[RP JEU ouvert à tous] "Petites étrennes entre amis"

Et de trois. Lily ne se gène pas pour fouiller les paquets dans la même posture que les autres. Elle salue rapidement Zerton avant de fouiller à nouveau. Elle trouve le sachet portant son nom mais n'ose pas l'ouvrir tout de suite. Elle attend que les autres aient aussi leur présent en main avant de l'ouvrir. Qu'est ce que le paquet cache? L'attente devient insoutenable.
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[Salbart - Appartements du Plantagenet]

Que faire ? Que choisir ? D’une soirée en taverne où il avait savamment proposé l’offrande d’au choix un poisson, un lapin ou un oiseau mort. Beaucoup avait rit, une seule avait trouvé cela profitable pour ce sustenter. Une farce ? La blague avait perduré ainsi plusieurs soirées bien arrosées. Et soudain les noms des victimes pour les étrennes étaient tombés. Un signe du destin, non il y croyait peu à vrai dire. Une main pas si innocente que ça ? Non il n’y croyait pas non plus. Qu’était-ce alors ?

Un dilemme, un de plus qui martyrisa l’esprit de l’ange blond jusqu’au plus profond de la nuit. Une flamme vacillante associé au braise de la cheminé non loin de là éclairait faiblement la chambre du bellâtre. Il était assit devant son bureau d’ébène à contempler trois choix s’offrants à lui. -Un seau emplit d’eau où nageait le poisson de la farce. Devait-il faire la mise à mort ? -La tentation même. -Ce pour quoi bien des dames, même les plus nobles, pourraient tuer Père et Mère. Que faire ? Que choisir ?

La nuit passa. Les premières lueurs naissantes du jour inondèrent les terres de Salbart et bientôt la maisonnée s’éveilla. Finalement décidé le jeune homme fit sceller son destrier et parti rejoindre Poitiers, son sapin, ses villageois et cette comtesse.

[Ce beau sapin…]

La foule déjà en masse et en liesse, cela s’entend, avait envahit la place et entourait l’arbre majestueux. Il confia son cheval, un jour il faudra lui trouver un nom digne de lui pensa t-il, cheval c’est assez moyen. Hum passons cela. Il confia donc son cheval au premier type passant par là, accessoirement un palefrenier dirons-nous puis prit le chemin de la foule. L’instant fatidique était là. Le choix ! Il salua sa cousine puis s’arrêta devant l’arbre

Un paquet fut déposé au pied de celui-ci pourtant un billet écrit le matin même désignant la destinatrice en la personne de la Comtesse Oane.

Et puis, et puis il regarda si quelque chose lui était destiné…Et tomba nez à nez avec Lily

Tu semble impatiente. Bonjour lily. Alors tu trouves?
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Piqué d'un élan de curiosité, la blondinette décida d'aller faire un tour autour du sapin de la ville. C'est alors qu'elle déboula, et vit Lily..:

Tiens, bonjour Lily ! Comment va ?

Elle observa le sachet que celle ci portait dans ses mains et sourit..

Ah ah, trouvé alors . J'espère que ça vous plaira ! Je vous laisse ouvrir ça tranquillement..

De toute façon, Aly avait déjà reçu son cadeau !
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- La dame : j ai eu des nouvelle de votre mère.
- Brisson d'un ton excédé : Et bien... Ma mere est une ingrate!
j'ai fait l effort de lui ecrire pour lui souhaiter la bonne année et lui demander de la mirabelle. Pffff... Elle ne m'a même pas envoyé une bouteille échantillon...

- La dame : Elle fouille la lorraine de fond en comble pour vous faire un stock.
- Brisson d'une voix radoucie : Ma mère est une femme extraordinaire qui sait que son fils mérite avant tout ce qui se fait de mieux.


Ce simple échange de phrases presque anodin mais tellement réconfortant pour le jeune homme, avait redonné le sourire à Brisson. du coup, il se sentait d'attaque pour préparer le cadeau qu'il devait confectionner pour Tellusine.

