[RP] L'action de Pam, repentir [Parodie]

Père.Confesses est comme tous les pères, il aime les confesses, et particulièrement les fesses. C'est que toutes les églises n'ont pas de bonnes subventions, et qu'avec si peu de générosité, le pauvre Père.Confesses n'avait pas l'opportunité d'offrir à son confessionnal une jolie paire de fesses d'une professionnelle. Alors quand un fessier vient s'affaisser pour se soulager, le Père.Confesses est forcément très satisfait.

Une paire de miche entra, et lui adressa la parole, le Père.Confesses, fort ravi, sourit de son air le plus malicieux qu'il pu. Il dévisagea la blonde. C'est qu'avec l'âge il n'était plus difficile et savait se contenter de ce qu'il recevait, hommes, enfants, cadavres... Mais une femme, et blonde, restait sa collation préférée. Elle lui plaisait bien, une jolie bouille, même si son esprit vagabondait déjà à d'autres facettes de sa personne.

Bonsoir, mon enfant... Mais quel délicieux enfant! Vous, un acte inhumain, mais voyons... Rien n'est inhumain, ici, dans la maison du Saigneur. Venez donc, faites moi profiter de vos déboires... Parlons-en, parlons y, et peut-être finirez vous par obtenir votre pardon... Mais le chemin de la rédemption est long et dur... Le Père.Confesses ne put s'empêcher de retenir un rire malsain. Mais venez, parlons en dans cet endroit sombre qu'est mon fess... Euh, confessionnal. Prenez y place, et détendez-vous.

Toujours le sourire malicieux affiché, il montra du regard le confessionnal à l'individu.

Pam était blonde, elle avait tout ce qu'il faut où il faut... elle courait sur les remparts car elle aimait aguicher les gardes, détourner leur attention. Elle alla vers la tour principale de la cour mais n'avait pas lassé ses chaussures, elle ne savait pas non plus compter deux par deux.

Bref elle trottinait, il était 10h du matin il faisait soleil, chaud malgré la neige qui tombait et puis. Non rien un flocon ! deux secondes à regarder le flocon tomber et s'en était fini ! elle venait de tomber à terre. Mince mon ongle s'écria t-elle ! dans la vie d'une blonde yavait deux choses qu'il fallait pas faire : d'une sortir sans sa coiffe et de deux attentat à sa beauté alors là s'était la cata !

Pam était en colère vraiment en colère qu'elle jeta à terre sa besace, fichu lacet ! et la chausse vient atterrir dans la tête du garde en faction le pauvre assommé sur le coup et par une blonde qui plus est ! Pour le réveiller elle lui asséna quelques coups à la tête avant de se dire que ça pouvait empirer la chose.

Ni une ni deux mais Cinq minutes plus tard la blonde couru vers le tribunal avant de se rendre compte qu'elle voulait aller à l'église... une vraie blonde se doit de changer au moins trois fois d'itinéraire pour feinter l'ennemi mais pas le temps ! fallait qu'elle aille à la confesse. Oui vous vous rappelez la règle numéro deux ! attentat à la beauté... bin voilà qu'elle avait l'ongle cassé alors tout son monde s'écroulait. Mais comment allait-elle survivre ?

Pam entra. et regarda tout autour pour que personne ne la voit et.
La voilà dans le confessionnal, il était 13h30. Comment elle le savait ? bah c'est simple ! quand le soleil passe à travers la moitié de la rosace du côté droit de l'aile nord de l'édifice et que Fernand le jardiner range la brouette pour la chopine il est "un d'mi !"

Bref elle trouva le père confesses sans problème car s'était son métier, compter les cierges, boire le vin de messe tout ça tout ça...

Mon père, je souhaite vous parler, j'ai commis un acte auquel, je ne pensais pas qu'il m'arriverai, j'ai commis un acte inhumain, puis-je vous en parler, car j'ai aujourd'hui besoin de vos conseil ?

Il l'invita rapidement à entrer dans ce qu'il appelait le confessionnal, s'était drôle cette petite pièce, Pam se posa pleins de questions sur cette petite pièce. Et puis ce fut le drame, elle se retourna ahurie elle ne se rappela plus ce qu'elle venait faire. Depuis sa tendre enfance Pam souffrait de pertes de mémoire et il ne lui suffisait que d'un demi tour et hop ! les phrases et les pensées envolées.

Sans savoir pourquoi elle pénétra et s'assit... Rapidement elle aperçu une fente à sa gauche au beau milieu de la cabine. Etrange. Elle tira sur le rideau pour cacher puis rouvrit et recommença son geste plusieurs fois avant d'entendre la toux agacée ou gênée du père.

Oh mon père vous êtes là ! belle journée n'est-ce pas ? je voulais vous voir car j'ai commis l'irréparable ! un acte inhumain... j'ai besoin de vos conseils.

A peine eut-il le temps d'ouvrir la bouche qu'elle ferma le rideau puis l'ouvrit à nouveau.

Le Père.Confesses est, comme tous les hommes de foi, consacré à son culte. Mais comme tous les hommes, le curé est sacrément content quand une damoiselle vient lui quémander conseil. Il était donc naturellement concentré sur cette affaire. Mais malgré tout, il ne parvint pas à saisir les paroles de la blonde. C'est que la blonde était fortement confuse, elle ne semblait pas trop savoir ce qu'elle foutait là.

Il tentait d'observer la jeune fille du coin de son oeil pervers, mais elle n'était vraiment pas banale. Elle gigotait, s'amusait avec un simple rideau et finissait par en oublier ce qu'elle était entrain de faire, un personnage très consternant en soit.

Bref, le prêtre perdait patience, bien qu'il fut confiant au début, la scène ne se passait pas du tout comme il l'avait espéré, il imaginait déjà la voir en pleure, se voir la consoler et finir par voir ses yeux emplis d'un mélange de remerciement et d'affection. La suite de la scène restait bien sûr gardée dans les recoins de son esprit, de peur de s'émoustiller d'avance.

En attendant qu'elle finisse de gigoter, le Père.Confesses jeta un oeil à son accoutrement. Il était fort congrus, de l'extérieur. Mais sous sa robe de curé, Dieu seul sait qu'il serait condamné si ses supérieurs savaient ce qu'il y cachait. Il était vêtu d'un porte jarretelle. C'était son plaisir coquin, il s'y sentait bien, et puis, il se sentait confortablement assis ainsi.

Le bougre eu un sourire quand il imaginait la réaction de la blonde si elle découvrait ce détail, en espérant qu'elle soit consommatrice de ce genre de fantaisies. Il secoua la tête vivement, il ne fallait pas laisser ses pensées prendre le pas. Il regarda à nouveau la jeune fille, patientant qu'elle eu finit ses gamineries.

Bien, ma fille... Je ne puis vous apporter mes bons conseils si vous ne commencer pas par vous confesser.