Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[IG/RP] Université de Touraine

Nessty
Nessty, sentant un picotement dans la gorge, se dit qu'elle allait retrouver le Doc dans son bureau pour qu'il mate un peu dedans, ce qui ne le changera guère de ses habitudes. Seulement, avec toutes ses invitations, ce dernier avait juste oublié une chose : lui dire exactement où se situait ce fameux haut lieu de la culture. Elle en profiterait également pour lui demander la signification de quelques mots savants qu'il employait avec grand art, pas dans le genre de lard du Jul hein, plutôt du style de l'Eros diction si on a un peu d'érudition. D'ailleurs, ça voulait dire quoi "ture" ?

D'un pas alerte, la gueuse impétueuse traversa divers couloirs puis ouvrit soudain la première porte devant elle, au hasard et avec sa douceur et sa discrétion habituelle.

VLAN !

Bonjooooooooooooooooour vénérable vieux c .... oups....

Vlà une enchignonnée plantée en plein cours de maçonnerie à... l'extérieur ! Elle qui pensait se retrouver dans une salle, se prit le soleil en plein figure et plissa ses noisettes en se grattant le chignon pour comprendre ce qui lui arrivait. Le rose puis le rouge puis le pourpre lui montèrent aux joues et c'est un sourire d'ange qui se colle sur son minois de gaffeuse. Nessty se met à bafouiller.

Euh.. b'jour... comment zallez tous bien ?... c'est pas le bureau du recteur ici ?...

Debout dans ses bottes mais un peu vascillante de honte, elle regarda autour d'elle pour partager ce grand moment de solitude. Fort heureusement les trognes présentes ne lui étaient pas toutes inconnues.

L'est où sieur Hijikata ?
_________________
Amberl
[Lecon numero 1 : ne jamais bourrer une berrichonne. ]

Au tour de la berrichonne d'arriver dans l'université, d'un pas hésitant, titubant, vacillant, se tenant aux murs. Beh oui, elle s'était toujours pas remise de la murge de la veille. Cuitée, ivre, raide morte, la brune. Carrément pleine comme une vache pleine, d'la faute du glop et de la poit'vine ca ... 'spece de malotruuuus !

Mal au bide, mal au crâne, mal aux cheveux, et un monde qui tangue, valse, sans cesse, sans répit... Amberle se mit à la recherche du recteur, et ouvrit toutes les portes, une à une, afin de tomber sur l'horrible chinonais qui a eu la machiavélique idée de la bourrer afin de la garder plus longtemps à ses côtés.
Ah ... la bibliothèque. Parait qu'c'est là qu'il se planque. Sa main tâtonne pour trouver la poignée ... c'est qu'elle bouge, la bougresse! ... et ouvre enfin la lourde porte. Se sentant ramollir, la berrichonne secoua la tête, ouvrit grandement une fenêtre, ravie de sentir une rafale de vent fouetter son visage. S'en fichant un peu beaucoup (à la folie mais chut) de voir les vélins tournoyer dans la bibliothèque, et des cris par derrière elle, Amberle se retourna vers les faces d'endives et mit son doigt sur sa bouche, demandant le silence... et son autre index indiquant sa ptite caboche


Grblbl. Chuuuuut ... Ca raisonne là d'dans... chuuut... faut pas râler !


Prise d'un haut-le-coeur, le visage de la berrichonne grimaça... et elle vomit par la fenêtre toutes ses tripes. Soulagée ... Oh que oui, soulagée, un mal en moins, restait le mal de tête à soigner.
Chassée de la salle, où elle dérangeait visiblement - on se demande pourquoi - la brune fut projetée dans le couloir, tel un fardeau. Se mangeant le mur en pleine poire, et ayant une sacrée flemme de se relever, Amberle se mit à hurler.


Doooooooooooooooooooc !


Et d'attendre de la compagnie, parce que là, c'est dur de garder les yeux ouverts... Alors se relever... N'y comptez même pas.
_________________
Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Nessty
Un bruit brusque au dessus du chignon de la gueuse que tout le monde reluque déjà avec un air ahuri. Qu'est ce ?

