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V'la le printemps! les poules pondent....et Royal....aussi!

Royalkonee


Gros dilème pour la première fois la filleule et la future mère ne s'accordait pas. Plus d'une fois Royalkonee s'était retenue de dire à ses deux filleules fidèles servantes d'Aristote, l'une Diaconesse, l'autre appartenant au tribunal de la Sainte Inquisition, ce qu'elle pensait du Très haut et surtout de ce que les humains lui accordasse une quelconque raison faite de contingence bassement matérielles.

Beeky fouillait dans sa mallette, de toute évidence elle en sortirai une quelconque amulette ridicule. Pour Royal, c'Est-ce genre d'âneries qui auraient dû être diableries.

Son front ruisselait de sueur, un enfançon poussait ………… Royalkonee avait malheureusement dû intervenir sur des femmes mortes de n'avoir pu mettre leur enfant au monde. Les nouveaux nés quand ils étaient encore vivant présentaient un crâne en forme de chapeau pointu, étaient bleuis par d'affreuses tortures. La plupart du temps il était trop tard et l'enfant rejoignait sa mère avant même d'avoir pris un souffle de vie.

Aristote était il si mesquin pour infliger cela à de pauvres femmes qui n'avaient rien fait d'autre de leur vie que trimer?

Sa décision était prise, ni Dame Accro, ni Dame Cherva ne seraient mises sur le bûcher par sa faute et ses enfants vivraient.

La coquine avait un dernier atout dans sa manche, pour faire diversion, elle rassembla toutes les forces qu'il lui restait et se mit a siffler très fort. Moins aurait suffit…………….. Nul de ceux qui se trouvaient dans la maison ou aux abords ne purent nier avoir entendu et vu le vieux complice et fidèle destrier de la parturiente ruer dans son enclos, galoper comme un cheval fou qu'il était et venir se fracasser le front sur la façade de la maison. Tornade par trop de fidélité mourut sur le coup.

Profitant de l'affolement général, Royalkonee sortit son stylet et s ouvrit elle-même le ventre en faisant vite la douleur ne se fit sentir qu'avec un dixième de seconde plus tard elle avait étudié son geste jusque dans les moindres détails, et n'avait pas omis de se trancher l'artère fémorale…………………… Dans un horrible cri de douleur le seul mot compréhensible fût un prénom féminin
……….. Astrid







Dans le grand lit, qui avait longtemps accueilli un couple de fiancés respectueux des usages, puis un couple légitime, gisait la dépouille de Royalkonee, les yeux grand ouvert sur le néant
--Septime_severe
Rejoindre la château le plus vite possible... Il le devait et rapidement... Dans une nuit profonde, une ombre se déplaçait, souple et rapide...
D'un coup, le silence se fit accompagné d'un vent glacial... Il s'arrêta net et observa les alentours... Au loin, un loup hurla comme un damné... Sous sa cape, il tressaillit puis ferma les yeux un instant... Un malheur venait d'arriver...
Retourner là bas... Le Château attendrait un moment...
Vallion
Vallion de voyage, eu une soudaine pensée a son amie de toujours et parti très loin de ça ville natal.

Il s'arrêta au pied d'un pigeonnier et prit le temps d'écrire quelque chose.



Très chère Royal, bonjour.

Je t'écris car je viens d'avoir une pensée à l'instant pour toi et comme depuis notre dernière visite je n'avais pas prit le temps de t'écrire pour te donner signe de vie et te remercier d'avoir prit grand soin de moi durant ses quelques jours ou tu m'as soigné.

C'est avec grand honneur, que je t'annonce aussi qu'après cette mésaventure maladive, j'ai choisi une voie pour le bien d'autrui et non pas la mienne, ayant vue là mort de très prêt, aujourd'hui je fais quête d'une église que je trouve cruellement absente dans le coeur de tous les gens.

Je ne dis pas, quelle n'est pas représenté sur terre comme au ciel, mais simplement que le pouvoir corrompt tout ceux qui détienne se pouvoir et qui en usent allègrement aujourd'hui.

Bientôt, je ferais route jusqu'à Rome pour y trouver le sens d'une vie nouvelle qui s'offre à moi aujourd'hui avec une foi profonde auquel je n'aspirait pas avant, même si je suis de manière gueularde, j'ai su prendre exemple sur toi, mais pas toujours de là bonne manière je te l'accorde et aujourd'hui, quand je montre que j'ai fait voeux de changer, curieusement, on ne me juge que sur mes actes passés et non sur se qui peut se passer aujourd'hui et dans l'avenir.

Tiens ... Curieux, je viens d'avoir un grand frisson, j'espère que tout se passe bien pour toi et je pense aussi à cet enfant qui devrait pas trop tarder à naître.

