[RP] Le marché de Dijon

Gabrylla

Gaby continua de regarder autour d'elle, elle vit le couple qu'elle avait vu juste avant repasser, elle les regarda s'éloigner, main dans la main, amoureux comme des adolescent qui découvre l'amour...comme deux adolescent qui dans quelque jours ne seront déjà plus ensemble...Gaby repérait vite les couples qui allait durée ou non...Sa se voyait si facilement...Ezio lui parla pendant qu'elle...essayait de suivre ce qu'il disait elle répondit :

Citation:

Eh bien je me promène.. Parfois sa me donne de l'inspiration et sa permet surtout de vagabondé en dehors de mon esprit, et pouvoir pensé à autre chose.
Regarder tout ses gens, et ce dire que ce qu'ils ont en tête, c'est savoir quoi acheté. Enfin bref.. Je vais pas t'ennuyer avec sa Gaby!

Ah..d'accord Gaby sourit et regarda Ezio, tu sais quoi ?! Je vais y allez ! Il y a trop de monde..., je reviendrais plus tard !!
Elle déposa un baiser sur la joue froide de Ezio, lui sourit et partit en disant : A bientôt petit lutin...!
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Ezioauditore..

Ezio regarda gaby s’éloigner

à bientôt blondinette..

Ezio resta assis, se laissant aller dans ses pensées
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--Govran

Govran sauta de la charrette. Il souleva la bâche et en sorti des peaux de moutons. L’odeur acre et forte montait et se propageait mais elle ne semblait pas l’indisposer. Clovis, le chien, qui l’accompagnait bondit également hors de la charrette et parti fureter à droite à gauche. Govran le siffla et cria : Va pas trop loin ! Si jamais je ne te ramène pas à la Burgondière, ta maîtresse me fera pendre !

Il rit sur ses derniers mots, il savait pertinemment qu’Aryanha n’en ferait rien mais l’idée de l’entendre hurler dans toute la maison forte ne lui plaisait guère.

Le marché se remplissait et il était encore tôt. C’était aussi bien, Govran débâcha la charrette et étala les peaux sur l’étal de bois.

Oyez Oyez ! Des peaux de belles qualités à des prix attractifs !

Et voilà qu’en peu temps, des tisserands s’approchaient intéressés, des habitués, d’autres de passage, et en moins de quelques heures les ventes étaient conclues ! Sourire aux lèvres dévoilant une belle dentition, Govran était plus que satisfait : A la prochaine écorcherie !

Claudiquant vers la charrette vide, il y grimpa. La bise soufflait mais il en avait cure, elle n’avait pas d’effet sur lui. Un regard aux alentours…mais où était passé ce foutu chien ? Il siffla…fort…plus fort.
Il n’avait pas envie d’attendre, il ne voulait pas manquer le repas à la Burgondiere, la Babette faisait mijoter du mouton au miel et aux amandes, le palefrin qu’il était s’en délectait d’avance. Clovis !!!!

Un aboiement, et le chien arrivait en courant pour sauter dans la charrette. Govran claqua les rênes sur le dos puissant du bourrin…tu as d’la chance le chien, je partais sans toi !

Le marché de Dijon

Ezioauditore..

Ezio regarda gaby s’éloigner

à bientôt blondinette..

Ezio resta assis, se laissant aller dans ses pensées
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Gabrylla

Gaby entendit une voix familière...Elle leva la tête et vit Ezio lui parler :

Citation:

Eh bien belle blonde, tu en fait une tête! Toi qui est si souriante d'habitude, la tu es perdu dans tes pensées ! que t'arrive t-il?

Euh...Oui, j'étais dans mes pensées, tous va bien.
La blonde lui sourit pendant qu'il continuait de parler et qu'il lui prêtait sa cape...

Citation:

Tien sa te tiendra chaud! Tu m'en veut pas si je reste à côté de toi pour regarder la foule?

Merci Ezio...Il fait froid ce matin...Mais, j'aime bien, sa réveille pour la journée, et puis ce banc devient habitué à moi, depuis le temps que je viens...Non, tu me dérange pas du tout, tu va me tenir compagnie comme sa ! Dit-elle en tapotant la jambe de Ezio Alors, tu viens faire quoi ici ??
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Ezioauditore..

