La nouvelle était venue.
... et la cathédrale toujours aussi vide.
On y voyait quelques traces de velléités d'efforts du bedeau : des bancs mieux rangés, une tentative d'épousseter et balayer qui partait en spirale à partir de l'autel, et qui arrivait péniblement jusqu'au niveau de la chaire et du tabernacle.
Puis les signes des hôtes de ce lieu, volatiles perdus, rongeurs et chats qui se donnaient la chasse, avec les rongeurs plus souvent dans le rôle de chassé, et ... et bien, j'avais cru reconnaitre les traces de pas discrets et rapides d'une belette.
Je vins à l'autel, saluai mon Dieu, et pris le Livre au fermoir forcé, m'assis sur les marches et le feuilletai.
Bonjorn Mon Dieu.
J'ai été fort troublé par notre dernière lecture, pas tant parce qu'elle raconte, mais par sa simplicité. Je me demande toujours comment Toi, Dieu, pouvais-Tu tant Te compliquer la vie.
Mais ... et bien, j'ai l'impression que l'Essence même de tout cela reste : Tu étais Seul. Tu es amour. Et, amoureux, seul ... et bien, c'est très bête en soi. Et on ne peut aimer par obligation. Il Te fallait créer des êtres libres que Tu puisses aimer, que Tu aimes, et qui puissent T'aimer en retour, ... et c'est compliqué, surtout s'ils sont humains.
C'est une bonne idée d'en élever certains, et de prôner la Vertu, et tout, pour permettre cela.
Quant aux "Dieux payens" ... et bien, je connais beaucoup de leurs légendes. Ils sont tous pris pourtant, d'eros, d'agapè, de philau ... toutes ces manières d'aimer, charnelle, idéale, ou amicale.
Tu sembles bien distant de tout cela mon Dieu ...
Mais je suis fort curieux de l'histoire d'Aristote en Stagire.
Nous poursuivons ? Nous entamons un nouveau livre je crois ...
Ah, voilà !
"Livre de l’Éclipse
Chapitre I - « La lune »
1 L’histoire que je vais vous raconter peut sembler surprenante, mais, lorsque vous l’aurez lue, vous saurez qu’il y a en elle beaucoup de vérité.
2 Un jour qu’il faisait beau, je me promenais avec mon chien le long de petits chemins ondulant entre les champs. Je venais de manger et me cherchais un petit coin agréable où faire ma sieste. En cet après-midi de mai, le ciel était d’un bleu pur, vierge de tout nuage. Les oiseaux chantaient et mon chien courait à travers les blés, poursuivant de petits animaux bien plus rapides que lui. Il aboyait de toutes ses forces dans sa course-poursuite perdue d’avance.
3 La journée semblait belle, mais la présence de la lune dans le ciel en plein jour m’inquiétait. Alors que le soleil était le lieu destiné à accueillir les justes après leur jugement, la lune était le futur lieu de supplice des pécheurs. Le premier était surnommé Paradis, alors que la seconde était appelée Enfer. Le rapprochement de ces deux astres divins en pleine journée ne pouvait qu’être annonciatrice de grands malheurs.
4 Je me baissais pour admirer une petite fleur des prés, mais l’obscurité était telle que je ne pouvais plus la distinguer. L’obscurité, me dis-je? Comment pouvait-il y avoir la moindre obscurité pendant une si belle journée, alors que le soleil était à son apogée? Je levai les yeux au ciel et fus saisi d’horreur: la lune masquait maintenant le soleil, empêchant la divine lumière, source de vie, d’éclairer le monde. Seul un sinistre halo couleur de feu, ceignant l’astre de nuit, témoignait encore de la présence de l’astre de jour.