L'idée lui était venu assez rapidement. Il pensait assez bien connaitre la jeune femme pour savoir ce qui lui ferait plaisir, tout en lui tirant quand même une petite grimace sur son visage. Bah... oui.

Il quitta donc la ville, passant sous la grande porte et il pris la direction des berges du Clain. Là, il prit son temps, marchant le long des rives jusqu'à trouver un endroit pas trop escarpé ou il pourrait se rapprocher de l'eau. Rapidement, il trouva ce qu'il était venu chercher. Un roseau d'un bon mètre et demi, qu'il coupa proprement aux deux extrémités puis il en arracha les feuilles. Première étape.... finie! Satisfait il pataugea dans la boue pour reprendre le chemin du retour. Ses chausses étaient recouvertes d'une couche de vase limoneuse... qui lui rappelait le jour de son arrivée au Poitou. Presqu'un an déjà...

Deuxième étape, il évide le roseau en faisant attention à ne pas le briser. Si il y perçait des trous ça ferait une flûte, mais... Tellus préférera sans.

Troisième étape: Il enveloppe le tout et prend sa plume pour écrire un gros HIPS dessus. Elle se reconnaîtra...

Quatrième étape: Il se fait discret... et arrive en sifflotant, l'air innocent comme un ange pour poser le paquet au pied du sapin.


[clicker sur l'image pour l'ouvrir]

Cinquième étape: Surtout ne pas oublier le guide d'utilisation à glisser par dessus.



Ben voila... il ne restait plus qu'à faire comme les autres et se pencher lui aussi pour chercher son cadeau. Ce qu'il s'empressa de faire.

Oane était en train d'admirer un "Cedriq en peinture" sure qu'il était plus économique ainsi, quand son regard fut attiré par un paquet nommé "HIPS", intriguée, elle tourna son visage de porcelaine et vit la touffe de cheveux hirsutes caractéristique du Bribri pictave. Elle scruta le cadeau les yeux plissés et à la forme de l'emballage se sentit rassuré, ca n'avait nullement al forme d'un pot...

Bien le bon jour cher Brisson ! Tellusine cherche partout son présent, regardez la bas la paire de f... enfin vous la voyez ? Elle remue ciel et terre depuis une cloche ! Nul ,doute qu'elle avva venir séant mettre fin à ce susoens insupportable.

Oane sourit puis vit Eldric se faufiler lui aussi sous le sapin. Elle hâta alors le pas, ses jupes relevées dans une main, en criant


Halte là ! C'est l’odeur que vous essayer de dissimuler ou vous m'évitez ?

dit elle taquine

Bien le bon jour Sire Eldric de Plantegenet
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Sous le baiser de Erwany, Zerton a sentit qu'il avait accomplis l'objectif du jeu.

[size=18]pas la peine de me remercier, c'est le jeu hein[/size]

Agathe, non pas celui-ci hum quoi que l’idée de lui dissimuler son présent était tentante, ah voici celui de Lily hum lui dire ? Il le poussa un peu vers elle, lui laissant ainsi le privilège de la trouvaille. Continuant sa recherche il trouva un paquet joliment emballé, ficelé et sur le quel il pu lire son prénom d’une fine écriture. Il s’en saisit puis se releva pour trouver Tellusine au moment même où il entendit un « halte là ! » tonitruant. L’intonation l’étonna bien que le timbre il fut familier. Comment ne pas le reconnaitre…

Le bon jour Dame aux Coquelicots, comment vous portez vous ? La nuit ne fut-elle pas trop courte ?

Il l’imaginait déjà ayant passé toute la nuit à vider le pot donné la veille. La tentation était parmi nous tel le malin ou bribri, nom apparemment usité en Poitou, venu corrompre les saintes.

