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[rp]Auberja Amoreta : Veillée autour du feu.

Nefi


L'été se finissait, la nuit recouvrait de bonne heure le village. Le travail aux champs se terminait donc plus vite et Nefi eu l'envie de proposer aux ortheziens une petite habitude prise dans le passé qui lui était revenu en mémoire voilà peu de temps. Elle avait l'espace nécessaire à l'auberge et avait toujours aimé être entouré. Annonçant à ses amis sont invitation elle les encouragea à en parler autour d'eux.
le soir venu elle alluma un feu dans la grande cheminée, prépara quelques douceur et boisson, puis elle attendit leur venu.


Ce rp est ouvert à tous, le rp est cependant une obligation.
Le but est de recréer une veillée au coin du feu ou chacun raconte des histoires courtes qui font peur, ou font rêver, des récits de bataille, des souvenirs, les troubadours y sont bienvenu.
Chacun peu proposer quelques choses mais est prié de prendre son tour et ne pas interrompre le conteur précédent. amusez vous !!!

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Ma galerie
Rowena
Après avoir reçu la visite de Ingebörg, l'esprit de Rowena était si lourd de soucis et d'inquiétudes qu'elle décida qu'après son frugal repas de racines et de fromages de ses brebis, elle se rendrait céans à la veillée que préparait Nefi. Il lui fallait se régénérer l'âme à l'écoute de belles histoires, et elle-même en aurait éventuellement à raconter, ses pérégrinations à travers le monde connu en compagnie des caravaniers lui en ayant enseigné moultes et moultes, sans compter celles qui lui étaient parvenues des mondes inconnus par l'intermédiaire des marchands. Sa mémoire était pleine de récits d'amours bénies ou impossibles, de contes révélant la magie présente en la nature ou recelée entre les mains de malfaisants démiurges, de découvertes de trésors par des pirates ou par d'innocentes créatures... Et c'était même sans tenir compte de ses propres expériences de rencontres inopinées, de ses mésaventures...
Dans la certitude que ses concitoyens tout autant que les voyageurs de passage en auraient tout autant à révéler, elle se rendit sans tarder et avec grande gourmandise à l'Amoreta, s'installa confortablement dans les coussins qu'avait judicieusement installés Nefi près d'une grande cheminée où flambaient déjà de grosses bûches, et attendit les premiers conteurs.
Elle savourait à l'avance l'idée de retrouver l'ambiance qu'elle avait naguère connue dans les caravansérails, quand elle finissait par s'endormir, la tête posée sur le genou de Maître Abdul, son esprit s'envolant dans les mondes féeriques ou maléfiques, tandis que la main de son tuteur posée sur sa tête d'enfant la rassurait et qu'elle se croyait à l'abri de toute inquiétude...

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Connais-toi toi-même
Billy_bob
Un peu moins fringuant mais quand meme interessé Billy se rendit à l'auberge.
Il se dit que pour ce soir il allait simplement écouter celui ou celle qui voudras bien narrer une histoire ou meme une anecdote.
Il salua dame Rowena avant de prendre place un peu en retrait pour ne point contaminé personne de son étrange maladie.
Recouvert de sa couverture trouée par l'usure,Billy accepta une tisane chaude offert par dame Nefi et attendit la suite en toussant de temps a autre.
Il se rappela le ptit pot de miel que dame Nefi lui avait donné et en mit dans sa tisane pour adoucir sa gorge en feu.
Glenwyt
Wrath avait eu l'occasion d'entendre parler de cette veillé un peut plus tôt en taverne, il avait donc décidé de se joindre a eux pour entendre les histoires de chacun.
Il se contenterait d'écouter, surement pas encore assez à l'aise pour raconter des histoires qui lui était arriver pendant ses années de voyage autour du Royaume de France, et même un peut plus loin.
Il rentrait silencieusement dans l'auberge, observant les quelques personnes déjà présente pour cette soirée, et s'inclinait doucement aux personnes qui croisait son regard.
Sans plus attendre, il allait s'assoir près de la cheminé, acceptant volontier la boisson qui lui était proposer par leur hôte.
Wrath buvait doucement, attendant patiemment, silencieusement que quelqu'un commence à narrer une histoire.

