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[RP] Pon' pon' pon' pon' ...

Nayame



[Campement franc -Veillée d'armes]

Naya s'était mise dans un petit coin, près d'un arbre. Silencieuse et discrète, le regard fixe vers ses frères et sœurs. Elle écouta les mots prononcés par le Grand Maistre. La main portée à sa croix de baptême qui ne quittait jamais son cou, elle le serra fort entre ses doigts comme pour accompagner la prière de Sabotin. Tous les frères francs avaient besoin d'être revigorés et c'est ce qu'il faisait avec la plus grande habileté. Elle était fière. Satisfaite, ses lèvres esquissèrent un sourire.

Elle n'avait jamais vu telle cérémonie et c'est le cœur serré qu'elle glissa ses doigts sur son autre pendentif, une fleur de jasmin. En son cœur, alors que chacun leur tour ils levaient leurs épées dans une prière, elle dit à l'intention de celui qui lui avait offert...Regarde nous ce soir. Soutien nous ce soir. Nous somme là pour continuer ce pourquoi tu as donné ta vie.
Epsonstylus
Depuis Dole :

Pas d'étrangers réformés en vue depuis les remparts, erf sa fronde ne sert décidément à rien par chance une plume traîne avec un encrier et un bon vieux parchemin à peine jauni.

Citation:
A GM premier Roy des francs,

J'ai appris que le bouillon vu presque servi aux grands félins cette nuit.

Je suis bien contente, même si je n'ai pas pu leur en servir un peu.

Je suppose que nos sujets se portent à merveille et que eux aussi vont bientôt se réjouir de décorer leurs modestes demeures de trophées de chasse. Ah que de souvenirs ! Souviens-toi du Sphynx, car malgré sa tête humaine, son corps reste celui d'un animal sauvage...

Mes chatons se portent bien.

Entre le Cancer à l'ouest et la Vierge à l'est. Attention à ne jamais attaquer l'élément de feu un dimanche, alors que les jonquilles sont les plus jaunes possible. Même si son point faible est le coeur gardes-toi bien d'attaquer en journée, car c'est lorsque le soleil est à son zénith que cet élément est le plus puissant.

Bonne chance !

Mon coeur vous accompagne et mon âme aussi.


Et hop le faucon plus vif qu'un simple pigeon et surtout plus discret, partit direction Pontarlier pour atterir chez les francs.

*Si vous ne comprenez pas tournez vous vers les astres.
Kirkwood
L’assaut ennemi était repoussé ? Pour peu de temps sans doute ? On en était pour l’instant à compter morts, vivants et blessés et faire les comptes des armes. Uewen récoltait les informations, donnaient des conseils et semblait déjà organiser une contre-attaque. Une de ses théories, d’après Vittorio. Si c’était possible, penser à contre-attaquer très vite après avoir subi soi-même…

Ouais, ça laissait quand même le temps à Kirk de faire de qu’il s’était dit. L’ambiance devenait très vite chaude, en ce moment, alors, ben, fallait être honnête, il n’aurait peut-être pas autant de chance la prochaine fois… y’a des choses qu’y fallait faire dès que possible.

On lui indiqua Chevesche, il alla jusqu’à l’homme qui animait indéniablement la résistance des républicains en l’église. Toujours plein d’énergie, l’homme distribuait des ordres et veillait encore et toujours à la défense. Pas à dire, il était pas submergé de sommeil, lui, veinard, ça changeait…

Mais ça ne changeait rien à ce qu’il venait lui dire.

Chevalier Chevesche ? Enfin, j’savions point si c’estions vot’ titre pasqu’on s’connaissions point. J’vous souhaite l’bonjour, j’estions Kirkwood, sicaire d’arme en la lance de l’Hauptmann Uewen, mais j’estions aussi Lecteur réformé. J’dirige la cérémonie au culte, quoi, en chantant, en faisant un p’tit sermon, c’genre de trucs, quoi…

Mais attention, Lecteur, z’hein, point z’une cochonnerie de curé gras z’et malveillant comme l’curé Pincettes du copain languedocien, là, Coulondre, z’avez dû l’voir avec son crochet au bout d’la main, pis surtout l’entendre, pasqu’il avions un d’ces accents, j’savions même pas qu’c’était possible d’parlationner comme ça !

