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[RP] La place du marché

Isaline.
RP ouvert à tous!.




La petite tête blonde bouclée marchait dans le village depuis la première fois depuis sa naissance. Elle n’avait jamais pu sortir du château de ses parents et après en avoir fait le tour, elle s’y ennuyait ferme. Jeannette, sa protectrice, avait décidé de lui faire explorer la ville ou celle-ci vivait d’autant que le château demandait à être réapprovisionner par moment…

Isaline ne comprenait pas les raisons de sa sorti, mais cela importait peu. Elle allait sortir! Toujours aussi silencieuse, elle n’avait encore jamais prononcée un seul mot. Elle fut habillée telle la fille de noble qu’elle était. Sa robe fleurit de pétale rose tombait jusqu'à ses cheville et on l’avait emmitouflé dans une cape pour la protégé du froid qui n’existait plus.

Elle marchait de mieux en mieux et grandissait vite. Ses pas étaient plus fermes si bien qu’elle passait seulement la moitié du temps dans les bras de Jeannette! Après tout, la route était longue jusqu’à la place du marché!

Arrivée devant la rue des marchands, Isaline ouvrit de grands yeux impressionnés. Elle n’avait jamais vu autant de géant dans un même endroit! La main de Jeannette la tenait solidement pour ne pas qu’elle parte dans ses envies de course aléatoire. C’était très amusant de faire courir Jeannette!

La place du marché dégageait une douce odeur de pain, on y voyait des artisans vanté les mérites de leurs conceptions et d’autres criants la fraîcheur de leurs poissons. Cet environnement était euphorique pour l’enfant solitaire enfermée à double tour qu’elle était.
--Roberta
La vieille Roberta que je suis n’est plus toute jeune. Je vous l’assure. Pourtant je suis encore capable de gagnée ma vie. Oui, fois de vieille gâteuse! Mes poissons sont les meilleures en ville qu’on se le disent. Les gens les plus riches de ce duché sont si stupide et paresseux, incompétent pour se servir d’une simple barque et d’une canne à pêche. Moi, Mister! Moi je suis capable de faire tout ce que je veux malgré mes quarantes printemps passer, ou peut-être cinquante? Je n’es jamais appris à compter. Aie! Ouille! Mes vieux os me font mal. Je me redresse de toute ma hauteur et cri à plein poumon dans les rues du marché.

POIIIIIIISOOOOOON!!! IL EST TOUT FRAIS MON POIIIIIIISON! VENEZ ACHETER MON POISON!!

C’est que j’es de la voix malgré mon grand âge. Que vois-je tu pas? Oh oh! Un vrai poisson a escroquée! Car entre vous et moi, mes poissons ne sont pas les plus frais sur le marché, mais étant celle qui criait le plus fort… Je les vendent tous! Les riches sont stupides!

MADAME!! MADAME!! Vous semblez d’honnête besogne qui chercher de la nourriture. Icitte personne à de meilleur poisson que la vieille Roberta!

J’lui es empoignée la manche à cette lèvre pincée et son marmot qui pendouille à ses pieds. J’vous avoue c’est la seule façon de leur faire comprendre à ses sourdines de bien garnie qui ils doivent regarder. On peut leur faire accroire ce qu’on, si on s’y prend d’la bonne façon!
Isaline.
Isaline fronça les sourcils, la dame qui avait apostrophé Jeannette lui faisait peur. Elle était toute ridée, d'énorme crevasse parcourait la peau de son visage! Elle s'accrochait à la jupe de sa protectrice pendant que Jeannette commençais à marchander le poisson malodorant.

Soudain, la fillette se rendit compte que si elle relâchait cette jupe elle était libre! Elle ouvrit de grands yeux en tournant le regard vers les autres marchants. Qui avait-il de se côté de la rue? L'Isaline aventurière avança incertaine de bien tenir sur ses pieds. Oui tout allait bien, elle pouvait marcher librement! Elle fit quelques pas chambranlant avant d’avancer avec conviction dans la rue achalandée.

