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[RP] Ville de Arles ,Le Bal Masqué...

--Sauvage__


[Toujours à l'entrée, en phase j'observe!]

Plus le temps passait et plus Sauvage se demandait pourquoi être venue ici, soit, elle devait essayer de s'amuser un peu, tant qu'à faire.

Elle se calla donc contre le mur, elle ne reconnaissait personne, tous était bien déguisés, elle passerait donc la soirée à observer, à juger même si il le fallait, à se moquer, pourquoi pas...

Perdue dans ses pensées, elle sortit de sa rêverie brusquement, à cause d'abord d'un prénommé Villanueva et de la miniature grimpé sur son dos.

Tiens? quelques choses de marrant pourrait arriver à se passer? elle leva les sourcils, intriguée par ce qui se déroulait.
Elle ne cherchait point l'amour, elle ici, son coeur étant bel et bien complétement complet, mais une envie soudaine de s'amuser l'avait faite venir jusqu'ici.

Ce masque et cet accoutrement, lui donnait une certaine assurance, de là, elle se faufila jusqu'au comptoire et commanda une première bière, qu'elle dégustera sagement tout en lançant le regard partout, histoire de trouver de quoi rire... comme le couple du fond en train de se dévorer du regard, cette danse... peut être elle lui marcherait sur les pieds, histoire de décrocher un sourire sur le visage de Sauvage...

Il fallait attendre un peu, pensait elle, surement qu'un truc insolite arrivera à détendre l'ambiance... Le masque bien tenue fermement, la chopine de bière contre ses lèvres, elle zieutait l'assemblée....
Une ombre, incarné par Adais



La jeune femme était arrivée en ville depuis peu, mais elle avait rapidement appris qu’un bal était prévu à Arles. Un bal masqué, qui plus est. Cela ne pouvait que lui plaire, elle qui marchait depuis si longtemps à travers la France et l’Empire et avait finalement débarqué en Provence sans trop savoir si elle était encore dans le SRING ou si elle était dans un tout nouveau pays. Les affrontements politiques ne l’intéressaient guère et, après tout, qu’importait qui dirigeait ? Il lui semblait que toute cette haute noblesse était la même où qu’elle se trouve et ne pouvaient que peu profiter de son nom. Reconnue ou non par son père, la jeune femme restait une bâtarde, fille hors de tout mariage aristotélicien d’une Duchesse et d’un paysan qui ne connaissait pas encore ses hautes ascendances, élevée par d’autres paysans. En revanche, depuis, après une année de longues recherches et de voyage, elle avait commencé à connaître la richesse et, à vrai dire, avait du mal à s’en passer. Certes, elle était repartie en voyage en n’emportant pas toutes ses possessions, après tout, elle n’avait pas vécu dans la nature pour rien, mais à présent la jeune femme était contente de pouvoir s’arrêter et de recommencer une vie calme.

Un bal masqué donc, voilà qui l’intéressait fortement. La jeune femme n’avait pas de robe ni de masque, mais ça ne devrait pas être trop difficile à trouver. Si elle ne comptait pas racheter d’atelier de tissage tout de suite et voulait vivre sur l’argent qui lui restait tant que c’était possible, elle ne doutait pas de pouvoir dénicher ce dont elle avait besoin dans l’une ou l’autre des boutiques de la ville. Certes, une personne au moins aurait vu son visage mais puisqu’elle était nouvelle ça ne devrait pas poser trop de problème. De fait, ça n’en avait pas posé et la jeune femme était bien présente le jour J à la salle municipale, vêtue d’une longue et jolie robe bleue clair qu’elle avait trouvé dans l’une des boutiques, tout heureuse d’avoir grandit ces derniers mois et donc de faire à peu près la taille des autres femmes. En effet, qui donc pensait aux petites quand il s’agissait de créer des vêtements magnifiques que les Duchesses et les bourgeoises porteraient aux réceptions chez la Marquise ? Bref, la narratrice va arrêter ici ses déboires passéistes et faire un tour ce qu’il se passait vraiment dans la salle de la mairie d’Arles.

En arrivant, elle croisa un couple qui se formait, ou plutôt un homme qui invitait une femme qui, apparemment, bien qu’elle ne sût pas lire dans les pensées des gens, avait compté s’échapper. Impossible, apparemment, une fois entrée, la sortie était impossible. Qu’importe ? Elle était venue ici pour s’amuser et non pour se sauver après quelques minutes ou même quelques heures passées dans cette grande salle. Elle était seule, ici, loin de la surveillance de son père. Qui pourrait l’obliger à ne pas veiller ? De toute façon, elle ne travaillait pas, cela eût été indigne d’elle et de son rang.

