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[IG/RP] Université de Touraine

Mac_hyavel
Tandis que le rougeâtre homme préparait dans sa tête de machiavéliques plans dans le but de distraire l'officier, afin que la tentative d'enlèvement se déroule comme prévu (ce qui vous l'admettrez est une idée totalement stupide et saugrenue), le milicien offusqué par une puanteur mal convenante rebroussa légèrement chemin quand il vit qu'engager la conversation avec l'écossais équivalait à devoir parler avec la raison de sa peur quelque peu immodérée. Un précieux sans nul doute, qui devait occuper son temps de cette manière pour prouver à sa famille qu'il subsistait en lui une once de virilité.

Pardon Sire, mais n'est ce pas là la charrette de Karine? Aurais je confondus?

Hein ? Sire ? Euh, oui il me semble que la propriétaire se nomme Karine. Pourquoi ? Vous désirez monter ?

Tout en parlant, de manière plus automatique que réfléchie, Mac Hyavel sombrait dans ses pensées dans lesquelles, d'une il s'éfforçait à s'imaginer que le sieur sentait bon; et de deux, se demandait se que faisaient Karine et Liamchaa durant tout ce temps. Par ailleurs, il s'efforçait de ne pas paraître trop perturbé, trop stressé, ce qui provoquait en lui - l'ensemble des actions qu'il accomplissait secrètement- une espèce de tremblement qui traduisait ses soucis. Fort heureusement, le gendarme quand à lui s'était affairé à sermonner un chenapan passant par là, et ayant chapardé je ne sais quel objet totalement insignifiant; et sa personne n'était plus visible, cachée qu'elle était par le coin de la rue.

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(n,0)

Ami lecteur auras tu compris l'allusion ? ^^

...


Ombre de ses propres pensées
Hijikata
La voila qui commence a se sentir mieux... mais faut tout de meme pas pousser... continu a la tenir... meme si l'equilibre revient peu a peu chez elle... dans la tete du doc... rien de douteux en ce concerne sa venue... z'avait passé un contrat... a durée determiné... le emps qu'ils sont ensemble a Chinon... donc... elle avait du aimer... la journée... et la nuit precedente... donc... elle venait profiter de celui qui était son amant pour l'apres midi... bon... l'avait encore bu... peu importe... l'attention était adorable...

Il continu ses massages... devenant peu a peu des caresses... il la sent fremir... au moins ça lui plait... elle ne sera pas venu pour rien... et meme si elle qui a fait tout ce boucan... il lui pardonne... c'est sa norf... pas le temps de reflechir... un baiser... un baiser des plus tendre... un souvenir la vieille au soir... la nuit... leur nuit...

La taverne d'hier soir se fait déserte… une a une les âmes partent de ce lieu de débauche alcoolisé… n’reste sur un fauteuil… que l’Doc… et sur ses genoux… une belle d’moiselle a l’air éméchée… il ne râle pas pour une fois l’venerable vieux con… l’recteur transformé en fauteuil de luxe pour une norf… gueulera pas… la regarder jouer les pestes… elle le fait marrer… joueuse de miettes… grogneuse invétérée… toujours l’sourire au lèvre… une vraie amie et saoule… c’est tout cela la norf du vieux con…

Un œil tendre… complice… l’heure de déserter la taverne… des lèvres qui s’effleurent… voila la d’moiselle dans ses bras… se faisant porter telle une princesse… et c’est en parlant de tout et de rien que l’maison du vénérable se profile a l’horizon… une norf ayant du mal a choper une poignée de porte qui n’arrête pas de bouger… un coup de talon la refermant… direction l’étage… un dépôt tout en douceur… l’recteur s’étire… baille… elle décuve sur le lit… a moitié allongée… toujours son fameux sourire aux lèvres…

Une main tendue par ses soins… le cavalier demande à Amberle d’être sa cavalière l’espace d’une danse… se laisser entraîner par le rapprochement voulu… délester la d’moiselle de ses vêtements inconfortable pour ce genre d’exercice… créer un lien de passion en passant par les lèvres… un point de jonction pour cette valse à trois temps…

Premier temps l’effeuillage… main qui glisse… entraînant sa partenaire dans une délicieuse mise en place… sentir des yeux chargées d’envie… l’virus de la danse les prenant… se rapprocher un peu plus… se coller a elle…