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Isaline Chiara de Castelcerf
Fille de Maltea Wagner di Favara
1 ans et demi
Les yeux sont le reflet de notre Âme
Cammassou


Cammassou n'avait plus de pain en réserve, elle alla au marché, et pris son temps à comparé les fruits et légumes, les poissons pas frais tus plus frais les uns que les autres à entendre les crieurs. Elle avança parmis la foule et arriva devant l'étalage de pain. Elle en acheta quelques morceaux et repartit. En se retournant, elle heurta quelqu'un mais ne vit personne. Puis baissant les yeux, elle vit une petite fille coquettement habillé par terre : elle l'avait faite tomber


_Oups désolée demoiselle.
dit elle en la remettant debout
_Tu me sembles sacrément bien habillées toi, où est-donc ta mère ? regardant autour, elle ne vit personne digne d'accompagné la fillette
_tu n'es quand même pas toute seule ?! roh. Viens avec moi, on va attendre un peu sur le coté que ta maman vienne de trouver

Elle lui tendi la main pour l'emmener mais la fille ne semblait pas vouloir la suivre, ni meme, à dire vrai, effrayé d'etre seule au milieu de grands sur un marché bryant

_Roh mais viens...je ne vais pas te faire de mal. elle lui sourit gentillement pour la rassurer._t'en veux? c'est du pain....je ne pense pas que en ai déjà manger du comme celui là mais, nous on mange ca et ca nous va...ca va pas te faire de mal, va.......roh pi, tient, allé, choisi ce que tu veux

elle lui présenta son panier avec ses emplettes


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carpe diem
et hakuna matata la dedans, il est où ???
Isaline.
Isaline gambadait dans la ruelle heureuse de sa liberté retrouvée. Elle avait rarement la chance de se retrouver sans sa nourrice. On pouvait immédiatement remarquer par son pas qu’elle avait appris à marcher, il y avait très peu de temps. Les yeux brillant, elle resta en admiration un moment devant la porte du marchant de brioche quand une géante la bouscula. Surprise, la petite se retrouva les fesses sur le sable à moitié couvert de terre poussiéreuse. Ooooh! Sa bouche forma un O d’étonnement en dévisageant la femme qui s’arrêta devant elle et l’aida a se relevée.

Dans sa naïve jeunesse, elle n’était nullement effrayer. Même plutôt habituer de rencontrer des étrangers. Que disait cette dame? Attendre que sa maman vienne la trouver? Sa maman? Sa nourrice sans doute car sa maman ne savait pas qu’elle se trouvait dans le village. Ses lèvres se pincèrent dans son intense réflexion et la fillette intimidée posa son regard sur le sol. Elle n’avait pas réellement envie que Jeannette la retrouve. Ses pensées dévièrent tout naturellement vers son ventre, elle avait faim et les brioches de la pâtisserie avaient l’air si appétissant!

Isaline sorti de ses complexes pensées en entendant les paroles de Cammassou. Elle leva les yeux étonnée puis vit son sourire et ses paroles impliquant de la nourriture! Lisait-elle dans ses pensées? La fillette ouvrit de grands yeux brillant d’envie lorsqu’elle lui descendit à sa hauteur les emplettes. Le pain frais lui chatouillait les narines avec délice. Ses yeux se mirent à briller de gourmandise.


Veut!

Elle pointa la jolie brioche qui lui avait tant fait envie dans la pâtisserie. Elle se sentit surexcité à la pensée de pouvoir manger ce délice fumant et ses yeux s’en ressentir en brillant de mille feux pour la dame avec une mine de supplication sur le visage.
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Isaline Chiara de Castelcerf
Fille de Maltea Wagner di Favara
1 ans et demi
Les yeux sont le reflet de notre Âme
Cammassou


Cammassou fut soulagée de voir des yeux étincelés sur ce joli visage. Elle lui donna volontier la brioche et la regarda manger.

_Alors dit moi, où veux-tu aller jeune demoiselle ?

Heureuse d'avoir une petite enfant si jolie avec elle, elle se laissa guider par la petite, cherchant du regard une personne de la haute société et marchant juste derrière elle.

