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[RP] Pon' pon' pon' pon' ...

Lingus
Les républicains retranchés dans l'église et la mairie résistaient encore et toujours aux assauts sporadiques des félons qui voyait leur monde de privilèges s'effriter sous leurs yeux. Quelques pierres volaient invariablement à la nuit tombée, mais rien de suffisamment bien organisé pour déloger les combattants de la République Réformée. Leurs défenses étaient bien trop solides pour être inquiétées par ces escarmouches. D'autant plus que, chaque jour, affluaient des renforts. Qu'ils sortent des faubourgs, la fourche sur l'épaule, ou qu'ils surgissent de la campagne environnante à dos de mule, on leur ouvrait une brèche dans les barricades et on les accueillait par de chaleureuses accolades.
Lingus en était convaincu, ceux qui embrassaient une si juste cause n'auraient pas à rougir de leurs actes au jour d'en répondre à leur Créateur. Et comme il n'entendait toujours pas les bruits de botte d'une armée en marche, il alla s'assoir sur les marches menant au clocher. Une meurtrière lui permettait de garder un oeil sur le parvis et la rue Rubella tandis qu'il rédigeait des courriers. Il se gratta le menton, connaissant les destinataires, il était bien embêté pour choisir l'adresse... ils pouvaient tout aussi bien être ici qu'ailleurs...

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Pegasine
Pégasine écouta les directives de Zephirin.

Il y a des archers oui, mais je ne les voit pas là!

Soldat Luckylucke, suivez-moi.



Restant le plus possible à couvert, Pégasine s'approcha de la grille avant.
Trouvant un abris à couvert à côté, elle s'y installa et fit signe à son soldat de faire de-même.
Une fois bien pris position, la jeune femme sortit de sa besace le petit arc fait spécialement pour elle par son époux. Elle avait prit une bonne réserve de petites flèches aussi.
Elle n'était pas une archère de premier ordre, mais hors de question pour elle de donner naissance à son enfant dans une ville assiégée.
Installant son atiraille à porté de main, Pégasine surveilla les alentours, tout en attendant les ordres de Zephirin.

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1legolas


La nuit arrivait doucement sur le village de Pontarlier, quelque ombres se faisait apercevoir, mais tous rester cacher, attendant que l'un ou l'autre ne se montre.

Le sergent Legolas faisait partie de ses ombres, il avait troquer ses habit rouge contre une couleur plus discrète, son chapeaux était alors un vulgaire bandana noir, lui couvrant en grande partie le visage, il avait aussi une vielle cape, elle aussi noir, le confondant entièrement avec un vulgaire bougre.

Seulement, sous cette cape, se trouver une épée aussi affuter qu'un rasoir, de nombreuses dagues, ainsi qu'une corde et a son bout, un crocher qui lui servirait plus tard.

L'homme avança en direction de l'église, si il y allait avoir du ménage a faire, il commencerait pas la.
Comment ces lions, ne respectant pas Aristote, peuvent t'ils se barricader dans une des nombreuses maison de dieux.

Une fois prêts de l'église, il fit attention a ne pas se faire remarquer, évitant toute meurtrière ou fenêtre. Arriver derrière l'église, il sortis sa corde, la lança en direction du clocher, le crocher faisant son travaille, il n'avait plus qu'a se hisser sur le toit afin de voir les alentours et attendre le moment adéquat.

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vivre pour son pays et mourir pour le défendre



combattre avec courage,
et mourir avec honneur,
tel est ma loi.
Chevesche
En haut du clocher, Chevesche faisait toujours son travail avec les pigeons. Soudain il vit une corde leste s'agripper au clocher. Un des comtois, tout en noir, commença a y monter. Chevesche attendit qu'il grimpe de 5 mètres avant de saisir un poignard effilé et de trancher la corde.

Aaaaaaaaaaaah!!! résonna un long cri en bas.