Pensif qu'il était le petit ezio

Eh bien je me promène.. Parfois sa me donne de l'inspiration et sa permet surtout de vagabondé en dehors de mon esprit, et pouvoir pensé à autre chose.
Regarder tout ses gens, et ce dire que ce qu'ils ont en tête, c'est savoir quoi acheté. Enfin bref.. Je vais pas t'ennuyer avec sa Gaby!

Ezio retourna dans ses pensées en observant les alentours
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Gabrylla

Citation:

Ezioauditore..

Ezio arrivait sur le marché, bon dieu qu'il faisait froid! il marchait à travers la foule quand il aperçu Gaby sur un banc

Eh bien belle blonde, tu en fait une tête! Toi qui est si souriante d'habitude, la tu es perdu dans tes pensées ! que t'arrive t-il?

Ezio observa Gaby et se dit qu'elle devait avoir froid. Il prit la chose qui lui servait de cape et la passa autour de Gaby

Tien sa te tiendra chaud! Tu m'en veut pas si je reste à côté de toi pour regarder la foule?

Ezio lui souriait
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Gabrylla

En début de matinée, après être passé voir les animations du village, Gaby se rendit aux marché, mais cette fois-ci, pour...regarder, oui, juste regarder...Elle était vêtu d'une cape, qui cachait ses formes ainsi que ses cheveux blond...Elle parcourait les rues en pensant que ici...les hommes ne courrait pas les rues...Il y en n'a mais...pas ce que Gaby voulait, non, elle n'était pourtant pas bien difficile...

Elle arriva aux marché et resta pensive...En ce moment, elle se sentait...seule ! Oui, c'est sa seule...Elle attendait avec impatience que cet homme arrive...enfin !Elle arriva vers le marché...

Assise en tailleur sur un banc à coté du marché, la blonde regardait les passants arpenter celui-ci.
A cette heure beaucoup de villageois venait au marché pour pouvoir faire la soupe de la journée...
Elle voulait croire , que dans ce royaume de brebis soumises, il restait encore quelque part des hommes dignes de ce nom.
De ceux qui vous donnent envie de les suivre d’un simple regard.
Ceux à la silhouette fière, qui ne courbaient jamais le dos, qui refusaient les lois injustes, les règles établies.
Un de ceux qui se tenait encore debout, libre et fier. Un qui la suivrait, dans ses rêves fou .

Elle suivait du regard ce couple...énamouré,si niais...qui se jurait des toujours et qui demain, s’oublierait aussi vite.
Elle regardait souvent le lavoir où le matin, les belles paysannes iraient laver les frusques de leur artisan.

Elle s’était choisie d’autres rêves.
Parce qu’elle le valait bien.
Et puis parce qu’elle avait toujours préféré les chemins de traverse aux routes tracées par d’autres.

Mais , il fallait des hommes. Des mâles, des vrais. Aussi durs que fougueux, aussi courageux qu’ardents.
Des hommes assez fous, pour tout laisser, pour vivre avec elle des folies et la supporter également...
Serait ce possible que cette race là, existe encore dans ce pays où régnait les couples appelé ou elle vivait avant...bisounours ?

Elle voulait y croire encore.

Pas des ménestrels...ni des bellâtres à l’étroit dans leurs braies.
Non,des filous,des rêveurs, des insoumis, des fous.

Un petit garçon qui courrait et criait après une gamine passa à coté de Gaby et l'arracha de ses penser...La jeune femme regarda autour d'elle...le marché remplie de femme, d'homme, elle soupira doucement et attendit ici que du monde sois partit pour allez acheté ce dont elle avait besoin...

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Michelkourou

Le regard de Michel se fixa sur une silhouette qui se dirigait à cheval vers les portes de la ville. Le visage de Michel se décomposa Je je je dois partir, Mary, je vous ecrirais je vous expliquerai
Il la laissé planté la et partit dans la foule bousculant les passants
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Gabrylla

La demoiselle sortit des tavernes ou elle n’arrêtait pas de glisser et décida alors d'aller faire un petit tour au marché...Noel approchait à grand pas !! Elle devait faire des petites emplettes pour le repas, et également voir si il y avait quelques décoration de Noel pour le sapin de la ville ou d’ailleurs pas beaucoup de personnes venait aider...