Deuxième temps… attendre que la musique s’entame… attendre en faisant connaissance… s’explorant… mains de velours… désir ardent montant sans cesse… une envie de légèreté… accélérant peu a peu le souffle des futurs danseurs… se mettre en condition… déguster chaque parcelle de sa partenaire… observer chacun de ses signes… jusqu'à l’impatience… pour enfin…

Troisième temps… enfin… entamer une bien douce danse… suivre le rythme… ne jamais la quitter des yeux… valse des plus tendre… des plus langoureuse… oublier le monde qui les entoure… oublier la passé… le présent… le futur… juste l’un a l’autre pour cette danse… un… deux… trois… un… deux… trois… un soupire… lui a marché sur un pied ?... non… prendre un rythme leurs permettant de prendre plaisir a ce pas de danse unique… prendre les libertés… faire tourner sa partenaire sur lui-même… ne pas se limiter a une simple valse… explorer toutes les possibilités du plaisir de danser à deux… se priver de rien… la musique ne s’arrête pas et continu de plus belle… jusqu'au crescendo final ou les deux danseurs de la nuit aux souffles saccadés par cette danse au final endiablée… dans un dernier effort libèrent toute l’ardeur qu’ils avaient à la danse… s’arrêtant… se regardant… large sourire aux lèvres… un baiser devenu plus tendre que fougueux… des bras qui l’enlacent et qui se serrent sur elle… fin de la danse…

Sortir de la piste lentement… pour venir compenser l’effeuillage et l’effort par une bonne couverture et une pointe de tendresse… un dernier baiser… un dernier clin d’œil complice… ce soir la norf aura des bras dans lesquels se reposer… ce soir l’Doc la serrera contre son cœur… afin qu’ils partent chacun de leurs cotés dans le monde des songes…

Secouer la tete... revenir a la realité... au present... l'entendre parler sans hipser... hooo rare ça depuis vendredi... il secoue la tete en reponse... sa deco est fort bien... et la voila qui se met a faire son sourire craquant et a jouer sa donzelle exuberante... il sourit a son tour... voila le motif de sa venue... elle sait la reponse... il est recteur... il le restera...


Tu sais bien que je ne peux pas ma norf... pas l'envie qui m'en manque mais quand j'commence quelque chose... j'termine...

Du coup... vient s'assoir sur ses genoux... un peu de changement dans l'autre ça fait du bien... et lui colle un baiser pour la faire taire... l'aimerait bien partir l'doc... mais quand il s'engage... il le fait jusqu'au bout... donc... va profiter de ce dernier moment avec elle... avant de la laisser partir... et la revoir dans tres longtemps...
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Liamchaa
La chignonnée.
La Blonde.
La porte d'une pièce entre ouverte.
Il s'approche sans bruit.
Sont en train de passer leur cou.
Paluche sur les épaules.
Elles manquent de crier.
Doigt en travers des lèvres.
Le Doc. Amberle.
Ça discutaille ferme.
Les filles lui font des signes.
Y croit comprendre l'embrouille.
Sacré scénario là.
Les voilà qui entrent.
En douce.
Puis gueulent tous d'un coup.


Amb!! Les mains!!!

Trois guignols.
Un sur les jambes.
Le second au corps.
Le troisième à la tête.
Hop, une cagoule sortie de nul part.
Coup au menton de la part du Sombre.
La tête qui pend.
Sonné le recteur.
Les femmes le regardent.


Liam... tu l'as tué?

Haussement des épaules.
Il sait se retenir quand il faut.
Juste Ko pour le compte.
Surpris sur le vif.
Il zieute Amberle.
Les mirettes pas en face des trous non plus elle.
Il fait un signe aux nanas.
Il faut la soutenir aussi elle.
Ni une ni deux.
Le Doc sur l'épaule.
Constate qu'il pèse son petit poids l'animal.
Le cale correctement.


Faut filer maint'nant.... Amb... c'est c'qu'tu voulais nan?...Alors magnes ma Belle.
Karine, ou c'qu'elle est la charrette? Et l'brillant?..le Mac?...
Tin...faut qu'il arrête les miettes l'Recteur... pô possble ça... il voulait faire concurrence au Jul ou quoi??


Chuchotements.
Il passe la porte.
Les donzelles suivant le mouvement.
Coups d'œil à droite.
Coups d'œil à gauche.
Reprendre les escaliers.
Éviter les professeurs.
Totoriflette_le_vrai
Jamais il n’aurait pensé que ses paroles furent prises au sérieux, mais voila que le Sombre dépose à son tour la truelle, dépité en le regardant quitter le cours, jamais il n’avait vu de pareils élèves… à se demander ce qu’ils étaient venus faire là !