Nessty lève la tête et voit un chignon charbonneux dépasser d'une fenêtre.

Vain diù de vin doux ! Amb va s'faire jeter par la fenêtre !

La poitevine est peu fière d'avoir saoulé l'autre enchignonnée car elle n'imaginait pas les conséquences d'un état éthylique sur une telle donzelle. Quoi que, la jeter dans les bras de Dyonisius pour ne pas la voir partir de Chinon fut la meilleure action de la journée. Les bras, les bras de... enfin, surement pas ceux d'un dieu mais plutôt ceux d'un mortel à la grappe pressée sous une feuille de vigne avec tant de pulpeuses autour de lui.

Le temps de faire un pas vers la porte, celle qui permet de rentrer à nouveau dans le bâtiment et toujours pas celle du bureau du recteur que....

SPLATCH !

Nessty voit une gerbe de gerbe s'étaler à ses pieds. Surprise et dégoût. Surtout chanceuse de ne pas avoir été à l'endroit ciblé !

Vain diù ! Mes bottes ! J'venais de les cirer pour rendre visite au recteur !

A peu de choses près, c'était le baptême du chignon ! La gueuse releva la tête pour s'assurer que la noiraude ne suivait pas. Pas envie de se la prendre sur le caillou... et... un autre pas sur le côté pour se coller contre la porte avant de se prendre la seconde salve.

Promis, elle n'enivrera plus Amberle car le rendu était trop copieux.
_________________
Liamchaa
Mortier.
Étaler.
Pierres.
Une porte qui s'ouvre.
Nessty??
Cherche le Recteur.
Pour?
Regard interrogateur.
Quand.
Des cris encore.
C'est le jour.
Le Sombre lève la tête.
Amberle???
Cherche le recteur.
Aussi.
Pour?


L'est où sieur Hijikata ?
Doooooooooooooooooooc !

SPLATCH !


Crack, Boumm, Huue
Viens voir dans mon..
Il s'égare.
Tiens, la pluie?
La tête tout en l'air.
Nuages noirs.
Odeur de bières fermentée.
Retour le nez sur terre.
Dégueuli.


Pouahh!! Tin... c'est quoi c'souk!!

Il range la truelle.
Les murs se sont rejoints.
Bel ouvrage.
Un peu tordu tout de même.
Pas précisé ce qu'il voulait le taulier.
Ça lui apprendra.
Puis un autre cours l'intéresse.
Faut se presser.
Il zieute Amberle à la fenêtre.
Sautera pas.
Une chance.
Nessty se planque.
Elle fait bien.
Pas la taverne ici.
Kar1
Toujours aussi chaud, un peu plus concentrée que l'heure d'avant, Karine est plutôt fière d'elle. Son mur avance, 'fin grandit. L'aurait presque envie de s'arrêter là. Coup d'oeil au Noir, bien meilleur qu'elle, pas à dire. Jet grâcieux de l'outil qu'elle a en main au sol. L'essuie son front, soupire bruyamment encore et s'apprête à dire quelque chose destiné au prof' et accessoirement au Liam.

Pas le temps. Une Ness entre en trombe dans l'arrière boutique de l'université. Heureusement que la porte ne donne pas sur le vide, serait tombée direct au fin fond du trou.. Tiens pour un kidnapping ça, ce s'rait pas une mauvaise idée. La tête Blondine se tourne vivement vers la chignonette, forcément. Un sourcil levé, elle s'interroge. Ness aussi prend des cours? c'est fini là.. l'est plus qu'à la bourre.


Euh.. b'jour... comment zallez tous bien ?... c'est pas le bureau du recteur ici ?...
Le bureau du recteur.. Ouai ça y ressemble comme deux gouttes d'eau, pour sûr! La blonde sourit, s'appretant une seconde fois à dire quelque chose. Mais, pareil.. pas le temps. Une autre venue.