Après ce premier avertissement sans frais il se retourna depuis la tribune au-dessus de l'entrée, et cria comme la veille dans la nef :

Branle-bas de combat! Surveillez tous les abords de l'église, surtout l'arrière et le cloher! Postez-vous et tuez-moi tous ces traîtres à la première occasion! Aux Aaarmes citoyens!
Lingus
Lingus finissait d'écrire ses courriers lorsqu'un cri lui fit lever les yeux de ses parchemins. Il vit passer un comtois par la meurtrière. Enfin... il supposa que c'en était un car il passa très vite... et de haut en bas. Il avait été absorbé par l'écriture et ne l'avait pas vu passer à l'aller.
Le sicaire redescendit dans la nef pour se préparer aux combats qui ne manqueraient pas de s'intensifier la nuit venue. Il en était presque à attendre avec impatience ce moment où les sicas feraient des coupes claires dans les rangs des impies.
Il marmonnait à voix basse.


Chapitre 11, Verset 7 "Si vous obéissez, l'Unique vous donnera une belle récompense, et si vous vous détournez comme vous vous êtes détournés auparavant, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux."

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Ivori
[À l'Église - Dans la nef]

Après une nuit de "révolte" (c'est vite dit), la jolie rouquine avait profité du chahut pour se faufiler entre les barricades, son corps voluptueux drapé dans la robe de son amor et sa chevelure emmitouflée dans son châle noir pour passer inaperçue. La couleur flamboyante rendait la chose assez ardue ; aussi elle rasa les murs pour aller s'enquérir des nouvelles comtoises, mais la même ritournelle tournait sans fin, écorchant ses oreilles.

Autant dire qu'elle ne s'attarda pas dans les rues de la Cité pontissalienne et rejoignit bien vite l'Église. En arrivant aux barricades, Ivori aperçut un bougre grimper le clocher à l'aide d'une corde. Le malheureux ! L'allié déchaîné des Républicains la trancha d'un coup sec, précipitant l'assaillant tout droit dans les gravats. Ne sachant que penser des initiatives comtoises, elle haussa les épaules et pénétra dans la nef.

Sur la pointe des pieds, elle s'approcha de Lingus qui semblait absorbé par ses pensées, s'accroupit derrière lui et posa son menton sur son épaule pour tenter de comprendre ce qu'il psalmodiait. En vain...


Hola... Une journée bien calme. J'espère que cela va se gâter cette nuit... La lassitude me gagne.
La belle rousse afficha un air dépité, une moue un tantinet boudeuse même, et se débarrassa de son châle d'un geste lent, libérant sa crinière.
Ah au fait ! J'ai enfilé ta robe de bure, aujourd'hui. J'voulais voir c'qui s'passait dans la ville, sans qu'on me reconnaisse, et j'ressemble à un gros sac de farine là-dedans... Ça te dérange pas, j'espère ?

Elle vint s'asseoir à côté de lui, souleva la robe pour sortir sa Sica et ainsi se préparer. Il était aisé de voir que sa cuisse gauche comptait une nouvelle plaie, fruit d'une rixe qui avait eu lieu plus tôt dans la journée avec une Comtoise enragée... Le camouflage était encore à peaufiner, c'était certain.
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"Hasta la muerte..."
Sicaire du Lion de Juda
Porteuse de la Foy Réformée
La République ou la Mort

Luckylucke
A vos ordres,mon lieutenant, je vous suit!!!!il suivit son lieutenant et il arriva a côté de son officier et attendit le prochain ordre d'attaquer et luckylucke se dit qu'il pouvait reprendre son souffle avant d'attaquer dés que l'ordre aller êtres donné par pégasine car,il avait bien besoins de repos et pouvoir aussi mangé ,car son état c'est encore détériorer et malgré quelques miches de pain( 2 et pas une de plus!!!) il était toujours famélique,mais la fièrté d'être au combat pour une juste cause le faisait tenir !!tenir!!
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Sempre Fidelis honneur et courage Pour la Patrie!!!!
Chevesche
Dans la nef de l'église, les combattants se rassemblaient. Des fortifications furent érigées prestement autour de l'église, sur les parties non défendues encore. Dans le vaste grenier, au-dessus de la nef, des républicains s'installèrent avec de quoi virer les comtois manu militari...