Bon, je ne vais pas plus t'imposer à lire, car tu dois sûrement avoir grand besoin de te concentrer dans ta médecine et de l'enfant qui devrait naître sous peu.

Salut bien ton Cyrius, embrasse bien ta petiote pour moi et n'oublie pas ton cheval aussi.

J'oubliais, dès que l'enfant naîtra, fait front a front avec ton enfant, c'est juste se que je te demanderais, c'est une coutume qui vient d'un autre pays et qui se veut de pouvoir transmettre son savoir durant toute sa vie.

Je t'embrasse Royal et que le divin t'aide dans ses prochains jours.

Vallion

Vallion accrochât le petit papier bien remplit à la patte du pigeon et le lâcha dans le ciel en direction de Troyes.
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Made In Cae, it's the artiste !
Wyky


Wyky dans un coin de la chambre ne savait plus quoi dire à son amie Royale ... quand soudain perdue dans ses souvenirs se rappelle combien elles avaient pu rire ... se souviens du jour où elles avaient été boire le vin de notre cher curé

Quand soudain un cri effroyable se fit entendre .... sursaute..tout se passe en éclair le hennissement du cheval dans la cour.. Regarde celui ci par la fenêtre.. Les sifflements de Royale avait accouru dans un élan de hennissements comme un fou venant s'écraser soudain comme le mur


Wyky se retourne entend

ASTRID

accourt vers Royale .. hélas trop tard les yeux retournés révulsés, la jeune wyky comprit ... comprit que son amie Royale dans un sursaut avait appelle tornade son cheval gissant maintenant sur le sol ....

impuissante wyky appelle Cyrius ...

papounet papounet .... vient vite ......

Prise d'un vertige de toute ses évènements ....wyky ne put faire un seul pas, pas un cri ne sort de sa bouche .....Regarde l'affreux carnage qui venait de se passer dans la cour tornade ....

Astrid ...Astrid ...... oui c'est le nom de la fille de Royale et Cyrius

Un pigeon venait se déposer sur le bord de la fenêtre ... un message à la patte ... wyky ouvre la fenêtre ;; prend le message , le dépose sur la table ...

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Cyriusblack


Cyrius discutait tranquillement avec Ereon, Il lui avait raconter comment cela se passait avec son épouse, plutôt mal d'ailleurs, et puis aussi il avait parlé de la petite Manon, une fille qui méritait un homme digne, pas un sans honneur qui lui laisserai croire pendant des mois a un amour alors qu'il la trompe. Cyrius fut intrigué quand il vit passer son laquais dans la cour, ouvrant tout les volets déjà grand ouvert. Attigny devait encore le faire souffrir le pauvre garçon, mais il mettait tant de coeur dans son travail que Cyrius le laissa continuer. Soudain il entendit un sifflement, un hennissement suivie d'un grand fracas dans l'étable. Puis plus rien pendant une minute. Cyrius inquiet se leva, Il entendit crier son nom, sans perdre un instant il couru jusque dans la chambre. Royal était la sans vie, son premier regard alla jusqu'au ventre béant de son épouse, bien que habituer à la vu du sang, sans doute parce que son métier lui donnais l'occasion d'en voir tout les jours, Cyrius fut choqué, il tomba a genoux au pied du lit.

NNNOOOONNNNN, C'est pas possible, jusqu'au dernier moment tu n'en fera qu'a ta tête, Pourquoi a tu fait cela.

En pleure, Cyrius ferma les yeux de son épouse et posa sa tête une dernière fois sur son sein. La vie était parfois bien cruel Aristote ne devais pas l'aimer, pourtant il allait à la messe tout les dimanche. Sa tête toujours contre elle, il sentit bouger dans le ventre. Il se releva et inspecta, non, ce n'était pas possible, il y aurait un espoir pour les bébés.

Wyky aide moi, vite il faut les sortir de la, je vais prendre le stylet et ouvrir l'utérus et le placenta, tu prendra ensuite les bébés dans le ventre.

Cyrius se saisis du stylet et incisa méthodiquement les derniers organes qui bloquaient encore la sortie des deux enfançons.

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Wyky


En un éclair wyky se rappelle ce que lui avait dit Royale, voyant tout le sang sur le lit il fallait faire vite très vite, Royale a rendu l'âme il y a quelque minute ...


Voyant Cyrius dans ses instants ... le regarde, quelle courage pour cet homme de vouloir sauver ses enfants

Les larmes coulent sur le visage de wyka se ressaisi quand son papounet lui parle


Citation:
Wyky aide moi, vite il faut les sortir de la, je vais prendre le stylet et ouvrir l'utérus et le placenta, tu prendras ensuite les bébés dans le ventre.