Vain diù de vin doux ! Amb va s'faire jeter par la fenêtre !
Le nez se lève, les yeux se plissent, sont chiants les nuages, éblouissants et tout le tsoin tsoin. Ses yeux se font ronds comme des ballons. Une gerbe, puis deux, ou presque. Une Ness juste en dessous.. Pouah, le bordel, ça fouette en plus, le déluge.
Splatch.. Ben Amb' disparait. Après un boxon pareil, pas étonnée la blonde. Toujours le nez en l'air, les trois potes guettent la fenêtre, espérant vivement que la brunette n'en tombe pas ensuite.
Le calme.. une seconde..


Doooooooooooooooooooc !
Qu'est-ce qu'elles lui veulent au Recteur vieux con, décidément.. Le bureau.. Cours particulier? Anatomie?
_________________
Karine de Pommières.
Hijikata
[Leçon numero 2 : ne pas enerver un recteur...]


Recteur... boulot sympa... un bureau pour lui... peut gueuler quand il veut... s'etirer sur son fauteuil de ducaillon... fermer les yeux... profiter du calme... l'est bien dans c'coin la... puis... se marrer... avoir fait boire la norf... un plasir... que dis-je... un veritable regal... secouer la tete un large sourire en se replongeant dans sa paperasse... du mal a se concentrer aujourd'hui faut dire... son boulot n'avance pas... m'enfin... pas grave non plus... l'est le venerable vieux con... on lui dira rien... puis lui l'chef la...

Relever une enieme fois la caboche en scrutant son bureau... large bureau parfait pour les cours particuliers promis... des cours d'anatomie... l'adore en faire l'doc recteur... repartir dans ses pensées... de la veille... un decuvage tout en douceur... revenir a son travail... encore... les cours sont donnés... doivent etre en train de jouer au montage de murs... d'autres... doivent lutter contre des fleaux comme la grippe... des profs ponctuels... des étudiants studieux... silencieux... propice a l'instructons des fameuses petites blondes... enchignosée ou pas...

Etre sorti de ses pensées... du bruit... marmonner... donc... lundi... Ana... sursauter... une porte qui clac... pas possible ça... un coup d'oeil vers la fenetre... surement le vent... rien d'autre... bon... donc... lundi Anatomie... latin... z'aiment bien les cours de langues dans l'coin... bon... comprendra jamais comment on peut preferer un cours de langue morte a un cours de langage norf... mais bon... ne pas juger... les laisser faire... sursauter... ça papotte en dessous... quelle idée aussi de faire cours en dessous de sa fenetre... va les virer un de ces jours... l'vieux con... un autre bruit... plutot un deglutissement dans le sens inverse... l'information chercher le cerveau...


Quoi? On degueule dans ma bibliotheque!

Se lever legerement enervé... pas bon ça pour l'doc... en faire tomber le fauteuil a terre... ça vient de dehors... entrendre ruminer... meme hurler... le silence est brisé... peut plus travailler le venerable dans ces conditions la... en plus on vomit dans son université.... ouvrir comme une furie la fenetre... faire claquer les deux battants contre le mur... prendre une legere inspration... dans l'enervement a peine voir qui est la... remarque meme pas le plus beau chignon du royaume trop collé au mur... et deverser ses propos...

Heyyy z'allez pas la fermer et ecouter un peu le cours! Faudra pas se plaindre apres que vous ne suiviez rien!

Refermer le fenetre un peu plus calmement... quoi... soupe au lait l'recteur... non super soupe au lait... se sentir libéré... comme une recreation... devrait faire plus souvent ça... hier les delices de la norf... aujourd'hui... une petite gueulante... que demander de plus... une norf?
_________________
Aphelie
La tourterelle vient se poser doucement sur le rebord de la fenêtre d’un recteur qui fait exprès de bosser sans aucun doute. Les roucoulements s’intensifient pour qu’il se retourne. C’est fou ce que c’est intelligent ces petites bêtes...

Accroché à sa pate, un petit mot roulé soigneusement et noué par une mèche de cheveux blond, ou il pourra lire...