5 Mon chien s’arrêta d’aboyer. Je me dis, pour me rassurer, qu’il ne s’agissait que d’un de ces événements cosmiques dont les anciens avaient régulièrement gardé trace, et que cela allait finir bientôt. Mais je n’en étais pas convaincu. Le halo de feu donnait à cette éclipse une atmosphère angoissante. Mais il finit par disparaître quand la lune acheva sa conquête du soleil. Il faisait un noir d’encre. Même les étoiles avaient décidé de s‘éclipser. C’est alors que la lune décida de contrevenir aux règles de la physique.
6 Je la vis se colorer de diverses teintes. Au centre de ce disque d’obscurité, des taches de couleurs se mouvaient, comme des oiseaux virevoltant dans le ciel. Elles semblaient livrer batailles, se mêlant les unes aux autres, puis se séparant brusquement. Le mauve se jetait sur le bleu, qui esquivait le turquoise, alors que le vert fuyait le rouge, lui-même poursuivi par le jaune. Puis, les taches calmèrent leurs ébats. Je ne pouvais pas quitter la lune des yeux, alors que je voyais les couleurs se répartir la surface de l’astre de nuit, en un tout enfin ordonné.
7 Elles restèrent ainsi toute une éternité, alors que mon chien geignait, caché dans le champ de blé. Puis, les taches de couleurs surgirent de la lune, telles des carreaux tirés par une arbalète. On aurait dit six rayons de lumière qui déchiraient le ciel en de longs traits colorés. Les couleurs se joignirent en un véritable arc-en-ciel qui vint s’abattre à mes pieds. J’avais devant moi un pont zébré de couleurs, formant une arche qui enjambait la distance qui me séparait de la lune.
8 Je la regardai alors et vis que le pont de couleurs y tombait en une véritable chute de lumière blanche. Je regardai ensuite à mes pieds et vis qu’ils étaient aspergés de la même douce lumière laiteuse. Les six rayons, accolés sur toute la longueur du pont, venaient à ses extrémités fusionner en une même blancheur.
9 Bien qu’étreint par une angoisse indescriptible, je décidai de poser le pied sur cet arc-en-ciel lunaire... "
...
C'est vraiment étrange, en effet ... un pont escalier de lumière arc-en-ciel ...
Moi qui croyais que Tu disais que les fées n'existent pas ?
Par contre, l'auteur, le narrateur a changé ... qui est-ce ? Aristote ? Ou un autre ?
...
"Chapitre II - « Le brouillard »
1 Je marchai donc sur un pont rayé de six couleurs, en destination de la lune, sous un ciel d’encre vide de toute étoile. Le trajet me sembla durer une éternité. Mais, alors que je commençais à désespérer de la distance qui me restait à parcourir, je perdis l’équilibre. En effet, les bandes de couleurs qui constituaient le pont que je traversais se mêlèrent en une seule et unique lumière blanche. Celle-ci, telle de l’eau, s'abattait sur la surface de la lune en une cascade laiteuse. Je m’effondrai pathétiquement au sol et, fortement agacé, me relevai, essuyant la poussière de mes vêtements..
2 Tout autour de moi, je voyais un brouillard blanchâtre peu engageant. Il faisait chaud et moite au sein de cet air dense et irrespirable. J’essayais d’avancer mais mes mouvements étaient lents et maladroits, tant le brouillard semblait s’agripper à mon corps. Mes pieds s’enfonçaient dans le sol mou et visqueux. J’en venais à souhaiter que le vent se lève afin de disperser cette gangue crémeuse qui m’entourait. Mais ce lieu me donnait l’impression de ne pas avoir connu la moindre brise depuis la nuit des temps. C’était la même atmosphère moite qui régnait depuis. Je me croyais dans un tombeau.
3 C’est alors que je sentis une longue langue me lécher le torse. Paralysé par la terreur, je m’immobilisai. Regardant autour de moi, je discernai enfin des formes. Elles étaient innombrables et ressemblaient fort peu à des êtres humains. L’une d’elles, de taille gigantesque se dressa face à moi, et je pus en détailler la laideur. Entièrement nu, ce démon avait une peau lisse, gorgée de sueur, et des jambes arquées, entre lesquelles les attributs de la masculinité s’affichaient sans pudeur. Je vis également que sa poitrine portait les attributs de la féminité. J’espérais découvrir un visage humain, mais, à la place, se trouvait une gueule semblable à celle d’un serpent, de laquelle sortait une longue langue dressée vers moi.
