher quelque part n'ayant pas prévue que la mairie tomberait un jours ou l'autre.

Les combats dureront toute la nuit, ils furent rude et interminable, mais à l'aube, les brigands avait faite sonner la retraite et Pontarlier n'était plus une république. Cependant, une partie de la ville était détruite, mais allait être reconstruit rapidement.

Les bandits aller surement chercher a se venger, a reprendre la ville encore une fois, les soldat aller donc devoir se barricader, inversant alors les rôles.

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vivre pour son pays et mourir pour le défendre



combattre avec courage,
et mourir avec honneur,
tel est ma loi.
Doko
Enfin un des bastions du Lion de Juda était tombé et pas des moindres car c'était la mairie.
Le nombre d'assaillants était plus important cette nuit là et avait réussi à submerger les défenseurs.
Les combats furent brefs mais le bâtiment avait souffert surtout à cause de l'utilisation de la poudre noir.
Rentrant dans la mairie saccagé Doko aida les nouveaux défenseurs à remettre en état les défenses et les barricades qui protégeaient le bâtiment.
Car c'était bien beau d'avoir bouté les brigands de la marie mais ils étaient encore nombreux en ville et il allaient sûrement effectuer une contre attaque à la faveur de la nuit.
Toujours équipé de sa solide brigandine, Doko attendait patiemment avec d'autres Comtois l'attaque du Lion.
Il se demanda quand même si ils n'avaient pas déjà prit la poudre d'escampette pour retourner en Helvétie?
Peu probable se dit il car ces personnes n'étaient pas des brigands de seconde zone et il allaient sûrement tout tenter pour reprendre la maire

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Bestia sumus, ut non bestia simus (Nous sommes des bêtes, de peur de devenir des bêtes)
Ramon
Nuit du 24 au 25

La troisième, pensa Ramon, avançant parmi les assaillants. La fatigue se faisait maintenant sentir, après les échecs. Ne point faiblir et faire face au doute était bien la préoccupation première de Ramon, lorsqu'il vit les barricades céder enfin, laissant le passage aux insurgé.
Alors que, déjà sur le sol débris de bois, de verre et d'autres matériaux amoncelés, il sembla l'espace d'un instant voir la Vicomtesse de Thonon, il s'arrêta un instant, puis emporté par le mouvement, gravit le premier étage de la mairie.
Le ritter de l'ordre teutonique n'avait pu pour le moment se servir de son épée, ne trouvant point d'adversaires dans ce désordre.
Dieu est juste et reconnait les siens pensa t'il,
Le ritter devait bien admettre qu'il avait douté.
Laissant là, ces pensés et rêveries , il s'élança dans un salle, dont la porte venait de céder, au crie de l'ordre.

-DEUS MANUM DUCIT
Greenwarrior
C'est en relevant le nez que Green apperçut que la maisonnée dans laquelle se trouvait princess et Pegasine était en flammes.
Il agrippa une nouvelle fois l'infirmier par l'épaule et lui montra le batiment.


Il faut aller les chercher, elles sont enceintes et se battent quand même pour la liberté des pontissaliens. On ne peut pas les laisser mourrir ainsi, allons-y.

Les autres couvrez-nous.


Pendant que les archers et arbaletriers se mirent à tirer sans relaches leurs flêches, ils partirent au rez de chaussée de la mansarde. Jusque là tout allait bien mais, lorsqu'ils arrivèrent à l'étage, la donne n'était pas la même. Comment passer sans se cramer la peau? C'est là que lui vint une idée.
Il portait son armure légère, l'acier protègerait ses vêtements un peu plus longtemps que l'infirmier qui n'avait que du tissu sur lui. Alors il ôta sa tunique et passa son foulard rouge sur le nez, fixant ensuite son arbalette sur le dos.


Vous m'attendez, je vous ammène la première et je retournerai chercher la seconde, ensuite on leur laisse le temps de respire à l'abri mais surtout à l'air libre.

Les poutres brulaient et se disloquaient. Il était avachi au sol afin de récupérer le maximum d'air non vicié. Arrivé à hauteur de Princessdeneuch, il vérifia son état et la prit sous le bras. Lui faisant signe d'éviter les pièges provoqués par les flammes causées par ceux d'en face. Il la confia et refit le chemin inverse pour Pegasine. Mais... au moment d'arriver devant l'escalier, il fit un grand pas en arrière, une nouvelle poutre venait de lacher devant eux.
Ils la contournèrent et prirent l'escalier.

Il récupéra sa tunique déchirée au passage et ils eurent à peine le temps d'en réchaper que la maison s'écroula complètement.


Et beh Lieutenant, j'ai failli perdre mon porte-bonheur.

Il l'ammena dans une ruelle à l'arrière où les attendaient l'infirmier et princess.