Je déposais un présent pour vous à vrai dire comme l’a voulu votre innocente main. Il se pencha de nouveau tenant le présent de Tellusine dans une main et se saisit de celui qu’il venait de déposer, de l’autre. Un sourire en coin qu’il ne pu s’empêcher de réprimer se figea sur son visage.

Le voici Comtesse.

L’odeur n’y était point, l’animal avait finement été cuisiné par les chefs de Salbart, servi entier et farci comme l’aimait Eldric. Un brochet pour l’occasion, il lui avait semblé qu’un carnassier serait du plus bel effet pour la Comtesse… Comment allait-elle réagir ? Comment aurait-il pu offrir autre chose ? Un engagement prit devait être tenu quoiqu’il arrive, ainsi était Eldric. Ne pas rire se répétait-il, le plaisir en serait gâcher.
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La comtesse contint à grand peine une certaine précipitation, cependant fidèle à son "rester digne" et aussi parce qu'elle se souvenait d une certaine promesse et que cela la maintenait dans un état de réserve, elle avança d'un pas mesuré et prit le paquet tendu

Je vous remercie sire Eldric de Plantagenet pour vos étrennes.

Elle resta immobile devant l'emballage quelques instants qui s'étirèrent dans ce souffle fiévreux local qui bruissait sous le sapin de la Grand Place. Sand doute déjà, toute réserve envolée, dans son esprit fertile s'imaginait-elle quelque cadeau rare et exotique, original, décalé, magnifique, digne d'une princesse des mille et une nuit ou à tout le moins d'une comtesse des Saints Songes... . Elle delia le ruban avec lenteur comme pour mieux savourer l'instant puis ôta le tissu et découvrit l'offrande. Ce fut son nez mutin qui frémit d'abord et l'avertit de ce qu'elle allait trouver. Elle plissa les yeux et vit l'animal et plissa les yeux davantage en visualisant tout à tour ses armoiries familiales ou figurait en bonne place son congénère et le dit brochet avant de relever son opale de porcelaine et de river son regard ocean sur le visage du De Plantagenet, une ombre de sourire cerise pointant à ses lèvres.


Oh ! Un poisson mort. Pas n'importe lequel à dire vrai. Le phenix des hôtes de ces rivieres.
Un brochet savamment concocté, un broché... farci.
Est-ce à dire que vous aimez taquiner le brochet mon cher Eldric ? Méfiez vous l'animal est rétif.

Vous lui servez quelques appâts... pour mieux l'attirer
puis lorsque enfin, séduit, il se laisse aller, vous sortez vostre nasse et le capturez.
Ensuite, vous le faites trempez dans des bains parfumés aux huiles, puis mijotez lentement pour attendrir sa chair, déjà vos sens s'agitent, vient l'heure de lui ôter toutes ses écailles, une à une, de le mettre sens dessus dessous, puis le coup grasce fouailler se entrailles et le farcir.

A déguster sans modération ...

Si tant est qu´à la peche on ne se soit pas faict soit mesme embroché pistre !


Oane lacha un rire en grelot qui essaima jusqu'à la cime du haut sapin

A tout le moins si l on puit douter de vostre bon gout, vous etes un homme de parole.

La jeune femme affichait un air on ne peut plus sérieux démentit par une lueur taquine au fond de ses prunelles océanes
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Instant fatidique si l’on puis le qualifier ainsi. Les dés étaient jetés. Allait-elle fuir en courant devant ce présent ou bien l’accepter diligemment ? La veille encore, les remarques et questionnement allaient bon train en taverne pour savoir si l’infâme Plantagenet allait tenir parole. Comme si cela pouvait être autrement. Foy d’Eldric, jamais parole donné ne serait repris. Seulement à coté de cela il y avait bien d’autre trait de sa morale et de sa personne qui étaient encore inconnues en Poitou. Son goût prononcé pour la beauté par exemple sans doute un reste de son maitre pour cela. Sa capacité à retourner toute situation a son avantage également et comble du comble la finesse de ses choix. Voyez Nahysse qu’il manipule à sa guise par de simple présent. Il en eu envie de rire rien qu’en pensant aux colères de sa sœur toutes évaporées en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Et Oane hantant ses songes depuis qu’il l’avait rencontré. Son visage ne lui avait pas parut si joyeux à l’idée de recevoir un brochet. Tromperie que voila !