Les 3 autres apprentis se font discrets, alors Toto lance


Bon vous autres, ranger maintenant, pas laisser un merdier de chantier …

Incroyable, il est écouté, le rangement se fait, mais la colère que ressent le prof est impressionnante, il se met à shooter dans tout ce qui est sur son passage, attendant de libérer les élèves, inscrivant sur son parchemin les notes, pour sur elles vont être basses pour les déserteurs,

jamais ne seront des bâtisseurs les deux là ! pense t’il.

Dernier coup d’œil, le chantier est propre

Cours terminé vous remercierez vos camarades, pour l’aide au rangement … !

Il prends son baluchon et quitte les lieux, dégoûté, n’allant même pas voir le recteur pour lui faire son rapport, besoin de se rafraîchir le gosier, il déposera la liste de présence demain.
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Brillantin
Mac_hyavel a écrit:

Hein ? Sire ? Euh, oui il me semble que la propriétaire se nomme Karine. Pourquoi ? Vous désirez monter ?


Bein a vrais dire... oui!

Ni une ni deux,, brillantin bondit à côté du conducteur et commence à jacasser comme s'il s'agissait d'un ami de longue date.

Je m'appelle Brillantin! Tu connais Karine depuis longtemps? Ca te dérange pas qu'on se tutoie? Tout le monde se tutoie dans cette charette.... Avant je la conduisait... Je pourrais te relever si tu veut.... On attends Karine? Et Liam? Tu connais Liam? Il est tout noir... Si tu connais pas quelqu'un de tout noir, alors c'est que tu le connais pas... On vas ou? Tu le sait? A moi on me dit jamais rien et...

La litanie se poursuit... encore et encore... Sans que l'odeur ne diminue
Nessty
T'montes d'un étages ensuite tu prends à gauche pis à droite. 'fin attends, d'abord pour monter faut aller chercher les escaliers à l'autre bout du batiment.. T'es pas arrivée par le bon endroit. Tu...

La poitevine ne comprenait rien, mais rien de rien aux explications de Kar et cela devait se voir à sa tête car la blonde finit par l'entrainer telle une bourrasque au travers des couloirs pour lui montrer le chemin. Le silence s'était fait dans le bâtiment. Plus d'Amb en train de crier, plus de fenêtre qui claquait, plus de recteur qui braillait... Tout semblait être rentré dans l'ordre. L'enchignonnée suivait sagement enfin à sa façon surtout Kar, l'âme généreuse ou la potache fuyant le cours de maçonnerie avant que la muraille des novices ne s'effondre. Nessty s'en préoccupait pas car trop ravie de la présence de ce guide qui lui éviterait ainsi de se retrouver à nouveau devant une assemblée fort surprise par l'incartade d'une donzelle sans cervelle. Raaaaa l'impétueuse se savait perturbatrice sur différents registres, mais c'était là la première fois qu'elle jetait le trouble dans un cours. Elle se sentait un peu comme une jouvencelle de l'érudition littéraire qui se retrouvait dans un cours de poterie sauf que là, elle incarnait la paysage empotée qui ne laissait pas le temps au ciment de durcir sous la truelle.

Attend Kar...

Nessty s'arrêta pour... et bien faire briller les bottes tâchées par l'offrande de cervoise d'Amb. Elle avait vu un torchon accroché dans le couloir et s'en saisit pour le passer avec soin sur le cuir souillé. Quelques crachats en prime comme lui avait appris son grand père et hop, vlà la Vilaine de nouveau fière de sa prestance. Elle remit le torchon en place. Zut, c'était une blouse de prof et non un torchon ! Ptit regard autour d'elle, personne ne semblait l'avoir remarqué et tant mieux. Mains posées sous ses seins pour remonter le tout d'un geste vif et assuré. Chignon remis dans l'axe de sa rectitude. Tissus tiré de façon à ce que les épaules dépassent légèrement et hop, la vlà de nouveau à trottiner derrière Kar et Liamchaa.