4 Le monstre me dit: “ Je suis Asmodée, Prince de la Luxure. Raphaëlle, Archange de la Conviction, est mon opposée. Celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total vient rejoindre les rangs de mes damnés.” Je ne savais pas quelle réponse donner à une si horrible créature, mais elle n’en attendait pas et s’écarta de mon chemin. C’est alors que je vis un long couloir creusé dans le dense brouillard. Je ne me fis pas prier pour l’emprunter et ainsi échapper à ces bêtes luxurieuses. Le sol était de moins en moins pâteux et devenait de plus en plus sableux. La couleur blanchâtre laissait peu à peu la place à une sombre lueur turquoise.
5 Au bout d’un temps indéfinissable, j’accédai à une gigantesque grotte. Des piliers titanesques soutenaient sa voûte, que j’avais du mal à discerner, étant donnée sa hauteur. Un lac aux dimensions homériques emplissait les lieux. Son liquide, qu’aucune onde ne venait troubler, irradiait d’une sombre lueur turquoise, colorant ainsi toutes les roches environnantes. Aucune vie ne semblait pouvoir se maintenir en ces lieux. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis, parmi les roches qui s’entassaient le long de la berge des formes obscures se lever. Leurs mouvements étaient lents, maladroits, et peu affirmés..
6 Elles semblaient devoir faire un effort surhumain pour entrer en mouvement. Je les voyais toutes pleurer leur état déliquescent et amorphe. C’est alors qu’une gerbe de liquide turquoise surgit de lac surface du lac. Une énorme créature à la peau écailleuse et à la longue queue de lézard surgit du liquide. Surmontant une mâchoire titanesque, deux petits yeux d’émeraude me fixaient. Elle me dit: “ Je suis Belial, Prince de l’Orgueil. Miguaël, Archange du Don de soi, est mon opposé. Celui qui a le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin, vient rejoindre les rangs de mes damnés.” "
...
C'est fort étrange tout cela. Et ... et bien, cela ressemble fort à Aristote, l'homme prudent et observateur, qui ne se nomme toujours pas pourtant.
J'aimerais poursuivre, un peu encore, si tu veux bien ....
"Chapitre III - « La plaine »
1 Belial retourna dans les eaux stagnantes turquoises, qui retrouvèrent leur inquiétante surface lisse. Je remarquai alors une petite barque sur la rive. Comment avais-je pu ne pas la voir avant? Je la pris, ne voyant aucun des êtres amorphes s’y opposer. Je ramai alors pendant des heures, les gigantesques piliers de roche se succédant les uns aux autres. J’avançai de plus en plus vite, mais la joie que cela m’apportait fut vite changée en horreur lorsque je me rendis compte que ce n’était que parce que j’étais aspiré dans un tourbillon. Ne pouvant m’y soustraire, je tombai alors au fond de cet orifice.
2 Lorsque je me réveillai, le corps endolori, je vis autour de moi un sombre couloir. Le sol était recouvert d’un tissu doux et chaud, dont la couleur mauve faisait ton sur ton avec les améthystes qui composaient les murs. Je décidai de suivre cette étrange pièce. Tout au long de mon trajet, je pouvais admirer des tas gigantesques d’or, d’argent et de bijoux le long des murs. Des mets délicieux exhalaient leurs appétissantes senteurs. Des créatures à l'apparence d'humains, hommes ou femmes pourvus d'un corps magnifiques se pavanaient devant moi. Mais je vis surtout de nombreuses personnes, assises, qui dévoraient des yeux ce formidable luxe.