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Tchetchenov
La nuit fraîche avait succédé au jour rayonnant.

Maire d'Orthez le jour, Tchetchenov revêtit sa cape de Chef-Maréchal pour la nuit.
Avant de partir faire son premier tour de garde, il profita de la chaleur du bon feu. Il disposait d'encore quelques instants de temps libre avant de repartir faire son tour sur les remparts.

Silencieux, Tchetchenov resta accoudé à l'entrée.
Nefi


Elle avait passé du temps avec Léa et Ozanne à confectionner quelques douceurs pour les invitées. Ozanne trépignait d'impatience et s'affairait à rendre la grande salle la plus confortable possible.
Rowena arriva bientôt suivit de billy et de warth. S'approchant de billy elle remplaça se couverture élimé contre une neuve plus chaude et lui servit une tisane pour le requinquer.

Mes amis je suis heureuse de vous voir ici. installez vous, servez vous, nous allons attendre un peu que d'autres personnes arrivent.

En attendant ils papotèrent tous ensemble. Avant que Nefi ne s'installe dos à la cheminée et commence à raconter son histoire. Elle l'avait choisi point trop longue pour une première et espérait vivement que d'autre aurait envie de prendre la relève. Elle commença donc son récit d'une voix douce et mystérieuse, marquant des pauses, et jouant sur les intonations de sa voix marqué quelques fois de quelques notes égrainé sur les cordes de son luth.

Citation:
Le prisonnier de la Tour

Il était une fois, un seigneur ayant eu un fils.....
Comme tous les seigneurs, avoir un héritier est trés important pour la lignée et pour la conquête de nouveaux territoires, mais notre héro n'était point un combattant. Il maniait l'épée bien sur, mais il préférait manier les mots........

..... Oui, notre héros avait comme amies, non pas de rudes gaillards costauds et bagarreurs, mais des muses inspiratrices. Ces heures à noircir d'encre des parchemins étaient plus nombreuses que ces moments d’entrainement aux armes.

Son seigneur de père était désespéré......
ordonna à son fils de ne plus écrire. Mais il n'obéit pas.
De rage, le seigneur déchira tous les parchemins vierges du château; Mais son fils en trouva toujours.....

Ne voyant aucune solution, le seigneur enferma son fils dans l'imposant donjon sans fenêtre. Il pensa qu'un petit séjour de sevrage redonnera.....

.... le goût des armes et des beuveries entre chevaliers.
Mais non loin de là, muses et fées n'étaient pas d'accord avec cette décision parentale. Elles se pâmaient, à lire au dessus de son épaule, les proses de notre héro littéraire. Elles se régalaient à déguster les poèmes de ce jeune damoiseau. Que faire ? .....

....Normalement, les fées n'avaient pas le droit d'intervenir directement avec leur magie dans les problèmes des hommes terrestres. Mais il était si mignon ce héro.
Une fée eut l'idée de se transformer en .... cygne géant.
Par cet acte, elle n'enfreignait pas la règle puisque la magie était pour elle et non pour ce bellâtre.
La fée-cygne survola la tour et avec son puissant bec, troua la paroi et fit évader le jeune poète.
On ne sut jamais ce qu'il devint, mais certains prétendent que le vent inspire parfois les hommes de cette vallée....... Est ce le fantôme du Damoiseau ?





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Ma galerie



Rowena
Rowena se leva pour applaudir.

Belle histoire en vérité, que celle qui nous assure que la pratique de la poésie libère le poeste ! Voilà qui est fort bel, et bien encourageant pour les poestes dont je ne doute point qu'il y en eût séant ! ajouta-t-elle, battant toujours des mains, regardant alentour.

Allons, Messires, nous vous écoutons ! dit-elle, se réinstallant confortablement dans les coussins, non loin de la flambée.
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Connais-toi toi-même
Feemelusine
Fée comme toujours arriva mais un peu en retard, elle entra discrètement dans l'auberge car cet après midi en taverne il avait été question d'une belle soirée autour du feu où chacun pourrait raconter le récit de son choix pour faire rire ou peur.