Le trajet jusqu'au bureau du recteur fut bref, si l'on occulte bien sur les quelques demi-tours et autres ouvertures de portes donnant sur des salles vides ou pleines. Bah oui, la poitevine n'écoutait pas Kar et se jetait sur les huis au hasard. Ne jamais compter sur le sens d'orientation d'une blonde, Nessty le savait bien. En résumé : 1er étage, par la droite puis par la gauche, après avoir pris le 1er escalier le plus proche, hein... Rien à voir avec les explications données auparavant ! Ne jamais écouter les indications d'une blonde. Nessty le savait bien. Le Sombre les talonnait déjà, inséparable de sa douce moitié comme toujours. Ne jamais écouter les autres. Nessty le faisait très bien ça. Mais...

L'enchignonnée grommelait intérieurement car elle aurait préféré exposer sa gorge au Doc avec un peu plus d'intimité avant d'exécuter leur plan. De profondeurs à sonder par un expert qui à chaque auscultation semblait demander systématiquement à ses patientes de se dénuder. Bah gorge et gorge, c'était bien la même chose en fonction de l'angle d'observation. Puis, il y avait aussi ce cours particulier qu'il lui avait proposé en son antre : la nana-tomie. Hum, elle se demandait encore ce que cela pouvait bien être. Comment allait elle donc faire comprendre à son escorte qu'une fois arrivée devant la bonne porte ils étaient indésirables pour la poitevine ? Elle avait non seulement ciré ses bottes mais agencé ses oripeaux de façon à paraitre plus rapidement accessible aux besoins du bellâtre. Que le lacet de son corsage soit desserré n'était point une nouveauté certes mais là, elle avait pris soin d'en arranger le noeud afin de le faire céder à la moindre pression. Et bien oui, un médicastre étant un homme pressé, il ne fallait point le faire attendre et ce genre de ptite attention démultipliée par le nombre de patientes pourrait être d'une aide incommensurable dans l'emploi du temps d'un homme si pris et si prisé. La Vilaine demandait quoi ? 5 petites minutes avant de... Allez 5 minutes, soyez sympa les copains... L'angoisse monta dans la gorge "douloureuse" de la gueuse qui ne put lâcher un mot lorsque Kar s'arrêta devant une porte qu'elle désigna comme étant la bonne cette fois ci. Logiquement oui car c'était bien la dernière qui n'avait pas encore été visitée... En plus elle est entrouverte celle là et...

L'impétueuse aurait bien piétiné sur place comme une gamine capricieuse car Amb l'avait devancée en tous points, vain diù d'vin doux ! Ses 5 minutes, son corsage piégé, sa gorge arrachée à coup de prune distillée et redistillée ! Tout ça pour rien ! Elle garda soigneusement pour elle sa déception et ses manigances en grommelant toute fois un : Et grmlmlmlmlml ! si on peut plus s'payer un peu d'plaisir avant l'action ! La blonde et la brunette se regardèrent étrangement complices puis firent signe au costaud de service. Vlà un homme qui sera fort utile car vu l'état de la pochtronne et les yeux doux du recteur, aucun gargamel ou stratège subtile ne servira plus pour à attirer leur proie jusque dans leur filet.

Allez hop, on charge le bestiau, comme ça.

Un assaut rapide pour un rapt simple qui ne manque pas de se transformer en expédition épique. Nessty passa le bras d'Amb par dessus son épaule, en prenant soin de ne pas perturber son chignon bien sur, et manqua de plier sous la ferme volonté de la donzelle à continuer de cuver. De grognements en d'autres, on put reconnaitre ceci :

Haaaaaaaan ! Humpf... Haaaaaaaaaan ! Amb, j'te préviens, t'as pas intérêt à m'vomir dessus ! Haaaaaaaan ! Humpf... Haaaaaaaaaan !


Course dans les couloirs, fini de penser à la gaudriole ou au papillonnage. Les choses sérieuses venaient de commencer enfin !

Et l'brillant?..le Mac?...

Mac est dehors à causer avec Canasson, devant la porte mais me demande pas laquelle !
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Kar1
'tain.. Aucune confiance en la Blonde la chignonette. C'est qu'elle pourrait être vexée Karine à force. Elle lui dit à droite, faut qu'elle aille à gauche, et tout ça pour dérange moults classe en plein cours. Pas gênée.. J'vous l'dis!
En même temps, c'que la blonde n'ose pas dire, c'est qu'elle a vraiment un sens de l'orientation aussi pourri que le taux de mémoire que son cerveau possède en pleine activité. Ben ouai, suffit de se rappeler quand l'a eu du mal à retrouver le Liam dans le Bourbonnais Auvergne la première fois. Pis y a aussi le Poitou, quand il fallait qu'elle le retrouve dans les marais. Heureusement qu'elle avait crié à ce moment là, et qu'il avait accouru pour son plus grand bonheur. Sinon.. elle aurait déjà déséché à force de tourner en rond.
Mais bien sur qu'elle montre son mécontentement à la Ness. Quelle idée d'en douté avant d'avoir essayé? Mmmh.. Pis elle s'est quand même dévouée et a quitté le cours sans autre forme de procès pour pouvoir lui indiquer la marche à suivre. Gonflée j'vous dis.