3 Je me demandai pourquoi ils ne s’appropriaient pas ce qui s’offrait à eux, mais je compris bien vite. Un des damnés prit une pièce d’or, mais la relâcha de suite dans un hurlement de douleur. Ces maudits étaient condamnés à convoiter un tel luxe sans jamais pouvoir en profiter. C’est alors que j’entendis un bruit d’ailes et je vis se poser devant moi une créature herculéenne aux grandes ailes de chauve-souris et à la peau couleur d’améthyste. Elle me dit: “Je suis Satan, Prince de l’Envie. Michel, Archange de la Justice, est mon opposé. Celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable, vient rejoindre le rang de mes damnés.”
4 Puis, sans rien ajouter d’autre, Satan reprit son envol. Je repris donc ma marche vers le bout du couloir, que je finis enfin par trouver. La sortie était une petite ouverture chapeautée par un arc-boutant de pierres noires, où étaient sculptés des crânes. J’hésitai à m’engager, mais je me souvins de ce qu’il y avait derrière moi et ne tint pas à y retourner. Je passai donc cette encablure de porte et me retrouvai face à une plaine qui s’étendait à l’infini. Sur mes côtés, je pouvais voir de grandes montagnes rouges circonscrivant avec précisions les limites de ce plat pays.
5 Ce décor pouvait ressembler à un paysage terrestre, mais les montagnes et l’herbe étaient couleur de sang. Le soleil brûlait juste au-dessus de la plaine. Il emplissait la moitié du ciel et semblait être collé à la lune. Il se découpait dans une nuit étoilée qui semblait peser de tout son poids sur moi. Je remarquai un vertigineux pic bleu qui s’élevait au milieu de la plaine, qui atteignait le gigantesque astre de jour. A son pied se trouvait une grande construction de bois. Je décidai d’avancer, afin de rejoindre ce doigt de pierre pointé vers le haut. Mais, à mi-chemin, je compris que je ne pouvais l’atteindre.
6 En effet, tout autour du pic bleu, sur des centaines de lieues alentour, des milliers de damnés se battaient comme des forcenés. Ils n’avaient pas la moindre pitié les uns envers les autres. Chaque occasion était bonne pour arracher un membre à son adversaire. Lorsque les armes et les poings ne suffisaient plus, les dents prenaient le relais. Alors, sortant de la gigantesque mêlée, un énorme taureau avança vers moi. En dessous de ses yeux injectés de sang, des flammes sortaient de ses narines. Il me dit: “Je suis Léviathan, Prince de la Colère. Gabriel, Archange de la Tempérance, est mon opposé. Celui qui s’abandonne à la haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition vient rejoindre les rangs de mes damnés.”
"
...
Hum ... nous aurons bientôt fait la connaissance de chacun, je pense ...
"Chapitre IV - « Les galeries »
1 Alors, Léviathan frappa l’herbe sanguine de son sabot, et une ouverture se fit dans le sol. J’y vis un escalier de pierre en colimaçon descendre dans l’obscurité. Prenant mon courage à deux mains, je m’y engageai, pendant que le Prince-démon retournait au combat. Je descendis prudemment les marches, car il n’y avait pas de lumière pour m’aider à savoir où j’avançais et le chemin semblait encore long. Pour m’aider, je faisais glisser ma main le long du mur, et je pouvais me rendre compte au toucher qu’il était simplement creusé dans la terre.
2 Je sursautai de peur lorsque mes doigts touchèrent une forme visqueuse. C’est alors que l’escalier s’emplit d’une couleur verdâtre. Je retournai mon regard vers la cause de mon sursaut et vis avec dégoût un long lombric sortir du mur. Il irradiait de cette lumière répugnante, tout comme les milliers de créatures similaires qui sortaient elles aussi de la terre. Commençant à avoir l’habitude du fonctionnement lunaire, je me demandai quel péché était puni en ces lieux. J’obtins ma réponse en bas de l’escalier en colimaçon, où se trouvait une dizaine de galeries creusées à même la terre, infestées de ces immondes bestioles verdâtres.