Chevesche dû se demander ce que lui voulait ce gars, bien baraqué certes, encore que peu être trop du côté de l’abdomen, vêtu comme un sac à maïs qui aurait connu des jours meilleurs, et laid comme…
Ouais, ce sont les hommes qui en parlent le mieux, comme avait dit quelqu’un…
Sa barbe lui mangeait le visage, ce qui ne contribuait pas à le rendre plus agréable à contempler. Bon deos, s’il était marié, sa femme était sûrement damnée !
Les yeux de l’étrange sicaire avaient brillés de colère quand il avait envisagé qu’on le confonde avec un prêtre orthodoxe. Ils avaient repris leur tranquillité canine ou bovine (il était difficile de se prononcer franchement) dans l’évocation amicale d’un compagnon d’arme.
Kirkwood
Chevesche devait se dire sans doute que l’arme principale de ce type, c’était la parole : il était saoulant, mais saoulant, avec son débit ininterrompu !
Peut-être cette impression se vit-elle sur son visage, car le grassouillet s’interrompit brutalement et reprit très vite, comme ayant la peur d’être coupé par quelque chose.


C’estions juste pas longtemps, hein, j’me doutions bien que vous estions ben occupés avec toute l’énergie qu’vous mettez à mener la barque d’la défense, et sachant l’âge du capitaine, tout ça…
Brefle, c’estions des remarques qu’y s’faisions entre sicaires, pis aussi avec certains volontaires z’et aussi des Pontissaliens républicains, d’ailleurs. C’estions point méchant, z’hein ?
C’estions juste une remarque, voyez ?

On s’disions juste, avec les camarades, qu’vot’ énergie estions splendide, mais qu’peut-être vous pourriez, quand vous l’pouvions, limiter un peu les dégâts sur la ville, non ?

J’voulions dire, voyez point l’mal, hein, mais par exemple, nos derniers tirs sur les baraques en face, c’estions point vraiment obligé z’et utile d’enflammer nos projectiles, hein ? J’avions demandé à des z’anciens qu’ont fait plusieurs campagnes, comme hommes d’armes. On aurions fait les mêmes dégâts sans, hein ?
Bon, la colère, c'estions normal en plein combat, hein ?

Enfin, c’estions qu’un exemple. Et bon, on s’disait, z’avec les gars, bon, c’estions point qu’on soient tous la conscience sans tâche, hein, mais bon, on s’disait que puisqu’on étaient là pour aider nos frères de Pontarlier à s’libérer du joug des aristos, c’estions peut-être point nécessaire d’commencer par détruire leurs baraques ? Quand c'est point utile pour la défense, quoi...

Même si qu’on voulions renverser les aristos et l’Église Aristotélicienne, c'estions point le cas du monde qu'estions création d’Deos, on n’allions pas tout l’renverser, s’pas ? Pas plus que nécessaire ? Et là, tout n’estions point nécessaire.

Les statues, si dans l’cas qu’c’est indispensable, j’disions point, pasqu’il faut s’défendre contre ses z’ennemis ! Ca c'estions sûr !
Mais sinon, j’les aimions bien, moi, leurs statues aux orthodoxes ! Simplement, j’les prions point.
Elles embellissent la vue, elles apaisent l’âme, pasque le sculpteur, il avions mis tout son amour pour Deos dedans, c’estions aussi l’amour et la fierté d’son travail !
Les détruire sans nécessité, c’estions pas très aristotélicien, quoi… Comme les maisons…

Voilà, c’estions ça qu’je voulions vous dire, et c’estions mon idée, mais aussi celles d’un certain nombre des camarades…

Kirkwood priait pour deux choses : qu'un attaque n'ait pas lieu maintenant (qui que soit l'attaquant !), et que l'officier ne se mette pas en colère. Ce qui n'était quand même pas un objectif très sain, quand on n'est soi-même que soldat...
Lothilde
Pontarlier - nuit de révolte

C'était l'heure. Un coup bref frappé contre l'huis de sa chambre . C'était le signal. Depuis un bon moment déjà Lothilde était en embuscade en retrait de l'arcade de la fenêtre et épiait les passages qui se faisaient plus furtifs depuis la tombée de la nuit.
Relâchant la tenture qui masquait l'ouverture, elle ramassa ses gants de maille sur le coffre et boucla sa ceinture avant de glisser son épée au fourreau. Comme chaque soir, elle allait emprunter les dédales des chemins et des venelles qui lui permettraient de rester invisible des ennemis...Elle avait sur eux cet avantage d'avoir grandi ici et d'en connaître les moindres recoins pour pouvoir se dérober aux regards...