J’aime taquiner surtout. Ensuite il vrai que je m’adonne parfois à la pêche, c’est une forme de chasse qui me sied tant qu’il est question de brochet, le seul qui soit assez vif pour attirer mon envie.

Voila qu’elle lui parle cuisine à présent. Fichtre soit de cela. C’est le maitre queux qui s’est chargé, lui n’y entendant rien. Seul le vin l’intéresse dans ce domaine. Hum que répondre à cela ? Il observa la belle qui comme souvent lâcha un rire qui le fit fondre comme neige au soleil avant de l’embrocher à son tour en critiquant son bon gout. La pic toucha le jeune homme dans son amour propre, voila bien un point sur lequel elle avait tout faux. Devait-il clore là la fourberie ? Ou poursuivre le jeu. Déjà Gilbert avait disparut de son champ de vision. Sans doute était il arrivé à Surgère pour y déposé le présent finalement retenu par Eldric. Oui finalement le choix fut fait, d’une simplicité déconcertante. Des trois possibilités il les prit toute ! L’un étant trop tentant à offrir tant l’amusement en serait grand. Le second semblait une évidence puisque seul cela comble la belle pensa t-il en frôlant le pot de verre qu’il avait conservé sur lui. Et puis, et puis n’était il pas un homme de goût ? Il vit la comtesse reprendre tout son sérieux. Finalement la satisfaction serait elle amoindrit pour la de Surgères ?

Vous me semblez apprécier aussi le poisson. Est-ce donc que ce présent vous convienne ?
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Les genoux au sol, à tourner autour du sapin au fur et à mesure que la pile de cadeaux passait derrière elle, celui ci rond, l'autre ovale, le suivant carré et ainsi de suite. Désespérant de trouver le sien, que Brisson avait peut être oublié, ou pas eu le temps de préparer en fin de compte, un paquet marqué d'un "hips" attira son attention. Celui là ne pouvait être que pour elle, pour sûr !

Elle se redresse, arrache l'emballage à toute vitesse, laissant partir sans s'en rendre compte le précieux mode d'emploi, qui était glissé au dessus de la boite, derrière elle avec la boule de parchemin et découvre enfin l'objet.

han ? un roseau ? Elle y regarde de plus près, réalisant subitement ce qu'est l'objet et rougit. Une image défile devant ses yeux, un souvenir enfoui, loin loin dans sa mémoire.

"Le jeune 'Toine, le petit garnement de la ferme voisine, qui avait toujours une bêtise en tête. Un jour il avait même mis de la gnôle dans l'abreuvoir des vaches, pour que leur lait soit meilleur à ce qu'il avait dit. Tous les jours il avait une nouvelle idée dans la caboche, qui lui paraissait fine mais qui lui valait chaque fois une belle rossée de son père. Un jour elle y avait assisté, le fermier avait pris un long tronçon de roseau comme celui ci et avait hurlé à son rejeton qu'il allait gouter à sa badine. Il l'avait déculotté puis bien calé entre ses genoux serrés, la tête en bas, il avait commencé à faire cingler la badine sur les fesses du garçonnet. Le bruit que la tige faisait se déplaçant de l'arrière vers l'avant sifflait encore dans ses oreilles, moins d'ailleurs que celui qu'elle rendait au contact de la chair. La toute jeune adolescente qu'elle était alors était restée prostrée, ne pouvant détourner son regard de la scène qui avait duré trop longtemps. Le 'Toine avait marché comme un canard pendant une bonne semaine après ça."