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carpe diem
et hakuna matata la dedans, il est où ???
Maltea
Maltea tournait en rond dans sa demeure de Sainte-Ménehould. Elle venait de rentrer de voyage et son personnel l’avait mise au courant que la nourrice était sortie en ville avec sa fille et ce sans même prendre une escorte.

Elle prit sa cape et sortit précipitamment. Elle devait les retrouver, on ne savait jamais ce qui pouvait arriver. Elle laissa un mot à Richard, afin de lui expliquer la raison de son absence.

Elle déambulait dans les rues de la ville, saluant les personnes qu’elle connaissait, son regard se posant sur tous les enfants qu’elle rencontrait.

Mais quelle irresponsable que cette jeannette. Elle savait qu’elle n’était pas appréciée dans cette ville, et que sa fille serait une cible de choix…

Elle aperçut soudain la tête de la nourrice et fonça droit sur elle. Elle avait beau regarder autour de celle-ci, elle ne voyait pas de trace de son Isaline.
La peur et la colère s’emparant d’elle, Maltea s’adressa à la nourrice en la secouant.


Où est ma fille ? Espèce de sombre idiote, ce n’est pas la première fois qu’elle vous fausse compagnie. Au château passe encore mais en pleine ville… vous êtes une inconsciente ma parole, et en plus sans escorte…
Si je ne la retrouve pas, je ne donne pas cher de votre peau. Dépêchez vous de me la retrouver et ce rapidement.


Le regard émeraude de Maltea lançait des éclairs. Elle n’avait qu’une idée en tête, rosser cette nourrice, mais avant toutes choses, elle se devait de retrouver sa fille.

Plus elle cherchait et plus la panique s’emparait d’elle. Elle s’imaginait toutes les situations possibles… des ennemis, son père, des brigands pour une rançon… et puis son pauvre bébé toute seule dans les rues nauséabondes de sainte-méne, qui était devenue une ville pour brigand en mal de mauvais coup.


Isaline, où es-tu ma chérie ?

Elle répétait inlassablement cette phrase, hâtant le pas lorsqu’une petite tête blonde apparaissait non loin d’elle. Mais à chaque fois ce n’était pas son bébé mais un villageois apeuré de voir une dame le retourner pour voir son visage… Il y avait trop d'échoppes et trop de monde. On aurait dit que toute la ville s'était donnée rendez-vous en ce lieu, juste pour lui mettre encore plus d'obstacle sur sa route.
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Isaline.
Huuuuummmm miam… La fillette avait délicatement pris la brioche la dégustant du bout des doigts dignement. C’était si bon! Elle avait appris à manger sans se salir ou le moins possible car sinon Jeannette se fâchait toujours! La fillette fit à Cammassou un énorme sourire la bouche fermée. Sa binette donnait l’impression qu’elle pensait déjà à de futur mauvais coup.

Lorsqu’elle eu fini son délicieux goûter, elle s’apprêta à mettre sa main dans celle de la gentille dame mais suspendu son geste en observant sa main. Elles étaient toute sales!!! Mais vraiment complètement sales!!! Isaline sentait avec dégoût la peau entre ses doigts collés par le sucre de sa gâterie. Fermant et ouvrant les doigts, plus les mouvements de doigts s’amplifiait plus elle sentait le graminée du sucre.

La foule et les marchands faisaient un bruit omniprésent dans la rue. Ses oreilles en étaient quelque peu irritée, puis elle voulait se lavé! Son menton tressailla prête à fondre en larme. Non! Non! Étouffant la voix dans sa tête, elle n’allait pas écouter cette voix. Elle ne se calmerait pas c’était trop triste! Ça voix étouffa un hoquet avant de se mettre à pleurer avec forte. ELLE ÉTAIT TOUTE SALE!!!

Ses pleures couvraient tout les autres sons pour les oreilles de la fillette, elle tendit lui paume vers le haut pour montré à la géante la raison de ses larmes. Les larmes coulaient sur ses joues et ses yeux cristallins vert pétillait de tristesse naïve.