Au loin, on en voyait qui arrivaient, armés d'engins incendiaires divers. De l'eau fut alors montée en tous les points de l'église. Chevesche cria dans la nef en brandissant son poignard :


Hardi, combattants! Nous allons les reconduire par delà les murs à coups de pied, d'épées, de pognards, et de sicas dans le fondement et partout ailleurs! La République ou la mort!
Luckylucke
Luckylucke dit a ce moment là, a son lieutenant

Mon lieutenant ,n'as t'ont pas des armes lourdes comme par exemple des couleuvrines a dispositions ??? mon lieutenant!!
Car en visant les meurtrières de l'église on pourrais masquer notre progression, et ensuite rentrer en force dans l'église!

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Sempre Fidelis honneur et courage Pour la Patrie!!!!
Chevesche
Après son appel, Chevesche se dit que tout cela ne suffirait pas en cas de grosse attaque des comtois. Il faudrait du lourd. Et du lourd, il en avait vu au matin, lorsqu'après une escarmouche les combattants de la Liberté avaient investi le stock d'armes de la ville.

Le lourd avait été réparti selon les barricades, mais personne était encore allé le chercher pour les barricades de l'église. Il sortit donc le chercher... les comtois allaient voir ce qu'ils allaient voir...
M.reginae
[après la tombée de la nuit, le 20 Février 1457]

Après une nuit et une journée de repos, le voile noir tombe sur la Cité Réformée. Les ombres se mouvant alors de ci de là, se préparant à un combat qui laisse présager une grande violence.

Les Combattans pour la République sont prêts, sans aucun doute les armées d'infidels aussi.

Aileron et Reginae ont passé quelques courts moments dans un endroit discret, afin non pas de s'aimer voluptueusement, mais de d'échanger sur le pourquoi de leur dévouement à la Réforme. Une fois de plus ils sont en harmonie dans leur choix. Si mourrir il faut, il le feront..mais si possible ensemble.

Les amants s'approchent donc des barricades, en première ligne. Un dernier baiser, un dernier regard, une dernière caresse, et chacun se met en position, sous la protection du Très Haut. Quelques toises uniquement les sépare, mais ils oublient soudain leurs passions, leurs sens, pour n'être que des Sicaires au combat, arme au poing.

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Sicaire Morte

Chevesche
Sorti de l'Eglise, Chevesche avait eu la chance de tomber sur un groupe de combattants Républicains... ils savaient où était le stock et étaient prêts à l'aider à le ramener vers l'Eglise. Ensemble, ils rejoignirent la mairie, jadis fortifiée.

De là, ils atteignirent le stock, et commencèrent à le charger. Les faucons et les fauconneaux brillaient sous le clair de lune, tout comme la provision de boulets d'une livre de moyenne. On chargeait aussi des couleuvrines de rempart, à adapter sur les meutrières et les galeries.

Après un long trajet via les rues endormies, les faucons et couleuvrines de rempart furent disposées tout autour de l'église, avec un nombre variable à chaque barricade, et réglées une à une en un seul point sur un même campement de soldats au loin, afin de tromper l'ennemi sur leur portance véritable.

Lorsque ce campement fut durablement mitraillé, les armes étaient réglées et prêtes à l'emploi, les boulets répartis, de même que les seaux d'eau destinés à refroidir les canons et à prévenir un éventuel incendie.

Dans la nef, les combattants aiguisaient leurs sicas, le sservants de couleuvrines surveillaient l'horizon et Chevesche prit son poste de veille, au sommet du clocher, muet et orphelin à tout jamais de ses cloches.
1legolas


La corde étant trancher, Legolas commença a tomber vers le bas, mais nul bruit ne sortis de sa bouche, il rester silencieux et calme contrairement a son ennemie sonnant déjà l'alerte pour un seul soldat.

Arriver prêts du sol, il put arriver a se tourner et retomber sur ces jambes. Il était alors a demi a genoux tête baisser en direction du sol, cette position était la même lorsqu'on sacre un chevalier.