Attend Kar...
Demi tour furtif, glissade ou presque. Ouai ouai l'attend.. Mais pourquoi au juste? Levage de z'yeux au ciel.V'la qu'elle nettoie ses bottes, belles certes m'enfin on est pas la pour faire des chichi de chichignonette!
Cet agacement n'est que ponctuel puisque quelques secondes plus tard la blonde se prend au jeu et rajoute.

Y t'en reste là... Karine laisse le coin de ses lèvres se relever, amusée, détendue ou presque, et fini par sourire. Allez magne toi bougresse!

Ben ouai quand même, c'pas qu'ils ont tous déjà des heures et même des jours de retard tous autant qu'ils sont. L'un qui va voir les moines pour compter fleurette! Un autre, beeen.. Qui fait pareil au final, et ne parlons pas de l'envie infinie des deux zozotes pour rester foutres quelques roustes aux boulets chignoniais histoire qu'ils se souviennent d'elles jusqu'à la fin des temps et au delà.

Pouarf.. Finalement devant la porte, le Liam pas loin. Peu pas s'empêcher de jeter un oeil sur lui, juste une seconde. Comme pour avoir son aval, se sentir en sécurité et savoir qu'elle ne risque rien, lui auprès d'elle. Que c'est bon de pouvoir compter sur quelqu'un.
Bon.. la Ness qui stress ou peu, la Amb qui tangue, et ah! Le Recteur..


Pim paf pouf!

Le doc', dragueur fini est sonné. Bon, faut avouer que, oui Amb' avait envie qu'il reste avec elle, mais sachez que toute la bande avait envie qu'il suive. Même lui d'ailleurs. Il ne l'avouera jamais, criera surement au scandale en disant qu'il a été enlevé contre son gré. Mais, le calme revenu, Karine admire le visage serein du Recteur, tellement serein, qu'il en sourit.

La Ness avait l'air de s'occuper de la pochtronne de l'équipe. Pas pour déplaire à la blonde. Maintenant, le pire était à suivre. Retrouver la sortie sans se faire remarquer. Redescendre les escaliers et éviter de croiser le prof' qui pour sur, allait étre très désagréable.
Elle le sait la blonde! Ne jamais lui confier ce taf là! Les méninges se creusent.. Elle continue d'avancer, pas moyen qu'elle montre qu'elle est perdue dans ce chateau Tourangeau rempli de garde et j'en passe. Comment passer inaperçu?

Un miracle..
Ils descendent des marches, quatre à quatre. Même si ce ne sont pas les bonnes, ils se retrouvent au bon étage. La blonde ouvre une porte qui a l'air plus grande que les autres. Aucune hésitation, c'est celle là.
Meuuuh.. Bien sur qu'elle hésite, bien sur qu'elle n'est pas sure d'elle. Croyez vraiment qu'elle va le montrer? Surtout quand elle croise le regard de Canasson..


Karine, ou c'qu'elle est la charrette? Et l'brillant?..le Mac?...

Sourire en coin, vachement fière, s'en cache pas.. saut en charrette toujours aussi gracile, un clin d'oeil et voilà le travail.

Devant toi beau Noir!
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Karine de Pommières.
Nessty
Suite des cours de miettes pour le vénérable vieux con en Touraine.

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Totoriflette_le_vrai
Cours de maçonnerie

Le temps avait passé, le mur n’avait pas bougé, mais un nouveau cours allait commencer. Comme à son habitude, il arriva avant le cours, longea l’université, vérifia que le panneau indiquant la direction du cours de maçonnerie était toujours en place, il se dirigea vers l’arrière du bâtiment. Le temps était assez maussade, un courant d’air frais traversait chantier, là journée allait être encore dur… Enfin il se demandait si les élèves du jour seraient plus motivés que les précèdent.

