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[rp] Aubčrja Amoreta

Ludivine
Ludivine croyait réver quand elle vit la chambre. Grande belle spacieuse, et ils avaient même pensé au berceau.

Elle sourit tendrement à Léon lui murmurant " tu en dis quoi? c'est autre chose que ce que nous avons connu jusqu'à présent, j'espère juste que nos finances nous permettrons de rester ici, au pire je leur proposerai mes services pour en payer une partie"

La vue par la fenêtre la fit frémir, les montagnes, celles qu'ils devraient passer un jour...elle vit les sommets enneigés déjà et fronça les sourcils, elle choisit de chasser ses inquiétudes afin de profiter de l'instant présent.

Trop de fatigue, trop de lieues parcourues, ils avaient besoin de reprendre des forces et Vic...elle n'avait que 3 mois , comment allaient-ils faire...ces montagnes si hautes...

Elle se retourna vers Dame Nefi et répondit à sa question.


-Un bain... ce serait merveilleux...l'eau de vos torrents est pure mais bien froide...

Elle se mit à rire, heureuse, remercia chaleureusement monsieur le maire de les avoir accompagnés jusqu'ici prit Vic dans le creux de son bras, regarda amoureusement Léon et sourit à Dame Nefi.
Nefi
Elle laissa le couple s'installer tranquillement et rapporta bientôt les sceaux d'eau chaude et froide avec l'aide de Rianne et Léa. Elle laissa un petit panier contenant des huiles de bain qu'elle fabriquait et des serviettes propres. Elle tapissa le bac d'un draps pour éviter les échardes et versa l'eau.

voilà votre bain est prêt, prenez votre temps.
Le déjeuner sera servit à sexte.
si vous avez besoin de quelques choses n'hésitez point à en faire la demande.


Elle se retira pour laisser ses clients tranquillement se reposer et retourna préparer le repas en cuisine. Pendant ce temps les filles avaient préparé la grande salle pour le service du midi. les grandes tables de chêne brillaient sous le reflet des fenêtres et des bouquets de fleurs des champs parfumaient l'atmosphère. On attendait plus que les clients.
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Auberge Amoreta
Ludivine
Léon et Ludivine saluèrent avec le sourire dame Nefi puis une fois seuls se sourirent franchement.

-Léon! tu as vu un bain chaud, des huiles! qui commence en premier?

Après une joute verbale pleine de sous entendus et de fous rire, Ludivine commença par laver Victoria et la faire barboter. Vic était un bébé facile habitué à des conditions de vie difficile, l'eau chaude sensation nouvelle pour elle, l'avait laissé surprise quelques secondes puis son sourire illumina son visage. Elles jouèrent dans l'eau et Ludivine laissa l'enfant à Léon le temps qu'elle se lave elle-même.

-Je resterai des heures dans la baignoire! oh que ça fait du bien.


Elle sortit toutefois rapidement afin que son compagnon puisse lui aussi bénéficier de l'eau tiède.

Tous les trois propres, ils suivirent la bonne odeur de cuisine jusqu'à la salle de l'auberge saluant au passage les autres clients de l'auberge.
Nefi
Elle avait retrouvée sa cuisine sachant que pour le moment ses clients avait le nécessaire. Il fallait terminer le déjeuner. Elle enfila son tablier et avec l'aide de Rianne et Léa termina les préparations. Elle monta ensuite dans la grande salle et nota le menue du jour sur une plaque d'ardoise polie.



Carottes au cumin et à l'huile d'olive
*****
Poulet grillé au lait d'amande.
*****
Poires au sirop parfumées de cannelle et de gingembre.


Elle vit alors en se retournant Dame ludivine et son compagnon arriver dans la grande salle.

vous arrivez à point, Installez vous ou vous le voulez.
Je vous apporte le menue du jour ?

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Auberge Amoreta
Ludivine
La salle qui s'ouvrait devant était décorée avec soin de fleurs de saison et quelques belles tapisseries, les tables cirées brillaient. L'odeur de cire se disputait au délicat parfum des herbes aromatiques.

