Billy_bob
Bien je connais une autre belle histoire a faire rever les jolies dames présente,je vais vous la raconter dès maintenant.Il invita Gantra a venir écouter en buvant un breuvage chaud confectionné par une hotesse et médicastre merveilleuse.
Il se leva donc devant les gens et raconta son histoire entendu sur la route le menant a Orthez.
Il se leva donc devant les gens et raconta son histoire entendu sur la route le menant a Orthez.
Citation:
Il était une fois, il y a bien longtemps, un couple qui était frappé d'une très grande misère. Leur pauvreté nourrissait à peine leurs quatre enfants et le malheur voulut que la femme accouche d'un cinquième qu'ils appelèrent Jean-de-trop. Mais ni parents, ni voisins, ni amis, connaissant leur état de pauvreté n'acceptèrent de devenir le parrain et la marraine du petit. Ils savaient quand cas de malheur, ils auraient à veiller à l'enfant comme tout bon parrain et toute bonne marraine. Le couple était à se lamenter dans leur petite maison lorsqu'un mendiant, encore plus pauvre qu'eux, se présenta à leur charité. Hors, les parents de Jean-de-trop avaient toujours eu pour principe d'aider plus pauvres qu'eux et ils partagèrent leur bien maigre repas avec l'inconnu. Ayant confié leur malheur de ne point trouver de parrain pour leur dernier-né, l'inconnu se proposa pour le rôle. Il leur dit de ne s'occuper de rien pour le baptême, qu'il veillerait à tout ainsi qu'au choix de la marraine.
Le jour du baptême arriva et les parents, loin d'être rancuniers avaient convié à la fête, parents, voisins et amis. Ils étaient à se demander ce que le pauvre mendiant avait bien pu préparer pour le baptême lorsqu'ils virent venir de nombreux carrosses remplis de victuailles, de pain et de vin. Les yeux émerveillés des invités virent alors descendre le parrain d'un des carrosses qui tendit la main à la marraine. Mais alors, tous s'enfuirent, car ce qui descendit du carrosse n'était autre qu'un squelette tout blanc, la Mort ! Seuls étaient restés les parents du futur baptisé. L'homme et la Mort leur dirent de ne point avoir peur, qu'ils ne pouvaient désirer plus belle marraine que la Mort et que cette dernière saurait récompensé ce choix en gâtant son filleul Bref, le baptême se déroulé et la Mort offrit au petit Jean-de-trop ainsi qu'aux membres de sa famille de vivre 200 ans sans jamais connaître la maladie.
Lorsqu'il atteint l'âge de dix-huit ans, sa marraine apparut à Jean-de-trop et lui avoua qu'il était temps qu'il trouve un métier honorable. Il choisit pour lui celui de médecin. Le jeune homme répliqua de suite qu'il n'était pas aussi savant et qu'il ne connaissait rien au latin et autre charabia de médecin ! Mais la Mort se moquait bien des connaissances des médecins car elle seule possédait le pouvoir de connaître si le malade mourrait ou bien vivrait. Elle confia donc au garçon le truc suivant : lorsque celui-ci se rendrait au chevet des malades, il serait le seul à apercevoir sa marraine. Si celle-ci apparaissait au pieds du malade, il vivrait. Jean-de-trop n'avait qu'à prétendre alors que quelques gouttes d'une potion de sa connaissance suffiraient à rétablir le patient. Mais si elle apparaissait à la tête du malade, il mourrait. Et Jean-de-trop n'avait qu'à déclarer que rien ne pouvait être fait dans ce cas.
La renommée de Jean-de-trop dépassa bien vite les frontières et porta jusqu'aux oreilles d'un grand roi dont la fille était très malade. Tous les médecins avaient prédit une fin tragique ; pour en avoir le cur net, le roi fit venir au chevet de la belle princesse, Jean-de-trop. Ce dernier voyant sa marraine aux pieds de la jeune femme, demanda au roi la main de sa fille s'il parvenait à la guérir. Le roi n'hésita pas un instant préférant de loin une fille mariée mais vivante que célibataire et morte. La jeune princesse guérit comme l'avait dit Jean-de-trop et épousa le jeune homme qui était loin d'être repoussant !