Il se releva et eu un léger sourire, enleva alors sa capuche laissant apparaitre son visage.

''Je reviendrait pour toi maraude, et alors je te pendrai du haut de ce toit, les tripes a l'air. Auparavant je te couperai la langue, et la donnerai a mon loups.''

Il sortis alors son épée, et se mit en route vers en direction opposer de l'église, il ne courait pas et n'avait pas peur de ces brigand, non il aurait bien aimer en tuer un ou deux avant d'aller dormir.

Legolas put voir quelle vielles ruines, une vielle demeure ou il manquer une partie du toit, elle se trouver tout près de l'église. Il prit la peine d'y entré et de s'installer, il pouvais voir d'ici tous se qui se passait dans l'église.

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vivre pour son pays et mourir pour le défendre



combattre avec courage,
et mourir avec honneur,
tel est ma loi.
Zephirin
Zéphirin s'était retourné en maugréant à la balle de neige qui lui avait frappé le corps. Se préparant à une action, il avait relevé la tête en vitesse et plisser les yeux. Il reconnu Dina. Esquissant un léger sourire en hochant la tête, il fut heureux de voir arriver du renfort mais…trop peu et trop tard. Les républicains s’installaient à la vitesse des petites armée bien préparé : Vite et bien. Rien à faire aujourd’hui...non rien à faire. Tapotant à l’épaule de Anvesha, il releva la tête et fit signe à Dina de descendre. Il fallait retraiter, s’organiser au mieux avec les forces en présence. Sapristi…et dire qu’à une époque, il aurait fallu une demi-journée pour virée manu militari un bande de la sorte. La nuit tombait. La tête penchée, il se déplaça pour rappeler le lieutenant Pégasine et le fantassin Pontarlier tous allaient repasser le pont enjambant le Doubs à la faveur de la brunante.

Boulevard Gundard, devant le 77, Zéphirin avait établi campement directement à la rue à l’abri des regards. La forge était un atout non négligeable pour l’ancien chef ingénieur de Dole. Bonne nouvelle en provenance d’un coursier, un groupe de militaires comprenant quelques archers seraient présent au matin. Se frottant les mains au petit feu alimenté par des bouts de planches ayant fais les frais des combats du jour aux rues avoisinantes, Zephirin cherchait..et cherchait. Se passant la main au visage, le lourd artilleur soupira. Il fallait frapper pour ralentir leur installa…

Bougre !! Pontarlier !! La tour de la porte St-Pierre !! Il est une grande arbalète à tour..si...

Lançant le petit bout de bois à ses mains directement au feu, le colosse pivota et s’engouffra à la forge. Quelques outils, un cordage à l’épaule, une masse et baissant la tête au portique, il déboucha à la rue en commandant quelques personne avec lui.

Venez !! La nuit sera courte compagnons.

Ils s’étaient activés en vitesse. Voilà bien deux ans que l'artilleur de machines de guerre n’avait pas démonté et remonté l’un de ces engins. Descendant les colimaçons des tours avec sur l’épaule les lourdes pièces, les hommes et femmes avaient transportés, en évitant le secteur de la mairie et remonté le tout rue Dwiral, juste à l’intersection avec le chemin du Doubs, de nuit et non sans peine. Protégé par les bâtiments avoisinant, ils auraient l’avantage un temps. Y avait t’il un nom plus prédestiné pour foutre la pagaille et exaspérer des assiégés que…Dwiral ?



Revenant vers le campement de fortune, l’ex-sénéchal fit part de son plan à ses forces profitant des dernières heures de nuit, pendant que d’autres reprenaient des forces sur deux ou trois heures de sommeil.

Au matin du 21, en voyant poindre les premières lueurs de l’astre orange, Zéphirin fronça le nez et tira fermement sur l’anneau en gueulant.

LANCEZ !!!!

Ramenant le bras en vitesse en posant le genou au sol, il entendit le bruit de la goupille sortir du trou déclanchant le mécanisme de torsion au pas de tir. Dans une traîné rapide, un trait de bois de près de 8 pieds avec une pointe de fer martelé s’arracha de l’arme et fila droit vers le bastion avant à l'église.