Ils choisirent une table contre un mur où ils pouvaient poser le couffin de Vic et demandèrent à Dame Nefi que le menu du jour serait parfait.


-Nous l'avons lu sur l'ardoise, comment faites-vous pour vous procurer de telles épices? J'en ai entendu parlé mais jamais n'en ai trouvé sur les marchés, certains marins se vantent que l'orient est plein de ces merveilleuses épices au gout si suave, mais à ce jour j'avais du mal à croire qu'elles existaient réellement!
Nefi
Les commandes prises elle rapporta à chacun du pain, un broc de vin de pays et le plats du jour. les effluves épicées montées de la cuisine embaumant toute la salle de l'auberge. Elle revient vers le couple arrivée le matin et les servit généreusement. Alors que dame ludivine s'étonnait des épices utilisés.

Hey bien je suis surprise que vous n'en ayez trouvé jusqu'alors.
J'ai un marchand ambulant qui me fournit régulièrement il s'approvisionne à Marseille et va les chercher un peu partout en méditerranée. Il en remonte aussi d'espagne. Les prix sont parfois bien élevé mais j 'arrive à les négocier. Et puis je m'en sert également pour certaine préparations médicinales.
Mais j aime particulièrement la saveur qu'elle donne à la cuisine. vous m'en direz des nouvelles.

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Auberge Amoreta
Leon33
Léon sourit à sa femme, serre sa main, la regarde dans les yeux brillants, et dit :

"Oh, mon amour, nous avons de la chance d'être ici. Tu as vu dehors? Ces montagnes?? Je crois que nous sommes déjà au paradis!!!^^"

Et le repas...ohh.... j'ai un faim de loup!! Tu as de la chance que je peux me désaltérer en buvant de la bière et pas...euh... tu sais quoi^^"


Il lui sourit taquin.

Nous allons l'aimer ici. Je te propose de rester ici au moins 15 jours. Pour franchir ces montages je ne suis pas encore assez fort, en contraste avec toi^^"

Il regarde sa femme avec admiration. Sa personne élégante et en même temps forte. Il sent comment sa gorge se noue d'amour, en la regardant.
Ludivine
Elle s'attachait de jour en jour à Léon, il avait su l'apprivoiser ; ses taquineries et son regard plein d'amour lui rendait la confiance qu'elle avait perdue suite à ses expériences malheureuses.

Elle sourit quand il évoqua ces merveilleuses montagnes se demandant combien de temps il lui faudra avant qu'il ne peste car un jour il faudrait bien qu'ils les passent et les sommets enneigés si beau pourraient vite devenir un cauchemars mais ce n'était pas le moment d'y penser, elle voulait profiter de son séjour ici , détendue comme rarement elle l'avait été.


-Léon, oui nous allons prolonger notre séjour ici et profiter de la délicieuse cuisine de Dame Nefi.

Elle se tourna vers Nefi qui avait dressé la table avec célérité:

-Voilà peut être l'explication, je suis originaire d'un petit village situé très loin de la mer, je n'ai vu pour la première la mer et un bateau il y a peu de temps en fait. Pour moi ces épices n'avait de réalité que dans la bouche des saltimbanques qui passaient quelque fois. Ce sont d’ailleurs leurs histoires qui m'ont fait rêver de découvrir la mer, j'ai réalisé ce rêve mais j'aimerai découvrir l'Orient et qui sait ramener à mon tour ces étranges saveurs.

Elle regarda Léon avec tendresse, sachant qu'il voyageait surtout pour lui faire plaisir.

Elle huma le plat posé devant eux en fermant les yeux.


-Dame Nefi ce plat est déjà un voyage en soi!
Clochette05
[Dans sa chambre]

Cela faisait plusieurs jours que Clochette etait arrivée dans la ville d'Orthez, apres plusieurs jours a errer sans savoir où dormir, elle avait ete guidé dans l'auberge de Nefi, cette derniere avait fait preuve de beaucoup d'hospitalité, lui louant une chambre pour quelques deniers le temps qu'elle puisse acheter un petit lopin de terre.

Elle avait marché, marché pendant des jours, si bien qu'elle dormi deux jours et deux nuits sans se reveiller, ne s'appercevant meme pas que Nefi passait de temps en temps pour voir si elle allait bien.

