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[RP] Pon' pon' pon' pon' ...

Chevesche
[Dans l'Eglise]

Chevesche avait enfin rejoint Pontarlier. Breton d'origine, il quittait Fribourg pour rejoindre sa patrie et s'était dérouté vers Pontarlier afin d'aider les forces de la Réforme à vaincre les profiteurs de la noblesse et du clergé.

A son regard s'offrait la place de l'Eglise, enfumée et traversée de divers projectile. Depuis la barricade où il était, il vit un comtois perché sur un toit. Il se sentit irrésistiblement attiré par un pavé gisant au sol. Il le prit, le soupesa et le lança vers l'archère sur son toit.


Prends ça, profiteuse, et vive la Réforme et la Liberté!

Au bruit que le pavé fit en face, il sentit qu'il avait touché sa cible, et durement. Une ennemie de moins. Avec le sentiment du devoir accompli, il se mit à couvert dans l'église.
Ivori
[La nuit dernière, à l'Église]

Une révolte de plus... Une révolte vaine... Comme toutes les précédentes. Les assaillants, non loin d'avoir perdu leur entrain et leur détermination, n'avaient pas les bras à hauteur de leurs desseins. Et la belle rousse, rêvant de chairs sanguinolentes et de luttes au corps à corps, commençait à se lasser, toujours aux aguets derrière les barricades. Elle avait même eu le temps de goûter au vin de messe quelques heures plus tôt et de s'envoyer aux cieux dans la cave avec son amor. C'est dire !

Sa dague à la main, pensez-vous qu'elle ait quelque bougre à trancher ? Que nenni ! Alors à défaut, elle se limait les griffes, la tigresse, quand, tout à coup, une bouteille en flamme vola non loin de son visage, lui faisant perdre quelques boucles de sa splendide chevelure au passage. Ivori se leva d'un bond, le poing refermé sur le manche de sa dague, et fonça telle une furie pour grimper sur une des potences. De là, elle pouvait voir les révoltés qui s'agitaient telles de petites fourmis affolées.

Bien que l'arbitraire était plutôt l'apanage des Comtois et non celui des Républicains réformés, la flamboyante Ibère était bien décidée à leur faire passer un message, même s'il fallait en sacrifier un au hasard de la mêlée. Elle saisit alors le bout de sa lame entre ses doigts fins et habiles et, d'un geste nonchalant quoique rapide, la lança en direction des assaillants. La dague tournoya prestement, si bien qu'on la distinguait à peine, et alla se nicher dans le crâne d'un bougre, qui s'étala sur les pavés trempés. Non, ils n'avaient pas d'archers, mais ils avaient d'autres ressources qui en faisaient des combattants coriaces. Ils avaient la Foi, la vraie, et elle leur insufflait la rage de vaincre.

Un sourire sadique dessiné sur ses lèvres pulpeuses, la belle rousse descendit de la potence en un bond pour aller se munir de son épée. Certes, elle avait fait don de son poignard à la cervelle d'un Comtois, mais il lui restait bien d'autres armes sous la main et les traîtres à la République les goûteraient toutes, l'une après l'autre...
Mais pas cette nuit-là, qui laissa place à l'aurore sans qu'aucun de ses alliés n'aient eu à souffrir quelque plaie... et déjà d'autres alliés venaient se battre à leur côté, pour la Gloire de la République réformée...


Ma douce République,
Ma tendre Réforme,
Nul ne peut te faire plier...
Parce que les Comtois n'en ont pas dans leurs braies !


Un rire caustique s'éleva vers le ciel clair et ensoleillé, alors que la Rouquine se préparait à une nouvelle journée de lutte acharnée... Aussi acharnée qu'un nourrisson tétant sa mère, mais acharnée quand même !
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"Hasta la muerte..."
Sicaire du Lion de Juda
Porteuse de la Foy Réformée
La République ou la Mort

Princessedeneuch


oueeeee mais oui , que ça va aller Green.. en plus, je crois que je vais essayer mon arc, car le moment y est choisi..
je le garde toujours prêt a servir, mais même si je n'ai pas les rudiment de la FC,
je garde en mes veines le sang de mes aïeux..
elle prépara le tout.


son arc et ces fléches


Princess ôta de son dos l'arc dont c'était servis jadis son père, et y plaça une flèche..
elle le banda et visa dans un des vitraux cassé de l'église..

je ne sais pas qui ça va atteindre, mais au moins il y en aura une de moins, et plus si j'atteins mon but en plusieurs fois..