Oui Cyrius fait vite .....

A ses cotés Wyky regarde les gestes de cyrius , attend un moment court chercher de quoi envelopper les bébés

Se tenant près de lui ...prenant son courage à deux mains


Wyky n'a qu'une chose en tête sauver les bébés .... Regarde la main de cyrius ouvrir le placenta ... les bébés sont déjà bleus des que Cyrius a fini d'ouvrir le ventre ....

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Giovanni666


Giovanni écouta attentivement Cherva. Monter seul non c'est impossible il irait l'aider. Elle tomberai surement et elle aurait besoin d'aide pour monter l'étage. Il avait entendu crier mais c'était surement des cris d'enfants

Cherva a écrit:
- J'espère que tout à l'heure j'arriverai à monter l'escalier et à rester en équilibre assez longtemps pour la naissance des enfançons de Dame Royal...Merci Giovanni, grâce à vous, je pourrai peut-être sauver Royal


Madame Cherva, je vous monterai à l'étage, j'ai pas envie que vous tombiez et au moins je me sentirai utile.

Giovanni attendait donc que Cherva lui réponde à sa suggestions. Il lui sourit tendrement.

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Cyriusblack


Cyrius fut heureux que Manon soit avec lui, c'est dans ses moment difficile qu'il sens qu'il n'est pas seul. Alors que le placenta venait juste d'être déchiré, Cyrius voyait Wyky hésitante, il prit sur lui et plongea ses mains dans le ventre de son épouse et en sorti un premier enfant, une fille, il coupa le cordon et fit un nœud.

Vite Wyky, Occupe toi d'elle, je crois qu'il y en a un deuxième.

Cyrius tendit le bébé à Wyky et s'occupa du deuxième.

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Wyky


Alors que les bébés sortis du ventre de Royale, ceux-ci ne respire pas étaient bleus ... son instinct de femme ... il faut que l’enfant cri à tout prit ... la main tremblante wyky saisi l’enfant

Un geste Wyky se met à taper sur les fesses de nouveau né ...qui se met a crier

Cyrius nous avons réussi, regarde ta fille est bien vivante ....Astride

L’enveloppe dans une grande serviette la dépose dans le berceau .....Revient près de cyrius penche sur le ventre ensanglanté de Royale .... se tiens a ses cotés pour recevoir l’autre bébé, grimaçant un peu ...pose sa main sur son papounet .... car wyky est là pour l’aider..

Wyky regarde les gestes de Cyrius ..vient lui essuyer le front où coule des gouttes de sueur ... de sa main lui fait signe de faire vite , car plus les minutes passent , moins les chances de vivre pour cet enfant

, Wyky regarde autour d'elle entend du bruit dans l'escalier enfin un peu d'aide se dit elle .......

il est temps que cet enfant le deuxième sorte du ventre de sa mère décedée depuis plusieurs minutes , le temps wyky ne compte pas .. impatiente de savoir si son papounet va réussir ... il est très courageux , son calme la surprend de plus en plus ....

Quand l'enfant fut sorti qu'il se met à crier .... ouffff .. les bébés sont là doucement Wyky le prend enveloppe dans un autre serviette va le deposer vers Astride

Dis papounet ?? son nom ??

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Cherva


Cherva entendit alors un sifflet, puis un bruit terrible, comme si on allait détruire les murs de la maison. Puis un cri horrible, Wyky qui appelle au secours, Cyrius qui monte à l'étage comme une flèche.

- Vite messire Giovanni, aidez-moi à monter à l'étage, dépêchez-vous.

Il la prit dans ses bras et lui permit d'accéder à la chambre. Elle entra et fut horrifiée par le carnage qu'elle avait sous les yeux. Royal gisait là, le ventre ouvert, l'artère fémorale grande ouverte, les yeux révulsés. Cherva comprit aussitôt qu'il n'y avait plus rien à faire.

Cyrius retirait déjà un des enfançons du ventre de la mère. Une fille... Mais elle était déjà bleue. Il y avait trop de sang qui se déversait dans le ventre. Vite...

Cherva alla prendre une serviette et en prenant garde de ne pas gêner les gestes de messire Cyrius, elle disposa du linge à l'endroit où le stylet avait tranché un vaisseau sanguin.

- Vous vous en sortez messire, vous voulez que je le fasse?

La poche du deuxième enfançon était plus profonde que la première...


- Dame, pourquoi avez-vous fait ça? Pourquoi? [/b]
Cyriusblack


Cherva venais juste d'arrivée et semblait vouloir aider. Sa présence ainsi que celle de Wyky le rassurait.