Il attendit, déjà la cloche avait sonné depuis quelques minutes, et lui attendait toujours ses élèves, posé sur le tas de pierre, les attendant de pied ferme, il sentait son humeur des mauvais jours, pensant déjà que les premiers arrivés casserait ce mur fait à la va vite, et loin d’être droit

Il en vit arrivé un, puis un second, puis un troisième, leur air déjà épuisé le fit monter sur ses grands chevaux, leur ordonnant de casser le morceau de mur sur le côté, puis arriva un petit bout de femme, il se frotta les yeux, la regardant, n’en croyant pas sa vue.
Fitzounette
[A la recherche du bureau du recteur.]

Elle chantonnait, et sautillait dans les couloirs.

Travailler c’est trop dur
Et voler c’est pas beau
D’mander la charité
C’est quelque chose que je ne puis faire
Chaque jour que moi je vis
On me demande de quoi je vis
Je dis je vis d’amour
Et j’espère vivre vieille
Je prends mon vieux cheval
Et j’attrape ma vieille selle
Je selle mon vieux cheval
Pour aller en Tourainne


Elle était entrée un peu dans tous les bureaux, sans même frapper :

Vénérable vieux con, t'es là ?

Des livres avaient volé, des insultes aussi. Mais elle ne se départissait pas de sa bonne humeur, ravie d'avoir pu postuler au cours de Lyrr.
Elle était motivée, ah ça oui, motivation ! Le premier cours de stratégie pour la fille du stratège félon. Un grand jour ! Un très grand jour !

Surexcitée, elle continuait sa quête du sexyyyy recteur, pas si vieux et con que celà.

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Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Hijikata
[ Encore du bruit...]


Le bordel... ce n'était pas un bas mot pour resumer tout ce qui trainait sur le bureau du venerable vieux con... piles de paperasse en tout genre... surmontées par des bouquins chargés de marque-ta-page... entre les cours... les missives diverses et variées... les plannings qui s'entassaient... veritable casse tete pour que tous le monde soit content de la programmation... puis choisir ceux qui pourrait distiller la connaissance aux eleves... l'a b'soin de calme l'venerable pour faire tout cela...

Ne pas reussir a se concentrer... du bruit dans les couloirs... des bouquins qui volent... le laisse reveur... derniere fois que ce genre d'evenement était arrivé... une Norf venait pour l'emmener pres d'elle... mais la... l'est loin la Norf... donc... va pouvoir exterioriser sa frustration de la savoir entre quatre murs... prend en main le bouquin sur la peste... pas facile comme matiere... bien épais... ça sera parfait pour le balancer sur l'étudiant glandeur qui se permet de troubler le calme normalement olympien qui doit reigner en ces lieux...

Regagner la porte de son bureau... l'ouvrir lentement... partir a la chasse aux cancres perturbateurs... attendre que l'un d'eux passe... un coup bien placer... et hop on en parle plus... les bruits de pas approchent... une voix le reclamant... hausser un sourcil... ça lui dit quelque chose... mais qui et ou... entendre la personne se rapprocher et surgir de son bureau a ce moment la... ça fera plus naturel... il va pas assomer une donzelle qui le cherche tout de meme... un bout de pied se fait voir... lui rentrer dedans... comme si de rien n'était...


Oups excusez moi...

Relever la tete... marmonner pour cacher un sourire... la gamine qui se pretend duchesse... lui tapoter la tete comme elle a horreur qu'on lui fasse... lui claquer un clin...

Ravis de vous revoir p'tite duchesse... mon bureau est la... alors... racontez moi... ce cours...

Lui ouvrir le passage d'un geste de la main... faudra quand meme qu'il pense a lui dire que c'est pas une taverne ici... qu'on arrive pas en gueulant comme ça... et qu'il suffit de demander...
Fitzounette
[Collision d'objets célestes.]

Son nez percute un torse. Humpf. M'enfin, qui ose entraver l'ascension de la petite Reyne ? Cette enfant est un vrai rouleau compresseur et l'a prouvé en menant par deux fois (et le Très Haut sait qu'il faut être cinglé pour remettre ça...) d'une main de fer, sans se préoccuper du gant de velours, un Duché rebelle. Cette môme ne supporte pas qu'on lui résiste. Elle lève la tête, et aperçoit le sourire taquin de son futur professeur. Il lui tapote le crâne, comme si elle était une toute petite fille.
Il sait qu'elle déteste cela. Elle se renfrogne et marmonne :


Oh, appelez moi "ma Reyne", en toute simplicité... Ravie de vous r'voir aussi l'recteur.