D'où elle se trouvait, elle avait une vue d'ensemble sur 4 des vitraux de l'église.

elle choisi donc celui le plus proche d'elle pour ne pas manquer sa cible..
son arc bandé, elle visa et lâchât la flèche qui fila comme un éclaire de feu.
une fraction de seconde plus tard, on entendit un Râle, et des cris qui venaient de la bâtisse..

Rââââ!!!!!!!

et de un dit fièrement Princess, qui avec le sourire aux lèvre regarda Green et ajouta..

tu vois que ça va.. mais je continue a en dégommer hein, cela fera moins de cloches a suspendes..

Princess attendit que Green lui réponde par l'affirmative, en ayant déjà bandé
son arc et mit un flèche en visée.
Azurienna
Toute la nuit à attendre en vain .. une revolte de plus de contenue si aisement ... elle passa sa dague sous ses ongles histoire d'en retirer la poussiere puis se leva ..
De toute sa grace elle s'etira lascive laissant ainsi la cambrure de ses reins se cabrer...Puis elle partie a la recherche de Zara pour s'abreuver du vin de messe car bon a defaut d'etre priver de certains plaisirs autant s'en offrir d'autres ...
La jeune brunette passa sa main dans son corsage pour en extirper la missive d'Antoine , qu'elle allait elle lui repondre ? Lui qui souhaitait tant qu'elle rentre seulement elle elle n'y croyait plus .. Il lui fallait faire le deuil de l'enfant qu'elle avait perdu , de cet amour qui ne pouvait plus etre ...Elle secoua la tete et decida d'aller s'abreuver puis elle trouverait bien un pigeon dans le coin pour renvoyer sa missive...
Zara etait là et par chance Grom n'etait pas dans le coin ..

"Coucou , Républiquement votre Zara .. j'ai soif "

Attrappe un godet et se pare de son plus beau sourire attendant que le scribe la serve...

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Zarathoustra
Zarathoustra était encore en train de chercher avec quoi il pourrait moquer l'ennemi, mais ça commençait à envoyer. Il était temps de se mettre à couvert, et sérieusement. Aileron lui avait bien dit. Il dut se tordre le cou pour essayer de percevoir les mouvements de l'autre côté.

Le lancer de pavé n'avait pas encore fait ses preuves. Il était posté derrière son bouclier et refléchissait. Notre position serait plutôt propice à la déf...

Azurienna vint rouler ses hanches par là. Pour boire un coup, elle tendait un verre avec un grand sourire, comme si elle ne risquait pas de prendre un trait perdu.


Attention mets tois à couvert quand même. Ca ressemble à un pique nique mais en fait ça va chauffer.

Mais bon, un ptit coup de chaud avant de combattre, ya pas d'mal. Il attrapa ce qu'il restait du vin de messe, un truc immonde, arracha le bouchon avec les dents avant de le cracher. Il en but un grand coup, d'une manière ou d'une autre il se retrouvait toujours à picoler. Il passa la bouteille à la belle. Il n'était pas galant car il était pour l'égalité des sexes. C'est ce qu'il disait en tout cas.

On va se battre Républiquement, le sang chaud et le bras fort.

Venue d'on ne sait où, sa vigueur retrouvée lui rendit son attention. Sans doute le pinard. Il scruta donc les toits, en jetant de temps en temps un regard- mais bref- sur la silhouette oublieuse de la belle.
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--Orthogonal
Église de Pontarlier, 19 février


L’État-major franc-comtois surveillait les opérations. L’avoyerie, ça se passait pas trop mal, rien à dire, mais alors l’église…