Ce matin là, Clochette se reveilla, elle regarda chaque recoin de la piece, il lui fallut plusieurs secondes pour se rapeller où elle se trouvait. Elle avait ete reveillé par une faim de loup, c'est bien beau de dormir, mais ca creuse !

Clochette mit un pied parterre puis une fois habillé alla ouvrir la fenetre pour voir quel temps il faisait, elle ouvrit les volets en grand, laissant l'air frais du matin venir lui frapper doucement le visage. Elle s'accouda quelques instants sur rebord de la fenetre regardant un couple de moineaux se quereller pour une petite cerise, ca la fit sourire.

Tout a coup, elle entendit le hennissement d'un cheval qui venait de sous sa fenetre, elle se pencha legerement pour l'appercevoir, c'est alors qu'elle constata avec effroi qu'il s'agissait d'Ouragan, le cheval de son pere, Clochette etait terrorisée à l'idée qu'il l'oblige a repartir avec lui. Mais comment avait-il fait pour la retrouver aussi facilement ?

Clochette descendit les marches le plus vite possible mais sans un bruit, elle esperait qu'il n'etait pas deja en conversation avec Nefi, elle devait la prevenir, il ne devait pas savoir qu'elle etait ici....
--Edward_robert_de_zazelle
Voila des jours qu'il etait parti à sa recherche, il avait remué sa chambre de fond en comble mais n'avait trouvé aucune trace de lutte, rien n'avait bougé, enfin... rien avant son passage. Elle s'etait enfuit cette tete de mule.

Il passa tous les villages, toutes les auberges qu'il trouvaient sur sa route depuis son depart de Perpignan, il fouillerait tout le royaume s'il le fallait mais il la retrouverait.

Il arriva à Orthez, entrant dans la ville il s'arreta à "L'auberja Amoreta", il comptait bien fouiller toutes les chambres, comme il l'avait fait dans les precedentes. Il attacha son cheval devant l'entrée de l'auberge, pres de l'abrevoir puis entra.

C'etait un homme de taille moyenne, bien charpenté, la soixantaine, brun avec une queue de cheval retombant sur la nuque, les yeux d'un vert persant, mal rasé.

Il maltraita la cloche sur le comptoir, la fatigue le rendait impatient, il attendit quelques instants que quelqu'un se pointe derriere le comptoir...
Glenwyt
Wrath descendait les escalier de la taverne en baillant et en s'étirant, il avait très mal dormis pour une fois, et il avait besoin d'un remontant.

Il arrivait dans la salle de l'auberge, saluant les quelques habitués qu'il voyait chaque jour, et venait ce poser a une table dans le coin de la pièce, une table ou il avait l'habitude de s'assoir pour déguster les repas de Nefi et boire une bonne bière ou autre.

Il regardait autour de lui, comme chaque jour la salle était remplis des habituer, il put reconnaitre dans le tas dame Ludivine et son compagnon, qu'il salua d'un signe de tête.

Au moment ou il sortait de son sac une bouteille pour boire en attendant de prendre commande, un homme qui avait l'air contrarier rentrait dans la taverne pour se jeter sur la cloche, la secouant dans tout les sens comme si celle ci venait d'injurier ses proches.

Il se disait qu'il y en a certain qui sont sans gène et bien exciter, mais il ne fit pas plus attention que ça a lui, et prenait un parchemin pour lire, tout en sirotant son verre.

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Nefi
-Voilà peut être l'explication, je suis originaire d'un petit village situé très loin de la mer, je n'ai vu pour la première la mer et un bateau il y a peu de temps en fait. Pour moi ces épices n'avait de réalité que dans la bouche des saltimbanques qui passaient quelque fois. Ce sont d’ailleurs leurs histoires qui m'ont fait rêver de découvrir la mer, j'ai réalisé ce rêve mais j'aimerai découvrir l'Orient et qui sait ramener à mon tour ces étranges saveurs.