Gaby marchait dans les ruelle de Dijon pour arriver sur la grande place, là où il y avait le marché, la demoiselle était encapuchonné pour ne pas avoir les cheveux pleins de neige...la neige n'arrêtait pas de tomber, cela n'était pas pour déplaire à Gaby qui adorait sa...

Arriver vers les marchands, elle regarda un peu partout, elle s'arrêta devant comme à son habitude un marchand très gentil, qu'elle voyait souvent, un vieux Messire avec sa Dame, tous deux le sourire aux lèvres, debout devant leurs biscuit et confiseries...Gaby leurs sourit et dit poliment :

Bonjour !! Et bien...quel froid ! La neige ne s'arrête pas...La demoiselle regarda le stand et continua : Je voudrais quelques biscuit, comme d'habitude, et je vais également prendre un peux de confiseries. La jeune demoiselle pris son paquet et leurs donna quelques écus avec un sourire remplie de tendresse...

Elle continua son marché puis acheta ce dont elle avait besoin pour le repas de Noël...Elle avança et vit un marchand qui vendait un peu d'objet, de jardinage et autres, mais également quelques décorations de Noel, la demoiselle s'approcha et regarda celle-ci...Mais rien ne la faisait rêver...Elle reparti donc vers d'autres marchand avant de repartir dans les ruelles jusqu’à sa chaume...

Mary.

La rousse gouvernante avait guidé Michel jusqu'au marché, sa petite menotte passée à son bras, donnant de l'autre côté la main à Adelin, qui lui même tenait son frère Valérien. C'est qu'il n'était pas question d'en égarer un en ville ! D'autant que la foule était compacte, en cette fin d'année.

Que diriez vous d'un bon verre de vin chaud qui rend les joues roses et fait pétiller les yeux des jolies filles Mary?

Il n'avait pas attendu sa réponse pour se diriger d'un bon pas vers un étal de marchand de vin

Michel, attendez ! Non, je ne veux pas de vin ! Vous n'y pensez pas ? quel exemple je donnerais à ces deux chérubins ? Et puis je dois rester sobre, quand ils sont à ma garde !
Mais si vous en souhaitez un, faites, j'emmènerai les enfants acheter le pain, pendant ce temps-là, vous nous retrouverez à l'étal du boulanger ? Voyez, c'est juste en face.

Elle avait dégagé sa main, repris un enfant de chaque côté, et traversé l'allée pour prendre son tour dans la file d'attente au stand de Hersande.

Mary.

Mais quelle mouche l'avait piqué ? Il avait blêmi et était parti en courant, bousculant tout le monde sur son passage, la laissant plantée là avec son gobelet de vin chaud dans les mains !

Michel ! votre vin chaud !

Peine perdue, il était déjà loin, il ne l'entendait plus !

La raison de son départ devait être impérieuse, ou alors toutes ses déclarations de ces derniers jours ne valaient pas plus que celles de ses congénères .... Après il s'étonnerait qu'elle n'attende rien des hommes.... Elle l'avait pourtant cru différent des autres, cruelle déception s'il ne tenait pas sa promesse de lui écrire pour lui expliquer ....

Elle resta là quelques minutes, avant de reprendre ses esprits

Bon, les enfants, on va rentrer, avant que vous ne soyez transformés en bonshommes de neige ! En route !

Et les voilà repartis vers la taverne du Chaudron Buveur.
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Michelkourou

Michel revint trés vite rejoindre Mary devant le boulanger avec son gobelet de vin chaud à la main
Meme si vous n'aimez pas le vin , prenez donc ce gobelet entre vos mains,le temps de profiter de sa chaleur pour rechauffer vos doigtsMichel lui sourit en lui tendant son godet
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Aloe_sonia

Sonia arriva à Dijon, elle avait fait un petit voyage à St Claude, peut-être un dernier voyage plutôt à St Claude.
C'est à l'aube qu'ils arrivèrent, Dom' ses enfants, Mary la gouvernante et Alexandrine la nounou.