Avant même le résultat de la frappe, l’artilleur se releva se sentant revivre d’un coup et se propulsa en bordure la machine plaçant la goupille au trou, se relevant pour l’enfoncer avec son pied tout en criant ses ordres.


AJUSTEZ !!!!

Poussant légèrement la machine à la droite, l’ajusteur cria à son tour

ARMEZ !!!!

Deux hommes se précipitèrent aux poignées et à un rythme effréné s’activèrent à tendre le mécanisme. Rouge et à bout de souffle, l’un deux cria.

CHARGEZ !!!

Se penchant en vitesse, l’homme à la gauche de la machine déposa un second trait et l’appuya au fond avant de reculer en vitesse.
Serrant les dents, le charpentier leva le bras une seconde fois en grommelant.

Bon matin…messieurs, dames. La Franche-Comté...vous salue.

LANCEZ !!!

Dans la même motion, il tira à la corde en ramenant le poing et le genou au sol en écoutant le doux son de ce mécanisme regardant voler le trait par-dessus le Doubs vers les portes avant. Sale journée pour celui qui serait…derrière les portes.

Pendant l’opération, les fantassins et les quelques hommes en renfort avaient eu pour mission de traverser le pont et de placer trois énormes portes de chêne clouté arrachées en guise de mantelet pour couvrir une avancée. La face ouest du 192 place de l’église servirait de relais pour mettre a l’abris les attaquants.
Dina et quelques archers couvriraient des rives du Doubs cette percée matinale. Se hissant sur sa machine de guerre, l’artilleur donna le signal. Il espérait que cette assaut porterait fruit… au moins pour permettre de tenir des positions.


FONCEZ !!! MAINTENANT !! PLACEZ NOUS CES PORTES !!
DINA !!! LE BASTILLON !!! ARCHERS !! TIREZ AU BASTILLON !!


Descendant aussitôt…il replaça la goupille.

Compagnons ! Ajustez !!! Je ne veux pas l'un de ces gueux sortir de l'église pendant que nous prenons place !! ALLEZ ARMEZ !!
Meliandulys
La nuit précédente, guidé par le vieil homme certes pas très rapide mais dont l'expérience parlait pour lui, les quatre compagnons étaient parvenus, sans grande difficultés ma foi, à passer la frontière séparant la cité bocane de la nouvelle république libre réformée.

Mélian n'avait d'ailleurs pu réprimer un rire franc devant le manque d'organisation des armées comtoises, se demandant par quel miracle ou grâce à quelle incompétence, sa route ne s'était pas arrétée sur le bas côtés d'un chemin, la tête à coté du corps.
Des nouveaux bras armés avaient donc rejoint Pontarlier afin de combattre pour cette noble cause. Et encore d'autres allaient arriver, il le savait...


Enfin il y était, enfin il participait à ce grand combat, il ne faisait plus qu'un avec cette noble cause.
Des révoltes avaient eu lieu cette nuit, le combat avait fait rage, mais ils avaient tous fait corps et avaient résisté, une nuit de plus.

Bientôt les armées comtoise se casseraient à leur tour les dents sur la farouche volonté de ces hommes et sur leur désir ardent de liberté.

Mélian avait été pris a partie rapidement par un comtois féroce, qui semblait certes pas bien futé, mais le bougre était diablement bien bâti. Et au final le faux-cultois se révéla n'être pas des plus téméraire et la détermination qu'il lisait dans les yeux de l'ancien avoyer suffit à le faire retourner chez môman la queue entre les jambes...

Le jour nouveau pointant le bout de son nez, la relève arrivant, Mélian retrouva le brother Andrew en taverne. Il se rendit alors compte que le combat le plus virulent s'y déroulait, les mots remplaçant l'acier, et qu'il serait sans doute bien ardue de réparer les dégâts causés par quelques curetons bien pensant dans certaines têtes facilement influençables... le nez d'Andrew s'en souviendrait sans doute quelques jours encore...

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« Florebo quocumque ferar »
Genevois, Républicain, Réformé
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