A cet instant précis elle n'avait pas encore réfléchi à l'histoire qu'elle pourrait conter et même si cela pouvait grandement étonner elle aimait à écouter les uns et les autres. Elle n'était pas timide mais pas très sure d'elle .

Elle balaya de son regard l'endroit sympathique où l'on pourrait frémir ou rire; elle vit ses amis qui avaient eu le bon ton d'arriver à l'heure et elle fit bien attention cette fois de ne pas troubler l'ordre des choses, ce qu'elle faisait bien souvent malgré elle. Puis elle ouvrit grand ses esgourdes

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Rowena
Rowena revisitait en son esprit les légendes qu'elle avait pu entendre ici ou là... Mais elle hésitait à se lancer dans une narration, attendant que quelqu'un prit la parole.
J'ai bien un conte à vous proposer, mais quelqu'un d'autre a-t-il une proposition ?
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Connais-toi toi-même
Brennach
Maître Brennach par lueur attiré
S'en vint près du feu allumé.

Maîtresse Nefi à hôtes assemblés
Venait de conter une Histoire.
Maître Brennach et les autres muets
Avait ouï son récit comme du boire.

Maîtresse Rowena à son tour décidée,
Vint interpeller l'auditoire.
Maître Brennach à la mine amusée
Vit que, timide, elle n'osait saisir son heure de gloire.

Charmante est votre voix et nous vous écoutons!
Dites votre conte, nous le savourerons.

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- Ancien conseiller à l'animation, tribun, adjoint au maire
- Ancien Curé de la paroisse d'Orthez.
- Ancien Capitaine de l'équipe des BHO.
- Ecuyer de l'ordre du mérite béarnais.
- Citoyen d'honneur d'Orthez
- Ancien Conseiller comtal
Rowena
La timide Rowena rosit à l'encouragement du père Brennach.
Finalement elle se lança, après s'être éclairci la gorge d'un toussotement, levant les yeux vers le prêtre pour y trouver réconfort, et entama son récit :

Citation:
Il était une fois en le royaume de Perse, un vieux roi qui était père d'une jeune fille d'une grande beauté, la princesse Chiraz. Elle avait un teint de lait et de longs cheveux noirs comme la nuit, et des yeux tout aussi noirs, mais si brillants de curiosité qu'on y put voir se refléter tous les mystères qu'elle cherchait à percer.

Elle avait atteint l'âge d'être promise en mariage, et sa dot devait être un coffre en argent qui se trouvait scellé sous bonne garde dans le trésor royal. Ce coffre, qui avait appartenu à une des aïeules de la princesse, était entouré de mystère et considéré plus ou moins comme sacré, et nul ne devait s'en approcher, ni encore moins l'ouvrir, sous peine de mort. Cette aïeule, du nom de Boudroulboudour, avait été la fille unique d'un astronome fort savant, qui lisait dans les étoiles le destin des hommes, et avait formé à cette science et aux sciences alchimiques son unique enfant, ladite princesse Boudroulboudour. Voilà tout ce que l'on savait d'elle, sinon qu'après son veuvage, elle avait fait forger ce coffre pour qu'il fut remis à telle jeune fille de sa descendance, qui viendrait à naître à telle génération, lorsque celle-ci serait en âge de prendre époux. Et cette "telle" jeune fille se trouvait être nulle autre que Chiraz, qui avait grand haste de soulever le couvercle du coffre pour en découvrir le contenu.

Le bon roi, en bon père, voyant s'épanouir les formes de la princesse qui gagnait chaque jour en grâce et en beauté, comprit que l'heure était venue d'exposer le coffre d'argent pour le présenter aux prétendants, et s'évertuait à chercher pour sa fille un époux qui fût digne d'elle, parmi les princes les plus vertueux et les plus braves de son royaume, puis des royaumes environnants, puis des terres les plus lointaines, mais si chacun tombait en pâmoison aussi bien devant les charmes de Chiraz que devant la somptuosité du coffre mystérieux qu'ils imaginaient plein de richesses, aucun ne sut conquérir le cœur de la princesse, quelle que fût la curiosité qui la tenaillait pourtant elle-même pour ce legs mystérieux. Et le souverain commençait à désespérer d'avoir un jour un héritier pour son trône car, comme sa lointaine aïeule, Chiraz était fille unique et le pouvoir, nul ne l'ignore, ne peut être remis qu'entre les mains d'un enfant mâle.