Je te remercie Cherva d'être venu nous aider

Elle commençais avec ses mains experte a dégager le passage pour le deuxième. Rapidement, il releva le placenta du deuxième et le déchira, il en sorti un garçonnet, il coupa a nouveau le cordon et fit un nœud. Alors que Wyky s'occupait d'Astrid, Cyrius tendit se second bébé a Cherva.

Vite, je crains qu'il ne soit trop tard, sauvez le je vous en prie.


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Giovanni666


Giovanni avait transporté au plus vite Cherva dans la chambre de sa belle marraine. Que se passe-t-il pour qu'il se dépêche ainsi. Il la pris donc et se dépêcha de monter. Quand il déposa Cherva à terre la dame partie vite dans la chambre. Giovanni avait vu sa belle marraine, le ventre ouvert. Pourquoi avait-elle fait sa. Des larmes commençaient à perler sur son visage.

Pourquoi elle a fait sa. sanglota-t-il.

Je veux pas qu'elle meurt, non c'est impossible.

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Wyky
Voyant dame Cherva arriver dans la chambre Wyky eu un soulagement , c'est première fois qu'elle aide à enfanter , bien que cela restera gravé à jamais dans sa tête .... entendra le cri de desespoir de Royale un dechirement au petit matin de ce dimanche 22Mars 1457 ...regarde dame Cherva

Dame cherva , le pourquoi , nul ne sait ,qu'Aristote dans sa grande clémence lui pardonne .....

Wyky regarde les mains experts de dame Cherva agissant avec tant d'agilté de sureté , Royale n'avait plus de force , souffrait de l'enfantement .. .. regarde son visage crispté par la douleur ... cependent depuis quelques moments semble détendue ....

papounet laisse faire Dame Cherva ... vient avec moi ... si tu veux allons prendre une bonne tasse de tisane ... nous n'avons rien manger depuis hier .... viens papounet ....

Wyky verse de l'eau dans une cuvette afin que Cyrius puisse se laver les mains ..les bras .couvert de sang ....

Dame Cherva .. je suis là pour vous aider .....
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Cherva


Cherva sourit à Wyky et s'en voulait de cette remarque. Wyky connaissait bien Royal, elles étaient très proches et voilà que Wyky la réconfortait.

Cyrius sortit le deuxième bébé du ventre de sa femme et le lui tendit en lui implorant:

Citation:
Vite, je crains qu'il ne soit trop tard, sauvez le je vous en prie.


Cherva regarda l'enfançon, le prit dans ses bras avec milles précautions et claudiqua pour aller s'asseoir sur le rebord de la fenêtre: sa jambe lui faisait trop mal et elle avait peur de laisser tomber le nouveau-né. Celui-ci semblait près de rejoindre sa mère...

Cherva donna une fessée au garçonnet, celui-ci ne broncha pas. Alors elle le retourna et tapota doucement son dos avec son idex et son majeur. Là aussi, toujours pas de réaction mais son visage était moins bleu. Elle le retourna, mit sa bouche sur le nez et la bouche de son jeune patient et souffla doucement. Le garçonnet bougea et se mit à crier de toute la force de ses poumons.

Soulagée, Cherva prit une serviette à côté d'elle et en enveloppa l'enfançon avant de le confier à Wyky.

Cherva s'avança alors devant le corps de Royal mais elle ne put que constater son décès. C'était terminé. La section de l'artère fémorale l'avait vidé de son sang. Sa science ne pouvait plus rien. Elle s'approcha du visage de Royal, lui ferma les yeux et, appuyée sur ses béquilles, elle déclara, la mort dans l'âme:

- Il n'y a plus rien à faire. Dieu vient de la rappeler à lui.

Et se tournant vers Cyrius:

- Je vais examiner les enfants puis je reviendrai pour... Enfin, la rendre plus...

Elle ne put terminer sa phrase, se détourna, s'assit sur le rbord de la fenêtre et commença l'examen de la petite fille dont le corps était de moins en moins bleu.
















Giovanni666


Giovanni pleura toujours, pourquoi elle a fait sa, ne voulait-elle plus vivre. C'est du n'importe quoi, c'était une grande dame même si elle l'ennuyait parfois mais c'était aussi celle qui la soignait quand il était blessé. Qui le soignerai maintenant? Peut être Cherva.

Cherva a écrit:
- Il n'y a plus rien à faire. Dieu vient de la rappeler à lui.


Quand il entendu Cherva dire qu'il n'y avait plus rien à faire, ses pleures redoublèrent. Il espérait qu'elle s'amuserait mieux en haut qu'ici. Il vu ensuite la belle Cherva près de la fenêtre avec un enfant. Giovanni ne put cependant pas voir le sexe de l'enfant. Voyant son parrain.

Vient parrain, on va boire un coup, ça nous ferra surement du bien.

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