Reprenant l'objet dans la main, la rouquine se posa beaucoup de question sur ce qui avait bien pu pousser Brisson à lui offrir un truc pareil. Rouge comme une pivoine, elle se décide à l'affronter quand même pour lui demander une explication. Elle l’aperçoit penché au pied du sapin à fouiller après son propre cadeau. Prenant la badine et sans réfléchir elle se dirige vers lui et lui tapote l'épaule avec le bout du roseau.

Hum Brisson ? Tu... tu ...... tu m'as offert ........... une badine ? Tu peux m'expliquer ?

Regard furieux et joues en feu.

La brunette regardait tout autour d'elle impatiente. Que l'attente était dure et longue!!!!...
Surtout qu'elle avait enfin compris le manège de son ange. Sans aucun doute le paquet était aux pieds du sapin.
Elle se demandait en se mordillant la lèvre...aller fouiller ou pas????
Ho pis zut hein, ça suffit d'attendre. Tout le monde sait qu'Helena n'est pas patiente et depuis le temps que son blond la faisait languir, lui donnant des indices qu'elle trouvait bidon....

Elle se dirigea vers le sapin à la recherche du paquet avec son nom d'écrit dessus.
Elle trouva rapidement et un large sourire se dessina sur son visage. Elle le prit avec délicatesse. et vint se blottir dans les bras de Frans. C'est qu'il faisait pas chaud!!!!

Dis moi c'est quoi????

Les yeux pétillants tel un enfant, elle ouvrit le paquet et découvrit un magnifique muffin aux pépites de chocolat.

Hoooo......merciiiiiiiiiiii

Elle l'embrasse rapidement et mordit à pleine dent dans le gâteau. A la deuxième bouchée elle sentie quelque chose de dur.
Fronçant légèrement les sourcils, elle posa son regard sur son gâteau.
Elle retira du biscuit le pendentif en forme de cœur. Heureuse elle se tourna vers le blondinet serrant le cadeau dans la paume de sa main.
Quelle surprise!!!!
L'émotion était intense. Son regard se voila et elle sauta au cou de Frans et l'embrassa avec passion
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Une fois le cadeau-surprise pour Tellusine posé, Brisson se réjouissait d'enfin découvrir son cadeau qui l'attendait au pied du sapin. Alors quand la voix de la comtesse Oane parvint à ses oreilles, il s'empressa de de lui répondre, en balayant du regard sous le sapin..

Bonjour chère comtesse-cerise! * surnoms qu'il venait de lui trouver, mais qui allait si bien à Oane. * Je pense que chacun de nous a hâte de découvrir sa surprise. Et moi aussi, je...

Le reste de la phrase se perdit entre ses dents car le Brisson était maintenant comme un chien aux aguets. Un fumet qu'il reconnaissait entre mille venait de lui chatouiller les narines et lui rappelait les souvenirs d'enfance... on dirait presque les quiche de môman Rosa. Il ferma les yeux et se laissa guider par l'odeur alléché... ( ça me fait penser un peu au renard de la fable, sauf que là, il n'y a pas de corbeau et qu'il ne s'agit pas d'un fromage mais d'une quiche. En fait, ya juste une odeur et un arbre, donc pas de quoi en faire une fable, et... du coup j'ai perdu le fil de ma pensée. Ah oui... la quiche.). Tout ça pour dire que son estomac guide le Brisson et qu'il ne fut pas long à repérer le dit paquet fumant... qui comme par hasard, affichait son noms dessus. A sa vue, le Brisson ne se sent plus de joie et pour montrer son grand émoi... non... non.. STOP! ça ne va pas... il n'ouvrira pas la bouche pour croquer à pleine dents. Brisson n'ira quand même pas s'empiffrer comme un goinfre devant tout le monde. Surtout qu’il devrait partager.

Il s’apprête d'abord à remercier Héléna avant de se dépêcher de rentrer chez lui se gaver l'estomac. Il cherche la jeune femme du regard quand soudain... trois petits coups sur son épaule et une petite voix rousse qui lui dit:

Hum Brisson ? Tu... tu ...... tu m'as offert ........... une badine ? Tu peux m'expliquer ?