Elle avait pris le soin de s'asseoir à l'extrémité de la charrette, elle voulait être la première à descendre.

Elle se repeigna les cheveux et passa une main dans ceux de Valérien qui dormait encore. Lorsqu'il passèrent près du marché, elle sauta.

Le "Chaudron buveur" allaient avoir beaucoup de personne à nourrir et Gertrude n'aurait pas fait les courses, paresseuse qu'elle est.

Seule, elle regarda la charrette s'éloigné et se rappela d'un coup, qu'on était en décembre et qu'elle n'avait pas de calendrier de l'avent.
Les enfants aimeraient c'est sur, manger des confiseries tous les jours.

- Oui voilà, à elle même, je vais chercher des confiserie et les ingrédients pour les repas à venir.

Elle recouvrit sa tête d'un châle et disparut entre les étalages.

Mary.

Quelle charmante attention ! Il revenait lui proposer de chauffer ses doigts gelés sur le gobelet de vin chaud !

Valérien, donne la main à ton frère, tu veux ? Je me réchauffe les doigts deux minutes, et puis ce sera votre tour.

Elle se saisit du gobelet fumant avec reconnaissance, et plaqua ses mains de chaque côté, tout en remerciant Michel d'un sourire lumineux.

Aryanha

Rp ouvert à tous

Le marché était un lieu d'échanges, de trafiques, de réunions périodiques de vendeurs et d'acheteurs, de rencontres temporaires de marchands ambulants ; relevant de l'autorité publique celle-ci surveillait les lieux d'échanges. Mais son lieu n’était pas exclusivement économique…c’était un lieu de passage, on s’y rencontrait pour échanger les dernières rumeurs ou confidences, pour partager des recettes succulentes, on y déambulait, chercher l’étoffe rare.

J’peux m’débrouiller t’te seule m’dame !

Taratata !

J’peux barguigner, ach’ter tout c’qu’il faut pour mangeailler, c’est pas la caillette avec sa cervelle d’moineaux qui peux l’faire !

Laisse donc Anceline tranquille !

La Babette, la cuisinière de la Burgondière, suivait Aryanha dans les allées du marché de Dijon., panier en main, se dandinant sous son corps adipeux à chaque pas. S’arrêtant en maugréant chaque fois qu’Aryanha stoppait devant un étal…là le boucher qui exposait graisses, carcasses, grosses pieces de viandes, quelques volailles en cage qui caquetaient, les grognements des porcs qui erraient en liberté, le bêlement des moutons apeurés…15 écus la laine ? S’étonna Aryanha, n’est-ce pas un peu cher ?...
Tripes et charcuteries répandaient des odeurs épicées et grasses. …ici, la vente de raisins sucrés et parfumés…plus loin, une boulangère encore enfarinée vendait son pain encore chaud sorti du four…Aryanha commandait, faisait cliqueter les pièces d’écus dans sa bourse, et laisser la Babette se charger du transport.

Tiens une brioche pour le jeune Gilbert Phil !

Mes brioches sont bien plus moelleuse et parfumée qu’celles là, m’Dame Aryanha ! Pas b’soin d’jeter les écus en l’air !...grognait la Babette.

S’arrêtant devant un étal où une odeur forte de fromages s’élevait, Aryanha observait les meules entassées.

Mon époux rentre bientôt, je veux lui préparait un repas digne d’un chef !

Un crieur de vin l’interrompra de sa voix puissante annonçant l’arrivée d’un vin nouveau, sourire aux lèvres Aryanha s’approchait pour en gouter quelques gorgées.

Un peu jeune votre vin !

Se tournant vers les raisins en masse dans des paniers,

Vos raisins sont beaux et m’ont l’air succulents, je m’étonne qu’ils ne soient point encore vendus !

Il nous faut rentrer la Babette ! Babeeettte ?