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Isaline Chiara de Castelcerf
Fille de Maltea Wagner di Favara
1 ans et demi
Les yeux sont le reflet de notre Âme
Guillaume.


« Le destin fait parfois bien les choses »

Il courrait à travers les rues de la ville. Ses yeux parcouraient les bâtisses devant lesquelles il passait. Il courrait derrière un autre enfant des rues. Leurs rires se mêlaient. Ils tournaient parfois à gauche au détour d’une rue, parfois à droite. A plusieurs reprises ils bousculaient des passants et même des porteurs de marchandises dont les marchandises se retrouvaient à terre après leur passage.

C’était tellement drôle de courir comme ça. Ils s’amusaient comme des fous à essayer de s’attraper mutuellement. A un moment, il s’arrêta net. Il crut d’abord que c’était une illusion. Il avait cru voir la petite fille qu’il avait vue dans la grande bâtisse où il était l'autre jour. Il fut rapidement rejoins par son camarade qui commença à regarder la même chose que lui.

Son camarade lui dit qu’elle était la fille d’une « grande » dame du coin. Guillaume leva un sourcil ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Il regarda de plus près et vit que ce n’était pas une illusion. C’était bien la petite fille de l’autre jour.

Il se demanda ce qu’elle faisait encore une fois dans la même ville que lui. C’était bien étrange. Il prit un air des plus perplexes. Il observa ce qui avait autour d’elle au coin de rue où il se trouvait. Il y avait la gentille dame de l’autre jour au bord du lac. Elle venait de donner une brioche à la petite fille.

Il fit des gros yeux quand il regarda la petite fille manger goulument la brioche. Il avait faim lui aussi. La course lui avait creusé l’estomac et il criait famine. Il prit un air de chien battu quand il vit disparaitre le dernier morceau de brioche dans la bouche de la petite fille. « C’est po juste », pensa-t-il.

Ne l’ayant pas quittée des yeux, il la vit s’énerver sur sa main qui semblait collante. Sûrement le sucre pensa-t-il. Il avait envi de lui lécher les doigts. Il fut sorti de sa rêverie par ses pleurs. Il la regarda dans les yeux. Il fut attristé de voir les si beaux yeux qu’il avait vus noyé de larme. Malgré cela, ils gardaient la même expressivité qui l’intéressait tellement. Il ressentait la tristesse de la petite fille mais il ne pouvait s’empêcher de s’émerveiller.


Edit: changement de "hier" pour "l'autre jour" pour plus de cohérence.
Cammassou


Cammassou regarda la petite mangé avec appétit. Une fois fini, elle se mit à pleurer :

_Oh non mais non, pourquoi tu pleures ? tu n'aimes pas ?

Elle commença à s'énervé, pensant que la petite avait mal au ventre : "oh seigneur, si jamais la farine était mauvaise, je vais finir pendu si ses parents me retrouvent"....Elle vit ensuite la petite lui tendre sses mains. Elles étaient toutes collantes. Cam se retint de rire pour ne pas offenser la petite mais était très surprise de sa réaction. Elle la pris dans ses bras et l'emmena dans un coin en dehors du marché, près d'un petit groupe de garçon qui se coursaient.
Là, il y avait une petite fontaine. Elle passa les mains de la petite sous le filet d'eau qu'elle fit couler en pompant doucement, afin de ne pas trempé les beaux habits de la fillette. Enfin, elle lui assuya les mains : elle pensa d'abord à faire comme d'habitude, s'essuyer sur elle, mais sous le regard de la fillette lorsqu'elle commença à attraper ses propres vêtements, Cam se dit qu'il valait mieux utilisé un linge plus propre. Elle sortit alors un mouchoir qu'elle n'avait pas encore utilisé et le donna à la fillette.
Puis elle sentit un regard porter sur elles.


_Oh ben tient, mais qui voila.... Approche mon p'tit gars. Pourquoi tu fais cette tête ? Tu la connais ? C'est ta soeur ? ....