Feignant d'ignorer ce dont il parle, elle s'installe face au capharnaum qui lui sert de bureau:

Le cours ? Quel cours ? Rafraichissez moi la mémoire...

Sourire enjoleur, et moue candide. Elle a envie de jouer avec ses nerfs. Ah c'est toi l'chef mon grand ? Tu vas voir de quel bois je me chauffe...
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Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Hijikata
[ Cette petite? Une étudiante?]


Regardez la cette mioche... la nommer "ma Reyne"... puis des cours gratuit et un coffre remplie d'or tant qu'elle y est... ces jeunes... hausse des épaules discret de la part du vénérable vieux con pendant qu'elle rentre dans le bureau... même pas le temps de lui dire ou elle doit s'assoir... elle est deja posée...

Se gratter la caboche legerement dubitatif... l'a de la chance d'etre toute jeunette... car la place des étudiantes passant dans l'bureau n'est pas sur sur ce fauteuil qui sert d'extension a ses meubles de pseudo-rangement... mais plutot le coin du bureau a coté de son fauteul qui offre un siege dort agreable pour les yeux du doc...

Un nouveau haussement d'épaule... elle sourit... elle tente de l'amadouer... sauf qu'il le sait... elle n'a rien de la sainte qu'elle tente de paraitre... mais ça le fait marrer... toute jeunette qu'elle est... elle avait dit qu'elle viendrai le voir a l'université... elle l'a fait...


Ma Reyn...ette.... vous ne vous souvenez plus du cours que vous etes venu suivre ici... z'etes pas une vieille dégénérée pourtant pour ne plus avoir de memoire...

Et en Anjou... vous a pas appris a ne pas deranger l'monde qui tente d'apprendre... faut pas s'etonner que votre sorciere de l'est ne vous veuille pas...


Un petit sourire taquin... il le sait... l'a du caractere la p'tiote... elle va partir au quart de tour... un petit moment de detente avant de recommencer le boulot ça ne fait pas de mal...
Fitzounette
[Jouons, voulez vous ?]

Elle l’observe, un sourire satisfait fiché sur la bouille. Elle le détaille même, effrontément. Il est de ces charmeurs qui aiment être charmés, et elle le sait. Sa potesse fofolle, la Amberle, a du goût. Elle l’écoute lui renvoyer les mots avec style, elle savoure les pirouettes. Le langage est surtout corporel. Mais la prunelle de buse perçoit les variations. Elle joue de son innocence et de sa fraicheur, il sait jouer de sa maturité et de son calme calculé.
Il la sous estime cependant. La jeunesse peut dissimuler bien plus de franchise et de sagesse qu'il ne le soupçonne. Froncement de sourcils.


Ne faites pas le vieux rabat joie. Grâce vous soit rendue, et au Sieur Lyrr, me voici enfin moins ignorante de la stratégie militaire. Mon destin s’accomplit. Et cessez de jouer les croulants, cela ne vous va pas du tout.

L’œil acéré et railleur :

Quant à la sorcière de l’Ouest, laissez là où elle est. La médiocrité est son lot quotidien. Elle ne sait apprécier le savoir, et n'a pas l’envie de le distiller… Soyez flatté, recteur, vous, percevez la vrai beauté.

Rit d'elle même intérieurement. Elle en fait des caisses, mais c'est si bon.
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Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Nessty
[Zut, la Vilaine traine dans le coin !]


Une escapade hors de ce couvent qui l'oppressait de plus en plus et un tour rapide en taverne pour s'enfiler une tite mousse, vlà la gueuse en pleine forme pour la journée. Chinon était totalement vide d'âmes qui vivent, le soleil chatouillait déjà le nez de l'enchignonnée avec insolence comme s'il voulait lui coller un nouvelle rougeur à soigner avec un onguent au pouvoir plus qu'apaisant. En portant sa main à sa truffe, non pour l'en protéger mais pour en tester la température, elle se mit à sourire malicieusement en se disant : Pourquoi ne pas chercher le recteur pour l'emmener lézarder en bord de rivière afin de lui raviver un peu le teint blafard caractérisant tous ceux qui s'enterrent de trop dans des bibliothèque ? Il ne saurait pas résister à sa proposition, elle en était plus que persuadée surtout depuis qu'elle avait trouvé des arguments incisifs pour le convaincre. Puis elle avait quelque chose sous le chignon la gueuse et ce, depuis quelques jours, mais elle n'osera jamais l'avouer.