Mais les jours et les mois passant, Chiraz fut assaillie de songes qui la mettaient fort en émoi. Elle voyait en ses rêves fort joli jouvenceau, paré de tous les attributs de la plus haute noblesse, et qui, assis sur le coffre d'argent, lui souriait tendrement en l'invitant d'un signe de la main à le venir rejoindre. Elle s'en éveillait toute amollie, des tressaillements nouveaux parcourant sa chair, et son cuer battant d'amour pour l'image de ses resveries... Elle en vint à épier les gardes armés qui surveillaient le coffre d'argent, comme attendant, ou même espérant, une défaillance de leur assiduité... Ce qui se produisit un jour, ou plutôt, ce qu'elle provoqua. A l'heure de la relève de la garde, elle eut un jour l'idée de crier "Au feu", cachée derrière une colonne du palais. Il s'ensuivit telle confusion qu'elle put enfin s'approcher du coffre et l'ouvrir. Elle poussa un cri.

Sur un satin vermeil était couché un damoiseau, qu'elle reconnut pour être celui qui hantait ses nuits. Entre ses mains, il tenait le portrait de fort jolie jouvencelle qui estoit si fidèle à sa propre image qu'elle crut en défaillir. Voulant se saisir du portrait, elle frôla la main du jouvenceau endormi, qui ouvrit instantanément les yeux et se leva, saisissant dans le même mouvement les mains de Chiraz, son regard captant celui de la jeune fille.
"Ma bien-aimée, lui dit-il, ma bien aimée..."
A l'instant même, Chiraz sentit son esprit se déchirer, et la mémoire de son identité véritable lui revint. Elle se nommait depuis toujours Boudroulboudour. Elle se jeta dans les bras du prince, son espoux à qui elle avait juré un éternel amour.

Les épousailles de la princesse Chiraz et du prince inconnu firent grand bruit dans le royaume. Le roi ordonna qu'on servit au peuple victuailles en abondance... Et lorsque la princesse annonça au roi son père la naissance de sa fille première née, le roi fronça le nez, mais n'en ordonna pas moins qu'on doublât les réjouissances.

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Connais-toi toi-même
Billy_bob
Billy qui charmer par sa voix suave avait bu ses paroles ,jamais il n'avait entendu comte si beau,son coeur en émoi ,il se leva pour applaudir dame Rowena .

Magnifique dame Rowena cette histoire est splendide,touchante je l'adore .
Billy_bob
Pardonnez moi dame Nefi de n'avoir point applaudis votre habileté a narrer mais épuisé et fourbu je me suis edormi,mais on m'a dit grand bien de votre récit.

Puis-je a mon tour raconter une histoire ??

Avec la douce couverture de dame Nefi resta debout et enrouler dedans,une ptite toux se fit entendre avant le début des son récit.

Citation:
Un sonneur de cloches en Limousin avait un fils qui ne craignait ni homme ni diable. Il n'avait jamais connu la peur. On le surnommait Jean-Sans-Peur. Un jour le curé du village lui dit qu'il était grand temps qu'il prenne une épouse mais Jean lui répondit aussi vite qu'il ne se marierait pas avant d'avoir connu la peur.

Le curé s'arrangea alors avec le père de Jean pour lui faire bien peur. Ils accrochèrent un mannequin effrayant au-dessus de la porte de l'église. Le père de Jean prétexta la fièvre et demanda à son fils d'aller sonner les cloches à sa place. Jean s'en alla vers l'église, en ouvrit la porte et comme il était prévu, le mannequin lui tomba dessus. Mais Jean n'eut aucune frayeur et au contraire, avec calme il saisit le mannequin et l'envoya avec force atterrir démembré à quelques mètres de là.