Citation:
Hiji, mon doc, mon ami...

Des nouvelles de toi enfin ! Alors que mes pieds touchent ce sol qui me rappel tant de choses...J’ai le cœur qui bat à tout rompre de me retrouver ici après tout ce qui c’est passé. Mais recevoir ta lettre m’apaise légèrement tout de même. Je suis si heureuse de te lire enfin. J’aurais dû écrire moi aussi, mais...Enfin les choses ont changé depuis notre dernière rencontre et...je n’ai plus la force de rien, à part le combat bien sur. Un combat qui ne sera peut être jamais gagné, mais qu’importe...je préfère me prendre des coups plutôt que d’entrer dans la folie de ceux qui suivent sans se poser de questions. J’ai ma propre folie ça me suffit amplement...
Recteur ? Toi ! Et la médecine alors ? Tu n’as pas laissé tomber j’espère ! Oui en effet, on aurait bien besoin d’un Doc...Les jours rouges nous poursuivent, tu le sais. Et puis, je ne connais personne qui soigne mieux que toi. D’ailleurs, si tu avais soigné Bire...Je pense que tu es au courant, je n’ai pas su le sauver. Il n’est pas mort non...mais il n’est pas là non plus. Et c’est pire que tout...Tu es le premier à qui j’arrive à en parler. Peut être simplement parce que je t’écris plutôt que de te parler face à face...Enfin...Je ne pourrais passer te voir. Il s’est passé quelque chose...encore. Je ne peux t’en parler par écrit au cas où le courrier serait intercepté. Mais j’ai hâte que tu nous rejoignes en fait. J’ai hâte...tu ne t’imagine même pas à quel point.
Et puis...c’est pas le taf de vieux con que tu as pris qui te retient quand même ? Je suis désolé pour ta cavaleuse, je sais à quel point c’est dur. Mais n’oubli pas...ne jamais regretter, avancer sans se retourner, avancer lame devant, mais ne pas oublier pour autant...le souvenir est un allié, parfois meurtrier, mais un allié qui nous donne la force d’avancer et de poursuivre le combat commencé, quoiqu’il arrive. Auprès de moi, de nous, tu auras toujours ta place Hiji.
En attendant ce moment qui j’espère arrivera vite, j’t’bisouille mon Doc.

Ton apprentie préférée.
Aphélie.
Amberl
[ Lecon numero 3: Une norf ne se laisse gueuler dessus, créboudiou]

Heyyy z'allez pas la fermer et écouter un peu le cours! Faudra pas se plaindre après que vous ne suiviez rien!

Regard émeraude qui s'écarquille ... à en devenir des soucoupes.
C'est à elle qu'il cause ? Z'y va, comment il abuse le Doc ?! Il la saôule, il abuse d'elle, et pas qu'un peu... et quand elle vient à lui, dans son état lamentable... v'là qu'il gueule?

Médusée. Assise par terre, dans le couloir, la berrichonne se masse les tempes, essaye de remettre ses idées en place... Se lever, aller voir l'Doc, lui infliger une gifle pour ces propos déplacés, et l'trainer par la peau du dos hors de cet endroit beaucoup trop studieux. Oui, bon, ca, c'est le programme. Passons à la pratique.

Concentration ... Et d'un bond, elle saute et se remet sur pied ... se rattrapant à la fenêtre pour ne pas tomber... oula... voui, voilà, comme ca, les deux pieds sur le sol. Droite. Bien, bien.
Et d'une brune, qui se tient aux murs, pour avancer tel un funambule, un pied devant l'autre, quitte à se marcher dessus ... l'avancement est long, mais elle progresse. La porte semble proche, 'fin, à vue de nez d'cuitée... donc la distance reste trèèès approximative.