Nessty se souvint sans peine de la localisation du bureau, pas besoin de Kar, pas besoin d'ouvrir toutes les portes, pas besoin de se nettoyer les bottes souillée car elle n'en avait pas aujourd'hui, pas besoin non plus d'une excuse quelconque pour justifier son envie de croquer un bout du vieux con.

Roooo la blouse ayant servit au lustrage est encore là... Sourire un peu honteux en se demandant si son propriétaire s'en était rendu compte... Elle n'alla pas vérifier, trop attirée par la cible de sa journée.


Arrivée devant le bureau convoité, elle constata que la porte massive n'était pas fermée ce qui signifiait selon elle qu'aucune activité compromettante ne s'y déroulait. L'entrée de l'impétueuse plus qu'empressée fut des plus aisée. Elle se glissa donc dans ce haut lieu culturel avec un énorme sourire enjôleur, qu'elle n'adressait bien sur pas à n'importe qui, aux lèvres et avec des noisettes pétillantes de coquineries. Mais avant, elle prit soin de remettre un peu d'ordre dans son chignon en apprivoisant ces mèches rebelles qui s'en échappaient pour lui encadrer le visage et lui couvrir la nuque, se pinça les joues et se mordilla les lèvres pour intensifier leur couleur. Inutile de préciser qu'elle s'amusa également à détendre un certain lacet afin que sa robe laisse apparaitre un morceau d'épaule. Puis elle fit son entrée en soufflant un léger :

B'jour m'sieur l'doux-recteur...

Nessty s'arrêta net en entendant une voix de crécelle trônant dans le fatras et semblant rendre le bougre d'Hiji bien guilleret. Lorsque ses yeux découvrir une mioche rencontrée en plein milieu d'un troupeau de vermines à Saumur, peu avant sa retraite annoncée, la Vilaine ne put s'empêcher de rire.

B'jour la duchesse ! B'soin d'éducation alors que vous clamez tout mieux savoir que tout le monde ?

L'hilarité et la rancune de la poitevine pouvaient se sentir au son de ses propos. En effet, cette gueuse peu attachée à sa terre de résidence avait été accueillie en Anjou comme une vulgaire paysanne dont la vie était vide de sens car elle n'avait aucun mérite et encore moins de titre. Nessty n'était pas chauvine de part sa naissance germaine et elle ne revendiquait aucune appartenance à une faction brigande ou à une patrie. Et pourtant, trop de saumurois semblaient la connaitre sans jamais l'avoir vu et lui avait laissé le goût amer d'une émergence d'Hérésie Rafistolée Piètrement. Déjà excédée d'être confondue comme appartenant au harem méprisant d'un taureau sans droit, elle avait été outrée de s'entendre traiter avec tant de dédain voir même avec haine envers les moins que rien, les sous hommes du Poitou comme ils disaient, les indésirables sans lien avec la caste des Penthièvre... De quoi en effet enclencher sa haine de Vilaine, de quoi attiser sa rengaine de chienne, de quoi encore plus diriger sa hargne vers l'ensemble des angevins dont la blondasse se voulait l'emblème. Nessty serait poitevine et fière de l'être ! Un peu comme elle l'était de sa poitrine même si l'usage n'en était point le même. Elle ferait front à la greluche enfarinée qu'était cette gamine, là devant elle, celle qui s'était montrée si prétentieuse lorsqu'elle avait l'appui d'un ancien duc, un homme robuste et arrogant dans son refus de se présenter instantanément. On verrait comment elle se comporterait ici, à prendre des leçons au lieu de vouloir en donner en taverne. C'est ainsi que l'enchignonnée rajouta avant que la ptiote n'ouvre la bouche :

J'croyais que vous réserviez votre pureté pour un galant pur sang d'votre rang et j'vous trouve ici à chercher l'initiation avec l'un des plus habiles tourangeaux que j'connaisse ?

Les yeux de la belle, au reflet de noisette déjà enflammée à l'idée de devoir se contenir un peu plus longtemps que prévu en raison de la présence d'une in-avertie, se tournèrent instinctivement vers le recteur pour agrémenter le sourire qui ne l'avait pas quitté, enfin le sourire qu'elle lui réservait telle une donzelle toujours heureuse de le voir peu importe la situation.
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