Il confia les deux personnes au responsable médical et retourna vers ses hommes. Là, la rage l'envahit. Le destructeur d'en face le payerait cher pour avoir failli tuer deux femmes enceintes et ses destructions massives du village. Comment oserait-il encore se sentir pontissalien après toutes les horreurs qu'il avait commis dans le village? Et les autres là, les profieteurs sans foi ni loi qui avait réussi à obtenir une ville en sous main par un traitre. Oh ils pouvaient clamer avoir l'appui du peuple. En attendant, ce peuple n'était même pas au ccourant des volontés d'Arcas lors de son élection. Il les avait tous dupés. Point barre.

Il sentait la rage monter en lui, toutes ces heures passées et perdues, du lever jusqu'au coucher et c'est à ce moment là, encore plus fatigué que la veille qu'il donna l'assaut final. Celui qui reprendrait ou non la mairie et l'Eglise avec.


Quel futur pourri doit nous attendre?!?

Sonnez l'alarme citoyens
Quelle que soit la façon
Réveillons la nation
Que cet air de bavure nous serve de leçon !!!


Alors dans un mouvement de bras, signalant l'attaque, il partit le premier à l'assaut des barricades, la rage dessinant son visage. C'était le moment de vérité, libérer Pontarlier ou perrir. Un tir de carreau dans la tête d'un type qui était dans leurs premières lignes et des coups d'épées à la volées, parsemées de rales venant du fond de la gorge par la colère et la tension accumulée. Le voilà, ce guerrier que tous connaissait. Celui qui sortait la peine de son âme en la faisant traverser par sa lame. Celui qui dans ces moments là, où la tension est intense pour le remarquer, avait les larmes aux yeux tout en combattant.
Voilà donc toutes ces angoisses recrachées comme on vomit 10 bouteilles d'absynthes bues trop vite. Il apperçut alors un républicain qui avait tué deux vieilles dames quelques jours auparavant. Il lui sauta dessus, tenant son épée fermement en position du faucon, avec les deux mains, lames droite au dessus de la tête et l'abatta sur le crâne du barbare, lui rendant juste la monnaie de sa pièce.
Coup pour coup, voilà sa manière de combattre, tu attaques, je défends, tu tue les faibles, je te tue ensuite. Telle était sa façon d'être. Qu'un sentiment de colère entouré de larmes.

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Dodo45
Lors de l'assaut, Dodo avait fait tout son possible pour rester aux côtés de ses camarades Lames.. En vain.. Une épaisse fumée envahissait la place, couvrant avec peine l'odeur du sang, de la mort..
La jeune femme, vêtue d'une légère cotte de maille se figea, réalisant soudainement qu'ils avaient triomphé.
Son regard vide erra longtemps, détaillant les ruines, les hommes, les femmes qui gisaient à terre.
Ses mains relâchèrent légèrement la prise de son épée, elle ne sentait plus ses doigts, la peur, la violence des combats.. L'Ecuyère s'était accrochée à son épée comme à sa propre vie.

Peut être la joie de la victoire viendrait elle après, pour le moment, la pontissalienne avait le visage tendu, l'air désemparé.
Malgré quelques blessures, Dodo allait bien, celles ci saignaient plus qu'elles n'étaient dangereuses.
Son bras porteur du bouclier, qui d'ailleurs avait du être égaré, était mis à nu, un agile coup d'épée avait lacéré sa cotte de maille, entamant ainsi légèrement sa peau.

La Lame déambulaient dans les ruines, un sourire éclaira son visage jusqu'à là dénué d'expression quand elle entendit Brieuc et Aslan discuter.
Dodo s'avanca prudemment des deux hommes tout en s'annonçant, ce n'était pas le moment de se faire blesser bêtement...


- Commandeur, Maitre d'Armes, heureuse de vous retrouver..
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Kenny78
[Campement des Chevaliers Francs - Veillée d'armes]

Suivant les conseils du Grand Maistre, le jeune homme se restaura et dormit un peu. Le moment venu, il se leva et alla rejoindre ses frères et soeurs pour prier. Il écouta attentivement le Grand Maistre, puis levant son épée courte vers le ciel, il adressa sa prière au Très-Haut.

Dieu éternel, accorde la force à Tes enfants de vaincre cette nuit. Permets leur de rester vaillants tout au long de cette bataille afin de vaincre ceux qui ont tourné le dos à notre Père à tous.

Puis il adressa une courte prière un peu plus personnelle. Il pensait toujours à son premier amour assassinée non loin de Pontarlier. Il l'avait enterrée lui-même, mais la douleur était toujours présente. Il murmura sa prière afin de masquer sa douleur comme il le faisait à chaque instant.

Allita, ma tendre et douce, j'espère que tu me vois de là-haut. Cette lame porte ton nom et ne faillira pas. Et si mon destin est de mourir cette nuit, alors je te rejoindrai enfin. J'espère juste que tu seras fière de moi.