La cuisinière acquiesçait mais maugréa rapidement en marchant sur une déjection.
Vain dieu !
Secouant sa chausse crottée dans une position déséquilibrée, le panier rempli de victuailles, la Babette tentait de suivre sa maitresse.
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Michelkourou

Michel se laissait guider par Mary dans les grandes allées, elle lui tenait le bras et avançait joyeusement. L'approche de la fin d'année donnait un air festif à ce marché, les marchands et les chalands étaient nombreux en ce milieu de matinée.
Que diriez vous d'un bon verre de vin chaud qui rend les joues roses et fait pétiller les yeux des jolies filles Mary? Sans attendre sa réponse il se dirigea vers l'étal d'un marchand de vin
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Gabrylla

Gaby venait d'aller à l'Eglise et lire les affiches du Maire, elle vit le marché et s'approcha...Elle avança entres les marchands, beaucoup de monde étaient là, ils rigolaient, parlaient, essayaient de gagner quelques écus...Gaby regarda tous ce que les marchands vendaient, beaucoup de marchands hurlaient comme des poissonniers pour vendre leurs produits...La jeune femme rêvait en pensant à quand il neigerait à Dijon...le sol recouvert de ce joli manteau blanc... sa serais merveilleux pensa t-elle...
Gaby s'arrêta devant un marchand qui vendait des confiseries, des petits biscuits et autres...cochonneries que Gaby aimait tant !!! Elle demanda quelques chocolats et biscuits au marchands qui continuait d'hurler comme si la jeune demoiselle était sourde...Elle se dit alors que ses marchands la rendrait sourde un jour ou l'autre...Elle sourit, paya le Messir et continua sont chemin en mangeant un biscuit qui était d’ailleurs très bon...Elle regarda autour d'elle pour essayer de reconnaître quelques personnes, mais non...rien, elle était partie trop longtemps peux être..., elle n'avait plus que à tous recommencer...Elle était déjà bien contente que un Messir l'avait aidé à déménager...La jeune femme continua sont marché et acheta tous ce dont qu'elle avait besoin pour sa nouvelle maison...ainsi que pour manger, car elle n'allait pas tenir un jour de plus sans manger, la jeune femme avait déjà maigrit durant son voyage et un bon repas lui ferait grand plaisir!!La demoiselle s'avança alors vers un marchand qui vendait des légumes et des fruits...

Jolie Dame !!!! Que voulez-vous !! Allez, allez !! Choissisez avant qu'il n'y est plus rien !!! se mit à crier le marchand.

Gaby sourit bêtement et répondat :
Bonjour...j'aimerais deux salades, des navets, poireaux et pomme de terre ainsi que deux ou trois pommes Messire...S'il vous plait...

Le marchand prit les aliments et les mit dans un panier avant de faire payer Gaby le sourir aux lèvres et crie:

Revenez vite Charmante Demoiselle !!!

Gaby acquiesça de la tête et continua de marché tranquillement en regarda autour d'elle se qui se vendait...

Arthur_pendragon

Sortit de l'auberge, la froideur de cette matinée d'automne arracha un grognement au jeune Seigneur..un épaisse fumée sortait de sa bouche quand il expirait l'air..la température avait considérablement baissé ces derniers jours et cela se ressentait..

Ceci dit Arthur, même faiblement vêtu ne semblait pas avoir froid..il fallait dire qu'en Champagne à cette époque, le temps était déjà tout autre..bien plus rude..comme ses habitants d'ailleurs..

Il avisa les rues qui s'offraient à lui quand une charrette poussé par une mule passa devant lui..en se dirigeant sur ce qui devait être la place du marché..

Arthur décida de s'y rendre en premier lieu..il aurait tout le temps ensuite de trouver son nécessaire d'écriture..
Il suivit donc la charrette de près..sa conductrice la conduisit vers un coin de l'immense enchevêtrement d'étals, attacha son mulet à un arbre rabougri qui trônait sur la place et déballa son attirail..

Passant devant le modeste étalage, il remarqua des étoffes d'une couleur particulièrement belle..un bleu pastel d'un teinte ravissante..

Le Seigneur s'approcha alors et mira la marchandises de loin, placé derrière la troupe des badauds qui étaient venus admirer le travail de la jeune femme...une étoffe attira plus son regard..

Il s'approcha alors de l'étal, et prit son temps pour regarder la marchandise...puis la soulevant pour la faire voir, il demanda à la jeune femme assise sur son tabouret..

Bonjour..
Quelle somme demandez-vous pour cette étoffe?
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--Govran

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[RP] Le marché de Dijon