Hermine.
Depuis son retour, Hermine errait dans le village, sans but, sans joie, évitant les tavernes emplies d'amoureux. Elle passait ses journées ainsi que ses nuits , recluse, dans son dispensaire vide, tristement vide comme son coeur, sa vie.
Qu'avait elle réalisé, hein ? Rien. Pas de compagnon stable, pas de maisons, pas de champs, pas d'échoppe, le dispensaire ne se remplissait pas, même ses filles, elles les avais abandonnées. Même ses propres enfants.
Elle n'allait jamais au bout de rien : elle avait désiré devenir névéziade, elle ne s'en interessait pas.
Sa vie était futile, superficielle.
Elle ressassait ces idées noires quand elle apprit par pigeon qu'un voyage pour Laval était prévu afin d'escorter Feuillle et Jhic à Laval.
Cela au moins, elle savait faire, même si , là encore, elle ne faisait que suivre bêtement...
Qu'avait elle réalisé, hein ? Rien. Pas de compagnon stable, pas de maisons, pas de champs, pas d'échoppe, le dispensaire ne se remplissait pas, même ses filles, elles les avais abandonnées. Même ses propres enfants.
Elle n'allait jamais au bout de rien : elle avait désiré devenir névéziade, elle ne s'en interessait pas.
Sa vie était futile, superficielle.
Elle ressassait ces idées noires quand elle apprit par pigeon qu'un voyage pour Laval était prévu afin d'escorter Feuillle et Jhic à Laval.
Cela au moins, elle savait faire, même si , là encore, elle ne faisait que suivre bêtement...