Au bruit que faisait son ventre, elle se douta que la part de gâteau ne l'avaitp as rassasié. Elle le laissa choisir aussi un truc à manger parmis les amplettes qu'elle avait fait.
Occupée par les soins qu'elle portait à la fille et la surprise de voir le petit garçon du lac, elle ne vit ni n'entendit les cris d'une mère affolée qui cherchait sa fillette blonde

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carpe diem
et hakuna matata la dedans, il est où ???
Isaline.
L’eau coulant sur ses doigts était douce et froide, Isaline aimait beaucoup la sensation que le simple geste lui procurait. Ses larmes restèrent sur ses joues preuves de ses précédentes larmes mais ses yeux ne démontrait plus de tristesse plutôt une fascination sur les sensations que ressentait.

Soudain, tout s’arrêta! L’eau cessa de couler et la dame lui essaya ses mains humides. La petite gardait les yeux sur l’eau avec une curiosité si vive qu’elle éclaircissait ses yeux. Pouvait-elle reproduire cette sensation? La dame la relâcha et s’intéressa au garçon qui venait d’arrivé prêt d’elles.

Isaline, sans se rendre compte qu’elle avait déjà rencontré ce garçonnet, plongea la tête dans le bac pour toucher le fond du baril d’entreposage de la fontaine. Ses doigts minuscules arrivaient à peine à effleurer l’eau résiduelle, pourtant cette simple sensation lui fit éclater d’un rire écho. La petite sursaute au son concave de son propre rire. Elle tenta de toucher plus profondément l’eau et senti ses pieds rompre le contact avec le sol.

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Isaline Chiara de Castelcerf
Fille de Maltea Wagner di Favara
1 ans et demi
Les yeux sont le reflet de notre Âme
Cammassou


Cammassou laissa le petit garçon choisir dans son panier et relacha légèrement son attention de la petite. Le rire de la petite la surprise et elle eu tout juste le temps de se retourner qu'elle la vit plonger dans l'eau. Fort heureusement, la petite avait les mains en avant et quand Cam l'a rattrapa, seule ses manches étaient trempées.


Mais ca va pas !, commença-t-elle à crier, affolée
tu aurais pu te noyer !

Voyant les larmes de la petite venir à ses yeux sous les cris, Cammassou paniqua

Ohhh non non non...pleures pas, c'est rien, pas grave...
Elle la prit dans ses bras et la calina pour la calmer et la rassurer. Elle qui n'avait pas encore d'enfant, elle se dit qu'elle allait avoir bien du mal quand le sien arrivera....Pff mais où était donc sa mère ?!

M'dame, m'dame, c'est pas vous sa mère ?! J'la connais moi sa maman, elle vous ressemble pas ! Pourquoi elle est avec vous alors !?
, le petit pris un air horrifié et se mis à crier
Vous l'avez volé!!!!!!! voleuse, au secours au secour...

Paniquée, Cam tenta d'en placé une sous les accusations du jeune garçon.

Mais non ! mais...je....non ...arrete ....mais arrete ! je l'ai pas volé...;

Au loin, elle vit le procureur et sa panique emplifia. Si le môme continuait à pialler ainsi, elle allait avoir de sérieux problème....

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carpe diem
et hakuna matata la dedans, il est où ???
Guillaume.


La petite fille et la dame s’enfonçaient dans la ville. Il les suivait par curiosité. Il avait ressenti cette curiosité à la grande bâtisse quand il vit pour la première fois la petite fille. Il ne souhaitait que la revoir à nouveau. Il eut la chance de la revoir. Alors, il ne la quitterait plus de vue, avait-il décidé.

Il les suivait de la manière la plus discrète possible. Il se cachait derrière ce qu’il trouvait sur la route. Son copain le suivait en le regardant bizarrement. Il ne comprenait pas les simagrées de Guillaume. La petite et la dame arrivèrent devant une fontaine. Il s’arrêta et se cacha de manière à pouvoir les observer.