SPLASH


L'avait pas vu la marche, la brune. Poussière tu étais, poussière tu resteras, dit l'adage. Pour l'Amberle, on transposera donc en "épave tu étais, sac à vinasse tu resteras"
Se redressant, encore, c'est d'un coup d'pied qu'elle défonce la porte. He ouais, carrément. Parce qu'elle a pas trop envie de chercher à trouver où est la clinche... Ces ptites choses bougent sans cesse, c'est agaçant ! Plissant le regard, la berrichonne fixe l'recteur, de mauvaise humeur. Aussi râleuse que lui est grognon...


'spece d'abruti chimérique ! *hips* J'm'en tape des cours, face *hips* de ragondin ! Si j'appelais, c'était *hips* pour avoir un soin contre l'mal de cheveux, *hips* crénom d'une pipe. Et n'cries plus *hips* ou j'te jure *hips* que je ... *hips* que je ...


Bloups... "kékej'disais moi déjà... " La berrichonne leve un sourcil inquisiteur, s'efforçant de se souvenir de son idée de base... Keskecété déjà ?


... norf. ... Prends moi *hips* dans tes bras, loulou.

Idée de base pas retrouvée, et colère déjà apaisée... par contre... un seau ... ca s'rait ptete un bon investissement.
_________________
Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Kar1
Heyyy z'allez pas la fermer et ecouter un peu le cours! Faudra pas se plaindre apres que vous ne suiviez rien!

Non mais oh! Y s'prend pour qui le Zozo de recteur, vieux con et touti quanti! Ce ne sont pas les élèves les plus bruyants en l'occurrence. La maçonnerie, c'est pas ce qu'il y a de plus excitant en plus. Elle marmonne à défaut de lui en crier plein la vue.
La Ness a pas bougé, le Liam non plus! Karine aperçoit à la fenêtre de l'étage une main qui s'agrippe au rebord. Elle poste les siennes, encore pleines de terre, de tout et de n'importe quoi d'ailleurs, de part et d'autre de sa bouche pour faire effet haut-parleur.


Wooow.. Amb' fais gaffe tout de même.. hein!

On peut aussi distinguer une mèche de cheveux en mouvement apparaître, disparaître et rebelotte quelques secondes après. Pas difficile de s'imaginer qu'Amberle essaye, au mieux de sa forme, de marcher droit jusqu'au bureau du recteur.
Petit à petit, au fur et à mesure que les secondes passent, Karine se détache de plus en plus de son cours. Elle s'était demandée c'que les deux zozotes foutaient là. Mais maintenant qu'elle n'est plus obnubilée par la droitesse du mur, la manière dont on touille le mélange et le fait que Liam soit bien meilleur qu'elle, la blonde peut se concentrer sur ce qu'il se passe vraiment sous ses yeux.


Vain diù ! Mes bottes ! J'venais de les cirer pour rendre visite au recteur !
L'est la seule à savoir ou se trouve le bureau du Recteur vénérable vieux con. Ben ouai, l'était passée à l'université, un soir, bien tard pour s'y inscrire. Il l'avait invité dans son bureau pour lui expliquer deux trois trucs sur les cours particuliers. Un regard amusé s'affiche lorsqu'elle se rappelle de cette scène puis elle s'avance jusqu'à la Ness. Dernier coup de menton vers le haut pour s'assurer que plus rien ne tomberait de la fenêtre, et son pas devient plus assuré. Blondine lui dit alors, dans des explications fouillies et incompréhensibles:

T'montes d'un étages ensuite tu prends à gauche pis à droite. 'fin attends, d'abord pour monter faut aller chercher les escaliers à l'autre bout du batiment.. T'es pas arrivée par le bon endroit. Tu...
Un sourire, faut se rendre à l'évidence parfois. Ness la regarde tel un poisson fris vide de sens et d'esprit. Karine comprend mais ne se laisse pas démonter pour autant. Une fraction de secondes, elle aurait aimé repartir dans des indications plus claires et exhaustives. Mais non, y a plus rien à faire. Blondine lui prend le bras et l'entraîne vers l'intérieur. Elle tourne la tête vers Liam "j't'aime, tu nous suis?" est ce qu'elle veut qu'il comprenne.