Elle traversa la petite chambre et fit demi-tour devant la porte, hésitante, et finalement se débarrassa de sa cape en la lançant sur le lit. Trop voyante..Évitant la traversée de la salle de l'auberge, elle se faufila par les cuisines et enjamba le muret du jardinet à l'arrière pour sauter dans un passage étroit.

Comme à chaque fois, elle sentait son cœur s'affoler et longeait au plus près les murs aveugles de l'arrière des maisons en maintenant la main à la garde de son épée pour en éviter le cliquetis à la marche... Retrouver sa section et le gros sénéchal et attendre les ordres...ça c'était habituel...ce qui l'était moins c'était de se retrouver seule sans avoir derrière elle une rangée de soldats...il lui arrivait de regretter leur présence rassurante..

Des pas et des bruits de voix...deux ? trois ? plus !! amis ? ennemis ? Pas le temps de vérifier..ils allaient arriver à l'angle de la ruelle et se retrouver nez à nez. Seule contre plein, non...fallait pas non plus jouer les héroïnes, même la pucelle Jeanne se serait débinée dans sa situation.

Elle s'accroupit à toute vitesse devant un soupirail et laissa pendre ses jambes dans le vide d'une cave avant de s'y glisser en cramponnant les mains à la bordure de pierre et retint un juron en s'y écorchant le bras...le pied battant le vide sous elle à la recherche d'un appui, force était de constater qu'elle n'était pas en position très avantageuse...


Il se dépêchent de passer, les lionceaux, oui ! ...vais lâcher...c'est ça, bonne idée...pissez-moi dessus...


Ils repartaient...Ouf...Elle se hissa à la force des poignets en soufflant comme un dahut, tâtant du bout de ses bottes pour s'accrocher aux aspérités du mur et parvint à s'appuyer sur les coudes...Rien à gauche, rien à droite...Rampant sur le ventre elle se remit rapidement debout et reprit son avancée vers le camp retranché des soldats comtois en allongeant le pas.

Parvenue au campement, tournant autour des trefs, elle fouillait du regard les zones obscures autour des foyers allumés en essayant de ne pas se cassez la figure ...Une voix suave aux accents mélodieux qu'elle connaissait bien la fit sourire...Il était dans le coin, le chef des manoeuvres, le roi des couillards et le maître du harem...Contournant le dernier foyer son regard s'arrêta un bref instant sur une femme à la peau sombre en train de remuer un infâme brouet dans une grande marmite et sans plus y prêter d'attention, se mit à la course pour retrouver son unité au moment de l'assaut...

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Danytr
En retard, le jeune lieutenant arriva à la course, faisant le moin de bruit possible, regardant rapidement à l'horizon pour voir s'il ne verrait pas d'ennemis. Il tentait de ce trouver une cachette, ne savant meme pas ou ses propres alliés étaient. Il apercu l'église, il pensait que la cachette serait génial! Ne voyant personne, il baissa le haut de son corp pour être moin grand et courru jusqu'à l'entrer. Ouvrant la porte et la faisant glisser tranquillement. Il voullait faire le moin de bruit possible au cas ou...

Une fois dans l'église il regarda tout au tour de lui et apercu un tas de débris. L'endroit était génial! Il s'y glissa et retena un cris de surprise... Son frère était la, bouteille a la bouche!

Mais que fais tu la? chuchota t-il tout de même heureux de ne pas être seul! Il regarda sa bouteille dans la main. Tu es sur que le capitaine approuverait ca? demanda t-il tout bas... A l'affut d'ennemis...
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Fait par c'est merveilleuses artistes
--Orthogonal


Quartier-général de campagne de l'État-major des forces aristocratiques comtoises

Salieri cherchait désespérément quelque chose pour couper à l’obligation d’expliquer les tribulations du Ritter Teutonique Hoffmann à Amadeo Dalondo Macaronissimo Chiantissimo, l’ambassadeur de la Sérénissime République de Venise en voyage vers la cour du roi Levan.