Mais une chose ennuyait fortement l'heureux époux. Il savait que sa femme ne vivrait jamais aussi longtemps que lui. Il pria sa marraine d'accorder à son épouse de vivre jusqu'à 200 ans comme lui. Mais la Mort toujours refusa. Ne sachant comment la convaincre, Jean mit au défi la Mort de se faire si petite de taille qu'elle pourrait pénétrer dans la gourde qu'il tenait entre ses mains. La Mort releva le défi mais aussitôt qu'elle avait pénétré dans la gourde, le jeune homme referma celle-ci et cria à la Mort d'accorder une vie de 200 ans à sa femme sinon elle resterait enfermée là-dedans ! Au bout de huit jours, alors que personne ne mourrait nulle part sur la terre, la Mort céda et offrit à son astucieux filleul ce dont il rêvait
Ainsi les deux tourtereaux vécurent longtemps, très longtemps dans un bonheur sans nul pareil
Le jour du baptême arriva et les parents, loin d'être rancuniers avaient convié à la fête, parents, voisins et amis. Ils étaient à se demander ce que le pauvre mendiant avait bien pu préparer pour le baptême lorsqu'ils virent venir de nombreux carrosses remplis de victuailles, de pain et de vin. Les yeux émerveillés des invités virent alors descendre le parrain d'un des carrosses qui tendit la main à la marraine. Mais alors, tous s'enfuirent, car ce qui descendit du carrosse n'était autre qu'un squelette tout blanc, la Mort ! Seuls étaient restés les parents du futur baptisé. L'homme et la Mort leur dirent de ne point avoir peur, qu'ils ne pouvaient désirer plus belle marraine que la Mort et que cette dernière saurait récompensé ce choix en gâtant son filleul Bref, le baptême se déroulé et la Mort offrit au petit Jean-de-trop ainsi qu'aux membres de sa famille de vivre 200 ans sans jamais connaître la maladie.
Lorsqu'il atteint l'âge de dix-huit ans, sa marraine apparut à Jean-de-trop et lui avoua qu'il était temps qu'il trouve un métier honorable. Il choisit pour lui celui de médecin. Le jeune homme répliqua de suite qu'il n'était pas aussi savant et qu'il ne connaissait rien au latin et autre charabia de médecin ! Mais la Mort se moquait bien des connaissances des médecins car elle seule possédait le pouvoir de connaître si le malade mourrait ou bien vivrait. Elle confia donc au garçon le truc suivant : lorsque celui-ci se rendrait au chevet des malades, il serait le seul à apercevoir sa marraine. Si celle-ci apparaissait au pieds du malade, il vivrait. Jean-de-trop n'avait qu'à prétendre alors que quelques gouttes d'une potion de sa connaissance suffiraient à rétablir le patient. Mais si elle apparaissait à la tête du malade, il mourrait. Et Jean-de-trop n'avait qu'à déclarer que rien ne pouvait être fait dans ce cas.
La renommée de Jean-de-trop dépassa bien vite les frontières et porta jusqu'aux oreilles d'un grand roi dont la fille était très malade. Tous les médecins avaient prédit une fin tragique ; pour en avoir le cur net, le roi fit venir au chevet de la belle princesse, Jean-de-trop. Ce dernier voyant sa marraine aux pieds de la jeune femme, demanda au roi la main de sa fille s'il parvenait à la guérir. Le roi n'hésita pas un instant préférant de loin une fille mariée mais vivante que célibataire et morte. La jeune princesse guérit comme l'avait dit Jean-de-trop et épousa le jeune homme qui était loin d'être repoussant !
Mais une chose ennuyait fortement l'heureux époux. Il savait que sa femme ne vivrait jamais aussi longtemps que lui. Il pria sa marraine d'accorder à son épouse de vivre jusqu'à 200 ans comme lui. Mais la Mort toujours refusa. Ne sachant comment la convaincre, Jean mit au défi la Mort de se faire si petite de taille qu'elle pourrait pénétrer dans la gourde qu'il tenait entre ses mains. La Mort releva le défi mais aussitôt qu'elle avait pénétré dans la gourde, le jeune homme referma celle-ci et cria à la Mort d'accorder une vie de 200 ans à sa femme sinon elle resterait enfermée là-dedans ! Au bout de huit jours, alors que personne ne mourrait nulle part sur la terre, la Mort céda et offrit à son astucieux filleul ce dont il rêvait
Ainsi les deux tourtereaux vécurent longtemps, très longtemps dans un bonheur sans nul pareil