L’ambassadeur de Venise, dans son périple européen, avait tenu à enfiler sa superbe armure complète pour être présent à titre d’observateur et en faire des gorges chaudes lors de ses soirées à son retour, où il offrait plein de gourmandises à ses invités. Il demanda alors aux officiers qui l'entouraient :
- Quelqu’un pourrait esplicazionner à me la logicia de votré attaque navale sur l’église ? Ma, cé très intéressanté, ma qué esta la logicia ?
- Pardon ?
- J’aimeré savoir porca les petitas barcas progressent vers l’arrière dû bâtiment sacré de Deos ?
- Hein ?!?!
- Si, ma qué, cé très original, tutti vos forza, même les naves, jé suppose qué cé pour sé protéger, cé, cé, cé très impressionnant, ma qué, cé originalé, si, si, ma porca vos forza qui suivent les naves amènent-elles des échelles ? Si la sancta clocha esta tombatta, ma, jé crois que lé toiture de l’églésia il esta toujours intacto, no ? A moins qué vostra stratéga esta dé démolir égalementé lé toit, comme vos hommes ont détruit certaines maisons pour faciliter la reconquêta, esta ça ?
- Sa, sa, heu, si, si. Heu...Je, je,je vous expliquera plus tard, Vostra Excellença, excusa-moi un instat… L’officier supérieur, tellement perturbé qu’il ne se rendait même pas compte qu’il mettait un accent italien à tout ce qu’il disa, pardon, disait, au grand déplaisir de l’ambassadeur, se dépêcha d’aller donner des ordres pour obtenir des renseignements…
--Orthogonal
Les pêcheurs orthodoxes de Pontarlier n’avaient guère hésité quand d’autres habitants des faubourgs leur avaient raconté la vilénie des républicains.
Vouloir leur supprimer leur saint homme ! Leur supprimer la dîme et la taille ! Si on ne les imposait pas, ils passeraient vraiment pour des clodos, ah non, merdre alors ! Sagouinauds de sagouinaud, rustres de rustre !

Ils avaient décidé, fermement et unanimement, de refuser de travailler.

L’un d’eux avait réfléchi et proposé de ravitailler les leurs, y’avait peut-être de l’argent à faire. Alors, ils avaient ressorti leurs barques.

Ils allaient les mettre à l’eau quand le saint homme vint les haranguer pour qu’ils se battent, sans même se saouler comme une barrique comme il faisait d’habitude lorsqu’il prêchait et prélevait la sainte dîme.



Se battre ? Eux ? Heu…

On leur avait tellement répété, leur saint homme ou le curé, qu’il fallait laisser cela aux nobles aristocrates et chevaliers et à leurs gentils soldats (qui ne pillaient pas plus que la moyenne, comme des brigands normaux, rien d’extraordinaire quoi…) qu’ils durent se mettre à réfléchir.
C’était dur.

Mais la verve du saint homme réussit à les galvaniser, et certains se crurent même des sujets respectés par leur Franc-Comte, c’est dire l’efficacité du diable d’homme !
--Orthogonal
Quinze barcasses de pêche avançaient donc vers l’arrière de l’église, suivie par une meute de porteurs d’échelles. Ils avaient failli en venir aux mains pour savoir qui aurait l’honneur d’attaquer en premier, mais l’intérêt défensif des barques portées sur le dos par les pêcheurs, ainsi pareils à des tortues, convainquit rapidement les Pontissaliens ponctuellement cueilleurs de fruits.

Tous venaient avec le symbole de leur travail.
Tous les membres des corps de métier appréciant les aristocrates et d’être de leur clientèle portaient ainsi leurs outils.
Il avait fallu en refuser certains qui refusaient de venir sans leur symbole.
Ainsi avait-on dû constater l’absence regrettables des peintres, lesquels ne viendraient sans leur chevalet, des maçons sans leur échafaudages, des potiers sans leurs tours, des meuniers sans leur moulin, des forgerons sans leurs enclumes…




Un officier éberlué de l’armée comtoise avaient suppliés les pêcheurs d’abandonner leurs barques, mais trop fiers de leur trouvaille, ils avaient trouvé mille excuses :
- Oulà, se séparer d’not fierté, d’not outille de travail ?
- C’est qu’y en a qu’y nous les piquerait !
- Ca oui, ben dame, not’curé qui nous l’répète assez qu’y fallions être méfiant…
- Sans compter qu’ça vaut pas une amende, ça, d’abandonner nos barques ?
- Ah ben dame, oui, y’a tellement de sujets d’amende, cheux nous, qu’on sait plus trop bien ce qui est possible ou pô…
- C’est vrai que c’est souvent ben embrennant, hein, toutes ces amendes qu’on nous colle tout le temps…
- Sûr qu’on est bien content que ça aille dans les caisses comtales, m’enfin, pour la défense de la cité…
- Ah ben, si y’avait point les impôts et les amendes comtales, ce serait plus tranquille, sûr…