Suis moi que j'te montre ou c'est Bougresse!
_________________
Karine de Pommières.
Hijikata
[ Leçon numero 3: adore quand la norf passe dans son bureau...]


Des bruits... sont vraiment pas calmes ce soir... deranger sans cesse... meme un zoiseau de malheur qui frappe a la vitre... rien de bonne augure... vraiment pas la journée... se relever une enieme fois... ouvrir la vitre... et laisser trainer l'oeil en bas... eux ça va... z'ecoutent maintenant... prendre le papier accroché par une meche blonde... hausser un sourcil... une blonde dans mes connaissances... m'enfin.. liberer le zoizeau... le laisser prendre son envol... le regarder partir... avant de se rassoir... et de derouler le parchemin... un large sourire se fait sur l'visage du libertad... des nouvelles de son apprentie... cela faisait longtemps... lire avidement... tantot sourire... tantot grimacer... ne meme pas faire attention aux bruits étranges provenant du couloir... et rester sur un large sourire en lisant la derniere phrase... aupres de nous... ça fait plaisir a entendre... cela fait si longtemps qu'il ne les a pas vu...

S'atteler directement a la réponse... va pas faire attendre Aphelie non plus... heureux d'avoir de ses nouvelles... derouler un parchemin... prendre sa plume... l'approcher du papier...


Pammmmmmmmmmmm

Relever la tete en fronçant les sourcils... il reve ou quelqu'un vient de foutre son pied dans sa porte... apres avoir vomi a l'université... se lever furieux... et s'apaiser de suite lorsqu'l vit la plus belle norf passer difficilement la porte... elle le fixe d'un air mauvais... se fratter la caboche... l'al'air encore saoule... et il a du encore faire une connerie... et c'est partie pour ses insultes favorites... se mordre la levre pour ne pas se marrer de la voir ainsi... la norf a beau etre enervée... elle a fait l'effort de venir ici... meme saoule... il s'approche d'elle lentement durant son hesitation... avant qu'elle ne prononce la phrase... toute façon l'était partie pour le faire...

Elle tangue la norf... un sourire reste affiché sur son visage... peu importe... la serrer contre lui... lui coller un becot... il se detache d'elle... ferme la porte... l'entraine vers son bureau en lui prenant la main... hop la faire s'assoir sur son siege... et s'agenouiller devant elle... vraiment saoule... ça le fait marrer... meme dans cet état la... l'en viendu le voir... il se releve et se penche vers son oreille... glissant un papier dans la poche...


Alors venu voir pour un cours particulier ma norf...

Tout en passant ses mains sur ses épaules... non pas pour la caresser mais pour la faire tenir droite sur le siege... manquerait plus qu'elle se fasse mal la norf...
_________________
Mac_hyavel
Il se chantait intérieurement une comptine apprise dans sa tendre, enfin pas tant que cela, enfance pour faire passer le temps et l’ennui. Les rênes tenues dans sa main droite, il attendait patiemment, à l’arrière de l’université, que Karine et Liamchaa sautent dans la calèche, enfin sur la barque plutôt, et dans le but de monter dans la charette en compagnie d’une bien intrigante marchandise, du moins à ce qu’il avait compris. Canasson, et non pas le canasson, bien qu’il en était un, se tenait droit fier, près à partir dès qu’il aurait fallut. Comment il s’était embarqué dans cette aventure, il n’en savait trop rien. D’ailleurs, il n’avait pas envie de le savoir pour tout dire. Ce qui lui importait pour le moment c’était de se procurer de la distraction, pour se sortir d’une mélasse qui l’incommodait de plus en plus.
Poser ses pieds, qu’importe où, arrêter le plus possible de penser. Pas fait, loin de là. Lui qui voulait un défi quasi impossible à relever, il était servi. Contrôler la partie de son être la plus incontrôlable. Pour le moment il attendait, et en attendant, pour se distraire, créait dans sa tête de superbes histoires remplies de plein de monstres assoiffés de sang. L’humeur sans aucun doute. Mac Hyavel tourna la tête, comme pour essayer d’entrapercevoir le chaos plus que probablement engendré par les quelques personnes qui se sont entreposés à l’intérieur du bâtiment. Rien, aucun signe. Probablement dû à sa mèche de cheveu qui entrave la vision offerte par ses yeux. Une fois la réflexion faîtes, et le geste adéquat effectué, il repris sa position de garde, toujours sans apercevoir le moindre mouvement.