Il rengaina sa lame, et son regard se fit plus dur. Il était prêt. Ce soir, le Faucon partait en chasse et reviendrait avec sa proie.
--Simeon_violette
Simeon avait escorté sa maitresse pendant des jours, restant silencieux à ses côtés, veillant à son sommeil, qui était parfois bien trop agité par les bruits des combats... Ils vivaient clandestinement, ne sortant que le soir pour aller prendre position dans les salles de la mairie et repousser les assaillants.

Cette nuit là, rien de se passa comme prévu. Les renforts comtois étaient si nombreux qu'ils ne purent contenir leur attaque. Tout avait explosé, et il avait pris la Vicomtesse dans ses bras pour la protéger des débrits qui volaient ça et là.

Cris, hurlements, maximes étaient lançées au hasard des ouvertures. Il empoigna le bras de sa maitresse pour l'emmener au premier, ils auraient du moins pu être protégés ne serait-ce que quelques minutes le temps d'échaffauder un plan.
Mais rien à faire, les bougres étaient entrés en trombe juste après leur fuite, seule solution... sauter... Le page la tira vers lui, et ils sautèrent... pour le meilleur et pour le pire.
Il était tombé le premier, une vive douleur au dos... Elle était aussi tombée dans la paille et ils se relevèrent ensemble pour prendre la fuite. Elle sembla vaciller, posa la main sur ses cheveux pour la ramener vers elle ensanglantée, et il la rattrapa alors qu'elle perdait conscience.

Les ruelles étaient sombres et discrètes, il allait de porte cochère en porte cochère... Au détour d'une rue il lui sembla croiser une silhouette familière, mais ou l'avait-il déjà vue? Bon sang mais c'est bien sur!! La dame de passage à Annecy...


Dame Luc.. Lucretia? Est-ce vous?
Princessedeneuch


Les forces qu'elle avait eue jusque là pour appeler du secours, la quittèrent
petits a petits, et Princess sombra dans une demis conscience..
toutes ces pensées
étaient pour Legolas et elle essayait a tout prix d'entrer en contacte par ce biais...
( ses pensées...
Mon doux amour toi qui est si cher a mon coeur, pardonne moi de te faire souffrir,
si je meure, pardonne moi de toutes les choses que nous avons endurés toi et moi,
que je prend a mon compte, nos dieux saurons me donner le châtiment que je mérite,
quand je passerai de l'autre côté..
le grand bateau blanc m'attend, mais je résiste a le prendre, je souhaite tellement
que vous me pardonniez, pour que je parte l'esprit libre...)


soudains des mains l'agrippèrent et la soulevèrent.
un brouhaha dans sa tête et les cris d'hommes,
de l'aire, de l'eau, le froid, tout cela se mêler aux odeurs de sang et de mort..
je suis en enfers, mon dieu en aura décidé ainsi se dit elle..

allez y doucement enterndit-elle a ces côtés, les femmes engrossées ne devrait pas
aller se battre, après si elle perdent leur rejetons, ce sera notre fautes, alors allez-y
documents, la blonde là mettez lui une compresse de feuille d'achillée et denouvler le
pansement 2 fois, ces paupilles sont bonnes et l'oeil est clair, elle est sortie d'affaire, mais
demandez lui si elle a pas mal ailleurs quand elle se sera réveillée..

quand a l'autre son cas est sérieux, et elle doit aller autre part, je vais voire si le capitaine
sait ou elle habite, faut pas qu'elle accouche ici..


Princess essayait d'ouvrir les yeux mais la douleur à sa tête l'en empêchait...
elle articula, juste un nom...

Leg..Legolas..

avec des larmes qui roullaient au coins de ces yeux...

Seigneuraslan
Après la chute de de la mairie, les assaillants se retrouvaient désormais les défenseurs car l'ennemi n'avait pas été éradiqué dans sa totalité. Les Lames avaient prit par à l'assaut mené par le Capitaine Franc-Comtois ; une dernière slave pour semer la panique dans la première ligne adverse et les désorganiser avant que les boucliers ne s'entrechoquent et que le fer ne se croise. La bataille fut de courte durée car les Réformés n'auront su contenir cet assaut, maintenant que les barricades se soient écroulées. Le Maître d'Armes et son Commandeur était toujours à la recherche de ce Chevesche, ce misérable bougre avait manifestement prit la poudre d'escampette comme les autres, fallait pas se loeurer. C'est alors que Dodo fit son apparition des ruines encore fûmantes, tenant fermement son épée d'une main et de l'autre son bras meurtri par une blessure. Le vétéran rengaina son épée maintenant que la place était sécurisée pour aller à sa rencontre, sans oublier d'alerter le Commandeur Brieuc qui venait de prendre un peu d'avance..

COMMANDEUR!! C'est Dodo!