Un autre officier, plus lucide que le premier, comprit vite qu’il valait mieux encourager l’attaque et beugla quelques ordres impératifs, plutôt que de laisser les conversations s’égarer un peu trop sur les inévitables petits problèmes fiscaux de la comté, de toute façon hors de compréhension pour des bouseux…
Le premier officier pleurait maintenant à chaudes larmes sur l’épaule de l’autre…

Chevesche
Après avoir combattu toute la journée dans le groupe d'Arcas, Chevesche prenait l'air à l'arrière de l'église, perché sur les arcs-boutants, quand il vit au loin une quinzaine de barques plus ou moins trouées, qui tentaient de prendre l'église à revers. Au loin, des paysans et des artisans avançaient, endoctrinés par les réactionnaires qui baissaient leurs braies devant la république, et qui poussaient le peuple comme chair à paté pour leurs intérêts.

Aussi fort qu'il put, Chevesche gueula dans la nef, où le son résonnait bien :


Branle-bas de combaat!!! Manoeuvre à revers des aristos ! Ces traîtres poussent le peuple et l'endoctrinent! Du monde et un bastion, vite! Et aidez-moi à faire provision de projectiles!

Avec un levier en fer qui se trouvait là, il commença à démolir statues et bas-reliefs pour les transformer en pavés à jeter sur ces vieilles barques vermoulues. D'autres camarades républicains, qui avaient entendu l'appel, montaient l'aider.
Syerry
[En route vers Pontarlier]

Elle s’était inclinée au dos de son destrier, la joue caressée par les crins voguant dans le vent, afin de murmurer quelques paroles à sa bête fidèle. Simplicité d’un encouragement pour le brin de route encore à parcourir. Le Capitaine de la garde Franche se redresse en tapotant le cou de Neige alors que sa pupille vive explore les environs. Le village se dessinait dans la pénombre de la nuitée …

Le pas des montures se fait feutré par la neige recouvrant le sol quoi que le chemin ait été déjà amplement parcouru laissant parfois place aux claquements des sabots. Qu’importe le trajet utilisé, il est évident, par l’état des terres, que plusieurs se sont rassemblés en la ville de Pontarlier. Un regard vers le Maistre, hochement de la tête qui suivra, rien à prononcer, tout était vite compris.

Syerry se détache du groupe légèrement, toujours le bleu aux aguets des moindres mouvements d’origines douteuses. Elle reste sur ses gardes, relâchant un peu de pression à la hampe de sa pertuisane qui niche toujours entre sa cuisse et le flanc blanc de son destrier. Un geste de sa main, elle rabat son capuchon à ses épaules, les mèches dorés, quelques rebelles, virevoltent au vent froid de l’hiver. Une fois un frisson chassé en secouant légèrement la tête, le défenseur de la Foy Aristotélicienne viendra attraper le bois de son arme de sa main menue. Les rênes seront resserrées ainsi freinant sa monture. Les pas se font à une halte alors que l’espace est scruté de la bienveillance de son regard. Ici sera installé le campement Francs.

[Campement Francs – aux abords de Pontarlier]

Les jours de révoltes s’assemblent, se ressemblent. Le temps passe …

En ce soir, le Capitaine aura assuré une tournée des lieux, notant de tout et même de rien, rapportant à son Maistre afin qu’il puisse voir à la suite. En ce qui la concerne, la jeune deVentoux attendait les ordres nouveaux en vérifiant à ce que les armes des combattants soient tous en droit état et que les Francs étaient en place, prêts à toutes éventualités.

Appuyant son poids plume contre Aequitas, sa pertuisane, elle fait une tournée azurée des environs. Son ouïe sera tendue, écoutant le bourdonnement des troupes avoisinantes, sa vue discrètement cherchant la noirceur pour l’étendard frappé de la croix noire. Un sourire en coin, sachant que non loin il s’y trouve, tout comme elle, comme eux, mama viilks attendait la suite avec fourmillement en les jambes jusque la pointe des doigts.


*edit-balises
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Tedamu
Tedamu arrivait devant l'église de Pontarlier, enfin il y était, enfin il pourrai se battre pour la liberté du peuple Pontalissien, lui qui était né libre dans la belle cité Bocanne

Il était fatigué par sa longue nuit de voyage avec ses amis réformés, il était prêt à se battre contre le franc-comte, ses nobliaux arrogants et ses cul-bénis despotes.