Malheureusement, Amadeo avait bien vu à quel sous-officier il s’était lui-même adressé pour avoir des renseignements à ce sujet, et il n’avait pu manquer de remarquer son retour. Il réfléchissait autant qu’il pouvait, mais Amadeo semblait lui pomper toutes ses capacités, il ne trouvait rien…
Et Amadeo se tourna vers lui et lui demanda :
Alora, qué cé qui se passa, avéc votre cavalierri Hoffmann qui coure sans arrêt avéc una lança d’una muraille à l’ostra ?

- Hé bien, il tente de disperser les attroupements séditieux, Vostra Excellença, mais ses déplacements à pied ne rendent pas les choses faciles et il semble que les Républicains s’amusent à pousser la chansonnette contestataire à seule fin de briser le moral de nos troupes…

Ah si ? Comme ils esta méchantis, ces Républicanis ! Ma, ma, dites-moi, Capitani Salieri, vous qui connaissez bien la musica, pourquoi envoie-t-on uné cavalierri à pied pour cé genre de missioni ?

Uné cavalierri à pied. Si, si.
Totalémenté stupefianté, quelle originalité, ici, en Franche-Comté ! Vous êtes à l’avant-pointa des techniques de combattimento et de gouvernementario ! Jé pense qué la Sérénissime et le roi Levan seront passionatos de ces nouvelles et brillantissimes idées…

Les membres de la lance d’Hoffmann pleuraient maintenant comme des madeleines, à tel point qu’on les avait relevés de cette mission pour les envoyer vers l’église. Un peu d’action leur ferait du bien. Enfin, le médicastre estimait que c’était ce qu’il y avait de plus simple, sinon il avait aussi un traitement très coûteux à proposer, mais les autorités comtoises n’avaient pas trouvé au goût de leur trésorier…

Salieri pensait ne pas pouvoir déprimer comme Hoffmann et les siens, mais il n’en était plus très sûr à présent.
À la limite, se faire catapulter dans les rangs ennemis pour espérer les perturber avant de mourir… ?
Doko
L'assaut d'hier avait été encore un échec.
Fasse à une artillerie qui empêcher tout assaut frontal que pouvait les quelques soldats de métier et les révoltés de Pontarlier avec leurs arcs et leurs flèches.
Mettre le feu à l'église pour faire cesser cette mascarade?
Généralement ce type de bâtiment avait du mal à flamber et les aristotéliciens intransigeant risqué de l'écorcher vif si il proposé l'idée.
Non il allait falloir effectuer un assaut massif des armées avec le soutien d'une artillerie conséquente qui fera la différence, comme l'avait montré la bataille de Castillon *.
Mais Doko pensa aussi qu'il n'en était pas encore là et que à force de se perdre en conjonctures sa lame allait s'émousser
Finissant de déguster une verre absinthe il se prépara pour l'assaut de ce soir
De la fureur et du sang en perceptive.


*Dernière grande bataille de la guerre de 100 ans qui fut une défaite pour les Anglais.
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Bestia sumus, ut non bestia simus (Nous sommes des bêtes, de peur de devenir des bêtes)
Sofialaurine
UN PREMIER PIGEON ETAIT PARTI EN DIRECTION DU CAMP DU GRAND MAISTRE.....(secret défense)


UN SECOND PIGEON ARRIVA DANS L'EGLISE...se posa sur l'épaule d'un habitant de Pontarlier ....

le message était simple et court!....


"SORTEZ VITE DE L'ÉGLISE....N'AVEZ-VOUS PAS VU QU'ELLE PREND FEU!!!...
LE TRIBUNAL RÉVOLUTIONNAIRE PREND FEU!!!!..."


"TOUS LES ALLIES PRÊTS AUTOUR DU TRIBUNAL RÉVOLUTIONNAIRE!!!..."
Luckylucke
luckylucke s'exécuta ,et trouva une bonne planque a couvert ,prêt a suivre l'ordre prochain d'attaque,il s'installa le mieux qui pouvait pour ne pas être repérer par les malandrins retrancher dans l'église et pour éviter de recevoir des projectiles de tout sorte
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Sempre Fidelis honneur et courage Pour la Patrie!!!!
Danytr
Apprenant que l'église allait être en feu bien vite, il sortit rapidement trainnant son frère avec lui. Il tentèrent ce trouver une autre plante, bien sécuritaire et pr^t a l'attaque!
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Fait par c'est merveilleuses artistes
Djvier69
Révolte de Pontarlier, point de vu de Djvier

Cela fessait 2 jours que la garnison de Dole était sur place, soucieux de veiller sur ces hommes et a ne pas donner un ordre qui pourrait causer des dégâts, il n’avait pas remarqué la présence de certain ami(e)s non loin de lui.