Première expression sur le visage brisonnien: Hein... de quoi qu'elle cause? Puis regard qui va d'abord vers Tellusine, puis le roseau dans sa main, puis Tellusine : Ah...

Froncement des sourcils, légère hésitation, un petit pas vers Tellusine, clignement des yeux … incertain. Tentative de réponse devant la rousse qui ressemblait à une bombe sur le point d’exploser… et qu’il faut mieux désamorcer avant.

Ahem… Alors là Tellus, je ne sais vraiment pas ce que tu as imaginé dans ton esprit. C’est juste un Boitouduncoup ... je l'ai inventé en pensant à toi.... pour toi… pas une trique ni une invitation à badiner.

N’empêche, l’idée n’était pas mauvaise. Il pourrait modifier le guide d’utilisation pour mentionner que le Boitouduncoup pouvait servir à d’autres usages, mouais là… faudrait pas compter sur la garantie…. Sauf si il ne trouve quelqu’un pour le tester. Bref… ça ce n’était pas gagné d’avance.

Je t’ai même mis un parchemin qui explique tout le fonctionnement, que même une blonde âgée de 2 ans arriverait à l’utiliser. * Il hoche la tête. * C’est super simple, il faut juste le brancher des deux cotés et tu verras, le transfert se fait presque tout seul.. à haute vitesse.

Tiens… je fais remarquer Brisson vient d’ailleurs d’inventer le premier appareil ‘plug and play’, littéralement ‘branche et utilise’, ce qui était parfaitement bien adapté pour le cas présent…. si Tellusine l’utilise comme il faut. Et Ultra Haut débit garantie!

Brisson se penche alors pour ramasser le petit pamphlet d’explication avant de lui remettre. Espérant que Tellus n’en profiterait pas pour lui refiler un coup de cravache sur la croupe et qu’elle saurait retenir les pulsions qui risquaient de lui démanger le bras. Après tout, le procureur, il sait très bien que la Tellusine est… gentille. Hein!?

Lily répond au salut d'Eldric par un hochement de tête et sourit à l'arrivée d'Aly. Les papiers cèdent et les nœuds se délient autour d'elle et elle rejoint le mouvement. Elle ouvre le sachet portant son nom et renverse le contenue dans sa main.
Un éclat de rire l'agite en repensant à Théodal et ce profond sommeil qu'il a eu tord d'avoir en taverne. Lily n'avait pas pu assister au réveil mais la préparation de cette farce avait suffit à bien l'amusée. Elle referme le point sur le précieux présent et se jette au cou d'Aly pour lui faire un énorme bisou. Se rendant compte un peu tard que le mouvement est excessivement familier, Lily recule d'un pas un peu gênée par sa trop grande spontanéité. Elle adresse un immense sourire à Aly et ajoute:

Merci! Merci beaucoup. Le bijou est magnifique et il me redonnera longtemps le sourire.
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Helena avait sauté au cou de Frans, apparemment ravie du pendentif...
Ouf, elle ne s'était pas retrouvée empoisonnée, elle ne s'était pas étouffée.
Il l'embrassa passionnément et lui dit

Attends, j'ai vu Erwany, elle a déposé mon paquet, on va l'ouvrir.

Il se précipita dessus, le ramena près d'Helena et ils l'ouvrirent ensemble... il était assez lourd.

Ohhhhhhh, un fouet ! Merci Erwany! Ah et il y a une hache aussi, mon arme préférée!!!

Il lui fit un bisou, car elle était là avec Zerton.

Il regarda le fouet, et les fesses d'Helena, se disant que c'était très compatible.
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Tnadis qu Erwany remerciait le sieur Zerton de son cadeau , elle vit arriver messire Frans qui lui fit un bisou

rouge pivoine

heu.. de rien...oui j avais cru comprendre pour la hache que cela vous plairait elle souria , contente d'avoir fait le bon choix
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