Il vit la petite fille joué avec l’eau. En voyant cela, il avait l’envi de l’éclabousser. C’était rigolo de mouiller les autres ! Il n’osait pas s’approcher. Mais il fut repéré par la dame. Il sorti de sa cachette et lui fit face. Il lui posa une question qu’il trouva bizarre.


mmmmmmmm… mo… moi …pppppp… pas … de… fffffffffff… famille


Il détourna quelques instants le regard de la dame et vit la petite fille se pencher vers la fontaine. Il sentait instinctivement qu’il y avait danger. Il lança un cri.

Attention !

Son bégayement l’avait quitté un instant pour pouvoir lance l’alarme. Son cri sembla efficace vu que la dame pu la reprendre à temps. Il s’approcha d’elles. La petite fille semblait avoir eu une grosse frayeur. Il faisait abstraction des cris des autres. Il ne regardait que la petite fille. Il lui fit un sourire de façon à la rassurer. Il lui toucha le visage et les cheveux pour la rassurer. Il la regarda dans les yeux pour lui faire un regard qui devrait la rassurer.
Isaline.
Hihi c’était amusant! Isaline plaça ses deux mains pour mieux taper dans l’eau qui éclaboussait son visage. Elle se sentait glisser et pris peur devant l’eau qui se rapprochait trop rapidement. Puis aussi soudainement elle se trouva soulever avec Cam qui lui reprocha ce jeu qu’elle trouvait si drôle. Ce n’était pas bien de rire? Sous le choc, ses yeux n’exprimaient plus rien.

Tu aurais pu te noyer !

Mais mais… les larmes venaient incertaine dans les yeux de la fillette. Pourquoi n’avait elle pas le droit de rire? Isaline senti la panique et le malaise dans sa tentative de vouloir la calmer pour ne pas provoqué à nouveau ses larmes. La petite fille elle-même était mal à l’aise. Les personnes étrangères ne la berçaient pas ainsi. Quelque chose clochait. "Je te l’avais bien dit, tu devrais m’écouter…"

Elle passa ses petits poings sur ses yeux pour sécher les larmes qui n’avaient pas couler. Renifla puis baissa les yeux pour apercevoir avec surprise le petit géant partenaire de regard. Une timidité étrangère pour Isaline ampli son regard et ses poings ne quitta pas totalement son visage. Elle était entourée d’étranger… Elle voulait sa maman… Elle sentit les doigts du garçon toucher son visage et ses cheveux, s’était étrange comme sensation, les doigts du garçon étaient rugueux alors que tous les touchers qu’elle connaissait étaient doux. Elle baissa le regard vers ses mains et y vu les méfaits de sa vie des rues.

Isaline n’avait jamais vu de telle main… Ses pupilles si proches étaient bien plus foncés qu’elle ne l’avait pensé. Elle releva le regard pour s’accrocher au sien, de petite fossette se forma sur le coin de ses yeux sous l’effet du mouvement de ses lèvres. Un lueur chaleureuse passa dans son regard pour appuyer son sourire, illuminant son visage.


Isaline!

Elle détourna le regard pour apercevoir sa mère affolée qui la cherchait. Isaline l’appela avec habitude, heureuse de voir sa mère. Peut-être viendrait-elle aussi s’amuser avec elle dans l’eau!

Maman!!!

Puis son regard croisa les étincelles de colère émeraude que dégagea ses yeux, elle n'avait pas encore remarquer la fillette. Une lueur de peur envahie celui de la fillette, elle baissa les yeux sur le sol. Sa mère non plus ne voulait pas qu’elle rit!! C’était si mal alors!
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Isaline Chiara de Castelcerf
Fille de Maltea Wagner di Favara
1 ans et demi
Les yeux sont le reflet de notre Âme
Cammassou


Cam cessa de s'inquiéter des paroles des garçons du village. Elle regarda les échanges entre la fillette et le garçon du lac. Puis elle entendit les cris d'une femme et surtout la petite appeler sa mère. Elle se retourna et vit qu'il s'agissait du Procureur. Elle déglutit et vit que la fillette faisait la tête.

Isaline? Alors c'est ainsi que tu t'appelles ?... C'ets drolement joli comme prénom. au regard triste de la fillette, elle comprit ce qui n'allait pas
C'est ta maman, elle s'inquiète pour toi c'est tout

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