A l’intérieur, deux autres couples, au moins, s’étaient formés. Au fond, près des boissons, une femme s’approchait et commençait à boire alors qu’un homme, lui, avait déjà bien commencé. Ce fut vers lui que la jeune femme alla, avide de danse. Elle ne connaissait personne, ne risquait guère d’être reconnue, mais si ça avait été le cas, qu’est-ce que cela aurait changé ? Peut-être aurait-elle était un peu moins entreprenante ? La morale disait, lui semblait-il, que c’était à l’homme de faire le premier pas. Au pire, elle pourrait toujours arguer du manque d’éducation noble qui avait fait ses premières années. Ou alors, elle déménagerait. Ca ne serait pas la première fois.

- Bien le bonsoir, Monsieur, la blonde vous attirerait-elle plus que toutes ces demoiselles ?

Demoiselles, Dames, qu’en savait-elle ? A priori, masquées, elles étaient toutes à prendre, au moins pour la soirée. Elle ne cherchait rien d’autre que la distraction et la société d’autres gens que la vieille mule qui l’avait portée jusqu’ici.
--Villanueva
Villa se trouvait bien embêté avec un chiard accroché à ses épaules qui visiblement n avait aucune intention de le lâcher.
Il lui aurait bien filé une belle raclée, mais voyant sa petite bouille souriante ne voulait pas lui esquinter quelques dents.
Il essayait de tourné mais la vermine bien accroché ne lâchait rien, bien au contraire il se mettait à rire. Il lui faudrait soit utiliser la force, soit filer au morveux ce qu il était venu chercher.
Tout en tournant il observait la salle une jeune femme l allure assuré qui s'approchait de l'abreuvoir.
Il s'y dirigea, pensant bien que le truc pendu à son cou, finirait par lâcher sa proie s'il trouvait là bas quelques friandises dont il pourrait les alléger.

A son tour s'avança vers le comptoir à la recherche d'une bière et de quelques victuailles pour le môme.
Après une mini courbette de politesse à la dame s'accouda au comptoir
--Peny_celine_


Humm un bal étais organisé dans la bourgade ou sulfureuse étais depuis quelques jours . Quelle bonne idée alors que tous fêtaient la fin de l année et la naissance d on ne sais qui ....

Tous le village étais sous la neige et tous les paysans et autres bouseux piétinaient odieusement ce magnifique manteau de coton qui embellissait cette ville sans éclats .

Alors un bal pensez vous que ça ne pouvais qu intéresser et divertir toute une population de cul terreux . Et même la céline étais curieuse d y ponter sa frimousse d emmerdeuse . Alors dans sa chambre d auberge elle un soin tous particulier pour se préparer et arriver a la salle masqué comme il étais demandé .

Drapé d une épaisse cape de velours elle descendit l escalier de bois enduit d encaustique et se dirigeas vers la porte de l auberge sans un mot . Sur le perron de son œil de fouine elle avisa la ruelle ou bon nombre de gens déjà déguisé se précipitaient vers le lieu de la sauterie . Une moue moqueuse déforma le visage de la Céline qui fini par ricaner . Pauvres gens ils se jette sur cet évènement comme des morpion affamé ... Des fois qu ils ne leur reste rien a grailler !

Alors doucement et gracieusement la pénible emmerdeuse suis le cortège pour se rendre a la salle de bal . A l entrée on peu déjà remarquer que pas mal de monde rempli la salle . Et quand elle franchis la porte c est surprise par le raffinement de la décoration qu elle s enfonce dans cette masse masqué pour glaner quelques friandises . Décidément ce bal étais vraiment une bonne idée et la soirée ne faisais que commencer . Quelles surprises lui réservait encore cette soirée ?
--Villanueva
Villa était accoudé au bar quand une magnifique créature fit son apparition pleine de grâce et de beauté, belle et envoutante.
Le morveux toujours perché sur ses épaules ne semblait pas vouloir en descendre


Dis l'morpion, c'est comment la vue de la haut?
Plonge pas trop tes yeux dans son décoté c'est chasse gardé vermiceau, sinon j't'embroche c'est bien clair entre nous?


Impossible de la laisser passer, Le pirate avança de quelques pas s'approchant de la belle mystérieuse. Ses yeux plongeant dans son masque, sourit au contact de son regard envoutant.

Bonjour charmante demoiselle. Ce soir, je suis Villanueva pour vous servir. Puis je vous faire servir un verre?

Tout en disant ses paroles, Villa se baissa pour déposer un genoux à terre, prenant sa main au passage qu'il caressa à peine du souffle chaud sortit de sa bouge.