-Dame Nefi ce plat est déjà un voyage en soi!


voilà qui s'explique alors, j'espère que ce voyage gustatif vous plaira et vous donnera envie de voyager encore.
Dame ludivine si vous le souhaitez j'ai dans ma cuisine une belle collection d'épices je me ferais une joie de vous la faire connaitre.

Elle vit wrath descendre avec une tête des mauvais jour, elle sourit et allez prendre congé pour s'approcher de lui quand un homme soudains s'acharna sur la clochette de l'entrée.

je viendrais vous voir plus tard, profitez de ce repas et n'hésitez point à demander la suite a mes deux damoiselles qui m'aide au service.

Elle les laissa et s'approcha un sourire radieux sur le visage. A l'agressivité elle avait toujours répondu par la douceur d'un sourire. Elle s'approcha calmement et s'adressa à l'homme.

bonjorn sir, bienvenu à l'Auberjà Amoreta. Je suis Dame Nefi Squire la tenancière. Que puis je pour vous ? à votre empressement j'en conclu que vous devez avoir une grande faim, mais cette pauvre cloche ne fait point la cuisine ne la martyrisons point plus.


Elle termina sur une petite note d'humour. Le ton était calme et mélodieux mais signifiait bien que l'emportement n'était point le bienvenu en ce lieu paisible.
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Auberge Amoreta
Clochette05
Clochette arriva à la porte de la salle à manger, elle resta dans le coin, ne devoilant par intermitence que la moitié de son visage, cherchant Nefi du regard.
Elle tremblait de tout son etre, elle etait livide, presque transparente. Elle balaya la salle du regard et apprecu Nefi qui lui tournait le dos, elle voulu l'interpeller mais deja la cloche retentissait à l'accueil, il etait trop tard.

Clochette ferma les yeux, desesperée.
Elle traversa la salle discretement, se saisi d'une carte de menu pour cacher son visage et s'installa à une table en face de la porte pour voir ce que l'homme faisait, ne s'apercevant pas de la presence de Noah qui etait lui aussi installé à une des tables.

Elle se fondit dans la foule de personne qui etait installé et fit mine d'attendre son repas.
--Edward_robert_de_zazelle
Il ecouta la jeune femme s'adresser à lui, la saluant d'un signe de tete pour ne pas l'interompre.

Il posa la cloche sur le comptoir en toussant legerement, il n'avait pas l'habitude qu'une femme lui fasse de telle remarque et qui plus est avec une touche d'humour.

C'est donc droit comme un "i", le visage fermé, sans aucune marque de sympathie qu'il s'adressa à elle d'un air superieur.

Bonjour Madame ! Je suis Edward Robert de Zazelle, je ne vais pas vous faire perdre votre temps, vous devez avoir beaucoup à faire en cuisine !
Je suis à la recherche de ma fille, elle a quitté la maison sans explictions il y a de cela quelques jours maintenant, je passe dans toutes les auberges pour la retrouver. Elle se nomme Elodie Beatrice de Zazelle, peut etre l'avez vous apercu ?


Il lui tendit un parchemin avec le portrait de la jeune fille, esperant une reaction de sa part...
Nefi
grrr cette air supérieur et cette raideur Elle l'avait déjà trop vue. Le ton était sec et supérieur, a qui donc pensait il parler ce noblio pour ainsi la prendre de haut. Elle regarda le portrait qu'il lui collait sous le nez et reconnue sans peine clochette. Ainsi donc elle était la fille de cette homme. Point étonnant qu'elle ait pris la poudre d'escampette. Rompu à la vie militaire, elle ne laissa aucune émotion paraitre sur son doux visage.

Nenni sir je n'ai point vu cette jeune fille et le nom m'est totalement inconnue.
Je ne puis vous aider, mais peut être n'est elle pas sur orthez. La ville est petite, elle s'est peut être rendu à Pau qui est notre capitale. Si elle se cache elle doit plutôt chercher la foule.


Le ton était serviable, le visage avenant, elle était quitte pour une confession chez le père Brennach pour mentir avec tant d'aplomb. Mais miss Clochette lui devrait quelques explication. elle était en age de prendre ses décisions après tout si elle se cachait elle devait avoir ses raisons
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Auberge Amoreta
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