3 Des damnées bouffis, qui avaient du mal à avancer tant leur corps était rempli de graisse, attrapaient et dévoraient celles qui passaient à leur portée. Je retins ma nausée, lorsque une nouvelle galerie s’ouvrit, laissant passer la tête d’un énorme vers de terre répugnant. Celui-ci me dit: “Je suis Azazel, Prince de la Gourmandise. Galadrielle, Archange de la Conservation est mon opposée. Celui qui abuse du plaisir des besoins premiers, qui n’a pas la mesure des nécessités de sa subsistance, vient rejoindre les rangs de mes damnés.”
4 Puis il ajouta: “Suis-moi”. Il recula et continua à creuser sa galerie. Je le suivis sur de nombreuses lieues, suivant ses multiples changements d’orientation. Puis, le tunnel déboucha sur un grand hangar de bois. Je compris que je me trouvais au pied du pic de pierre. Azazel, qui m’attendait près de la sortie, repartit en creusant un nouveau tunnel. Je regardai autour de moi et m'aperçus que j’étais sur une sorte de butte de terre. Tout autour d’elle, un gouffre semblait ne pas avoir de fond.
5 Mais il devait forcément y en avoir, car de nombreux pilonnes de bois en surgissaient arrivant à ma hauteur. Des damnés étaient placés dessus. Même debout, ils devaient faire de difficiles efforts afin de se maintenir dessus et de ne pas tomber. Mais le plus étrange, c’était que chacun tenait entre ses bras des trésors incomparables en valeur et en beauté. Ils s’agrippaient à ces lourds coffres remplis d’or, à ces gros sacs pleins de pierres précieuses, comme si leur vie en dépendait.
6 Parfois, un mouvement un peu moins mesuré que les autres faisait tomber certaines de ces richesses. Ceux qui faisaient l’erreur d’essayer de les rattraper finissaient invariablement par tomber. Du gouffre une pâle lueur jaune témoignait des innombrables richesses qui y étaient tombées, entraînant dans leur sillage les maudits, dont aucun ne semblait vouloir laisser s’échapper le moindre écu. Certains devaient même s’accrocher depuis longtemps, car leurs jambes étaient atrophiées. Mais ils ne laissaient échapper la moindre plainte, craignant de faire tomber leur or dans le gouffre.
7 Alors, je vis descendre du plafond, rattachée à son fil, une gigantesque araignée toute couverte d’or, aux milliers d’yeux de diamant. Arrivée près de moi, elle me dit: “Je suis Belzébuth, Prince de l’Avarice. Georges, Archange de l’Amitié, est mon opposé. Celui dont l’égoïsme n’a d’égal que le mépris de l’autre vient rejoindre les rangs de mes damnés.” Puis, sans ajouter quoi que ce soit, le Prince-démon tissa un pont, avec sa toile, reliant mon îlot et le bord du hangar de bois.. "
...
Et bien, je crois qu'ils ont tous été nommés, et leurs demeures décrites ... Asmodée, Bélial, Satan, Léviathan, Azazel, Belzébuth ... il manque Lucifer.
Sans doute pour la suite.
Cela ressemble à Aristote, d'équilibrer un vice par une vertu. Je ne trouve pas l'humain au centre de l'équilibre, mais au centre de son équilibre plutôt ... enfin, d'humain, il n'est pour l'heure question que de ceux que les prénommés gardent en leur domaine ...
Enfin ...
...
Je vais devoir retourner aux champs, Mon Dieu.
J'ai hâte de poursuivre la lecture de ce voyage ... rêvé ou réel.
Et sans doute la réponse à la question qui vient bêtement à l'esprit : où donc est resté son chien ?
Hem ..
Oui, c'est très bête, je sais.
Adeù, Mon Dieu.