Et toi le nain, si tu veux être mon serviteur, c est le moment de descendre de là et nous faire servir 2 verres et vite.
--Ptit_fripon


Ptit_fripon s'accrochait au messire comme une sang sue à sa proie. C'est que sous ses air de grincheux il était trop gentil ce messire, pis il aimait bien sa manière de lui parler, sans condescendance, ni bonne manière.
C'est vrai que les codes de bienséance on avait du oublié de lui enseigner, il lui avait même pas posé la question débile que tout le monde lui posait."comment tu t'appelles"
Non il préférait lui donner des non plus bizarre de chaire au saucisse ou autre victuailles, mais Ptit_fripon savait bien au fond de lui qu'il ne finirait ni en brochette ni en saucisson.

Citation:
Dis l'morpion, c'est comment la vue de la haut?
Plonge pas trop tes yeux dans son décoté c'est chasse gardé vermiceau, sinon j't'embroche c'est bien clair entre nous?


Oh oh pas la peine de répondre à cette question, j'crois que si j'ai le malheur de poser mes yeux sur cette donzelle j suis mort.. Mais c'est qu'il a du gout le pirate, elle est sacrément bien gaulé la gauléla gonzesse, c'est qui choisit pas la plus moche le pirate
Pis quel escroc, il les connait les codes, il oubli pas de se présenter devant elle...
.


Code:
Et toi le nain, si tu veux être mon serviteur, c est le moment de descendre de là et nous faire servir 2 verres et vite.


Ptit_fripon en profita qu'il avait un genoux à terre pour sauter de ses épaules et partir en courant jusqu'au comptoir.
Il regardait les gens certains s'extasiaient avec un liquide d'or plein de bulles, c'est surement que messire Villanueva voulait.
Il en trouva deux verres qu'il prit et ramena près de Villa et de la très belle dame.
--Peny_celine_


Se faufilant lentement entre tous les invités , elle de dirigeais vers le buffet ou une multitudes de douceurs attendaient d être honteusement dévorée . Céline ne faisait pas exception et se saisi d une gourmandise qu elle porta de suite a ses lèvres . Mais alors la bouche pleine et les yeux écarquillés ... Une voix se fit entendre et la surpris en plein pêché !

Citation:
Bonjour charmante demoiselle. Ce soir, je suis Villanueva pour vous servir. Puis je vous faire servir un verre?


Quand elle pivote alors pour faire face a son interlocuteur , elle découvre alors que l homme est affublé d un fardeau tous aussi pirate que son perchoir . Elle s empresse alors d avaler rapidement son amuse bouche pour répondre a ce ... Villanueva .

Humm Bonsoir délicieuse apparition, je suis Céline . Charmante ma fois ça n engage que vous de le penser mon cher !

Un sourire en coin et les yeux pétillants de malice , elle frémis en sentant le souffle chaud de l inconnu sur sa main . Il est a genou devant elle ! Elle adore ça ! cette soirée promet d être exceptionnelle et en plus il veut la servir ...!

Relevant le menton fièrement elle plonge son regard de braise dans le sien et lui souffle a son tour quelques mots qui se veule aguicheurs .. du moins pour elle .

Humm un esclave ! j ai toujours rêvé d en avoir un .


Et quand le gamin arrive avec les deux verres Céline ne le remarque même pas . Le pauvre bambin leur tend pourtant gentiment le breuvage des roy . Hypnotisé par sa proie la punaise jette alors sa cape dans laquelle son corps est drapé . Ses épaules et son buste tous offert a la vue du pirate qui n en rate pas une miette . Pour le second pirate trois tête plus bas c est la cape qui lui recouvre le museau sans qu il est pu esquivé .

La rouquine d un soir passe alors son bras sous celui du pirate et approche sa bouche pulpeuse de son lobe d oreille puis lui mordiller gentiment et lui susurrer ... J ai hâte de voir a quel point vous êtes asservis mon cher .
--Villanueva
Villa ne perdait pas une miette de se délicieux spectacle dévorant du regard le corps qui se dévoilait devant lui.
S'il avait pu aurait gouté sur l'instant la délicieuse gourmandise qui se dévoilait sous ses yeux, il l'aurait fait sans attendre. Passe partout avait disparu sous le lourd drap de velours, mais il n'avait l'age de profiter de ce spectacle.
Il aurait grand temps plus tard de penser à séduire les dames.


Charmante, ça n'engage que moi, et je le confirme, laissez moi être votre cavalier et profiter de votre compagnie pour cette soirée qui s'annonce délicieuse...