Le Vétéran jetta un oeil à la blessure avant de saluer dignement sa soeur d'armes ; il était content qu'elle ne se soit pas égarée
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Maitre d'Armes de L'ODL
--Lucretia
Et Lucretia avait marché...
Elle avait parcouru la ville sans trouver ni ceux qui l'avaient fait mandé, ni celle pour qui elle s'inquiétait.
La borgne, pessimiste, avait même commencé à fouiller de ses mains les tas de corps, laissés à l'abandon dans la rue.

Elle passait donc de ruelle en ruelle, de ruine en ruine... On criait beaucoup et quand on ne criait pas, le silence était si pesant qu'il en était inquiétant.
Elle n'avait jamais apprécié les cris, mais ce silence... On sentait dans l'air ce climat de conspiration, mais beaucoup se taisaient, tout simplement parce qu'ils étaient tombés dans un état de torpeur.

Alors qu'elle désespérait et qu'elle errait dans une ruelle sombre. Un jeune homme, amaigri et blessé, apparu devant elle. Il ne lui fallut pas cinq secondes pour le reconnaitre. Elle courut vers lui pour l'embrasser, mais elle s'arrêta et reconnut alors, le corps de Jézabel dans les mains de Siméon :

-Fichtre foutre ! Jézabel !

La borgne prit son amie des bras du valet, il fallait qu'il se repose un peu.

-Vous êtes poursuivis ? Allons à mon auberge, on nous y attends !

Serrant Jézabel contre elle, Lucretia précéda Siméon d'un pas rapide.


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--Lux_tenebrae.iv
[Aux abords de Pontarlier - Campement Franc - puis un peu partout ...]




La IV se mêle au vent froid et se dirige vers le Chef des Renseignements Franc. L’ébène du vêtement qui la recouvre vient dissiper sa grande mais fine carcasse dans les ombrages des arbres et tentes environnantes.

Elle passe près de la Garde Franche dans un tourbillon d’air. Dans la volée, la IV note de la présence de son Ombre soeur, la I, et lui adresse salutation d'un battement de paupières.

Ensuite, en deux ou trois mouvements l'Ombre se glisse aux côtés de Decnop et tend l'oreille. Les ordres discrètes sont données. Les cinq sens bien affutés et en tête son devoir, la IV peut repartir rôder dans son silence. Sa lame étincellante repose en son fourreau et sera surement l'unique bruissement entendu venant de l'Ombre si elle doit la sortir et porter coup.
--Simeon_violette
Nuit du 24 au 25 Février



Ainsi il avait eu raison. Simeon se souvenait bien de la brune dont le déhanchement chaloupé de déesse grecque ou romaine, peu lui importait, lui ravissait le regard.
Lucretia prit sa maitresse de ses bras pour le soulager, c'est pas qu'elle était lourde, mais il était éreinté.


-Vous êtes poursuivis ? Allons à mon auberge, on nous y attends !

Disons qu'on a juste un peu filé comme des zouaves de la mairie tellement zétaient nombreux!

Il emboita le pas de la jolie brunette, tentant de ne pas la perdre..
Jerone
En cette nuit du defence l'aspirant Maitre d'armes avait bien feté la victoire en taverne et arriva devant la mairie en quasi ruine.

Je vais devoir la reconstruire maintenant faut que je dose mieux.

L'aspirant au chapeau de paille etait assit sur son canon chargé devant la porte de la mairie, il saluait les comtois qui patrouillaient et observait il vit un chenapant tenter d'entrer dans la mairie mais ce dernier fut vite rattrapé par la patrouille qui lui botta les fesses. Un nuit calme bizarrement pour Jerone qui etait bien assis confortablement sur son arme favorite braqué sur la rue principale arrivant à la mairie histoire de tirer dans le tas au cas où.
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Jezabel
Nuit du 24 au 25 Février

La Vicomtesse ouvrit les yeux, dans les limbes... La voix de Lucrétia. Un faible sourire se dessina sur son visage alors qu'elle se retrouvait entre les bras de son amie.

Je je crois que j'ai un peu perdu la tête!

Elle rit doucement, puis se laissa transporter Dionysos sait où... Elle était si fatiguée. La Vicomtesse passa les bras autour de son cou et posa sa tête sur son épaule. L'heure des rires et de l'abus de boisson viendrait, plus tard...

"On?" Qui aurait-eu assez d'audace pour partir en toute hâte se fourrer dans le danger avec elle?


Je crois que je vais éviter d'aller chercher mon paquetage à la Taverne Républicaine, l'accueil ne sera pas des plus cordial.

Elle ferma à nouveau les yeux, puis retomba en état de semi-conscience.
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"Il faut haïr très peu, car c'est très fatiguant. Il faut mépriser beaucoup, pardonner souvent, mais ne jamais oublier."
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