Fralis
Le brun ne pouvait s'empêcher de sourire quand il regardait la tatouée. À chaque minute il s'apercevait d'un détail sur son visage, ou dans son expression qui lui plaisait et il ne pensait plus. Elle répondit à sa question par un baiser dans le cou, durant lequel il ferma les yeux, savourant la douceur des lèvres sur sa peau, et retenant ses envies les plus primitives. Il savait qu'il leur faudrait attendre, et même si ce n'était pas loin, c'était toujours trop.
Des commanditaires ? Ou des pauvres voyageurs aux poches trop chargées ?
Il rit, et l'écouta tandis qu'elle déroulait son planning de la journée. Elle avait prévu l'entrainement de son fils, une journée basée sur le bon temps et un peu d'exercice. Puis elle s'approcha de lui, et corps contre corps, elle lui fit une grimace d'ange. Il ne pourrait pas y résister longtemps à ça ! Et de cet air elle demanda si il devait obligatoirement travailler. L'éternelle question. Pouvait-il dire que personne n'était obligé de travailler ? Oui il en avait envie. Mais c'était une obligation à laquelle il ne pouvait se soustraire. Aussi il l'embrassa tendrement - ça avait fini par être trop tentant - et répondit avec un sourire.
Disons que je suis obligé d'aller travailler, mais que je ne suis pas obligé d'y passer la journée. Je te rejoindrai, vous rejoindrai, et tu auras la surprise de l'heure.
Il sourit malicieusement, et ajouta.
Par contre j'ai un peu de temps pour toi avant d'être réellement contraint de sortir.
Il appuya son propos en glissant une main dans son dos, la collant à lui pour un baiser plus passionné. Il était imprégné de son odeur, et sa peau était comme du sucre à ses lèvres.
Il n'était pas près de se lasser d'elle.
Des commanditaires ? Ou des pauvres voyageurs aux poches trop chargées ?
Il rit, et l'écouta tandis qu'elle déroulait son planning de la journée. Elle avait prévu l'entrainement de son fils, une journée basée sur le bon temps et un peu d'exercice. Puis elle s'approcha de lui, et corps contre corps, elle lui fit une grimace d'ange. Il ne pourrait pas y résister longtemps à ça ! Et de cet air elle demanda si il devait obligatoirement travailler. L'éternelle question. Pouvait-il dire que personne n'était obligé de travailler ? Oui il en avait envie. Mais c'était une obligation à laquelle il ne pouvait se soustraire. Aussi il l'embrassa tendrement - ça avait fini par être trop tentant - et répondit avec un sourire.
Disons que je suis obligé d'aller travailler, mais que je ne suis pas obligé d'y passer la journée. Je te rejoindrai, vous rejoindrai, et tu auras la surprise de l'heure.
Il sourit malicieusement, et ajouta.
Par contre j'ai un peu de temps pour toi avant d'être réellement contraint de sortir.
Il appuya son propos en glissant une main dans son dos, la collant à lui pour un baiser plus passionné. Il était imprégné de son odeur, et sa peau était comme du sucre à ses lèvres.
Il n'était pas près de se lasser d'elle.