La belle mystérieuse s'avance près de son visage son cœur se met à battre si fort, quand un murmure comme un souffle doux vient effleurer son oreille
Villa sourit, son souffle délicat qui caresse sa peau, des frissons s'emparent de tout son corps, doucement glisse le long de sa joue pour croiser son regard, se plonge dedans cherchant à lire au plus profond de son âme l'étendu de ses désirs.


Vous n'imaginez même pas ce que je serais capable de faire pour combler le moindre de vos désirs.

Son regard ne lâche plus le sien il répond à la provocatrice avec provocation, lui murmurant ses mots avec une proximité indécente une feuille de parchemin pourrait à peine se glisser entre leurs lèvres qui s'attire comme deux aimants.
Sans bougé, plongé dans ses yeux captivant il trinqua avec la belle à cette merveilleuse rencontre.



Mini-pouss, prend grand soin de la capeline de madame, et va faire un tour, trouver quelques truc à manger.
--Masque.arade
Longuement, elle avait hésité à se présenter au bal masqué. Puis, l'attrait de l'inconnu s'empara d'elle.
C'est ainsi qu'elle approchait de la salle de fêtes - sans avoir manqué de s'étaler à de nombreuses reprises sur les pavés arlésiens, point habituée aux vêtements de cette ampleur. L'animation semblait déjà battre son plein.

Elle hésita encore un instant...Puis franchit la porte d'entrée et s'avança discrètement dans la salle. Certains attendaient dans un coin, dansaient déjà, d'autres conversaient...Et puis, il se trouvait là, devant elle, immobile, son sauveur: le bar!

Ses pas la menèrent jusque là. Elle se fit servir un quelconque breuvage alcoolisé et se mit à le déguster tout en observant les lieux, tenant fermement son masque devant son visage. Elle rejoignit ainsi le clan des statiques en phase d'observation.
Quant à elle...me direz-vous...Elle était vêtue d'une robe verte, enserrée à la taille par un large nœud de ruban vert, lui aussi, mais d'une autre teinte. Le tout était surmonté d'un châle qui dissimulait soigneusement ses épaules sur lesquelles cascadaient en plus une longue chevelure brune, ornée d'une fleur. Ce qui donnait à peu de choses près - à savoir, le châle en plus sur les épaules - ceci...


--Petit_soldat
Ce soir, depuis ma motte, j'entendis un vacarme symphonique. On aurait surtout dit un cochon qu'on égorgeait, mais a mieux y écouter, on reconnaissait un orchestre, ou à la limite une fanfare. Faut pas pousser.
Les sons me parvenait, et je n'arrivais pas a trouver le sommeil.
Aussi je décidais d'aller voir de plus près ce qui causait ce boucan, et en fonction, de voir a pousser une gueulante.

J'atterrissais dans une grande pièce, aux allures de théâtre, ou se tenait un semblant de bal, ou juste les prémisses. Des duos se formaient, des danses débutaient, et je pus voir les troubleurs de sommeil, dans leurs accoutrements.

Mais dès lors, je fus gagné par la joie ambiante, et je voulus rester... seulement.. je vis que tous portait un masque, aussi ni une ni deux, je m'empressais de sortir et tendais de cherche de quoi me cacher le visage.

Tout heureux je trouvais un morceau de bois, de la paille et des petits coquillages trainant sur le sol. Jouant des mains, et suant presque pour ma confection j'entrais a nouveau dans la grande salle, ainsi caché.


Facétieuse, incarné par Capryce


Cela faisait déjà un moment que la musique avait commencé à résonner dans les rues du village, et pourtant la demoiselle était encore chez elle, postée devant un miroir à parfaire sa tenue.

Rares sont les personnes qui pourraient témoigner l'avoir déjà vu habillée de la sorte. Ses bottes, troquées contre de petites chaussures fines. Un corset mis pour la forme bien qu'elle n'ait en rien eu besoin de le serrer. Et sa robe.
Elle aurait bien été tentée de porter ses braies en dessous, mais vu l'épaisseur de la robe elle s'en était bien gardée. La demoiselle ne tenait en rien à ressembler à un sac de maïs jeté sur un étalage au marché.

Se décidant enfin à se rendre au dit bal elle enfila un masque ne lui couvrant qu'une partie du visage, du front jusqu'en dessous de ses pommettes. Dès lors, elle était fin prête et fila droit vers la source de ce presque vacarme -au sein de cette ville pourtant si silencieuse et calme la nuit-.

Un sourire aux lèvres, elle s'infiltre dans l'enceinte et, dernier rempart avant ce bal- pousse les portes de la salle où le bal se tient.
Malheureusement, la jeune fille étant un peu brute sur les bords c'est loin d'être en douceur qu'elle fait son entrée. Une des deux portes claques sur un homme, masqué lui aussi.
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