L’écossais se gratta la joue, comme pour se donner une contenance, et sourit au milicien qui faisait son tour de garde, l’œil suspicieux. Sûr qu’une calèche rangée près de l’université faisait un peu tâche quand au décor austère de la ville. Quand en plus celle ci était gardée par un individu rougeoyant d’habits, et qu’elle était ornementée par une barque, l’esprit quelque peu tordu des hommes de gardes s’en trouvait mis à rude épreuve. Mac Hyavel ne savait pas trop comment se sortir de la situation. Déjà, il sentait que l’homme allait lui demander pour quelle raison il restait collé ici, et il n’allait pas lui rétorquer « ben j’attends que l’enlèvement se termine voyons ». Si il quittait la place, il y avait le risque qu’il le fasse pile au moment où il ne le fallait pas. Et faire route avec un gendarme à ses côtés quand on détient le recteur de l’université n’est peut être pas la chose qui viendrait en premier à un esprit logique. Suant à grosse goutte, il se demandait comment ceci allait finir. Déjà il sentait le danger se poindre, et il ne voyait pas quoi faire pour y remédier. Il devait bien y avoir ce code pour dire que ça tournait mal, mais qu'était il déjà ?

_________________
(n,0)

Ami lecteur auras tu compris l'allusion ? ^^

...


Ombre de ses propres pensées
Brillantin
Splotch, splotch

Bottes boueuses sur le sol, poisson puant à la ceinture, et clé sanguinolente et boueuse à la main, voila un brillant sire qui déboule. Brillant, mais puant. L'odeur de vase, de poisson pourrissant, de sueur emplit l'atmosphère avec une telle force que les passant s'écarte du chemain du jeune homme aussi surement que sur celui d'un lépreux.

De son côté le garçon sifflote gaiment, la tête dressé aussi fièrement que s'il était en costume d'apparat et totalement inconscient de sa condition.

Cette infection sur patte s'approche de l'université...


Ils doivent être en train d'étudier... ha voila leur charrette...

Splotch, splotch

Marchant d'un pas joyeux, le gamin passe à côté d'un garde sans ce soucier du pas arrière épouvanté qu'il suscite.

Arrivée à portée d'odorat, puis de vue, voila que le jeune homme dévisage un conducteur inconnu. D'un ton respectueux qui contraste avec l'apparence, et surtout d'un ton innocent qui contraste avec l'entreprise coupable en cours:


Pardon Sire, mais n'est ce pas là la charrette de Karine? Aurais je confondus?
Totoriflette_le_vrai
Il prenait toujours grand plaisir à voir ses élèves se salir, lâcher les pierres sur leurs chausses, ronchonner, voir même pour certain crier et jeter là truelle, et quitter le chantier, ou alors même se lancer du sable ou du mortier. Il adorait ses cours en plein air, rappelant à chaque instant

On veut être un bâtisseur, alors soyez fier, et faites des murs dignes de ce nom

Il avait perfectionné sa connaissance, en trouvant par hasard à l’université un traité de la construction et des principaux usages des instruments, livre dédié au Roy, il l’avait alors emprunté et lu à plusieurs reprise et c’était fait fabriquer cet instrument.

Vérifiant souvent avec sa ligne à plomb sous le regard surpris des élèves.


Ce mur n’est pas droit jeune homme, alors on recommence, rien ne sert d’aller vite, si cela est mal fait !

Il regardait le sombre s’appliquer, déjà pas un débutant pensa t’il, il vérifia la partie de son mur et émit juste un

Mouais, pas trop mal, continue…

Il regarde alors la jeune femme, et lui lance d’une voix assez sec

Oh Hé pas la pour zieuter, mais pour monter un mur, alors au boulot !!!

