Maltea
Maltea ne pouvait plus gérer la panique qui sétait emparée delle. Cela faisait maintenant de longues minutes, qui lui semblaient être une éternité, quelle criait et cherchait après sa fille.
Sans sen rendre compte, son pas rapide sétait transformé en course. Elle sen fichait éperdument quon la voit courir de la sorte. De longues mèches blondes sétaient échappées de sa natte. Elle avait lair dune paysanne, mais comment garder son allure alors que la peur davoir perdu sa chair et son sang occupait toutes ses pensées. Alors quelle arrivait près de la fontaine du village, elle entendit un cri Maman .
Elle retourna sa tête et la vit son cur fit un bond. Quavait on fait à son bébé. Son visage montrait des traces de larme. Une femme quelle navait jamais vue se tenait aux côtés dIsaline. Une fureur sempara de la jeune de femme, cétait son bébé et personne ne lui ferait du mal. La femme la vit et prit un air apeuré, quavait elle fomenté ?
Elle sapprocha du groupe un air menaçant envers la femme qui se tenait près de sa fille et dun autre gamin. Cependant, une fois son regard dans celui de sa fille, tout senvola. Il ny avait plus que la joie de lavoir retrouvée. Elle se laissa tomber à genoux devant Isaline et la serra fortement contre son cur, déposant une multitude de doux baisers sur son petit visage dange. Elle ne songea même pas à la réprimander pour avoir quitté sa nourrice.
Dune voix douce elle sadressa à sa fille.
Mon petit ange te voilà, jai cru ne jamais te retrouver, tu mas fait une de ces peurs.
Elle se rendit compte que sa fille était mouillée et que lors de son baiser, une substance collante sétait déposée sur sa joue. Un regard vers le panier de la dame, lui donna quelques pistes.
Peut-être que cette femme lavait tout simplement trouvée et lavait prise sous son aile.
Ca se pouvait Isaline aimait beaucoup se sauver afin dexplorer son environnement et son idiote de nourrice, toujours très tête en lair avait du une fois de plus, ne pas remarquer la fuite de sa protégée.
Maltea se releva et se présenta à la jeune femme dont la mine affichait toujours une certaine peur.
Bonjour, je me présente, Maltea Wagner, duchesse de Brienne. Je suis la maman dIsaline.
Pourriez vous mexpliquer ce quil sest passé et ce que vous faites aux côtés de ma fille.
Son ton ne laissait aucune échappatoire à son interlocutrice. De par sa fonction, Maltea avait prit lhabitude de mettre une certaine froideur dans sa voix lorsquelle parlait à des inconnus. Ce ton contrastait avec la tendresse qui pouvait en émaner lorsquelle parlait à sa fille et encore à son époux. Beaucoup prenait ce ton détaché pour de larrogance mais Maltea nen avait cure, après tout elle létait aussi
Cependant en jugeant du regard la femme, elle se rendit compte que celle-ci ne présentait pas une once de culpabilité. Son regard bien quapeuré de se retrouver face à elle nétait guère fuyant. Une douceur émanait de cette femme, non cette fois, la vice-duchesse en était certaine. Cette femme navait joué aucun rôle dans la disparition de sa chipie de fille. Son comportement changea et elle se radoucit. Néanmoins sa réaction pouvait se comprendre, elle avait toujours peur quon sen prenne à sa fille pour la toucher de plein fouet Sa voix était plus douce afin de mettre en confiance la jeune femme.
Je vous écoute ma dame, même si jai ma petite idée sur la question
Elle posa un regard sur la petite tête blonde de sa fille qui navait pas lair de comprendre la peur quelle lui avait faite. Elle la prit dans ses bras afin de la bercer doucement et chasser de son visage les dernières traces de chagrin
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Sans sen rendre compte, son pas rapide sétait transformé en course. Elle sen fichait éperdument quon la voit courir de la sorte. De longues mèches blondes sétaient échappées de sa natte. Elle avait lair dune paysanne, mais comment garder son allure alors que la peur davoir perdu sa chair et son sang occupait toutes ses pensées. Alors quelle arrivait près de la fontaine du village, elle entendit un cri Maman .
Elle retourna sa tête et la vit son cur fit un bond. Quavait on fait à son bébé. Son visage montrait des traces de larme. Une femme quelle navait jamais vue se tenait aux côtés dIsaline. Une fureur sempara de la jeune de femme, cétait son bébé et personne ne lui ferait du mal. La femme la vit et prit un air apeuré, quavait elle fomenté ?
Elle sapprocha du groupe un air menaçant envers la femme qui se tenait près de sa fille et dun autre gamin. Cependant, une fois son regard dans celui de sa fille, tout senvola. Il ny avait plus que la joie de lavoir retrouvée. Elle se laissa tomber à genoux devant Isaline et la serra fortement contre son cur, déposant une multitude de doux baisers sur son petit visage dange. Elle ne songea même pas à la réprimander pour avoir quitté sa nourrice.
Dune voix douce elle sadressa à sa fille.
Mon petit ange te voilà, jai cru ne jamais te retrouver, tu mas fait une de ces peurs.
Elle se rendit compte que sa fille était mouillée et que lors de son baiser, une substance collante sétait déposée sur sa joue. Un regard vers le panier de la dame, lui donna quelques pistes.
Peut-être que cette femme lavait tout simplement trouvée et lavait prise sous son aile.
Ca se pouvait Isaline aimait beaucoup se sauver afin dexplorer son environnement et son idiote de nourrice, toujours très tête en lair avait du une fois de plus, ne pas remarquer la fuite de sa protégée.
Maltea se releva et se présenta à la jeune femme dont la mine affichait toujours une certaine peur.
Bonjour, je me présente, Maltea Wagner, duchesse de Brienne. Je suis la maman dIsaline.
Pourriez vous mexpliquer ce quil sest passé et ce que vous faites aux côtés de ma fille.
Son ton ne laissait aucune échappatoire à son interlocutrice. De par sa fonction, Maltea avait prit lhabitude de mettre une certaine froideur dans sa voix lorsquelle parlait à des inconnus. Ce ton contrastait avec la tendresse qui pouvait en émaner lorsquelle parlait à sa fille et encore à son époux. Beaucoup prenait ce ton détaché pour de larrogance mais Maltea nen avait cure, après tout elle létait aussi
Cependant en jugeant du regard la femme, elle se rendit compte que celle-ci ne présentait pas une once de culpabilité. Son regard bien quapeuré de se retrouver face à elle nétait guère fuyant. Une douceur émanait de cette femme, non cette fois, la vice-duchesse en était certaine. Cette femme navait joué aucun rôle dans la disparition de sa chipie de fille. Son comportement changea et elle se radoucit. Néanmoins sa réaction pouvait se comprendre, elle avait toujours peur quon sen prenne à sa fille pour la toucher de plein fouet Sa voix était plus douce afin de mettre en confiance la jeune femme.
Je vous écoute ma dame, même si jai ma petite idée sur la question
Elle posa un regard sur la petite tête blonde de sa fille qui navait pas lair de comprendre la peur quelle lui avait faite. Elle la prit dans ses bras afin de la bercer doucement et chasser de son visage les dernières traces de chagrin
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