Au petit matin, l’ambiance était plus calme car la nuit fut très agiter. Nous n’étions pas a l’abri de ce prendre un carreau d’arbalète perdu si nous restions a découvert trop longtemps. Voyant Doko, finissant de déguster son verre absinthe au loin et de ce préparer pour l'assaut ce soir. Le colosse s’approcha tout en assurant ces arrières …

Alors Doko, cher ami, puis je me joindre a vous ! M’offrez-vous un verre de cette délicieuse boisson ? Je n’ai pas encore vu Lothilde, elle est dans le coin ? Et le Sénéchal ? Lui aussi est présent ? Spike ne devrait pas tarder non plus … j’ai hâtes que nous soyons tous ensemble …
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Pegasine
Pégasine s'était trouvé un coin à l'abris et avait fabriqué une grande quantité de petites flèches pour son petit arc.
Son carquois était désormais remplit
Sortant de sa cachette, la jeune femme profita d'une accalmie pour distribuer pain et eau aux hommes qui se trouvaient dans les parages.
Soudain, une flèche attira son attention.
C'était une flèche en feu qui se dirigea droit sur son objectif.
Avec un petit sourire, elle regarda la direction d'où provenait ladite flèche : la position de son amie Princess. C'était à deux pas. Rasant les murs, décochant des flèches quand nécessaires, Pégasine arriva devant la maison.
Un bruit lui fit lever les yeux... Une boule de feu... Une boule de feu se dirigeait droit sur la maison.

Ouvrant la porte à la volée, Pégasine chercha du regard Princess.


Princess, vient vite...

L'attrappant pas le bras, elle se dirigea vers la porte resté ouverte.

Dépêches-toi, la boule de feu...vite, vite viiiiiiiiiiiite

La porte était là, à quelques pas.
Tirant plus fort son amie vers la sortie, Pégasine vit la boule de feu finir son arc de cercle.
Regardant Princess, elle la tira d'un coup sec pour lui faire passer la porte mais trop tard, sous le poid du boulet, le toit s'effondra et pris feu, faisant des deux femmes ses prisonnières à quelques pas seulement de la porte.

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Doko
Doko se retourna vers le colosse qu'il accueilli d'un sourire

Tiens tiens ça fessait longtemps que je t'avais pas vu l'ami.
Dommage qu'il faut que cette ville soit à feu et à sang pour que on se rencontre à nouveau...
Hum tu veux de l'absinthe?
Mais je t'en offre volontiers un verre mais prend garde à ne pas en abuser, ça tendance à avoir de drôle d'effet parfois


Doko rempli un verre de cet boisson envoûtante pour le tendre à Djvier
Puis il continua d'astiquer son épée tout en parlant à Djvier


En ce qui concerne nos deux camarades ils sont bien là.
Et heureusement qu'ils sont là car il faut bien des personnes d'expériences pour lutter ces brigands qui serait mal venu de sous estimé comme on l'a fait par le passé
Tu me dis que la maître...euh que Spike va venir?
Voilà qui me réconforte pour la suite car nous avons besoins de tout l'aide possible

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Bestia sumus, ut non bestia simus (Nous sommes des bêtes, de peur de devenir des bêtes)
Jerone
Le plus fou des officiers de l'armée comtoise venait de debarquer à pontarlier pret à faire un siege de l'armée. En effet il avait emmener tout ce que son ane pouvait porter et tirer, autant dire beaucoup, il avait 3 épées, une hache, un couteau et un baton avec son bouclier pour completer sa panoplie vestimentaire. Vetu de son chapeau de paille renforcé, portant son uniforme d'aspirant Maitre d'Armes reglementaire mais privé de tout ce qui ne servait pas soit ses medailles. Le dolois avait aussi emmené de quoi faire sauter le chateau de dole en poudre et une arbalete à tour ainsi que des traits. L'ancien Sapeur-Artilleur destructeur en suisse etait de retour face au meme ennemis avec la meme arme. La Franche-comté venait d'etre attaqué par les Lions de Judas et bien la FC allait lourdement leur repondre c'est bien pour cela que le destructeur le plus chevronné de l'armée etait ici à pontarlier afin d'assouvir son envie destructrice.
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