De nouvelles personnes se pointent distraction le long du mur, les élèves tournent tous la tête, il commence à ronchonner sec, pas idée de venir ainsi perturber un cours, il tape dans ses mains, les rappelant à l’ordre

mais que nenni, ils sont dissipés, et rien n’y fait, de plus une se met à déserter, il soupire, regardant les autres élèves présent et leur lance

z’avez le choix, vous travaillez ou vous quittez ce cours

Il les regarda un à un, attendant de voir ce qui allait se passer, première fois qu'il voyait un cour qui risquait de ne pas finir.
_________________
Liamchaa
Une Blonde qui se tire.
Voilà qu'elle se retourne.
Marmonne un truc du style.
"j'vais picoler une mousse"
Ou
"termine mon coin namour"
Et le Taulier grognant.
Voilà qu'il sort le matos.
Jauge le boulot.
Est satisfait.
Passe aux autres.
Le Sombre voit plus la Blonde.
A du filer avec Nessty.
Il grogne.
Laisse tomber la truelle.
Coup d'œil au Prof.
Il s'éclipse derrière les donzelles.
Les voit monter.

Ben vont ou les grenouilles?
En bas la taverne de l'université pourtant...


Haussement des épaules.
Tant qu'à faire.
Il suit les chieuses.
Il y a peut être mieux en haut.
Karine lui avait dit.
"j'ai visité"
Il grimpe les escaliers.
Quatre à quatre.
S'arrête au coin.
Reluque la scène.
Amberl
Un cours particulier ? Ma qu'est ce qu'il raconte lui ? Non, non... Cervelle de piaf bourré qui se met à cogiter à toute vitesse, de façon désordonnée.. Pourquoi est elle là, déjà ? Ah oui, un besoin de trouver un remède contre cette foutue cuite qui ne passe pas. C'est la raison officielle. L'officieuse, c'est une envie de le voir, de profiter de sa présence du Doc, ami complice depuis toujours, proche, très proche... surtout depuis la veille. L'alcool aidant à fuir toute raison, la brune avait cédé à son envie, sans regret, ni tabou. Et donc, de l'embarquer avec elle. Parce qu'elle a pris goût à squatter ses bras, ses jambes, passer les nuits avec lui.

Hoquetant de plus belle, la brune se laisse faire, et prend ses aises, posant ses jambes sur le bureau du recteur - oops, y avait un papier en d'ssous ? Paix à son âme -. Amberle laisse son Doc lui faire un massage relaxant ... Ptete une nouvelle méthode pour faire passer la cuite ? Ou du moins, transformer l'ivresse dû à la bière en une ivresse humaine ? Mhmm dans tous les cas, ca lui convient. La chaleur qui nait au creux de ses reins le lui confirme. Entortillant ses doigts dans les siens, la brune se penche vers lui, volant un baiser, et ancre son regard dans le sien


Alors c'est ici *hips* que tu passes tes journées ? *hips*
Sympa... Tu veux que je t'aide à refaire la déco ?


Question innocente ... huhu. Sourit largement en voyant qu'elle a su articuler une phrase sans ce hoquet qui la gave, avant de faire une moue angélique, insistant sur le papillonnement d'cils, les émeraudes se fendant dans le même style que le Chat potté...
J'veux pas qu'tu restes seul ici .. Tu peux vraiment *hips* pas t'enfuir d'ici *hips* quelques jours ? *hips*

Sourire en coin, peu importe ce qu'il dira ... Il quittera l'Université. Un éclat de malice zébra son regard... Elle a intrigué avec les autres. Un hennissement d'cheval lui parvient aux oreilles... Signe que la carriole est prête. Faut juste qu'ils se ramènent. Seule, et ivre, elle sera pas apte à lutter contre lui.
Mais il n'en savait rien.. et 'reusement, déjà qu'il ronchonne sans cesse... Et d'un noir qui est au coin de la porte. Tout se met en place, doucement.

_________________
Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)