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Commandant de l'Armée Cantonale de Grandson.
Serviteur de sa ville.
M.reginae
Et hop une révolte de plus de matée ! Si c'est pas adorable ça de la part des anti-républicains de tenir éveillés les quelques sicaires en faction?

Cette nuit, se fut repos pour la plupart, les moyens mis en oeuvre contre la République ne nécessitant pas d'user ses talents inutilement.

Alors que Reginae se lève après une bonne nuit de sommeil dans les bras de son Tendre Aileron, elle voit se présenter aux barricades un homme à l'allure Hélvète, impossible de se tromper.


Une partie des renforts arrive.

Elle se précipite lui ouvrir le passage, le remercie d'un regard chaleureux et lui plante une bouteille de vin de messe entre les mains.


- Bienvenu en République ! installez vous tranquillement, vous avez le temps. Nos ennemis n'osent pas attaquer de front la Liberté!

Puis plus bas, s'approchant de son oreille.

- ça va? le Vieux n'a pas été trop pénible?
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Sicaire Morte

Chevesche
Entre deux escarmouches, Chevesche vint à passer dans le QG de l'église. Voyant un Helvète, il le salua :

Salut à toi, compatriote! Je suis de Fribourg, et je vois avec satisfaction que les Helvètes affluent pour défendre la Liberté!
Vous n'aurez pas un peu de vin pour moi?
Decnop
[Campement Franc]

Decnop avait aidé les Pontalissiens a essayer de reprendre la ville. Mais rien n'y a fait. Les Lions ont resisté vaillament. Ils sont en train de detruire les cloches..

De plus en plus meurtri, il sort de la ville et rejoint le campement Franc.

Le campement est aux portes de la ville. Plusieurs Francs y sont dont Syerry.

Decnop descend de sa monture. La confiant a un garde, il se dirige vers la Tente centrale, esperant y retrouver Syerry et ses autres compagnons de voyage.


-Bonjour, mes freres et soeurs. Meme si je ne sais pas si on doit appeler ca un bonjour. Les Reformés tiennent toujours Pontarlier et ils sont en train de detruire les cloches de l'Eglise. J'espere que vous aurez de meilleures nouvelles pour moi. Parce que je dois avouer que la, mon moral n'est pas au bon fixe....
Sabotin
[Campement Franc]

Le Grand Maistre était allongé dans son nid de peaux d'ours et et de plaids à carreaux qu'il avait disposés au milieu de sa tente.

Les visites devenaient de plus en plus nombreuses, les frères francs étaient en exercice de regroupement et se préparaient au combat

Il avait préféré une structure légère pour la tente du Grand Maistre et avait poussé dans un coin tabourets et autres mobiliers. Il accueilit séchement frère Decnop en lui balançant un :


- Mais pourquoi ?Bande de boulets...

Son humeur n'était évidemment pas au beau fixe

Il avait envoyé Nayame chercher de l'eau près d'une rivière. Il ouvrit un cornet de papier dans lequel il avait ramené du café de la Commanderie de savoie, décida qu'il ny en avait pas assez pour mesurer la quantié et déversa le tout dans le pôt d'eau bouillante.

Il déroula ses manches et referma un peu plus sa cape sur ses épaules, son visage n'était pas rasé .

Il se ressaisit et invita decnop à prendre place à même le sol.


- Ils sont en train de détruire les cloches de l'église?

Il repoussa cette idée avec une violence amère.

- Nous changeons ce que nous touchons frère Decnop,, alors ne restons pas là les bras croisés.

Le Grand Maistre déglutit en observant les regard sinterrogateurs des frères et soeurs assis autour de lui

Il leva ses mains blêmes sous le tissu blanc de ses manches et serra les poings


- Ce soir nous faisons une veillée d'armes, tout le monde est à présent concerné. Vous préparerez des braseros et convoquerez l'ensemble de nos forces ombres comprises. J'ai bien dit je veux vous voir tous en armes et boucliers. Le Lion se croit habile certes, mais il finira par vaciller sur ses pattes et son seul nombre ne parviendra pas à venir à bout de nos hommes . Le reste vous le saurez cette nuit afin que personne ne puisse prévoir où nous allons frapper.

J'ai dit.

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