Voyant leur tour raté, le père et le curé allèrent le lendemain placer les statues des saints en-dessous des cloches afin d'effrayer Jean. Le père prétendit que la fièvre n'était toujours pas tombée at que Jean devait encore une fois le remplacer. Jean s'exécuta et lorsqu'il pénétra dans le clocher, il cru que les statues étaient des bandits, leur ordonna de descendre mais en l'absence de réponse de ceux-ci, il saisit leurs pieds et les envoya balader. Malheureusement, l'une des statues en allant se briser contre le sol rencontra le corps du curé, qui observait la scène voulant voir s'effrayer le jeune Jean. Devant la mort du curé, Jean ne put que fuir du village de peur de se voir pendu pour meurtre.


Plus tard il pénétra une région en pleurs. La raison était que la belle princesse allait être dévorée par le diable. Jean se rendit au château où la belle jeune fille attendait le démon. Lorsque ce dernier apparu, il le défia aux cartes. En cours de partie, le diable laissa tomber par terre une carte et ordonna à Jean de la ramasser. Mais Jean s'y refusa et ordonna à son tour au diable de ramasser la carte. Le diable se baissa pour la ramasser et Jean en profita pour lui mettre sa canne sur le cou. Contre sa vie le diable du lui promettre de laisser la princesse tranquille. Pour le remercier le roi proposa à Jean de se marier à sa fille mais Jean du décliner l'offre car il n'avait toujours pas connu la peur…


Il se remit donc en route et parvint dans une autre région qui était, elle aussi, en pleurs. La raison en était que la belle princesse allait être dévorée par le diable. Jean se rendit au château où la belle jeune fille attendait le démon. Lorsque ce dernier apparu, il le défia cette fois-ci à la couture. Le diable laissa tomber par terre son dé et ordonna à Jean de le ramasser. Mais Jean s'y refusa et ordonna à son tour au diable de ramasser le dé. Le diable se baissa pour le ramasser et Jean en profita pour lui mettre sa canne sur le cou. Contre sa vie le diable du lui promettre de laisser la princesse tranquille. Pour le remercier le roi proposa à Jean de se marier à sa fille. Il faut dire que cette princesse était encore plus belle que la première mais Jean du décliner l'offre car il n'avait toujours pas connu la peur…


Alors le roi, qui était un malin, l'invita au moins à goûter ses plats délicieux à un banquet donné en son honneur. Le roi ordonna à ses cuisiniers de remplir le gâteau du dessert avec des alouettes. Arrivés au desserts, les convives demandèrent au jeune héros de découper le gâteau fait en son honneur. Lorsqu'il entama le gâteau, les alouettes s'envolèrent en de grands cris et Jean s'évanouit de peur !


C'est ainsi qu'il put se marier avec la belle princesse. Et ils vécurent très heureux et eurent beaucoup de petits gamins d'une franchise et d'une hardiesse bien rares…











Rowena
Rowena se leva pour applaudir.
Bravo, bravo Billy ! Quelle charmante histoire, que celle d'un jeune homme que le diable même ne peut émouvoir, mais qu'une frêle créature comme un oiseau parvient à effrayer !
Bravo, bravo encore !

Puis elle reprit place dans les coussins dans l'attente d'un nouveau conte, ce que faisant, elle se tourna vers Nefi :
Magnifique idée que tu vous avez eue là, chère Dame ! Cette soirée est un enchantement. Et elle applaudit aussi Nefi.
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Connais-toi toi-même
Feemelusine
En effet dame Nefi cette soirée est une vraie réussite mais vous ne m'en voudrez point de rester bouche bée en écoutant toutes ces aventures qui me font voyager et rêver.

J'essaierai à mon tout de vous en conter une mais là je préfère écouter "


puis elle sourit a toute l'assistance comme pour leur dire " continuez cette soirée est merveilleuse et je suis captivée" Son regard rêveur en disait long sur l'intérêt qu'elle portait aux dires de chacun[/b]

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